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[Union Européenne] nos projets, son futur


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  Le 14/05/2019 à 20:57, hadriel a dit :

Ce genre d'exercice de style n'a aucun intérêt, la Pologne pourrait avoir 10 fois plus de divisions que la Russie, elle s'inclinera quand même dès que Moscou menacera d'employer l'arme nucléaire.

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L'arme nucléaire est une arme de dernier recours et ne justifie que si elle est envahie.

 

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Angela Merkel, possiblement sous pression de ses alliés du SPD, se rallie à la position d'un groupe de 9 pays de l'UE (mené par la France) en faveur de l'objectif de neutralité carbone d'ici à 2050.

Au passage elle envisage également l'intégration d'un groupe de pays pionniers pour aller au-delà du système d'échange de "droits à polluer" intra-européen qui existe actuellement et a failli.

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  Le 14/05/2019 à 19:55, Skw a dit :

Pendant ce temps, publication d'un rapport par l'IISS  : "Défendre l'Europe : les besoins capacitaires des pays européens membres de l'OTAN sur la base de scénarios (https://www.iiss.org/blogs/research-paper/2019/05/defending-europe)

Tout ceci est bien orchestré. La rhétorique est belle...

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  Le 14/05/2019 à 20:57, hadriel a dit :

Ce genre d'exercice de style n'a aucun intérêt, la Pologne pourrait avoir 10 fois plus de divisions que la Russie, elle s'inclinera quand même dès que Moscou menacera d'employer l'arme nucléaire.

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Je vous trouve bien catégoriques. C'est de la prospective. Cela implique de balayer toutes les options et non pas seulement celles que l'on juge les plus probable ou qui plaise le plus à l'esprit. Il faut tout envisager, puis pour chaque option en déterminer :

  • d'une part la probabilité d’occurrence, et
  • d'autre part le couple :
    • risque encouru en cas de non-adaptation
    • coût et temps de l'adaptation

Et c'est seulement là que l'on peut se prononcer sur les options. Pas juste en les balayant d'un revers de main.

En effet, c'est en ne s'ouvrant pas assez à d'autres menaces ou d'autres façon de faire la guerre que la France a perdu en 1940. Ça c'est l’extrême de manque de prise en compte.

J'entends en outre sur ce forum de nombreuses personnes vanter les mérites de ruptures stratégiques, ou des armes qui changent les règles du jeu, ce qui créerait des brèches dans lesquels il faudrait s’engouffrer, en abdiquant les capacités actuelles ou plus traditionnelles car en rentrant pas dans le schéma de la nouveauté. Au risque de se tromper totalement et de perdre l'intégralité de ses capacités militaires. Ça c'est l'autre extrème : trop de prise en compte d'une seule des possibilité.

 

Sur le sujet en particulier, si l'objectif de la Russie est de conquérir de nouveaux territoires, je ne vois pas bien pourquoi elle prendrait le risque de se voir opposer un refus et donc de devoir utiliser l'arme nucléaire sur le territoire et la population qu'elle souhaite conquérir, puisqu'ils en serait alors inexploitables et dévastés.

Cela ouvre aussi la problématique des lignes rouges. Admettons que la Russie menace d’utiliser l'arme nucléaire, et que la Pologne refuse de s'incliner. La Russie doit maintenant tirer ses armes et prendre le risque d'un apocalypse mondial, ou perdre la face? Ou pire, elle tire ses armes nucléaires et ceux-ci sont interceptés? Ce n'est pas une option souhaitable.

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  Le 14/05/2019 à 19:13, Neuron a dit :
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Extrait de l'article :

  Citation

Le courrier est accompagné d'une lettre au ton comminatoire de l'ambassadeur des Etats-Unis à Bruxelles. Gordan Sondland y met en demeure Federica Mogherini de répondre d'ici au 10 juin sous peine de sanctions.

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Si l'on veut bien rêver, Mogherini devrait s'inspirer pour sa réponse de Philippe le Bel

  Citation

L’empereur germanique, Adolphe de Nassau, en profite pour revendiquer, au nom de l’Empire, Valenciennes et une suzeraineté sur la Flandre… Philippe le Bel refuse par ces mots célèbres et plein de mépris envers cette petitesse : « Trop allemand »

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Il faut préciser que le courrier diplomatique de l'époque supposait l'envoi d'un gros rouleau de parchemin, muni de moult sceaux. Il faut imaginer les diplomates de l'empereur ouvrant le courrier diplomatique, ce qui devait prendre plusieurs minutes, déroulant le parchemin... pour n'y trouver que ces deux mots.

En version actualisée, ça donnerait : "Troppo americano" puisque Mogherini est italienne.

Mais bien sûr, ce n'est qu'un rêve impossible. Si ma tante en avait, on l'appellerait mon oncle, et si l'UE en avait - de la souveraineté nationale - ce serait une nation - avec son président de la République élu au suffrage universel, son armée... et sa dissuasion nucléaire.

 

  Le 14/05/2019 à 20:57, hadriel a dit :

Ce genre d'exercice de style n'a aucun intérêt, la Pologne pourrait avoir 10 fois plus de divisions que la Russie, elle s'inclinera quand même dès que Moscou menacera d'employer l'arme nucléaire.

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Il est fort peu probable que la Russie s'intéresse à conquérir Lituanie ou Pologne. Cela dit, s'agissant de sécurité militaire, ce n'est pas la probabilité qui compte, mais la capacité à répondre à une menace potentielle au cas où elle se matérialiserait. Par le même principe, il est peu probable que Moscou, Pékin, Washington, Londres ou Tel Aviv envoient des bombes atomiques sur Paris. Mais nous avons bien de quoi les en dissuader, au cas où une telle menace se matérialiserait sur le plan politique, puisqu'ils en ont déjà la capacité physique. Donc la question de la protection de la Pologne contre une invasion russe a effectivement du sens, puisque Moscou en a la capacité physique.

Il n'existe guère que trois options pour cette protection

1. La meilleure des protections, au sens de la plus sûre, c'est une dissuasion nucléaire. Elle n'aurait pas besoin d'être très grande - la Corée du Nord n'a pas beaucoup de bombes A, et pourtant sa dissuasion produit son effet - mais elle devrait être sous le contrôle de Varsovie. Une telle protection ne semble pas être dans les projets polonais.

Les deux autres options sont soit la protection d'une grande puissance militaire, soit la solution finlandaise

2. Varsovie se place aujourd'hui sous la protection d'un pays disposant à la fois d'une dissuasion nucléaire et surtout d'une capacité de projeter en Pologne de puissantes forces conventionnelles. En échange, elle offre à ce pays loyauté et alignement politique, plus quelques petits bénéfices tels contrats d'armement voire financement d'une base militaire sur son territoire.

Pourrait-elle passer d'une protection américaine à une protection européenne ? Il faudrait qu'existe à l'ouest de l'Europe une puissance qui dispose et d'une dissuasion nucléaire et de puissantes forces conventionnelles, enfin qui soit disposée à offrir un tel "contrat" protection-contre-loyauté. Aucune puissance de ce genre n'existe aujourd'hui. Aucune ne peut exister à vue humaine :

- La France ne peut pas doubler sa population et son économie et tripler son armée pour récupérer la puissance relative qu'elle avait au 18ème siècle

- L'UE ne peut pas devenir un pays doté et d'une direction politique légitime pour envoyer des milliers de soldats à la mort ou ordonner le feu nucléaire, et du peuple uni qui est le soubassement indispensable d'une telle direction

Donc, si la protection américaine en vient un jour à faire défaut, la Pologne n'aura aucune option alternative de protection par une autre puissance. Bien évidemment, on le sait fort bien à Varsovie, et on fera tout pour que les Américains restent engagés le plus longtemps possible

3. La solution finlandaise est la combinaison d'une politique très amicale envers le pays qui pourrait potentiellement être menaçant et d'une défense indépendante très convaincante montrant à ce pays que s'il essayait de vous annexer, il ne pourrait y parvenir qu'en vous écrasant sous le nombre, ce qui lui coûterait très cher.

En somme, cette solution consiste à la fois à diminuer les raisons de vous attaquer - puisque vous êtes si amical - et à augmenter le coût d'une telle entreprise - puisque vous êtes si bien organisé et déterminé à faire payer très cher votre peau

 

Si la protection américaine venait un jour à faire défaut, la Pologne devrait :

- Soit construire une force nucléaire, qui pourrait être petite et de faible portée - quelques dizaines de missiles balistiques ou de croisière mobiles de portée 1 500 km avec des armes à fission exaltées suffiraient amplement - mais devrait être sous contrôle polonais exclusif

- Soit adopter la stratégie finlandaise avec une armée nombreuse basée sur le service national et entraînée à la défense territoriale, plus une politique étrangère très amicale envers la Russie

===> Une protection européenne ne serait pas une option

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  Le 14/05/2019 à 20:57, hadriel a dit :

Ce genre d'exercice de style n'a aucun intérêt, la Pologne pourrait avoir 10 fois plus de divisions que la Russie, elle s'inclinera quand même dès que Moscou menacera d'employer l'arme nucléaire.

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Sauf qu'il n'y a aucun contentieux actuellement entre la Pologne et la Russie. La Pologne souhaiterait peut-être (avec quel poids de forces politiques polonaises derrière ce type de projet ?) recréer son hégémonie sur la Lituanie, la Biélorussie et l'Ukraine, mais avant de parler des Russes, je ne suis pas sûr que les Lituaniens, biélorusses et ukrainiens soient tout à fait d'accord.

Quant à la Russie, elle n'a aucun projet d'expansion vers l'ouest au-delà de la ligne Curzon, depuis l'époque la fin du pacte de Varsovie, lorsque Soljenitsyne le disait :

  Le 07/07/2016 à 08:35, Wallaby a dit :

http://www.air-defense.net/forum/topic/6454-russie-et-dépendances/?do=findComment&comment=799831 (3 septembre 2014)

https://www.rferl.org/a/russia-putin-solzhenitsyn-1990-essay/26561244.html (1er septembre 2014)

Selon Miriam Elder, la réponse de Vladimir Poutine à une question sur le Kazakhstan le 29 août au lac Seliger reflèterait une proximité avec la position défendue par Alexandre Soljenitsyne dans l'essai « Reconstruire la Russie » publié en 1990 et envisageant une « Union russe » comprenant l'Ukraine, la Biélorussie et les parties ethniquement russes du Kazakhstan, fondée sur le souvenir de la lutte commune contre la polonisation et le catholicisme. En revanche Soljenitsyne voulait couper les liens avec les Pays Baltes, la Moldavie, l'Asie Centrale sauf la partie russe du Kazakhstan, et le Caucase du Sud, car le maintien de ces liens équivalait pour lui à constituer un empire que la Russie n'avait pas la force de contrôler et qui au contraire précipitait sa chute.

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Le projet russe actuel est ethnique. Ils ne veulent pas s'encombrer de non-russes comme les Polonais.

Donc comme il n'y a aucun contentieux entre la Pologne et la Russie, ni a fortiori entre l'Allemagne et la Russie, rien n'empêcherait l'Europe de coopérer avec la Russie pour "maintenir un environnement de sécurité maritime stable dans les eaux européennes et au-delà, de permettre la libre circulation du commerce maritime international et de protéger les infrastructures maritimes mondiales".

On se retrouve dans le scénario de la série norvégienne "Occupied", l'attaque russe de la Norvège en moins, c'est à dire une coopération normale, pacifique, avec peut-être quelques tensions ou malentendus, mais comme cela arrive tout le temps (on n'a pas toujours été d'accord avec les Américains non plus, alors que les Américains nous dominent bien plus que ce que la Russie serait capable de faire).

Modifié par Wallaby
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J'ai cherché et sauf erreur de ma part, je ne l'ai pas vu posté. Cet article est dingue:

Les États-Unis critiquent les initiatives de l’UE en faveur de l’industrie européenne de la défense

http://www.opex360.com/2019/05/15/les-etats-unis-critiquent-les-initiatives-de-lue-en-faveur-de-lindustrie-europeenne-de-la-defense/

Modifié par Phacochère
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https://correctiv.org/en/top-stories-en/2019/05/07/grand-theft-europe/

Un grand système de fraude permettant de se faire "rembourser" de la TVA sans l'avoir réellement payée, estimé faire perdre chaque année autour de 50 milliards d'euro aux pays européens (UE + AELE). L'argent récolté ainsi par les criminels sert, entre autre, à financer des groupes terroristes islamistes.

Evidemment, le seul véritable moyen d'y remédier serait l'intégration fiscale, et ça les Allemands n'en veulent pas entendre parler. Plutôt subventionner Daech que de paraître accepter de payer les dettes de la Grèce ou de l'Italie !

  Le 15/05/2019 à 14:59, Phacochère a dit :

J'ai cherché et sauf erreur de ma part, je ne l'ai pas vu posté. Cet article est dingue:

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@Neuron a posté un article du Figaro sur le sujet un peu plus haut.

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https://www.fr.de/wirtschaft/nachkriegsordnung-wird-erschuettert-10945980.html (19 décembre 2018)

Interview d'Hans Werner Sinn ( http://www.air-defense.net/forum/search/?&q=Hans Werner Sinn&author=Wallaby&search_and_or=and )

Vous avez dit un jour qu'après le Brexit, aucune pierre ne devait rester au-dessus d'une autre dans l'UE. Quelles conséquences l'UE doit-elle en tirer ?

La première conséquence du point de vue allemand est que la clause de la minorité de blocage au Conseil des ministres de l'UE, qui est ancrée dans le traité de Lisbonne, doit être modifiée. Cette clause stipule que les décisions peuvent être bloquées par un groupe de pays qui représentent 35 % de la population. Jusqu'à présent, les pays du Nord - permettez-moi de les nommer : le Royaume-Uni, la Hollande, l'Allemagne, l'Autriche et les pays nordiques - comptaient 39% de la population, tandis que les pays méditerranéens en comptaient 38%. Les deux groupes avaient donc une minorité de blocage, c'était un rapport de force. Rien ne pouvait être accompli que l'un des groupes n'aimait pas.

Cet "équilibre intérieur" serait donc perdu ?

C'est comme ça que ça se passe. Sans la Grande-Bretagne, le groupe du nord glisse à 30 pour cent et perd la minorité de blocage, tandis que le groupe des États méditerranéens monte à 43 pour cent. Il faut changer cela de toute urgence. Parce que l'Allemagne ne peut accepter que la clause de la minorité de blocage au Conseil des ministres de l'UE reste telle quelle.

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C'est aussi ce que je me dis, l'Allemagne a tout son "Hinterland" de l'Est arrivera bien à se débrouiller avec. Tandis que les pays méditerranéens sont loin de former un monolithe ; c'est assez rare que l'Espagne, la France, et l'Italie soient d'accord sur un sujet.

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L'eau dans le gaz pointe ...

  Citation

Angela Merkel reconnaît avoir une « relation conflictuelle » avec Emmanuel Macron, dans une interview publiée mercredi par le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung. « Bien sûr, nous avons une relation conflictuelle », déclare la chancelière allemande, ajoutant qu'« il y a des différences de mentalité » entre elle et le président français et des « différences dans [leur] compréhension des rôles ».

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https://www.lepoint.fr/politique/angela-merkel-reconnait-avoir-une-relation-conflictuelle-avec-macron-15-05-2019-2312884_20.php

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pas très bon, il semble qu'ils soient d'accord sur rien et le peu qu'il y a, aura du mal a survivre avec son successeur. les intérêts sont trop divergents

et c'est pas la France qui est en position de négocier.

Angela Merkel reconnaît avoir une «relation conflictuelle» avec Emmanuel Macron

http://www.lefigaro.fr/international/angela-merkel-reconnait-avoir-une-relation-conflictuelle-avec-emmanuel-macron-20190515

Modifié par zx
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  Le 15/05/2019 à 17:22, zx a dit :

pas très bon, il semble qu'ils soient d'accord sur rien et le peu qu'il y a, aura du mal a survivre avec son successeur. les intérêts sont trop divergents. et c'est pas la France qui est en position de négocier. Angela Merkel reconnaît avoir une «relation conflictuelle» avec Emmanuel Macron.

http://www.lefigaro.fr/international/angela-merkel-reconnait-avoir-une-relation-conflictuelle-avec-emmanuel-macron-20190515

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Je ne le lis pas comme ça : avant nous avions des eurobéats et des fans de la méthode miraculeuse allemande à la tête de notre pays.

Ce n'est plus le cas : la France n'a pas à tout donner à l'Allemagne sous prétexte qu'ils vont infléchir leur positions sur d'autres sujets, notre pays qui a beaucoup donner dans les autres secteurs que l'automobile ne va plus diluer et vendre ses bijoux dans des gros regroupements européens qui ne savent rien faire sans elle, et qui au final passe en plus sous controle allemand à plus ou moins long terme. 

Merkel et son successeur ne récolte que les fruits de leurs intransigeances... 

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  Le 16/05/2019 à 10:27, zx a dit :

eh oui, quand on est, Vergiss mich nicht, ich bin die Bank, verstanden, mein Kleiner, jaja, so ist es nun mal. , avec ca difficile de manoeuvrer

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/interview-de-merkel-la-france-doit-jouer-la-carte-de-l-allemagne-dit-woerth-20190516

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Oui mais au moment ou l'Allemagne se bat contre trump pour avoir son gazoduc la France peut se permettre de hausser le ton notamment sur l'europe de la défense qui est au cœur des échanges d'amabilité de ses derniers jours avec les US et aussi avec nos "amis" européens. Je remarque quand même la position singulière de l'Espagne qui semble rejoindre nos positions.

Modifié par herciv
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  Le 16/05/2019 à 10:41, zx a dit :

la France n'a pas beaucoup d'alliés parmi les grands pays européens. et elle est en situation de faiblesse 

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Tu peux aussi voir le côté positif de la chose. La France présente une alternative à Trump et pour ces grands pays politiques ayant eu ou ayant encore des velléités de grandeur c'est éventuellement jouable. Mais celui qui aura le lead politique c'est Macron en ayant tenu cette position seul. Mais j'insiste pourquoi l'Espagne semble se ranger derrière la France ?

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