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[Union Européenne] nos projets, son futur


Messages recommandés

le truc qui interpelle ,s'est le nombre de journaux qui sont contre Camerone ...

qu'en pense le Brits de la rue ?

la défense qui était quand même un important employeur se réduit et s'est des jobs en moins ,en sachant qu'avec les PB au niveau travail dans le civil ,elle recruté pas mal ...

donc que sa casé du monde pour un laps de temps avant un retour dans la vie civil ...

tout le monde n'est pas treader à la city comme il le dise dans la presse ...

le PB ,s'est qu'on ne peu plus brillé tout seul ,s'est fini l'empire Britannique ...

les USA en ont rien à faire des Brits du point de vue stratégique ... la guerre froide est fini ,et ils ont des alliés plus proche des frontière de la Russie ...

faut voir comment sa s'est dégradé entre Londres et Washington (rien que pour l'Afghanistan ,un général Brits a donné son avis sur les relation US/GB )...

d'ailleurs ,comment feront ils pour jouer les gros bras au niveau internationale  pour leurs intérêts ,z'auront du mal a envoyer du monde face à des pays qui sont devenu bien plus puissant que se qu'ils ont été par le passé ...

les gens de la rue ,sont pas trop pro USA ,ils ont pas de boulot depuis un max de temps ,ont leur réduit pas mal de chose ...

pour avoir une place et encore brillé dans le monde ,reste plus que l'UE (même si s'est pas parfait ) ...

tout seul il est vrai que la joué île Caiman ,sa va être beaucoup plus difficile ... 16 456 habitants, majoritairement des femmes (63%) en 2005 ,et la GB 58 000 000 hab. (2006) ...

tient une petite question ,si sa part en mode je reste dans mon coin ,sa va peut-être poussé encore plus à voir l'écosse à vouloir son indépendance et choisir une route avec l'UE si les Anglais choississent de sortir de l'UE .

perso je voyais l'Europe différemment ,mais vu le bordel avec cette crise on n'a plus trop le choix que d'avancer ...

l'Europe ,sa me fait pensé à un gars du génie qui avance avec son détecteur de mine en Afghanistan ,d'une manière très lente et s'attendant toujours à une surprise ...

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Avoir negligé une donnée si importante cela fait dire a certains que l'euro a une visée purement politique.

En gros, provoquer des crises qui vont forcer les membres à abandonner plus de souveraineté pour compléter le "puzzle": union budgetaire, fiscale etc...

Ben voyons, il y a un complot secret des partis politiques majoritaires de 26 pays afin de provoquer une crise économique ruinant leur propre pays dans le seul but de réaliser une union européenne économiquement faible ?  par pure masochisme ?

Tu a pris tes pilules Montgros ?

@Gibbs, l'écosse veut son indépendance de toute manière  :lol:   dieu seul sait pour quoi en faire !

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@Gibbs, l'écosse veut son indépendance de toute manière  :lol:   dieu seul sait pour quoi en faire !

sa je le sait  ;)

mais elle n'y est pas encore .

pour quoi faire ?

ben peut-être marre de se faire plumer tout simplement non ?

ils ont du bien réfléchir du pourquoi de cette indépendance ,et on peut-être de quoi s'assurer l'avenir en choisissant une voie avec l'UE .

on accepte bien des pays de l'est qui représente peanuts en terme de poids ,pourquoi les écossais seraient-ils plus mauvais ?

http://www.lecourant.info/2011/05/14/ecosse-referendum-independance/

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Si, ce n'est juste pas la SEULE faute de l'euro. Mais un Etat qui a des politiques budgétaires, économiques et monétaires disjointes a un problème, puisqu'il perd un outil de régulation en même temps que la monnaie n'est plus un révélateur direct et une contrainte éventuelle, ce qu'elle est censée être. Ca c'est, ou c'était, la grande connerie de l'euro. Un euro compromis entre l'économie allemande et l'économie française avantage l'économie allemande en dopant artificiellement ses exportations sans qu'il y ait correctif ultérieur (renchériment de la dite monnaie) et pénalise le commerce extérieur français sans non plus qu'il y ait rééquilibrage. Simple arithmétique, et ça fait une décennie à ce régime.

Ceci dit, une économiste le rappelait dans un débat: il n'y a aucune raison de voir le coût de la dette française renchérir, sinon la fixation sur un mauvais ratio (dette/PIB) au lieu de le fonder sur un autre (dette/capacité de paiement) qui montrerait que la France n'a aucun problème de capacité de remboursement. Mais le mauvais ratio de référence fait lui monter le coût de cette dette (cad la difficulté à trouver prêteur) de façon artificielle mais avec des conséquences terriblement réelles.

La capacité de remboursement est impactée par les dépenses que tu fais par ailleurs non ? Ce qui veut dire que le train de vie de l'Etat et de ses services publics a un impact sur la capacité de remboursement. Même sur cette base là est-ce que ça n'appelle pas aussi à trancher dans le service public ?

Enfin le PIB n'est-il pas un indicateur parmi d'autres d'une certaine masse imposable dans l'absolu et donc de capacité de financement de l'Etat dont découle sa capacité de remboursement ?

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L'Ecosse accuse Londres de jouer solo.

Alex Salmond, Premier ministre écossais, a quant-à lui accusé, ce lundi, le Premier ministre britannique conservateur David Cameron de ruiner les intérêts écossais en s'étant s'opposé à un changement de traité à Bruxelles. 

Il a accusé Cameron "d'avoir commis une bourde en changeant les relations du Royaume-uni avec l'Union européenne, sans en avoir référé à ses collègues libéraux-démocrates, sans parler des gouvernements locaux d'Edimbourg, de Cardiff (pour le pays de Galles) et de Belfast (pour l'Ulster)". 

Nick Clegg, vice premier-ministre libéral-démocrate, a passé le week-end à contacter les dirigeants européens dans l'optique d'un réengagement de Londres avec l'Europe. L'ancien dirigeant Paddy Ashdown, ancien président des Lib Dems, avait critiqué le veto britannique qu'il considère comme le "basculement de 38 ans de politique étrangère", précise le quotidien The Independent. De son côté, Simon Hughes, député Libéral Democrate, avertit les europhobes: "Ils n'auront pas la possibilité de creuser davantage l'écart avec l'Union européenne; c'est hors de question". 

Et les fissures du navire britannique apparaissent même dans le camp conservateur. Michael Heseltine, une des principales figures des Tories, a jugé que les intérêts de la City n'étaient absolument pas protégés par la position du Royaume-Uni, qui réalise 40% de son commerce avec la zone euro. "Les Européens peuvent théoriquement créer des règles pour la zone euro, qui rendraient plus difficile l'activité des services financiers en-dehors", a-t-il prévenu.  L'ancien ministre des affaires étrangères David Miliband qualifie, lui, cette décision d'"insensée", selon le quotidien The Telegraph. "Il s'agit du premier veto qui ne bloque rien" poursuit David Miliband qui "dénonce un veto fantôme et une menace fantôme".

(AFP)

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La Grande Bretagne peut-elle saboter l'accord du 9 décembre ?

A Londres a commencé une délicate partie d’explications pour le Premier ministre, David Cameron, qui va devoir démontrer qu’il a tout fait pour défendre les intérêts britanniques – le seul message qui trouve grâce outre-Manche – et qu’il n’a pas au contraire fait perdre de l’influence au drapeau de sa gracieuse majesté.

L’accord approuvé au Conseil le 9 décembre recèle de nombreuses imperfections. Et les juristes vont pouvoir désormais « s’arracher les cheveux ».

La menace d’une saisine par le Royaume-Uni de la Cour de justice pour faire annuler cet accord n’est pas exclue. Le premier ministre David Cameron l’a même évoqué publiquement devant son Parlement, lundi (12 décembre).

Les Britanniques sont dotés de bons juristes ; ils l’ont montré par le passé notamment en faisant annuler plusieurs programmes sociaux européens. Une potentielle annulation d’une partie de l’accord n’est pas exclue. Ce qui mettrait par terre une partie de la construction du dernier sommet.

Les Britanniques qui avaient toujours réussi à glisser leur chaussure dans la porte de l’Europe, en bloquant certaines évolutions ou en accélérant certaines au contraire, semblent avoir perdu de leur magic touch. Il semble que le gouvernement de David Cameron ne comprenne plus vraiment l’évolution du continent. Evolution rapide, il est vrai. En quelques années, les esprits ont changé. Dans le début des années 2000 où les Britanniques arrivaient à entraîner derrière eux nombre de pays dans un esprit de faible intégration et d’élargissement continu ou  dans des opérations militaires délicates (l’Irak) semble révolu.

Aujourd’hui, il y a eu une nette évolution. D’abord l’élargissement à l’Est n’a pas amené de troupes supplémentaires au Royaume-Uni, comme l’avaient craint ou espéré certains. Au contraire. Peu à peu, chacun des pays concernés a retrouvé sa place continentale. La renégociation du cadre financier pour la période suivante (2014-2020) a montré aux nouveaux entrants que leur intérêt n’était pas toujours du côté britannique. La récente sortie de R. Sikorski, le ministre polonais des affaires étrangères, est à cet égard significative. Elle consiste en une vibrante attaque de la position britannique. Pourtant l’homme n’est pas a priori hostile. Il a élevé au biberon londonien et est plutôt un « libéral » dans l’âme.

Cet isolement britannique n’est pas le premier non plus. Au mois de juillet, les Britanniques s’étaient ainsi retrouvés tout seuls, ou presque (avec la seule réserve lettonne), sur la création d’un QG européen de conduite des opérations militaires et avaient dû opposé un veto en bonne et due forme.

(Bruxelles2.eu)

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le truc qui interpelle ,s'est le nombre de journaux qui sont contre Camerone ...

qu'en pense le Brits de la rue ?

Voilà qui répond à ta question.

Une majorité de Britanniques (57%) soutiennent la décision du Premier ministre

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/afp_00407582-gb-ue-une-majorite-de-britanniques-soutiennent-le-veto-de-cameron-sondage-261752.php

Les anglais sont toujours anti UE et le seront toujours, et ça quoi qu'il arrive. :P

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Alors qu'ils partent !  mais qu'ils arrêtent de bloquer les 26 autres pays et de réclamer en permanence des aides, subventions et autres avantages sans rien vouloir payer en retour. La solidarité ça marche pas que dans un seul sens.

Il est étonnant d'ailleurs que 43% des anglais souhaitent rester dans l'UE vu le matraquage des journaux populistes anglais responsables de près de 100%  des fausses rumeurs et hoax sur l'UE et qui ne publient jamais aucun démentis.

Les britanniques vivent depuis trop longtemps aux crochets de l'europe, il est temps qu'on s'en sépare et qu'on les laisse mendier du coté américain, on va bien voir si ces derniers sont prêt à payer.

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La solidarité ça marche pas que dans un seul sens.

Tu vois que tu commences à comprendre la politique ;): chacun joue son intérêt national/régional/personnel, et rien d'autre: tous les autres font pareil (France comprise) et le début possible de sortie de crise via le présent changement (rien d'autre que Maastricht appliqué un peu sérieusement) n'arrive que maintenant parce que Mme Merkel.... Faisait exactement ce que les Anglais font, soit jouer les intérêts nationaux tels qu'un décideur les perçoit à un instant T. Personne ne fait ça "pour faire avancer l'Europe".

Les britanniques vivent depuis trop longtemps aux crochets de l'europe

Pas un petit peu exagéré comme formule :rolleyes: ;)? Les Anglais vivent d'abord aux crochets de la City, et vivaient depuis un bail aux crochets de leur pétrole de la Mer du Nord.... Qui lui rapporte de moins en moins depuis une dizaine d'années au point de les laisser maintenant sérieusement dans la merde par son absence :-[ (mais il a laissé de mauvaises habitudes et une ardoise).

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Miam miam...

:rolleyes:, drôle de technique, pas du tout fait pour moi  :lol:

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Nigel Farage, chef de file des europhobes britanniques et partisan d'une sortie de la Grande-Bretagne de l'UE s'est en revanche félicité du clash survenu lors du sommet des dirigeants européen.

"Le Royaume-Uni va pouvoir quitter l'UE et regagner son influence dans le monde", s'est-il félicité.

Ceux qui glosent inlassablement sur le chauvinisme français devraient se pencher sur le cas anglais. Je ne crois pas qu'un politicien français oserait actuellement de pareilles conneries nationalistes.

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Ceux qui glosent inlassablement sur le chauvinisme français devraient se pencher sur le cas anglais. Je ne crois pas qu'un politicien français oserait actuellement de pareilles conneries nationalistes.

Je pense que si il y'en a qui osent. Il s'agit des souverainistes, comme N.D.A ou Le Pen bien sur, qui affirment que l'U.E ne remplace pas les vielles puissances nationales par une puissance encore plus grande mais elle organise leur impuissance au contraire. Leurs vielles prérogatives disparues étant remplacées par...rien. (ex : les frontières, la politique monétaire etc...)

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Les souverainistes cultivent un fantasme, une illusion. Le rève du retour d'une gloire passée, d'un empire perdu, d'un "splendide isolement". C'est pas une vision d'avenir, c'est une illusion d'un passé revisité et idéalisé.

L'avenir c'est l'union, le proverbe "l'union fait la force" n'existe pas pour rien. On partage les risques, les frais et les bénéfices de cette union.

"En choisissant de défendre les intérêts nationaux britanniques, le Premier ministre David Cameron ose tourner le dos à l'Europe de demain pour protéger la City d'hier. Y a-t-il quelque chose de pourri dans le royaume de Shakespeare? Le voici de nouveau l'homme malade de l'Europe: près de 4 millions de ses enfants vivent au-dessous du seuil de pauvreté. Un million de ses jeunes (16-24 ans) sont au chômage. Ses ménages sont aussi surendettés que leurs homologues américains. Il détient le record mondial de déficits publics (rapportés au PIB), derrière la Grèce en ruines et l'Egypte en révolution. Sa croissance est quasi nulle, son inflation, à 5%.

Pourtant, les Britanniques gardent leur sens de l'humour. Celui du chancelier de l'Echiquier donnant des leçons de finances publiques (sic) à ses confrères européens. Celui des agences de notation tirant à vue depuis leurs desks londoniens sur les dettes des Etats européens, multipliant des oukases truffés d'erreurs, et des fuites organisées dignes de la presse Murdoch. Celui, hélas, du Premier ministre David Cameron.

Il fallait oser, d'un veto, tourner le dos à l'Europe de demain pour protéger la City d'hier: ses bonus, ses dark pools et ses banques sous perfusion. Sacrifier l'intérêt de 500 millions d'Européens pour préserver ceux de quelques happy few, rarement britanniques: cette bad joke est-elle digne d'un héritier de Churchill? Cameron voudrait-il donner raison à de Gaulle, qui a toujours refusé l'entrée de la Grande-Bretagne dans l'Union européenne?

Je ne désespère pas de la Grande-Bretagne. Sa crise économique et sociale est telle que cette comédie ne devrait pas durer. Pour connaître et aimer ce pays, je le sais capable de rebond, de résistance et de courage, dont nous pourrions d'ailleurs nous inspirer. Nous aurons besoin de la Grande-Bretagne demain. En plus de son pragmatisme, sa culture du "think different", sa langue qui permet au monde de parler le même langage, ses moyens militaires seront nécessaires pour battre, demain, nos adversaires communs. 

Le mouvement de repli initié par David Cameron aura des conséquences. Il faudra veiller à ce qu'il n'encourage pas une inquiétante anglophobie renaissante en Europe, ni la tentation dangereuse du protectionnisme. Mais que faire désormais des 1146 fonctionnaires britanniques de la Commission européenne? Comment pourraient-ils continuer de participer à des travaux et réunions sur l'avenir de l'Europe, qui ne les concerne plus depuis que leur Premier ministre en a décidé ainsi? On comptera sur un exemple venu d'en haut: la démission de lady Ashton, vice-présidente de la Commission, chef de la diplomatie européenne, dont on ne sous-estimera pas les talents. Et la contribution significative à l'inflation des budgets de fonctionnement de l'UE. 

En attendant que Westminster cesse de jouer la City contre les intérêts du peuple britannique et de l'Europe, il appartient aux Européens de reprendre en main leur destin et leur avenir. La crise actuelle est une occasion historique à saisir pour nous réinventer. Le moment est venu de mettre le Parlement de Strasbourg, seule institution représentative des peuples européens, au centre du jeu: en le transformant en une assemblée constituante. C'est à Strasbourg que naîtront les Etats-Unis d'Europe. Pas à la City." 

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/crise-de-l-euro-la-grande-bretagne-insulaire-et-isolee_1061049.html#xtor=AL-447

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L'Ecosse accuse Londres de jouer solo.

Alex Salmond, Premier ministre écossais, a quant-à lui accusé, ce lundi, le Premier ministre britannique conservateur David Cameron de ruiner les intérêts écossais en s'étant s'opposé à un changement de traité à Bruxelles. 

Il a accusé Cameron "d'avoir commis une bourde en changeant les relations du Royaume-uni avec l'Union européenne, sans en avoir référé à ses collègues libéraux-démocrates, sans parler des gouvernements locaux d'Edimbourg, de Cardiff (pour le pays de Galles) et de Belfast (pour l'Ulster)". 

je me disais bien ...

bientôt on va avoir la question du gouvernement écossais :"étant donné que Londres ne nous capte même pas pour des questions touchant l'avenir de la Grande-Bretagne ,pourquoi resté au sein de la Grande-Bretagne ?"

enfin de compte ,ma question sur l'indépendance de l'écosse et peut-être plus d'actualité qu'on le pense .

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cosse

Enfin, lors des dernières élections du 5 mai 2011, le SNP obtient la majorité absolue des sièges (69 sur 129). Le Premier ministre, Alex Salmond, a d'ores et déjà promis l'organisation d'un référendum sur l'indépendance avant la fin de la nouvelle législature, probablement au cours de l'année 2014 à l'issue des jeux du Commonwealth qui auront lieu en Ecosse, alors que les intentions de vote en faveur de l'indépendance ne cessent d'augmenter.

il me semble avoir lu dans Raids que le 45°commando des royal-Marines qui était basé en écosse serait  redéployé dans une autre région ailleurs qu'en écosse ,apparemment une manière de "punir" les écossais par rapport à leurs envie d'indépendance ...

Voilà qui répond à ta question.

Une majorité de Britanniques (57%) soutiennent la décision du Premier ministre

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/afp_00407582-gb-ue-une-majorite-de-britanniques-soutiennent-le-veto-de-cameron-sondage-261752.php

Les anglais sont toujours anti UE et le seront toujours, et ça quoi qu'il arrive. :P

se sondage ,il a été fait au quatre coins du royaume unis ?

ou ils ont juste interrogé en angleterre ,donc que des anglais  ?

je demande car si n'est pas pris en compte le reste de la grande-bretagne avec l' écosse ,pays de galle ,Ulster ,on peu revoir se sondage ...

bon d'un autres côté ,si il y a 43 % de pro européen juste avec se sondage fait qu'avec des anglais ,s'est quand même pas rien (comme dit alexandre VBCI ,s'est miraculeux quand on voit la pression de l'anti Europe avec la presse anglaise ) ,et sans compté sur l'avis des écossais ,gallois et irlandais ...

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Et pourquoi pas délocaliser l'Assemblée Nationale au Bundestag ?

Réaction de Nicolas Dupont-Aignan à l'annonce du budget rectificatif par François Fillon

Au-delà de la polémique sur le énième mensonge choquant car décrédibilisant toujours plus la parole politique, l'annonce de François Fillon est emblématique de sa soumission à l'Union Européenne et à la politique de l'Allemagne.

En effet, après avoir débattu pendant plusieurs semaines un budget à l'Assemblée Nationale, les députés se voient désormais sommés de le modifier sur injonction du Bundestag. Si l'on peut comprendre la position allemande qui défend les intérêts du peuple allemand, comment accepter une telle reddition du gouvernement français ?

 

C'est donc un nouveau plan d'austérité venant ajouter la récession à la dette qui nous attend début 2012, alors même qu'on ne touche pas dans le même temps aux véritables gaspillages, comme par exemple les fonds structurels européens qui coûtent chaque année plus de 10 milliards au contribuable français sans pour autant résoudre la crise !

L'annonce de François Fillon est donc hypocrite et contre-productive. Une délocalisation de l'Assemblée Nationale à Berlin aura au moins le mérite de la clarté !

Source:

http://www.debout-la-republique.fr/article/et-pourquoi-pas-delocaliser-l-assemblee-nationale-au-bundestag

Zemmour & Naulleau invitent Dupont-Aignan

http://www.dailymotion.com/video/xmlsdb_zemmour-naulleau-invitent-dupont-aignan_news?start=0#from=embed

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Parce que les dettes, elles, n'ont pas disparues.

Si on perd le AAA on aura encore moins la capacité de s'endetter, du coup le plan d'austérité destiné à réduire notre endettement risque d'être encore insuffisant.

Si on ne s'endettait pas, la note de la france sur notre capacité d'endettement  n'aurait aucune importance.

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L’horreur européenne, c’est aussi au Portugal

Pendant que la plus grande confusion règne en Grèce avec d’innombrables changements de scénarios, le Portugal souffre. The Economist a consacré un papier sur sa situation, guère reluisante depuis que le pays a décidé de se conformer aux commandements européens.

La grande régression sociale à Lisbonne

En effet, la situation du pays semble prendre la même direction que celle de la Grèce. Alors que Lisbonne avait réussi à sortir de la récession en 2010 avec une croissance d’un peu plus de 1%, le plan d’accompagnement du plan d’aide de 78 milliards d’euros aux créanciers du pays se paie cher d’un point de vue croissance, comme à Athènes. Le pays est retombé en récession puisque le PIB devrait reculer de 2% cette année et encore 3% l’année prochaine.

The Economist cite un syndicaliste qui avance une baisse cumulée de 27% du traitement des fonctionnaires, du fait de la baisse des traitements de base et de la suppression des bonus de Noël. Les Portugais semblent devoir affronter la même paupérisation accélérée que la Grèce. Et le problème est que cette austérité sauvage met en danger la réalisation du plan lui même car la baisse du PIB augmente le poids relatif de la dette et complique sérieusement l’équilibre des comptes publics.

L’impasse européenne

Quand on pense que les opposants à la sortie de la monnaie unique affirment péremptoirement que le retour aux monnaies nationales provoquerait une baisse du pouvoir d’achat ! Mais ce sont leurs cocktails indigestes qui provoquent une baisse sans précédent de la richesse des peuples européens. Bien sûr, une dévaluation renchérirait le prix des produits importés. Mais ici, leurs plans imbéciles réduisent l’ensemble du pouvoir d’achat dans des proportions beaucoup plus importante.

Bien sûr, les pays du Sud de l’Europe ne se révoltent pas encore contre cette Europe qui les torture car elle les a longtemps aidés. Mais, ainsi, elle montre un visage de plus en plus monstrueux et nul doute que les peuples finiront par comprendre qu’il y a une autre voie possible. Georges Papandréou semblait très justement vouloir demander à son peuple de s’exprimer sur le sujet mais une immense incertitude règne aujourd’hui sur ce qui va se passer en Grèce.

Mais qu’ont-ils fait à l’Europe ? Au départ, c’était une belle idée, généreuse, ouverte. Aujourd’hui, c’est un monstre sans la moindre humanité, prêt à appauvrir les peuples pour défendre une monnaie qui devait pourtant permettre davantage de prospérité. La monnaie est un moyen, pas une fin.

Source:

http://www.gaullisme.fr/2011/11/06/horreur-europenne-portugal/

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Il y a une chose qui m'interpelle dans les plans d'austérité actuels, c'est le manque de vision à moyen et long terme qu'ils amènent. Il semble que vos gouvernements successifs aient dans l'idée que rembourser la dette à tout prix est la solution pour régler le problème. Or, cette vision à court terme est une sorte de fuite en avant éperdue qui repousse le problème sans le régler, mais qui n'empêche pas celui-ci de s'amplifier au fur et à mesure du temps.

La solution vous paraîtra simpliste mais il y a pourtant des solutions alternatives pour régler définitivement ce grave problème. Et l'une d'elle à ma faveur par sa relative facilité d'application et son impact atténué sur l'économie française : Assurer le remboursement des dettes à hauteur de 75 % et s'engager fermement à les rembourser. Faire défaut de 25 %. Utiliser une grande partie des économies réalisées par les mesures d'assainissement des finances publiques et diverses réformes autres (suppression des niches fiscales inutiles, réforme de la retraire plus ambitieuse encore ...) pour investir dans l'économie de manière judicieuse, mais également dans le système éducatif et dans les infrastructures publique. Il faut aussi absolument réorganiser votre territoire et simplifier vos administrations, favoriser une politique de l'emploi dans le secteur privé, désengorger les institutions publiques (non-remplacement des postes mais politique de formation accrue pour augmenter les compétences et la compétitivité des salariés du public), réorganiser le système éducatif afin d'accompagner au mieux les jeunes dans leur apprentissage scolaire et mieux les conseiller, organiser une politique d'aménagement du territoire afin de stimuler la croissance de pôles urbains dynamiques qui attireront les capitaux humains, matériels et financiers, améliorer le soutien à la recherche pour favoriser la créativité, ...

Il y a vraiment des solutions qui permettraient à la France de s'en sortir sans trop de dégâts sur le moyen et long terme. Seulement, personne chez vos politiciens ne semble avoir le courage d'assumer une violente crise sur du très court terme (tout au plus une décennie) pour permettre aux générations futures d'aller mieux. Et ce que j'ai dit pour la France vaut aussi pour l'Europe. J'appelle de mes voeux une Europe Fédérale qui réaliserait l'ensemble des propositions que j'ai faites au-dessus. Malheureusement, il y a encore trop de personne qui préfèrent regarder dans le passé et soupirer plutôt que d'envisager et de bâtir le futur.

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STRASBOURG (Reuters) - L'Europe est malade, a déclaré mercredi le Premier ministre polonais Donald Tusk, qui a conclu sa présidence semestrielle de l'Union en pointant les responsabilités des uns et des autres dans cette situation délétère.

Pour ce libéral europhile, dont le gouvernement a été reconduit le 19 novembre dernier par le parlement polonais, la crise économique actuelle est "également une crise du système et une crise politique".

"Nous sommes au bord du précipice", a-t-il affirmé devant le Parlement européen à Strasbourg. "Trop de monde en Europe veut nous convaincre que la solution pour sortir de la crise, c'est de s'éloigner de tout ce qui est communautaire. C'est là le symptôme d'une maladie."

Dénonçant ceux qui choisissent "la voie des égoïsmes nationaux et étatiques", Donald Tusk n'a épargné personne dans ses critiques, en commençant par le Royaume-Uni, qui a refusé de s'associer au projet de nouveau traité mis sur la table lors du sommet du 9 décembre à Bruxelles.

"Lorsqu'on entend des commentaires pleins de satisfaction indiquant que le Royaume-Uni est de nouveau une île ou que la Manche est désormais plus large, je ne comprends pas", a-t-il dit.

Le président sortant a également brocardé les remarques entendues sur "le fait qu'une capitale l'a emporté par rapport à une autre", une pique à la France et à l'Allemagne dont l'entente affichée pour proposer des solutions de sortie de crise n'a pas masqué les rivalités.

"Il nous faut un véritable leadership européen", a-t-il affirmé alors que la présidence polonaise, quelque peu effacée par le duo constitué par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy s'agissant des dossiers de la zone euro, a été saluée par la plupart des groupes politiques.

"C'est une des meilleures de ces dernières années", a estimé le président du groupe Socialiste et démocrate, l'Allemand Martin Schulz.

A la tête d'un pays dont les performances économiques sont parmi les meilleures en Europe et qui aspire à rejoindre la zone euro, Donald Tusk a invité les pays du sud à "plus de discipline" et tous les Etats membres à un examen de conscience.

"Que chacun se demande quand il a commencé à violer les dispositions du traité de Maastricht, que chacun se demande s'il est prêt à respecter les dispositions (du traité) de Schengen", a-t-il dit sous les applaudissements.

Nombre record de chômeurs en Grande-Bretagne et risque de récession :

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/12/14/nombre-record-de-chomeurs-en-grande-bretagne_1618333_3214.html#xtor=AL-32280515

Scénarios pour sortir de l'euro : http://www.atlantico.fr/pepites/franc-pesetas-retour-sortie-euro-drachme-escudo-243742.html

Portugal et Grèce : récession en 2012 et retour à la croissance en 2013

http://www.boursier.com/actualites/economie/le-portugal-et-la-grece-s-enfoncent-dans-la-recession-12183.html?sitemap

La fin de l’euro serait une option coûteuse pour tous :

http://www.lematin.ch/actu/economie/la-fin-de-l-euro-serait-une-option-couteuse-pour-tous-2011-12-11

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Jean-Pierre Chevènement: "Je ne suis pas anti-européen, mais euroréaliste"

Opposé à toute forme de constitution européenne, Jean-Pierre Chevènement est souvent qualifié d'eurosceptique. "Je ne suis pas anti-européen, je suis un anti-fédéraliste", explique pourtant le sénateur du Territoire de Belfort. "Je ne pense pas que l'Europe existe en tant que nation". Il rappelle qu'il existe "30 peuples européens" et se dit "partisan d'une Europe à géométrie variable". L'ancien ministre de l'Intérieur de Lionel Jospin se dit également opposé à "une Europe qui se ferait au mépris de la volonté des peuples". L'homme, qui se considère comme un "euro-réaliste", considère que "la volonté de la France compte" dans l'UE.

Source:

http://www.linternaute.com/actualite/politique/chat/jean-pierre-chevenement-daniel-cohn-bendit-est-un-anarcho-mercantiliste/je-ne-suis-pas-anti-europeen-mais-eurorealiste.shtml

Nouveau record pour le chômage, au plus haut depuis onze ans!

http://www.france24.com/fr/20111128-nouveau-record-emploi-chomage-france-crise-austerite-economie-onze-ans

Le chômage atteint un niveau record dans la zone euro

http://www.lepoint.fr/economie/le-chomage-atteint-un-niveau-record-dans-la-zone-euro-30-11-2011-1402260_28.php

Les bienfaits de la chute de l’euro

http://www.presseurop.eu/fr/content/blog/1236881-les-bienfaits-de-la-chute-de-l-euro

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C'est le pire moment pour appliquer l'austerité budgetaire. Et on veut le faire quand même... :-[

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Les souverainistes cultivent un fantasme, une illusion. Le rève du retour d'une gloire passée, d'un empire perdu, d'un "splendide isolement". C'est pas une vision d'avenir, c'est une illusion d'un passé revisité et idéalisé.

L'avenir c'est l'union, le proverbe "l'union fait la force" n'existe pas pour rien. On partage les risques, les frais et les bénéfices de cette union.

C'est très juste que tout cela. Comme on le voit, l'union fait la force des frais que l'on paye maintenant. L'avenir sera radieux grâce à l'Europe nous dit-on. C'est pratique, plus on avance, plus l'avenir devient demain.

C'est amusant, je viens de trouver ceci:

http://plusconscient.net/geopolitique-a-mondialisation/51-francais/261-francois-asselineau-les-etats-unis-controlent-ils-leurope-

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