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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha

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certes certes

il est vrai que le Luxembourg a pour lui d'etre à l'interface de 3 pays

mais quand on veut trouver on peut ......même si les Allemads sont un peu plus pauvres que nous en la matière (virtuellement certes parceque rien ne les empechent d'aller se coller à St Bart, aux iles anglo normandes ou caimans si la les chantent ....)

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:lol: :lol:

Andorre/Monaco/St Bart/la Polynesie.... pour l'un

Luxembourg/Lichtenstein pour l'autre

non c'est sur ni l'un ni l'autres n'ont de paradis fiscaux

Nullement comparable à HK, Macao, et aux états américains concernés.

Les territoires étant indépendants je ne vois pas ce qu'ils rapportent soit disant à la France ou à l'Allemagne ?

( enfin la France en a quand même quelques un je le reconnais, mais bon ça vaut pas grand chose, même pas de secret bancaire, c'est quand même très light ... )

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Nullement comparable à HK, Macao, et aux états américains concernés.

Les territoires étant indépendants je ne vois pas ce qu'ils rapportent soit disant à la France ou à l'Allemagne ?

C'est pas un probleme de rapporter a la France ... c'est les facilité que cela permet aux francais et entreprises francaise entre autres et internationale pour s'échanger des sous discretement.

Ca évite de faire fuir les capitaux ailleurs en permettant ce qui est permis ailleurs et donc en faisant du business chez nous plutot que chez eux - ou les regles pourraient changer -  ... tout en faisant comme si c'était pas vraiment chez nous.

Monaco a pas interet a refourguer les données banquaire a n'importe qui par exemple sinon on leur coupe l'eau :lol:

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Après les "reprisettes" ; après les "mesurettes" ; le Bilan arrive et frappe un bon coup de Tonfa derrière la tête !  >:(

$USD 4000 000 000 000...

C'est plus des actifs Toxiques, ce sont des "Radio-actifs" !!!

Pas la peine de sortir les combinaisons NBC, ça sert plus à rien. Une Bible peut-être...  :lol:

Le pire c'est qu'ils en ont encore probablement sous le pied.

(la guerre en Irak n°2 est estimée par un pool d'économistes US à + de $3000 milliards tout compris, médical, assurances, retraites pour les boys, etc...).

Petit article en corollaire :

"BNP Paribas est la valeur bancaire la plus affectée par les dégagements ce mardi midi, en repli de plus de 5%, de retour à 33 euros. Le secteur financier dans son ensemble est secoué par les nouvelles estimations de la crise qui se chiffreraient à... 4.000 Mds$ ! Le FMI serait en effet sur le point de revoir en nette hausse ses estimations de créances bancaires toxiques... 4.000 Milliards de Dollars, contre 2.200 Mds$ estimés en janvier dernier, c'est le montant que révélait ce matin 'The Times' de Londres qui s'est procuré le texte en avant-première, alors que le rapport ne sera officiellement dévoilé que le 21 avril prochain...

Les dettes toxiques atteindraient 3.100 Mds$ aux Etats-Unis et 900 Mds$ en Europe et en Asie. L'aggravation de la récession transforme chaque jour de nouvelles dettes en actifs toxiques, allant bien au-delà du premier impact de la crise des "subprimes" déclenchée à l'été 2007.

Or, jusqu'à présent, seuls 1.290 Mds$ ont été dépréciés dans les comptes des banques, ce qui laisse entrevoir encore bien des difficultés pour le secteur !

Concernant le cas de BNP Paribas, selon l'AMF, la Société de Prise de Participation de l'Etat français possède désormais 17,03% du capital de la banque. Rappelons que l'Etat, via la Société de Prise de Participation, avait souscrit fin mars à 5,1 Milliards d'Euros d'actions de préférence 'core tier one' sans droits de vote, émises par BNP Paribas et correspondant : - au remplacement des 2,55 Mds E de titres super subordonnés souscrits par l'Etat au titre de la 1ère tranche de renforcement des fonds propres des établissements bancaires et remboursés par BNP Paribas ; - à l'allocation de 2,55 MdsE d'euros supplémentaires au titre de la 2ème tranche de renforcement des fonds propres annoncée le 20 janvier 2009.

Ces actions de préférence sont rémunérées à un taux plancher de 7,65% pour l'exercice 2009, puis croissant chaque année de 25 points de base jusqu'en 2014 où le taux plancher atteindra 8,90%.

Ce taux de rémunération pourra être plus élevé en fonction des dividendes distribués aux actionnaires ordinaires, dans la limite d'un taux plafond de 14,80%.

Ces actions de préférence pourront être rachetées par BNPP à un prix tenant compte de l'évolution de son cours de bourse, et plafonné par un pourcentage croissant dans le temps du montant actuel des actions de préférence."

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http://www.e24.fr/entreprises/defense/article78666.ece

Finmeccanica et BAE Systems vont être les grands perdants de la nouvelle restructuration de la Défense américaine. En effet, Robet Gates, chef du Pentagone, a décidé des coupes franches dans ce budget de plus de 700 milliards de dollars. Un montant colossal qui place les Etats-Unis en tête du classement des plus gros acheteurs de matériels militaires. "Le budget défense a explosé sous l'ère Bush et la réduction de la voilure décidée aujourd'hui n'est pas étonnante. C'est un ajustement mécanique", explique un acteur du secteur.

En attendant, Finmeccanica, le groupe de défense italien et BAE Systems, le britannique, vont être les premiers à souffrir des ces coupes. Le secrétaire va proposer d'annuler le programme d'hélicoptère présidentiel VH-71 ce qui va toucher en premier lieu Finmeccanica, dont le budget initial de 6,5 milliards de dollars a déjà dérapé à 13 milliards de dollars.

De surcroît, le programme Future Combat System, d'un montant de 160 milliards de dollars, est remis en cause. La partie véhicules de combat, estimée à 87 milliards de dollars pourrait être annulée. Une mauvaise nouvelle pour BAE Systems qui mène ce programme.

L'accélération de la production du projet d'avion de combat F-22, qui bénéficie aux deux groupes européens, ne pourra pas compenser les pertes engendrées par l'annulation de grands programmes américains.

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En 2009, le Japon connaîtra la pire récession des pays industrialisés

LE MONDE | 08.04.09 |

Le nouveau plan de relance de 90 milliards de dollars (68,3 milliards d'euros), annoncé lundi 6 avril par le premier ministre japonais Taro Aso, n'y changera pas grand-chose : c'est un véritable effondrement que connaît le Japon, première économie asiatique.

Les experts de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui sont les plus pessimistes sur son sort, lui prédisent un recul de son produit intérieur brut (PIB) de - 6,6 %. La banque HSBC parie, elle, sur - 6,5 %. L'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) escompte - 5,9 %. A titre de comparaison, le PIB des Etats-Unis, par lesquels la crise mondiale est arrivée, devrait régresser de - 4,4 %, selon l'OCDE. L'archipel nippon est donc confronté à la récession la plus sévère des pays industrialisés.

La chute se révèle "monumentale", selon l'expression de Danielle Schweisguth, économiste à l'OFCE, dans les domaines de la production industrielle et des exportations. "Le Japon a enregistré une baisse de 40 % de la production industrielle en février, commente Mme Schweisguth. Une baisse qui n'avait jamais été atteinte, ni durant la crise de 1990 où elle avait plafonné à - 10 %, ni au moment de l'éclatement de la bulle Internet où elle avait atteint - 14 %, au pire moment."

Les exportations ont suivi la même pente extraordinaire. "En glissement annuel en janvier, elles ont chuté de 50 %, ajoute-t-elle. Au mois d'août 2008, le Japon a donc connu un premier déficit inédit de sa balance commerciale et, depuis le mois de novembre, celle-ci demeure déficitaire."

Une situation inouïe pour le Japon, troisième exportateur mondial derrière l'Allemagne et la Chine, habitué à placer aisément et partout ses produits d'excellence. La mauvaise santé de la demande internationale et de la consommation domestique (- 1,9 % prévus en 2009) n'explique pas tout. "La monnaie japonaise a fait l'objet d'un "carry trade" : les spéculateurs s'endettaient en yens à cause des taux d'intérêts nippons très bas, pour ensuite placer cet argent en dollars australiens par exemple", explique Mme Schweisguth.

"Cela a fait monter le cours du yen, poursuit-elle. Après la faillite de Lehman Brothers, en septembre 2008, la panique a saisi les opérateurs et le débouclage de leurs positions a fait s'apprécier le yen de 30 % en six mois. Comme le won sud-coréen s'est déprécié de 30 % au même moment, les produits japonais ont subi une perte de compétitivité phénoménale." Difficile de vendre autant d'écrans plats ou de voitures que par le passé, quand ils coûtent 60 % de plus que chez le voisin...

Les autorités publiques n'ont guère de moyens de sauvetage à leur disposition. Certes, elles tentent d'éviter par la relance une nouvelle dégradation de la conjoncture nippone et leurs efforts budgétaires ont un certain effet, car l'OFCE a calculé que, sans eux, le recul du PIB en 2009 ne serait pas de - 5,9 %, mais de - 7,2 %.

Mais le gouvernement ne peut faire beaucoup plus en raison de l'état des finances publiques : la dette atteint déjà 180 % du PIB et pourrait grimper à 200 % fin 2009, en raison des emprunts liés aux milliards de yens engloutis dans les plans de relance.

L'arme des taux est inutilisable, puisque la Banque du Japon les maintient proches de 0 % pour tenter de faire repartir l'investissement et la consommation. Quant à la baisse du cours du yen, à peine amorcée pour l'instant et qui redonnerait un peu de compétitivité aux exportateurs japonais, elle porte en germe une déflation dangereuse dont le pays vient de pâtir pendant une décennie.

Autrement dit, le Pays du soleil levant risque de devoir assister en spectateur à la montée de son taux de chômage, qui passerait de 4 % à 6 %, et à la précarisation de ses salariés de plus en plus contraints au travail partiel.

"J'ai du mal à être optimiste pour l'avenir proche, conclut Mme Schweisguth. Le Japon ne dispose pas des ressources internes nécessaires pour repartir par ses propres forces. Il ne lui reste plus qu'à attendre le réveil de ses exportations, notamment à destination de son premier marché, la Chine, que l'on dit proche du redémarrage." Une paralysie humiliante pour la deuxième économie de la planète

http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2009/04/08/en-2009-le-japon-connaitra-la-pire-recession-des-pays-industrialises_1178191_1101386.html

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Le point bas de la Bourse de Paris était le 10 octobre 2008 à 2519 points pour la Cac et aussi pour le Dow Jones à 6547 points. Depuis ça remonte et on tutoie les 3000 points à Paris et les 8000 à New York. Le point bas de la crise semble passé. G20, plans de relance partout, ça va finir par repartir. Peut-être en Chine et aux USA avant la fin de l'année.

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Le point bas de la Bourse de Paris était le 10 octobre 2008 à 2519 points pour la Cac et aussi pour le Dow Jones à 6547 points. Depuis ça remonte et on tutoie les 3000 points à Paris et les 8000 à New York. Le point bas de la crise semble passé. G20, plans de relance partout, ça va finir par repartir. Peut-être en Chine et aux USA avant la fin de l'année.

Le 9 mars 2009 on a tapé 2465.46 points.

La seconde chose c'est que la finance anticipe toujours l'économie réelle de plusieurs mois voir année ... et qu'il n'est absolument pas garanti qu'on ait fait le ménage qu'il fallait, en pratique c'est sur que non, ni que des moteurs de croissance sérieux puissent prendre le relai de ceux "virtuels" qu'on avaient avant.

Si l'économie repars comme de rien n'y étaient sur les mêmes bases, endettement, consommation peu durable, on va vite retrouver les mêmes problèmes.

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Une info à prendre avec des pincettes vu la source.

Le Fonds monétaire international (FMI) pourrait débloquer jusqu'à 45 milliards de dollars (34 mds d'euros) pour aider la Turquie, ont affirmé les journaux turcs, s'appuyant sur des déclarations du ministre turc de l'Economie Mehmet Simsek. ''L'accord couvrira les besoins de financement externes de la Turquie'' pendant la durée de sa mise en oeuvre, a déclaré le ministre lors d'un entretien avec un groupe de journalistes, sans donner de chiffres précis.  (Guysen.International.News)

"L'accord couvrira les besoins de financement externes de la Turquie", a affirmé le ministre à la presse, sans donner de chiffres précis.

ça m'étonne qu'après toutes ses années de prospérités économiques, l'AKP n'a pas mis sur pied une sorte de fond pour prévenir une crise éventuelle.

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Confirmer je crois

La crise économique en Turquie

Il y a peu encore, les indicateurs économiques étaient au beau fixe, mais aujourd'hui, la Turquie fait appel à l'aide du FMI. Entre 50.000 et 60.000 personnes ont été licenciées lors du seul mois de février. Et même les employeurs, qui soutenaient Recep Tayyip Erdogan et l'AKP, reprochent au Premier ministre d’avoir tardé à mettre en place son plan de relance anti-crise.

http://www.arte.tv/fr/La-Turquie-et-les-Kurdes/2544712.html

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....................

ça m'étonne qu'après toutes ses années de prospérités économiques, l'AKP n'a pas mis sur pied une sorte de fond pour prévenir une crise éventuelle.

Il me semble que comme d'autre pays, ils ont préférer rembourser le plus vite possible leur dette au FMI.

Au sujet du déblocage du fond, certain agent économique le réclamait depuis un certain temps ce n'est pas nouveau. En revanche jusqu'à présent le gouvernement s'y était il me semble refusé.

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Vu sur le site libération.fr :

Dans la série, les dirigeants s’en mettent plein les poches en entraînant leur entreprise dans la faillite, voici Natixis. Selon le rapport annuel de l’entreprise, publié hier, et que Libération a épluché, son ex-directeur financier, Jean-Pascal Beaufret, limogé en novembre, devrait toucher au total 1,5 million d’euros alors qu’il n’a travaillé que neuf mois dans la banque d’investissement. Mais, plus que la somme elle-même, c’est la manière dont elle se décompose qui est choquante.

Jean-Pascal Beaufret a en effet pris ses fonctions le 14 février 2008. C’est Dominique Ferrero, le président du directoire de Natixis, qui était allé le chercher. Les deux hommes sont proches : ils ont fréquenté dans les années 80 les cabinets ministériels de la gauche. Sa nomination est alors contestée. Beaufret vient de se faire virer de son poste de directeur financier d’Alcatel-Lucent, une autre entreprise qui ne s’est pas vraiment illustrée par la qualité de ses finances… L’homme n’a aucune expérience dans la banque d’investissement et ses passages dans le monde bancaire n’ont pas laissé un souvenir impérissable dans les années 90. Alors représentant du Trésor, il avait été administrateur du Crédit lyonnais au moment de sa quasi-faillite. Et avait occupé un temps le poste de sous-gouverneur du Crédit foncier, avant de voir sa nomination annulée pour pantouflage.

Mais cela n’empêche pas Ferrero de mettre les moyens pour aller chercher Beaufret. Il lui accorde, en plus de son salaire annuel de 500 000 euros, une prime d’arrivée du même montant. Dans le jargon anglo-saxon, on appelle cela un golden hello. Beaufret reste quelques mois, le temps de compter les pertes qui s’accumulent (2,8 milliards d’euros pour 2008).

A l’automne, les deux actionnaires de Natixis, les Caisses d’épargne et les Banques populaires, demandent sa tête. Pour garder son poste, Dominique Ferrero sacrifie son directeur financier. Ce dernier part le 30 novembre, mais obtient de pouvoir bénéficier d’un préavis de six mois, ainsi que d’une indemnité de départ d’un montant équivalent. «La rupture du contrat de travail a entraîné le versement en 2009 d’une indemnité pour préjudice», indique le rapport annuel de Natixis. Au final, Jean-Pascal Beaufret aura touché 500 000 euros pour venir, 500 000 euros pour neuf mois de travail, et 500 000 pour s’en débarrasser. Le prix de l’incompétence ?

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Le 9 mars 2009 on a tapé 2465.46 points.

Correction, pour le CAC le point bas était le 9 mars 2009 avec 2519 points en clôture.

Bon 2465 en séance et 2519 à la cloture, ça vous va ?

1 partout, balle au centre ....  :lol:

Pour Natixis, ce truc est une aberration totale et en plus gère l'épargne salariale, on marche sur la tête.

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Vu sur le site libération.fr :

Dans la série, les dirigeants s’en mettent plein les poches en entraînant leur entreprise dans la faillite, voici Natixis. Selon le rapport annuel de l’entreprise, publié hier, et que Libération a épluché, son ex-directeur financier, Jean-Pascal Beaufret, limogé en novembre, devrait toucher au total 1,5 million d’euros alors qu’il n’a travaillé que neuf mois dans la banque d’investissement. Mais, plus que la somme elle-même, c’est la manière dont elle se décompose qui est choquante.

Jean-Pascal Beaufret a en effet pris ses fonctions le 14 février 2008. C’est Dominique Ferrero, le président du directoire de Natixis, qui était allé le chercher. Les deux hommes sont proches : ils ont fréquenté dans les années 80 les cabinets ministériels de la gauche. Sa nomination est alors contestée. Beaufret vient de se faire virer de son poste de directeur financier d’Alcatel-Lucent, une autre entreprise qui ne s’est pas vraiment illustrée par la qualité de ses finances… L’homme n’a aucune expérience dans la banque d’investissement et ses passages dans le monde bancaire n’ont pas laissé un souvenir impérissable dans les années 90. Alors représentant du Trésor, il avait été administrateur du Crédit lyonnais au moment de sa quasi-faillite. Et avait occupé un temps le poste de sous-gouverneur du Crédit foncier, avant de voir sa nomination annulée pour pantouflage.

Mais cela n’empêche pas Ferrero de mettre les moyens pour aller chercher Beaufret. Il lui accorde, en plus de son salaire annuel de 500 000 euros, une prime d’arrivée du même montant. Dans le jargon anglo-saxon, on appelle cela un golden hello. Beaufret reste quelques mois, le temps de compter les pertes qui s’accumulent (2,8 milliards d’euros pour 2008).

A l’automne, les deux actionnaires de Natixis, les Caisses d’épargne et les Banques populaires, demandent sa tête. Pour garder son poste, Dominique Ferrero sacrifie son directeur financier. Ce dernier part le 30 novembre, mais obtient de pouvoir bénéficier d’un préavis de six mois, ainsi que d’une indemnité de départ d’un montant équivalent. «La rupture du contrat de travail a entraîné le versement en 2009 d’une indemnité pour préjudice», indique le rapport annuel de Natixis. Au final, Jean-Pascal Beaufret aura touché 500 000 euros pour venir, 500 000 euros pour neuf mois de travail, et 500 000 pour s’en débarrasser. Le prix de l’incompétence ?

article démagogique et suspicieux, du libération tout craché.

C'est dingue que les médias reprochent aux patrons leurs salaires, mais ne leur reprochent pas leurs liens avec les sphères politiques.

A partir du moment ou il est écrit dans un contrat approuvé par les actionnaires ou les mandataires des actionnaires que tel dirigeant aura telle quantité de stock option à telle date sous telles conditions, les politiciens n'ont pas leur mot à dire.Le droit des actionnaires est le droit des actionnaires...un contrat est un contrat, un contrat doit être tenu à partir du moment où il est signé, et ce même si une des deux parties change d'avis.Et tous les salaires "faramineux" des patrons du cac 40 réunis atteignent au plus un dix-millième du PIB...

alors que pendant ce temps là l'état s'empiffre à hauteur de 50% du PIB.

A côté de ça, personne ne reproche aux patrons français d'être tous des pantouflards qui, ayant fait l'X ou l'ENA, ont leur "sésame pour la vie" et seront acceptés partout grâce à la solidarité des élèves de leur école.Ils écument les cabinets ministériels et ont bien le temps de nouer des "partenariats stratégiques" avec tel ou tel politiciens.

Et de temps en temps les politiciens se lancent dans une grande croisade populiste, déchainent la vincte populaire pour dénoncer les salaires des patrons, pour bien paraître aux yeux du "petit peuple"...On dirait une espèce de danse de la pluie, un rituel mystique tellement c'est ridicule. "Et aujourd'hui la grande danse de la pluie Bastille-République, 20 000 croyants ättendus..."

Outre-atlantique, heureusement, il y a une armada d'enquêteurs pour vérifier que les nominations, même du plus obscur haut fonctionnaire, ne crée pas de conflit d'intérêt.. mais visiblement ça ne marche pas toujours.

Paulson est un ancien de Goldman Sachs, et il a...je reprend mon souffle là parceque ça me fait marrer...donner à Gsachs le statut de "banque de dépôt" :lol: pour lui permettre de se refinancer directement depuis le compte en banque du contribuable.Alors les activités de gsachs sont presque entièrement du haut de bilan et de la spéculation...

Goldman Sachs Group est spécialisé dans les prestations de services d'investissement. Les revenus par activité se répartissent comme suit :

- prestations de services d'investissement (67,9%) : interventions sur les marchés actions, de taux, de change et de matières premières, etc. ;

- banque d'investissement (16,4%) : conseil en fusions-acquisitions, opérations sur actions, etc. ;

- gestion d'actifs et prestations de services titres (15,7%).

(source: boursorama)

"His eyes, as he hopped from one network camera to another, said, as salesmen have been saying since the dawn of time: “Trust me.”  "

A part ça, je pense que le rebond actuel des bourses est une illusion et les bourses vont de nouveau baisser bientôt, pour sûrement atteindre des niveaux légèrement inférieurs à leur plus bas du début de Mars.

ya quand même 8,5% de chômeurs aux états unis, autant qu'en france... ça arrive une fois tous les vingt ans profitons en :lol:

et concernant la crise en général franchement... on en fait trop. Des crises y'en a toujours eu, si ça n'avait pas été en 2008 avec les subprimes, ça aurait été en 2010 ou je ne sais quand avec autres chose.

Faut dire que quand on voit la situation économique d'avant la crise... ça devenait hyper malsain... le moindre investissement mal foutu et mal executé dans l'immobilier à Dubaï ou à Moscou était rentable.Il y avait TROP d'argent facile, trop d'opulence, c'était devenu TROP facile.Quand vous voyiez les complexes hoteliers et les shopping mall tous plus énormes les uns que les autres se construre à Dubaï ou à Abu Dhabi...L'économie était en train de planer et chacun avait la sensation ennivrante d'être un grand "biznessman" alors qu'il ne faisait qu'alimenter une bulle du crédit.La crise n'est pas "intensive" à cette "bulle générale"(bulle des émergents/matières premières/immobilier/luxe etc), ça vient des subprimes qui n'ont pas grand chose à voir avec le pétrole des EAU, mais tout ce serait écroulé un jour, avec encore plus de violence peut être.

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article démagogique et suspicieux, du libération tout craché.

C'est dingue que les médias reprochent aux patrons leurs salaires, mais ne leur reprochent pas leurs liens avec les sphères politiques.

A partir du moment ou il est écrit dans un contrat approuvé par les actionnaires ou les mandataires des actionnaires que tel dirigeant aura telle quantité de stock option à telle date sous telles conditions, les politiciens n'ont pas leur mot à dire.Le droit des actionnaires est le droit des actionnaires...un contrat est un contrat, un contrat doit être tenu à partir du moment où il est signé, et ce même si une des deux parties change d'avis.Et tous les salaires "faramineux" des patrons du cac 40 réunis atteignent au plus un dix-millième du PIB...

alors que pendant ce temps là l'état s'empiffre à hauteur de 50% du PIB.

A côté de ça, personne ne reproche aux patrons français d'être tous des pantouflards qui, ayant fait l'X ou l'ENA, ont leur "sésame pour la vie" et seront acceptés partout grâce à la solidarité des élèves de leur école.Ils écument les cabinets ministériels et ont bien le temps de nouer des "partenariats stratégiques" avec tel ou tel politiciens.

Et de temps en temps les politiciens lachent du lest et se lancent dans une grande croisade populiste pour dénoncer les salaires des patrons...

A part ça, je pense que le rebond actuel des bourses est une illusion et les bourses vont de nouveau baisser bientôt, pour sûrement atteindre des niveaux légèrement inférieurs à leur plus bas du début de Mars.

ya quand même 8,5% de chômeurs aux états unis, autant qu'en france... ça arrive une fois tous les vingt ans profitons en :lol:

L'Etat se goinfre à hauteur de 50% du PIB mais ces 50% reviennent d'une façon ou d'une autre au citoyen, contrairement au salaire astronomique d'un patron qui n'en dépense qu'une faible part car.... ya trop à dépenser (c'est un fait, plus on est riche, plus on épargne).

Un contrat est un contrat oui, mais il existe des normes d'ordre public ou impératives qui s'appliquent également aux contrats. Rien n'empêche l'Etat d'en adopter (pour des raisons de sécurité juridique cependant, ces normes n'ont normalement pas d'effet rétroactif). Faut quand même pas oublier que lorsqu'on compare les chiffres des bonus de patrons et de ce qu'il aurait fallu pour sauver une boite qui vient de couler, on arrive à sensiblement la même chose.

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L'Etat se goinfre à hauteur de 50% du PIB mais ces 50% reviennent d'une façon ou d'une autre au citoyen, contrairement au salaire astronomique d'un patron qui n'en dépense qu'une faible part car.... ya trop à dépenser (c'est un fait, plus on est riche, plus on épargne).

Un contrat est un contrat oui, mais il existe des normes d'ordre public ou impératives qui s'appliquent également aux contrats. Rien n'empêche l'Etat d'en adopter (pour des raisons de sécurité juridique cependant, ces normes n'ont normalement pas d'effet rétroactif). Faut quand même pas oublier que lorsqu'on compare les chiffres des bonus de patrons et de ce qu'il aurait fallu pour sauver une boite qui vient de couler, on arrive à sensiblement la même chose.

En assemblant les salaires "tout compris" des patrons du cac on arrive à 200millions d'euros à tout casser.

Le problème c'est que des boîtes qui passent l'arme à gauche il y en a des dizaines de grosses et des milliers de petites.

Les patrons restent des "employés", c-à-d du travail sur patte, pas du capital...leur salaire dans la part de l'économie réelle est négligeable.Et cracher sur les patrons pour des clopinettes,leur voler tout simplement de 'largent qu'il pensait toucher à la fin du contrat, c'est risquer de se couper d'une partie du "marché des patrons", c-à-d de pas avoir le choix et de récupérer des ânes; le patron est un "multiplicateur", selon qu'il soit bon ou pas le CA de l'entreprise peut varier de manière importante sur le long terme. Alors qu'en fin de compte son salaire est faible par rapport à ce que l'entreprise gagne en productvité, les actionnaires en dividentes, les consommateurs en qualité de l'offre, les salariés (qui sont aussi des consommateurs) en stabilité de l'emploi et salubrité du marché du travail...

Certains patrons sont des salauds, je ne dis pas le contraire. Mais il y a un minimum de lois à respecter, je suis contre ce concept gaulliste/bonapartiste "d'état-roi" qui prétend pouvoir régler tous les problèmes,qui ne respecte pas les lois ou les droits de propriété au nom de "l'intérêt supérieur de la nation" ou de "l'intérêt général".

LAISSEZ FAIRE.

Après, si au niveau juridique ou pénal l'état trouve quelquechose à redire, alors il peut casser les contrats, etc, si c'est dans ses droits;mais les pressions des politiques qui "téléphonent" aux patrons...

et les 50% du PIB "confisqués" par l'état, personne ne me fera croire qu'il rend une quantité proche ce qu'il prend; et ce qu'il rend, sous quelles formes le rend-il? sous la forme de subventions ou d'allocations économiquement inefficaces.

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Le lien entre sphères économiques et politique on le gommera jamais, ça faut s'y faire.

Alors qu'en fin de compte son salaire est faible par rapport à ce que l'entreprise gagne en productvité, les actionnaires en dividentes, les consommateurs en qualité de l'offre, les salariés (qui sont aussi des consommateurs) en stabilité de l'emploi et salubrité du marché du travail...

Il est là le problème. L'entreprise gagne-t-elle vraiment en productivité ?

Si je prend l'exemple d'un plan social, une restructuration, oui l'entreprise à gagné en productivité. Mais autant de gens sur le carreau = autant de gens qui ont perdu leur capacité de consommé, leur revenu disponible se rapproche considérable du niveau minimal de consommation.

Certains patrons sont des salauds, je ne dis pas le contraire. Mais il y a un minimum de lois à respecter, je suis contre ce concept gaulliste/bonapartiste "d'état-roi" qui prétend pouvoir régler tous les problèmes,qui ne respecte pas les lois ou les droits de propriété au nom de "l'intérêt supérieur de la nation" ou de "l'intérêt général".

Je ne serais jamais un défenseur de l'Etat-roi surpuissant mais l'Etat a des capacités d'encadrement qu'il doit utiliser. L'Etat lui au moins est légitime dans nos sociétés, le patron beaucoup moins.

Alors oui on pointe du doigt les patrons parce que ce sont eux qu'une populace mécontente voit et le vrai problème peut se situer ailleurs. Et de toutes façons les patrons s'en foutent => ils touchent quand même leurs primes

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En France on a un vrai probleme de gouvernance des grande entreprise... pour la simple raison que tout est dans les main de quelqu'uns qui forme un petit club et se tiennent par la barbichette.

Comme chacun des pdg est lui meme au conseil d'administration, des ses administrateur qui sont aussi pdg d'autre boite, si tu n'accepte pas l'augmentation ou l'avantage d'un tel ... il va te casser les couilles sur l'augmentation que tu reclame etc.

Ajouter a ca l'aspect emblématique du "grand patron" qui sert autant d'étendart publicitaire que de décideur et on obtient un produit marketé comme un jour de foot :)

Carlos Ghosn par exemple qu'on a "présenté" comme un magicien aupres de Nissan est a peine capable de faire surnager Renault... Juste qu'il a su bien se vendre :)

Apres si on trouve amorale le différentiel de salaire au sein de la meme boite -  comme c'est le cas dans les pays scandinave - c'est aux conseils d'administration et représentant des actionnaires qu'ils faut s'en prendre.

Derniere chose ... les mechant patrons comme les méchants banquier ... font élégament diversions aux incapacités/malveillances de nos politiques. Les mécanismes mise en place pour pallier a la baisse du pouvoir d'achat et de la satidfaction des pseudo classe moyenne, en les alimentant de marchandise a crédit, ou produite a tres bon marché par les miséreux du bout du monde, n'étaient a aucun moment pérenne, mais pour acheter la paix sociale et vendre leur modele moisi ils ont poussé dans ce sens, sachant pertinament que ces pseudo richesses issues du crédit allaient un jour s'évanouir comme neige au soleil, car ne trouvant pas de contrepartie réelles.

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Dans les rémunérations des grands patrons il y a plusieurs choses qui choquent :

- le montant qui n'est pas justifiable lorsqu'il est plus de 100 fois supérieur au salaire moyen des français et qu'on ne me parle pas des soi-disante "responsabilités" d'un banquier quand on voit avec quelles légéretés ils ont joués avec notre argent ou ont fait confiance à des types comme Madoff. Qu'on ne parle pas non plus de leur temps de travail car ils ne travaillent pas 100 fois plus qu'un salarié (800 heures par jour ?). Un médecin, une infirmière, un pompier ou un commissaire de police et même le président de la république à plus de responsabilités tout en gagnant moins. Et eux ils doivent rendre des comptes d'une manière ou d'une autre.

- le fait scandaleux que cette rémunération ne soit pas lié au travail, aux résultats ou la compétence : donner des golden hello, des golden parachute, une retraite dorée à vie, des primes et bonus divers et variés alors qu'on a commis des fautes graves et entrainé la ruine d'une société, c'est récompensé l'incompétence. C'est inacceptable. Est-ce qu'un salarié reçoit des millions d'euros lorsqu'il est viré pour une faute lourde ?

- qu'un dirigeant viré pour avoir ruiné une entreprise retrouve par copinage un emploi au même poste dans une autre entreprise (ou pire dans une entreprise d'état), ça fait passer un message extrêmement négatif sur la société qui l'emploie et salit son image. Une telle personne n'a aucune crédibilité  vis à vis des salariés, des représentants syndicaux, des clients ou des fournisseurs. là aussi le message est une impunité qui ne peut que conduire à un malaise social et un sentiment d'injustice. 

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Ce genre de post me fait bondir.

ya pas de valeur juste pour quelquechose, la valeur est subjective, c'est vrai avec n'importe quoi, y compris la force de travail, que l'on parle d'un patron ou d'un ouvrier.

Des rémunérations annuelles à X millions de dollars, ça semble être le cours du patron depuis quelques années.

Pourquoi ça l'est?

T'as la moindre idée de ce qu'est le job d'un dirigeant?

Le dirigeant s'occupe de placer son entreprise dans la meilleure configuration possible, de créer une sorte de lien profond entre les capitaux et la structure privée de son entrprise et la sphère économique publique, qui fait que son entreprise répond efficacement à une demande.

être un bon dirigeant demande une lucidité et une hauteur de vue peu communes, ça demande de synthétiser à peu près tout et n'importe quoi pour "accorder" son entreprise, comme on accorde un violon pour qu'il produise le son le plus pur.

Il s'agit en quelque sorte de mettre l'entreprise à sa place dans la structure de l'économie, un labyrinthe gigantesque et multidimensionnel, en évolution perpétuelle, de miroirs déformants.

Tout ça demande une intense réflexion personnelle,l'émergence d'une individualité.Evidemment le dirigeant est pas seul, il a des conseillers, des éminences grises, des thinks tanks,etc;mais en fin de compte c'est lui qui prend la décision, et qui devra trancher entre les différentes options.

Regarde surtout les patrons anglo-saxons(pas tous :lol:) ou ceux des pays émergents; les patrons français....voila quoi :-X Savoir résoudre tel ou tel problème d'algèbre au concours d'entrée de l'X ne fait pas de vous le "sage" qu'un patron est sensé être.

Et pour finir, les patrons sont des employés, ils gagnent infiniment moins de tune que les propriétaires, les actionnaires majoritaires, qui, eux, gagnent de l'argent grâce à ce qu'ils possèdent, pas(directement) grâce au travail qu'il fournissent.Les patrons sont les boucs émissaires.

T'as vu comment on se casse le cul sur ce forum pour dire des choses les plus juste possibles, pour extraire une quantité infinitésimale de "vérités"?Il nous faut des topics de 30 pages pour traiter un millième du problème...

Un patron intelligent, à la tête d'une grosse boîte, qui peut gagner des milliards d'euros en plus ou en moins selon qu'elle ait la bonne stratégie/les bons dirigeants, ça n'a pas de prix.

De plus tu parles de quantité de travail, mais pas du travail en lui même:le patron est le plus haut responsable au service de l'actionnaire, c'est lui qui dirige, et comme chacun sait, penser soi même une stratégie et la faire appliquer par les autres, en plus de demander plus de compétences brutes, demande surtout une personnalité de meneur d'homme, le courage d'affronter les conséquences de ses actes, au lieu de se reposer sur les décisions et les responsabilités de son supérieur qui vous a dit de faire telle ou telle chose.

Du coup, ceci, combiné au fait qu'un type qui est très intelligent et qui le sait aura plein de proposition qu'il doit déja estimer plus satisfaisantes que le fait de se mettre à son compte, fait qu'un patron coûte cher.

Ya pas longtemps, Benoît Hamon disait à la télé:

"ce qui est rare est cher, or un patron c'est pas rare".

C'est sans doute, de la aprt d'un politicien, la phrase la plus stupide/malhonnête que j'ai entendu dans la semaine  >:(

Quand au problème de la responsabilité des patrons, c'est facile de dire après coup que le patron a commis des erreurs; mais c'est à l'actionnaire de prévoir, au moment de la signature du contrat avec le dirigeant, des clauses mentionnant que le patron recevra moins d'argent si certains objectifs n'ont pas été respectés.

Un contrat entre un actionnaire et un patron reste un contrat entre deux personnes, entre deux "êtres humains"; s'il y a consentement mutuel, rien ne doit les entraver.

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Un contrat entre un actionnaire et un patron reste un contrat entre deux personnes, entre deux "êtres humains"; s'il y a consentement mutuel, rien ne doit les entraver.

juste un truc qui s'appelle la loi qui est tout à fait légitime pour encadrer ou taxer des salaires ........

après on peut tout à fait être favorable à l'auto-régulation de l'économie et à l'absence de contrôle par l'état de la sphére privée mais c'est une opinion idéologique, pas une vérité

disons que pour le moment, l'idée de laisser la sphére privée s'auto-réguler semble ne pas être trés populaire ( oui je sais , c'est baeucoup de com et peu d'actes ......)

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