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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha

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Y a des risques de faillite de GM

On est au courant ...

Néanmoins, s'il y a faillite, c'est par Wall Street qu'elle viendra et elle se concrétise pleinement ces derniers jours par une nouvelle chute de l'action (-50% en deux jours).

GM aurait besoin de 15Md$ pour rénover son outil de production (et de nouvelles idées car les 4x4 qui consomment et font du bruit sont pas vraiment à la mode ..).

La question reste : l'état américain laissera-t-il GM faire faillite avec 300 000 employés + sous-traitants sur le carreau ?

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Avec une production de voitures passant de moins de 40 millions à quasiment 50 millions en 10 ans, cela ne m'étonne pas que les marchés soient saturé  :P

Voir les statistiques ci dessous pour les chiffres par an, la production par Etats, ect :

http://www.worldometers.info/cars/

Pour infos, l'Europe produisait en 2006 un tiers des voitures dans le monde contre 14 % pour l'Amérique du Nord.

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...avec un budget qui dépasse largement en PNB les plans américains et européens mais que certains estiment être de la poudre aux yeux...

http://www.lesaffaires.com/article/0/gouvernement/2008-11-11/485443/plan-chinois--de-la-poudre-aux-yeux.fr.html

Et la Crise est la depuis fin 2007 selon cette article dans la région de Canton :

http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2008/11/12/en-chine-des-milliers-d-entreprises-ferment-dans-la-region-de-canton_1117650_1101386.html

Sinon, Mc Do ne connait pas la crise : http://anthonymarechal.wordpress.com/2008/11/10/crise-financiere-les-gens-se-precipitent-au-mc-do/#comment-656

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Paulson change d'avis !

Finalement il ne rachète pas les actifs pourris des banques !

Il annonce que l'état va rentrer dans le capital des banques à la place !  :lol:

Les banquiers et traders se taillent les veines par centaines...

Si ça ce n'est pas un rebondissement alors qu'est-ce qu'il vous faut.

http://edition.cnn.com/video/#/video/business/2008/11/12/sot.paulson.troubled.assets.cnn

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on devrait faire la même chose en France au lieu de créer un machin bidule truc de la mort pour vérifier l'utilisation du prêt de 300 milliard d'euros

:)

Y a mieux ... ils veulent recréer le Credit Local de France ... qu'ils ont privatisés y a pas si longtemps, pour éviter que les collectivités locales ne continuent d'étaler leurs incompétence dans leurs business avec leur bankster adorés ;)

Faire et défaire ... ou comment bruler du cash quand on est prisonnier d'une idéologie a la con.

Quand a la vérification que les banquiers font bien ce que voudraient qu'ils fassent NS, ca faire rire tout le monde... Comme dirait Bouton, "Pourquoi voulez vous que j'emmerde avec du crédit aux PME qui rapporte tripette alors qu'avec le meme cash je peux me goinfre sur les marché ?!", c'est pas l'armée du salut les banques, ils ont des pertes a rattraper et ca se fera pas juste sur le dos des clients !

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Paris efface ses gains après les prévisions de l'OCDE

Paris efface ses gains à mi-séance, affecté par la révision des prévisions de l'OCDE pour les grandes zones économiques. STMicroelectronics et Veolia affichent les plus fortes baisses de l'indice phare, tandis que Capgemini, GDF Suez et Technip profitent de leurs publications. A midi cinq, le Cac 40 perd 0,9%.

Le rebond de la matinée a fait long feu sur les marchés d'actions européens, interrompu par la révision en baisse des prévisions de croissance de l'OCDE pour les grands pays de la zone. Nouveau signe de la dégradation de la conjoncture mondiale, le PIB de l'Allemagne s'est contracté au troisième trimestre, plaçant ainsi la première économie de la zone euro en situation de récession technique. Dans ce contexte, l'Agence internationale de l'énergie a une nouvelle fois révisé en baisse ses prévisions de demande mondiale de pétrole.

Du côté des valeurs, les banques sont généralement en baisse, l'indice DJ Stoxx du secteur en Europe reculant de 1,3%. Le repli des cours du brut à un plus bas de 22 mois pèse par ailleurs sur les grands groupes pétroliers. Parmi les technologiques, les fabricants et équipementiers de semi-conducteurs comme Infineon et STMicroelectronics plient après la révision en baisse par Intel de sa prévision de chiffre d'affaires pour le trimestre en cours. A l'inverse, les valeurs dites défensives comme les opérateurs télécoms et les laboratoires pharmaceutiques gagnent du terrain. BT avance de 8,4%, dopé par des trimestriels meilleurs que prévu, entraînant France Télécom dans son sillage. Enfin, Capgemini, GDF Suez et Technip sont soutenus par leurs publications trimestrielles.

A midi cinq, le Cac 40 perd 0,88% à 3.205,59 points dans un volume d'affaires limité à 1,1 milliard d'euros sur les valeurs de l'indice. A Londres, le Footsie cède 1,73% à 4.109,55 points et, à Francfort, le Dax plie de 1,19% à 4.565,75 points. A New York, le contrat future décembre sur indice Dow Jones baisse de 35 points à 8.185.

Sur le front du pétrole, le baril de brut léger américain reprend 14 cents à 56,02 dollars après avoir touché 55,05, son plus bas niveau depuis fin janvier 2007. L'Agence internationale de l'énergie a de nouveau baissé sa prévision de croissance de la demande mondiale pour 2008 et 2009, contrebalançant ainsi la perspective d'une réduction de la production de l'Opep. Le dollar poursuit sa remontée à 1,2492 pour 1 euro, la monnaie unique restant pénalisée par une série d'indicateurs reflétant la dégradation de la conjoncture au sein des Quinze pays partageant la monnaie unique.

Sur le plan macro-économique, Le PIB de l'Allemagne s'est contracté de 0,5% au troisième trimestre après un recul de 0,4% au deuxième, selon la première estimation publiée par l'Office fédéral de la statistique. La première économie européenne est ainsi entrée en récession technique pour la première fois depuis le premier trimestre 2003. De son côté, l'OCDE a réduit ses prévisions de croissance pour les Etats-Unis, le Japon et la zone euro et indiqué que les trente pays de la zone étaient entrés dans une récession qui devrait se poursuivre en 2009.

Plusieurs indicateurs américains animeront l'après-midi : la balance commerciale de septembre et les inscriptions hebdomadaires au chômage à 14h30, la statistique pétrolière hebdomadaire à 16h35, puis les chiffres du budget fédéral d'octobre dans la soirée.

Les banques cèdent généralement du terrain. Dexia perd 3,82% à 4,82 euros, BNP Paribas 2,98% à 44,80 euros, Société Générale 1,91% à 39,90 et Crédit Agricole, qui doit publier ses trimestriels après la clôture, cède 1,53% à 9,60. En dehors du Cac 40, Natixis plie de 1,66% à 1,77 euro. La banque a accusé une perte nette de 234 millions d'euros au troisième trimestre, contre un bénéfice de 437 millions un an plus tôt. Les analystes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur une perte de 50 millions d'euros. Le coût du risque a par ailleurs augmenté à 454 millions d'euros, contre 281 millions au deuxième trimestre. Les activités de banque de financement et d'investissement se sont soldées par des « revenus négatifs » de 250 millions d'euros en octobre et par des provisions pour risques d'un même montant. Natixis n'a pas fourni de prévisions pour le quatrième trimestre et l'exercice 2009.

Plus forte baisse du Cac 40, STMicroelectronics abandonne 5,16% à 5,84 euros. Intel a révisé en baisse sa prévision de chiffre d'affaires et de marge pour le trimestre en cours en raison d'une demande plus faible que prévu dans toutes les régions du monde. Le numéro un mondial des semi-conducteurs table désormais sur un chiffre d'affaires de 9 milliards de dollars à plus ou moins 300 millions près sur les trois derniers mois de l'année, contre 10,1 à 10,9 milliards précédemment estimé. La marge brute devrait quant à elle ressortir à 55% à plus ou moins 2 points, contre 59% initialement prévu.

Veolia recule de 4,48% à 18,43 euros. WestLB a dégradé le titre de « alléger » à « vendre » avec un objectif de cours de 15 euros. Toujours au chapitre des changements de recommandations, EADS lâche 2,06% à 11,85 euros alors qu'Exane BNP Paribas est passé de « surperformance » à « neutre » sur la valeur avec un objectif de cours de 10 euros.

Plus forte hausse du SRD, Technip avance de 4,05% à 22,09 euros. Le groupe parapétrolier a dégagé un bénéfice net de 121 millions d'euros, en hausse de 59,1%. Le chiffre d'affaires progresse de 10,8% à 1,93 milliard d'euros. Le carnet de commandes au 30 septembre recule à 7,7 milliards d'euros, contre 9,4 milliards un an plus tôt. Le taux de marge opérationnelle courante ressort à 9,3%, contre 5,5%. Pour l'ensemble de l'exercice, Technip indique tabler sur un chiffre d'affaires d'environ 7,3 milliards d'euros, contre 7,4 milliards estimé en juillet, et confirme viser une marge opérationnelle supérieure à 8%.

Capgemini gagne 2,75% à 24,99 euros. La SSII a annoncé une hausse de 0,5% de son chiffre d'affaires à 2,09 milliards d'euros au troisième trimestre. A périmètre et taux de change constants, l'activité progresse de 6,1%. Le groupe confirme ses objectifs pour l'ensemble de 2008, à savoir une croissance des ventes à périmètre et change constants comprise entre 4% et 5% et une marge opérationnelle de 8,5%.

GDF Suez prend 0,51% à 32,46 euros. Le groupe d'énergie a réalisé un excédent brut d'exploitation (Ebitda) de 10,4 milliards d'euros sur les neuf premiers mois de l'année, en hausse de 19% (+21% en données comparables). Le chiffre d'affaires pro forma augmente de 18% à 58,8 milliards d'euros (+19% en organique). GDF Suez confirme son objectif de croissance de l'Ebitda supérieur à 10% sur l'exercice 2008.

Enfin, Ipsos engrange 2,27% à 18,87 euros. La société d'études et de sondages a vu son chiffre d'affaires progresser de 5,9% à 234,2 millions d'euros au troisième trimestre. A données comparables, l'activité s'apprécie de 8,2%. Sur les neuf premiers mois de l'année, les ventes progressent de 5,9% à 697 millions d'euros. Ipsos indique tabler pour 2009 sur une croissance organique « largement supérieure » à celle du marché et sur une hausse du résultat opérationnel au moins égale à celle du chiffre d'affaires.

Source :

http://www.lesechos.fr/investisseurs/analyse_seance/investir_00091470-paris-efface-ses-gains-apres-les-previsions-de-l-ocde.htm

ils veulent recréer le Credit Local de France

Le plus hilarant dans tout cette histoire ce n'est la première chose qu'il "recréer"  =D

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Invité barbaros pacha

L'Allemagne en récession, tous les pays riches devraient suivre en 2009


PARIS (AFP) — L'OCDE a confirmé jeudi que l'économie mondiale traversait un trou d'air, avec un recul prévu de l'activité économique de 0,3% dans ses pays membres en 2009, tandis que l'Allemagne officialisait son entrée en récession.
Le président américain George W. Bush a prévenu que l'économie mondiale avait encore des "jours difficiles" devant elle tout en assurant que "les Etats-Unis et leurs partenaires prennent les bonnes mesures pour traverser cette crise".
La zone euro n'est "pas très loin" de la récession, a estimé de son côté le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker.
Les Bourses européennes, très volatiles, ont clôturé en ordre dispersé: Londres a cédé 0,31%, mais Paris a gagné 1,10%, Francfort 0,62%, Madrid 1,08% et Milan 0,92%.
Wall Street évoluait en dents de scie. Le Dow Jones perdait 0,39% et le Nasdaq 1,18% vers 17H00 GMT.
L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) prévoit que le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis devrait reculer de 0,9% en 2009. Dans la zone euro, la récession devrait s'établir à 0,5% l'an prochain et au Japon à 0,1%.
Le taux de chômage dans l'OCDE passerait de 5,9% en 2008 à 6,9% en 2009 et 7,2% en 2010. La zone euro serait la plus sévèrement touchée, avec un taux de 8,6% en 2009 et 9% en 2010.
En attendant, l'Allemagne, première économie de la zone euro, a annoncé jeudi être entrée en récession technique pour la première fois depuis cinq ans, avec un recul de son PIB de 0,5% au 3e trimestre, après une contraction de 0,4% au trimestre précédent.
"Nous passerons peut-être de la stagnation à la récession", a reconnu le ministre des Finances Peer Steinbrück. Le chef de la diplomatie, le social-démocrate Frank-Walter Steinmeier, a de son côté proposé des mesures européennes de relance de l'emploi.
"L'Allemagne et la zone euro doivent se préparer à une grave récession, probablement la pire depuis celle de 1992/93", a estimé Holger Schmieding, économiste de Bank of America.
Au moment où les voyants économiques sont déjà au rouge au Royaume-Uni, l'opérateur téléphonique BT a annoncé un plan social visant à supprimer 10.000 postes d'ici à fin mars.
Les chiffres du commerce extérieur aux Etats-Unis ont montré en outre que les échanges subissaient l'impact de la crise financière.
Le déficit commercial américain s'est réduit en septembre par rapport à août, mais les importations ont enregistré un recul mensuel record de 5,6% et les exportations ont chuté de 6%.
L'excédent commercial du Canada a de son côté chuté de 20% en septembre, en raison d'une baisse des exportations vers les Etats-Unis.
De quoi apporter de l'eau au moulin du directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) Pascal Lamy qui veut conclure rapidement les négociations sur la libéralisation des échanges mondiaux, afin d'atténuer les effets de la crise et de combattre les tentations protectionnistes.
Par ailleurs, les grands pays développés et émergents du G20 mettent la dernière main aux préparatifs du sommet consacré à la crise financière, samedi à Washington.
Le président Bush a déclaré que ce sommet visait à "jeter les bases" de réformes du système financier, mais n'était que la première réunion d'une série.
Il a épinglé des "pratiques médiocres de gestion du risque" et prôné une modernisation des institutions financières internationales afin que les grandes économies émergentes pèsent davantage dans leurs décisions.
"Cette crise n'est pas l'échec de l'économie de libre marché", a-t-il plaidé, en estimant que l'intervention gouvernementale n'est pas "le remède universel".
Le président russe Dmitri Medvedev a affirmé de son côté que les Européens et les Russes allaient "parler d'une seule voix" au sommet de Washington.
Selon le quotidien Nikkei, le Premier ministre japonais Taro Aso annoncerait à Washington un prêt au Fonds monétaire international (FMI) qui pourrait aller jusqu'à 100 milliards de dollars, pour renflouer les pays ruinés par la crise.
Cette offre colossale augmenterait de plus d'un tiers les ressources actuelles du FMI, appelé au secours ces dernières semaines par l'Islande, la Hongrie et l'Ukraine.
Les places asiatiques avaient dévissé plus tôt dans la journée, au lendemain des propos du secrétaire au Trésor américain Henry Paulson, qui a jugé qu'il était plus efficace d'investir directement dans le capital des banques plutôt que de leur racheter leurs actifs pourris.
"Il est choquant de voir que le gouvernement américain n'utilisera rien des 700 milliards de dollars pour acheter des actifs adossés à des hypothèques, ce qui était la première raison d'être du plan de sauvetage", selon Dariusz Kowalczyk, stratège chez CFC Seymour à Hong Kong.
Tokyo a perdu 5,25%, Sydney 5,86%, Taipei 3,85%, Séoul 3,15% et Hong Kong 5,15%. A contre-courant, Shanghai a fini à +3,68% après l'annonce par Pékin de mesures fiscales en faveur des exportateurs.
A la Bourse du Koweït, les transactions ont été purement et simplement suspendues jusqu'à lundi à la demande d'un investisseur qui voulait limiter ses pertes et a obtenu gain de cause auprès d'un tribunal, une décision sans précédent.
Le ralentissement de la demande pèse également sur le pétrole. A Londres, le baril de Brent a plongé à 50,60 dollars, son plus faible niveau depuis trois ans et demi, avant de se redresser à 52,08 dollars. A New York, le pétrole s'échangeait à 56,15 dollars vers 14H05 GMT, stable par rapport à la veille.
"Les signes d'une demande qui ralentit en Asie et les attentes d'augmentation des stocks de produits pétroliers américains contribuent à peser sur les prix", a estimé Thierry Lefrançois, de Natixis.
Face à la glissade des cours du brut, une réunion d'urgence de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) le 29 novembre au Caire est "très probable", a indiqué une source de l'OPEP à l'AFP.
Sur le front des institutions financières, l'Etat néerlandais a annoncé qu'il injectait 750 millions d'euros dans le capital du bancassureur SNS Reaal.
Au Japon, la deuxième banque du pays, Mizuho, envisage selon la presse une augmentation de capital de 2,4 milliards d'euros.
Frappés de plein fouet par la dégringolade des marchés financiers et la méfiance de leurs clients, les fonds spéculatifs ("hedge funds") ont perdu 100 milliards de dollars d'actifs en octobre, a fait savoir la société spécialisée Eurekahedge.

>>> http://afp.google.com/article/ALeqM5hwb__MXIcS9w5fnQyQ17NL1cVn6Q
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Divine surprise matinale pour l'économie hexagonale : la France échappe à la récession au troisième trimestre avec une croissance de 0,14% par rapport au deuxième trimestre, a annoncé vendredi la ministre de l'Economie Christine Lagarde.

Première personne à l'annoncer mais aussi à s'en féliciter, la ministre n'a pas caché non plus sa surprise : "Le chiffre est étonnant puisque chacun s'attendait à un chiffre négatif et se préparait à débattre sur la récession, puisque la récession c'est techniquement deux trimestres successifs négatifs", a ainsi commenté Christine Lagarde sur l'antenne de RTL.

"La France n'est techniquement pas en récession"

L'Insee, qui doit publier les premiers chiffres de la croissance française un peu plus tard dans la matinée, tablait dans ses dernières prévisions sur une diminution du PIB de 0,1%, après une baisse de 0,3% déjà enregistrée au trimestre précédent. "La France, contrairement à l'Allemagne qui fait -0,5 et à la Grande-Bretagne qui fait -0,5, fait +0,14%", a indiqué Christine Lagarde. "C'est une bonne nouvelle, ça signifie que la France n'est pas techniquement en récession", a-t-elle expliqué, estimant que "la politique du gouvernement est en train de produire ses effets".

Et de fait, tous les pays de la zone euro ne peuvent pas se réjouir de la sorte. Globalement, celle-ci est entrée en récession pour la première fois depuis sa création en 1999, avec un recul de 0,2% de son Produit intérieur brut au troisième trimestre par rapport au précédent, a indiqué vendredi l'Office statistique européen Eurostat. Outre l'Allemagne, l'Italie, troisième économie de la zone euro, voit son PIB se contracter de 0,5% au troisième trimestre. L'Espagne, comme la France, échappe pour l'instant au même sort. Les Pays-Bas enregistrent pour leur part une croissance nulle (0,0%) pour le deuxième trimestre consécutif.

Le moteur de la consommation

Plus concrètement, ce sont la consommation des ménages et l'investissement des entreprises qui semblent être "les deux moteurs qui, au troisième trimestre, ont tiré la France au-delà de l'Allemagne et de la Grande-Bretagne", s'est félicitée Mme Lagarde. Selon elle, la consommation "a tenu un peu mieux" qu'au deuxième trimestre et l'investissement des entreprises a été "bien meilleur", progressant de 0,3% au troisième trimestre contre -1,0% au trimestre précédent. Quant au troisième pilier de la croissance, le commerce extérieur, il a eu un effet neutre sur la croissance car "les importations et les exportations se sont à peu près équilibrées", a précisé la ministre.

Le gouvernement prévoit toujours une croissance "autour de 1%" en 2008. Pour l'an prochain, il a récemment abaissé ses prévisions, entre 0,2% et 0,5%, et n'exclut pas de les revoir encore. La Commission européenne prévoit quant à elle une croissance française de 0,9% cette année et une croissance nulle l'an prochain. Le Fonds monétaire international (FMI) a quant à lui averti que la France devrait subir une récession en 2009, avec un recul du PIB de 0,5%, tout comme l'ensemble de la zone euro.

pas en récession mais en stagnation. De là à se réjouir de ces résultats mouai

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Le Cac cloture à 2881.26 points. En baisse de 3,33%...

Les prédictions de C-Seven semblent se réaliser.

Le DJI a pris 6.6% dans la meme soirée apres l'annonce du prochain secretaire d'état au trésor...

Y en a qui attendent un CAC a 2400 ... et pour le moment les gros sont encore/toujours vendeurs.

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Invité barbaros pacha

recession c est negatif le portugal ,aussi avec la france echappe a l crise

Désolé mais dans les milieux financière un pays qui fait 0.14% de croissance, c'est walou, c'est une récession...

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Invité barbaros pacha

toi prendre dictionnaire STP hein

recession = croissance < 0 sur plusieurs moi

+0.14 % de croissance c'est effectivement walou mais c'est pas de la recession

0.14% n'est pas une croissance Akhilleus, c'est plutôt une stagnation voire une récession, car 0,14% ne représente rien...

La on définit pas le mot récession dans le dictionnaire, mais dans les milieux économiques, ce chiffre ne représente rien...

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