loki Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Il faut cesser de croire qu'il n'y a qu'une solution. Pour la Grèce, il n'y a plus que le tourisme. Or, rester dans l'Euro leur impose des tarifs prohibitifs. Sortir de l'Euro leur permettra de retrouver un avantage économique pour se relancer. Je te trouve trés optimiste sur ce coup là : sortir de l'euro peut les rendre un peu plus compétitifs sur le tourisme mais leur coutera bien plus cher sur tout ce qu'ils importent et vu l'absence quasi-totale d'industrie de la Grèce, c'est à dire tout !! Au final, si personne ne leur prête plus et qu'ils ont une monnaie sans valeur réelle, leur économie sera t'elle assez forte pour se substituer aux importations ? La réponse semble évidente Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Il faut cesser de croire qu'il n'y a qu'une solution. Pour la Grèce, il n'y a plus que le tourisme. Or, rester dans l'Euro leur impose des tarifs prohibitifs. Sortir de l'Euro leur permettra de retrouver un avantage économique pour se relancer. D'autre part, il me semble sein de faire un referendum en interne pour calmer les esprits. Ils sont certains jours au bord de l'insurection. Donc donner une date peut calmer les esprits, limiter les grèves et violences. Donner l'espoire d'une décision démocratiquement prise donc collectivement assumée. Notre président fut courageux d'aller en Libye devant la foule en pleine guerre civile. Ne serait-il pas plus dangereux de faire la même chose face aux grecs? En quoi l'euros impose des tarif prohibitif? C'est les grecs qui imposent des tarifs prohibitif pas l'euro ;) Les prix ne change pas parce qu'on change de monnaie!!! Le marché s'ajuste aussi vite que la monnaie s'évalue ou se dévalue. Après on peut voir la dévaluation comme un moyen facile de faire baisser le niveau de vie des grecs, m'enfin la guerre des monnaies fait déjà rage et c'est déjà a celui qui dévaluera plus vite que sont voisin, pas sur que la drachme supporte cela sans devenir rapidement l'équivalent du dollar zimbabwéen. Les politique monétaire agressive c'est tenable quand tu as de la devise a échanger, quand tu exporte, ou quand tu est une grande puissance militaire ... quand t'es grecs ... ça le fait tout de suite moins. En gros une politique de baisse des salaire pension etc. est aussi, sinon plus efficace pour redevenir concurrentiel qu'une succession de dévaluation/inflation, c'est d'ailleurs l'exemple allemand. [me=g4lly]grillé par Loki ...[/me] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 -Voulez vous la tutelle d’étrangers sur votre pays en echange de la baisse de la dette ? En sachant qu'ils ont echoué tout ce qu'il ont entrepris. Ou voulez vous sortir de l'euro ? En quoi la sortie de l'euro est une solution ? en quoi celà règle-t-il leur problème ? S'ils répondent "je veux sortir de l'euro", il se passe quoi à la fin du mois pour payer les retraites, les salaires des fonctionnaires, ils payent avec quoi leurs importations alimentaires, etc ? Faut essayer de vivre dans le monde réel ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tioply stann Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 de toute facon euro ou drachme les grecques continuerons leurs sport national qui est la fraude fiscale !! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 En quoi l'euros impose des tarif prohibitif? C'est les grecs qui imposent des tarifs prohibitif pas l'euro ;) Les prix ne change pas parce qu'on change de monnaie!!! Le marché s'ajuste aussi vite que la monnaie s'évalue ou se dévalue. Pour les étrangers si ! Si le taux de change evolue avec 1 euro le touriste achetera plus de choses en Grece non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Pour les étrangers si ! Si le taux de change evolue avec 1 euro le touriste achètera plus de choses en Grèce non? Bah non ... sauf si les grecs se décide a le brader ... mais comme ils produisent rien ou presque je les vois mal brader se qu'ils ont du importer pour te le revendre! Quant au pur service ... a priori il suffit de baisser les salaires pour en baisser les couts et donc les prix. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 En quoi la sortie de l'euro est une solution ? en quoi celà règle-t-il leur problème ? S'ils répondent "je veux sortir de l'euro", il se passe quoi à la fin du mois pour payer les retraites, les salaires des fonctionnaires, ils payent avec quoi leurs importations alimentaires, etc ? Faut essayer de vivre dans le monde réel ! Ce qui est réel pour l'instant c'est le chômage passé de 7 a 16 % et le PIB qui se rétracte ;) . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Ce qui est réel pour l'instant c'est le chômage passé de 7 a 16 % et le PIB qui se rétracte ;) La grece est un pays qui n'a pas d'économie réelle! Fait le compte de ce qu'ils produisent effectivement tu vas te marrer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Et c'est en gardant une monnaie largement trop forte qu'ils vont attirer les investissements ? Si la Roumanie ou la Turquie attirent tant d'equipementiers et monteurs d'automobile c'est bien parce ces pays permettent de fabriquer hors zone euro. Ces pays étaient encore plus pauvres que la Grece. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Castor Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Je crois qu'il ne faut trop se focaliser sur le taux Euro/Drachme hypothétique, au dernière nouvelle l'euro n'est pas la monnaie d'échange internationale.A moins que la Grèce ai pris l'engagement de ne commercer qu'avec les pays de la zone euro, mais cela me semble un peu fantaisiste, elle n'est pas prisonnière du ce taux de change.De plus ce sera, comme dit précédemment, un paradis pour la délocalisation: main d'ouvre pas chère, proximité géographique, faiblesse politique et économique ...De plus on peut très bien penser que la Grèce sortant de l'euro d'autre pays en fasse de même, ce sera autant de partenaires possible hors de la zone euro. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Donc le choix c'est soit se serrer la ceinture un moment, soit devenir plus pauvre que des roumains pour essayer d'attirer des investisseurs ? On peut aussi rétablir l'esclavage, ça serait plus simple ou vendre le pays à la Chine qui en fera un parc d'attraction et prendre le Yuan comme monnaie !ça règle pas le problème des factures de la fin du mois ! pas de plan = pas de salaires pour les fonctionnaires ni de retraite, pas de pétrole dans les stations services, les usines ferment, il faut 10 milliards de drachmes pour acheter sa feta quotidienne = émeutes et pillage des magasins à court terme. Après, oui, ils seront pauvres.... très pauvres même, on pourra alors facilement les exploiter comme le suggère Montgros ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Castor Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Donc le choix c'est soit se serrer la ceinture un moment, soit devenir plus pauvre que des roumains pour essayer d'attirer des investisseurs ? On peut aussi rétablir l'esclavage, ça serait plus simple ou vendre le pays à la Chine qui en fera un parc d'attraction et prendre le Yuan comme monnaie ! ça règle pas le problème des factures de la fin du mois ! pas de plan = pas de salaires pour les fonctionnaires ni de retraite, pas de pétrole dans les stations services, les usines ferment, il faut 10 milliards de drachmes pour acheter sa feta quotidienne = émeutes et pillage des magasins à court terme. Après, oui, ils seront pauvres.... très pauvres même, on pourra alors facilement les exploiter comme le suggère Montgros ! Reste a savoir dans ce que tu dis si le serrage de ceinture servira a quelque chose et ou il en seront financierement parlant quand il sera fini, c'est a dire dans on sait pas combien de temps et avec on sait pas quelle reste d'economie... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aqva Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 En gros une politique de baisse des salaire pension etc. est aussi, sinon plus efficace pour redevenir concurrentiel qu'une succession de dévaluation/inflation, c'est d'ailleurs l'exemple allemand. Politiquement une baisse de salaires n'a aucune chance de passer (et les marchés le savent bien vu les troubles politiques), au contraire d'une politique de dévaluation qui baisse le salaire réel sans baisser le salaire nominal. Le problème dans la zone euro est que si ca convient bien à la grèce, ca ne va pas du tout à d'autres l'Allemagne en premier lieu. Il ne faut pas non plus avoir une attitude rigide et dogmatique sur l'inflation comme la BCE au mandat très restrictif: c'est la fin de la parité fixe peso-dollar et la très grosse dévaluation qui a suivi qui a permis la sortie de crise en Argentine. Là on est très loin du spectre du zimbabwe en Europe, l'inflation est à surveiller mais c'est aussi le cas de bien d'autres indicateurs qui sont tout aussi importants (je ne sais pas d'où vient cette obsession de l'inflation en particulier). Ce qui compte est que l'économie grecque retrouve ses fondamentaux, une monétarisation est peut être encore le meilleur moyen d'y parvenir et le moins pire politiquement. Le problème d'un retour au drachme est que tout le monde anticipera la chute du cours de drachme et achètera des euros à la place, annulant l'effet d'un retour à la monnaie nationale grecque. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 L'austerité deflationniste n'a donné aucun resultat. Que ce soit en Grece ou en Amerique du Sud par le passé. Une sortie de l'euro va entrainer une période difficile mais il vaut mieux cette sorte d’austérité là qui est un passage vers une économie réelle plutôt que l'illusion permise par l'endettement et qui n'a pas de porte de sortie. Comment des pays peuvent rester éternellement sans rien produire ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Il est évidant qu'avec le plan de jeudi dernier la Grèce aurait été sauvée? Rester dans l'Euro couple definitvement la Grèce. On le rembourse pas d'emprunt en empruntant. C'est absurde et ce que nous faisons depuis le début.Pour ce qui est de la vente à la Chine, cela a déjà commencé et nous nous aprettons à pire par la solution de jeudi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 ca sent la grosse panique http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20111101trib000660764/reunion-d-urgence-a-l-elysee.html Le président Nicolas Sarkozy a décidé d'organiser une réunion interministérielle ce mardi à 17 heures à l'Elysée après l'annonce surprise par le Premier ministre grec d'organiser un référendum sur le plan d'aide européen à son pays. Il s'est également entretenu au téléphone avec son homologie allemand. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Le problème n'est pas de savoir si le plan de la semaine dernière était aussi magnifique que ce qu'on a bien voulu nous en dire (en fait, il ne l'était pas tant que ça, mais il avait eu au moins le mérite d'exister).Le problème ici, c'est que les Grecs viennent de tuer des semaines de négociations pour qu'on puisse sauver ce qui peut l'être. Que leur referendum n'interviendra au mieux qu'en janvier. Et que d'ici là, ils peuvent faire faillite dix fois sans que personne ne bouge le petit doigt.Ils ont triché sur leurs statistiques, ils fraudent l'Etat, et ils voudraient en plus qu'on apure leurs dettes et qu'on les laisse faire comme avant ? Et puis quoi encore ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 C'est un beau pied de nez des grecs, la seule option qui semble rester est que la Grèce sorte de l'euro. ca va être apocalypse now. après ca adieu le AAA. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 La seule option qui semble rester est que la Grece sorte de l'euro. Comme aqva l'explique plus haut, ça risque de ne pas changer grand chose au sort de la Grèce ... vu que la richesse grecque est placé a l'étranger et en euros, et que la Grèce retourne a la drachme on risque d'avoir une économie parallèle en euros dans le pays. Et coté économie parallèle ils connaissent bien ;) Dans un pays assez réglo, ou les gens payent leur impôt, le travail est déclaré, et la monnaie locale et largement prédominente, changer de monnaie dévalué etc. peut faire passer la pilule, en échange d'inflation. Vu les mauvaise habitude grecques je suis pas convaincu que ca ait un effet très positifs, ou du moins que ce positifs compense tout le négatifs. Parce que payer en drachmes tout leur bien d'importation il risque d'avoir du mal a bouffer a partir du 15 du mois. En même temps si les grecs veulent sortir de l'euro, qu'ils y aillent moi je m'en fout ... il peuvent meme se payer une guerre contre les turques pour calmer la rue d'Athene s'ils veulent etc. d'un coté bon débarra. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Mais les gars! Elle est où la cohésion européenne? Bous savez, ces beaux sentiments que l'on nous déverse au quotidien pour nous culpabiliser et éviter de nous demander notre avis.La Grèce quittera l'Euro. C'est plié et bonne chance pour eux.Juste un petit détail: l'attaque est pire sur l'Italie. Or, dire que jeudi représentait une solution est un effet d'optique. Sur la partie grecque, on en a déjà parlé. La perte du AAA pour la France, c'est la fin du FESF. Défaut de payement de l'Italie, c'est la même chose. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Oui, visiblement, L'Italie est dans le collimateur des spéculateurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Comme aqva l'explique plus haut, ça risque de ne pas changer grand chose au sort de la Grèce ... vu que la richesse grecque est placé a l'étranger et en euros, et que la Grèce retourne a la drachme on risque d'avoir une économie parallèle en euros dans le pays. Et coté économie parallèle ils connaissent bien ;) Dans un pays assez réglo, ou les gens payent leur impôt, le travail est déclaré, et la monnaie locale et largement prédominente, changer de monnaie dévalué etc. peut faire passer la pilule, en échange d'inflation. Vu les mauvaise habitude grecques je suis pas convaincu que ca ait un effet très positifs, ou du moins que ce positifs compense tout le négatifs. Parce que payer en drachmes tout leur bien d'importation il risque d'avoir du mal a bouffer a partir du 15 du mois. Cela ne sera plus notre problème à partir du moment où ils auront quitté la zone euro. C'est un sacré pied de nez de leur part, mais maintenant les grecs n'auront plus d'excuses et vont devoir assumer leurs choix et actes. J'espère juste que cela permettra de lancer une dynamique de recentrage de l'Europe sur les pays fondateurs et que l'on arrête avec cette idiotie d'expansion de l'UE à l'Est. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Mais les gars! Elle est où la cohésion européenne? Bous savez, ces beaux sentiments que l'on nous déverse au quotidien pour nous culpabiliser et éviter de nous demander notre avis. La Grèce quittera l'Euro. C'est plié et bonne chance pour eux. Juste un petit détail: l'attaque est pire sur l'Italie. Or, dire que jeudi représentait une solution est un effet d'optique. Sur la partie grecque, on en a déjà parlé. La perte du AAA pour la France, c'est la fin du FESF. Défaut de payement de l'Italie, c'est la même chose. Le seul probleme de l'italie c'est cet abruti de Berlusconi ... et l'incapacité des autres acteurs politique a incarner un alternative sérieuse a ce bouffon. Economiquement l'Italie n'est pas en mauvaise santé, elle dispose d'industrie, d'agriculture, de service, de talents. Y a bien le probleme du travail au noir et de la mafia ... En gros des que l'Italie aura un gouvernement sérieux qui gouverne sérieusement, le risque politique s'évaporera. Il y aussi pas mal de marge de manœuvre fiscale en Italie, rien a voir avec le problème grec. J'espère juste que cela permettra de lancer une dynamique de recentrage de l'Europe sur les pays fondateurs et que l'on arrête avec cette idiotie d'expansion de l'UE à l'Est. Ca n'était pas une idiotie, c'était un sabotage délibéré de tout fédéralisme, vendu comme une assurance contre un hypothétique retour en force de l'ogre soviétique. Accessoirement les Allemands y voyait un avantage certain, en recentrant les flux, et en s'associant des pays ou il pourrait délocaliser leur production facilement et a moindre cout :) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/11/01/97002-20111101FILWWW00316-le-referendum-grec-menace-la-zone-euro.php.Grèce : la zone euro menacée (Fitch) La décision du premier ministre grec de soumettre à référendum l'accord sur le règlement de la crise de la dette souveraine en zone euro menace "dramatiquement" la stabilité financière de la Grèce et de la zone euro dans son ensemble, a averti mardi Fitch Ratings.L'agence de notation estime dans un communiqué qu'un rejet du plan récemment négocié par le gouvernement grec auprès de ses bailleurs de fonds internationaux "augmenterait le risque d'un défaut souverain contraint et désordonné" et "potentiellement d'une sortie grecque de l'euro". Fitch juge crucial "que la mise en place de la puissance de tir accrue du Fonds européen de stabilité financière (FESF) enregistre rapidement des progrès" et "que la Banque centrale européenne se tienne prête à intervenir sur le marché secondaire pour modérer la contagion aux pays solvables mais potentiellement illiquides, notamment l'Italie et l'Espagne". "L'incapacité à fournir une réponse globale et crédible à la crise grecque a été une source de contagion et d'instabilité financière et a accentué les pressions à la baisse sur les notations souveraines d'autres pays de la zone euro", conclut Fitch. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 1 novembre 2011 Share Posté(e) le 1 novembre 2011 Décidément, il y en a des abrutis en Europe. Heureusement qu'il y a une forte cohésion en Europe.Ces clowneries de côté:- le 10 ans italien est à 6,3%,- Papandreous démitionerait ce soir. Peut-être veut-il mourir de vieillesse? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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