alexandreVBCI Posté(e) le 12 janvier 2012 Share Posté(e) le 12 janvier 2012 Hein ? c'est exactement l'inverse ! "L'Union européenne vise à garantir une concurrence libre et loyale au sein du marché unique. Elle veille à ce que les entreprises se fassent concurrence et ne concluent pas d'ententes entre elles. La législation de l'Union interdit donc les accords qui restreignent la concurrence (comme les accords secrets conclus entre des entreprises pour maintenir des prix artificiellement élevés) et les abus de la part des entreprises détenant une position dominante sur le marché. C'est ce que l'on appelle la législation «anti-trust». La Commission dispose de compétences étendues pour interdire les activités anticoncurrentielles et infliger des amendes aux entreprises qui ne respectent pas les règles dans ce domaine."La commission a poursuivie Google, Microsoft, Intel, les groupes d'assurances, de l'énergie, dans le transport aérien ou ferroviaire, le gaz et l'électricité, les banques ou les assurances.... les amendes sont énormes et certaines fusions d'entreprises ont été interdites. L'UE lutte contre les monopoles d'état. Les lois anti-trust de l'UE sont constamment critiquées (surtout en france !) tout comme les principes du libre échange et de libre circulation des biens, capitaux, services et personnes qui vise à offrir une grande diversité de produits, à assurer un niveau élevé de protection aux consommateurs et à tirer les prix vers le bas en stimulant la concurrence. L'euro facilite la comparaison et la transparence des prix pour le consommateur ce qui accentue la concurrence entre entreprises au bénéfice des consommateurs, élimine les coûts de transactions d'un pays à l'autre, supprime les fluctuations de cours de change ce qui réduit ainsi l'incertitude sur le niveau des prix et la rentabilité future des investissements, et limite l'inflation. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 12 janvier 2012 Share Posté(e) le 12 janvier 2012 Oui effectivement c'est alexandreVBCI qui a raison.D'ailleurs si en France on a un des meilleurs réseaux internet du monde et une des connexions les moins cher aussi, c'est grâce à l'UE qui a obligé les différents pays européens à créer une instance (propre à chacun) qui s'assure que de telles pratiques n'ont pas lieu et cela à très bien marché, elle a agit avec un zèle certain et les résultats sont là. Ça a beaucoup moins bien marché en Allemagne par exemple ou les différents acteurs se sont vite entendu avant qu'une telle instance soit créée.Pour la téléphonie mobile cela aurait pu marcher, seulement échaudé par ce qui c'était avec internet les 3 ont tout fait pour s'entendre et surtout empêcher Free de rentrer sur ce marché, il y a eu un lobbying prodigieux de la part des 3, des recours, des procès, seulement et malgré les nombreuses pressions, l'état n'a pas cédé mais ce n'était pas gagné d'avance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 12 janvier 2012 Share Posté(e) le 12 janvier 2012 l'état n'a pas cédé mais ce n'était pas gagné d'avance. "L'état" a fait tout ce qu'il a pu pour retarder l'entrer d'un autre opérateur réel ... et si Niel a remercié Fillion c'est pas un hasard ;) Le baisé ici c'est certainement Bouygues Telecom, le petit acteur qui a jamais réussi a atteindre une taille critique par rapport au tres gros FT et au moyen Vivendi ... Bouygues qui est aussi le dindon de la farce internet et Canal Sat dans le sens ou les recette publicitaire s'effondre. Sauver le soldat Bouygues ca a longtemps été le leitmotiv aussi bien dans les arrangement coté média CSA que coté telco et ARCEP. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 12 janvier 2012 Share Posté(e) le 12 janvier 2012 http://info.sfr.fr/economie/articles/nouvelle-attaque-contre-35-heures,901613/#sfrintid=P_actu_slide1_mea1Est-ce une info ou de la propagande du MEDEF ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 12 janvier 2012 Share Posté(e) le 12 janvier 2012 http://info.sfr.fr/economie/articles/nouvelle-attaque-contre-35-heures,901613/#sfrintid=P_actu_slide1_mea1 Est-ce une info ou de la propagande du MEDEF ? Propagande de COE Rexode proche du MEDEF. leur études son régulierement démonté celle ci l'est déjà elle se base sur des hypothese fausse lié a un changement du mode de calcul. http://bercy.blog.lemonde.fr/2012/01/12/les-francais-travaillent-ils-moins-que-la-majorite-des-europeens-coe-rexecode-relance-le-debat/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 12 janvier 2012 Share Posté(e) le 12 janvier 2012 Mort de rire G4lly, :lol: et encore plus drôle la Grèce. :oops: http://www.presseurop.eu/fr/content/article/1383681-pas-d-austerite-pour-l-armee Frégates, blindés, chasseurs-bombardiers et sous-marins… Alors que les citoyens se serrent la ceinture, la Défense échappe aux coupes budgétaires. A la grande satisfaction des Etats fournisseurs — Allemagne et France en tête. Extraits. Claas Tatje L’homme a en tête la liste des commissions du ministère grec de la Défense : près de 60 avions de combat de type Eurofighter, pour peut-être 3,9 milliards d’euros. Des frégates françaises pour plus de 4 milliards, des patrouilleurs pour 400 millions ; et la modernisation nécessaire de la flotte hellène existante coûterait à peu près autant. A cela s’ajoutent les munitions pour les chars lourds Leopard, et il faut aussi remplacer deux hélicoptères Apache de fabrication américaine. Ah oui, et ça serait bien aussi de s’acheter des sous-marins allemands, pour un montant total de 2 milliards d’euros. Ce que débite notre homme dans un café d’Athènes a l’air absurde, mais il a ses entrées au ministère grec de la Défense. Un Etat au bord de la faillite, qui ne tient que parce qu’il est soutenu à coups de milliards par l’Union Européenne, veut procéder à un achat massif d’armements ? L'Allemagne, principal bénéficiaire On voit souvent notre interlocuteur sur les photos, à côté du ministre [de la Défense] ou de généraux ; il leur téléphone régulièrement, il sait donc de quoi il parle. Même lui estime que ces achats ne sont pas envisageables pour l’instant. Mais cela pourrait changer très vite, précise-t-il : "Si, en mars, la Grèce obtient le paiement de la prochaine tranche d’aide financière, qui devrait dépasser les 80 milliards d’euros, il est tout à fait possible que de nouveaux contrats d’armements soient conclus." Tout bonnement incroyable. Au printemps, nous saurons si la Grèce se maintient dans la zone euro ou si elle revient à la drachme. Le matin même où ces secrets nous sont dévoilés dans le café, les médecins athéniens ne traitent plus que les urgences, les chauffeurs de bus sont en grève, les écoles sont toujours à court de manuels et des milliers de fonctionnaires manifestent contre leur licenciement programmé. Le gouvernement grec annonce un nouveau train de mesures de rigueur qui n’épargnera presque pas un seul citoyen du pays. A moins qu’il ne travaille dans l’armée ou dans l’industrie de l’armement, deux secteurs qui donnent l’impression d’avoir réchappé presque sans dommages de toutes les campagnes d’austérité. En 2010, le budget grec de l’armement représentait environ 7 milliards d’euros. Soit plus de 3 % du PIB, un chiffre qui, au sein de l’OTAN, n’est dépassé que par les Etats-Unis. Certes, en 2011, le ministère de la Défense a réduit les nouvelles acquisitions de matériel de 500 millions d’euros. Mais cela n’aurait d’autre effet que d’augmenter les besoins futurs, d’après un spécialiste de la question. Parmi les partenaires de la Grèce au sein de l’UE, rares sont ceux qui s’expriment ouvertement en faveur d’un arrêt net et durable des projets militaires d’Athènes. Comme Daniel Cohn-Bendit, chef de file des verts au Parlement européen, qui pense que les hésitations européennes dissimulent de solides intérêts économiques. Or, le principal bénéficiaire de la politique grecque de l’armement serait justement le grand argentier de l’Union, l’Allemagne. D’après le Rapport sur les exportations d’armement de 2010, qui vient d’être publié, la Grèce est, après le Portugal – un autre pays proche de la faillite – , le plus grand acheteur d’équipements allemands. Des journaux espagnols et grecs ont même répandu la rumeur qu’Angela Merkel et Nicolas Sarkozy, encore à la fin du mois d’octobre, avaient invité en marge d’un sommet le Premier ministre de l’époque Georges Papandréou à honorer des contrats d’armements existants, voire à en conclure de nouveaux. Cela est-il conciliable ? Absolument pas, constate Hilmar Linnenkamp, un analyste du secteur : “Il était complètement irresponsable, au beau milieu de la grave crise économique que connaît la Grèce, ne serait-ce que d’évoquer la question des Eurofighter” [la Grèce a commandé 90 de ces appareils en 1999]. Mais il ne s’agit pas que de ces avions de combat. D’après le dernier rapport sur les exportations d’armement, en 2010, la Grèce aurait très exactement importé d’Allemagne 223 obusiers autotractés et un sous-marin. Montant total de la commande : 403 millions d’euros. Ces équipements ont joué un rôle considérable dans l’explosion de la dette publique d’Athènes. L'armée grecque : synonyme d'emplois et de sécurité Dimitris Droutsas est l’un des rares Grecs à s’exprimer ouvertement à propos de ces chiffres. Jusqu’en juin 2011, il occupait les fonctions de ministre des Affaires étrangères. "Si nous avons autant dépensé pour notre défense, ce n’est pas parce que ça nous amusait," explique-t-il. Il faut garantir la sécurité des frontières du pays face aux courants migratoires venus d’Afrique du Nord et d’Asie, et les tensions avec la Turquie seraient presque quotidiennes. "En tant que ministre des Affaires étrangères, l’après-midi, je recevais un bulletin du ministère de la Défense dressant la liste des violations de notre espace aérien par les Turcs." De plus, la Grèce a suivi avec inquiétude l’accroissement des activités de la marine turque en Mer Egée, et a vécu, il y a plus de 35 ans "l’invasion turque" de Chypre. Les autorités grecques n’ont pas à redouter de résistance de la part de leur population. Pour les gens, l’armée est synonyme de sécurité – et d’emplois. C’est énorme, dans un pays dépourvu de véritable industrie nationale. Les entreprises allemandes de l’armement l’ont compris depuis longtemps, et sont étroitement liées à leurs homologues hellènes. Du reste, les pressions de l’extérieur pour mettre fin à cette escalade militaire se font attendre. Conséquence : dans les mesures d’économie supervisées par une troïka d’experts du Fonds monétaire international, de la Banque centrale européenne et de la Commission européenne, le budget de la Défense est à peine pris en compte. Déjà, en 2010, il avait été préconisé de ne réduire le budget des acquisitions que de 0,2 % du PIB, soit 457 millions d’euros. Ce qui peut paraître beaucoup, mais il était proposé dans le même document que les prestations sociales soient elles dégraissées d’1,8 milliard d’euros. En 2011, la Commission européenne a certes recommandé “des réductions des dépenses militaires”, mais jusqu’à présent, il n’y a rien eu de plus concret. Le Parlement d’Athènes a été prompt à tirer parti de cette liberté. Dans le budget prévisionnel de 2012, il est envisagé de rétrécir de 9 % supplémentaires les prestations sociales, soit d’environ 2 milliards d’euros. Les contributions à l’OTAN, elles, devraient augmenter de 50 % pour atteindre les 60 millions, tandis que les dépenses courantes inscrites dans le budget de la Défense progresseraient de 200 millions, arrivant de fait à 1,3 milliard : une hausse de 18,2 %. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 12 janvier 2012 Share Posté(e) le 12 janvier 2012 Le beurre l'argent du beurre et le cul de la crémière, les grecs ont tout compris :lol:Pendant ce temps les négociation sur la décote/rachat de la dette privée n'avancent pas ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 12 janvier 2012 Share Posté(e) le 12 janvier 2012 Maintenant vu la pression que leur met la Turquie on peut comprendre qu'ils veulent s'armer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 12 janvier 2012 Share Posté(e) le 12 janvier 2012 "L'état" a fait tout ce qu'il a pu pour retarder l'entrer d'un autre opérateur réel ... et si Niel a remercié Fillion c'est pas un hasard ;) Le baisé ici c'est certainement Bouygues Telecom, le petit acteur qui a jamais réussi a atteindre une taille critique par rapport au tres gros FT et au moyen Vivendi ... Bouygues qui est aussi le dindon de la farce internet et Canal Sat dans le sens ou les recette publicitaire s'effondre. Sauver le soldat Bouygues ca a longtemps été le leitmotiv aussi bien dans les arrangement coté média CSA que coté telco et ARCEP. Oui mais je ne voulais pas lancer de polémique en disant que le gouvernement avait ralenti le processus (copinage et cie) et vu que l'instance qui chapeaute tout ça est un agence qui appartient à l'état j'ai raccourci ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Selon Reuters plusieurs pays européen noté AAA par S&P pourraient perdre leur note ce soir ...http://www.lemonde.fr/crise-financiere/article/2012/01/13/la-bourse-de-paris-dans-le-rouge_1629457_1581613.htmlPendant se temps toujours pas d'accord sur le rachat de créance privé de la dette publique grecque ... ils se sont donnés rendez la semaine prochaine, pour essayer de trouver un accord sur les nouveaux taux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Selon Reuters plusieurs pays européen noté AAA par S&P pourraient perdre leur note ce soir ... la seule info que je trouve, c'est que les Pays-Bas et l'Allemagne ne seraient pas concernés... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 la seule info que je trouve, c'est que les Pays-Bas et l'Allemagne ne seraient pas concernés... Allemagne, Luxembourg et Pays-Bas stable ... plus la Finlande. France, Espagne, Italie, Belgique, Portugal et Slovaquie dégradé, entre autres. Rumeur relayé par Reuters source UE... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Confirmé pour la France et repris par tous les journaux.............. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Avec les taux payes par la France qui avaient anticipe ca, franchement, est ce vraiment une nouvelle ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Que ce soit anticipé ou ou pas, l'agence de notation oriente le marché...Drôle de thermomètre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 on l'attendait, le voilaEN DIRECT - La France perd son triple A, selon une source gouvernementale18H45 - Ecart - Standard & Poor's menaçait depuis le 5 décembre d'abaisser la note de 15 Etats de la zone euro, dont les six notés "triple A". La perte du AAA français va consacrer un décrochage entre Berlin et Paris, les deux premières économies de la zone euro, même si les autres grandes agences internationales, Moody's et Fitch, attribuent toujours un "triple A" à la France.18H35 - Baroin repart - Le ministre de l'Economie et des Finances est sorti de l'Elysée vers 18H20, une heure et vingt minutes après son arrivée.18H30 - A gauche toujours - François Rebsamen, président du groupe PS au Sénat, évoque une "présidence de la dégradation de la France". "La présidence de Nicolas Sarkozy se termine par la perte de ce que son conseiller Alain Minc appelait +son trésor national+", ajoute-t-il.18H16 - Vienne ou Helsinki ? Selon une sources européenne, "l'Autriche ou de la Finlande" pourrait aussi être privée de son triple A.18H10 - Attentisme - La perte attendue du triple A risque risque d'affecter l'investissement et les embauches, déplore Jean-François Roubaud, le président de la CGPME. "Evidemment, on va être encore un peu plus dans l'attentisme", explique-t-il.18H02 - "Triple" - La perte du triple A constitue un "triple échec" pour le président Sarkozy, assène le député PS de Paris Jean-Marie Le Guen.17H59 - Appel de Mélenchon - Le candidat du Front de gauche à l'Elysée, Jean-Luc Mélenchon, lance un appel à "résister" à "la guerre de la finance contre la France" et convoque un rassemblement devant le siège parisien de S&P à 18H30.Un cran de moins17H50 - Conséquences - Les répercussions éventuelles d'une perte du triple A sont multiples, et dépendront de la réaction des marchés obligataires dans les jours à venir. Les taux auxquels l'Etat emprunte pour financer sa dette pourraient augmenter ; les collectivités locales, banques et grands groupes publics devraient en toute logique voir leur note abaissée ; le contexte économique pèserait davantage sur le chiffre d'affaires des entreprises ; et pour les particuliers, le risque de hausses d'impôts ou de nouvelles mesures de rigueur budgétaire est important.17H43 - LA FRANCE EST DEGRADEE D'UN CRAN PAR S&P, selon deux sources européennes. La nouvelle note de la dette à long terme française serait ainsi AA+. En décembre, S&P avait menacé d'abaisser la note de la France de deux crans.17H40 - Le CAC se maîtrise - La Bourse de Paris termine en repli de 0,11% à 3.196,49 points.http://fr.finance.yahoo.com/actualites/direct-france-perd-triple-selon-source-gouvernementale-142837558.html17H30 - Joly accuse - "La dégradation de la note de la France traduit l'échec de la politique du gouvernement et l'échec de la politique de Nicolas Sarkozy, de ses cadeaux fiscaux, et démontre que la politique d'austérité qui n'était pas demandée par les agences de notation de cette façon, a été inopérante", déclare la candidate EELV à la présidentielle.17H21 - Silence toujours - La ministre du Budget Valérie Pécresse ne confirme pas la dégradation de la note française et réaffirme que "la France est une valeur sûre". 17H17 - Irrémédiable ? - Il est possible, mais très difficile, de regagner un triple A perdu. En Europe, le Danemark l'a fait en 2001, la Finlande en 2002 et la Suède en 2004, après avoir redressé leurs finances publiques. Le Canada ou l'Australie sont aussi parvenus à récupérer la précieuse note. 17H14 - LE MINISTRE DE L'ECONOMIE FRANCOIS BAROIN EST ARRIVE A L'ELYSEE IL Y A QUELQUES MINUTES. 17H09 - Dégradation-sanction - "Perte du #AAA : malheureusement la sanction d'une politique budgétaire déraisonnable. Hélas, les Français en paieront le prix : double peine", lâche sur Twitter l'ex-ministre Corinne Lepage (Cap 21). 17H03 - Refinancement - Pour Renaud Murail, gérant d'actions chez Barclays Bourse, "depuis le début de l'année, les investisseurs se focalisent moins sur les commentaires d'agences de notation, mais davantage sur la capacité des états sous pression (comme l'Italie et l'Espagne) à se refinancer". 16H59 - Oracle - Christine Boutin ironise sur Twitter. "On me rit au nez quand je m?oppose au mariage homo. Mais on ferait bien de m?écouter parfois. J?avais annoncé la perte du #AAA. #Crise", tweete la candidate à l'Elysée du Parti chrétien-démocrate. 16H57 - Débarrassés - "Ca sera difficile à court terme pour les marchés mais, débarrassée de cette épée de Damoclès, la Bourse pourra repartir sur des bases plus saines et surtout plus sereines", juge Arnaud de Champvallier, directeur général de Turgot Asset Management. 16H56 - L'euro au plus bas - La monnaie européenne chute lourdement face au dollar ; elle est à son plus bas niveau depuis août 2010. 16H50 - Epilogue - "C'est la fin d'une histoire, c'était une annonce que l'on attendait et on va pouvoir enfin être tranquille et se focaliser sur d'autres choses", tempère aussi Xavier de Villepion, vendeur d'actions chez Global Equities. 16H42 - Modération - Les marchés relativisent. A cette heure, la Bourse de Paris recule de 1,06% à 3.163,84 points et, sur le marché obligataire, le taux de l'obligation française à dix ans ne monte que très modérément à 3,079% contre 3,032% jeudi à la clôture. Les marchés "ont déjà intégré depuis plusieurs semaines une perte du AAA français", commente Cyril Regnat, stratégiste obligataire. 16H36 - Au courant - S&P a informé les gouvernements de sa décision, indique la source gouvernementale européenne à l'AFP. 16H35 - No comment - Comme Standard & Poor's, le ministère des Finances "se refuse à tout commentaire". 16H30 - Paris uniquement - "La France perd son triple A", souligne cette source sous couvert de l'anonymat. Selon elle, d'autres pays vont sans doute subir le même sort mais Allemagne, Luxembourg et Pays-Bas seraient épargnés. S&P ne confirme pas pour le moment. EN DIRECT - La France a perdu son triple A, dégradée vendredi par l'agence de notation financière Standard & Poor's, a indiqué à l'AFP une source gouvernementale. La note AAA permettait jusqu'ici à Paris d'emprunter à moindre coût sur les marchés de la dette. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tactac Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Que ce soit anticipé ou ou pas, l'agence de notation oriente le marché...Drôle de thermomètre. Pas du tout. L'agence de notation n'oriente pas le marché vu que le marché a déja réagi depuis 2 mois à une dégradation éventuelle mais surtout à la détérioration de la situation. La décision des agences (d'une en l'occurrence) arrive bien après la "bataille". Je dirai même plus que la décision arrive enfin car les marchés ont "sur-dégradés" la France. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Et quelle est la nouvelle note ? C'est la note hahaha ? :lol:Ok je sors... O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berezech Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Je constate plusieurs trucs : - d'une part c'est normal vu la gouvernance calamiteuse. - d'autre part certains pays sont sciemment épargnés alors qu'ils sont dans une merde pire que nous (UK en tête) pour des raisons qui ne sont pas liés à leur situation financière. La BC de GB peut bien monétariser sa dette elle navigue à vue sans espoir de sortie de crise à long terme. - Allemagne, Luxembourg, Finlande, Pays Bas et Autriche sont menacés à terme. Observons le taux réel on verra si ça a un impact. L'agence de notation n'oriente pas le marché vu que le marché a déja réagi depuis 2 mois à une dégradation éventuelle mais surtout à la détérioration de la situation. Si on voit que les taux bondissent demain on peut quand même sérieusement se poser des questions. Les marchés avaient déjà un peu corrigé mais ça pourrait agraver les choses. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Les Banques ne veulent plus négocier avec la Grèce. En même temps les réformes, on les attends surtout la fiscalité. http://www.lepoint.fr/monde/les-banques-suspendent-les-negociations-sur-la-dette-de-la-grece-13-01-2012-1418873_24.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tactac Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Observons le taux réel on verra si ça a un impact. C'est la seule chose qui compte réellement. Si on voit que les taux bondissent demain on peut quand même sérieusement se poser des questions. Les marchés avaient déjà un peu corrigé mais ça pourrait agraver les choses. demain ? tu parles en jours ouvré ? :lol: perso, je pense que ça ne va pas aggraver les choses. Les marchés n'aiment pas l'incertitude et sur-corrige tant qu'ils n'ont pas de confirmation. Pour revenir à la crise, quand je vois la courbe des prix de l'immobilier qui a fortement augmentée partout en 2011-T3, soit on est à l'aube de l'éclatement q'une énorme bulle, soit cela annonce une reprise d'autant que l'activité est remontée aux US dans la même période. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Pour revenir à la crise, quand je vois la courbe des prix de l'immobilier qui a fortement augmentée partout en 2011-T3, soit on est à l'aube de l'éclatement q'une énorme bulle, soit cela annonce une reprise d'autant que l'activité est remontée aux US dans la même période. Il y a treeeeeees peu de transaction, beaucoup de ventes "forcées" par la fin des aides d'état, et des investisseurs qui essayent de se couvrir en investissant dans l'immo parce que c'est la seule chose qu'il leur inspire un tant soit peu confiance - le moins pire des investissement, faut bien mettre son cash quelques par pour par qu'il soit cannibalisé par l'inflation -. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 La Belgique n'est pas (encore ?) concernée par la dégradation de la note. Sinon pourquoi la Chine est juste AA alors que la pays est hyper riche et bourré de liquidités ? Elle pourrait avoir le AAA sans problème, non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 La Belgique n'est pas (encore ?) concernée par la dégradation de la note. Sinon pourquoi la Chine est juste AA alors que la pays est hyper riche et bourré de liquidités ? Elle pourrait avoir le AAA sans problème, non ? La lisibilité de la politique de change par exemple est un petit souci ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MontGros Posté(e) le 13 janvier 2012 Share Posté(e) le 13 janvier 2012 Que ce soit anticipé ou ou pas, l'agence de notation oriente le marché...Drôle de thermomètre. En réfléchissant c'est normal en fait. Ces agences previennent les prêteurs quand un emprunteur devient plus risqué. Les politiques ayant transformés les Etats en clients des banquiers (les S.V.T) comme les autres ca sera le même regime pour eux. Desolé d'être confus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés