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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha

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UBS est véritablement une honte nationale. A quand un contrôle étatique plus renforcé pour cette banque qui à tout de même été sauvée par la confédération ( à noter que quelques mois après, UBS nous faisait déjà du chantage à l'emploi  :P)

je tiens tout de même à rappeler en cette période électorale française  ;) que le secteur bancaire ne représente que 10% de notre PIB.

La vraie richesse de la Suisse vient des PME et autres industries de pointe ainsi que d'une bonne formation générale grâce à l'apprentissage.

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Une belle connerie de racontée à propos des billets :

La lettre dit bien dans quelle pays le billet a été imprimé. Par contre, il faut savoir que chaque imprimeur ( dont la Banque de France pour la France ) n'imprime que certain billet et pas toute la gamme. Il me semble que la France s'occupe des 5,10 et 20 €.

donc dire que les billets avec certaines lettres perdront de la valeurs est ridicule.

c'est simplement qu'une partie des billets ( quel que soit leur lieu de fabrication ) seront postmarqués avec "Franc" et le tour est joué.

Donc, c'est la Grèce qui imprime les 500€ pour toute l'Europe.

L'imprimerie de Chamalière fait du 5 au 50€ France. Celle de Chantepie, le reste.

Ce qui compte c'est bien cette lettre car en cas de retour au Franc, les U seront les seul concernés. Ils marquent la masse monétaire propre à la puissance française dans la zone euro. En cela, tous les billets ne se valent pas.

Un lien intéressant: http://fr.eurobilltracker.com/diffusion/

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Serge,

Chamalière imprime des billets pour plusieurs pays européens, pas uniquement la France. La production est répartie entre plusieurs fabricants au cas où l'un d'entre eux ait un problème, sans que tous fabrique toute la gamme ).

Au lancement de l'Euro, il y a eu un appel d'offre européen et la production a été répartie entre les imprimeurs selon le cout de fabrication et la qualité de leur production de test ( et pour avoir vu celle-ci de visu il y avait de sacrés différences entre imprimeurs et papetiers ).

Sur le lettre, je doute fortement que la France ne prenne plus de billet de 100, 200 et 500 €. Comme je l'ai dit, on récupérerait ce dont on a besoin le temps de faire sortir les francs.

Pour information, la fabrication des billets actuels va bientôt s'arrêter pour le lancement de la fabrication de la nouvelle gamme d'euro.

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Deux trois infos sont intéressantes dont les tickets de rationnement US.

Ce ne sont pas des ticket de rationnement mais des bon alimentaire ... c'est assez différent. Les américains ne sont pas rationner en bouffe, sino n il serait pas si gros :lol: ils sont juste sponsoriser pour bouffer ;)

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La bourse chute lourdement. Qui est étonné ?

Crédit Agricole à 3,60 Euros !  :lol:

Et le taux des emprunts français à 10ans monte

Qui est étonné ?

Par ailleurs cela montre le poids des marchés, une fois de plus, sur les politiques (et pas l'inverse)

Épitaphe : "ci git la démocratie, sacrifiée sur l'autel de la finance"

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Sertes. Mais la finance suit ce que la loi lui autorise. Qui vote les lois? Ceux que nous élirons bientôt.

Tout à fait, qui nous a mis à la merci de la finance internationale en laissant filer la dette? Nos politiques tous bords confondus.
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Sertes. Mais la finance suit ce que la loi lui autorise. Qui vote les lois? Ceux que nous élirons bientôt.

Et pour bien élire il faut avoir des informations. Qui les donne ? Les grandes chaines de TV, grandes radios, grands quotidiens...Et a qui appartiennent ces medias ? A ceux qui profitent de la dérégulation de la finance. Comment s’étonner que la couverture du referendum de 2005 fut un festival de propagande pour le oui ou que la plupart des articles sur l'Euro dans les grands medias sont complétement orientés alors que chez les économistes les avis sont beaucoup plus partagés.

Les journalistes seraient ils plus compétents que les universitaires ?

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Un numéro assez interpellant sur la supposée haine des riches des Français. On aiguiserait la guillotine semble-t-il...  O0

Ouais, ouais, la haine des riches ...

Sur la photo, il y en aurait quatre redevables de l'ISF si le barème n'avait pas été relevé par Sarko. Pour l'autrichienne ... eux, norvégienne  :-[ , je sais pas. (elle est autant aimée que Marie-Antoinette en son temps, faut dire ...)

Et pour bien élire il faut avoir des informations. Qui les donne ? Les grandes chaines de TV, grandes radios, grands quotidiens...Et a qui appartiennent ces medias ? A ceux qui profitent de la dérégulation de la finance. Comment s’étonner que la couverture du referendum de 2005 fut un festival de propagande pour le oui ou que la plupart des articles sur l'Euro dans les grands medias sont complétement orientés alors que chez les économistes les avis sont beaucoup plus partagés.

Les journalistes seraient ils plus compétents que les universitaires ?

Les choses ne sont pas aussi manichéennes.

Il y a qu'à voir comment ces mêmes médias (soit disant pro-finance ...  :rolleyes: ) ont fait une mélanchonite aigüe : ont artificiellement fait monter méchanlon pour avoir un débat/clash Mélanchon/LePen. Faut dire, c'est pas Flamby qui les fait fantasmer ...

Enfin tes médias libéraux ont servi la soupe au candidat trotkiste/lénino-ISF parce qu'il est médiatique. Pas mal, non ?

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La bourse chute lourdement. Qui est étonné ?

Crédit Agricole à 3,60 Euros !  :lol:

La mini crise des Pays Bas y est pour pas mal. C'était le bon éleve de la zone euro, celui qui soutenait l'Allemagne dans sa logique austere, et qui se déchire maintenant a ce sujet si tant est que son gouvernement n'a plus de majorité - bon ok elle était branlante avant déjà mais la le message est clair, pas d'austérité massive -.

Le second petit souci c'est la publication des prévision de croissance européenne ... mauvaise.

Le troisième petit souci mais c'est pas a court terme, c'est la crainte que la droite UMPiste n'arrive pas a se dépatouiller de sont voisins encombrant qu'est un front national a 20% au présidentielle et qu'en cas de déconvenue électoral ca pourrait bien amener si ça dure, a terme a une recomposition du paysage politique français ... chose assez mal vu des marché pour qui le bipartisme bien tranquille est ce qu'il y a de moins pire pour faire des affaires.

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Et pour bien élire il faut avoir des informations. Qui les donne ? Les grandes chaines de TV, grandes radios, grands quotidiens...Et a qui appartiennent ces medias ? A ceux qui profitent de la dérégulation de la finance. Comment s’étonner que la couverture du referendum de 2005 fut un festival de propagande pour le oui ou que la plupart des articles sur l'Euro dans les grands medias sont complétement orientés alors que chez les économistes les avis sont beaucoup plus partagés.

Les journalistes seraient ils plus compétents que les universitaires ?

Un peu facile l'excuse, la dette c'est de la ..dette. pas besoin de faire HEC pour comprendre les conséquences du sur endettement même à l'échelle d'un pays.

Le bon sens n'est pas mort.

On se foutait de la gueule de Bayrou quand il parlait de dette en 2007, on se fout de sa gueule aujourd'hui parce qu'il parle de produire en france...de quoi on parlera en 2017..enfin d'ici là.

Le niveau de la campagne a été au ras des pâquerettes, les candidats esquivent le débat sur la question financière, pourquoi?

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Le niveau de la campagne a été au ras des pâquerettes, les candidats esquivent le débat sur la question financière, pourquoi?

Parce que les électeur ne veulent pas en entendre parler ...

- tu veux expliquer au retraiter qu'on va mécanioquement baisser leur pension?

- tu veux expliquer aux épargnant que d'une maniere ou du autre on a va piocher dans leur épargne pour financer le pays?

- tu veux explique aux salarier qu'on va augmenter leur impot/taxe pour financer le pays?

- tu veux expliquer aux ruraux/rurbain qu'on va fermer leur mairie, leur école, et qu'on entretiendra plus leur route au frais de l'état?

- tu veux ecpliquer aux urbain qui reve de maison indicivudel que c'est plsu possible qu'il va falloir redensifier?

- tu veux expliquer ...

Le déficit de pédagogie qui date de mathusalem on va se le trainer longtemps. Et cette pédadogie est absolument indispensable pour que la population adherent aux actions des gouvernants. Cette adhésion est indispensable pour que les gens ne developpe pas de comportement dévitement a ce projet ... etc.

Ce projet et cette adhésion nous ne l'avons pas ... C'est d'ailleus ce que nous reproche le reste du monde.

- Ou va l'UE ... réponse nulle part, on ne sait pas, on a pas choisit on choisira plus tard bla bla.

- Quel est le projet économique de l'eurozone ... on ne sait pas, on choisira plus tard, bla bla.

- Quel solution vous développer a vos probleme de démographie et de croissance ... on a attend la croissance des autres.

Forcément qu'avec un vision et des projet aussi clair on avance a rien :lol:

Les chinois doivent bien se marrer eux qui preparent leur coup a 50 ans!

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Le niveau de la campagne a été au ras des pâquerettes, les candidats esquivent le débat sur la question financière, pourquoi?

Cette année voter, c'est choisir trois choses:

- un profil personnel,

- une méthodologie économique,

- une vision de la société, de la France.

Le point deux qui nous intéresse ici n'est pas abordé car la France fait le choix de confondre le libéralisme et le capitalisme de copinage d'une part, de se lier à une union qui nous limite dans nos choix d'autre part. Voilà pourquoi, quand les caisses sont vides et que l'on est plus souverain, les programmes ne peuvent être que fade.

Rajoutons à cela la prime au "mediatisme" de tel ou tel dans un pays vercé dans le relativisme, et nous obtenons ce que l'on a vu.

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car la France fait le choix de confondre le libéralisme et le capitalisme de copinage

Je pense quand même que la population aimerait autre chose mais qu'elle n'a plus de prise là-dessus. Quoique d'un autre côté quand on voit les scores des partis traditionnels (UMP, PS, FN quoi que l'on en dise) c'est à se demander si les gens ont bien compris. Mais qui proposait parmi les candidats une vraie rupture à part Poutou ?

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Le PS et l'UMP sont dans leur continuité.

Tous les autres partis sont pour la rupture. Il n'y a pas que monsieur Poutou.

Il semble que l'on soit dans une complète recomposition politique. Il est encore tôt. Il faut attendre les législatives de juin pour avoir plus d'élément.

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Il y a qu'à voir comment ces mêmes médias (soit disant pro-finance ...  :rolleyes: ) ont fait une mélanchonite aigüe : ont artificiellement fait monter méchanlon pour avoir un débat/clash Mélanchon/LePen. Faut dire, c'est pas Flamby qui les fait fantasmer ...

Enfin tes médias libéraux ont servi la soupe au candidat trotkiste/lénino-ISF parce qu'il est médiatique. Pas mal, non ?

Notons quand même que Melenchon est pour le maintien de l'€ et de l'U.E. Pas mal pour un anti finance. Pour moi c'est vraiment ca le marqueur qui vous met dans ou hors du système. Alors bien sur il annonce vouloir une autre Europe sauf que les vrais anti systeme mettent dans la balance la rupture des traités en cas d'echec des négociations.

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Je pense quand même que la population aimerait autre chose mais qu'elle n'a plus de prise là-dessus. Quoique d'un autre côté quand on voit les scores des partis traditionnels (UMP, PS, FN quoi que l'on en dise) c'est à se demander si les gens ont bien compris. Mais qui proposait parmi les candidats une vraie rupture à part Poutou?

La "rupture" c'est une bêtisé marketting.

L'évolution c'est pas de soit disant tout casser pour reconstruire du neuf. Une société a une continuité qu'on le veuille ou non, et s'assoir dessus c'est aller au devant de sévères déconvenues.

L'évolution est possible dans la douceur a la condition sine qua none ... qu'il y a un objectif clair, un chemin juste, et que le tout soit expliquer de manière suffisamment pédagogique pour qu'on obtienne l’adhésion de tous. Sauf que cette culture du consensus et de l'objectif a la long terme on ne la pas. L'objectif a long terme ça a été balayé par la droite, et pas ressuscité par la gauche, parce que ça faisait communiste, et le consensus c'est pas payant électoralement ... partant de la on est pas sorti de l'auberge.

Un des choix a établir par exemple c'est une Europe fédérale ou pas d’Europe - juste une CEE pour faciliter le business -. Ce choix personne ne veut l'établir on est parti du principe qu'il s'établirait tout seul avec le temps ... manque de bol c'est raté et personne ne sait ou l'on va. Déjà la c'est mal barré.

La droite classique disparaîtrait alors ? Resterait la gauche classique mais qui devrait s'allier avec une gauche plus... à gauche (NPA par exemple)?

Une voie probable - si l'UMP n'arrive pas a se dépatouiller de la présidentielle puis des législative - c'est une recomposition de la droite francaise avec les conservateur d'un coté et les libéraux de l'autre, comme ca se passe dans pas mal d'autre pays et un peu comme c'était avec l'UDF et le RPR. Sauf que les conservateur naitraient sur la fusion du FN - du moins de la partie électoralement "acceptable" - et des plus conservateur de l'UMP, et la parti "libéral bon teint" renaitrait sur l'ancien centre droit et sur la parti réellement libérale de l'UMP.

Ca impliquerai d'une certaine maniere la necessité d'alliance entre la gauche non-PS, le PS, les libéraux centriste, et les conservateur au gré des résultat des législatives, un peu a l'allemande. Avec une chance que c'est coalition induise une certaine modération, consensus et stabilité dans l'évolution législative au moins.

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