zx Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Il est clair que ce gene de solution est conditionné par une obligation de redressement et résultat de l'entreprise sur 1 à 3 ans et qu'une mise sous tutelle économique et une surveillance sera nécessaire pour vérifier qu'il n y a pas d'abus ou de mauvaise gestion (cela me semble élémentaire) voir dans ses choix stratégiques, si nécessaire mis à pied de la direction voir la dechoir de ses responsabilités, le tuteur aura son mot à dire et il pourra conseiller l'entreprisedans ses orientations (c'est du donnant donnant, ils beneficieront d'une sauvegarde financière mais ils seront sous contrôle) il pourra aussi recourrir au support de centres d'intelligence économique (à mettre en place) pour export,marketing,etudes de marchés,orientation stratégique,etc.., si elle reste toujours dans les choux malgrè cela, alors l'option de redressement/depot de bilan reprendra son cours. Quand une entreprise arrive en redressement, il y a une multitude de causes, mais il est généralement trop tard, l'entreprise est trop endettée pour être sauvée, il faut liquider et payer les fourniseurs et les salariés, il faut un filet de sécurité avant que ca s'ecroule. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Un des gros souci en France c'est que les entreprise se mette sous le statut de faillite/redressement infiniment trop tard. Plusieurs raison a cela. Le fonctionnement des tribunaux de commerce qui sont des véritable mafia de notable du coin, et qui a des interets assez particuliers souvent. Le fait que les statut de faillite/redressement sont extrêmement délétère sur les ventes, en gros en France on ne fait plus de business avec ce genre de boite, c'est trop risqué. Au USA le statut de faillite est infiniment plus avantageux et les entreprise n’hésite pas a s'y placer très tôt laissant du temps pour le redressement, et sans plomber leur ventes en faisant flipper les fournisseur et clients. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Un des gros souci en France c'est que les entreprise se mette sous le statut de faillite/redressement infiniment trop tard. Plusieurs raison a cela. Le fonctionnement des tribunaux de commerce qui sont des véritable mafia de notable du coin, et qui a des interets assez particuliers souvent. Le fait que les statut de faillite/redressement sont extrêmement délétère sur les ventes, en gros en France on ne fait plus de business avec ce genre de boite, c'est trop risqué. Au USA le statut de faillite est infiniment plus avantageux et les entreprise n’hésite pas a s'y placer très tôt laissant du temps pour le redressement, et sans plomber leur ventes en faisant flipper les fournisseur et clients. Le problème étant que dans de très nombreux domaine d'activité éco d'entreprise qui "vendent" a d'autres (on va dire dans le cas de "biens" & matière premières ou produits transformés intermédiaires ect) bien souvent une commande = une livraison, puis une facture qui arrive par courrier ect et un délai de paiement a 3 mois environ dans l'année fiscale ... (beaucoup d'entreprises se servent de ce genre de pratiques pour palier l'absence de capital "achat" et payent avec les rentrées sur l'activité éco qu'a permis la livraison, même si c'est pas "sain" et que le moindre pépin de ventes ou de marché peut alors te mettre dans une merde noire) Du coup mieux vaut éviter les entreprises en tant que clients qui sentent a des km l'incapacité d'honorer a temps ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Conceptuellement intéressant au regard des décisions politiques à venir:http://www.atlantico.fr/decryptage/licenciements-psa-nation-devoir-envers-peugeot-jean-yves-archer-419565.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Conceptuellement intéressant au regard des décisions politiques à venir: http://www.atlantico.fr/decryptage/licenciements-psa-nation-devoir-envers-peugeot-jean-yves-archer-419565.html Dans le canard enchaîné , le même Montebourg reconnaissait que Peugeot était dans le trou grâce à Renault qui avait complètement effondré le marché français en y commercialisant une marque Low Cost ... Et on pourrait rajouter après la lecture d'Atlantico, en délocalisant son siège social en Hollande, ce qui a signifié une grosse manne en impôts en moins pour le budget français Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Dans le canard enchaîné , le même Montebourg reconnaissait que Peugeot était dans le trou grâce à Renault qui avait complètement effondré le marché français en y commercialisant une marque Low Cost ... Et on pourrait rajouter après la lecture d'Atlantico, en délocalisant son siège social en Hollande, ce qui a signifié une grosse manne en impôts en moins pour le budget français Le plus amusant c'est de voir les commerciaux Renault te jurer que la Latitude est une voiture "francaise" :lol: alors que c'est une Samsung avec le logo renault collé dessus a Busan ... D'un coté le Libanais a bien joué le coup Renault Nissan on ne peut pas trop lui reprocher, meme si c'est au détriment du concurrent PSA. L'autre coté la famille Peugeot n'a qu'a s'en prendre qu'a elle meme en refusant de laisser grandir son bébé ... quitte a la l'étouffer et le regarder mourrir. Ca fait 30 ans qu'il pourrissent systématiquement tout les rapprochement possible, au profot d'accord au coup par coup a la petite semaine. Ajoutons a ça le sale coup de la répression routière qui a dégoutté - autre que bêtement utilitaire - les français de l'automobile ... et ça suffit a noyer le "lion". Ce qui est amusant c'est de voir parallèlement la trajectoire de Volkwagen AG durant les même 30 ans ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Est ce que Peugeot n'aurait pas pu jouer la carte du développement durable à la franchouillarde :Une Mercedes c'est un peu plus cher à l'achat mais c'est increvable ... Et la vente des pièces détachées plus chères certes reste aussi intéressante . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Est ce que Peugeot n'aurait pas pu jouer la carte du développement durable à la franchouillarde : Une Mercedes c'est un peu plus cher à l'achat mais c'est increvable ... Et la vente des pièces détachées plus chères certes reste aussi intéressante . Impossible, entre les échec commerciaux des vehciule électrique, aussi bien els scooter eque les 106 et la dieselisation a marche forcée meme en "taggant" tout leur modele au mazout FAPé, difficile de faire écolo et surtout d'espérer faire des sous avec. L'automobile c'est devenu un jeu pour les treeeees gros poisson, suffit de regarder la guerre totale que se livre Toyota et GM ... a grand coup de sabotage médiatique sur les danger des modele d'en face. La dedans Peugeot reste un petit constructeur, avec un taille compliqué a gérer, trop petite et trop grand publique pour devenir facilement mondiale, et trop grosse pour se suffire de marcher de niche aussi bien géographiquement que commercialement. On va voir ce que donne le rapprochement avec GM ... normalement ca devrait générer beaucoup d'économie de développement les deux marque se partageant plateforme moteur etc. De plus Opel n'est pas une mauvaise marque et a plutot une bonne image ... sauf quelle est encore plus mal en point que Peugeot du fait de la concurrence acharné avec VW sur le bas de gamme, et l'abandon de sa gamme haute qui concurrencait BM. [me=g4lly]se souvient encore des trajet en Opel Senator :lol:[/me] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Est-ce que Peugeot pourrait répliquer à Renault en lançant sa marque low-cost ? Que valait la Senator d'Opel ? Il y en a une près de chez moi et cette voiture est intrigante. :-[ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Dans le canard enchaîné , le même Montebourg reconnaissait que Peugeot était dans le trou grâce à Renault qui avait complètement effondré le marché français en y commercialisant une marque Low Cost ... RENAUT a juste fait son boulot. Rien de plus. Il appartient à Peugeot de ne pas se planter. Ils ont voulu rester à taille française. Après, avec toutes les primes, l'état français a modifié de façon artificielle la structure du marché. Il est évident que les entreprises ne peuvent pas s'adapter. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 PSA a bien relancé Citroën avec la gamme DS.Le groupe ne fait pas que des conneries.La fermeture d'aulnay n'annonce pas la mort du groupe, seulement sa restructuration en vue de la prochaine partie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 Le plus amusant c'est de voir les commerciaux Renault te jurer que la Latitude est une voiture "francaise" :lol:Quand on voit la gueule de la bagnole, et même si Renault a une période difficile en termes de dessins, c'est une insulte aux designers français. Rien de pire depuis la kangoo - qui a au moins un intérêt utilitaire - ou la fuego :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 PSA a bien relancé Citroën avec la gamme DS. Le groupe ne fait pas que des conneries. La fermeture d'aulnay n'annonce pas la mort du groupe, seulement sa restructuration en vue de la prochaine partie. Tout à fait. Mon propos n'est peut être pas pertinent en cela que je pense qu'il n'appartient pas à un gouvernement de dire que c'est la faute à tel ou tel concurrent. C'est plutôt à lui de faire son autocritique, qu'il ne fera jamais. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 D'autant plus qu'étant actionnaire de Renault, le gros concurrent hexagonal de PSA, qui fait de la diversification discount made in romania, il est mal placé pour faire la morale. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 On n'ignore pas la réactivité mais on a construit des murs juridiques et un système de protection sociale contraignant absolument pas adapté à la réactivité/flexibilité. Impossible de gérer les pics et les baisses de productions/ventes dans un système de gestion de personnel qui se veut linéaire. C'est une galère pas possible pour embaucher quelqu'un et c'est mille fois pire pour le licencier, le tout dans une incertitude fiscale permanente (impôts, taxes, contributions diverses et variées toutes prévues à la hausse... ça dissuade). Il existe bien une solution pourtant, mais en France personne n'en veux ... Ni a droite ni a gauche ... La solution a la suédoise Qui reste une solution de modèle sociale HAUTEMENT social démocrate, mais "pragmatique nordique" ... Flexisécurité ... On achète la flexibilité aux entreprises par des garanties sociales améliorées sensiblement : et en suède ça a marché ! Problème en France dès qu'on parle de flexibilité, même avec des garanties sociales augmentées (chomage garanti + longtemps, et a meilleur taux de salaire assuré + panel formatif ect) ça hurle ... A droite, dès qu'on évoque le fait qu'on va encore augmenter nettement les minimas sociaux du travail (conditions d'assurance chomage ect) en dédomagement a une flexibilité sur le code du travail : ils hurlent aussi ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 15 juillet 2012 Share Posté(e) le 15 juillet 2012 La solution suédoise pour Saab ca a été de vendre aux chinois.. ;)Quel bon exemple les scandinaves ont-ils à proposer en matière de politique industrielle? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 16 juillet 2012 Share Posté(e) le 16 juillet 2012 Ça c'est l'exemple que l'on devrait suivre :http://m.lesechos.fr/regions/p_loire/guillouard-perpetue-l-arrosoir-en-acier-0202163326302.htm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rochambeau Posté(e) le 16 juillet 2012 Share Posté(e) le 16 juillet 2012 Guerre économique : Peugeot contraint de renoncer au marché iranien Peugeot divorce de l’Iran… Peugeot PSA a pris la décision en février dernier de suspendre ses livraisons en Iran pour le mois de mars. Puis, la décision a été reconduite pour avril et tout laisse à penser que Peugeot va se désengager définitivement du marché iranien. A première vue, on pourrait penser qu’une telle décision a été motivée par de mauvaises performances commerciales ou la mise en œuvre d’une nouvelle stratégie où l’Iran n’aurait plus sa place. Il n’en est rien. En Iran, le groupe français détient près de 30% du marché, lequel représente 22% des volumes de la marque. Son partenaire Iran Khodro commercialise en effet avec succès des Peugeot 405 et 206, assemblées en Iran à partir de pièces détachées fabriquées sur le site de Vesoul en France. Usine Khodro à Téhéran, assemblage de la Peugeot 206 - photo upi.com La présence de Peugeot en Iran date de 1978. Le groupe français a su s’inscrire dans le paysage local, à tel point que la Peugeot 504 du président Ahmadinejad a connu son quart d’heure de célébrité lorsque ce dernier l’a mise aux enchères en 2010 pour financer un programme immobilier (cf. illustration en tête de cet article). Pourquoi donc Peugeot quitte l’Iran alors même que ce pays représente son premier débouché pour les véhicules particuliers devant la France (458 000 ventes en Iran contre 441 790 en France en 2011) ? … en se mariant avec General Motors Pour comprendre les raisons de cette décision, il faut revenir au 29 février dernier, date à laquelle Peugeot a annoncé avoir conclu une alliance avec General Motors (GM). Suite à la montée du groupe américain dans le capital de Peugeot à hauteur de 7%, les deux constructeurs s’engagent à développer des plateformes de production commune et à créer une coentreprise dans les achats. L’objectif est de parvenir à des synergies annuelles de deux milliards de dollars. Quand, quasiment au même moment, Peugeot annonce interrompre ses livraisons à l’Iran, il se défend de toute pression de GM et met en avant les problèmes de financement de ses activités en Iran du fait des sanctions internationales sur les transferts bancaires entre l’Europe et l’Iran : « Cette décision n’a pas été prise pour répondre à des pressions de GM. Nous faisons face à une situation géopolitique compliquée et les sanctions mises en place, notamment vis-à-vis des banques, ne nous permettent plus de garantir le financement de nos activités sur place. » Les activités de Peugeot en Iran existaient depuis 34 ans, survivant à la révolution islamique, à la guerre Iran-Irak, aux deux guerres du Golfe et aux sanctions internationales. Mais, soudainement, au moment même où l’alliance avec GM est conclue, ce n’est plus le cas – et il n’y aurait aucun rapport de cause à effet ? Voilà qui est difficile à croire. D’autant plus que de nombreux médias ont souligné le rôle actif tenu par un lobby américain anti-Iran pour faire pression sur les deux constructeurs afin que le Français cesse ses activités en Iran. Il s’agit de l’UANI (United Against Nuclear Iran). Si l’on s’en tient aux articles parus dans la presse française, on apprend seulement qu’il s’agit d’un « lobby » qui « fait pression sur des entreprises du monde entier pour qu’elles arrêtent de commercer avec l’Iran » (L’Usine Nouvelle), que c’est un « lobby hostile à l’Iran » (Le Monde), dont le directeur se nomme Mark Wallace, lui-même est décrit simplement comme « ancien ambassadeur américain aux Nations unies » (Le Figaro, Les Echos, Le Monde). Source et suite: http://www.theatrum-belli.com/archive/2012/07/16/guerre-economique-peugeot-contraint-de-renoncer-au-marche-ir.html#more Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 16 juillet 2012 Share Posté(e) le 16 juillet 2012 Pékin pourrait annoncer de nouvelles mesures de soutien à son économie. Alors que la croissance ne cesse de ralentir, le gouvernement chinois pourrait tenir précipitamment sa réunion économique de mi-année, selon le China Securities Journal. Le Premier ministre chinois Wen Jiabao a prévenu dimanche que "le rebond économique [n'était] pas stable". Le gouvernement chinois pourrait tenir dès mercredi sa réunion économique de mi-année pour présenter un programme destiné à stabiliser la deuxième économie mondiale, écrit lundi le China Securities Journal. Selon le CSJ, les autorités de Pékin s'apprêteraient à dévoiler une série de mesures de soutien à la croissance. Le Conseil d'Etat, ou conseil des ministres, se réunit généralement une ou deux semaines après la publication des données économiques du premier semestre. Or, la Chine a publié vendredi une série de statistiques économiques dont l'évolution du produit intérieur brut (PIB) qui avec un taux de croissance de 7,6% affichait un plus bas depuis trois ans. "Les difficultés pourraient continuer", selon Wen Jiabao Le Premier ministre chinois Wen Jiabao a prévenu dimanche que l'économie chinoise, deuxième du monde, risquait de devoir affronter des moments difficiles, ont rapporté les médias officiels. "Le taux de croissance économique est toujours compris dans la fourchette d'objectifs fixés par le gouvernement plus tôt cette année, et les politiques de stabilisation fonctionnent", a déclaré Wen en visite dans la province du Sichuan (sud-ouest), selon l'agence Chine Nouvelle. Mais "le rebond économique n'est pas stable et les difficultés pourraient continuer encore pendant un moment", a-t-il ajouté. En plus de son plus faible taux de croissance depuis trois ans enregistré au deuxième trimestre, l'économie chinoise souffre de restrictions sur l'immobilier et de surcapacités dans certains secteurs. Début juillet, la Chine a réduit son taux d'intérêt, pour la deuxième fois en un mois, un geste rare. Depuis décembre, le pays a aussi réduit par trois fois les réserves obligatoires des banques, pour leur permettre de prêter davantage. http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20120716trib000709178/pekin-pourrait-annoncer-de-nouvelles-mesures-de-soutien-a-son-economie.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 16 juillet 2012 Share Posté(e) le 16 juillet 2012 @Tactac dès qu'ils exportent ces produits chez nous avec des taxes douanières abaissées de par des accords bilatéraux (pour vendre des Rafales chez eux, par exemple) alors là, ils y a vraiment une concurrence déloyale. Non ce n'est pas le cas, les droits de douane sont déterminés non pas par des accords bilatéraux mais par des accords multilatéraux au sein de l'OMC. De plus en matière douanière aux frontières de l'UE c'est Tarif Extérieur Commun qui prévaut c'est à dire par nomenclature de produit un droit de douane équivalent pour tous les pays d'Europe. Ainsi si nous voulions accorder aux produits indiens ce que l'on appelle une "préférence tarifaire" il faudrait que nous fassions avaliser le projet par nos 26 partenaires ... De plus du fait justement des accords en vigueur au sein de l'OMC beaucoup de produits indiens ( habillement, ameublement etc ...) bénéficient d'ores et déjà de préférences tarifaires qui débouchent sur des droits nuls. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 17 juillet 2012 Share Posté(e) le 17 juillet 2012 --- Le modèle argentin connait ses premiers ratés --- Mardi 17 Juillet 2012 Présenté il y a encore quelques mois comme le modèle à suivre par les pays européens au bord de la banqueroute, le modèle argentin présente des signes de faiblesse de plus en plus inquiétants. Alors que certains observateurs qualifient ce qui a été présenté comme un miracle de fable pour occidentaux, son principal inspirateur admet qu'aujourd'hui l'économie argentine tourne à l'envers et que toutes les variables monétaires sont désajustées. Présenté il y a encore quelques mois comme le modèle à suivre par les pays européens au bord de la banqueroute, le modèle argentin présente des signes de faiblesse de plus en plus inquiétants. Alors que certains observateurs qualifient ce qui a été présenté comme un miracle de fable pour occidentaux, son principal inspirateur admet qu'aujourd'hui l'économie argentine tourne à l'envers et que toutes les variables monétaires sont désajustées. Le retour des Cacerolazos Le gouvernement de Mme Kirchner n'en abandonne pas pour autant sa ligne politique mettant en place de nouveaux obstacles aux importations ou la renationalisation de grandes sociétés pétrolières. L'expropriation des 51% d'YPF, filiale de Repsol, déclencha une grave crise avec l'Espagne, sa « mère-patrie ». Selon l’institut économique EcoLatina, fondé par Roberto Lavagna, ancien Ministre de l’économie argentin de 2002 à 2005, considéré comme le principal artisan du redressement économique de son pays : « l'inflation ne cède pas, la tension sur le marché de change persiste, la situation financière se détériore et les réserves internationales n'ont pas augmenté. Une tendance à la stagnation est réellement palpable ». Roberto Lavagna est encore plus sévère: « Nous sommes aujourd’hui face à une économie qui tourne à l’envers. Toutes les variables monétaires sont désajustées. Ce désajustement a un coût : moins de capacité à rivaliser sur le marché extérieur que nécessaire. Plus de pauvres que l'équité et l'équilibre politico-social peut en supporter. Les impôts directs et à la consommation sont trop élevés. Et les services publics n’arrivent plus à contenter la demande sociale. Pis, le Gouvernement est tenté par la mise en œuvre de mesures de court terme, contradictoires, avec des interventions croissantes, volatiles, autoritaires, discriminantes, une floraison de discours qui ne sont que coquilles vides. Autant d’échecs chaque jour plus perceptibles par le citoyen » confiait-il au site Clarin.com. Pour Christophe Ventura de Mémoire des luttes, le modèle argentin s'il n'est pas exempt de défauts serait plutôt victime de son succès et la multiplication des critiques à son encontre relève autant de l'opportunisme que de l'idéologie: « Ces attaques contre le modèle argentin s'inscrivent dans un contexte particulier. Même s'il ne faut pas sous estimer le problème de l'inflation chronique, l'Argentine a été longtemps présenté comme le contre modèle et il y a eu une campagne de plus en plus virulente notamment de la part des médias tels que The Economist ou le Financial Times quand a émergé le débat sur la possibilité d'appliquer les recettes argentines à la Grèce. Il n'en reste pas moins que l'Argentine est le seul pays au monde à proposer une telle politique redistributive et une politique de reconstruction du système économique par l'Etat. Le tout avec un certain succès. L'Argentine n'est pas aujourd'hui une économie en crise. Evidemment du point de vue des canons du capitalisme anglo-saxon, c'est une économie défaillante mais la priorité étant donné à la redistribution, je ne crois pas que le revenu moyen par habitants ait baissé sous la présidence des Kirchner. Bien au contraire ». Marianne2.fr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 17 juillet 2012 Share Posté(e) le 17 juillet 2012 Un petit projet de renationalisation des Malouines en perspective... Dans le coin, les politiques n'ont pas mieux pour détourner l'attention de la population. Le pire, c'est que ça marche très bien. Pourquoi s'arrêter ? :P Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 17 juillet 2012 Share Posté(e) le 17 juillet 2012 Marrant comme article: "Non, non. Il n'y a pas de problème. Notre priorité est la redistribution et on y arrive fort bien." et c'est comme cela que l'on présente l'économie! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 17 juillet 2012 Share Posté(e) le 17 juillet 2012 Petit résumé de la situation :On a 100 jours de très grand froid et un stock d’à peine 100 pelletées de charbon pour se chauffer, à raison d’une pelletée par jour pour avoir une température acceptable. Au bout d’une vingtaine de jours, les températures chutent lourdement et sont à un plus bas historique. On se décide à mettre deux pelletées de charbon dans le foyer chaque jour pour revenir à une température ambiante convenable. Malheureusement l’hiver est plus rude que prévu et il gèle à pierre fendre au dehors. Les températures chutent encore et l’on commence à ressentir le froid malgré les deux pelletées de charbon quotidiennes.On se décide à prendre le taureau par les cornes et à utiliser pas moins de trois pelletées de charbon par jour. Le stock de départ est quasiment épuisé. A l’extérieur, la température est plus rude que jamais. Une option resta alors de se risquer au dehors avec une pelle afin de récolter quelques pelletées de terre que l’on mélange au stock de charbon pour faire croire que le tas restant est plus épais… A la BCE, au FMI, à la FED, il reste désormais plus de terre que de charbon dans les stocks. L’hiver, d’une rigueur historique est parti pour durer. La terre ne brûle pas bien du tout. Tout le monde commence à avoir grand froid… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jojo67 Posté(e) le 17 juillet 2012 Share Posté(e) le 17 juillet 2012 Petit résumé de la situation : On a 100 jours de très grand froid et un stock d’à peine 100 pelletées de charbon pour se chauffer, à raison d’une pelletée par jour pour avoir une température acceptable. Au bout d’une vingtaine de jours, les températures chutent lourdement et sont à un plus bas Historique. On se décide à mettre deux pelletées de charbon dans le foyer chaque jour pour revenir à une température ambiante convenable. Malheureusement l’hiver est plus rude que prévu et il gèle à pierre fendre au dehors. Les températures chutent encore et l’on commence à ressentir le froid malgré les deux pelletées de charbon quotidiennes. On se décide à prendre le taureau par les cornes et à utiliser pas moins de trois pelletées de charbon par jour. Le stock de départ est quasiment épuisé. A l’extérieur, la température est plus rude que jamais. Une option resta alors de se risquer au dehors avec une pelle afin de récolter quelques pelletées de terre que l’on mélange au stock de charbon pour faire croire que le tas restant est plus épais… A la BCE, au FMI, à la FED, il reste désormais plus de terre que de charbon dans les stocks. L’hiver, d’une rigueur historique est parti pour durer. La terre ne brûle pas bien du tout. Tout le monde commence à avoir grand froid… Très bien vu, la terre mélangée au charbon c'est la simulation de la monnaie qui vaut de moins en moins, j'imagine... =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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