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Israël et voisinage.


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Un avion de famille flanker avec des technos israéliennes dessus. ça pourrait donner un joli résultat.

En tout cas belle initiative des israéliens !

+ 1 et les russes ne seraient pas perdants non plus  =) ........

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Un avion de famille flanker avec des technos israéliennes dessus. ça pourrait donner un joli résultat.

En tout cas belle initiative des israéliens !

Je penche plutôt pour un grand coup de bluff : tu me refiles pas de Raptor, je me tourne vers les russes. Il n' y aura pas de travail en commun au delà de l'intégration de tel ou tel élément, les US ne laisseront pas faire, en tout cas pas avec leur oseilles...

Surtout, moscou risque de perdre sa clientèle traditionnelle en cas de co-fabrication. Israel n'a pas aujourd'hui les moyens de s'opposer aux USA (ils en dépendent pour 100% de leur aviation !)

PGM

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Israël ne peut PAS bluffer avec ouachinguetone. Pourquoi? Parce que à la phrase:

"tu me refiles pas de Raptor, je me tourne vers les russes. "

on répondra:

"ok, pas de problème. On retire notre notre et nos prêts à taux zéro que vous rembourserez dans l'année et pas dans deux mille ans comme c'était prévu."

On ne négocie pas avec le gars qui vous tient fermement par les bourses... toutes les bourses.

Quand à la perte de clientèle pour Sukhoi en cas de contrat avec Israël... Il y a déjà toute une batterie de composantes israélienne (toute la suite ECM et les leurres) des MKI qui est israélienne et ça n'a jamais embêté personne.

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Israël ne peut PAS bluffer avec ouachinguetone. Pourquoi? Parce que à la phrase:

"tu me refiles pas de Raptor, je me tourne vers les russes. "

on répondra:

"ok, pas de problème. On retire notre notre et nos prêts à taux zéro que vous rembourserez dans l'année et pas dans deux mille ans comme c'était prévu."

On ne négocie pas avec le gars qui vous tient fermement par les bourses... toutes les bourses.

Quand à la perte de clientèle pour Sukhoi en cas de contrat avec Israël... Il y a déjà toute une batterie de composantes israélienne (toute la suite ECM et les leurres) des MKI qui est israélienne et ça n'a jamais embêté personne.

Ok Berkut, tu as sans doute raison, mais israel n'est pas a l'égard des USA, un allié comme les autres....et leur capacité a influer sur le congrés est réelle, surtout dans cette période ou Obama est mis en difficulté. Je me souviens que lorsqu'israel était a 2 doigts de vendre un appareil type Awacs aux chinois, il a fallu aux USA de nombreux mois de négociation, et même verser une contrepartie à israel pour  ceux-ci abandonne le projet ! je suis pas certains que ce qu'à fait le père Bush avec shamir, puisse se refaire aisément. Ou alors israel sachant pertinament qu'il ne pourront mener a bien ce projet, espère une récompense pouur l'abandon du projet. Ils sont passés maitre dans ce type de  chantage.

PGM

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Et que se passera t il si Israël va clairement à l'encontre de la politique US? Je ne parle des petites incartades qu'on lui connaît, mais d'une vraie opposition, ce sera simple, un grand coup de pied au cul pour rappeler au premier ministre du moment que sans le soutien des states, Israël n'existerait tout simplement pas/plus

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Et que se passera t il si Israël va clairement à l'encontre de la politique US? Je ne parle des petites incartades qu'on lui connaît, mais d'une vraie opposition, ce sera simple, un grand coup de pied au cul pour rappeler au premier ministre du moment que sans le soutien des states, Israël n'existerait tout simplement pas/plus

Pas sur, il me semble que avant 1967, les israéliens ne dépendaient pas des States, si ce n'est de l'aide financière par le biais de la diaspora.

C'est après l'embargo de la France qu'ils se sont tournés outre-atlantique.

Je n'en suis pas certain, mais les spécialistes en histoire du forum, me répondront.

M'enfin bon, la situation a bien changé. Et je doute qu'aujourd'hui, il puisse réellement se passer des US.

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Pas sur, il me semble que avant 1967, les israéliens ne dépendaient pas des States, si ce n'est de l'aide financière par le biais de la diaspora.

C'est après l'embargo de la France qu'ils se sont tournés outre-atlantique.

Je n'en suis pas certain, mais les spécialistes en histoire du forum, me répondront.

M'enfin bon, la situation a bien changé. Et je doute qu'aujourd'hui, il puisse réellement se passer des US.

Et vous avez tout à fait raison, avant la guerre des 6 jours, la France du Général était le premier fournisseur d'armes à Israël, en témoigne les interminables débats concernant la place des Mirage III dans la victoire de 1967, déjà en 1956, les Israéliens entraient en territoire égyptien (entre autres) à bord d'AMX 13. Dernier détail, à l'importance insignifiante, c'est grâce (oui) à la France qu'Israël a obtenu l'arme atomique, ou du moins les connaissances nécessaires à son obtention, à travers notamment le réacteur expérimental de Dimona dans le désert du Negev (on peut le voir sur google earth) offert à Israël dans les années 60.

Oui, il fut un temps ou les Etats Unis n'étaient pas les premiers fournisseurs (voir exclusif…) de Tsahal.

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http://www.cyberpresse.ca/international/moyen-orient/200909/02/01-897982-israel-menerait-une-guerre-secrete-contre-liran.php

Même si sa progression inquiète l'Occident, le projet nucléaire iranien accumule les tuiles depuis quatre ans. Disparition de scientifiques de haut niveau, écrasement de deux avions cargo transportant de précieux équipements, explosions dans des laboratoires... Selon un journaliste israélien réputé, ce ne sont pas des accidents. Il s'agit d'une guerre secrète menée par le Mossad, l'agence d'espionnage israélienne.

«Le Mossad s'est complètement réorganisé depuis 2002 et a redirigé ses efforts sur un objectif unique, l'Iran», explique en entrevue téléphonique Ronen Bergman, journaliste au quotidien israélien Yedioth Ahronoth, qui a publié le livre The Secret War With Iran. «Il y a énormément de pression pour que des opérations de sabotage et d'assassinats soient effectuées contre le programme nucléaire et le soutien iranien au Hamas et au Hezbollah.»

Ce printemps, le journaliste ajoutait, dans un essai publié par le Wall Street Journal, une deuxième conclusion à son livre: l'espionnage israélien est revenu aux plus hauts niveaux et accumule les succès, mais ne parvient pas à diminuer le niveau de danger pour Israël.

«La réalité sur le terrain n'a pas changé. Le Hamas et le Hezbollah sont encore populaires et l'Iran pourrait avoir sa première bombe en 2010. L'espionnage est très important, mais seules les décisions diplomatiques et militaires permettront d'assurer la sécurité d'Israël. De la même façon que les attentats terroristes ne peuvent pas vaincre Israël, l'Iran ne pourra pas être vaincu par le travail de sape du Mossad.»

La renaissance du Mossad a été l'oeuvre du général Meir Dagan, placé à sa tête en 2002 par Ariel Sharon. «Dagan dirigeait dans les années 1970 une unité secrète qui assassinait des hauts dirigeants du Fatah, dit M. Bergman. Il a reçu le mandat de transformer le Mossad, qui était devenu allergique aux risques opérationnels. Sharon voulait «un Mossad avec un couteau entre les dents». Dagan a mis l'accent sur les opérations contre l'Iran et a développé un réseau très étoffé de collaborations avec les agences d'espionnage européennes et du Moyen-Orient, pour compléter la collaboration avec la CIA

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Avant de débattre de la chose, il convient de faire la mention préalable et nécessaire de toute méthode analytique, à savoir la relativisation ou la critique des sources: le journal mentionné, malgré sa qualité, reste réputé pour un certain sensationalisme plus ou moins partisan selon les sujets. Et le journaliste en question n'est certainement pas neutre sur la question; le site http://www.thesecretwarwithiran.com/, lié à ce journaliste, est très peu nuancé quand on en arrive au sujet de l'Iran, et a pas mal d'accents militants.

Il n'en demeure pas moins qu'il ne s'agit pas non plus de pamphlets idéologiques gratuits: la documentation est abondante et le sérieux du personnage est certain. Mais comme toujours, les pincettes sont de rigueur quand on voit des phrases peu nuancées sur la guerre de l'ombre opposant les "forces de la terreur" contre aux occidentaux.

Cela renvoie d'abord au fait qu'il s'agit d'une vue très israélocentrée et très moyenorientocentrée, surtout quand on en vient à la vision donnée d'une espèce de conflit mondial. De ce côté, ce postulat n'est que le versant israélien de la vision idéologique et surtout médiatique de la War on Terror qu'Obama a d'ailleurs déclarée "terminée" (ça me fait penser à ce film avec Dustin hoffmann et Robert de Niro organisant la médiatisation d'une fausse guerre parce que le président a couché avec une petite scout.... Le candidat adverse, qui n'a pu la nier, la déclare terminée au cours du film  :lol:).

Faut rappeler qu'à l'heure de la crise mondiale, des problèmes globaux de ressources qui pointent, de l'éventuelle crise écologique, de la concurrence géopolitique USA-Chine, du nouveau containment américain de la Russie.... Cela est quand même un affrontement "provincial", même s'il ne s'agit pas d'une blague non plus. C'est pourquoi il convient de relativiser la dimension et l'enjeu apocalyptique que la thèse de l'auteur donne au sujet, et qui reflète surtout une vision proprement et uniquement israélienne de la situation.

Qui plus est, c'est une vision proprement absolue et absolutiste (dans le sens où elle essaie d'embarquer le lecteur, y compris non israélien, dans sa logique unique) dans ce point de vue particulier (Israël étant un acteur local, structurellement en défensive, et non global, ce problème représente son horizon quasi entier), qui se présente comme une lutte à mort et un enjeu fondamental.

Pour nous, et dans une vision plus globale, c'est un enjeu relatif. Et au-delà, on peut aussi douter de la vision absolument limitée que cela donne de l'Iran.

Cela étant dit, ça donne des nouvelles du Mossad, apparemment reparti au charbon depuis que Sharon lui a mis un coup de pied au cul.

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Mais bon, le Mossad est capable d'assassiner des personnages clés ou faire sauter les usines mais incapable d'apporter les preuves définitives de la dimension militaire du programme iranien???

Pourquoi faire?

Collin Powell avait bien apporte des preuves definitives sur le programme NBC Irakien...

Il vaut certainement mieux agir clandestinement, que d'agiter des petits tubes plein d'une poudre mysterieuse devant le conseil de securite.

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Pourquoi faire?

Collin Powell avait bien apporte des preuves definitives sur le programme NBC Irakien...

Il vaut certainement mieux agir clandestinement, que d'agiter des petits tubes plein d'une poudre mysterieuse devant le conseil de securite.

Pour rallier la communauté internationale. Pour les américains, le programme nucléaire militaire a été stoppé à la chute de Saddam mais il pourrait être repris, si les israéliens ont la preuve que le programme nucléaire iranien a une dimension militaire, il faudrait peut être le partager avec les autres pays.

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Une réalisation intéressante :

Un parc industriel franco-palestinien lancé à Bethléem

Pour la première fois depuis l'arrivée au poste de premier ministre de Benyamin Nétanyahou, en mars, une rencontre a réuni, mercredi 2 septembre, à Jérusalem, le ministre israélien du développement, Silvan Shalom, et le ministre palestinien de l'économie, Bassem Khoury. Cette rencontre avait pour objectif l'amélioration de la circulation des biens et des personnes dans les territoires palestiniens, et entre Israël et ces territoires, soumis à un quadrillage très strict par l'armée israélienne depuis la deuxième Intifada. Ce quadrillage est le principal obstacle auquel se heurte l'économie palestinienne, qui a enregistré au cours des dernières années une récession sans précédent.

Cette rencontre intervient à quelques semaines de l'inauguration officielle d'un parc industriel à Bethléem, en Cisjordanie, signe ténu mais réel d'une amélioration de l'économie, qui contraste avec le blocus imperméable de la bande de Gaza, maintenue dans une situation inquiétante.

Lancé par le président français Nicolas Sarkozy en juin 2008, le projet de Bethléem a vu le jour avant des initiatives similaires mais plus anciennes soutenues par le Japon, l'Allemagne et la Turquie. Une rapidité relative qui s'explique principalement par le choix de situer ce parc en zone A, c'est-à-dire dans la petite partie des territoires contrôlés exclusivement par l'Autorité palestinienne en Cisjordanie, et non en zone B et C, où Israël continue d'être le seul responsable en matière de sécurité.

Le parc est un projet entièrement franco-palestinien, financé à parts égales par les deux parties. L'Agence française de développement (AFD) s'est impliquée pour 10 % des 50 % de la partie française, les 40 % restants ont été apportés par une fondation présidée par la philanthrope belge Corinne Evens. Côté palestinien, 40 % des fonds appartiennent au privé, soutenu par la Chambre de commerce de Bethléem. Le projet doit permettre, selon Bassem Khoury, "la création de 500 emplois par an pendant cinq ans".

"LA PAIX ÉCONOMIQUE"...

Pour obtenir des Israéliens les autorisations nécessaires, la partie française a choisi de confier une mission de bons offices à une conseillère UMP de Paris, Valérie Hoffenberg, par ailleurs directrice pour la France de l'American Jewish Committee. "Je crois à ce projet, il doit non seulement redonner l'espoir à toute une région, mais aussi constituer une bonne affaire", estime-t-elle. En août, cette conseillère a d'ailleurs été nommée "représentante spéciale de la France pour la dimension économique, culturelle, commerciale, éducative et environnementale du processus de paix au Proche-Orient". Cette nomination a été contestée par l'association France-Palestine Solidarité, arguant du soutien apporté à Israël par l'American Jewish Committee.

Le projet de parc de Bethléem a fait l'objet d'un rare consensus entre Israéliens et Palestiniens. Alors que les discussions politiques sont au point mort depuis plus d'un an, l'initiative s'insère dans le concept de "paix économique" développé par M. Nétanyahou à l'occasion des élections de février.

M. Khoury et Mme Hoffenberg divergent sur certains aspects de la situation propre à Bethléem, notamment le tracé de la "clôture de sécurité" érigée en Cisjordanie par Israël pour prévenir officiellement les infiltrations, et dénoncée par les Palestiniens. Mme Hoffenberg juge ainsi qu'elle est "bienvenue si elle a permis de ramener la confiance" entre Israéliens et Palestiniens. Mais l'un et l'autre se disent convaincus que des mesures d'assouplissement ne peuvent permettre de faire l'économie de négociations politiques. "La paix économique, c'est une farce", assure M. Khoury.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/09/03/un-parc-industriel-franco-palestinien-lance-a-bethleem_1235318_3218.html

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Israël négocie dur.

http://www.lalibre.be/actu/international/article/526639/netanyahu-accepte-un-gel-partiel-de-la-colonisation-en-cisjordanie.html

Netanyahu accepte un gel partiel de la colonisation en Cisjordanie 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accepté un gel partiel de neuf mois de la colonisation en Cisjordanie à la demande des Etats-Unis, a annoncé jeudi la deuxième chaîne de télévision privée israélienne.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accepté un gel partiel de neuf mois de la colonisation en Cisjordanie à la demande des Etats-Unis, a annoncé jeudi la deuxième chaîne de télévision privée israélienne. Ce gel porte sur la construction de nouveaux logements dans les colonies, où vivent 300.000 Israéliens. En revanche, le gel ne concernera pas les 2.500 logements en chantier dans ces implantations, ainsi que les bâtiments publics, ni la dizaine de quartiers israéliens de Jérusalem-Est, où habitent 200.000 Israéliens, a ajouté la télévision sans citer de sources.

En échange, des pays arabes tels que le Qatar, Oman, la Tunisie et le Maroc auraient donné leur accord à l'ouverture de représentations commerciales israéliennes sur leur territoire, a ajouté la télévision. Aucun accord n'est en revanche intervenu entre Israël et les Etats-Unis sur ce qui se passera à l'issue des neuf mois de gel partiel, a poursuivi la télévision. M. Netanyahu cité par la télévison a indiqué à ses partenaires de la coalition qu'il était parvenu "à transformer l'exigence américaine d'un gel total en un gel partiel et provisoire".

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je ne vois pas trop où est le progrés  : en gros :

- la colonisation continue à Jérusalem-est

- elle continue de façon modérée en cisjordanie ( 2500 logements )

- qu'en est'il de la fameuse colonisation pour la démographie "naturelle" des colons ?

- qu'en est'il et qu'en sera'til des colonies dites sauvages ouvertes par les "extrémistes" ? vont'elles/seront'elles démentelées ?

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La Haute Cour de justice a décidé à la suite d'une recommandation policière d'inculper le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman. Le procureur général devrait présenter un point sur l'enquête dans les trois mois.

(Guysen.International.News / 2009-09-06 15:06:00 ISRAEL)

Visiblement, Liberman risque fort de perdre sa tête. Il avait dit qu'il démissionnerait si il est inculpé.

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Bibi avait disparu ...

Pendant ce temps là il était "secrètement" a Moscou pour négocié l'arret des export d'armes sensible vers l'Iran et la Syrie.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/09/10/le-jour-ou-benyamin-netanyahou-tenta-de-disparaitre_1238491_3218.html

Où donc le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a-t-il passé la journée du lundi 7 septembre ? Depuis trois jours, la presse israélienne se fait l'écho de rumeurs contradictoires et des tentatives maladroites des membres du cabinet du premier ministre pour y couper court. Le quotidien Haaretz du jeudi 10 septembre a décidé de ne plus tergiverser : M. Nétanyahou était bien à Moscou dans le cadre d'un voyage "secret" et... rocambolesque, lié au programme nucléaire iranien.

Un conseiller du premier ministre, contacté mercredi soir, s'en tenait à la version officielle, répétée mordicus depuis quarante-huit heures : le chef du gouvernement visitait "une installation militaire en Israël". Mardi, les rumeurs ont pris de l'ampleur : M. Nétanyahou aurait en fait passé la journée au quartier général du Mossad, les services de renseignements extérieurs, dans la banlieue de Tel-Aviv. La radio militaire avait confirmé dans un premier temps, pour ensuite revenir à la version officielle.

Le chef du gouvernement ayant "disparu" pendant près de douze heures, les investigations se poursuivirent, d'autant que le conseiller de presse de M. Nétanyahou avouait qu'il ne savait pas où se trouvait, lundi, son patron... Le journal Yediot Aharonot fut le premier, mercredi, à dévoiler ce qui est présenté aujourd'hui par la presse comme la vérité. Et les détails abondent : pour conserver la plus totale confidentialité, le bureau du premier ministre a cru bon de louer un petit avion privé au groupe Merhav dirigé par l'homme d'affaires Yossi Meiman, pour un coût estimé à 20 000 dollars.

Missiles sol-air

A bord auraient pris place, outre M. Nétanyahou, son attaché militaire, le général Meir Kalifi, et son conseiller pour la sécurité nationale Uzi Arad. Les ministères des affaires étrangères et de la défense, la plupart des collaborateurs du premier ministre, l'ambassade d'Israël à Moscou, n'auraient pas été informés. A Moscou, les services de presse du président Medvedev et du premier ministre, Vladimir Poutine, ont mollement démenti la moindre rencontre avec le premier ministre israélien. Mais le Yediot Aharonot et le Haaretz n'ont aucun doute : M. Nétanyahou, comme l'avait fait le président Shimon Pérès le 19 août, est allé demander aux autorités russes de ne pas honorer le contrat passé avec l'Iran pour la fourniture de missiles sol-air S-300.

Ce système de défense antiaérienne, l'un des plus perfectionnés au monde, compliquerait sérieusement la tâche d'éventuelles frappes aériennes israéliennes si le gouvernement décidait de s'attaquer aux installations nucléaires iraniennes. Mercredi soir, une certaine confusion régnait parmi les collaborateurs du premier ministre. Les uns s'en tenaient à la version officielle, tandis que le général Meir Kalifi expliquait que pour des raisons de "sécurité d'Etat, on peut parfois ne pas dire toute la vérité"...

Visiblement c'est pas le premier voyage express et discret a Moscou, au sujet des exports d'armes...

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Mais non, ce sont les éléments non arrêté de la cellule palestinienne qui prévoyait des attentas contre la finul et des tires de roquettes. Espérons que le Hezbollah n'entre pas dans le jeu

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  • 3 weeks later...

Libération prévu de 20 prisonnières juste pour une vidéo sur Shalit  :O :

http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-40498021@7-60,0.html

Mode cynique : Est ce une manière de faire des économies pour l'administration pénitentiaire en période de Crise ?

L'Egypte parle de 1000 prisonniers à libérer en échange de la libération de Shalit. "C'est le prix à payer".

Ce qui est intéressent, c'est que les 20 prisonniers libérés ont des origines diverses et variées. Seulement une devra revenir à Gaza,le reste étant des prisonniers du Hamas en Cis jordanie ou des prisonniers FLP/Fatah/jihad Islamique/martyr d'Alaqsa etc.

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