FATac Posté(e) le 13 novembre 2018 Share Posté(e) le 13 novembre 2018 (modifié) Heureusement, ce n'est pas un accident, mais seulement un incident : https://www.ouest-france.fr/economie/transports/avion/un-avion-devenu-incontrolable-atterrit-en-urgence-au-portugal-6062793 L'avion sortait des ateliers de chez OGMA. C'est pas eux avec qui nous avions eu du tirage sur l'entretien de nos C-130 ? Modifié le 13 novembre 2018 par FATac 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TarpTent Posté(e) le 13 novembre 2018 Share Posté(e) le 13 novembre 2018 Il y a 7 heures, FATac a dit : Heureusement, ce n'est pas un accident, mais seulement un incident : https://www.ouest-france.fr/economie/transports/avion/un-avion-devenu-incontrolable-atterrit-en-urgence-au-portugal-6062793 L'avion sortait des ateliers de chez OGMA. C'est pas eux avec qui nous avions eu du tirage sur l'entretien de nos C-130 ? Il aurait quand même pu faire un effort : son dessin, il ne veut vraiment rien dire ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ben Posté(e) le 15 novembre 2018 Share Posté(e) le 15 novembre 2018 Les ravages du porto... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 10 décembre 2018 Share Posté(e) le 10 décembre 2018 Le nouvel Air & Cosmos explique bien le crash du vol Lion Air du 29 octobre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 10 mars 2019 Share Posté(e) le 10 mars 2019 rip Un avion d'Ethiopian Airlines s'écrase avec 157 personnes à bord http://www.lefigaro.fr/international/2019/03/10/01003-20190310ARTFIG00040-un-avion-d-ethiopian-airlines-s-ecrase-avec-157-personnes-a-bord.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 10 mars 2019 Share Posté(e) le 10 mars 2019 (modifié) 7 français décédés Le crash d'un avion en Éthiopie fait 157 morts dont 7 Français http://www.lefigaro.fr/international/2019/03/10/01003-20190310ARTFIG00040-un-avion-d-ethiopian-airlines-s-ecrase-avec-157-personnes-a-bord.php Il y avait 32 Kényans, 18 Canadiens, 9 Ethiopiens, 8 Italiens, 8 Chinois, 8 Américains, 7 Français, 7 Britanniques, 6 Egyptiens, 5 Néerlandais, 4 Indiens, 4 Slovaques, 3 Autrichiens, 3 Suédois, 3 Russes, 2 Marocains, 2 Espagnols, 2 Polonais, 2 Israéliens, un Belge, un Somalien, un Togolais, un Ougandais et un Nigérian. «Terribles nouvelles», a déploré le premier ministre canadien Justin Trudeau (18 morts). Les États-Unis (8 morts) ont annoncé l'envoi d'enquêteurs. Modifié le 10 mars 2019 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 11 mars 2019 Share Posté(e) le 11 mars 2019 Un DC-3 de 1945 s''est écrasé le samedi 9 mars 2019 dans le département de Meta dans le centre de la Colombie : https://www.aerobuzz.fr/breves-aviation-generale/un-dc3-secrase-en-colombie-14-morts/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Baba1 Posté(e) le 13 mars 2019 Share Posté(e) le 13 mars 2019 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 3 avril 2019 Share Posté(e) le 3 avril 2019 (modifié) ??? C'est quoi ce schni ?!!! Citation Crash d’EgyptAir : le prestigieux Bureau d’enquêtes et d’analyses perquisitionné Citation Les juges français n’ont pas eu d’autres solutions que de perquisitionner les locaux du BEA pour récupérer les données des boîtes noires de l’avion d’EgyptAir, qui s’est écrasé entre Paris et Le Caire en 2016. De mémoire de gendarme des transports aérien (GTA), on n’avait jamais vu ça. Selon nos informations, au début du mois d’octobre, les locaux du prestigieux Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) ont été perquisitionnés par les militaires en compagnies des juges d’instruction chargés de l’enquête sur le crash aérien d’EgyptAir qui a fait 66 morts, dont 15 Français, le 19 mai 2016. Installé sur la plateforme aéroportuaire du Bourget (Seine-Saint-Denis), le BEA est chargé des enquêtes de sécurité lors des crashs aériens. Citation Cette intervention judiciaire inédite n’avait qu’un seul but : récupérer les données des boîtes noires de l’avion d’EgyptAir. Depuis près de deux ans, la justice française tentait en vain de récupérer les données. « Les Égyptiens refusaient de les communiquer, confie une source proche du dossier. Mais lors d’un déplacement au Caire, ils ont accepté de donner l’enregistrement des données du vol. Pour l’enregistrement des voix des pilotes dans le cockpit, ils ont renvoyé les juges français vers le BEA en disant qu’il avait une copie. » Citation «On marche sur la tête» Une information qui a stupéfié les enquêteurs tricolores. « À plusieurs reprises, et même devant Juliette Méadel, (NDLR : alors secrétaire d’État chargée de l’Aide aux victimes), et d’Alain Vidalies (NDLR : secrétaire d’Etat aux Transports), la direction du BEA a juré la main sur le cœur qu’elle n’avait pas les enregistreurs, confie une source proche du dossier. Le BEA a menti. » Contacté, Alain Vidalies confirme : « Je tombe de nues. Le BEA m’a toujours dit qu’il ne les possédait pas. » Une situation d’autant plus incompréhensible que malgré les confidences égyptiennes, le BEA a refusé de remettre spontanément les enregistrements aux enquêteurs, ni même sur réquisition judiciaire. Il a fallu perquisitionner ses locaux pour les récupérer, on marche sur la tête », poursuit cette même source. Une situation qui surprend Alain Vidalies : « En septembre 2014, quand je suis arrivé, un accord a été signé entre la justice et le BEA pour éviter ce genre de conflit. » Pour le BEA, «ce sont aux Égyptiens de communiquer les éléments» Contacté, le BEA se défend : « Nous nous conformons au droit international. Ce sont aux Égyptiens de communiquer les éléments. Et cet accord avec la justice française ne fonctionne que si c’est le BEA qui dirige l’enquête sur un crash. » Quant au fait d’avoir caché qu’il possédait les données des enregistrements, jusqu’à son ministre de tutelle, le BEA affirme : « Lorsque nous avons décrypté les boîtes noires, les données ont été remises aux Égyptiens et tout a été effacé. Mais nous avons découvert par la suite qu’une sauvegarde automatique avait été faite. Nous l’ignorions. » Des explications jugées peu crédibles. « Le BEA se moque de nous, s’insurge l’association des familles des victimes du crash EgyptAir MS 804. Il pense plus à sa réputation internationale qu’aux familles. Il faut lui rappeler qu’il est au service de la France, pas de l’aviation internationale. Il nous mène en bateau depuis le début. » Un ressenti confirmé par Juliette Méadel : « Quand j’étais secrétaire d’Etat aux victimes, j’ai dû me battre pour obtenir du BEA qu’il parle aux familles. Il a même fallu que je passe par l’Elysée. D’ailleurs, depuis le début, ce drame, il se règle d’Etat à Etat. » http://m.leparisien.fr/faits-divers/crash-d-egyptair-le-prestigieux-bureau-d-enquetes-et-d-analyses-perquisitionne-02-04-2019-8044938.php https://fr.news.yahoo.com/crash-d-egyptair-prestigieux-bureau-d-enquêtes-d-152733343.html Modifié le 3 avril 2019 par jojo (lo savoyârd) 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ben Posté(e) le 3 avril 2019 Share Posté(e) le 3 avril 2019 Je doute que le role du BEA soit de "Parler aux victimes" Ce sont les politiciens qui se font mousser à ce niveau, le BEA fait son job, qui est technique, et pas relationnel à mon sens. Decrypter les cause de l'accident. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 4 avril 2019 Share Posté(e) le 4 avril 2019 J'achète volontiers l'histoire du backup ignoré. Pour le reste... tant mieux pour les victimes, qui n'auront de toute façon que la vérité et pas forcément les réponses qu'ils espèrent, et tant pis pour le devoir de réserve du BEA qui est souvent sollicité comme "sous-traitant" par des pays étrangers. La prochaine fois ils iront voir le NTSB. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 4 avril 2019 Share Posté(e) le 4 avril 2019 Il y a 4 heures, Ben a dit : Je doute que le role du BEA soit de "Parler aux victimes" non ... peut-être mais en revanche obtempérer à une requête de l'autorité judiciaire dans le cadre d'une commission rogatoire pour homicide involontaire sûrement 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 avril 2019 Share Posté(e) le 4 avril 2019 4 hours ago, DEFA550 said: J'achète volontiers l'histoire du backup ignoré. ... j'ai du mal avec ça. En général il y a des procédures suivies à la lettre de manière quasi obsessionnelle ... et dans ce genre de service ... on efface rien ... jamais. Il aurait pu répondre ... peut être ... on va chercher avec vous ... coopérer un minimum. Mais a priori ce n'est pas ce qui a été fait, peut-être à raison d'ailleurs, pensant bien faire pour le service. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ben Posté(e) le 4 avril 2019 Share Posté(e) le 4 avril 2019 Ils etaient peut etre pris entre le marteau et l'enclume, sous traitant pour les egyptiens on leur a peut etre demande de garder les infos discrete aussi longtemps que possible, ce qu'ils ont fait. Ils ont aussi sauf erreur plutot tendance a ne pas communiquer enormement avant d'avoir terminé leur enquete (ce n'est generalement pas plus mal). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 4 avril 2019 Share Posté(e) le 4 avril 2019 (modifié) Il y a 3 heures, g4lly a dit : En général il y a des procédures suivies à la lettre de manière quasi obsessionnelle ... et dans ce genre de service ... on efface rien ... jamais. Il y a aussi le droit international, les questions de propriétés, voire d'autorité et de subordination. On parle bien d'un accident dont l'enquête est dirigée par les autorités égyptiennes, non ? En clair, je ne suis pas disposé à croire que le BEA a l'obligation de conserver indéfiniment les données techniques d'un accident une fois l'enquête officiellement close par l'autorité compétente désignée par le droit international et à ce titre destinataire exclusive des données de l'enquête. En revanche, je suis disposé à croire que la question sur l'existence de ces données a été posée à des autorités du BEA et non au geek de service qui gère le parc informatique, et que ces mêmes autorités n'ont pas pensé un seul instant que des données effacées aient pu persister dans une sauvegarde. Modifié le 4 avril 2019 par DEFA550 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ascromis Posté(e) le 14 avril 2019 Share Posté(e) le 14 avril 2019 Crash d'un Let L-410UVP lors du décollage de l'aéroport de Lukla (Népal). https://thehimalayantimes.com/nepal/two-killed-5-hurt-in-summit-air-crash-in-lukla/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 3 mai 2019 Share Posté(e) le 3 mai 2019 Citation Le vol 9363, histoire d'un crash évité Citation un pilote américain a sauvé la vie de ses 110 passagers et des 6 membres d’équipage, mais à l’exception de quelques revues spécialisées, personne n’en a jamais parlé. On ne connaît même pas son nom, qui ne figure pas dans le rapport d’enquête publié en février dernier. Bref, il n’a jamais fait la Une des médias, mais grâce à son sang-froid, un pilote américain a permis d’empêcher un crash qui aurait sans doute été fatal. Citation L’élévateur droit était bloqué Ce qui a poussé le pilote à prendre cette décision à la dernière seconde, c’est le constat du blocage de l’élévateur droit, soit la gouverne de vol, située à l’arrière de l’avion, c’est en réalité ce qui lui permet de dresser le nez et donc ensuite de décoller. Pour Waldo Cerdan, expert aéronautique, cette décision du pilote a vraiment permis d’échapper à la catastrophe : « Aucun test n’aurait pu détecter ce blocage de l’élévateur ». (voir l'asymétrie des gouvernes de profondeur -1 gouverne bloquée - que le pilote a su diagnostiquer en une fraction de seconde et de fait a instantanément interrompu le décollage, après avoir pourtant largement dépassé V1 ... Et de fait sauva la vie de toutes les personnes à son bord, tout en enfreignant la procédure. 15000h au compteur, c'est de la plus value qu'aucun simulateur au monde ne pourrait remplacer ni même approcher ... Chapeau bas le Pilote !) https://www.rtbf.be/info/monde/amerique-du-nord/detail_le-vol-9363-histoire-d-un-crash-evite?id=10211396 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 4 mai 2019 Share Posté(e) le 4 mai 2019 Et un 737 a l'eau en Floride. Vol affrété par le Département de la défense venant de Guantanamo qui a fait une sortie de piste a son atterrissage sur la base aéronavale de Jacksonville et finit dans une rivière peu profonde. Une vingtaine de blessés légers : https://www.lci.fr/international/video-floride-un-boeing-737-rate-son-atterrissage-et-finit-dans-une-riviere-jacksonville-2120199.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 4 mai 2019 Share Posté(e) le 4 mai 2019 "Pour Waldo Cerdan, expert aéronautique, cette décision du pilote a vraiment permis d’échapper à la catastrophe : « Aucun test n’aurait pu détecter ce blocage de l’élévateur »." La vérification du bon débattement des gouvernes est pourtant quelque chose d'assez répandu, et qui aurait pu permettre de détecter le blocage de l'élévateur. Juste pour nuancer une affirmation bien péremptoire... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 4 mai 2019 Share Posté(e) le 4 mai 2019 Il y a 2 heures, DEFA550 a dit : La vérification du bon débattement des gouvernes est pourtant quelque chose d'assez répandu, et qui aurait pu permettre de détecter le blocage de l'élévateur. Juste pour nuancer une affirmation bien péremptoire... Sur ce type d'appareil la vérification du débatement se fait visuellement à la pré-vol extérieur, et au manche et aux pieds ... (surtout pour un empennage en T). Pas comme sur les plus petits gabarits où il est fait une manipulation. Enfin si une seule des deux gouvernes de profondeur est bloquée, et que l'autre reste mobile, pas évident que ce soit si facilement détectable ... Quoiqu'il en soit, et quelles que soient les responsabilités de chacun dans cette histoire, le pilote a sauvé les personnes à son bord d'une mort presque certaine grâce à une prise de décision franche et instantanée, mais surtout contre-nature. Seule une très grande expérience et une maîtrise totale peut permettre çà. C'est celà qui est salué à sa juste valeur, en dépit du reste. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 4 mai 2019 Share Posté(e) le 4 mai 2019 Tout est bien qui finit bien, et c'est heureux. Je ne peux, cependant, m'empêcher de penser que, plus que du talent ou de l'expérience, le pilote qui a sauvé l'appareil et ses passager a surtout eu de la chance, beaucoup de chance, comme tous ceux qui sont passés à deux doigts de la catastrophe. Le fait qu'il réagisse hors du cadre de la procédure a sauvé tout le monde. Cependant, il y a alors beaucoup à apprendre de l'accident pour que son expérience profite aux autres et pour éliminer la part de chance dans la résolution positive de prochains accidents de même nature. En effet, il n'a certainement pas agi au hasard, mais bien sur la base d'une analyse qui lui est propre (et qui l'a conduit hors des sentiers de résolution déjà battus). Mais sur quoi cette analyse et son déroulement étaient ils basés. Avait il des informations préalables pouvant l'orienter dans son intuition (vu une coulure de fluide, entendu un grincement, senti un résistance, etc.). Cela peut être des éléments dont il n'a pas eu une conscience éclairée, mais qui ont annoncé l'avarie et lui ont fait dire : il se passe ça, je réagis comme ça. Trouver pourquoi il a réagi ainsi (et pas purement au hasard) est une nécessité absolue. Cela peut faire émerger des erreurs commises précédemment, et faire apparaître des corrections intuitives mais contre-procédurales déjà mises en place et qu'il conviendrait d'étudier et de formaliser. Car, n'en déplaise à l'égo des pilotes modernes, la procédure a sauvé probablement davantage de vie que leurs talents. Il faut donc étayer les procédures pour garantir leur couverture de tous les cas, y compris celui de cet accident. Si ce qui doit nous ramener au sol et en vie c'est la chance et le talent du pilote, je crois que je vais y regarder à deux fois avant de reprendre l'avion ! 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 4 mai 2019 Share Posté(e) le 4 mai 2019 il y a 22 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit : Sur ce type d'appareil la vérification du débatement se fait visuellement à la pré-vol extérieur, et au manche et aux pieds ... (surtout pour un empennage en T). C'est là qu'arrive la distinction entre la liberté de mouvement des commandes et la liberté de mouvement des gouvernes. Chez les pros en kaki c'est la seconde option qui prévaut avant chaque vol, avec une paire de "eye ball mk 1" qui vérifie que tout bouge comme prévu. Mais comme dit FATac le sage, tout est bien qui finit bien. il y a 6 minutes, FATac a dit : Je ne peux, cependant, m'empêcher de penser que, plus que du talent ou de l'expérience, le pilote qui a sauvé l'appareil et ses passager a surtout eu de la chance, beaucoup de chance, comme tous ceux qui sont passés à deux doigts de la catastrophe. Le fait qu'il réagisse hors du cadre de la procédure a sauvé tout le monde. Cependant, il y a alors beaucoup à apprendre de l'accident pour que son expérience profite aux autres et pour éliminer la part de chance dans la résolution positive de prochains accidents de même nature. L'article est assez succinct sur la description de ce "presque-vol", mais on peut imaginer que le pilote à ressenti une tendance à l'auto-cabrage, probablement assez forte, ce qui implique assez rapidement d'envisager une future lutte pour tenir l'avion en l'air, si c'est possible. Alors s'il est au sol, autant l'y laisser et risquer une sortie de piste potentiellement moins catastrophique plutôt que de tenter de faire voler un truc qui n'est plus en état normal pour le faire. Alors effectivement, c'est hors procédure. Mais si on va sur ce terrain aucune procédure ne commande de faire voler un avion avec des commandes de vol en vrac. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 4 mai 2019 Share Posté(e) le 4 mai 2019 Quote C'est là qu'arrive la distinction entre la liberté de mouvement des commandes et la liberté de mouvement des gouvernes. Chez les pros en kaki Chezles amateurs en tagazou aussi. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 4 mai 2019 Share Posté(e) le 4 mai 2019 il y a 54 minutes, prof.566 a dit : Chezles amateurs en tagazou aussi. ... ou plus simplement tous les appareils où ces gouvernes sont accessibles (gabarit) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 4 mai 2019 Share Posté(e) le 4 mai 2019 Il y a 4 heures, prof.566 a dit : Chezles amateurs en tagazou aussi. Ce n'est pas ce que je comprends en lisant ce que dit Jojo. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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