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[Armée belge] Vraiment plus de chars?


Ezechielle

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Philippe a toujours de bonnes idées.  =D

Dommage qu'il ne soit pas Philippe de Belgique, futur héritier du trône ...  :lol:

Je suis simplement surpris que la Belgique fasse l'impasse sur un char de bataille, elle ne songe pas à une petite dotation pour équiper un ou 2 régiments.

Bon Prince, je te sors sa biographie monarchique. Mes 3 prénoms sont des prénoms de Rois et de Princes.  :lol:

Le Prince Philippe, fils aîné du Roi Albert II et de la Reine Paola, est le premier dans l’ordre de succession au trône et comme tel porte le titre de Duc de Brabant.

Le Prince Philippe Léopold Louis Marie est né à Bruxelles le 15 avril 1960.

Après ses humanités, en néerlandais et en français, le Prince suit de 1978 à 1981 les cours à l’Ecole Royale Militaire avec la 118ème Promotion Toutes Armes. Ensuite, il séjourne deux mois au Trinity College de l’Université d’Oxford (Grande-Bretagne) et poursuit sa formation universitaire à partir de septembre 1983 à la Graduate School de l’Université de Stanford en Californie (Etats-Unis d’Amérique). Il y obtient le 16 juin 1985 le diplôme de "Master of Arts" en Sciences Politiques.

Après sa nomination au grade de Sous-lieutenant en 1980, le Prince obtient successivement le brevet de pilote de chasse et les brevets de parachutiste et de commando. Il effectue son vol en solo à bord d’un appareil du type Mirage VB et commande un peloton du 3ème Bataillon de Parachutistes. En 1989, le Prince suit une série de sessions spéciales à l’Institut Royal Supérieur de Défense. Cette même année, il est promu au grade de Colonel. En tant que Capitaine de vaisseau, le Prince a également navigué à bord de bâtiments de la Marine belge.

Devant l’augmentation des activités du Prince, la Maison du Prince Philippe est créée en 1992. Cette Maison rassemble le personnel et les services dont le Prince dispose pour que ses nombreuses activités puissent se dérouler dans les meilleures conditions. La Maison dispose d’une dotation propre.

Peu après le décès de S.M. le Roi Baudouin, son oncle, le Prince accepte la Présidence d’honneur du Conseil d’Administration de l’Office Belge du Commerce Extérieur, en exécution d’une décision du Conseil des Ministres du 6 août 1993. Il succède ainsi à son père qui exerçait cette fonction depuis 1962.

Le Prince Philippe assume également certaines responsabilités dans le domaine du développement durable. Il occupe ainsi du 13 octobre 1993 au début du mois de mai 1997 la Présidence du Conseil National du Développement Durable qui avait vu le jour suite à la Conférence de Rio sur le milieu et le développement durable. Lorsque, en mai 1997, ce Conseil est transformé en Conseil Fédéral du Développement Durable, suite à une nouvelle loi, il en accepte la Présidence d’honneur.

Le 21 juin 1994, le Prince a prêté serment comme sénateur de droit.

En dehors des tâches protocolaires et de représentation qui sont inhérentes à la fonction de Prince Héritier, le Duc de Brabant porte une attention et un intérêt particulier aux domaines mentionnés ci-dessous.

Les fiançailles du Prince Philippe et de Mademoiselle Mathilde d'Udekem d'Acoz ont été annoncées le 10 septembre 1999.

Le Prince Philippe a épousé la Princesse Mathilde le 4 décembre 1999.

Le 6 avril 2001, Son Altesse Royale le Prince Philippe a été promu au grade de Général-major et d'Amiral de division.

Le commerce extérieur

En tant que Président d’honneur de l’Office Belge du Commerce Extérieur, le Prince suit avec intérêt l’évolution du marché mondial. Il consacre une partie importante de son temps à la promotion des exportations belges et dirige des missions économiques à travers le monde.

Afin de découvrir les besoins du marché mondial et de faire connaître les potentialités des entreprises belges à l’étranger, il établit un contact permanent avec des responsables, tant belges qu’étrangers, jouant un rôle primordial dans le monde des entreprises, des affaires, de la diplomatie, de la politique et de la communauté économique. Parallèlement, il visite un grand nombre de bourses internationales et assiste à des conférences spécialisées. Ces diverses activités lui permettent de rester au courant des plus récentes évolutions de l’économie mondiale et du commerce international qui forment le cadre dans lequel évoluent les exportateurs belges. La participation du Prince aux missions de l’Office Belge du Commerce Extérieur à l’étranger, favorise l’accueil de la délégation belge et facilite grandement l’accès des entreprises belges aux marchés locaux et aux niveaux décisionnels. Le Prince prépare soigneusement chacune de ces missions par ses nombreux contacts, des réunions de travail, des visites d’entreprises et des audiences.

La jeunesse

Le Prince est très intéressé par ce qui touche les jeunes adultes d’aujourd’hui: quelles sont leurs attentes et leurs préoccupations, que pensent-ils de la récente évolution de notre pays et de l’Europe, quelle est leur attitude vis-à-vis "des autres", …

Cet intérêt court comme un fil rouge au travers de ses activités pendant lesquelles il recherche systématiquement le contact avec les jeunes et stimule leurs projets. De même, divers projets de lutte contre la pauvreté et l’exclusion des jeunes des milieux défavorisés retiennent toute son attention.

Le développement durable

En sa qualité de Président du Conseil National du Développement Durable et ensuite de Président d’honneur du Conseil Fédéral du Développement Durable, le Prince s’efforce de faire entrer la notion de développement durable dans les esprits. La prise de conscience et l’urgent besoin d’actions appropriées sont en effet vitaux pour la survie de notre planète pour les générations futures. Le Prince prend régulièrement part à des réunions du Conseil Fédéral et apporte son appui aux initiatives qui font la promotion du développement durable.

Dans tous ces domaines, le Prince s’est fixé pour but de créer des ponts entre les communautés de notre pays par l’encouragement ou même l’organisation de projets d’échanges intercommunautaires.

Le Prince Philippe est aussi très concerné par l’image de notre pays. C’est ainsi qu’il prit lui même l’initiative de réaliser, avec la coopération des trois régions, un projet multimédia qui a pour but de présenter la Belgique -avec toutes les possibilités de sa structure fédérale- à un public étranger.

Le Prince aime le sport, les voyages, la lecture et divers styles musicaux. Il attache également beaucoup d’importance aux contacts spontanés et informels.

La carrière militaire

Le Prince Philippe entame sa formation militaire le 1er septembre 1978 avec la 118e promotion Toutes Armes à l'Ecole Royale Militaire jusqu'en 1981.

Le 26 septembre 1980, il est nommé Sous-lieutenant et prête le serment d'officier.

Dès juin 1981, le Prince suit une formation de pilote à l'Ecole de Pilotage Elémentaire de la Force Aérienne à Gossoncourt. Il effectuera plusieurs vols solo sur Marchetti.

En janvier 1982, avec les élèves de la promotion 80A, il entame l'entraînement au pilotage avancé sur l'Alpha-Jet, au Centre de Perfectionnement à Sint-Truiden.

Le 9 juillet 1982, il reçoit des mains du Roi Baudouin, ses ailes de pilote, symbole du brevet aéronautique supérieur, l'autorisant à poursuivre une formation opérationnelle sur avion de combat.

C'est sur la Base aérienne de Bierset, sur Mirage V, que le Prince terminera avec succès sa formation de pilote. Il effectuera un vol solo sur ce type d'appareil le 6 octobre 1982.

Au total, durant son instruction, le Prince Philippe a accompli près de 330 heures de vol dont une trentaine en solo.

Le Prince Philippe poursuit, dans la foulée, sa formation militaire dans les rangs du Régiment Para-Commando.

Le 28 octobre 1982, il obtient le brevet "A" de Parachutiste après un séjour au Centre d'Entraînement à Schaffen. Il poursuit alors sa formation de Commando à Marche-les-Dames et décroche à l'issue d'un raid dans les Pyrénées, son brevet "A" Commando, que lui remettra le Roi le 17 décembre 1982.

Le Prince Philippe exercera ensuite de janvier à fin mars 1983, la fonction de commandant de peloton au sein du 3e Bataillon de Parachutistes à Tielen.

Le 21 mars 1983, il est promu au grade de Capitaine.

De septembre 1983 à juin 1985, il étudie à Stanford University en Californie, USA, où il obtient une Maîtrise en Relations Internationales (Master of Arts, International Relations).

Dès novembre 1988, il suit des cours et séminaires consacrés aux problèmes de défense, à l'Institut Royal Supérieur de Défense et le 1 décembre 1989, il est promu au grade de Colonel.

Le Prince maintient depuis lors un contact étroit avec nos Forces armées et se tient au courant de leur situation morale, matérielle et technique au travers de visites à des unités et des Etats-majors, tant nationaux qu'internationaux, en Belgique et à l'étranger.

Parmi les récentes activités militaires du Prince, on peut citer les visites qu'il a rendues à l'EUROCORPS à Strasbourg (juin 1998), au "Tactical Leadership Program (TLP)" et au 2 Wing Tactique à Florennes (septembre 1998), au détachement de militaires belges ayant construit un camp pour les réfugiés Kosovars en Albanie (mai 1999) et au détachement F16 belgo-néerlandais "DATF" en Italie (novembre 2000).

Une visite du Prince au contingent belge de la KFOR est en cours de préparation (avril 2001).

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Eh ben meun viéah !

Un cursus de pilote de chasse et 330 heures dont un certain nombre sur delta à dizaines de milliers de FB l'heure de vol... Tout çà pour finir chez les paras!

Tu m'étonnes que les Léopards partent au placard...

Toute plaisanterie mise à part je trouve un peu choquant que pour des question d'étiquette et de protocole le Prince reçoive de si couteuses formations sans aucun débouché opérationnel...

Tout çà pour ne pas règner car Albert II a encore de l'eau à courir.

Put...g j'aurais voulu être Prince de Monaco moi (mais attention hétéro hein!). Pas loin de chez moi au bord de la mer, j'aurais fait du bateau à voile de l'avion gratos, j'aurais niqué plein de top models et de grognasses à carrosserie italienne et gros pare-chocs.

Ski en hiver voile en été, la Prince Philippe m'aurait emmené faire du VB à Bierset et le Prince de Galles m'aurait prêté son costard en plus de m'inviter sur l'Ark Royal...

Dur la vie de Prince

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Et si on lui avait donné tous ses grades protocolaires sans aucune vérité militaire derrière, on l'aurait aussi descendu d'avoir des galons sans aucune compétence réelle et que cela aurait été un affront pour les "vrais" qui suent en école.

Maintenant, je dis pas qu'il a tout fait comme ses camarades élèves pilotes mais 30h en solo sur un mirage 5, ne fut-ce que pour atterir, c'est un effort remarquable (le reste des heures c'est en double seat, y compris sur F-16B, et là tout le monde pourrait le faire).

Ca me choque pas tellement qu'on ait dépensé pour lui, car c'est un lien armée nation à lui tout seul.

Les prochains régnant ne pourront sans doute pas en faire autant, question de volonté, de disponibilité de matériel (à son époque l'armée de l'air belge, c'était autour de 200 chasseurs F-16 + Mirage) et de complexité des systèmes.

Pour revenir sur le sujet des blindés à roues, la "réflexion"  sur le tout-roue a été alimentée par la doctrine US et ... française..

En plus, ca plaisait aux socialistes et écolos pour qui les chenilles font trop "guerre" et font des dégats dans les infrastructures civils (et puis c'est moins cher).

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Moins cher pas vraiment. Avec des Léo2 A4 et des Leclercs S1 à 1M€ on a quand même une sacrée concurrence. bon, la différence se fait au niveau du coût en dotation, mais au moins on se dote d'un outil de défense crédible. Evidemment quand on se dit que c'est inutile vu que l'on sera défendu par les voisins de l'UE ou de l'OTAN, que l'on fera des économies avec une armée légère pour OPEX de peace keeping et cie...

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  • 4 years later...

Selon mes sources, il reste 32 chars leopard 1A5BE, ils sont répartis entre deux bataillons médians suivant : le 1er/3ème bataillon de Lanciers de Marche-en-Famenne (francophone) et le bataillon 1er Carabiniers Prince Baudouin-Grenadiers de Bourg-Léopold (néerlandophone)

Ils équipent l'escadrons/compagnie Direct fire de ces unités.

Ces chars devraient être bientôt retirés du service (en 2013 ?), il ne semble pas y avoir de remplacant pour l'instant à part les 18 AIV DF90 déjà livrés et en service dans les deux autres bataillons médians.

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Pour les AIV90, la Belgique va les utiliser à des fins opérationnels puisqu’un escadron de DF90 est prévu d’être déployé en 2014 dans le cadre EU Battle Group, avec la Belgique comme Leader.

C’est ce qui motive entre autre l’achat de munitions pour les DF90 au plan d’investissement 2012-2014.

Pour les chars chenillés Leopard, ils participent encore à des exercices et des tirs en camps de manoeuvre, mais je crois savoir qu'ils ne sont plus destiné à être employé en opérations, ils servent à maintenir une compétence et des savoirs faire pour des équipages qui attendent des jours meilleurs et un éventuel futur remplacant à leur vénérable Leopard...

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  • 6 months later...

On regrette aussi en Belgique le choix du 90mm calibre orphelin qui ne garantit pas de pouvoir traiter des blindés en Opex mais trop tard, c'est commandé, livré, payé donc ce sera utilisé.

Un raisonnement du type de celui du 40CTA ou plutôt de l'ERC-90 dont la version du 90 perçait les MBT qu'il pouvait être amené à rencontrer

phuppimagegvt.jpg

... Sauf que le T-72 va finir par se répandre...

Modifié par BPCs
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Oui mais bon, à la guerre sa se passe pas toujours comme on l'avais prévu. Faut pas toujours compter sur l'incompétence de l'ennemi

 

Oui sauf que là quand même sauf à prévoir un retour des popovs ou un remake de mai 40 avec "Heinz le rapide" en vedette américaine je ne vois pas trop ce que les belges auront à faire avec des chars de combat ...

 

Qui devront de toute façon pouvoir être déployés pour les OPEX ...

 

Solution véhicule opexable avec au moins un tube de 105 mm

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