g4lly Posté(e) le 29 avril 2012 Share Posté(e) le 29 avril 2012 On essaye de revenir au fond du débat ;)Il s'agit d'une fil Marine > Amérique > LCS ... comment on a dérivé sur les Norvégiens? c'est a cause de Philou encore ca! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 29 avril 2012 Share Posté(e) le 29 avril 2012 On essaye de revenir au fond du débat ;) Il s'agit d'une fil Marine > Amérique > LCS ... comment on a dérivé sur les Norvégiens? c'est a cause de Philou encore ca! Sauf que si tu m'as suivi je parle bien de doctrine d'emploi de combat littoral, de Brown navy, que tant la Suède que la Norvège ils ont aussi leurs propres doctrines et des équipements en vigueur pour contrer les attaques des côtes, ou défendre ses côtes, et naviguer prêt des côtes...avec tout un panel de navire et matériels et que les USA avaient testé et lorgné sur les Visby, que le patrouilleurs Skjold sont dérivés des chasseurs furtifs à effet de surface type Oksoy, ainsi pour faire un parallèle avec l'Europe et ce qui ce fait identiquement aux LCS. DCNS auraient pu répondre au besoin USN au programme Littoral Warfare Ship, Littoral Combat Ship Raytheon et Umoe Mandal proposaient bien un dérivé du Skjold Norvégien. Que les LCS US sont aussi configurés EN FONCTION DES MODULES de missions et de combat pour chasser les mines, ou combattre en littoral, pour faire de la lutte ASM en eaux côtières ou d'action vers la terre , donc avoir des modules d'armes qui s'adaptent en fonction de la mission rapidement .Tout en ayant de grande vitesse car les US veulent des navires rapides 40 à 50 nœuds . Donc on est bien dans les transitions et le thèmes du sujet. Ainsi après avoir testé 6 consortiums donc 6 produits .Le Pentagone est resté sur Le Littoral Combat Ship avec des navires monocoques à coque planante en aluminium ou un trimaran en aluminium. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 29 avril 2012 Share Posté(e) le 29 avril 2012 On essaye de revenir au fond du débat ;) Il s'agit d'une fil Marine > Amérique > LCS ... comment on a dérivé sur les Norvégiens? c'est a cause de Philou encore ca! Non, je crois que c'est de mon fait. Il me semble que la classe Visby est plus proche de l'idée qui prévalu au concept LCS que les Liberty et Freedom. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 1 mai 2012 Share Posté(e) le 1 mai 2012 Est-ce qu'une alternative en cas d'échec du programme est prévue ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 1 mai 2012 Share Posté(e) le 1 mai 2012 Je crois que non.Ce sera forcément une réussite. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 1 mai 2012 Share Posté(e) le 1 mai 2012 Sur le papier, il serait peut-être possible de dériver une version plus militarisée des Legend des USCG (lockheed martin le proposait à une époque, sauf erreur), mais bon, quand on voit que le prix d'un Cutter de la classe Legend est similaire à celui d'une LCS, je ne suis pas sûr que ce soit vraiment une solution... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav Posté(e) le 3 mai 2012 Share Posté(e) le 3 mai 2012 Est-ce qu'une alternative en cas d'échec du programme est prévue ? Un projet de Frégate a été présenté à DIMDEX Ingalls Shipbuilding Highlighting Patrol Frigate Derivative of National Security Cutter at DIMDEX The National Security Cutter for the US Coast Guard (3 of 8 have been completed and delivered, 4th building, 5th awarded) The US Navy Patrol FFG 4921 proposal The US Navy Patrol FFG 4921 line art Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 4 mai 2012 Share Posté(e) le 4 mai 2012 la LCS-2 en ballade lors de sa première "mission opérationnelle", avec notamment une parade en compagnie de la LCS-1:http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119517L'occasion de voir les différences de taille entre les 2 navires. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clemor Posté(e) le 4 mai 2012 Share Posté(e) le 4 mai 2012 Il faut vraiment qu'ils fassent quelques choses pour préserver la coque. Quand je regards les pjotos des LCS, j'ai vraiment l'impréssion de voir deux coques rouillés....... pas beau à voir. :-[ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 4 mai 2012 Share Posté(e) le 4 mai 2012 C'est l'alu brut ça.aucun soucis, ça tient encore mieux quand tu fais rien dessus. Dans 30 ans ça n'aura pas bougé (à condition d'avoir pris une série marine, mais ils sont quand même pas nigaud à ce point)C'est juste que ça a une très vilaine tête. ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 mai 2012 Share Posté(e) le 4 mai 2012 Il faut vraiment qu'ils fassent quelques choses pour préserver la coque. Quand je regards les pjotos des LCS, j'ai vraiment l'impréssion de voir deux coques rouillés....... pas beau à voir. :-[ L'alu "rouille" mais l'oxyde d'alu qui se forme est "étanche" et fait une treeeeees bonne protection contre l'oxydation. Moins j'aime bien l'alu oxydé, ca donne un petit coté mad max au navire :) Outre le gros avantage de non corrosion, l'autre c'est le temps et l'argent gagné en peinture. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 4 mai 2012 Share Posté(e) le 4 mai 2012 D'ailleurs sur cette photo: On distingue bien la différence entre la superstructure en alu de la LCS-1 et sa coque en acier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 4 mai 2012 Share Posté(e) le 4 mai 2012 Je ne suis pas marin (même si j'ai fait un peu de bateau, jeune) mais une question m'habite face au trimaran. Quand je le vois, je me demande comment fait-il pour tourner? Il ne me donne pas une impression de manœuvrabilité.C'est étrange cette impression. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 mai 2012 Share Posté(e) le 4 mai 2012 Je ne suis pas marin (même si j'ai fait un peu de bateau, jeune) mais une question m'habite face au trimaran. Quand je le vois, je me demande comment fait-il pour tourner? Il ne me donne pas une impression de manœuvrabilité. C'est étrange cette impression. Les multicoque sont naturellement effectivement moins maniable que les monocoque - a longueur équivalente -, du fait de leur coque longue fine et tranchante qui fait office de longue dérive - en longue pas en profondeur -. On peut assez facilement compenser cela avec la propulsion vectorisé. A noter que ce probleme est surtout visible a vitesse élevé, dans les manoeuvres de port ca passe presque inapercu avec les propulsion actuelle - propulseur auxiliaire azimutal, waterjet etc. - L'inconvénient de maniabilité précédente a ca contrepartie avec une tres grand stabilité de trajectoire resistance au vent l'atéral, a la mer de travers etc. Et comm la plupart du temps un navire ca va en ligne droite ... on prefere ces avantages a la perte de maniabilité pas catastrophique. Cette stabilité de trajectoire peut devenir un probleme dans des mer tres dure ... empechant le navire de "déraper" pour encaisser les mouvements en douceur plutot qu'en force. En crontrepartie dans des mer classique elle permet des croisiere haute vitesse sans appréhension aucune le navire restant naturellement tres stable en lacet mais aussi en roulis, meme en virage, meme dans la houle. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 4 mai 2012 Share Posté(e) le 4 mai 2012 Cette stabilité de trajectoire peut devenir un probleme dans des mer tres dure ... empechant le navire de "déraper" pour encaisser les mouvements en douceur plutot qu'en force. En crontrepartie dans des mer classique elle permet des croisiere haute vitesse sans appréhension aucune le navire restant naturellement tres stable en lacet mais aussi en roulis, meme en virage, meme dans la houle. Alors que l'autre engin, s'il commence à faire des virages à haute vitesse dans tous les sens, je suis pas convaincu qu'il ne finisse pas un jour par finir les propulseurs en l'air. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 5 mai 2012 Share Posté(e) le 5 mai 2012 la LCS-2 en ballade lors de sa première "mission opérationnelle", avec notamment une parade en compagnie de la LCS-1: http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119517 L'occasion de voir les différences de taille entre les 2 navires. Puisque tu parles Chris de différences de taille et bien juste pour comparer les coûts unitaires avec des navires de presque la même taille. Attention, il faut peut-être actualisé et indexé annuel.Mais bon à titre de comparaison.En 2010 donc: Absalon (Denmark)-$269 million Bertholf National Security Cutter-$641 million F100 Bazan (Spain)-$600 million F105 Cristobal Colon (Spain)-$954 million De Zeven Provincien (Netherlands)-$532 million FREMM (Franco/Italian)-$745 million LCS Freedom-$637 million Holland (Netherlands)-$169 million LCS Independence-$704 million Iver Huitfeldt (Denmark)-$332 millon Nansen (Norway)-$557 million Sachsen Type 124 (Germany)-$1.06 billion Valour MEKO A200 (South Africa)-$327 million F-22P Zulfiquar (China/Pakistan)-$200 million Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 6 mai 2012 Share Posté(e) le 6 mai 2012 Ce qui est surtout limite pour la manœuvrabilité d'un multicoque c'est qu'on a des carènes plus profondes mais qu'on ne a deux voir trois à faire tourner ensemble autour d'un même axe de rotation ...Pour ce qui est de la tenue à la mer il y a pour moi deux inconnues; la faculté de la structure à encaisser les efforts d'une mer difficile en clair LCS 2 obligera-t-elle son équipage à lever le pied bien plus tôt qu'un concept monocoque ?deuxio le comportement du trimaran selon les conditions ... le multi étant réputé pour une quasi filiation avec un cheval sauvage dans certaines mers Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 23 mai 2012 Share Posté(e) le 23 mai 2012 Les 2 types de LCS ne travailleront pas ensemble..... ceux de LM iront dans le golfe persique et ceux de GD iront dans le pacifique. While the Littoral Combat Ship is not suited for the front lines of a war with China, it would provide vital protection to US supply lines in such conflict, said Under Secretary of the Navy Robert Work, and against Iran, LCS would be in the battle from “day one,” with eight LCSs ultimately operating out of Bahrain. Indeed, the two potential theaters of war are so different that the Navy may consider focusing the “much more maneuverable” Lockheed Martin version of the LCS on fighting fast attack boats in the narrow waters of the Persian Gulf, while the very different General Dynamics design, with its larger flight deck and fuel tanks, operates primarily in the vast reaches of the Pacific. “We like having two options,” said Work http://defensetech.org/2012/05/22/one-lcs-class-for-the-gulf-one-lcs-class-for-the-pacific/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 23 mai 2012 Share Posté(e) le 23 mai 2012 C'est pas complètement idiot, surtout que les LCS-2 ont des capacités de transport en matériel (pour des opérations de secours par exemple) bien plus importantes que les LCS-1, ce qui peut être pratique dans une région où il y a de très nombreux états insulaires. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chevalier Gilles Posté(e) le 23 mai 2012 Share Posté(e) le 23 mai 2012 pour finir, ils vont être content d'avoir commandé les deux types,par contre il y a un truc que je ne pige pas, a partir du moment ou ils commande les deux versions, pourquoi ne demanderaient ils pas qu'ils y aie le plus de points commun entre les deux versions?du genre:- même tag- les modules de mission identiques- .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marcus Posté(e) le 24 mai 2012 Share Posté(e) le 24 mai 2012 par contre il y a un truc que je ne pige pas, a partir du moment ou ils commande les deux versions, pourquoi ne demanderaient ils pas qu'ils y aie le plus de points commun entre les deux versions? Parce qu’il est beaucoup trop tard dans le programme pour faire ce genre de politique même si elle est plus intelligente. Le programme a été conçu pour profiter au maximum de l’effet de série pour réduire les couts de production. Dans cette optique, ils peuvent espérer baisser les couts finaux de 20%. C’est ce que l’on voit dans l’industrie quand on augmente la production par deux. Au vu des économies potentielles, l’US Navy a décidé de lancer le programme LCS sans trop réfléchir a d’autre options. Son espoir était d’avoir un seul candidat retenu. Une longue série d’un seul modèle économique. Cela permettrait à la l’US Navy d’acheter le nombre élevé de navire qu’elle désire. Comme il était prévu de n’avoir qu’un seul gagnant, l’US Navy ne s’est pas préoccupé d’étudier s’il était possible d’avoir des éléments communs. Pour la direction, c’aurait été un gaspillage d’argent inutile alors que le programme commençait déjà à avoir des problèmes de couts. Maintenant que l’US Navy a choisi d’avoir les deux, la donne change. Il aurait été utile d’avoir des éléments communs entre les concepts de LCS lors de la phase de conception. Quand cela était encore facile. Maintenant, il faudrait changer les LCS en LCS-3 et LCS-4 pour avoir quelque chose de commun. Et le budget va encore exploser. Si tu impose au LCS-1 d’avoir le moteur du LCS-2, alors les constructeurs du LCS-1 hurleront à la mort ! Politiquement, c’est impossible. Il faut trouver des solutions qui n’avantagent pas l’un par rapport à l’autre. Pour les modules, je ne sais pas s’ils sont faciles à adapter. Ce n’est pas clair. Comme ils sont en retard, il est peut être possible d’y retravailler. Ce qui est transporté par le Seahawk du LCS doit pouvoir être commun aux deux concepts. Mais on n’est pas à l’abris de surprise (comm différents, ordinateurs différents,…) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav Posté(e) le 7 juin 2012 Share Posté(e) le 7 juin 2012 US Navy's Third Littoral Combat Ship Delivered Two Months Early MARINETTE, Wis., June 6, 2012 – The Lockheed Martin-led industry team delivered the nation’s third Littoral Combat Ship, Fort Worth (LCS 3), to the U.S. Navy two months ahead of schedule. The delivery followed the ship’s successful Acceptance Trials on Lake Michigan in May. “By delivering Fort Worth early and performing so successfully at Acceptance Trials, this team has reached milestones rarely seen this early in a new ship class,” said U.S. Navy LCS Program Manager Rear Admiral (Select) John Neagley. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 8 juin 2012 Share Posté(e) le 8 juin 2012 http://www.informationdissemination.net/2012/06/what-is-littoral-combat-ship-in-your.html "You have covered the Littoral Combat Ship program from inception to present, and know the history of the program as well as anyone. You have written a story on virtually every newsworthy event related to the Littoral Combat Ship from the beginning. You are one of a handful of people outside the Navy and Industry who has both a deep history and familiarity with the program. Some suggest the LCS program should be canceled. Others say the LCS program has merit. What is the Littoral Combat Ship in your words, and what should LCS be looking to the future?" The Littoral Combat Ship is, in a word, a challenge. A challenge to understand, a challenge to develop, a challenge to build. The program is a challenge to manage, to defend, to get to sea. To train for and crew, to support, to maintain. To develop mission modules for, to perfect and operate dozens of new technologies in those modules, to control those technologies in an operational environment. A challenge to develop a concept of operations for, to convey to the fleet what it should be used for, to keep from being misused. For a decade now, the program has struggled to explain its purpose. It remains an incomplete story, constantly threatened, continually under attack, and desperately anxious to prove itself. The challenge to validate the program is repeated with every annual budget cycle, inside the Pentagon and to Congress. The political challenge is constantly repeated as lawmakers come and go. Recently, several politicians relatively new to the program or to Capitol Hill have called for stronger oversight and more government reports. But LCS has never suffered from a lack of oversight. Questions about the program’s progress were a regular feature of every Navy posture hearing beginning in 2004. The House Armed Services Committee, particularly Seapower subcommittee Rep. Roscoe Bartlett (R-Md.) and his successor Rep. Gene Taylor (D-Miss.), routinely held LCS hearings featuring not only Navy and industry reps, but all the strongest LCS critics, including government oversight experts from the Congressional Budget Office, Congressional Research Service, and the Government Accountability Office, along with a host of think tank witnesses (including Bob Work, then a Washington analyst, now, as Navy under secretary, the ship’s cheerleader-in-chief). A series of Pentagon oversight entities constantly reviewed the program’s purpose and performance, usually with strong criticisms and guidance. For years, every budget bill report from the House and Senate appropriations and armed services committees has contained strong language expressing concerns about the program’s performance, even while continuing to support the LCS concept. US Navy Photo Most of this discussion centered on the two LCS ship designs. Yet the mission modules -- the key to the LCS concept of a platform able to change missions with a swap of equipment -- continue to be a problem area, often poorly articulated by presenters and misunderstood by listeners. LCS discussions still focus on the ships, something perhaps not hard to understand given that the makeup of the mine module has changed, the equipment and the very concept of the anti-submarine module has been fundamentally altered, and the surface module lost its surface-to-surface missile -- the most powerful element it had going. All of this compounded by the fact that none of the modules is in service, or even been operationally demonstrated. With two ships in commission, another about to be delivered, and more on the way, the LCS is now moving into an entirely new phase, transitioning from a development, acquisition and shipbuilding program into an operational mode. The center of LCS discussion is moving outside Washington to Norfolk and San Diego. Next year it will jump across the world’s largest ocean and drop squarely in Singapore, where the western Pacific press, from a variety of viewpoints, will be taking great notice. The fleet is only tentatively picking up the LCS drumbeat. Inside the beltway, Work is today the type’s primary champion, staunchly and often emotionally defending and explaining the ship to any and all comers. The Navy’s top leadership and the flags at NAVSEA continue to talk up the program and the Pentagon’s surface directorate is joining in. U.S. Fleet Forces commander Adm. John Harvey in Norfolk has been a key advocate, particularly in his admonitions last year to fleet commanders not to use the ship in roles for which it isn’t intended. Vice Adm. Richard Hunt, commander of naval surface forces in San Diego, now is speaking about the Freedom’s potential to be an effective fleet unit. But years of over-reaching promises followed by long production delays have eroded confidence among mid-level officers and experienced sailors in the program’s future. O-4s and O-5s, E-7s and E-8s seem to be routinely advising their juniors to bypass LCS and aim for more established programs. O-6s who five years ago were enthusiastic LCS supporters have turned away. Even the voice of industry has become somewhat muted. Lockheed Martin remains out in front in many LCS promotion efforts, joined now by the Italian firm Fincantieri, which purchased the Marinette Marine shipyard that builds LockMart’s ships. But General Dynamics has gone virtually silent, a consequence of a 2010 decision to split from its Austal USA shipbuilding partner to position itself for future LCS ships, only to see that possibility slip away with yet another Navy change-of-concept for the program’s construction. Austal USA, a small-time operation compared with the GD behemoth, has not come close to matching its former partner’s PR efforts. Adding to a lack of cohesiveness, both LCS primes still convey a sense of competition, even though the Navy is committed -- for the moment -- to building equal numbers of each type. The “ours is better than theirs” attitude might be good for one or other of the designs, but it is not helping the overall LCS effort. US Navy Photo This is a frustrating time in the program’s development. The two prototype ships have yet to take effective mission modules into action. The adolescent concept is starting to look real -- both LCS ships finally joined together at the beginning of May in San Diego -- but it will still be some time before an LCS is doing something the Navy really needs it to do. From the mid-2000s when the LCS construction schedule started to slide and zoom up in cost, the program acquired a widely-acknowledged reputation as a troubled (that’s a nice word for it) effort. Navy mismanagement, changing priorities, overzealous and unrealistic expectations, shipyard and contractor inexperience all piled on to give the program an aura of unrelenting chaos. People might not understand what it was, but lots of folks -- particularly on Capitol Hill -- knew it was a mess. It took years for the service to work its way through numerous issues. Many problems remain, but it seems now the worst has been overcome, at least from a programmatic standpoint. In fact, from many aspects -- steady schedule, fixed pricing, stable design, increasing shipbuilding experience -- the LCS program is entering into a new era of maturity. But widespread negative perceptions remain, and everyone involved in the effort remains challenged to demonstrate it can do what it is supposed to do. Still without any concrete missions accomplished, the LCS continues to be the target of often withering criticisms. The past few months in particular have seen a dramatic rise in the number of negative media stories, followed by attention-craving Congressmen calling for more oversight and more hearings and more reviews. Problem is, none of these recent negative reports has offered anything new. More information about old problems, in some cases, but no new issues. Eternal hand-wringing about old problems is fun for some, but is it productive? Who is questioning the questioners? Or is it just a familiar tune that everyone’s used to? Junior lawmakers new to the game or those who never sat on the relevant committees calling for new hearings about things they missed is nothing new. But that they do so is not always related to good oversight -- sometimes it’s just good old-fashioned grandstanding. (Imagine, politicians trying to call attention to themselves!) Reporters writing shallow or repetitive stories, and editors calling for similar stories because everyone else is doing them, is not good journalism, even when it comes from leading publications. Sometimes it’s an honestly elusive story, sometimes it’s just plain lazy. Leakers who offer deeper information about situations already reported don’t always have great new stuff, sometimes they just have more stuff. Think tanks who jump on these reports as indicators of true developments, rather than media and political frenzies, don’t help by granting an aura of learned pretentiousness to the discussions. Critics who simply don’t like the LCS concept – and aren’t going to change their minds -- aren’t always describing real problems. Sometimes they’re just talking about their personal preferences. Sometimes they just don’t want to take the time to really find out what’s happening, repetitively recycling great rants from yesteryear. On the other side of the argumentative aisle, Navy leaders describing the LCS as a mature, well-thought out and operationally proven system do the entire effort a disservice by getting ahead of the game. Talking about four ships in Singapore, eight ships in Bahrain, or meaningful contributions to the art of mine sweeping and anti-submarine warfare and surface actions and drug hunting isn’t very helpful when you try and make it sound like you’re out there right now doing that sort of thing. US Navy Photo With the primary acquisition challenges now dealt with, with the Navy beginning to focus on the effort to get these ships into service, here’s the crux of LCS from here on out: change. To be sure, there are plans in place for everything the Navy’s planners can think of. But chances are exceptionally high that everything will change as the ships and their crews take them to sea. LCS is not a done deal. It is not a mature, final design. It does not have a fully proven concept of operations. It is not clear how many sailors should crew the ship, or if a group of manned and unmanned off-board vehicles can be simultaneously and effectively operated, or if those systems will work, or what effect having an LCS with any particular module will truly have on an operation. It is not known whether either of the combat systems will be completely effective (probably not), what specific changes should be made, or how they can be made to both ships. It is not clear which module handling system work efficiently and not break down when you need it. It is not known if the networked communications, computer and control systems will work effectively. It is not known what the final costs will be to buy the modules and operate the ships on a forward-deployed basis. It is not known if the supply, maintenance and parts support systems will be effective. Heck, it is not known if they should begin painting the aluminum superstructures and hulls. It is not known -- well, you get the idea. Anyone calling for a halt in the program while definitive answers are found to any of these questions is demonstrating a deep absence of understanding what the program is about. That is not the point, sir. Yes, there is a plan, there is a concept, there is a certain direction, but the end result in many cases may well not be what is currently envisioned. The ships were designed with a main battery unlike anything ever carried by a combatant ship: empty space. Big, empty mission bays ready to accept large containers of equipment and systems, along with flight decks much larger in proportion to other surface fighting ships. Will some of the mission equipment not work well? Probably. Have something better? No problem. Change it. Bring stuff in and install it, ship stuff out, bring in different stuff. You can’t do that on other warships. Can’t do it on Arleigh Burke or Zumwalt destroyers, or new British or French or Italian or Chinese or Russian destroyers and frigates. Forget about other 3,200-ton frigates or corvettes, they’re already packed with gear. When those systems age or become obsolescent, the ships will age with them. But an LCS is designed to grow, change and morph over time, adapting to changing requirements and priorities in -- it is hoped -- an efficient and effective manner. No navy has ever had a ship like this. The Danes tried the modular concept on a much lower level, but the LCS takes the idea significantly further. If it works, it will mean the Navy has gotten a new minesweeper, a new inshore ASW ship, a new brown water surface combatant, a new special operations platform, a new maritime interdiction ship, all in one platform. If it doesn’t work -- well, it won’t be the first time a type of ship entered service and then faded away after a few years. That’s not good, but it certainly happens. A little history. In 1927, two of the biggest ships in the world were commissioned into the U.S. Navy. The huge aircraft carriers Lexington and Saratoga dwarfed the fleet’s battleships and represented an enormous investment, particularly in a peacetime Navy that faced no urgent threat. One might have presumed the Navy had really thought out this aircraft-carrier thing, knew how to design the ships, operate the systems and planes, fit them into fleet battle concepts and tactics. But that might be presumptuous. Many people know that the Navy designation for an aircraft carrier is CV. What many people don’t know is what that originally stood for -- cruiser, heavier-than-air. Those enormous aircraft carriers were cruisers, or scouts. They had eight-inch guns to fight off the other guy’s scouts, and their aircraft were largely intended to scout the enemy so the big battlewagons could move into position. It was another 16 years or so before the modern concept of an aircraft carrier matured. Years of experimentation, trial-and-error work, technological development, a huge tactical leap demonstrated by a skilled enemy, and the loss in five months of four of the fleet’s seven fleet carriers produced lessons learned that resulted in a combat system far removed from 1927. But many of those matured concepts of 1943, through many technical evolutions, are still at the core of today’s carrier strike group concepts. Hopefully it won’t take that long, or cost that much in blood and bucks, to mature the LCS concept into an effective naval unit. But the challenge facing today’s Navy is to make the system work, to find its weak points and come up with changes, to find out what it can really do and stay away from what it won’t. To adapt what you’ve got to what you need. And yes, government testers, oversight committee members, critics and reporters, there won’t be final answers to many of these questions for some time. Get used to it. Roll with it. That’s the idea. NOTE: All views expressed herein are my own, and are not connected to, nor do they represent in any way, Defense News or Gannett Government Media. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 8 juin 2012 Share Posté(e) le 8 juin 2012 DSI de ce mois-ci le n°82 annonce encore des problèmes majeurs sur le LCS-1, après les problèmes de turbines, voici ceux structurels ,avec pratiquement une déficience se produisant 2 jours sur 3.17 fissures constatées ,incapacité de soutenir la vitesse exigée pour laquelle il a été conçu. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 8 juin 2012 Share Posté(e) le 8 juin 2012 En tout cas le LCS-2 est énorme ! Est-ce qu'il est de la taille d'une FREMM ou d'une Lafayette ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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