LBP Posté(e) le 25 octobre 2009 Share Posté(e) le 25 octobre 2009 Tu rajoutes un deuxième moteur et tu obtiens une version pilotée du Mantis... c'est aussi du BAe ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 4 novembre 2009 Share Posté(e) le 4 novembre 2009 je viens de trouvé cette photo ADA a déjà des PC7 source : http://www.aviation-francaise.com/FC-PC7-TURBOTRAINER.htm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 4 novembre 2009 Share Posté(e) le 4 novembre 2009 Il assure des missions au profit du CEV il me semble qu'il y en a trois Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 décembre 2009 Share Posté(e) le 1 décembre 2009 http://feedproxy.google.com/~r/armees/~3/r3aSnv2Vh-0/Contre-insurrection-et-appui-feu-aerien,30177.html En août 2007, l’US Air Force a fait savoir par l’intermédiaire de son Aeronautical Systems Group qu’elle cherchait un avion adapté aux opérations de contre-insurrection. But : en doter l’armée de l’Air irakienne. © Jean-Jacques Cécile ; publié dans le magazine Assaut n°27, mars 2008 Avec l’aimable autorisation de l’auteur Qu’est-ce que recherche l’USAF ? L’appareil sera un avion de série adapté à ce rôle particulier. Il devra être un aéronef biplace légèrement blindé turbopropulsé. Il lui reviendra de localiser, poursuivre et identifier ses cibles avec un assortiment de senseurs optroniques. Il aura ensuite à les engager au moyen d’armes air-sol appartenant à la panoplie suivante : canon, roquettes, bombes, missiles guidés par laser. Pour des raisons de standardisation logistique, le turbopropulseur sera un PT6 consommant du carburant JP-8. Il existe deux modèles de PT6 conçus par Pratt & Whitney Canada : la première version développe une puissance comprise entre 1 090 et 1 940 chevaux tandis que la seconde se contente de 580 à 920 chevaux. Introduit sur le marché en 1964, le PT6 avait, en mars 2003, été vendu à raison de plus de 31 000 exemplaires. C’est la première version qui sera choisie pour une puissance à peut près équivalente à 1 200 chevaux. Enfin, l’avion pourra également servir d’engin léger d’entraînement avancé. Il est prévu que les aéronefs achetés soit en service au 30 novembre 2008. Trois appareils conformes au cahier des charges sortent du lot : l’Embraer EMB-314 Super Tucano, le T-6A Texan II et le Pilatus PC-9M. L’EMB-314 est en service dans les forces aériennes du Brésil et de Colombie. Le PC-9M Advanced Turbo Trainer a été produit à raison de 240 exemplaires ; il est en service dans les forces aériennes de 12 nations. Le T-6A Texan II passe pour avoir une longueur d’avance sur ses concurrents : sorti vainqueur du programme Joint Primary Aircraft Training System, il équipe tant l’US Air Force que l’US Navy. Motorisé par un turbopropulseur PT6 de 1 100 chevaux, c’est la version militaire du Pilatus PC-9 Mk II. La planification actuelle prescrit l’acquisition par les deux armées d’un total de 454 exemplaires d’ici à 2010. Mais dans l’armée de l’Air comme dans la Marine américaines, le T-6A sert à la formation de base des pilotes. En fait, depuis le retrait des derniers OV-10 Bronco encore en service dans l’US Marine Corps en 1995, les forces armées américaines ne disposent plus d’appareil léger contre-insurrectionnel à turbopropulseur. Au sein de l’US Air Force, ce rôle est principalement dévolu à l’A/OA-10 Thunderbolt II (A-10 : appui-feu aérien rapproché ; OA-10 : guidage aéroporté d’avions d’appui). La reconversion du tueur de chars Lorsque le premier squadron équipé d’A-10 Thunderbolt II est déclaré opérationnel en octobre 1977, nous sommes en pleine Guerre froide et l’appareil a avant tout été conçu pour casser du char soviétique. L’avion aurait donc pu disparaître puisque privé de raison d’être. C’était sans compter sur ses trois atouts majeurs : sa maniabilité à basse altitude, la puissance de feu de son canon GAU-8 Avenger de 30 mm et sa capacité à emporter plus de sept tonnes de munitions, capacité qui lui vaudra le surnom de « camion à bombes ». Solidement établie lors de « Tempête du Désert » en 1991, sa réputation se renforce lorsqu’en mars 2003 les troupes américano-britanniques se ruent vers Bagdad. Pendant la première semaine des combats, les demandes d’appui-feu provenant des unités terrestres engagées ne spécifient que rarement quel appareil est préféré. Au-delà de cette première semaine, c’est un véritable plébiscite : entre 80 et 90 % des demandeurs précisent vouloir l’intervention du A-10 et de rien d’autre. Volant la plupart du temps en-dessous de 300 mètres d’altitude, n’ayant besoin que de 2,4 kilomètres de visibilité, le Thunderbolt II délivre le feu dès la première passe avec une précision diabolique. Face à cela, les F/A-18, trop rapides, doivent parfois effectuer deux voire trois passes pour faire mouche. Ce regain d’intérêt envers le vieux cheval de bataille va jusqu’à pousser le général Michael Moseley, chef d’état-major de l’US Air Force, à faire une proposition originale : créer un nouveau squadron et le rattacher à l’United States Air Force Special Operations Command pour utilisation dans le cadre des opérations COIN (counterinsurgency). Mais entretemps, décision est prise de moderniser l’avion ; c’est le Precision Engagement Modification Program. Il vise à porter sur 5 ans 356 Thunderbolt II au standard A-10C équipé d’un affichage digital, capable de lancer des bombes guidées par GPS Joint Direct Attack Munition et bénéficiant d’une totale intégration des nacelles de navigation et d’attaque Sniper XR ou Litening AT. Ces nacelles comportent toutes deux des caméras diurne et nocturne infrarouge ainsi qu’un désignateur laser. Mais, aussi adapté qu’il soit à son nouveau rôle, l’A-10 est un biréacteur. En tant que tel, son entretien revient relativement cher et sa maintenance exige une infrastructure minima. Alors, lorsque les A-10 font défaut et en l’absence d’un monoturbopropulseur rustique, l’appui-feu contre-insurrectionnel américain emprunte parfois des chemins de traverse. Les expédients Lorsque le temps manque pour diligenter un A-10 afin de prendre en compte une menace furtive caractéristique d’une guerre contre-insurrectionnelle, l’US Marine Corps se repose parfois sur les lance-roquettes multiples. Depuis juillet dernier, les Leathernecks de la batterie F, 2nd Battalion, 14th Marine Regiment mettent en œuvre le tout nouveau High Mobility Artillery Rocket System (HIMARS). C’est ni plus ni moins qu’un MLRS allégé sur châssis à roues. La trajectoire des « roquettes » (mais peut-on encore parler de « roquette » dès lors qu’il y a guidage ?) est recalée par GPS. A la mi-décembre 2007, les HIMARS de l’USMC avaient servi deux fois en Irak. Lors du tir inaugural, les munitions ont détruit une cache d’armes piégée. A la mi-novembre 2007, c’est une unité de forces spéciales qui a requis un tir sur un immeuble dans lequel des insurgés s’étaient réunis. Pas moins de 10 roquettes ont atteint la bâtisse qui a été réduite à l’état de décombres. 25 « enemy combatants » ont été tués et 47 autres ont été capturés. Un autre « outil » susceptible de se substituer à l’A-10 est l’hélicoptère d’attaque AH-64 Apache. Début décembre 2007 en Afghanistan, trois nations mettaient en œuvre des engins de ce type, à savoir les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas. Cependant, les Britanniques y étaient les seuls à les y utiliser munis du radar Longbow. Conçu à l’origine pour repérer les véhicules ennemis sur le champ de bataille (encore une survivance de la Guerre froide), ce système démontre maintenant son utilité dès lors qu’il s’agit d’éviter les collisions dans un espace aérien encombré. Parallèlement, il se révèle utile en tant qu’outil de commandement et de contrôle au profit du chef de patrouille. En une occasion, il a permis à l’équipage d’un Apache de diriger l’atterrissage d’un Chinook à proximité immédiate d’un objectif que le pilote de ce dernier ne voyait pas malgré l’utilisation d’une optronique de vision nocturne. Les Américains ont pourtant des AH-64 équipés du Longbow mais préfèrent ne pas monter les radars afin d’alléger leurs voilures tournantes que l’usage révèle comme étant sous-motorisées. Equipés de turbines plus puissantes, les Apache britanniques ont une autonomie de 2h45mn en décollant avec des réservoirs supplémentaires internes, 300 obus de 30 mm, 16 roquettes et deux missiles Hellfire. Parfois, en fonction du profil de la mission, les équipages préfèrent cependant se passer de réservoirs supplémentaires. But : emporter une quantité supérieure d’obus de 30 mm car le canon est souvent l’arme la plus utilisée au cours des combats. On notera enfin que l’ostracisme dont l’US Air Force fait preuve en matière d’avions de contre-insurrection rustiques ne supprime pas pour autant un besoin ressenti par de nombreux Etats. Le besoin subsiste Pour preuve, qu’il suffise de citer l’intérêt que suscitent les A-37 Dragonfly sud-coréens. Différentes version de l’A-37 ont effectué un total de 165 000 sorties sous les cocardes de l’USAF pendant le conflit vietnamien. C’est certes un biréacteur mais sa simplicité d’emploi, son coût réduit et sa capacité d’emport en faisaient un appareil COIN apprécié. Or donc, la Corée du sud mettait encore en œuvre jusque très récemment et depuis 1994 des A-37 au sein de son escadrille de démonstration « Black Eagles » et les appareils en question sont en passe d’être remplacés par des T-50 de fabrication nationale. D’ores et déjà, les autorités coréennes ont été approchées par le Pakistan et le Pérou qui ont fait part de leur intérêt envers les Dragonfly restants ainsi qu’envers les stocks de pièces détachées existants. Autre indicateur, la volonté de la fameuse société militaire privée Blackwater d’acquérir des Super Tucano. Ainsi que déjà précisé, cet appareil capable d’emporter 1,5 tonne d’armement et ayant une endurance de 6h30mn est en service dans les forces aériennes colombiennes. Blackwater possède déjà des Little Bird qui, en Irak, jouent le rôle de la cavalerie lorsque les Indiens locaux attaquent les convois. Mais cet hélicoptère n’est pas assez rapide et sa charge utile est insuffisante pour lui permettre d’emporter un armement conséquent. Un premier EMB-314 d’entraînement aurait été acheté par la société à l’été 2007. Il faudra suivre l’affaire de près pour voir si les conséquences des « événements » du 16 septembre sont de nature à remettre ce projet en question. En tout cas, il y a un organisme qui, en l’occurrence, observe à la loupe les faits et gestes de Blackwater : l’US Air Force. Allez savoir pourquoi… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 3 décembre 2009 Share Posté(e) le 3 décembre 2009 Au Vietnam, il n'y avait pas avion spécialisé dans les frappes au sol, ils ont même utilisé des A4. Car l'un des problèmes est que les avions à réactions allaient trop vite pour être efficace.Et puis les drones font ce boulot admirablement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 3 décembre 2009 Share Posté(e) le 3 décembre 2009 Au Vietnam, il n'y avait pas avion spécialisé dans les frappes au sol, ils ont même utilisé des A4. Car l'un des problèmes est que les avions à réactions allaient trop vite pour être efficace. Et puis les drones font ce boulot admirablement. Cependant ils n'offriront jamais la souplesse et la réactivité d'un vecteur piloté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 3 décembre 2009 Share Posté(e) le 3 décembre 2009 Au Vietnam, il n'y avait pas avion spécialisé dans les frappes au sol, ils ont même utilisé des A4. Car l'un des problèmes est que les avions à réactions allaient trop vite pour être efficace. Le Viet-Nam, c'était il y a 35 à 45 ans. A l'époque : - la proportion de munition guidées était minime. A la bombe lisse, et avec les conduites de tir/systèmes de visée de l'époque, t'avais pas intérêt à aller trop vite si tu voulais réduire ta CEP. - les moyens de veille/détection/poursuite étaient minimes, ce qui ne facilitait pas la préparation du "run" de "strike". En gros, fallait chercher l'objectif avec ses yeux et ses jumelles, donc en prenant du temps et pas trop de distance, s'aligner dessus pas trop vite et boum. - la géolocalisation des cibles était pourrie. Les chefs de section réclamant un appui aérien étaient souvent incapables de lire correctement une carte, d'y indiquer les coordonnées de la cible plutôt que les leurs, et les cartes étaient parfois fausses. Il était donc légitime de privilégier des avions volant à 250 kts, pour trouver la cible, la confimer, et faire un largage gravitationnel pas trop pourri. Maintenant, la cible est géolocalisé par GPS, voire désignée par un laser, traquée dans le FLIR d'un avion qui va la frapper avec une munition guidée, larguée à 8 kilomètre de là, à 500 kts, avec une CEP de 50 m. Et quand bien même le tir serait à la bombe lisse, les autres avantages (localisation, suivi TV/IR) persistent et les conduites de tir actuelles restent excellentes en gravitationnel. L'argument du "ça va trop vite" est donc un peu caduc, aujourd'hui ... Par contre, le "ça va trop lentement", on risque de l'avoir assez vite s'il n'y a pas une grosse densité d'appareils plus lents. Les piou-pious supportent de moins en moins de devoir attendre leur CAS 15 minutes quand ils en ont besoin dans 5. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 3 décembre 2009 Share Posté(e) le 3 décembre 2009 L'argument du "ça va trop vite" est donc un peu caduc, aujourd'hui ... Par contre, le "ça va trop lentement", on risque de l'avoir assez vite s'il n'y a pas une grosse densité d'appareils plus lents. Les piou-pious supportent de moins en moins de devoir attendre leur CAS 15 minutes quand ils en ont besoin dans 5. Y a encore malentendu ... il ne s'agit pas de concurrencer les jet dans leur coeur de métier ... mais de se placer une couche en plus au niveau des HdC. Avec en bonus la persistance, et la proximité. Turboprop léger implique, plus d'aeronefs, plus pres des combat, plus longtemps en l'air. Ce serait plus des avion d'escorte, lié de maniere quasi organique a leur protégé, il serait donc la tout le temps ... et serait bon a tout ... observation, reconnaissance, appui feu léger - canon, rocket, petit bombe -, voire petit cargo ou evac -. Bien sur ca oblige de les héberger le temps des opération sur la FOB ... ou du moins qu'il puisse y faire un pit stop pour "refuel and rearm" comme les HdC ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 3 décembre 2009 Share Posté(e) le 3 décembre 2009 Y a encore malentendu ... il ne s'agit pas de concurrencer les jet dans leur coeur de métier ... mais de se placer une couche en plus au niveau des HdC. Avec en bonus la persistance, et la proximité. C'est ma faute. J'ai juste voulu resituer le contexte et réàgir à l'argument de kotaï sur "l'un des problèmes est que les avions à réactions allaient trop vite pour être efficace". Je maintiens que cet argument est caduc. Par contre, tous les avantages actuels que j'ai évoqué s'appliquent aussi aux appareils turboprop - la vitesse en moins Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 3 décembre 2009 Share Posté(e) le 3 décembre 2009 Cependant ils n'offriront jamais la souplesse et la réactivité d'un vecteur piloté. A bon? C'est qui qui pilote un drone? Un manchot aveugle? On déporte simplement le pilote, il n'est pas remplacer. Y a encore malentendu ... il ne s'agit pas de concurrencer les jet dans leur coeur de métier ... mais de se placer une couche en plus au niveau des HdC. Avec en bonus la persistance, et la proximité. Turboprop léger implique, plus d'aeronefs, plus pres des combat, plus longtemps en l'air. Ce serait plus des avion d'escorte, lié de maniere quasi organique a leur protégé, il serait donc la tout le temps ... et serait bon a tout ... observation, reconnaissance, appui feu léger - canon, rocket, petit bombe -, voire petit cargo ou evac -. Bien sur ca oblige de les héberger le temps des opération sur la FOB ... ou du moins qu'il puisse y faire un pit stop pour "refuel and rearm" comme les HdC ... Donc les jets ne durent pas longtemps en l'air? Ne peuvent pas aller au contact? Donc une patrouille, un avion????? Vous rêvez, maintenant les jets peuvent le faire sans se coller au sol, un B1 peut faire une frappe massive avec des 2500 livres, un A10 peut faire un strafing. Ce qui pose problème est la persistance des appareils et leurs faibles nombre, si je me souvient bien, en France, il y a bien quelques centaines de rafale qui rouille. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 3 décembre 2009 Share Posté(e) le 3 décembre 2009 A bon? C'est qui qui pilote un drone? Un manchot aveugle? On déporte simplement le pilote, il n'est pas remplacer(remplacé).Très drôle, vraiment. Le "directement piloté" est irremplaçable car le "télécommandé" a ses inconvénients : la transmission peut-être brouillée (problème du satellite, météo, brouillage par l'ennemi encore qu'avec les taleb ça n'arrivera pas) ; si un capteur du drone dysfonctionne ton "pilote déporté" devient aveugle (et manchot tant qu'on y est), alors que le pilote sur zone dans son avion aura toujours ses yeux ... Ce qui pose problème est la persistance des appareils et leurs faibles nombre, si je me souvient bien, en France, il y a bien quelques centaines de rafale qui rouille. Quelques centaines de rafales qui rouillent ? Où sont-ils donc ? Je ne savais pas qu'on en avait commandé autant ! :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 février 2010 Share Posté(e) le 1 février 2010 http://www.warisboring.com/?p=3714 by DAVID AXE It was the bloodiest battle for U.S. forces in Afghanistan in more than a year. On the morning of October 3, 2009, reportedly hundreds of Taliban fighters assaulted a combined American and Afghan outpost in Kamdesh, in eastern Afghanistan on the border with Pakistan. In six hours of furious fighting, the Taliban managed to briefly penetrate the base’s outer defenses. Ultimately, superior U.S. training and firepower won the day. As the sun fell over the ruined outpost, eight Americans, three Afghan soldiers and as many as 100 Taliban lay dead. U.S. Air Force fighters flying from Bagram air base, outside Kabul, played a big part in repelling the attack. The 335th Expeditionary Fighter Squadron, deployed to Bagram from Seymour Johnson Air Force Base, in North Carolina, had two Boeing F-15E Strike Eagles airborne when the fighting broke out. Those two aircraft quickly diverted to support the ground troops, while four more F-15Es launched to join them. The Kamdesh fighting “would have been so much worse” if not for the Air Force’s efforts, said one Air Force officer, who spoke on condition of anonymity. The same officer complained that the Air Force never fully claimed credit for its role in the battle. But the absence of boastful press releases reflects changing attitudes towards the still-vital practice of Close Air Support (CAS). A “softer” NATO counter-insurgency strategy and new, more precise technology has forced CAS to recede into the background. Eyes in the Sky “I would estimate 90 to 95 percent of our missions on any given day are spent primarily being a manned intelligence platform,” said Capt. Jerimy Maclellan, a pilot with the 335th. “We show up with bombs if required, but it’s tertiary.” Targeting pods like the Strike Eagle’s Sniper represent the fighter fleet’s most important weapon system. “My challenge is to put the aircraft in such a place where my back-seater can focus the sensors to provide that support,” Maclellan said. The emphasis on intelligence over ordnance resulted from what NATO perceived as an over-reliance on firepower earlier in the conflict — and the commensurate civilian casualties resulting from that approach. In 2006, 116 Afghan civilians died accidentally in NATO air strikes, according to Human Rights Watch, a New York-based nonprofit organization. As the pace of air operations accelerated in 2007, 321 civilians died in air attacks, the group reported. “Mistakes by the US and NATO have dramatically decreased public support for the Afghan government and the presence of international forces providing security to Afghans,” said Human Rights Watch official Brad Adams. The new top NATO commander, U.S. Army General Stanley McChrystal, agreed with that assessment. “Air power contains the seeds of our own destruction. A guy with a long-barrel rifle runs into a compound, and we drop a 500-pound bomb on it?” McChrystal told his senior officers, according to The New York Times. “If we use air power irresponsibly, we can lose this fight,” McChrystal reportedly added. For the U.S. Air Force, new, stricter rules of engagement and gentler mindset have had a cultural effect. Everyone from the top brass down to junior fighter pilots has become more reluctant to talk about the increasingly infrequent occasions when CAS practitioners are actually cleared to fire weapons. And they’ve been forced to find new ways to contribute to the fight. Show of Force To continue supporting the ground troops even in situations where the use of major ordnance is prohibited, fighter pilots have turned to two surprising tactics: the unarmed “show of force,” and traditional gun strafing. F-16C pilot 1st Lt. Michael Pacini, from the 421st Expeditionary Fighter Squadron, deployed to Bagram from Hill Air Force Base, Utah, described using a low-level pass to literally scare away Taliban fighters who had just detonated an Improvised Explosive Device. “An IED went off where I was watching — a whole platoon was hit,” Pacini said. “I went down … to let the bad guys know we’re here, now stop what you’re doing or we’re going to kill you. Our show of presence made them leave.” New technology has helped enable this more restrained, more precise form of air power. U.S. squadrons use a new type of bomb fuse that delays the explosion a few milliseconds longer than usual, allowing the weapon to bury itself deeper in the ground and thus limiting its blast radius. The proliferation of datalink-equipped targeting pods keeps fighters pilots in closer contact with Joint Terminal Air Controllers on the ground. A JTAC “speaks Army as well as Air Force,” said Lt. Col. Mike Millen, commander of the 354th Expeditionary Fighter Squadron, an A-10 unit from Eielson Air Force Base in Alaska, deployed to Kandahar. Using the latest model of the Remotely Operated Video-Enhanced Receiver terminal, a JTAC can view a live video feed from a fighter’s targeting pods, helping him guide the fighter onto the right target. However necessary and justified, the new CAS rules make a pilot’s job harder. Even with a JTAC’s help, it can be tough to positively identify an enemy. And with bullets flying and NATO troops in danger, as was the case in Kamdesh in September, the pressure is on to fix the Taliban and take action. “It’s very difficult to break out the bad guys, the insurgents, and try to separate them from local Afghanis and try to prosecute attacks,” Millen said. “Every building looks basically the same.” To read the rest, subscribe to Combat Aircraft. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 1 février 2010 Share Posté(e) le 1 février 2010 Cet article est très intéresant car démontre à quel point les américains ont mis du temps à se rendre compte que lors des opérations de CAS la capacité à bien distinguer ce qui se passe au sol, grâce aux nouveaux pods polyvalents de reco-désignation et illumination d'objectif (genre Sniper ou Damoclès) équipés d'une liaison de données en temps réel, est plus importante que la puissance de feu en soi.Ma conclusion perso est que, de tous les exemples décrits ci-dessus, on peut retenir que dans les situations de "troops in contact" intensives, le vecteur piloté équipé d'un de ces pods en liaison video instantanné avec un JTAC au sol reste le meilleur. Certes le pilote qui survole la scène vit un stress intensif mais il a une vision 100% panoramique de la scène + des facultés de discernement et d'improvisation rapides que les systèmes "de pilotes déportés" (drones) ne peuvent offrir.Les turboprop de COIN à venir vont parfaitement s'intercaler entre les moyens aériens existants. Ils n'en remplaceront en fait aucun, car ils sont la seule formule actuellement possible pour combler un besoin opérationnel que les autres moyens disponibles ne peuvent que partiellement satisfaire pour un coût plus élevé :- Celui d'un appareil équipé des mêmes moyens d'identification/désignation sol et des mêmes liaisons vidéos en temps réel que les derniers jets de combat, mais consommant 5 fois moins, avec une vitesse max et une autonomie 2 X plus elevée qu'un hélico, capable d'emporter les mêmes armements que les hélicos (roquettes, missiles air-sol légers, canons) mais aussi des bombes guidées comme les jets, limitées aux gabarits de 100 à 250 kg. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 4 février 2010 Auteur Share Posté(e) le 4 février 2010 Un article (en anglais) sur le LAAR :http://www.theyearindefense.com/aerospace/the-laar-lightweight-combat-aircraft-is-coming-to-the-air-force Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 10 février 2010 Share Posté(e) le 10 février 2010 http://www.dodbuzz.com/2010/02/03/coin-air-wing-in-the-wings/ Psssschittttttttttt The Air Force looks as if it has punted the establishment of a COIN Wing (though we’ll see when the authorization process starts) based on its budget submission yesterday. Gen. Norton Schwartz, the service’s chief of staff, had floated the idea of a COIN air wing in April last year. He told DoDBuzz at the Air Force Association conference that the wing would have to wait, but he provided no details as to how long the wait might be. Now we have Air Force budget officials saying the so-called “light attack aircraft” would not have any significant funding until the 2012 submission, where the service will allot $172 million for the so-called COIN plane. The Air Force did, however, take a step toward a COIN wing by ordering up 15 Light Mobility Aircraft to the tune of nearly $66 million. According to a submission to FedBizOpps, the LiMA must be able to carry a minimum of six pax and crew, operate from “austere landing surfaces” and carry a minimum of 1800 pounds with crew. The plane needs a loading door that can take litters and a 36 inch warehouse skid and have two pilot stations but be able to be flown by one pilot. The Air Force is budgeting for these planes in FY 2011 only. And part of the idea behind the plane is to help train other air forces during counterinsurgency operations. The Light Mobility Aircraft (LiMA) program will acquire Commercial-Off-The-Shelf (COTS) aircraft to satisfy the USAF light mobility mission requirement. These aircraft will be suitable for building partner capacity (BPC) especially in lesser developed partner nations (PN). This program supports irregular warfare efforts that help prepare PN to defend and govern themselves by demonstrating an airlift capability that is consistent with their needs for supporting infrastructure, performance, anticipated methods of employment, acquisition and sustainment costs, and multi-role/multi-mission capability. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 10 février 2010 Share Posté(e) le 10 février 2010 Cette séparation des budgets ne va pas aider BEI g qui esperait proposer son ov -10x pour les deux en même temps Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
chimère Posté(e) le 11 février 2010 Share Posté(e) le 11 février 2010 Ce serait plus des avion d'escorte, lié de maniere quasi organique a leur protégé, il serait donc la tout le temps ... et serait bon a tout ... observation, reconnaissance, appui feu léger - canon, rocket, petit bombe -, voire petit cargo ou evac -. Désolé de cité tes propos d'il y a 2 mois mais la description que tu donnes c'est exactement le Bronco! ^^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 6 mars 2010 Auteur Share Posté(e) le 6 mars 2010 Les USA veulent offrir des turboprop COIN au Liban :BEYROUTH, 12 février -- Les Etats-Unis se sont dits diposés à fournir au Liban d'ici 2013 des avions destinés à l'attaque légère, a rapporté vendredi le quotidien local As Safir. Le Pentagone a proposé d'offrir au Liban les avions Hawker- Beechcraft AT-6 ou Embraer Super Tucano, afin d'améliorer les capacitiés de ce dernier dans les missions de reconnaissance et les opérations de lutte contre les insurrections, a précisé le journal. La proposition intervient lors des discussions entre la délégation des Forces armées libanaises (LAF) et des officiels militaires américains à Washington. Une délégation des LAF, dirigée par le ministre libanais de la Défense, Elias Murr, est actuellement en visite à Washington. M. Murr a rencontré plusieurs officiels américains, dont la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton et son homologue américain Robert Gates jeudi, selon la même source. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 6 mars 2010 Share Posté(e) le 6 mars 2010 @vbcifaut dire qu'il y a de la concurrence avec l'achat de mi24 au lieu de su-35 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 12 mars 2010 Share Posté(e) le 12 mars 2010 Navy eyes Super Tucano for SpecOps work By Andrew Scutro - Staff writer Posted : Friday Mar 13, 2009 17:14:20 EDT The Navy’s new Irregular Warfare office has been looking at an agile Brazilian observation and ground-attack turboprop to provide an “organic” close air support aircraft for special operations forces. Under the classified “Imminent Fury” program, the Navy has already leased, tested and armed at least one Embraer EMB-314 Super Tucano, according to Capt. Mark Mullins, a naval special warfare officer serving as the deputy director of the Navy Irregular Warfare Office at the Pentagon. “This is a close air support, manned aircraft with a pilot and sensor operator. The idea here is that SOF needs an organic capability that can stick with them while they’re doing their mission,” Mullins said. “We’re not buying them; we’re leasing them right now. That’s an important point.” Speaking Thursday at an exposition on expeditionary warfare in Virginia Beach, Va., Mullins said the intent is to put four of the single-engine aircraft into the fight as quickly as possible. “Now we’re in an operational pause, trying to figure out how to get to Phase II. We need about $44 million,” he said. “Back to the method of venture capitalism, we’re working with the Air Force and Marine Corps, socializing it with those guys to see if we can get money invested and get to Phase II, where we’re taking four aircraft into theater.” The EMB-314 is flown by the military forces of Brazil and Colombia, according to Christine Manna, communications director at Embraer’s office for North America in Fort Lauderdale, Fla. As well, Manna said, Chile bought 12 planes and the Dominican Republic bought eight, but the planes have not been delivered yet. The Super Tucano has a flight endurance of more than six hours, carries several sensors, can be armed with a heavy machine gun in each wing and has mounts for bombs, cannon and rocket pods, according to Jane’s All the World’s Aircraft 2008-9. Calling it a “fascinating piece of kit,” Mullins said, “the proof of concept” is complete after a year of testing. But he described Imminent Fury as his new office’s “most contentious project,” mostly due to wariness from naval aviation. “You can imagine the SOF guys and Marines really love this,” he said. “The challenge here, and why it’s so contentious, is it falls into the seam where it’s really not clear whose bailiwick it is. It’s not a marinized aircraft. It doesn’t fly off the carrier.” Mullins said the Super Tucano can be landed on an unimproved airstrip such as a road, refueled in minutes and sent right back into the fray. A briefing slide on the Imminent Fury project obtained by Navy Times identifies the need for a “tactical fixed wing [intelligence, surveillance, reconnaissance] platform to provide expeditionary, organic Find/Fix/Finish operations for SOF Forces in a maneuverable, long range, low heat signature platform.” The project began following a visit by Navy Secretary Donald Winter with naval special warfare task forces in the Central Command area in October 2007, according to a similar brief. “It’s not about flying in from 1,000 miles away, dropping some thousand-pound bombs and leaving,” Mullins said. “It’s about working with [the ground force], doing the intelligence preparation of the battlespace, doing a [communication] relay, close air support, eyes on target and if there’s squirters leaving the target, keeping up with them and tracking them down and doing [bomb damage assessment] at the end.” Although Mullins said the project is awaiting funding to move forward, a slide in Mullins’ presentation indicated it’s sponsored by the Office of the Secretary of Defense, Naval Air Systems Command and the Navy. “Imminent Fury is a classified Navy initiative to address urgent warfighter needs,” said Lt. Sean Robertson, a Navy spokesman at the Pentagon. “Initial developmental testing has been promising, and the Navy is currently conducting discussions with our Joint partners on various courses of action as this initiative moves forward.” Mullins delivered an unclassified brief, but details of Imminent Fury remain classified, Robertson said. The Irregular Warfare office, part of the Navy staff at the Pentagon, was established last July under the direction of Adm. Gary Roughead, the chief of naval operations. It’s headed by Rear Adm. Mark Kenny, a submariner. “Our goal is to rapidly deliver capabilities and effects,” Mullins said. “And we are the CNO’s lead for irregular warfare.” Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 13 mars 2010 Share Posté(e) le 13 mars 2010 Je traduis ce passage qui semble résumer le concept d'Imminent Fury (vu que j'ai du surutiliser Babylon pour comprendre certains mots...) : Calling it a “fascinating piece of kit,” Mullins said, “the proof of concept” is complete after a year of testing. But he described Imminent Fury as his new office’s “most contentious project,” mostly due to wariness from naval aviation. “You can imagine the SOF guys and Marines really love this,” he said. “The challenge here, and why it’s so contentious, is it falls into the seam where it’s really not clear whose bailiwick it is. It’s not a marinized aircraft. It doesn’t fly off the carrier.” Mullins said the Super Tucano can be landed on an unimproved airstrip such as a road, refueled in minutes and sent right back into the fray. ... “It’s not about flying in from 1,000 miles away, dropping some thousand-pound bombs and leaving,” Mullins said. “It’s about working with [the ground force], doing the intelligence preparation of the battlespace, doing a [communication] relay, close air support, eyes on target and if there’s squirters leaving the target, keeping up with them and tracking them down and doing [bomb damage assessment] at the end.” Appelant cela "une fascinante pièce en kit" dit Mullins, "la preuve du concept" est complète après un an de test. Mais il décrivit "Imminent Fury" comme le projet le plus sujet à contentieux de son bureau", principalement du fait de la circonspection de l'aviation navale. "Vous pouvez imaginer que les gars du SOF et les Marines, aiment réellement ceci" dit il. Le challenge, ici , et pouvoir c'est tellement sujet à contentieux , est qu'il tombe sur une ligne de démarcation, où il n'est pas réellement clair de quelle juridiction cela dépends. Ce n'est pas un avion navalisé. Cela ne décolle pas d'un PA" Mullins dit que le SuperTucano peu atterrir sur une piste improvisée telle qu'une route, ravitaillé en qq minues et renvoyé aussitôt dans la mêlée" ... Ce n'est pas comme de voler sur plus de 1000 miles, balancer qq bombes de milliers de livres et partir" dit Mullins. "C'est de travailler avec les troupes au sol, faire du recueil d'intelligence pour la préparation du champs de bataille, effectuer une communication relais, du Close Air Support, garder un oeil sur la cible, et si qq branleurs quittent la zone, rester en contact avec eux, les traquer et faire du Bomb Dammage Assessment à la fin". Finalement les Youesses redécouvrent le A-1 SkyRaider ou son successeur l'OV-10 Bronco... mais qui étaient tous deux des appareils aéronavale compatible... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 19 mars 2010 Auteur Share Posté(e) le 19 mars 2010 The quest for a low-cost, low-tech, irregular warfare aircraft to provide ground pounders with long loitering, on-call recon and strike got a big boost recently when Joint Forces Command’s Gen. James Mattis threw his support behind the Navy and Air Force “Imminent Fury” effort.Mattis told the Senate Armed Services Committee last week that he was taking a personal interest in the classified project, being run chiefly out of the Navy’s Irregular Warfare Office, that is looking at small turboprop aircraft for ground support.http://defensetech.org/2010/03/19/jfcom%e2%80%99s-mattis-pushes-light-iw-aircraft/Un soutien de plus pour le programme ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 20 mars 2010 Share Posté(e) le 20 mars 2010 The quest for a low-cost, low-tech, irregular warfare aircraft to provide ground pounders with long loitering, on-call recon and strike got a big boost recently when Joint Forces Command’s Gen. James Mattis threw his support behind the Navy and Air Force “Imminent Fury” effort. Mattis told the Senate Armed Services Committee last week that he was taking a personal interest in the classified project, being run chiefly out of the Navy’s Irregular Warfare Office, that is looking at small turboprop aircraft for ground support. http://defensetech.org/2010/03/19/jfcom%e2%80%99s-mattis-pushes-light-iw-aircraft/ Un soutien de plus pour le programme ! avec 2 phrases qui m'interpellent : Mattis thinks using top-line fighter jets for close air support to troops patrolling rural villages in Afghanistan is overkill. As he diplomatically puts it: “Today’s approach of loitering multi-million dollar aircraft and using a system of systems procedure for the approval and employment of airpower is not the most effective use of aviation fires in this irregular fight,” he told the SASC The sought after design falls somewhere between the Vietnam era OV-10 Bronco and A-1 Skyraider. 2 appareils qui ont tous deux des soutes cargos pour embarquer qq hommes ou faire du medevac aussi à la différence du super Tucano : De ce fait cela pourrait orienter vers un OV-10 X plutôt que sur un turboprop biplace en tandem (ou pour les pôvres comme nous sur un PC-6 ;) ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 22 mars 2010 Share Posté(e) le 22 mars 2010 Aller, moi je suis fou, je propose la Pilatus Combat Team (Dream Team :lol:), capable d'agir à partir de bases peu développées.On aurait donc une composante support, équipées de PC-6 et PC-12, qui existe déjà dans l'AFSOC (Air Force Special Operation Command). Les PC-6 pourraient de plus être armés d'une mitrailleuse en sabord, en cas de besoin.Ainsi qu'une composante attaque, composée de:PC-12 "Gunship", équipés d'un GAU-12 Equalizer en sabord (le GAU-8 Avenger ça passait pas :lol:); autrement dit le canon rotatif qui équipe les AV-8B (et les AC-130) et qui équipera les F-35; de 2 Hellfire montés sous ailes (éventuellement 4, mais ça va faire chaud au niveau bilan de masse...) ou de roquettes laser; d'un FLIR, des équipements de visée associées, des équipements permettant le vol de nuit et bien sûr un système de contremesures.PC-21 "Attack", équipés d'Hellfire/SDB, de roquettes (guidées laser ou non), de Stinger, et d'un pod canon/mitrailleuse (bien sûr pas tout en même temps), ainsi que d'un FLIR, des équipements de visée associés, d'équipements pour le vol de nuit, d'un système de contremesures.Idéalement, les deux types d'appareils travailleraient en groupe, l'un couvrant l'autre (en particulier, lors de passe à l'Equalizer, les PC-21 se positionneraient derrière le PC-12, pour pouvoir couvrir les angles vulnérables du PC-12) et apportant des avantages que séparément ils n'ont pas.Une patrouille pourrait par exemple être composée de 2 PC-21 et d'un PC-12.Mais je vois plus ce couple pour des opérations spéciales, de nuit, que pour le support des troupes en plein jour.PS: l'A-1 Skyraider n'a pas de soute, il me semble... (par contre il a existé des versions à 4 places dans le cockpit) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 26 mars 2010 Share Posté(e) le 26 mars 2010 Kiwi XSTOL Solution for USAF Light Mobility Aircraft?Posted by Guy Norris at 3/25/2010 2:46 PM CDTL-3 Platform Integration and New Zealand utility aircraft maker Pacific Aerospace Ltd (PAL), have teamed to offer a militarized variant of the P-750 Extremely Short Take-Off and Landing (XSTOL) for the USAF Light Mobility Aircraft (LiMA) competition. Although no formal RFP is thought to have yet been issued, the LiMA request for information unveiled in mid-2009 called for the capability to operate with up to 1,800 lb of passengers and cargo from unimproved, austere landing surfaces. The single-engined P-750 is expected to face stiff competition from the high-wing Cessna 208 Grand Caravan, of which several are now operating in Afghanistan and Iraq. Other potential challengers include the Hawker Beechcraft King Air 350 and EADS CASA C-212. Judging by the PAL video, the P-750 certainly appears to be qualified for this kind of work. See for yourself….(Video - PAL/YouTube) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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