Marcus Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 ah ok je comprend mieux pourquoi l'espagne et pas un autre merci ;) Les essais de l'A400M seront principalement réalisé à Toulouse a cause des équipement spécifiques sur l'usine Airbus. L'avion doit se limiter à des essais minimaux en Espagne. Quand Airbus sera rassuré sur les capacitées du prototype, il fera le voyage Les photographes de la zone doivent se préparer a capturer cet atterissage. =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 rhaaa!!!Je maudis les lecteurs flash player speciaux !!!N'ayant rien a faire ce matin a la fac je me suis dis cool je vais regarder ca sur mon mobile...Et bien sur le format du lecteur est inconnu et la mise a jour ne marche pas sous windows mobile...Mais bon l'essentiel etant qu'il vol ^^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Borisdedante Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Airbus A400M first flight web-captureoX-kIUYRyDk Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chaps Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Vu sur flightglobal, la liste des lieux de test en situation réel (2011-201X), c'est impressionant cold-weather work will be conducted at two locations in Canada, and in Greenland and Sweden. "Hot and high" testing will be performed in Bolivia and Colombia, "hot and humid" flights made in Guyana. Al Ain in the United Arab Emirates will host hot-weather testing, Tunisia will be the location for hot and sandy operations. Mexico for high-altitude staging near the equator. High-latitude testing will be done from the Norwegian archipelago of Svalbard in the Arctic Ocean, Keflavik in Iceland will host high-cross-wind operations trials. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tom Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 le site a réouvert pour le retour Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Putain il vol !!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Visible via: http://www.airbus.com/en/A400M/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 11nm avant l'atterissage :)Il roule a nouveau :lol: z'ont rien cassé c'est déjà ca :) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Il vole... et son prix décolle aussi !Dernier tarif : 150 millions d'euros pour chaque "Grizzli" !http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/12/la400m-doit-voler-ce-matin-%C3%A0-10-heures.html(remarque, on va pas continuer à l'appeler A400M, il a surement un petit nom charmant officiel, non ?) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oberoth Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Je trouve que A400M c'est pas mal =D Peut être un nom propre de quelque chose derrière.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Champagne pour toute la tribune ( nombreuse ) et pour chacun d'entre vous ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Purée il fait un demi-tour dans un mouchoir de poche !!! Ca y est il coupe les moteur apparemment les pilotes d'essais et les officiels sont plutôt content, ca a l'air d'avoir bien marché C'est cool maintenant faut voir les resultats des testes futur mais au moins il vole =D Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aviapics Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 (remarque, on va pas continuer à l'appeler A400M, il a surement un petit nom charmant officiel, non ?) A400Milion? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 RHOOOOOoooo !!!J'adore l'accent des français quand ils parlent anglais :oops: ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Grabber56 Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Il vole... et son prix décolle aussi ! Dernier tarif : 150 millions d'euros pour chaque "Grizzli" ! http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/12/la400m-doit-voler-ce-matin-%C3%A0-10-heures.html (remarque, on va pas continuer à l'appeler A400M, il a surement un petit nom charmant officiel, non ?) Vu les capacités, je crois que ça sera un succé industriel , ce qui devrait largement amortir les couts à l'avenir! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chaps Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 En tout cas, vu l'accent lors du speech en anglais, on est sûr que l'équipe technique est française. Du Delors french touch inside :oops: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Euh...Y c'est passé quoi à la fin là ??? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Perso j'ai trouvé qu'il vole avec une certaine "nonchalance" (surtout à l'atterrissage où la grosse bête s'est posée tout en souplesse), et en même temps il dégage une impression de puissance impressionante. Bref il présente les caractéristique d'un Grizzly et il mériterait vraiment d'être baptisé "Fying Grizzly" ! 8)Bravo alexandreVBCI pour lui avoir donné ce surnom qui lui va si bien ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gran Capitan Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 En tout cas esthétiquement, je le trouve vraiment magnifique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 En tout cas esthétiquement, je le trouve vraiment magnifique. Oui et on peut maintenant espérer que l'insistance de la France et de l'Espagne à poursuivre le programme malgré les retards pris sera justifié par la suite des événnements. C'est dans les mois qui viennent que l'on va savoir si les ingénieurs d'Airbus Military ont réussi à se surpasser pour en faire un appareil vraiment performant et incontournable. La prestation de ce premier vol plus long que prévu est de bonne augure Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Babou Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Perso j'ai trouvé qu'il vole avec une certaine "nonchalance" (surtout à l'atterrissage où la grosse bête s'est posée tout en souplesse), et en même temps il dégage une impression de puissance impressionante. Bref il présente les caractéristique d'un Grizzly et il mériterait vraiment d'être baptisé "Fying Grizzly" ! 8) Bravo alexandreVBCI pour lui avoir donné ce surnom qui lui va si bien ;) en même temps il volait "léger" :oops: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 http://www.lesechos.fr/info/aero/020260191248--eads-propose-de-payer-le-reste-du-developpement-de-l-avion-.htm Domingo Ureña-Raso a été nommé en février dernier à la tête de la division d'Airbus chargée des avions militaires. Il connaît bien Airbus, pour y avoir coiffé la stratégie industrielle et le plan Power 8, et il est espagnol. Deux atouts qui en faisaient le candidat idéal pour faire accepter à Madrid l'intégration de la société espagnole Casa au sein de l'avionneur, intégration imaginée depuis longtemps mais souvent reportée jusqu'à ce que les problèmes de l'A 400 M accélèrent le destin. A son arrivée, l'avion de transport militaire lui prenait trois jours par semaine. « Aujourd'hui, c'est deux jours et demi », confie-t-il, signe que les choses vont un peu mieux, comme en témoigne le premier vol d'aujourd'hui. Où en sont les négociations entre EADS et les pays clients de l'A400 M ? Fin juillet, nous avons signé un compromis visant à un accord fin 2009. Depuis, les équipes ont travaillé pour aboutir à une très bonne compréhension technique de l'avion, ainsi que sur le nouveau calendrier de livraison, qui a été agréé par les pays. Nous nous sommes également mis d'accord sur la façon de gérer le programme à l'avenir, ainsi que sur des principes de formation des équipages. Reste le point important, le volet commercial. C'est-à-dire la question du partage des surcoûts, car l'avion sera plus cher que prévu. Quelle est votre proposition ? Nous avons déjà passé 2,4 milliards d'euros de provisions et la phase de développement comprend encore énormément de défis. C'est pour cela que nous avons proposé le partage suivant : EADS prend à sa charge les coûts de développement restants, avec les risques induits, et les clients financent la hausse du coût de production de l'avion. Comment ? En changeant les clauses d'indexation des prix, notamment. La formule actuelle, qui nous a été imposée, est gagée sur l'évolution du PIB. Elle a conduit à une hausse des prix de 1,9 % en moyenne par an de 1998 à 2008. C'est insuffisant pour couvrir la hausse des matières premières et des salaires sur la période. J'ajoute que nous avons proposé que le nouveau contrat inclue des pénalités de retard encore plus sévères. Quelle a été la réaction des clients ? Notre proposition est juste, car nous acceptons de prendre à notre charge la plus grande part des surcoûts, en plus de ce que nous avons déjà provisionné. En ce qui concerne les coûts de production, les avis sont partagés. Il y a certains pays qui sont favorables à notre proposition, dont l'Espagne, ce qui est bon signe, et d'autres qui hésitent à s'engager dans une vraie négociation. Le Royaume-Uni a besoin d'avions rapidement. Avec la France, c'est le pays qui a le plus souffert des retards. Mais tout le monde reconnaît que notre estimation des surcoûts du programme est raisonnable. Du coup, les clients n'ont que deux possibilités : payer plus pour avoir le même nombre d'avions, ou payer la même chose mais accepter d'en recevoir moins… Effectivement. Il semble que seule la Turquie ait accepté de payer plus pour recevoir ses 10 avions. Les autres pays doivent compter avec leurs planifications budgétaires. Cela va conduire à un étalement dans le temps des livraisons pour maintenir les cibles initiales. Une quarantaine d'exemplaires sur les 180 du programme sont ainsi livrés après 2020. Sous quelles conditions le programme A 400 M peut-il encore être rentable ? Tel que construit initialement, le contrat de 180 appareils commandés par les 6 pays clients européens plus la Turquie nous forçait à exporter. Pour récupérer la plus grosse partie des surcoûts, il nous faudra vendre au moins autant d'avions à d'autres pays que les sept de départ. A condition, bien sûr, que ces derniers acceptent nos conditions. Y a-t-il une chance de rattraper la commande annulée par l'Afrique du Sud ? Nous aimerions renouer le dialogue avec ce pays, j'espère d'ici à la fin de l'année. La commande des 8 A 400 M était assortie de compensations industrielles avec Denel et Aerosud, qui se sont déjà concrétisées à hauteur d'environ 300 millions d'euros. Nous réfléchissons à la suite à donner à ces accords, sans souci de punir l'Afrique du Sud. L'intégration dans Airbus de la division avions de transport militaires, dont le centre de gravité est en Espagne, a créé quelques remous à Madrid. Est-ce toujours le cas ? Cette intégration est derrière nous à présent. Après de nombreuses hésitations, ce sont les soucis du programme A 400 M qui nous ont amenés à passer à l'acte. C'est une bonne décision car nous utilisons les avions d'Airbus comme base de nos avions ravitailleurs. Et nous pouvons intégrer nos systèmes militaires sur d'autres plates-formes d'Airbus. Quant aux remous, ils se sont arrêtés depuis la visite de Louis Gallois en Espagne. Thomas Enders a également aidé à apaiser la situation. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Il décolle court le bestiau et en plus il embarque du matériel d'essai donc déjà avec de la charge marchande Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeanmi Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 Cette fois, c'est fait. L'avion de transport militaire européen Airbus A400M a volé pour la première fois, décollant de Séville à 10 h 16, heure locale, et s'y reposant vers 14 heures en présence du roi Juan Carlos d'Espagne. Tout le monde, industriels, gouvernants et armées de l'air clientes, pousse un ouf de soulagement. Mais bien des questions demeurent. Notamment celle de la date de livraison de ces appareils très attendus. Une première douche froide a été versée ce matin par Louis Gallois, le pdg d'EADS, qui a révélé que le premier avion ne serait pas livré - comme c'était pourtant promis par Airbus - en octobre 2012, mais bien "début 2013" à l'armée de l'air française. Ce qui ne laisse pas augurer l'entrée en service de l'A400M avant 2015, puisque la règle veut qu'un avion livré pour la première fois à l'armée de l'air française passe deux ans au Centre d'expérimentations aériennes militaires (CEAM) de Mont-de-Marsan pour le tester et en évaluer les capacités opérationnelles. Gageons que le "début 2013" est une notion élastique dans la bouche de l'avionneur, qui, pour l'instant, a d'autres préoccupations. Notamment celle de faire revoir le contrat à la hausse, afin que les États payent les retards des industriels. Lesquels avaient pourtant signé des contrats très clairs : tous les retards sont à leurs frais. Pire : si les avions ne sont pas prêts à temps, les industriels sont fondés à réclamer le remboursement des sommes versées, et à aller se fournir ailleurs. On sait que les Américains proposent deux avions pour remplacer l'A400M : l'un est plus petit et moins cher, c'est le C130J Hercules. L'autre est plus gros et plus cher, c'est le C17 Globemaster de Boeing. http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-12-11/airbus-l-a400m-a-vole-pour-la-premiere-fois-mais-de-nouveaux-retards/1648/0/404227Etre le coût qui augmente et les dates de livraison qui reculent on en finit plus !On urait mieux fait d'acheter des C130J et C17, ca aurait couter moins cher ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 11 décembre 2009 Share Posté(e) le 11 décembre 2009 J'ai un ami qui vient d'écrire ceci sur le blog de Jean-Do. :lol:A nouveau c'est le déchainement contre l'industrie.Il est vrai que le prix payé pour l'A400 est anormalement cher et bien plus cher qu'un achat sur étagère.Pour information le C17 coute 197 millions de $ en prix unitaire marginal (hors coûts de R&D), soit 132 millions d'euros ou 159 millions d'€ TTC.Source: http://www.flightglobal.com/articles/2009/02/10/322315/usaf-signs-deals-for-15-more-c-17s-upgraded-c-5ms.htmlAvec un prix unitaire programme de 150 millions d'euros, ca met l'A400 au même prix que le C17 pour une performance moitié moindre.Pour autant l'industriel est il responsable?Partiellement car il n'a pas su gérer correctement le programme.Mais la responsabilité première revient à l'Etat qui a lancé un programme politique pour promouvoir la coopération Européenne.Sinon l'Europe aurait acheté Boeing.Pour ce faire il fallait des partenaires a toute force et on a accepté trop de désidérata des différentes armées en terme de spécification.Airbus et EADS dirigés par des fonctionnaires francais détaché (N Forgeard notamment), a du tout accepter.En parallèle le programme A380 s'avérait très couteux pour Airbus.-Donc l'A400 a pris du retard et vaut bien plus cher que prévu,-Airbus est en difficulté financière (notamment à cause de la parité Euro dollar) et représente pourtant une société clef pour la France, sa richesse et son niveau de vie-Airbus ne peut prendre à sa charge des dépassements qui lui ont été imposéA ce stade là il n'est simplement plus possibe de s'arreter car Airbus ne peut accepter les pertes, la France et l'UE serait discrédité dans l'Europe de la Défense pour lequel l'A400 est le programme structurant.Aurait on pu acheté sur étagère aux USA?Oui pour un nombre limité de C17 et si les USA nous garantissent l'utilisation libre en donnant les codes sources.Ce qu'ils auraient refusé après les critiques de la France en Irak.Rajoutons que l'A400 n'est pas un programme structurant pour le maintien des compétences technologique critiques qui sont celles des avions de combat et non de transport.Pour un nombre élevé correspondant à la capacité A400 prévu, outre que cela aurait été un cadeau à l'industrie américaine concurrente d'Airbus sur le civil, cela aurait pesé sur notre balance du commerce extérieur détruisant plus de richesse en terme de PIB Européen et Francais que le coût du programme même au niveau actuel.Certains militaire ne doivent pas oublier que l'industrie de défense est une industrie de souveraineté: Sans industrie de défense il n'y a pas d'indépendance politique ni possibilité de dépense de matériel à un niveau élevé à cause du coût sur la balance des paiements.Produire ses matériels (seul ou en coopération équilibrée) est la condition sine qua non de l'autonomie d'utilisation.Or l'armée est là pour défendre cette autonomie.Le budget de défense vient des impots payé par le secteur privé.Il est donc normal que la partie équipement soit dépensée dans l'industrie francaise.Nous payons donc un surcoût lié à l'autonomie de notre politique étrangère et de défense par rapport au grand frêre d'outre Atlantique, mais l'armée est censé garantir notre sécurité ET cette autonomie de notre politique étrangère et de défense.Donc il est normal de payer ce surcoût.Là ou c'est moins normal est que l'Etat est réticent à tenir compte de cela et de réajuster à la hausse ce budget défense quand nécessaire pour que les engagements pris auprès des militaires soient aussi tenus.C'est aussi l'ingérence excessive du politique à vouloir promouvoir à toute force des programmes de nature politique sans tenir compte des mises en garde des experts et ingénieurs, et sans assumer.L'industriel fait ce qu'on lui dit et sa capacité à payer les erreurs sur les programmes d'armement est très limité.On peut faire payer un peu ceux qui sont responsables dans le management en les virant pour sanctionner la partie d'erreur du coté industriel mais ca ne rattrapera rien du coté financier.Pourquoi la région du Sud Ouest devrait elle sinistrée (ca serait le cas en cas de grave problème chez EADS), parceque une poignée de politiques, de hauts fonctionnaires (qui ne sont pas de la DGA) voire de quelques directeurs chez EADS ont fauté?(Et les directeurs fautifs ne sont plus chez EADS, et bien sûr les politiques et les hauts fonctionnaires n'ont pas été sanctionnés) .La France doit assumer ses erreurs et son armée aussi.Rédigé par: Patriote Inquiet | 11/12/2009 à 13:52 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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