true_cricket

Dans l'absolu, rien n'empêche la zone des silos missiles de dépasser du pont si nécessaire, par un décrochement. L'étrave inversée c’est une question très complexe de compromis vis-à-vis de la tenue à la mer (enfournement, tangage essentiellement). Ce n'est pas toujours nécessaire, cela dépend des mers dans lesquelles le navire va naviguer. Le SeaFire me semble placé plus haut sur les images de DCNS que sur la vôtre.

Non, si la structure porteuse est en matériaux légers (aluminium ou composites), une FREMM peut le recevoir dans avoir de problème structurels ou de stabilité. Ce qui ets tout à fait faisable étant donné que al masse des radars plaque est plutôt faible (comparé aux anciens trucs énormes tournants).

Serait-il possible de développer juste un tout petit peu... genre en fait tout ?

Heureusement, les navires ne sont pas construits selon des critères esthétiques...

Pas tant que cela : le Mark puis l'Euro sont utilisés dans les pays balkaniques (Yougoslavie, puis Serbie, Monténégro, de mémoire).

Le problème c'est que le code des marchés publics n'autorise pas à sanctionner une entreprise en raison de la faible qualité de ses services précédemment rendus, contrairement à une pratique courante dans les achats des entreprises privés.

Je ne sais pas où c'était prévu, mais clairement pas à l'Etat Major de la Marine. 4BPC oui, mais pour des missions amphibies (à la place des 2+2TCD d’autrefois) et ponctuellement une mission école. La réflexion sur le remplacement de la Jeanne d'Arc par un navire dédié ayant été refusée pour des raisons plus profondes. Le navire exclusivement dédié à la campagne d'application s'est avéré avoir de gros problèmes : de gestion des missions (une seule mission possible par an en raison de la durée du déploiement.) de gestion du personnel (sclérose du système par des personnes qui ne visent que les escales et non l’enseignement, lassitude du personnel au fil des années d'affectation, manque de renouvellement des points de vue et perpétuation de pratiques sans remise en cause). de qualité de la formation (liée au personnel demandant/acceptant d'être affecté sur le navire-école, mais aussi à la décorrélation entre la réalité opérationnelle et ce que l'équipage du navire vit au quotidien tout au long de la vie du navire : il est ardu d'apprendre aux élèves les opérations quand l'on n'en a jamais fait de réelles avec le navire considéré) Le changement de porteur a été l'occasion d'un changement de paradigme dans la conception de la campagne d’application.

Navire-atelier : pour soutenir quels navires? Prépositionnés outre-mer : Il manque juste un tout petit truc : Pour y faire quels missions? De la souveraineté? De la diplomatie navale à 500M€ pièce? Pour y débarquer quelles troupes, y embarquer quels hélicoptères? Par ailleurs, comme y entretenir localement les BPC? J'ai déjà posé la question sur cette idée sur le blog du marquis de seigneley (Le fauteuil de Colvert), dans un commentaire (qui a dû tomber dans les limbes car n’apparaissant pas sur son blog), mais il n'apportait pas de réponse à ces question. et là, il recommence avec le même argumentaire en un autre lieu sans apporter davantage d'éléments. Soit, c'est son opinion. Mais pas son pognon, visiblement. Navire scientifique : Euh... pour étudier quoi au juste? J'avoue avoir du mal à saisir l'utilité d'une aussi grosse coque requérant un tel équipage là où un côtre avec 20 personnes suffit actuellement pour faire des levées scientifiques/campagnes d'étude.

En "quelques jours", on n'a pas le temps de mettre en production et en circulation une nouvelle monnaie physique (pièce/billets). la nouvelle monnaie se limitera donc aux échanges électroniques... qui devront avoir été calibrés pour accepter la nouvelle monnaie avant de pouvoir commence à recevoir des échanges. Je ne parle pas des échanges internationaux car je ne sais pas quelle est la complexité pratique pour insérer une nouvelle monnaie dans les marchés de change mondiaux.

C'est quand même très différent. Le contrat des hélicoptères polonais fait rentrer nettement moins de devises puisqu'il y a production locale. C'est quand même très différent. Le contrat des hélicoptères polonais fait rentrer nettement moins de devises puisqu'il y a production locale. C'est quand même très différent. Le contrat des hélicoptères polonais fait rentrer nettement moins de devises puisqu'il y a production locale.

En passant par un vote de l'Assemblée et non du Conseil. Je le redis encore et encore : la Marine Nationale fera ce que lui ordonnera le politique. Le format des armées passe totalement en dehors de ces considérations là.

Je ne crois pas qu'un design quelconque ait été retenu pour l'instant. En tout cas, rien vu dans les communiqués.

Bizarre l'analyse de Ouest France. Nonobstant le fait qu'ils n'ont pas compris ce qu'était un "personnel spécial" (parceque pour 12, autant les prendre comme passagers en terme SOLAS, mais bon..), en quoi le fait que le chantier constructeur soit Piriou ou damen implique que l'entretien aura lieu en Bretagne? On parle bien ici de construction neuve, pas d'un contrat de MCO?

Vouss emblez extrêmement bien informé de détails très précis. Vous étiez sur place, ou bien il s'agit d'informations de seconde main?

Toujours aucun SeaFire produit ni installé sur un navire. Donc c'est pour l'instant un travail de bureau d'étude. Beaucoup de choses restent en suspens. L'industrialisation aura-t-elle les performances souhaités/prévues par le bureau d'étude? La mise au point sera-t-elle longue ou aisée? Y-aura-t-il des interférence électromagnétiques entre les équipements, sachant qu'on ne connaît rien du seaFire?

On verra, on verra. Notons chacun nos prédictions et revenons dans 10 ans. On verra qui a eu le nez le plus creux =D Sur le sujet de la technique pure : quote]Motorisation toute électrique sans TAG, 28 Nds Max

Une FTI c'est une frégate de 1er rang. Avec la totalité des équipements et des missions. Une FS, c'est une frégate de surveillance. Aux USA, on appellerait cela un côtre des USCG. Pas besoin d'un radar anti-aérien à plaque, d'une défense anti-missile de théâtre, d'une sonar ASM ou que sais-je. Arrêtez de fantasmer avec des séries soit-disant longues qui se composent de sous-classes. Cela n'a aucun intérêt en terme d'entretien, de communauté de pièce, d'utilisation, de formation du personnel, etc, etc.

Si c’est l'actualité, il est aisé de mettre une paire de liens.

Il y a encore de la marge. Les Floréal datent de 1990-1992.

Je pense surtout que la Marine Nationale fera ce qu'on lui dira de faire, qu'elle soit d'accord ou non...

Avec quel argent, pour la France (et peut être aussi la Serbie)?

Ils ne le sont pas abandonné : ils les ont ravitaillés gracieusement en vivres et en carburant. Légalement imparable pour moi.

Sauf qu'à part l'étiquette, je en vois rien qui pusse faire appel à la nation de patrouilleur dans ces navires. Ce sont de véritables escorteurs, voires frégates de 1er rang.

1/La partie arrière, rien que du travail de tôlerie fait en Russie, a été achetée par DCNS. Je en sais pas si le droit russe considère la tôlerie comme du matériel militaire, mais quand bien même la Russie annoncerait bloquer l'exportation, que se passerait-il? 2/La France ne procède plus à l'océanisation des navires depuis au moins 10 ans, ayant ratifié des convention internationale diverses qui l'interdisent dans certaines zones, et dans le reste du monde demandent une autorisation suite à un dépôt de dossier d'étude d'impact après dépollution. Bref, une procédure contraignante faisant que le droit français l'interdit en pratique (il revient moins cher de déconstruire que de faire la procédure). Une fois de plus, SputnikNews a encore fait un article sur du vent.

L'aluminium présente une très faible résistance au feu, contrairement à l'acier. Il perd en effet ses propriétés mécaniques en dessous de 600°. Un pompier passera au travers d'un sol en aluminium si un feu a pu se développer dans le local inférieur. La Marine Nationale préfère utiliser du CVR dans es superstructures, encore plus léger, qui a ses propres difficultés vis-à-vis de al résistance au feu selon les composés.