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Wallaby

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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. Mes hypothèses : - le pouvoir russe estime que les avantages qu'il tire grâce à la publication hors Russie de Russia Today sont supérieurs aux inconvénients - le plus gros de la population russe consomme d'autres médias, favorables au pouvoir, donc l'impact est minime - la population ne le supporterait pas, cela déclencherait une révolution - la liberté est une valeur fondamentale, donc on ne supprime pas un média, même s'il vous agace
  2. https://www.lrb.co.uk/blog/2021/january/confusion-and-distrust (14 janvier 2021) Les règlements du Covid-19 sont draconiens, incohérents, obscurs et peu pratiques, mais ils ne sont pas abusifs. Ils ne m'obligent pas à faire des choses que l'État ne devrait jamais faire faire à ses citoyens. Ils sont proportionnés à la menace que le virus représente pour les services de santé, et nécessaires pour ralentir la propagation de la maladie et protéger ces services : ou du moins, on peut dire qu'ils le sont. La loi et les raisons qui la justifient sont logiques. Les règlements sont contenus dans des instruments réglementaires. Ils sont les seuls à constituer la loi. Ce sont les "règles". Ils peuvent être appliqués au moyen de sanctions pénales. Les recommandations et les conseils ne sont pas des règles et n'ont pas de force légale. En revanche, la pensée et le langage officiels qui entourent les règlements sont une source de confusion et de méfiance. Les conseils et les recommandations du gouvernement ne font pas partie de la loi, mais les ministres et les diffuseurs les embrouillent constamment. Il peut être stupide et dangereux d'ignorer les conseils, mais ils n'ont aucune valeur juridique. Il n'existe aucune "règle" interdisant de faire de l'exercice plus d'une fois par jour, de se déplacer pour faire de l'exercice ou de s'asseoir sur un banc. Les ministres qui émettent des ordres de type juridique qui vont au-delà des règlements induisent le public en erreur. De tels ordres ne sont pas des règles. Ils n'ont pas de valeur juridique. Vous vous demandez peut-être comment une personne normale est censée comprendre les règlements - actuellement, pour l'Angleterre, les règlements n° 3 (Coronavirus, restrictions) et n° 2021 (Amendement) (tous niveaux) sur la protection de la santé (Angleterre) - lorsque vous voyez comment les mises à jour sont rédigées : (4) Au paragraphe 2 a) au paragraphe 2, omettre les points d) et d bis) ; (b) au paragraphe (3)- (i) au point a), omettre "et d)(ii)" ; (ii) au paragraphe (b), omettre "et (d)(iii)" ; La ministre de l'intérieur, par exemple, ne les comprend pas : lors de la conférence de presse du 12 janvier, elle a déclaré que "les règles sont claires" et que nous pouvons quitter la maison pour la "récréation" ; le règlement ne définit pas la "récréation", mais c'est l'une des choses qu'il interdit expressément. À court terme, il n'est pas indifférent que les gens ne sachent pas ce que la loi interdit - y compris la police, dont chaque erreur de répression engendre plus de méfiance. La méfiance et la confusion sont les amis du virus. Et pour l'avenir, il y a de graves conséquences à ce que les ministres pensent qu'ils peuvent nous donner des ordres sans base légale, et que nous nous y habituions.
  3. T'inquiète, il y a Erdogan pour porter le flambeau. Est-ce que quelqu'un comprend pourquoi youtube reste autorisé en Russie ?
  4. https://www.scmp.com/news/asia/article/3118714/coronavirus-fire-hits-worlds-biggest-vaccine-maker-india-japans-tokyo (21 janvier 2021) Démission du Premier Ministre La colère est montée cette semaine après que des images télévisées aient montré une femme qui semblait avoir récemment accouché être transférée dans un centre de maladies infectieuses, ne portant qu'un pyjama d'hôpital et des pantoufles en plastique, malgré des températures descendant jusqu'à moins 25 degrés Celsius. La vidéo de la femme dans une ambulance serrant son bébé a suscité de vives critiques, d'autant plus que la tradition mongole veut que les nouvelles mères évitent le froid et la nourriture froide pendant le premier mois suivant la naissance. Mercredi, environ 5 000 manifestants, pour la plupart des jeunes, se sont rassemblés sur une place en face des bâtiments du gouvernement dans la capitale Oulan-Bator, certains portant des paquets enveloppés pour représenter les bébés.
  5. Décidément, tout fout le camp. Après le Paris-Dakar en Amérique du Sud, c'est Davos à Singapour (prévu en mai 2021) : https://www.scmp.com/week-asia/health-environment/article/3118720/singapore-gears-world-economic-forum-and-other-events (22 janvier 2021) "Ces événements seront prestigieux si Singapour les organise avec succès alors que tous les autres pays sont confrontés à une pandémie qui fait rage chez eux", a déclaré M. Leong. "Mais toute personne dont le test est positif peut contaminer l'ensemble de l'événement, et cela peut finir par avoir l'effet inverse".
  6. https://www.politico.com/news/2021/01/21/pelosi-impeachment-articles-461085 Certains républicains ont mis en doute la constitutionnalité de la tenue d'un procès pour mise en accusation maintenant que M. Trump n'est plus en fonction. Certains se sont également plaints que la décision des démocrates de mettre en accusation Trump - indépendamment de son implication dans les émeutes du Capitole du 6 janvier qui ont fait cinq morts - saperait les appels de Biden à l'unité nationale lors de sa cérémonie d'investiture mercredi.
  7. https://www.scmp.com/news/hong-kong/health-environment/article/3118871/hong-kong-lockdown-what-tens-thousands-residents (22 janvier 2021) Des dizaines de milliers d'habitants de Hong Kong seront mis en quarantaine pour la première fois vendredi, la mesure la plus draconienne jamais prise par le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de coronavirus. Plus de 1 700 membres des services d'ordre doivent être déployés pour empêcher les habitants de quitter Yau Ma Tei, l'un des plus anciens quartiers de la ville. Les magasins des zones désignées resteront fermés si les commerçants n'habitent pas dans la zone, les employés du gouvernement fournissant la nourriture et les produits de première nécessité aux résidents dans le besoin.
  8. https://www.theguardian.com/us-news/2021/jan/22/joe-bidens-oval-office-what-changes-has-the-new-president-made Juste derrière Biden se trouve un buste de César Chavez, militant des droits civiques et dirigeant syndical de gauche. Parmi les autres bustes exposés figurent Martin Luther King Jr, Rosa Park, Eleanor Roosevelt et Robert F Kennedy. À droite de l'image se trouve un tableau de Benjamin Franklin, un père fondateur et un homme accompli. Le portrait représente l'intérêt de Biden pour la science et est accroché près d'une bibliothèque avec un morceau de roche lunaire. Dans un autre geste symbolique, Biden a retiré le portrait d'Andrew Jackson, le populiste septième président américain, dont les vues nationalistes blanches préfiguraient celles de Trump. Directement devant Biden, et hors champ, se trouve un portrait massif de Franklin D Roosevelt. Roosevelt est rejoint par l'ancien président Thomas Jefferson et l'ancien secrétaire au Trésor Alexander Hamilton, ainsi que par George Washington et Abraham Lincoln. Sur la table à droite se trouve un buste de l'ancien président Harry Truman, le successeur de Roosevelt et un autre ancien vice-président qui est parvenu au plus haut poste. [et a déclenché le bombardement atomique du Japon] https://edition.cnn.com/2021/01/21/politics/winston-churchill-bust-oval-office/index.html Maintenant, le buste [de Churchill] est à nouveau parti. Mais Johnson, qui est maintenant Premier ministre et qui espère cimenter des liens solides avec la nouvelle administration, ne semble pas avoir la même réaction. "Le Bureau ovale est le bureau privé du Président, et c'est au Président de le décorer comme il le souhaite", a déclaré jeudi un porte-parole de Downing Street. "Nous ne doutons pas de l'importance que le président Biden accorde aux relations entre le Royaume-Uni et les États-Unis, et le Premier ministre se réjouit d'avoir cette relation étroite avec lui".
  9. https://www.spiegel.de/international/world/can-germany-stop-the-new-supervirus-a-e9ffc207-0015-4330-8361-b306f6053e15 (19 janvier 2021) "L'Allemagne est confrontée à huit à dix semaines très difficiles", a déclaré Merkel mardi dernier. Le lendemain, lors d'une réunion de son cabinet, Merkel a discuté de ce qui se serait passé si la France n'avait pas interdit l'accès au pays aux personnes venant d'Irlande. Elle a déclaré qu'il aurait peut-être été nécessaire pour l'Allemagne de mettre en place des contrôles à la frontière avec la France. Pendant longtemps, il a semblé que l'Irlande allait s'en sortir relativement indemne de la pandémie. Mais le pays n'a jamais essayé de ramener le nombre de cas à zéro comme l'Australie et la Nouvelle-Zélande l'ont fait, espérant plutôt pouvoir gérer la pandémie dans la mesure du possible. Mais ensuite, les mesures de lutte contre la corona ont été relâchées en décembre, ce qui a déclenché la calamité actuelle. Le 23 décembre, la bactérie B.1.1.7 a été détectée pour la première fois en Irlande. De nombreux Irlandais ont fêté Noël avec leur famille, parcourant le pays en voiture pour le faire. Mallon pense que c'était une erreur de laisser les nombres de cas mijoter à un niveau bas plutôt que d'essayer d'éradiquer le virus. "Je pense que ce que nous vivons est le résultat inévitable de cette stratégie", dit-il. "Je pense que c'est une leçon que les gouvernements européens devraient tirer. Ce qui se passe en Irlande montre combien vulnérables sont les pays qui essaient de vivre avec le virus - et qu'il devient de plus en plus difficile de le faire face à la nouvelle variante du virus. Ce qui s'est passé en Irlande vous montre à quel point ce virus est imprévisible". [En Allemagne] jusqu'à présent, les contacts ont été autorisés à écourter leur période de quarantaine s'ils pouvaient présenter un test négatif au bout de dix jours. Mais cela va maintenant changer. Selon les nouvelles recommandations du RKI : "Dans les cas où il est prouvé que l'infection provient d'une nouvelle variante du CoV-2 du SRAS, telle qu'initialement isolée en Angleterre et en Afrique du Sud, aucune réduction de la quarantaine de 14 jours ne devrait être autorisée". [Au Danemark] La nouvelle variante est passée de 0,3 % de tous les échantillons séquencés en novembre à 2,9 % début janvier. Ce chiffre peut sembler faible, mais M. Krause est loin d'être rassuré. La part du mutant dans le nombre total de cas augmente de façon exponentielle. "Nous pensons que B.1.1.7 sera la variante dominante au Danemark lorsque nous atteindrons la mi-février."
  10. https://news.sky.com/story/freight-traffic-slumps-and-costs-soar-as-brexit-friction-bites-12194430 (21 janvier 2021) Les volumes quotidiens de camions entre la Grande-Bretagne et les pays de l'Union européenne, y compris la France, l'Irlande et les Pays-Bas, sont en baisse de 29 % en moyenne au cours des 20 premiers jours de l'année Dans le même temps, le coût du transport de marchandises de la France vers la Grande-Bretagne a augmenté de 47 % par rapport à l'année précédente, tandis que le taux de refus, qui mesure le nombre de transporteurs du continent refusant le travail transmanche, a fait un bond de 168 %. Cette situation a été aggravée par l'introduction soudaine du test COVID obligatoire par le gouvernement français dans la semaine précédant Noël, ce qui a ajouté une nouvelle couche de complexité à ce qui était auparavant une frontière sans friction. Des représentants du gouvernement ont déclaré aux députés jeudi que pas moins de 200 camions sont refoulés des courts détroits de Douvres et de Folkestone chaque jour, et qu'en moyenne 5% des véhicules sont jugés non conformes.
  11. https://www.handelsblatt.com/meinung/gastbeitraege/gastkommentar-altkanzler-schroeder-und-historiker-schoellgen-europa-muss-jetzt-von-grund-auf-reformiert-werden/26831208.html (19 janvier 2021) Gerhard Schröder et Gregor Schöllgen : L'armée européenne avec les armes nucléaires françaises Celui qui veut cette armée doit insister pour que les armes nucléaires françaises y soient introduites. Jusqu'à présent, Paris a catégoriquement écarté cette possibilité. L'offre de Macron d'engager un dialogue avec les partenaires européens sur ces systèmes devrait être acceptée. Chaque pas qui nous permet de sortir de l'impasse dans laquelle la politique européenne de défense est enlisée depuis 70 ans vaut la peine d'être fait. Notre position a été résumée par l'envoyé de l'UE pour les affaires étrangères, Josep Borrell, au printemps 2020, sur fond d'escalade de la situation dans la région d'Idlib en Syrie : "Nous aimerions parler la langue de la force, mais pour l'instant, nous ne pouvons pas le décider par nous-mêmes". Cette impuissance est pathétique. Et c'est dangereux. Car sans sa propre armée déployable dans le monde entier, une Europe laissée à elle-même en cas de doute ne pourra pas faire face aux tâches futures et le continent ne pourra pas non plus compter sur le soutien américain. Comme depuis 30 ans les meilleurs jours de l'OTAN sont derrière elle, une telle armée est en même temps une condition préalable décisive pour transformer l'alliance transatlantique ossifiée en un partenariat vivant. L'époque où nous, Européens, restions assis, laissions l'Amérique s'occuper des choses et accompagnions souvent la gestion des crises américaines de commentaires arrogants est révolue. Dans un avenir prévisible, les États-Unis se retireront des régions en crise d'Afrique et d'Orient, c'est-à-dire des régions du monde dont le développement n'est pas important pour eux, mais qui revêtent une importance existentielle pour l'Europe. Dans ce contexte, nous n'avons pas d'autre choix que de nous engager massivement sur le terrain, si nécessaire aussi militairement, comme le font actuellement les Français au Sahel. Parce que cela immobilise les forces et coûte de l'argent, Paris a demandé à deux reprises à l'Allemagne en 2019 si elle pouvait fournir des capacités pour la formation et le soutien des forces spéciales militaires. La réponse, en ce qui concerne ce dernier, a été un refus catégorique, et cela signifiait également de laisser à d'autres des missions dangereuses comme le démantèlement du leadership d'Al-Qaïda au Sahel au printemps 2020. Bien entendu, la décision de donner à la Bundeswehr un mandat dit "robuste" pour ses missions à l'étranger sera examinée avec soin au cas par cas. Mais ceux qui laissent cette tâche et d'autres à d'autres non seulement contribuent à l'effritement de la façade laborieusement entretenue de la solidarité européenne, mais refusent également de reconnaître que les tâches élémentaires ne peuvent être abordées qu'ensemble. Il s'agit notamment de s'attaquer aux causes qui forcent des centaines de milliers de personnes à quitter leur foyer et à migrer vers le nord. Nous partageons la responsabilité de ces causes. Parce que nous savions ce qui allait arriver. Quiconque ne le croit pas devrait lire le rapport de la Commission sur les affaires de développement international, dite Commission Nord-Sud, que Willy Brandt, son président, a présenté au Secrétaire général des Nations unies en février 1980. Nous l'avons ignoré. Nous l'avons supprimé. Nous pensions pouvoir nous en sortir avec l'assistanat. Aujourd'hui, dans la plupart des cas, il est trop tard pour une intervention stratégique préventive. Il reste à combattre les guerres et les massacres, les incendies et les inondations, les pestes et les épidémies sur le terrain : avec tous les moyens, rapidement, spécifiquement, massivement et - s'il n'y a pas d'autre moyen, comme dans la lutte contre le terrorisme ou la traite des êtres humains - militairement. Nous, Européens, ne pouvons le faire que si notre maison commune est construite sur des bases solides. La feuille de route est donc claire : d'abord les fondations, puis la maison. L'erreur de construction de l'Union européenne actuelle, lancée en février 1992 avec le traité de Maastricht et cimentée dans les traités ultérieurs, ne doit en aucun cas être répétée. Si les initiateurs veulent une union politique digne de ce nom, ils doivent renoncer à une partie importante de leur souveraineté nationale, sans aucun "si" ni "mais". S'ils le font, ils succomberont inévitablement à la monstruosité de Maastricht, ce compromis de 250 pages avec lequel les chefs d'État et de gouvernement n'ont pas osé prendre un nouveau départ, mais ont plutôt transféré un ordre obsolète du monde divisé au monde globalisé. Les chances que l'Europe en arrive à ces décisions et à d'autres sont minces. Mais il y en a. Nous devrions les prendre. Ce texte est une préimpression du livre de Gregor Schöllgen et Gerhard Schröder Dernière chance - Pourquoi nous avons besoin d'un nouvel ordre mondial maintenant, qui sera publié par DVA dans les prochains jours. https://www.spiegel.de/politik/deutschland/gerhard-schroeder-rechnet-im-streitgespraech-mit-den-usa-ab-ihr-koennt-mich-mal-a-00000000-0002-0001-0000-000174874869 (15 janvier 2021) "Trump n'a fait que briser ce qui ne pouvait pas être sauvé de toute façon". Gerhard Schröder et Gregor Schöllgen sont d'accord dans leur critique de l'Amérique. La relation transatlantique telle que nous la connaissions est de l'histoire ancienne, disent-ils. L'OTAN sous sa forme actuelle doit être dissoute.
  12. Sur ce sujet, il y a le livre d'Amy Chua qui a beaucoup fait parler d'elle parce que c'est un best seller, mais comme je ne l'ai pas lu, je me contenterai de citer Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Amy_Chua Début 2011, elle publie son livre L'Hymne de bataille de la mère tigre (Battle Hymn of the Tiger Mother) consacré à l'éducation parentale. Elle y évoque l’éducation très stricte qu’elle a reçu dans sa jeunesse et décrit comment sa tentative d’appliquer la même discipline envers ses propres filles a connu un niveau de succès aléatoire. Si une partie du livre est constitué d’anecdotes dans laquelle elle n’a pas toujours le beau rôle, elle y expose aussi comment, à son avis, la tendance voulant que l’emphase soit placé sur l’estime de soi de l’enfant au détriment de l’exigence s’avère contre-productive. Aux États-Unis, le livre suscite une réelle controverse et fait d'Amy Chua une personnalité médiatique.
  13. Je voudrais rebondir sur ce sujet qui n'est pas simple : parce que les avis sont en fait assez variés : Pour ma part, j'avais relevé une vidéo sur le suicide des jeunes coréens : Mais aussi noté les avantages de la discipline chinoise : Et noté que les relations hiérarchiques maître-élève traditionnelles étaient remises en question dans la modernité thaïlandaise : Donc je pense qu'il n'y a pas un système qui est bon et l'autre qui est mauvais, mais qu'il faudrait s'orienter vers une combinaison harmonieuses des deux systèmes, additionnant les avantages de l'un et de l'autre.
  14. Il a oublié un truc : [1] https://en.wikipedia.org/wiki/Fort_Trump C'est intéressant de voir que Sikorski dit maintenant en public ce que nous ne savions jusqu'ici que par des écoutes volées : Cela n'explique toujours pas ce qu'il fait à être marié à Anne Applebaum. Décidément, l'amour a ses raisons que la raison de connaît point.
  15. Tiré de cette même étude : source : https://ecfr.eu/publication/the-crisis-of-american-power-how-europeans-see-bidens-america/ C'est l'Europe napoléonienne encerclée par la perfide Albion l'OTAN.
  16. Un des aspects de cette question, c'est la technologie. C'est la technologie qui est totalitaire. On peut voir un tournant avec la création de l'iphone d'Apple, où l'entreprise a décidé de contrôler les applications que les gens téléchargent, la musique que les gens téléchargent, etc... Alors que les utilisateurs d'un ordinateur IBM pouvaient et devaient (car IBM n'avait pas de prétentions dans ce domaine) aller se fournir en logiciels ou en musique chez des fournisseurs tiers. Donc comme les Chinois et les Occidentaux utilisent des technologie semblables, et comme l'infrastructure détermine la superstructure, il y a de fortes chances qu'on aboutisse à des superstructures semblables également. Des superstructures de contrôle et de surveillance, par la technologie idoine. D'autre part, la démocratie dépend probablement aussi de la manière de faire la guerre. Tant que la guerre s'est faite au moyen de grandes armées de conscription, il y avait une égalité beaucoup plus manifeste des citoyens face au destin du pays (et longtemps les femmes n'ont eu ni le droit de vote, ni l'obligation de faire la guerre - autre indice que les deux choses sont liées). Le fait que la guerre dépend aujourd'hui surtout de militaires professionnels, au minimum pose question quant à l'avenir de la démocratie. On peut voir cela aussi à partir des théories sur la démocratie grecque qui serait née d'après la théorie de Marcel Détienne, si j'ai bonne mémoire, à partir de la pratique du partage égal du butin entre guerriers victorieux.
  17. https://www.theguardian.com/world/2021/jan/19/majority-of-europeans-say-china-will-overtake-broken-us-within-decade Au milieu d'un sentiment généralisé de supériorité chinoise croissante, 79 % des personnes interrogées en Espagne, 72 % au Portugal, 72 % en Italie et 63 % en France ont déclaré qu'elles pensaient que la Chine dépasserait les États-Unis en tant que première superpuissance mondiale au cours de la prochaine décennie. Un peu plus de 32 % des personnes interrogées - et un pourcentage surprenant de 53 % en Allemagne - ont estimé qu'après avoir voté pour Trump, on ne pouvait pas faire confiance aux Américains. Il n'y a qu'en Hongrie et en Pologne que les personnes en désaccord avec ce point de vue sont nettement plus nombreuses que celles qui sont d'accord. Seulement 10 % des personnes interrogées considèrent les États-Unis comme un partenaire de sécurité "fiable" qui protégerait toujours l'Europe, tandis qu'au moins 60 % des personnes interrogées dans chaque pays ont déclaré douter que leur pays puisse dépendre du soutien des États-Unis en cas de crise. Les auteurs affirment que les conséquences géopolitiques de ce changement sont importantes : deux tiers des personnes interrogées ont déclaré qu'il était désormais important que l'Europe s'occupe de sa propre défense, dont 72 % au Portugal, 71 % en Suède, 70 % en France et 69 % en Pologne.
  18. https://www.zeit.de/politik/deutschland/2021-01/cdu-parteitag-parteivorsitz-live (15 janvier 2021) Avec le départ d'AKK, c'est le début de la fin du "Matriarchat" où des femmes ont monopolisé les 3 postes les plus importants : Merkel à la chancellerie, AKK à la tête du parti, et Von der Leyen à la commission européenne. source : https://www.spiegel.de/kultur/gesellschaft/kramp-karrenbauer-von-der-leyen-merkel-ist-schon-matriarchat-kolumne-a-1278540.html (23 juillet 2019)
  19. https://www.nytimes.com/2021/01/15/us/politics/nra-bankruptcy.html En général, les groupes à but non lucratif qui sont enregistrés à New York et qui font l'objet d'une enquête se voient interdire de déplacer leurs actifs pendant une enquête ; ces dernières années, le bureau du procureur général a empêché la Fondation Trump de fermer ses portes avant la conclusion d'une enquête sur cette organisation. Le dépôt de bilan pourrait retarder la résolution de l'affaire du procureur général pendant que l'affaire est plaidée devant le tribunal des faillites. "Dans le cadre de ce plan, l'Association cherche sagement à se protéger des fonctionnaires de New York qui, selon elle, ont illégalement utilisé leurs pouvoirs contre la N.R.A. et ses membres", a déclaré William A. Brewer III, le principal avocat extérieur de la N.R.A., dans une déclaration. Mais les adversaires du groupe ont vu dans ce geste une tentative opportuniste d'échapper à l'autorité du bureau du procureur général. "Ils sont désespérés et ils cherchent un nouveau recours dans leur désespoir", a déclaré Nick Suplina, ancien conseiller principal et conseiller spécial au bureau du procureur général de New York qui travaille maintenant pour Everytown, le groupe de contrôle des armes. "Je pense que c'est un effort de longue haleine de la N.R.A. pour éviter toute responsabilité à New York, et il a très peu de chances de réussir". M. Delany travaillait au bureau du procureur général lorsqu'un autre groupe à but non lucratif très en vue, le Freedom Forum, s'est réincorporé au milieu d'une enquête sur ses pratiques de dépenses, mais cela n'a pas empêché l'imposition de sanctions. "Notre position était que vous pouvez dissoudre votre société ici et la relocaliser, mais les actifs restent à New York et sont soumis à la juridiction du procureur général", a-t-il déclaré. "La N.R.A. ne peut pas être autorisée à déclarer faillite pour tenter d'échapper à une éventuelle responsabilité pénale et civile à New York", a déclaré Kris Brown, président de la Brady Campaign, un groupe de contrôle des armes. "La N.R.A. peut courir, mais elle ne peut pas se cacher, et ses jours sont comptés. Aucune organisation n'est au-dessus de la loi".
  20. https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/01/16/sur-l-environnement-la-parole-politique-met-en-scene-ce-qui-est-interprete-au-mieux-comme-de-l-impuissance-au-pire-comme-du-cynisme_6066474_3232.html Au cours du sommet, le président Macron a brandi son smartphone devant l’assemblée : « Cet objet-là, qu’on partage tous (…), c’est l’un des objets qui sont l’illustration géniale de ce qu’est la mondialisation – “made in globally” – c’est l’un des pires objets, sans doute, en termes d’émissions de gaz à effet de serre : chaîne logistique, matériaux rares, obsolescence. On a créé un système où on incite les gens à en changer tous les six mois (…). L’un des premiers objets sur lesquels on change les comportements et la production, c’est ça, et de manière très concrète. » Mais quatre mois plus tôt, devant le gratin de la « French Tech », Emmanuel Macron moquait les sceptiques de la 5G, les renvoyant à leur obscur désir de « lampe à huile » et assurant que la France allait « prendre le tournant de la 5G parce que c’est le tournant de l’innovation ».
  21. En fait ce n'est pas une faillite sous chapitre 7 (liquidation), mais une faillite sous chapitre 11 (réorganisation) : https://en.wikipedia.org/wiki/Chapter_11,_Title_11,_United_States_Code#Chapter_11_overview Au chapitre 7, l'entreprise cesse ses activités, un syndic vend tous ses actifs, puis distribue le produit à ses créanciers. Tout montant résiduel est restitué aux propriétaires de l'entreprise. Au chapitre 11, dans la plupart des cas, le débiteur reste maître de ses opérations commerciales en tant que débiteur en possession de ses biens, et est soumis à la surveillance et à la compétence du tribunal. Une faillite relevant du chapitre 11 entraînera l'une des trois conséquences suivantes pour le débiteur : réorganisation, conversion en faillite relevant du chapitre 7 ou rejet. Pour qu'un débiteur relevant du chapitre 11 puisse se réorganiser, il doit déposer (et le tribunal doit confirmer) un plan de réorganisation. En effet, ce plan est un compromis entre les principales parties prenantes à l'affaire, y compris le débiteur et ses créanciers[5]. La plupart des affaires relevant du chapitre 11 visent à confirmer un plan, mais cela n'est pas toujours possible. Si le juge approuve le plan de redressement et que les créanciers sont tous d'accord, alors le plan peut être confirmé.
  22. D'après ce que j'ai compris, les statuts ont été déposés à New York en 1871. Par contre les bureaux de la direction (headquarters) sont en Virginie.
  23. https://www.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20210106-vietnam-l-emprisonnement-critiqué-de-3-journalistes-à-l-approche-du-congrès-du-parti (6 janvier 2021) Trois journalistes vietnamiens ont été condamnés ce mardi lors d’un procès expéditif à Hô-Chi-Minh-Ville à des peines de 11 à 15 ans de prison pour avoir critiqué le régime communiste. Ces condamnations très sévères interviennent à l’approche du 13e Congrès du Parti unique qui se tiendra du 25 janvier au 2 février à Hanoï. Les trois journalistes « ne sont pas contre le régime communiste en tant que tel, poursuit Daniel Bastard. Mais ils sont contre l'actuelle direction du parti communiste qui fonctionne comme une sorte de clique, de clan, sans que les militants du parti n'aient leur mot à dire sur la direction du pays et sur les décisions prises par le gouvernement. » « Un régime comme le Vietnam, à parti unique, voit d'un très mauvais œil que le Parti se réunisse comme il le fait tous les cinq ans, souligne le responsable de RSF, parce qu'il a peur qu'un débat ne naisse au sein même du Parti. Et c'est pourquoi, en amont de ce congrès, toute voix qui pourrait être dissidente ou qui pourrait inciter au débat au sein de la société, au sein du parti, doit être éteinte. »
  24. https://www.russiamatters.org/analysis/william-burns-russia Extraits du livre "The Back Channel" (2019) de William Burns, futur directeur de la CIA de Joe Biden Soulignant l'attachement d'Eltsine et de l'élite politique du pays à la sphère d'influence de la Russie dans l'ancien espace soviétique, j'ai insisté sur l'inquiétude croissante des Russes face à l'expansion de l'OTAN. J'ai noté que les déclarations publiques sévères d'Eltsine à l'automne 1994 au sujet de l'expansion de l'OTAN "étaient un rappel peu subtil de l'angoisse russe concernant la négligence de ses intérêts dans le processus de restructuration des institutions européennes de sécurité". ... Avant de penser sérieusement à étendre les offres d'adhésion officielle à l'OTAN à la Pologne et à d'autres États d'Europe centrale, nous avons recommandé d'envisager d'autres formes de coopération avec les anciens membres du Pacte de Varsovie, et peut-être une nouvelle "relation de traité" entre l'OTAN et la Russie. Pour les Russes, la guerre en Bosnie a été un autre rappel douloureux de leur faiblesse. Bien que souvent frustré par la brutalité et la vénalité des dirigeants serbes, Eltsine ne pouvait pas ignorer l'affinité naturelle des Russes pour les frères slaves à Belgrade et parmi les Serbes de Bosnie. Alors que l'OTAN intensifiait sa campagne aérienne et que Holbrooke accélérait la diplomatie américaine, les Russes n'appréciaient pas leur rôle secondaire. Après sa réélection en novembre 1996, Clinton a poursuivi l'expansion de l'OTAN... Alors que les Russes s'enflammaient pour leurs griefs et leur sentiment de désavantage, une tempête de théories du "coup de poignard dans le dos" s'est lentement levée, laissant une marque sur les relations de la Russie avec l'Occident qui allait durer des décennies. Assis à l'ambassade à Moscou au milieu des années 1990, il me semblait que l'expansion de l'OTAN était au mieux prématurée, au pire inutilement provocatrice. Nous avons commis une grave erreur stratégique ... en laissant plus tard l'inertie nous pousser à faire pression pour que l'Ukraine et la Géorgie adhèrent à l'OTAN, malgré les profonds attaches historiques de la Russie à ces deux États et des protestations encore plus vives. Cela a fait des dégâts indélébiles et a alimenté l'appétit d'un futur dirigeant russe pour prendre sa revanche. Entretien avec PBS, 14 juin 2017 Je pense qu'il [Poutine] a été surpris par le rythme des événements, la rapidité avec laquelle Ianoukovitch a abandonné la scène. Il a réagi de la seule manière qu'il connaissait, je pense, et de la seule manière qu'il pensait pouvoir travailler pour soutenir les intérêts de la Russie. Si vous parlez de la sphère d'influence de la Russie, l'Ukraine était la plus rouge des lignes rouges du point de vue de Poutine. Je suis sûr qu'au Kremlin, il y avait des plans d'urgence qui avaient déjà été élaborés pour reprendre la Crimée. Je ne pense pas que Poutine avait prévu que cela se produise à ce moment de l'histoire, mais vous pouvez voir rapidement comment il est arrivé à la conclusion que la Russie [devait] attaquer de manière décisive pour faire valoir ses intérêts, et que l'absorption de la Crimée dans un acte flagrant d'agression russe était la conclusion évidente pour lui.
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