Wallaby

Sans oublier que les Azeris sont à l'origine religieusement des chiites, donc plus dans l'orbite iranienne que dans l'orbite turque. Il existe une importante minorité azerie en Iran (et rien d'équivalent en Turquie à ma connaissance) formant 16% de la population de l'Iran (*). D'ailleurs le Guide de la Révolution, l'ayatollah Ali Khamenei, est un Azeri. (*) ce qui voudrait dire qu'il y a plus d'Azeris en Iran (13 millions) qu'en Azerbaïdjan (10 millions).

https://www.zeit.de/politik/ausland/2020-07/sebastian-kurz-europaeische-union-kritik (20 juillet 2020) Une carrière aux dépens de l'Europe Il lutte contre une image déformée de l'UE : Sebastian Kurz utilise l'Union à des fins de politique intérieure, et pas seulement lors du sommet Corona. C'est dangereux, y compris pour l'Autriche. Un commentaire de Florian Gasser, Vienne Le truc de Kurz, sur lequel il a construit sa carrière, qui est également si admirée en Allemagne, est étonnamment trivial et pourtant réussi : il prétend se battre contre des choses dont personne ne veut. Lorsque, logiquement, ces choses n'arrivent pas, il le célèbre comme sa réussite. Combinée à une communication très professionnelle, cette stratégie fonctionne presque toujours, dans les provinces autrichiennes comme à grande échelle, dans les efforts européens visant à maîtriser la crise économique dans le cadre de la pandémie. La couverture du FPÖ Depuis des semaines, Sebastian Kurz s'oppose à l'Union de la dette, l'idée que les Etats de l'UE devraient s'unir pour les dettes des autres. Mais personne ne veut cela. Les propositions visant à soutenir les États fortement ébranlés par la crise de Corona sont devenues de plus en plus différenciées et complexes. Mais qui sera aussi précis ? Pour le chancelier autrichien, c'était une fois de plus l'occasion de se présenter sur la scène européenne comme un partisan de la ligne dure, comme un antipode sensé pour les illusionnistes rêveurs qui ne distribuent pas l'argent des impôts de manière négligente. Il mime l'Européen inquiet. Mais en fait, il s'agit de politique intérieure, de son pouvoir à Vienne. Les critiques de l'UE y sont toujours bien accueillies. Bruxelles a toujours été un bouc émissaire apprécié en Autriche. Jörg Haider savait déjà comment en faire un capital politique national. Mais que se passe-t-il si Kurz va un jour trop loin, s'il surstimule l'ambiance et s'il a lui-même créé une majorité anti-européenne dans son propre pays ? Puis il s'est éloigné de lui-même et de son parti, l'autrefois fièrement européenne ÖVP. L'Europe trop perçue comme allant de soi Kurz n'a jamais eu de visions. Il n'a jamais inspiré pour ses propres idées, mais a toujours servi des humeurs déjà existantes. Les migrations, les routes des réfugiés, le prétendu échec de l'UE - Kurz a battu les populistes de droite avec leurs propres armes. Les sujets étaient les mêmes, mais présentés de façon plus harmonieuse. Kurz a couvert les plus grands impacts du FPÖ sur l'opinion et les a ensuite fait entrer au gouvernement en tant que partenaires conformes. Son ascension du simple ministre des affaires étrangères au rang de porte-parole des critiques de l'UE a commencé en 2015, lorsqu'il s'est opposé à la politique allemande en matière de réfugiés et a ensuite affirmé qu'il avait pratiquement fermé la route des Balkans de son propre chef. Il a affirmé que l'UE avait "pris plusieurs mauvais virages". Le parti ÖVP de Kurz a toujours été la puissance garante pro-européenne dans les gouvernements autrichiens. Mais avec la jeune star est venue une nouvelle génération de politiciens. Pour eux, l'UE va de soi tout autant que l'adhésion de l'Autriche à la fédération des États. Le marché intérieur, la libre circulation des personnes et des biens, le succès économique des entreprises autrichiennes en Europe de l'Est, tout cela a toujours existé pour elles. C'est peut-être la raison pour laquelle ils la mettent en danger de manière plus téméraire. L'ancienne aile européenne du parti, ceux qui ont autrefois poussé et négocié l'adhésion de l'Autriche, a depuis longtemps été isolée et reléguée à la retraite ou au Parlement européen. Pour la nouvelle ÖVP, l'Union n'est généralement qu'un vecteur de succès électoral. Kurz est trop intelligent et trop professionnel pour ne pas savoir à quel point sa stratégie est risquée. Jusqu'à présent, il a réussi à servir l'humeur du pays, les réticences contre Bruxelles, mais il n'a pas trop tiré sur la corde. On attaque l'UE autant que c'est utile, mais au bout du compte, on s'y tient. Le risque de l'Öxit Mais que se passe-t-il lorsque le ressentiment contre l'intégration européenne galope et ne peut plus être capturé, lorsqu'un jour peut-être, l'étoile de Sebastian Kurz n'éclipse plus tout, lorsqu'il ne reste plus que l'ambiance qu'il a suscitée ? Les opposants à l'UE seront alors majoritaires en Autriche. Dans ce cas, peu importe que la prospérité du pays ait augmenté depuis et grâce à l'adhésion à l'UE. L'Öxit ne sera alors plus un tabou et l'ÖVP rejoindra le groupe des partis conservateurs européens dont la propagande a fait boomerang. Tout comme cela est arrivé au Britannique David Cameron il y a quelques années, lorsqu'il pensait pouvoir contrôler un référendum sur la localisation de la Grande-Bretagne. Sebastian Kurz est le politicien d'un pays européen qui aime utiliser l'UE comme une scène. Mais il n'est pas un politicien européen.

https://www.politico.eu/article/the-death-of-the-city-coronavirus-towns-cities-retail-transport-pollution-economic-crisis/ (27 juillet 2020) "Un tiers de la population active - employés de bureau, cadres supérieurs - peut télétravailler 100 % du temps. Un autre tiers - créateurs de vêtements, agents immobiliers, chercheurs scientifiques - peut le faire la plupart du temps, mais devra parfois être sur place. Et un autre tiers ne peut pas le faire du tout : La plupart de ces personnes sont des travailleurs du secteur des services moins bien payés, mais vous avez aussi des emplois plus élevés comme ceux des dentistes, des chirurgiens, des pilotes". "Les gratte-ciel et les immeubles de bureaux du centre-ville qui étaient autrefois nos biens immobiliers les plus précieux sont devenus des endroits que les gens évitent par peur de l'infection", a déclaré M. Bloom. "Je ne vois pas les gens se sentir à l'aise avec des métros et des ascenseurs bondés, et les entreprises ne vont pas vouloir ouvrir et fermer à chaque fois qu'il y a une vague". Les investissements dans l'immobilier commercial ont chuté de 44 % en moyenne en Europe entre la mi-mars et la fin mai, selon les chiffres publiés par BNP Paribas Real Estate le mois dernier ; la baisse a été particulièrement notable en Irlande, où l'Irish Times a rapporté que les transactions immobilières commerciales avaient chuté de 79 % au cours de cette période. La fin du bureau, si elle devait avoir lieu, transformerait le paysage urbain. Les travailleurs, libérés de leur trajet du matin, seront libres de graviter vers les banlieues et la campagne.

https://www.politico.eu/article/digital-tax-a-cautionary-tale-france-germany-amazon-google-facebook-platforms/ (23 juillet 2020) Et alors que novembre pourrait voir l'élection d'une nouvelle administration plus favorable à l'Europe, M. Saint-Amans de l'OCDE déclare qu'il ne pense pas qu'une présidence de Joe Biden adopterait une position très différente sur la taxe numérique. "Les Européens sous-estiment le caractère bipartite de la position américaine", a-t-il déclaré. "Vous ne pouvez pas attaquer les entreprises technologiques américaines."

Voir la suite dans le fil Ukraine.

https://www.nytimes.com/2020/07/26/world/europe/ukraine-facebook-fake-news.html (26 juillet 2020) Au début de l'année, Facebook a engagé StopFake pour l'aider à freiner le flux de propagande russe et d'autres fausses nouvelles sur sa plateforme en Ukraine. StopFake, comme tous les vérificateurs de faits extérieurs de Facebook, a signé un engagement à être non partisan et à ne pas concentrer ses vérifications "d'un seul côté". Mais ces dernières semaines, StopFake s'est défendu contre des accusations de liens avec l'extrême droite ukrainienne et de partialité dans ses vérifications. L'épisode a soulevé des questions épineuses pour Facebook quant à qui il permet de séparer la vérité du mensonge - et qui est considéré comme un contrôleur des faits neutre dans un pays en guerre. "Ils donnent à ces organisations et à ces personnes le pouvoir de décider quel type d'information, quel type d'opinion, quel type de communication est illégitime ou légitime", a déclaré Matthew Schaaf, qui dirige le bureau ukrainien du groupe américain de défense des droits de l'homme Freedom House, à propos de Facebook et de ses vérificateurs de faits. "La question qu'il faut se poser est : ces personnes méritent-elles notre confiance ?" Un média ukrainien, Zaborona, a publié un article ce mois-ci citant des photos d'un membre éminent de StopFake rencontrant des figures nationalistes, dont un musicien de rock de la "white-power" dont les paroles nient l'Holocauste. StopFake a nié avoir des liens avec l'extrême droite ou des préjugés, qualifiant l'article de Zaborona de partie d'une campagne d'"attaques d'information" calomnieuse. La rédactrice en chef de Zaborona, Katerina Sergatskova, a déclaré avoir fui l'Ukraine mercredi après avoir reçu des menaces de mort. (StopFake a condamné ces menaces.) Sur Facebook, certains de ses détracteurs avaient affirmé, sans preuve, qu'elle était un agent du Kremlin. L'épisode souligne les grands enjeux auxquels sont confrontées les entreprises américaines de médias sociaux qui tentent de répondre à la désinformation dans les points chauds de la géopolitique mondiale. L'idée que les Ukrainiens sont russes est souvent répétée dans la désinformation russe, a déclaré Nina Jankowicz, une boursière du Woodrow Wilson International Center for Scholars à Washington qui a récemment publié un livre sur la désinformation russe. Mais c'est "aussi un point de vue auquel de nombreux Russes (et certains Ukrainiens eux-mêmes) souscrivent". Cela conduit à une question sans réponse pour Facebook. Comme l'a dit Mme Jankowicz : "Les opinions doivent-elles être fact-checkées ?"

Je ne suis pas sûr que le texte suivant ne soit pas un peu orienté, mais... https://nationalinterest.org/feature/five-reasons-why-zelensky-failing-ukraine-164181 (6 juillet 2020) Zelensky a été élu sur trois promesses : mettre fin à la guerre dans l'est de l'Ukraine, rendre riche le grand pays d'Europe de l'Est de 42 millions d'habitants et endiguer la corruption. Mais après une première vague d'activités sur le front des réformes, il a fini par hésiter sur ces promesses. Le tambour rhétorique sur le changement fondamental de l'Ukraine s'est évanoui en un faible pianissimo. Après seulement un an, il semble languissant et vaincu. Le changement n'est pas seulement dans le ton, il est aussi dans la substance et le personnel. En mars et avril, Zelensky a limogé son premier ministre réformateur, la plupart des membres de son cabinet, le procureur général et de nombreux autres hauts fonctionnaires, stupéfiant tout le monde. Le moment ne pouvait pas être plus mal choisi. La pandémie mondiale de coronavirus a atteint l'Ukraine quelques semaines plus tard et pourrait bien dévorer jusqu'à 8,2 % de son PIB. Zelensky a engagé des larbins sans grande expérience et même de vieux copains de Ianoukovitch. Dans le même temps, il soutient les accusations à motivation politique portées contre l'ancien président, le procureur général, l'ancien ministre des infrastructures et les chefs des services fiscaux et douaniers. En mai, le ministère des finances a licencié le chef du conseil de surveillance indépendant de la MGU, la société indépendante qui supervise le transport du gaz. Historiquement, le gaz était le principal secteur d'auto-enrichissement, mais cela a commencé à changer en 2014. La décision de Zelensky est un pas en arrière vers le mauvais vieux temps de la malversation rampante, ouvrant potentiellement la voie au licenciement des dirigeants des conseils de surveillance indépendants qui gouvernent Naftogaz, PrivatBank, et d'autres importantes sociétés d'État. Adieu, gouvernement d'entreprise - nous vous connaissions à peine. En juillet, le directeur de la Banque nationale d'Ukraine a démissionné après une réunion en tête-à-tête avec Zelensky, en raison de pressions politiques. Tomas Fiala, le directeur de Dragon Capital, la plus grande société d'investissement en Ukraine, a déclaré qu'il suspendrait tous les investissements futurs. "C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. On ne peut que deviner les motifs. C'est soit une incompétence totale, soit un sabotage motivé par la Russie", a écrit Fiala. Voici cinq théories pour expliquer les changements radicaux, et souvent mercurieux, de l'année passée. [J'abrège les théories 1 et 2 - marionnette de Kolomoisky, marionnette de la Russie] 3 - Victime de sa propre inexpérience : Zelensky avait un plan et il a été vaincu. Avant 2019, il n'avait jamais occupé un poste administratif important et n'avait jamais servi dans le gouvernement. Heureusement pour lui, son premier chef de cabinet, Andriy Bohdan, savait comment diriger l'administration présidentielle et pouvait fouetter le parlement comme personne d'autre. Pendant que Bohdan était en place, les choses ont fonctionné à Kiev. Après Bohdan, les choses se sont effondrées. Selon des sources à Kiev, Zelensky écoute quatre amis qui font office de chef de cabinet, de conseillers principaux et de chef des services de sécurité. Aucun d'entre eux n'a de connaissances en économie ou en politique. Lorsque ce cercle de confiance n'est pas d'accord, Zelensky ne sait pas quoi faire. Les initiés me disent que le président ne fait confiance à personne, qu'il veut que ses collaborateurs fassent partie de tous les comités et conseils d'administration, qu'il n'a pas d'idéologie et qu'il insiste pour que tout soit fait immédiatement. Il ne peut pas déléguer. Il ignore son propre cabinet et traite directement avec les ministres et les dirigeants régionaux. Après la série de décisions indéfendables prises ce printemps en matière de personnel, cette théorie semble de plus en plus probable. 4 - Victime de sa propre naïveté : Zelensky avait de bonnes intentions et s'est présenté à la présidence pour réparer le pays. Avant de se présenter aux élections, il était riche, célèbre et hilarant. En d'autres termes, il n'avait pas besoin de ce poste. Il dit qu'il s'est présenté pour que ses enfants puissent vivre dans un pays normal. Selon l'ancien Premier ministre Oleksii Honcharuk, "Zelensky a changé". Il a déclaré au Kyiv Post que la personne avec laquelle il a commencé à travailler et Zelensky aujourd'hui "sont deux personnes différentes". Bien sûr, Zelensky a licencié Honcharuk six mois après son entrée en fonction, et les propos de l'ancien Premier ministre sont probablement intéressés. Il dit que Zelensky a été influencé par les récits pro-russes selon lesquels l'Occident et George Soros ont l'intention de détruire l'Ukraine, et que Zelensky a commencé fort mais n'a pas pu faire face aux intérêts concurrents, à la crise et aux choix politiques difficiles. 5 - Il ne fait pas le poids face au système Il est impossible de changer l'Ukraine. Tout est à vendre, y compris les parlementaires. Donnez votre prix, et on peut adopter un bébé pendant le COVID-19, transporter illégalement par avion des centaines de chiens d'une usine à chiots au Canada, et faire à peu près n'importe quoi d'autre. Les oligarques semblent avoir récupéré leur contrôle sur le parlement pour une bouchée de pain, et tout au long de cette période, ils ont contrôlé les médias et toutes les grandes industries. Comme le prétendent les oligarques au pouvoir dans la série télévisée à succès fictive de Zelensky : "Cette bande [de politiciens] était beaucoup moins chère [à acheter] que les précédents." Jusqu'à ce que le rôle de l'argent dans la politique ukrainienne change, peu importe qui est le président. L'histoire moderne de l'Ukraine rend impossible de rejeter sommairement cette théorie. Une chose est claire : le spectacle se poursuivra en Ukraine, mais la question de savoir si Zelensky sera la vedette est une autre affaire. En attendant, à Kiev, cela ressemble de plus en plus à « Retour vers le futur ».

Aller vers la droite à ordonnée constante, c'est aller vers "l'immunité de troupeau", mais il semblerait que ce soit illusoire et qu'il faille se "revacciner" régulièrement. D'autre part, aller vers la droite à ordonnée constante, c'est pesant comme charge pour le système hospitalier, et pour l'économie si cela s'accompagne de mesures qui restreignent le travail ou la consommation.

https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/vladimir-poutine-et-volodymyr-zelensky-ont-echange-sur-le-conflit-dans-l-est-de-l-ukraine_4056893.html A compter de lundi 27 juillet, un cessez-le-feu entre en vigueur pour suspendre le conflit militaire entre les forces ukrainiennes et les rebelles soutenus par la Russie.

Comparaison de l'état d'infection des villes du monde En abscisse, le taux de contamination par million d'habitants. En ordonnée, la mortalité par million d'habitants. Lignes diagonales : par taux de décès Japon : carrés rouges Chine-Australie-Inde-Pakistan : étoiles jaune (avec Singapour à l'extrémité en bas à droite, sous la ligne de taux de décès 0.1%) (Pékin, Shanghai, et Tianjin sont indiquées par des flèches, tellement elles sont loin, hors écran, dans le coin inférieur gauche). ronds verts : Europe (ça s'étale de Milan, Madrid et Barcelone, à droite, à Rome, Frankfort et Kiev à gauche) (La France n'est pas représentée). triangles violets : Etats-Unis (de Boston, Nouvelle-Orléans, Chicago à droite, à Honolulu à gauche) triangles roses : Amérique latine et Canada rond bleu : New York rond orange : Tokyo Source : https://mainichi.jp/premier/business/articles/20200722/biz/00m/020/036000c

La vie en Corée du Nord (1er mars 2020).

https://www.sueddeutsche.de/wirtschaft/volkswagen-wolfsburg-lauschaktion-1.4979424 (26 juillet 2020) Selon le magazine économique Business Insider, des réunions stratégiques ont été secrètement enregistrées au siège de Volkswagen à Wolfsburg sur la manière de se débarrasser d'un fournisseur détesté, le Prevent Group. Les fichiers audio en question auraient une durée de près de 50 heures. Selon le magazine, ils montrent que les dirigeants de VW ont même envisagé d'impliquer l'ancien chancelier Gerhard Schroeder. Schröder devrait profiter de sa proximité avec Vladimir Poutine pour couper l'argent de Prevent en Russie. Selon Volkswagen, cette idée et d'autres considérations n'ont pas été réalisées. Qui a espionné Volkswagen, pour quelle raison, et comment exactement cela s'est passé, reste un mystère complet. Ce qui est clair, cependant, c'est qu'il s'agissait d'une action illégale. L'enregistrement secret de conversations est passible d'une peine de prison pouvant aller jusqu'à trois ans.

La réponse se trouvera dans les bacs des librairies pour Noël prochain : c'est "Soumission 2, le retour" le nouveau best seller à paraître de Michel Houellebecq.

Le communiqué final de l'entrevue avait conclu : enfin l'Europe est « en marche » sur ses deux jambes, orientale et occidentale. Beau-Papa n'avait pas d'héritier présomptif, et Maria-Louisa lui avait annoncé la bonne nouvelle : "je suis enceinte !" : la postérité commune des deux dynasties était assurée. Beau-Papa se dit que même si par malchance il ne passait pas le cap des 100 ans, il pourrait quitter ce monde en paix.

https://www.theguardian.com/science/2020/jul/22/antibody-mix-trialled-as-potential-coronavirus-treatment Des résultats de recherche à Culumbia ouvrent l'espoir de développer des traitements par anticorps. Des expériences sur des hamsters ont révélé que l'administration d'un des anticorps les plus puissants protégeait les animaux contre la maladie.

Il avait été condamné en 1998 pour récitation du poème « Les minarets seront nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées seront nos casernes et les croyants nos soldats », centre droit modéré, quoi.

https://www.clubic.com/pro/entreprises/huawei/actualite-7016-sr-5g-en-europe-la-chine-menace-de-bloquer-ericsson-et-nokia.html (23 juillet 2020) Face au blocage en Europe de la 5G de Huawei, la Chine envisage de prendre des mesures de rétorsions à l'encontre des sociétés finlandaises Nokia et Ericsson. À travers des contrôles à l'exportation, le pays pourrait les empêcher de faire sortir les produits qu'elles fabriquent sur le sol chinois.

- - - Ces objections sont-elles valables pour les élections municipales de 1990 qui consacrent la victoire d'Erdogan à la mairie d'Istanbul ou pour les législatives de 1995 qui déterminent l'arrivée au pouvoir du Refah ? Ces objections étaient-elles présentes lorsque l'Union Européenne a décidé d'ouvrir les négociations d'adhésion en décembre 2004 ? C'est ce qui s'est passé à l'élection présidentielle de 1848.

Apparemment l'université Al Azhar est de droit public : https://fr.wikipedia.org/wiki/Université_al-Azhar En juin 1961, l'Assemblée nationale égyptienne a adopté la loi n°103 de 1961, qui prévoit une réforme complète d'al-Azhar Selon l'article 8 de la loi al-Azhar, la structure complète d'al-Azhar est constituée de cinq entités : 1. le "Suprême Azharrat" (al-maǧlis al-a'lāl-l-Azhar), 2. l'Académie des enquêtes islamiques (maǧma ' al-buḥūṯ al-islāmīya), 3. le Bureau de la culture et des missions d'étude islamiques (idārat aṯ-ṯaqāfa wa-l-bu'ūṯ al-islāmīya), 4. l'université al-Azhar (ǧāmi'at al-Azhar) et 5. l'institut al-Azhar (al-ma'āhid al-azharīya)3. Le chef spirituel d'al-Azhar est, selon l'article 4, le cheikh al-Azhar. Il est le suprême Azharrat et est également appelé le "grand imam" (al-imām al-akbar). En 2013, le Conseil a élu Shawki Ibrahim Abdel Karim Allam au poste de grand mufti d'Égypte. C'est la première fois que le grand mufti est élu par des érudits islamiques depuis la création de ce poste en 1895. Auparavant, le chef de l’État égyptien procédait à cette nomination. Cela a pu évoluer depuis, mais tout cela semble donner une forte base de droit public. https://en.wikipedia.org/wiki/Al-Azhar_Mosque Sous Moubarak, un certain nombre de pouvoirs de l'État ont été cédés à al-Azhar. Au cours des années 1990, des modifications aux lois de censure existantes ont donné à al-Azhar la capacité de censurer à la fois la presse écrite et les médias électroniques. Bien que la loi stipule qu'al-Azhar ne peut intervenir qu'à la suite d'une plainte, son rôle a été beaucoup plus important dans la pratique ; par exemple, les scripts de télévision étaient systématiquement envoyés à al-Azhar pour approbation avant leur diffusion. Cela semblerait indiquer qu'Al Azhar est une branche de l'État égyptien qui exerce une partie de la souveraineté.

D'ailleurs, si être "fonctionnaire" est une preuve de non-légitimité aux yeux du journaliste de Ouest-France, alors il faudrait peut-être se demander si l'adjoint d'Al Azhar ne serait pas par hasard un fonctionnaire du gouvernement égyptien ???

Je crois que cet article de Ouest-France est d'une grande confusion. Ce n’est pas la société civile musulmane qui est demanderesse de la transformation de l’Aya Sophia en mosquée ; le monument est d’ailleurs confié dorénavant à la Diyanet, c’est-à-dire : à des fonctionnaires. Oui mais qu'est-ce qui fait croire qu'il existe une "société civile mulsumane" en Turquie, ailleurs que dans son imagination ? En Turquie tous les Imams sont des fonctionnaires. De même que les prêtres et les pasteurs en Allemagne. De même qu'en Alsace. Et alors ? Il faut quand même prendre en compte le fait qu'Erdogan et sa majorité ont été élus par le peuple turc d'élection en élection depuis maintenant près de 20 ans. Pour rappel, les premiers à avoir appelé dès 2013 à transformer l’Aya Sophia à Istanbul en mosquée étaient le député d’extrême-droite ultra-nationaliste, Yusuf Hayaçoğlu, et Bülent Arınç, membre de l’ancien parti islamiste Refah qui ensemble avec Erdoğan en 2001 a fondé le Parti de la Justice et le Développement (AKP) et qui a été président du Parlement et vice-président de la République. Dans le cadre d'une majorité parlementaire issue d'élections libres et démocratiques. Je ne sais pas si le peuple turc est civil ou pas civil, s'il est musulman ou pas musulman, mais quand le peuple turc vote, le peuple turc vote pour le Refah, puis pour Erdogan. C'est cette réalité là qu'il faut regarder les yeux ouverts, et ne pas se faire des films avec une illusoire "société civile" qui n'aurait rien à voir avec les résultats électoraux.

https://www.tagesspiegel.de/politik/erstes-freitagsgebet-in-der-hagia-sophia-tuerkische-regierungspresse-feiert-erdogans-doppelte-ohrfeige-fuer-den-westen/26031260.html (24 juillet 2020) Première prière du vendredi à Sainte-Sophie La transformation de Sainte-Sophie et le conflit militaire avec la Grèce, qui a été évité de justesse, le montrent : L'axe nationaliste se déplace à Ankara. « Tu es à nous pour toujours, et nous sommes à toi », a déclaré le président Recep Tayyip Erdogan dans un message vidéo sur Sainte-Sophie, ignorant simplement l'histoire millénaire de sa construction en tant qu'église. La transformation de Sainte-Sophie est ainsi délibérément stylisée comme un symbole d'une Turquie se détournant de l'Occident. Avec la conversion du Hagia Sophia et l'envoi d'un navire de recherche sismique sous escorte militaire dans les eaux entourant l'île grecque de Kastellorizo, la Turquie donne à son voisin grec une "double claque", titre jeudi le journal "Türkiye", favorable à Erdogan. Les autorités turques déclarent que la transformation de Sainte-Sophie est un triomphe de l'Islam et une victoire sur l'Occident. Le gouverneur d'Istanbul, Ali Yerlikaya, a rappelé l'occupation ottomane de la ville au 15e siècle et a déclaré qu'il commémorait en reconnaissance le sultan de l'époque, Mehmet II, qui "a conquis Istanbul et Sainte-Sophie pour notre civilisation". Tous les musulmans seraient enthousiastes et impatients. La première prière du vendredi à Sainte-Sophie depuis plus de 80 ans ne sera suivie que par Erdogan et quelques centaines d'invités dans le bâtiment lui-même. Cependant, des dizaines de milliers de croyants sont attendus sur les places autour de l'ancienne église. Les routes principales de la vieille ville d'Istanbul seront fermées, des milliers de policiers seront appelés à intervenir. En raison de l'afflux massif, Sainte-Sophie doit rester ouverte pour les prières le vendredi après-midi, le soir dans la nuit de vendredi à samedi. https://www.tagesspiegel.de/kultur/vor-erstem-freitagsgebet-in-hagia-sophia-eiferer-fordern-zerstoerung-weltberuehmter-christlicher-mosaike/26024222.html (21 juillet 2020) Environ 2000 fidèles, qui reçoivent des invitations spéciales, doivent dire la première prière solennelle le vendredi après-midi avec Erdoğan à Sainte-Sophie. La "prière VIP", comme les médias turcs ont appelé l'événement, ne pourra pas combler les profondes divergences politiques en Turquie. Le chef de l'opposition Kemal Kılıçdaroğlu a décliné l'invitation et, en allusion aux efforts d'Erdoğan pour attirer les électeurs islamistes et nationalistes, a déclaré que la prière est pour Dieu, pas pour des buts politiques et les caméras. La question des mosaïques doit être résolue d'ici vendredi. Comme l'Islam interdit la représentation picturale des personnes, les images de Marie, de Jésus, des saints, des empereurs et des impératrices doivent disparaître pendant les prières islamiques, au moins visuellement. Le gouvernement a insisté pendant des semaines sur le fait que les trésors culturels chrétiens de Sainte-Sophie seraient préservés. En dehors des heures de prière, la mosquée Sainte-Sophie sera ouverte à tous les visiteurs, comme c'est le cas de la Mosquée bleue, située à quelques centaines de mètres. Des rideaux seront utilisés pour couvrir les mosaïques pendant les prières, a déclaré le porte-parole de Erdoğans, Ibrahim Kalin. Cette solution n'est pas facile, avertissent les experts. La question est de savoir où percer les trous pour les crochets dans les murs historiques, a écrit Tugba Tanyeri-Erdemir, une experte des minorités religieuses au Moyen-Orient, sur Twitter. Les deux semaines entre la décision du tribunal et la réouverture de la mosquée n'ont pas suffi pour résoudre les nombreuses questions difficiles, a-t-elle déclaré. À l'avenir, aucun gardien de musée ne surveillera les murs Certains adversaires de la mosaïque veulent faire court. L'historien Ebubekir Sofuoğlu a exigé que les mosaïques soient complètement retirées des murs. Sinon, la Sainte-Sophie serait la première mosquée au monde où les musulmans devraient prier sous l'image d'une "pute", a écrit Sofuoğlu sur Twitter. Il entendait par là une mosaïque représentant l'impératrice byzantine Zoé du XIe siècle. Elle a été mariée plusieurs fois et aurait eu de nombreux amants. Même si des exigences extrêmes telles que celles de Sofuoğlu ne prévalent pas, la Sainte-Sophie pourrait faire face à de nombreux dangers en tant que mosquée, dont elle est protégée en tant que musée. Tanyeri-Erdemir a souligné que les fanatiques islamistes pourraient essayer de détruire de leur propre initiative les mosaïques, dont certaines sont facilement accessibles. Jusqu'à présent, le personnel du musée surveillait les mosaïques pour s'assurer que personne ne s'approchait trop près ou n'étalait de graffitis sur les murs. À l'avenir, cependant, Sainte-Sophie sera ouverte depuis la prière du matin jusqu'à tard dans la soirée - et sans les gardiens de musée. Des doutes existent également en raison de la nouvelle répartition des responsabilités au sein du gouvernement turc. Jusqu'à présent, des historiens et d'autres experts de haut niveau ont travaillé pour le compte du ministère de la culture afin de préserver la Sainte-Sophie, de sécuriser les trésors artistiques sensibles et de rendre possible de nouvelles découvertes, comme la découverte de visages d'anges, qui étaient cachés sous une couche de plâtre jusqu'en 2010. Cependant, avec la décision de convertir l'ancien musée en mosquée, le bâtiment vieux de 1500 ans a maintenant été remis aux autorités religieuses turques. Selon les critiques, l'autorité a montré par le passé, lors de la conversion d'autres anciennes églises en mosquées, qu'elle ne se souciait guère de la préservation des monuments culturels. Les Grecs orthodoxes aux Etats-Unis ont déclaré un "jour de deuil" pour ce vendredi en raison de la réouverture de la Sainte-Sophie en tant que mosquée. Les cloches des églises doivent sonner et les drapeaux doivent être mis en berne. Jusqu'à présent, il ne semble pas que la Turquie sera impressionnée par les objections étrangères à ses plans. Ömer Celik, le porte-parole du parti au pouvoir à Erdogan, l'AKP, a répondu aux critiques de la Grèce voisine en disant que le gouvernement grec devrait plutôt garder le silence, car Athènes est la seule capitale européenne sans mosquée. Erdogan lui-même a souligné que tout comme la Turquie a le droit de décider de son drapeau et de sa capitale, elle peut également décider de la manière dont la Sainte-Sophie doit être utilisée à l'avenir.

https://nationalinterest.org/feature/did-donald-trump-close-chinese-consulate-boost-his-poll-numbers-165363 (22 juillet 2020) S'il est probablement vrai que Pékin souhaite "surpasser les États-Unis en tant que superpuissance technologique prééminente" et "rendre le monde sûr pour les dictatures", il ne s'agit pas d'un combat existentiel où le vainqueur remporte tout. Les dirigeants chinois sont assez intelligents pour reconnaître qu'une domination mondiale exclusive, même si c'était un objectif réalisable, ne serait pas durable et ne pourrait donc pas garantir la sécurité de la Chine ou ses intérêts. Reconnaissant que la poursuivre serait au contraire presque certainement contre-productif, il est beaucoup plus probable qu'ils soient prêts à poursuivre et à se contenter de quelque chose de moins. Par conséquent, ils n'essaient pas de "refaire le monde selon le PCC", car un "monde sûr pour la dictature" n'exigerait pas la destruction de toutes les autres formes de gouvernement. De même, il y a peu de preuves pour soutenir l'affirmation selon laquelle la Chine cherche à "devenir la seule superpuissance du monde par tous les moyens nécessaires". Il n'est pas non plus correct d'affirmer que la Chine "mène ce combat non pas par une innovation légitime" et "non pas par une concurrence loyale et légale". Cela revient à dire que tout comportement chinois est un sous-ensemble malveillant ; il est certain qu'une partie de ce comportement est légitime, juste et légal. En fin de compte, il y a en fait des limites aux ambitions de Pékin et à ce qu'il fera pour les réaliser. Mais la reconnaissance ou même la prise en compte de ce fait ne semble pas apparente dans la description que fait l'administration Trump du défi que représente la Chine, et dans certaines des mesures qu'elle prend pour le relever.

https://www.la-croix.com/Monde/En-Thailande-crise-politique-mobilisations-civiles-2020-07-23-1201106110 (23 juillet 2020) Les chants antigouvernementaux résonnaient dans les rues de Bangkok, samedi 18 juillet. « L’imaginaire mobilisé dans ces manifestations est de l’ordre de la révolte, voire de la révolution », explique Eugénie Mérieau, auteure d’Idées reçues sur la Thaïlande. « Les slogans issus de la chanson « Les Misérables » sont beaucoup repris », et le salut révolutionnaire à trois doigts des Hunger Games s’est rapidement répandu. Des heurts ont éclaté avec la police : la foule a escaladé les barrières et forcé le passage afin d’atteindre le mémorial de la révolution de 1932, généralement acceptée comme ayant fait basculer la Thaïlande d’une monarchie absolue à une monarchie constitutionnelle. Trois revendications sont exprimées : la dissolution du parlement, la fin des poursuites et mesures arbitraires à l’encontre des opposants au gouvernement, et l’amendement de la constitution rédigée par les putschistes, qui leur assure une mainmise sur le pouvoir. Pour Charuwan Lowira-Lulin, « ces revendications témoignent d’une jeunesse exaspérée par une censure importante et un pouvoir qui ne sert que ses intérêts ». https://toutelathailande.fr/news/la-thailande-perd-ses-principaux-ministres-de-economie/ (22 juillet 2020) La semaine dernière (...) six ministres ont démissionné de leur poste. Cela inclut le ministre des finances Uttama Savanayana et le vice-premier ministre Somkid Jatusripitak, qu'un article de Reuters a qualifié de "tsar de la politique économique". Mardi, le baht thaïlandais a perdu environ 6 % par rapport au dollar américain, tandis que l'indice boursier de référence, l'indice SET, a chuté de près de 13 % jusqu'à présent cette année. Les démissions des ministres ont fait suite à des rapports antérieurs faisant état d'une lutte de pouvoir au sein du plus grand parti de la coalition au pouvoir, le Palang Pracharath. Néanmoins, le gouvernement Prayuth restera probablement intact, car les partis de la coalition au pouvoir ont peu à gagner à se retirer, a déclaré M. Cheng. https://lepetitjournal.com/bangkok/la-jeunesse-thailandaise-en-manifs-nocturnes-contre-le-gouvernement-285271 (24 juillet 2020) Des centaines de jeunes manifestants se sont rassemblés jeudi [à la périphérie de Bangkok] pour demander au gouvernement thaïlandais de démissionner et de dissoudre le parlement. Des manifestations similaires ont eu lieu dans quatre autres provinces - Ayutthaya, Khon Kaen, Sakon Nakhon et Pattani. Les jeunes prévoient également des rassemblements à Bangkok et dans d'autres provinces ce week-end. Le zèle du gouvernement Chan-O-Cha pour imposer des mesures dites d’urgence sanitaire au détriment de l’activité économique et sociale dans un pays exempt de la maladie contribue aussi beaucoup à irriter une partie de la population.

https://www.wsbtv.com/news/local/atlanta/atlanta-mayor-says-shes-working-resolution-with-governor-over-mask-ordinance/ZECCQGMJTFFZ5JPG3HG24O7IXM/ (23 juillet 2020) Le juge ordonne une médiation à la maire d'Atlanta et au gouverneur de Géorgie "J'ai eu une très bonne conversation avec le gouverneur hier alors que nous essayons de travailler à une résolution", a déclaré Mme Bottoms. Le bureau du gouverneur a également confirmé la conversation, en disant : "Hier, la maire a demandé au gouverneur de discuter d'un éventuel règlement. Leur conversation a été productive".