PGC

Suite à l'exécution réussie de l'opération Sindoor, une opération militaire de haute intensité visant les bases aériennes pakistanaises et les installations radar en mai 2025, l'armée de l'air indienne (IAF) a exprimé son entière satisfaction quant à la performance des avions de combat Rafale et des missiles de croisière SCALP fournis par la France. L'attaché de défense de l'Inde en France a officiellement exprimé sa gratitude au gouvernement français pour son soutien indéfectible depuis le début de l'opération, soulignant le rôle essentiel des équipements français dans la réalisation des objectifs de la mission . L'AD a également fait l'éloge d'une mission conjointe de la Direction générale de l'armement (DGA) et de l'Armée de l'Air et de l'Espace (AAE), qui a facilité l'échange d'informations cruciales, renforçant ainsi la coopération bilatérale en matière de défense. L'opération Sindoor, lancée en réponse aux tensions accrues le long de la ligne de contrôle (LoC), a démontré la capacité de l'Inde à mener des frappes de précision sur le site contre les infrastructures militaires pakistanaises. Le Rafale, un avion de combat multirôle de 4,5 générations fabriqué par Dassault Aviation, a été la pièce maîtresse de l'opération. Équipé d'un radar AESA (Active Electronically Scanned Array) avancé, de la suite de guerre électronique SPECTRA et d'un arsenal d'armes polyvalent, le Rafale a exécuté des missions de frappes en profondeur avec une efficacité remarquable. Le missile de croisière SCALP (Système de Croisière Autonome à Longue Portée), également connu sous le nom de Storm Shadow, a joué un rôle essentiel dans la neutralisation de cibles de grande valeur, telles que des stations radar et des centres de commandement, avec une grande précision. Le SCALP, missile de croisière furtif lancé par voie aérienne et d'une portée supérieure à 560 km, est conçu pour des missions complexes nécessitant la pénétration de défenses aériennes fortifiées. Son profil de vol à basse altitude et ses systèmes de navigation avancés lui ont permis d'échapper aux systèmes de défense aérienne pakistanais, y compris les batteries HQ-9 fournies par la Chine. L'AD indien en France a noté que « le système Rafale, avec ses munitions adaptées aux missions les plus complexes, s'est particulièrement bien comporté au cours de cette opération », soulignant la fiabilité et la létalité de la plateforme dans des environnements contestés. L'IAF exploite 36 jets Rafale, acquis dans le cadre d'un accord de 7,87 milliards d'euros signé avec la France en 2016, stationnés à Ambala (escadron n° 17 « Golden Arrows ») et Hasimara (escadron n° 101 « Falcons »™). Ces jets, adaptés aux spécifications indiennes avec des améliorations telles que des écrans montés sur le casque, des brouilleurs en bande basse et l'intégration de systèmes indigènes comme le missile Astra, ont prouvé leur valeur dans l'opération Sindoor. Des messages sur X ont fait l'éloge des performances du Rafale qui ont « changé la donne », les utilisateurs notant sa capacité à lancer des missiles SCALP à distance de sécurité, minimisant ainsi l'exposition aux défenses ennemies. La dépendance de l'IAF à l'égard de l'équipement français souligne les limites des défenses aériennes pakistanaises, qui ont eu du mal à contrer les caractéristiques de furtivité du Rafale et le profil peu visible du SCALP. L'opération a également mis en évidence la capacité de l'Inde à intégrer des systèmes nationaux, tels que le radar AESA Uttam et le missile Astra développés par le DRDO, à la plateforme Rafale, améliorant ainsi sa polyvalence. Cette synergie entre les technologies françaises et indiennes permet à la 1AF de faire face à des menaces multiformes, y compris la présence navale et aérienne croissante de la Chine dans la région du Golfe, en particulier autour du port d'Hambantota au Sri Lanka. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

M'enfin, est-ce que l'on peux assimiler un missile, quand même suffisamment lourd pour porter à 300 Km, équipé d'un autodirecteur AESA dernière génération, avec un drone DJI "semi-grand publique" ?

Charge contre le choix du A321...

Ils ont adopté les galons français ?

@gianks, Est-ce que la Marina Militare n'ai pas déjà engagée avec beaucoup de gros projets, sans rajouter un avion de PATMAR ? Va-t-il rester des capacités de financement ? Il me semble que, comme nous, vous avez un "petit" sujet de dettes et déficits budgétaires... Et les relations, un peu glaciales, entre notre PR et votre Primo Ministro ne vont pas être un frein, a ton avis ?

Je ne comprends pas bien la discussion précédente, l'Italie n'a pas déjà fait son choix au sujet de ses avions de PATMAR avec son ATR MP ? https://aircraft.leonardo.com/en/products/atr-72mp

J'ai lu avec beaucoup intérêt les dernières pages du fil. Des petites questions me restent cependant. Où vont ce trouver à votre avis les bureaux d'études et la fab ? Je vois mal la fab. se retrouver à Getafe alors que l'Espagne ne commande pas l’avion... Est-ce que l'on ne pourrait pas imaginer un deal un peu hybride du genre A321 mais avec une intégration systèmes pilotée par des gens qui ont l'expérience, par exemple une petite boîte du coté de Saint-Cloud ? Ou c'est totalement débile ?

https://lignesdedefense.ouest-france.fr/des-2000-5-equipes-daasm-en-ukraine-ce-nest-pas-un-mirage/ Ah bon !!?? Les Grecs ont des AASM sur leur -5 ?

Lien vidéo supprimé. Déjà posté dans MGCS...

Édité : doublon

Et on remet une pièce dans le bastringue des SEM argentins : https://x.com/SA_Defensa/status/1819113987856126298 Repris par OPEX.360 : https://www.opex360.com/2024/08/02/finalement-les-super-etendard-modernises-argentins-pourraient-voler-de-nouveau/ Volera, volera pas ?

Il reste de sous au Qatar ? (OK je plaisantais ...) Et des pilotes ? Dans le dernier Combat Aircraft on peut lire : Mais où vont-ils trouver le personnel pour tout ce matériel ? Je n'arrive pas à comprendre...

Israël / Égypte (Mirage IIIJ/ Mirage V versus Mirage 5) Égypte / Libye (Mirage 5 versus Mirage 5) Israël / Liban (Mirage IIIJ versus Mirage IIIEL). Le début/milieu années 70...

Autre info intéressante (pour moi en tout cas...) qui sort de l'interview de François Lemainque, les "fastpacks" sont testés en supersonique.

Désolé, je n'avais pas vu le post...