Pourquoi les escadrons de chasse sont toujours composés d’un nombre d’avions en multiple de 12 ?
Ca vaut aussi pour les autres armées de l’air, 36 Rafale en Inde et au Qatar, 24 en Égypte...
J'ai toujours entendu qu'une perte de compétence en aéronautique mettait de tres longues (dizaines) d'années à être comblée.
C'est pour cette raison qu'il est très important de continuer à faire tourner les bureaux d'études avec différents projets.
Tiens tu l'as vu toi aussi ? Je me suis demandé si ce n'était pas une écriture voulue pour se démarquer vu que c'est le nom de la boîte qui a fait le design.
Fatche. Il ne doit déjà pas avoir les pattes courtes de base mais en plus avec ravitaillement possible il peut aller jusqu'à San Francisco... Ou au moins Pearl Harbor
Bizarre cet histoire. Comment Taïwan à pu revenir en 2012 avec les mêmes arguments alors qu'un accord avait été conclu en 2002 ?
Et au final les industriels ont dû payer ?
Boarf, si vraiment ils veulent deux douzaines de rafale, ça réduira toujours un peu le déséquilibre de la balance du commerce extérieur
Bien entendu dans le cadre énoncé par mgtstrategy, à savoir :
Je pense de mon côté que chez Airbus les mésaventures de Boeing ne doivent pas laisser indifférent. Est ce que ça aurait pu arriver chez eux ? Je n'en sais rien, mais je pense qu'aujourd'hui ils doivent sérieusement s'auditer pour vérifier que non.
Évidemment qu'il y a des paris. Juste on ne parie pas avec la vie des gens. Ce n'est pas pour rien que dans l'aéronautique les systèmes sont catégorisés en fonction des conséquences qu'ils peuvent avoir sur la perte de l'avion et la vie humaine. Et bizarrement à la base quand la défaillance peut devenir mortelle on multiplie les redondances. On ne reste pas sur le pari que ça n'arrivera pas souvent et que les pilotes sauront réagir sans formation sur un système nouveau.
Or c'est ce qu'a fait Boeing. Ça a été bien dit dans l'article traduit par Pic.
... et du coup on a provoqué des centaines de morts. Promis on fera mieux la prochaine fois. Enfin on essayera.
Aucune obligation financière ni nécessité de développement ne peut justifier de faire des paris impliquant la mort potentielle des passagers et des pilotes.