-
Compteur de contenus
6 231 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
20
Tout ce qui a été posté par Bon Plan
-
F-35 : quelle suprématie aérienne future de l'OTAN en cas de conflit de haute intensité ? Selon le groupe de réflexions Mars, "le F-35 a été une formidable machine de guerre pour soumettre la défense européenne aux intérêts américains. Il risque d'être demain l'outil de la défaite de l'OTAN face à ses compétiteurs stratégiques". Car le F-35 est avant tout un chasseur bombardier furtif dont la capacité d'emport en soute (sinon il n'est plus furtif) ne lui permet pas de frapper à la fois loin et fort ; c'est l'un ou l'autre. Le rayon d'action du F-35A ne dépasse pas 1.000 km, et son autonomie sur zone est limitée à quelques minutes à cette distance. Par le groupe de réflexions Mars. https://www.latribune.fr/opinions/f-35-quelle-suprematie-aerienne-future-de-l-otan-en-cas-de-conflit-de-haute-intensite-890753.html F-35, une architecture interdisant toute interopérabilité Il s'agit d'un aéronef furtif affiché comme multirôle (chasseur-bombardier), mais surtout du « sergent » (quarterback) d'un « groupe de combat » constitué de tous les capteurs et effecteurs avec lesquels il peut communiquer directement (sans passer par une station au sol) en temps réel par liaisons de données tactiques extrêmement sécurisées (passerelles vers la liaison de données tactiques 16, puis liaison 22). Le système F-35 pose en réalité de nombreux problèmes. D'abord parce qu'il est intentionnellement construit sur une architecture fermée interdisant toute interopérabilité avec des systèmes de combat alliés, ce qui est absolument contraire aux principes de l'OTAN. N'étant interopérable qu'avec lui-même, le système F-35 impose aux armées alliées de se doter de cet appareil pour être en mesure d'interagir directement avec lui, à moins de consentir à une interopérabilité en mode dégradé reposant sur des relais. Déboires technologiques le programme a asséché les budgets de R&D de plusieurs alliés sans aucune garantie sur le produit fini, contrairement à l'exportation d'un système d'arme déjà développé et dé-risqué. Les 14 utilisateurs étrangers du F-35 se répartissent donc en deux catégories : sept partenaires (la Turquie ayant été exclue pour avoir acquis le système russe de défense aérienne S400) qui ont contribué financièrement au développement du programme en échange d'un certain retour industriel et désormais sept clients (avec la Suisse) par le processus de cession FMS. Le programme est à ce point problématique que le GAO (la Cour des comptes américaine) publie chaque année plusieurs rapports publics constatant les progrès accomplis et faisant des recommandations en vue de limiter le désastre financier. Le dernier en date met en lumière une impasse de 6 milliards de dollars sur l'ensemble d'un programme dont les coûts sont vertigineux : un coût total du cycle de vie estimé à 1.700 milliards de dollars, dont 400 milliards pour l'acquisition et 1.300 milliards pour la mise en œuvre et le maintien en condition opérationnelle (MCO) de l'avion, soit une dérive de 150 milliards par rapport à l'estimation de 2012. Le coût réel à l'heure de vol des 400 F-35 en service dans l'armée américaine était en 2019 de plus de 38.000 dollars constants 2012. Le coût objectif est fixé à 25.000 dollars l'heure de vol en 2025. Tel est l'avion dont Armasuisse prétend qu'il a remporté la compétition en étant le moins cher sur ses coûts d'utilisation ! Suisse : le choix très surprenant du F-35 Du point de vue opérationnel, on ne peut que s'interroger sur l'apport du F-35 à l'armée suisse. Comme Israël le montre régulièrement, le F-35 est avant tout un chasseur bombardier (Joint strike) furtif dont la capacité d'emport en soute (sinon il n'est plus furtif) ne lui permet pas de frapper à la fois loin et fort ; c'est l'un ou l'autre. Le rayon d'action du F-35A ne dépasse pas 1.000 km, et son autonomie sur zone est limitée à quelques minutes à cette distance. Le F-35 est par ailleurs un avion trop lourd pour être très manœuvrant en combat aérien et dont le revêtement furtif le rend inapte au vol supersonique. C'est dommage car la Suisse a justement besoin d'un avion de défense aérienne, non d'un chasseur-bombardier à moyen rayon d'action. En outre, le programme F-35 n'est pas encore parvenu au stade de la production en série (jalon C), car il reste plus de 800 défauts à corriger, certains engageant la sécurité des vols, alors que de nouveaux problèmes apparaissent, dont ceux du moteur Pratt & Whitney F-135, au fur et à mesure de la résolution de ceux déjà détectés. Le Pentagone doit dorénavant faire face à une véritable impasse capacitaire. Compte tenu de l'impossibilité manifeste de contenir les coûts du programme F-35, en dépit des promesses de Lockheed Martin jusqu'en 2019, les trois « services » dotés (Air Force, Navy et Marine Corps) envisagent sérieusement de réduire leurs flottes en remplaçant une partie des F-35 prévus soit par des avions de 4e génération modernisés, soit en accélérant le développement d'un avion de combat de 6e génération. Il s'agit en effet de pouvoir compter sur une flotte fiable et performante face à des rivaux stratégiques qui, pour leur part, améliorent quantitativement et qualitativement leurs flottes respectives d'avions d'armes. Même un allié aussi fiable que le Japon est en train de revoir ses plans après la perte (non élucidée à ce jour) d'un F-35 abîmé en haute mer et face aux mauvaises performances tactiques et aux difficultés de prise d'alerte de défense aérienne de l'appareil contre les provocations chinoises. Le F-35 n'est pas la hauteur des besoins de l'OTAN Il en résultera à terme un manque de débouchés pour Lockheed Martin, ce qui explique la pression mise par le Département d'État (responsable de la procédure FMS) sur les prospects export, ne serait-ce que pour compenser l'abandon du marché turc. On souhaite bien du plaisir aux autorités helvétiques pour justifier leur choix en cas de votation, perspective qui semble de plus en plus vraisemblable. Le Rafale a peut-être encore un avenir sous les couleurs suisses. Au-delà du cas de la Suisse, État neutre comme chacun sait, se pose la question de la suprématie aérienne future de l'OTAN en cas de conflit de haute intensité. Outre les Etats-Unis, huit nations membres de l'Alliance sont ou seront équipées d'un appareil dont les performances ne sont clairement pas à la hauteur des besoins. C'est toute la sécurité de l'Alliance qui risque ainsi d'être mise en péril par un programme non maîtrisé qui a siphonné une part non négligeable des budgets de R&D européens. Le F-35 a été une formidable « machine de guerre » pour soumettre la défense européenne aux intérêts américains. Il risque d'être demain l'outil de la défaite de l'OTAN face à ses compétiteurs stratégiques. Ceux-ci ne jouent pas imprudemment avec la constitution des capacités militaires de leurs propres forces et de leurs alliés. Face à cette impasse capacitaire, l'OTAN sera conduite à court terme à encourager le retour à des appareils de 4e génération modernisés (tels que le Rafale F3R, en attendant le standard F4, mais aussi les F-15 EX, F-16 Viper, F-18 Super Hornet, l'aptitude de l'Eurofighter à évoluer restant à prouver) pour garantir sa posture et remplir ses missions. Cela permettra peut-être de clarifier l'avenir des programmes SCAF et Tempest.
-
idem : Des F-35 & F-15EX pour Israël ! http://psk.blog.24heures.ch/archive/2021/08/27/des-f-35-f-15ex-pour-israel-871588.html "Le pays table sur deux types d’avion, soit le Lokcheed Martin F-35 A (F-35I Adir) et le tout nouveau Boeing F-15EX « Eagle II. L’idée est de mélanger les capacités complémentaires des deux avions. Israël dispose déjà de deux escadrons de F-35I « Adir ». Le F-35 est le chasseur multirôle le plus avancé au monde, combinant des capacités exceptionnelles de capteurs et de réseau avec des technologies avancées qui le rendent difficile à détecter. Ce dernier a été testé en opération pour frapper des cibles iraniennes en Syrie et l'aurait survolé le Liban et d'autres régions. D’un point de vue air-air, les israéliens confirment également que le F-35 surpasse les derniers avions russes en service qui sillonnent le ciel syrien. Aucun d’eux n’a été capable à ce jour, d’accrocher le F-35 israélien en mode air-air, le F-35 étant capable non seulement de se dissimuler, mais de fournir une réaction immédiate pour éviter toute facilité d’engagement de l’adversaire, celui-ci restant par contre en permanence sous la menace d’un tir de l’Adir. En renforçant sa dotation en F-35 Israël, va démultiplier ses capacités air-air et air-sol. Malgré les capacités exceptionnelles du F-35, Israël cherche à moderniser les capacités de sa flotte de F-15. Pour ce faire, la Force aérienne veut se doter de la nouvelle version du F-15, le F-15EX « Eagle II » surnommé le F-15IA dans le pays et moderniser certains de ses anciens F-15I. Le F-15EX devrait permettre un emport massif d’armement grâce à sa capacité de 30’000 livres d'armes, tandis que le F-35 peut transporter 5’000 livres en interne et a jusqu'à 18’ 000 livres de capacité de charge utile totale lorsqu'il utilise des stations externes. Le F-35 peut transporter quatre à six missiles en interne sans augmenter la signature radar de l'avion, et dispose d'une capacité de transport supplémentaire lorsque la furtivité n'est pas requise. En comparaison, le F-15EX peut emporter jusqu'à 12 missiles externes"
-
Les coûts du F-35 sous la loupe ! (en Suisse ! voir fil force aérienne suisse : http://www.air-defense.net/forum/topic/918-la-force-aérienne-suisse/page/92/?tab=comments#elControls_1440511_menu) http://psk.blog.24heures.ch/archive/2021/08/30/les-couts-du-f-35-sous-la-loupe -871604.html
-
Les coûts du F-35 sous la loupe ! ... Mardi 31 août les opposants aux avions de combat vont officiellement lancer leur campagne « STOP F-35 » qui va nous amener à un nouveau vote, comme lors de l’achat des Boeing F/A-18 « Hornet ». Précisons d’emblée que la gauche aurait lancé une initiative quel que soit le choix de l’avion ! Une partie des arguments sont basés sur les coûts du F-35, l’occasion de remettre l’Eglise au milieu du village. Les coûts annoncés Le conseil Fédéral sur la base des résultats de l’évaluation « air2030 » va proposer au Parlement d’acquérir un paquet comprenant 36 avions Lockheed Martin F-35A, ainsi que l’ensemble des systèmes connexes (armement, simulateurs, pièces de rechange, moteurs de rechange, formation des équipes de maintenance et des pilotes) pour un montant de Chf 5'068 milliards de francs, soit un volume financier très inférieur au budget cadre de 6 milliards de francs suisses approuvé par les citoyennes et les citoyens, lors de la votation du 27 septembre 2020. En ce qui concerne les coûts d’exploitation et de maintenance, le projet est devisé à 15,5 milliards de francs sur 30 ans, soit 2 milliards de moins que l’avion suivant évalué. Coûts d’achat Le prix pour le « paquet complet » de Chf 5'068 milliards de francs est le plus bas des quatre offres. Il s’explique par le fait que 680 F-35 sont déjà en service dans le monde, pour un total actuel de 3'423 commandes à ce jour. 14 pays ont commandés le F-35. Les coûts « nus » d’un F-35A sont aujourd’hui de 77,9 millions de dollars. Coûts d’exploitation / maintenance Les coûts d’exploitations pour la Suisse atteignent 15,5 milliards de francs sur 30 ans. Soit un coût direct de 9,4 milliards de francs auquel il faut ajouter les coûts pour le personnel navigant, la préparation et l’exploitation, la maintenance des avions, la supervision des systèmes et la maintenance des appareils par l’industrie, y compris les charges de matériel, abonnements systèmes de logistique (ODIN), le carburant, y compris l’impôt sur les huiles minérales ainsi que la TVA. En ce qui concerne les heures de vols, il possible de réduire sensiblement celles-ci. En effet, selon les australiens et les israéliens le « système » F-35 permet une formation très différente des autres appareils, une préparation plus poussée en simulateur permet de réaliser plus rapidement des exercices complets en vol réel, alors qu’il fallait plus de vols avec un aéronef de génération plus ancienne pour arriver au même résultat. Différence USA / Suisse Ce montant peut paraître faible par rapport aux nombreuses critiques du GAO américain sur ces mêmes coûts. Pour autant, il faut faire une importante distinction. En effet, le Pentagone achète ses avions « nus », soit sans armement, sans pièces détachées, sans compter les surcoûts dû aux opérations extérieures. Ces derniers font partie de commandes séparées. Cette manière de faire augmentent les coûts de l’ordre de 20 à 30% et explique notamment les problèmes de maintenance dû au manque de pièces détachées et de moteurs de réserves. Cette constatation n’est pas juste le fait du F-35, on retrouve les mêmes problèmes pour l’ensemble des appareils en service, démonstration : les chiffres de l'US Air Force pour le nouveau F-15EX établissent le coût de cet avion à 87,7 millions de dollars l'exemplaire. Mais ces chiffres concernent les avions de base et n'incluent pas l'équipement supplémentaire requis pour les rendre aptes au combat. Lorsque vous ajoutez la suite de contre-mesures électroniques (ECM) et les nacelles de ciblage qui permettent au F-15EX de voler en combat, son prix grimpe à 101,1 millions de dollars, 22,5 millions de dollars ou 29% de plus qu'un F-35A prêt au combat. Les coûts supplémentaires requis pour exploiter et maintenir l’avion et ses sous-systèmes ne sont pas pris en compte dans l'évaluation du coût par heure de vol du F-15EX. De manière déconcertante, ces coûts d'acquisition ne sont jamais pris en compte dans l'évaluation par le Pentagone. Certains médias européens adorent taper sur le F-35, mais ils ont volontairement, ou non, oublier de préciser ces éléments qui sont fondamentaux dans la compréhension des différences de coûts. ... Exemples étrangers Les pays qui comme la Suisse achètent un paquet complet et non un avion « nu » s’en sortent mieux que les USA, quelques exemples : Pays-Bas : 37 F-35 pour 4,5 milliards d’euros soit 140 millions l’avion complet en 2013. Depuis les coûts ont baissé à 111 millions. Norvège : Le F-35 a non seulement répondu aux attentes budgétaires, mais les a dépassées. Vegard Norstad Finberg explique : « Le prix de l'avion était nettement inférieur à celui que nous avions calculé en 2012. « La dernière livraison nous a coûté moins de 80 millions de dollars par avion ». Tant pour les Pays-Bas que pour la Norvège les coûts d'exploitation sont stabilisés et sensiblement moindre que prévu, des baissent additionnelles sont mêmes envisagées dans les années avenir. Coûts de développement & partenariat Dans le calcul des coûts d’exploitation du F-35, il me faut vous parler des frais de développent de l’avion. Pour les initiateurs de l’initiative STOP F-35 la Suisse devra payer chaque année des frais additionnels de développement c’est FAUX ! Seul les pays membre du Partenariat (3 niveaux) Royaume-Uni, Italie, Pays-Bas et Canada participent aux coûts de développement de l’avion, la Suisse n’en fait pas partie ! Nous ne paierons pas un centime de plus. Le prix du mensonge à 25 milliards Selon l’initiative STOP F-35, les coûts du F-35 en Suisse seront de 25 milliards de nos francs et même bien plus. Ce chiffre est faux car nous atteignons un coûts total achat / exploitation de 21 milliards sur 30 ans et plus. Si l’on tient compte d’une mise à jour mie-vie (MLU) du F-35 en prenant un montant fictif exagéré de 1 milliard de nos francs, nous sommes toujours en dessous du montant des opposants. Sachant qu’un autre choix d’appareil par le Conseil Fédéral aurait couté plus cher pour un rapport coût/efficacité moindre. Garanties et processus Il faut préciser que le « paquet » du F-35 sera acquis à travers le programme américain Foreign Military Sales (FMS) aux conditions qui s’appliquent à l’État américain. Ce dernier gère l’acquisition à travers ses propres contrats avec les entreprises. Les prix et les conditions contractuelles y sont fixés de manière contraignante et soumis à un contrôle strict. En cas de dépassements des coûts, l’État américain interviendrait auprès du constructeur au profit de la Suisse afin de faire respecter le caractère contraignant des prix. Les offres et leurs montants sont contraignants. L’offre du fournisseur reste valable dix ans pour les coûts d’acquisition comme pour les coûts d’exploitation. Au-delà d’un tel délai, aucune offre ne serait considérée comme sérieuse. Pour calculer les coûts d’exploitation, le DDPS se fonde donc sur l’offre et sur ses propres expériences des différents avions de combat que la Suisse a acquis jusqu’ici. Il tient compte notamment du vieillissement des systèmes qui, au fil des ans, accroît les frais de maintenance. Afin de s’assurer de la viabilité des résultats, la conseillère fédérale Viola Amherd a commandé auprès du cabinet d’avocats zurichois Homburger SA une étude de plausibilité en vue de l’acquisition des nouveaux avions de combat. Cette étude portait sur la méthodologie d’évaluation, les critères d’adjudication ainsi que l’évaluation financière des offres, Homburger est arrivé à la conclusion que le classement des soumissionnaires selon l’analyse coûts-utilité faite par armasuisse dans le rapport d’évaluation était réaliste. http://psk.blog.24heures.ch/archive/2021/08/30/les-couts-du-f-35-sous-la-loupe -871604.html
- 6 685 réponses
-
- 1
-
-
- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Voilà une belle contre publicité : https://www.meretmarine.com/fr/content/lus-navy-desarme-un-premier-lcs-apres-seulement-11-ans-de-service?xtor=EPR-56-20120118[Newsletter_V2_Drupal]-20210827-[_2] Mais un petit coin de parapluie américain n'a presque pas de prix, alors tout est possible.
-
Si trahison il y a, elle vient de citoyens suisses. C'est une affaire interne. Et si ca venait à être démontré (comment?) une crise politique suivrait.
- 6 685 réponses
-
- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Peut être leur vendre le réacteur qui va tant manquer. Le reste, avec des ambitions peut être adaptées, peut être fait localement (radar).
-
[Afghanistan]
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
Pas forcément certain que c'est de nature à plaire aux Talibans : la situation leur échappe et ils perdent la face. Des règlements de compte à la barbare ne sont pas à exclure, entre eux. -
Messieurs les administrateurs, ici comme ailleurs, C'ETAIT MIEUX AVANT !!!!
-
Elon Musk ..... Erdon Tusk..... LOL Ben sur le site Pakistanais qui n'a plus voulu de moi, ils te disent qu'eux ils le peuvent (en filigrane : vous les occidentaux vous êtes des tanches). Si si. Aidés en cela par une certaine force divine qui est plus grande que toute autre.
-
[Afghanistan]
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
Ce midi j'ai entendu sur une chaine d'info un officiel anglais qui disait craindre un attentat prés ou dans l'aéroport de Kaboul. Ca n'aura pas tardé (si info vérifié) -
turquie La Turquie
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de madmax dans Politique etrangère / Relations internationales
tout dépend de ce qu'on entend par basse altitude. Et tout dépend des performances réelles et de celles annoncées par les russes avant vente. -
Je me suis fait ban d'un site pakistanais très fréquenté par des intégristes turcs pour le leur en avoir fait le constat. Ils sont persuadés que d'avoir su faire des turbines d'hélico (au statut flou et durabilité à prouver) et des micro moteurs de missiles tactiques ils auront leur réacteur militaire de classe mondiale avant 2030. Je leur ai parlé des difficultés des chinois malgrés des moyens économiques et humains d'un autre calibre et l'exemple indien du Kaveri. Mais rien n'y fait. Ils ont la tête pleine des exploits ottomans d'hier et d'aujourd'hui et le melon d'Erdogan.
-
turquie La Turquie
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de madmax dans Politique etrangère / Relations internationales
By Jove ! Jetés du programme F35 pour des missiles en partie décevants. Pas de bol cet Erdo ! Il vise souvent sur le mauvais cheval. -
[Afghanistan]
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Politique etrangère / Relations internationales
Vu son état c'est déjà surprenant qu'il se souvienne de ce "si vieux" souvenir... -
Ce n'est pas l'EI ou Daesh qui est craint dans le cas présent. Mais qui alors? Ou alors une occasion de présenter le matos à de potentiels clients de la zone...
-
C'en est ou? des chances d'aboutir?
- 6 685 réponses
-
- Force aérienne suisse
- F-18 Hornet
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
turquie La Turquie
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de madmax dans Politique etrangère / Relations internationales
Selon la Russie, la Turquie serait sur le point d’acquérir un second lot de systèmes de défense aérienne S400 http://www.opex360.com/2021/08/25/selon-la-russie-la-turquie-serait-sur-le-point-dacquerir-un-second-lot-de-systemes-de-defense-aerienne-s400/ Serait ce la réponse turque à la proposition de je ne sais plus qui de leur racheter leur S400 pour passer l'éponge ? -
Les essais opérationnels du F-35
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de Picdelamirand-oil dans Amérique
Reste toujours le problème des avions déjà produits. Pour israel, pour les anglais, pour les italiens, les danois, les.... Eux ont quitté la chaine de production. -
Tu peux aussi, j'imagine, faire en sorte de consommer en priorité le carburant qui est dans les CFT avant de taper sur celui des autres réservoirs. Ca évite les contraintes sur une partie de la cellule qui n'a pas été spécifiquement et dés le départ concue pour ca.
-
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
La config 2 SCALP (donc 2 Apaches ?) peut être catapultée, mais en cas de tir d'un seul des deux, le déséquilibre engendré par un scalp sous une aile et rien sous l'autre est trop grand pour apponter en sécurité. Dans ce cas de figure il devrait lâcher son missile à l'eau avant appontage. Ca fait cher. On peut dire que c'est une config "guerre de haute intensité" uniquement. Je crois que c'est pareil avec les exocet, pourtant plus léger. -
Ca sort comme des petits pains....
-
[Séries TV]
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
Il manque un (et plutôt une) arabe, un peau rouge et on a un pannel quasi complet. Miss gros nichons. Oui, ca manquait ! (c'est pour rire. Pas envoyer de Topol svp) -
L'Algérie
Bon Plan a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Politique etrangère / Relations internationales
L’Algérie rompt ses relations diplomatiques avec le Maroc, accusé de soutenir des activistes kabyles http://www.opex360.com/2021/08/25/lalgerie-rompt-ses-relations-diplomatiques-avec-le-maroc-accuse-de-soutenir-des-activistes-kabyles/ ... "En 2020, en échange de la reconnaissance d’Israël par le Maroc [par ailleurs très proche des États-Unis], le président américain, qui était alors Donald Trump, annonça que Washington allait reconnaître la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, alors objet de nouvelles tensions. Inutile de dire que la pilule fut difficile à avaler pour l’Algérie qui, aux prises par ailleurs avec des difficutés économiques, sociales et politiques, y vit des « manoeuvres étrangères » visant à la « déstabiliser ». Entretemps, après l’attentat de Marrackech [24 août 1994], pour lequel le gouvernement marocain accusa les services algériens d’y avoir joué un rôle, la frontière entre les deux pays fut fermée. Et elle l’est encore actuellement. Cela étant, si Alger soutient le Front Polisario, Rabat n’est pas en reste non plus… le Maroc étant accusé de faire preuve de « bienveillance » à l’égard du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie [MAK], classé par les autorités algériennes parmi les organisations terroristes en mai dernier. .... Puis, le 18 août, à l’issue d’une réunion du Haut conseil de sécurité algérien, dirigée par le président Abdelmadjid Tebboune, Alger dénonça les « actes hostiles incessants perpétrés par le Maroc contre l’Algérie » et annonça, en conséquence, la « révision des relations entre les deux pays et l’intensification des contrôles sécuritaires aux frontières ouest ». Les actes hostiles en question concernaient les feux de forêts qui venaient de dévaster la Kabylie [en faisant 90 morts, ndlr]. Selon Direction générale de la Sûreté nationale [DGSN] algérienne, leur origine criminelle ne ferait aucun doute, l’enquête ayant permis de « découvrir qu’un réseau criminel, classé comme organisation terroriste » en était la cause. Réseau qui serait lié au mouvement islamo-conservateur Rachad ainsi qu’au MAK, accusé par la présidence algérienne de recevoir le « soutien et l’aide de parties étrangères, en tête desquelles le Maroc et ‘l’entité sioniste’ [Israël, ndlr] ». La tension est encore montée d’un cran le 24 août, quand le chef de la diplomatie algérienne a annoncé la rupture des relations diplomatiques entre son pays et le Maroc. « L’Algérie a décidé de rompre les relations diplomatiques avec le royaume du Maroc à partir de ce jour », a en effet déclaré M. Lamamra. « L’histoire a montré que le royaume du Maroc n’a jamais cessé de mener des actions hostiles à l’encontre de l’Algérie », a-t-il fait valoir. ... -
Oui. Je vais mettre un F35....