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  1. Certaines personnes en Russie seraient bien avisée de ne fréquenter que des maisons de plain pied...
  2. À l'ère Trump, rien ne saurait étonner.
  3. Il y a quelque chose de surréaliste là-dedans. Un pays soutient un de ses alliés contre les visées impérialistes d'un autre allié commun ; pendant ce temps le pays soutenu continue à acheter des armes particulièrement sensibles (F35) à cet autre allié menaçant. Les historiens du futur verront peut-être leur discipline comme apparentée à la comédie. À moins que le comique ne vire finalement au tragique...
  4. Sur les fruits, il existe une petite ambiguïté sur le terme "mûr": on dit d'un fruit qu'il est "trop mûr" quand il a dépassé son optimum de saveur et qu'il commence à se dégrader. Mais quand on y réfléchit, cette expression est proche d'un oxymore! En revanche, s'agissant d'une personne, d'une institution, d'un processus, dire qu'il a mûri est toujours, me semble-t-il, positif. Sauf, bien sûr, si on l'emploie dans un sens ironique ou sarcastique: "Donald Trump a bien mûri entre son premier et son second mandat", par exemple.... Pas si simple, quoi!
  5. Inde-Pakistan : l’opération militaire indienne a révélé les faiblesses de son armée de l’air New Delhi a commencé à reconnaître la perte de plusieurs avions de chasse lors de l’opération « Sindoor ». Selon les experts militaires, au moins un Rafale pourrait être parmi les appareils détruits. Ce serait une première en situation de combat pour l’avion de Dassault. Par Sophie Landrin (New Delhi, correspondante) et Elise Vincent Publié aujourd’hui à 06h30, modifié à 08h38 Au lendemain de l’opération « Sindoor » menée par l’Inde, dans la nuit du mardi 6 au mercredi 7 mai, au Pakistan, en représailles d’un attentat à Pahalgam, dans la région du Cachemire indien, le 22 avril, la démonstration de force voulue par New Delhi a toutes les apparences, de l’avis de nombreux experts militaires, d’une sévère contre-performance. Malgré le bombardement de près d’une dizaine de sites au Pakistan, avec des dégâts importants observés, l’Inde a été obligée de reconnaître la perte d’au moins trois avions de chasse au cours de cette opération. Des pertes majeures, révélatrices des faiblesses de l’armée de l’air indienne. Dans un contexte extrêmement tendu entre les deux pays, de nombreuses informations contradictoires, impossibles à vérifier de manière indépendante, ont ainsi été diffusées, mercredi 7 mai, à ce sujet. Des sources militaires pakistanaises, dont le ministre de la défense, Khawaja Muhammad Asif, ont affirmé que cinq appareils de l’armée de l’air indienne dont trois Rafale, un MiG-29 et un Soukhoï SU-30 avaient été abattus avec des avions de fabrication chinoise Chengdu J-10. Mais, côté indien, seule une source sécuritaire anonyme, qui s’est confiée à l’Agence France-Presse, a reconnu des pertes militaires sans préciser de quel type d’aéronef il s’agissait. A partir de l’analyse d’images en source ouverte, l’hypothèse de la destruction d’au moins un Rafale est néanmoins jugée crédible, à Paris. Pour l’appareil fabriqué par l’avionneur français Dassault ce serait une première en situation de combat. Dans tous les cas, cette séquence s’inscrit dans un contexte compliqué pour l’armée indienne, qui peine, depuis de nombreuses années, à faire monter en puissance son aviation de chasse. Et ce, malgré des investissements importants pour moderniser sa flotte, notamment l’achat, en 2016, de trente-six Rafale pour un montant d’environ 8 milliards d’euros. Eviter l’escalade avec Islamabad L’armée de l’air indienne est ainsi dotée d’une trentaine d’escadrons de chasse. Mais plus d’une dizaine sont équipés de vieux avions russes – des Soukhoï 30 MKI et des MiG-21. Quatre sont composés de très anciens appareils français de type Jaguar – ils sont retirés du service, en France, depuis 2005 – et de Mirage en fin de vie, achetés dans les années 1980. Ces derniers doivent être remplacés par un avion – appelé « Tejas » – fabriqué localement par l’avionneur indien HAL, mais l’industriel cumule les retards. Depuis le début de la guerre en Ukraine, en février 2022, l’Inde a, par ailleurs, eu à souffrir de problème de livraisons de pièces détachées de la part de la Russie. L’armée de l’air indienne s’est enfin lancée dans l’opération « Sindoor » alors qu’elle souffre de longue date de difficultés en matière de recrutement et de formation de ses pilotes. En décembre 2024, un rapport du Contrôleur et vérificateur général de l’Inde avait pointé ces problèmes. Il s’inquiétait du manque de simulateurs performants pour les entraîner, alors que les forces aériennes n’ont que très peu d’expérience opérationnelle. Quant aux Rafale, ils n’ont commencé à arriver dans les forces indiennes qu’à partir de 2020. Les dernières livraisons ont eu lieu en 2022. L’enjeu, à ce stade, pour l’Inde, est surtout d’éviter l’escalade avec le Pakistan, un pays doté, comme elle, de l’arme nucléaire. Et ce, alors que ce dernier, selon certaines sources, pourrait aussi avoir perdu un avion de chasse dans cette première série de frappes. L’armée de l’air pakistanaise dispose toutefois d’une plus grande expérience que sa rivale grâce aux opérations de contre-terrorisme menées depuis plus de quinze ans dans les zones tribales du pays. Elle est également en partie dotée d’avions français – quatre escadrons sont équipés de Mirage sur une flotte de dix-sept. L’achat, en 2022, d’avions chinois de type J-10C, a clairement été conçu pour s’opposer au programme d’acquisition de Rafale par New Delhi. Des heures décisives Durant toute la journée du 7 mai, malgré des accents triomphalistes sur le succès de l’opération « Sindoor », les autorités indiennes se sont efforcées de nier la destruction d’avions de combat et de minimiser les pertes civiles, défendant des actions « mesurées, non escalatoires, proportionnées et responsables ». Plusieurs médias du pays ont été contraints de supprimer les informations relatives aux crashs des appareils de leurs sites Web, sous la pression du gouvernement de Narendra Modi. « Si des avions ont été perdus, c’est certainement un revers. Si des Rafale ont été perdus, c’est un revers encore plus important et cela ternit, bien sûr, l’image de l’opération indienne. Perdre des avions n’est jamais une bonne chose, mais perdre des avions alors que vous essayez de mener une opération clairement planifiée, répétée et préparée est forcément douloureux et embarrassant », estime Sushant Singh, ancien militaire de l’armée indienne et analyste stratégique. L’Inde a-t-elle sous-estimé les capacités de son adversaire et surestimé ses forces ? Ses armées sont mobilisées sur deux fronts dans l’Himalaya, le long de « la ligne de contrôle », 740 kilomètres partagés avec le Pakistan, mais aussi « le long de la ligne de contrôle effectif » 3 488 kilomètres contestés par la Chine. Depuis 2020, après un corps-à-corps meurtrier avec les soldats de l’Armée populaire de libération, sur les hauteurs glacées du Ladakh, d’importantes forces ont été massées dans cette région. Les heures et les jours qui viennent risquent d’être décisifs. Le Pakistan prépare sa riposte. Le premier ministre, Shehbaz Sharif, a promis de « venger chaque goutte de sang de ces martyrs ». « Nos ennemis pensaient nous attaquer dans l’obscurité, en se cachant, mais ce fût un échec », a clamé le dirigeant lors d’une session extraordinaire du Parlement. Inquiétude internationale « Si le Pakistan tente d’attaquer l’Inde ou de riposter, en menant une opération qui causerait la mort d’un grand nombre d’Indiens ou blesserait des soldats indiens, New Delhi pourrait alors être contraint de réagir de manière encore plus forte, ce qui conduirait à une crise beaucoup plus grave », avance Sushant Singh. L’affrontement entre les deux puissances nucléaires est déjà considéré comme le plus sérieux depuis 1971. La communauté internationale observe avec inquiétude l’évolution de la situation entre les deux pays. « Je veux qu’ils arrêtent. Et j’espère qu’ils peuvent arrêter maintenant », a réagi le président américain, Donald Trump, à Washington. « Le monde doit faire preuve d’une tolérance zéro envers le terrorisme », a répondu le ministre des affaires étrangères indien, Subrahmanyam Jaishankar, sur le réseau social X. Pour Happymoon Jacob, l’opération « Sindoor », « une opération militaire ouverte, publique et de grande intensité », marque une innovation doctrinale dans la réponse de l’Inde au terrorisme après des années à tenter des actions militaires de faible intensité, comme, en 2016, à Uri et, en 2019, à Balakot. « [Elle] vise à créer une situation de déclenchement automatique en cas d’escalade, explique ce professeur à l’université Jawaharlal Nehru, à Delhi, dans un article publié dans India’s Wold. La doctrine indienne qui la sous-tend est qu’en menant une attaque terroriste contre l’Inde, c’est en réalité le Pakistan, son adversaire, qui déclenche un conflit militaire conventionnel. »
  6. C'est peut-être moins une défaite de la gauche qu'une perversion du libéralisme originel. On gagnerait à revenir à ses fondamentaux, c'est-à-dire Adam Smith, trop souvent réduit à la métaphore de la main invisible du marché. C'était aussi un philosophe et un moraliste, qui se posait la question des fins. À quoi sert de renforcer l'économie, demande-t-il dans "la richesse des nations"? À rendre ses citoyens plus prospères et à permettre à l'État de lever plus d'impôts pour que le plus grand nombre en bénéficie. Chez Smith, le rôle de l'État allait bien au delà des seules fonctions régaliennes et s'étendait à l'éducation ou aux infrastructure (on était fin XVIIIe). Ce qui motivait sa démarche était la lutte contre contre les grandes compagnies à monopole (les compagnies des Indes: bonjour les GAFAM). Pour tenter imparfaitement de recoller au sujet, les exigences de Trump visant à exonérer de droits de passage à Panama et Suez les bâtiments US auraient été considérés par Smith (par ailleurs farouchement anti colonialiste) comme des aberrations hautement condamnables.
  7. Ce serait je crois donner beaucoup trop d'importance à ce "fils de" qui ne représente rien d'autre que lui-même et qui se ridiculise publiquement tout seul. Le mépris, à la rigueur un peu de moquerie, sont une réaction plus adaptée. En faire plus serait s'abaisser. Même si un refus de visa et un renvoi à l'expéditeur feraient bien plaisir, gniarf gniarf
  8. "Yes to independence of french Guinea"?? Le brave homme confond Guyane et Guinée...
  9. À force d'exemptions, seules les importations chinoises de nids d'hirondelles seront taxées à 145%.
  10. Je l'avoue, ma première réaction a été de rigoler. Mais à la réflexion... La défense des symboles fait sens. Et ce n'est pas un Français qui va dénier l'importance de la préservation des traditions fromagères, non mais! J'ai la flemme de chercher, mais je suis sûr qu'on doit pouvoir trouver des tas d'exemples similaires chez nous.
  11. Ceci, convenons-en, serait assez cocasse!
  12. Voici le texte de l'article : Javier Milei et le « cryptogate » en Argentine : derrière le scandale, une manipulation à grande échelle Le président argentin est au cœur d’une tempête politique depuis qu’il a fait la promotion d’un cryptoactif dont la valeur s’est effondrée. Celui-ci a été lancé dans des conditions douteuses par un jeune Américain, qui se présente comme simple « conseiller ». Qui est responsable d’une telle débâcle ? La question est sur toutes les lèvres depuis le lancement du libra, la cryptomonnaie brièvement promue par Javier Milei, le président argentin. Son effondrement, en l’espace de quelques heures, dans la nuit du vendredi 14 au samedi 15 février, a déclenché un scandale et une enquête dans le pays, même si le chef de l’Etat nie désormais sa responsabilité et rejette la faute sur des « personnes et [des] sociétés privées ». Ce sont vers ces intérêts « privés » que se tournent désormais les regards, mais aussi la colère de milliers d’acheteurs du libra, qui auraient perdu, selon certains analystes, près de 300 millions de dollars (286 millions d’euros) dans l’opération. Mis en confiance par le soutien affiché du président en exercice, ils ont investi dans cette cryptomonnaie, alors que sa valeur était la plus haute – près de quatre dollars le jeton –, juste avant que celle-ci chute à quelques centimes de dollars, entraînée par la suppression du message initial de Javier Milei et les forts soupçons pesant sur les conditions de lancement. Un conseiller « énigmatique » Ces soupçons ont d’abord visé KIP Protocol, une entreprise qui se dit spécialisée dans le conseil en intelligence artificielle et en Web3 (un troisième moment dans l’évolution des usages sur Internet, lequel serait décentralisé et plus libre), et dont le président, Julian Peh, a rencontré Javier Milei à Buenos Aires, en octobre 2024. Le nom de KIP figure toujours en pied du site Viva La Libertad, vers lequel renvoyait le président argentin, vendredi, dans son message pour promouvoir le libra. Dans un post publié lundi sur le réseau social X, la présidence argentine accuse d’ailleurs KIP Protocol d’être un « possible responsable du crime ». A la faveur d’un communiqué, la société admet des liens et des rencontres entre ses équipes et celle de la présidence argentine, mais nie toute implication dans les aspects techniques du lancement du libra, selon elle uniquement gérés par un certain Hayden Davis. C’est lui qui se trouve désormais au cœur de l’attention. Dans une vidéo et un communiqué publiés dimanche 16 février, ce jeune Américain se présente comme un simple « conseiller » et impute la responsabilité de l’effondrement du libra au revirement de Javier Milei. Hayden Davis semble pourtant avoir joué un rôle de premier plan. Son entreprise, Kelsier Ventures, est spécialisée dans le conseil et la fourniture d’infrastructures techniques pour lancer des projets Web3. On en trouve des traces au Texas, à Dubaï ainsi qu’en Argentine (deux employés sont présents dans le pays, selon sa page LinkedIn), et deux membres de sa famille y travaillent, d’après une page officielle désormais supprimée mais dont une copie reste disponible en ligne. C’est en tant que dirigeant de Kelsier Ventures qu’Hayden Davis a rencontré Javier Milei à Buenos Aires, le 30 janvier. Le président avait alors partagé un selfie enthousiaste avec le jeune homme, évoquant leur discussion sur les technologies blockchain. Le lendemain, le quotidien argentin Clarin se demandait qui était cet « énigmatique » conseiller aux lunettes dorées, et quelles étaient ses intentions. Délit d’initié La réponse a eu lieu avec le lancement, le 14 février, du libra sur Solana, une blockchain sur laquelle s’appuie un écosystème extrêmement spéculatif. Kelsier Ventures et Hayden Davis le connaissent manifestement bien : ils présentent parmi ses partenaires, en août 2024, plusieurs noms de services reconnus ou de collections de NFT (pour non-fungible tokens, des titres numériques de propriété) lancés sur Solana. Mais c’est une interview d’Hayden Davis avec le youtubeur chasseur d’arnaques CoffeeZilla, publiée lundi 17 février, qui illustre à quel point le jeune homme est impliqué. L’intéressé y avoue, à la grande surprise de l’intervieweur, que des robots avaient été activés par les équipes de « développeurs » ayant travaillé avec Kelsier Ventures sur le projet libra, afin d’acheter automatiquement une partie des jetons dès les premiers instants du lancement. Une pratique profondément inéquitable assimilable à un délit d’initié dans le monde des affaires régulées. Elle a permis l’achat d’importantes quantités de libra par des portefeuilles de cryptomonnaies liés à Kelsier Ventures, avant que la plupart des acheteurs du jeton argentin n’en apprennent l’existence. Ce qui explique en partie pourquoi, selon BubbleMaps, une entreprise qui analyse la blockchain, une poignée de portefeuilles détenait jusqu’à 82 % des libra seulement quarante minutes après le lancement. Avant qu’une partie de ces mêmes portefeuilles retire les fonds de la circulation et, ce faisant, s’enrichisse considérablement. Des liens avec la cryptomonnaie de Melania Trump Le phénomène a par ailleurs rappelé aux observateurs d’autres mouvements de fonds suspects liés aux jetons Solana les plus connus lancés en 2025 : ceux de la famille Trump. D’après BubbleMaps, un portefeuille crypto s’étant enrichi de plusieurs millions de dollars grâce au melania, le jeton Solana de la première dame des Etats-Unis, a même servi à la création du libra argentin. Là encore, Hayden Davis a donné une explication dans son interview avec CoffeeZilla, disant avoir « fait partie » des équipes ayant lancé le melania. Dans le cas du libra, le jeune Américain a également eu recours à d’autres mécanismes plus artisanaux. Dave Portnoy, un podcasteur spécialisé dans les cryptoactifs et par ailleurs partisan de Donald Trump, a détaillé sur X comment Hayden Davis lui avait envoyé gratuitement 6 millions de libra, pour qu’il puisse promouvoir le projet. Ce que Dave Portnoy a refusé de faire, Hayden Davis lui ayant demandé de ne pas rendre public le cadeau reçu. L’intéressé n’a pas nié et a confirmé que de tels cadeaux étaient régulièrement envoyés avant des lancements à des « leaders d’opinion » dans le monde des cryptomonnaies. Il s’en est même expliqué dans une vidéo en direct avec Dave Portnoy, lundi, où il se présente désormais comme « l’ennemi numéro 1 », recevant de nombreuses « menaces de mort ». Michaël Szadkowski
  13. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/08/la-tempete-trump-une-aubaine-pour-pekin_6536867_3210.html En attendant, face à l'agitation trumpienne, les autorités chinoises semblent boire du petit lait (façon de parler, le lait n'étant guère à l'honneur dans la cuisine chinoise) :
  14. Bon sang, mais c'est bien sûr! Mille sabords!
  15. Au vu de ma très petite expérience en navigation (plaisance), la quasi impossibilité de garder un cap et les dégâts considérables provoqués le long de la coque par le frottement de la chaîne me semblent patents. Toutefois, je ne connais rien aux cargos, en dehors de l'impératif de virer de bord dès qu'on soupçonne le moindre risque de trajectoire de collision avec son voilier (priorité au plus gros, on oublie le tribord amure!)... Est-il envisageable sur un bâtiment de ce type de tracter une ancre par l'arrière ? Ou encore de laisser traîner l'ancre en marcha arrière (peu probable au vu de la perte de puissance, et je me demande si l'écubier ne se prendrait pas un sévère ragage) ?
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