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Hibernatus
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Argentine
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Voici le texte de l'article : Javier Milei et le « cryptogate » en Argentine : derrière le scandale, une manipulation à grande échelle Le président argentin est au cœur d’une tempête politique depuis qu’il a fait la promotion d’un cryptoactif dont la valeur s’est effondrée. Celui-ci a été lancé dans des conditions douteuses par un jeune Américain, qui se présente comme simple « conseiller ». Qui est responsable d’une telle débâcle ? La question est sur toutes les lèvres depuis le lancement du libra, la cryptomonnaie brièvement promue par Javier Milei, le président argentin. Son effondrement, en l’espace de quelques heures, dans la nuit du vendredi 14 au samedi 15 février, a déclenché un scandale et une enquête dans le pays, même si le chef de l’Etat nie désormais sa responsabilité et rejette la faute sur des « personnes et [des] sociétés privées ». Ce sont vers ces intérêts « privés » que se tournent désormais les regards, mais aussi la colère de milliers d’acheteurs du libra, qui auraient perdu, selon certains analystes, près de 300 millions de dollars (286 millions d’euros) dans l’opération. Mis en confiance par le soutien affiché du président en exercice, ils ont investi dans cette cryptomonnaie, alors que sa valeur était la plus haute – près de quatre dollars le jeton –, juste avant que celle-ci chute à quelques centimes de dollars, entraînée par la suppression du message initial de Javier Milei et les forts soupçons pesant sur les conditions de lancement. Un conseiller « énigmatique » Ces soupçons ont d’abord visé KIP Protocol, une entreprise qui se dit spécialisée dans le conseil en intelligence artificielle et en Web3 (un troisième moment dans l’évolution des usages sur Internet, lequel serait décentralisé et plus libre), et dont le président, Julian Peh, a rencontré Javier Milei à Buenos Aires, en octobre 2024. Le nom de KIP figure toujours en pied du site Viva La Libertad, vers lequel renvoyait le président argentin, vendredi, dans son message pour promouvoir le libra. Dans un post publié lundi sur le réseau social X, la présidence argentine accuse d’ailleurs KIP Protocol d’être un « possible responsable du crime ». A la faveur d’un communiqué, la société admet des liens et des rencontres entre ses équipes et celle de la présidence argentine, mais nie toute implication dans les aspects techniques du lancement du libra, selon elle uniquement gérés par un certain Hayden Davis. C’est lui qui se trouve désormais au cœur de l’attention. Dans une vidéo et un communiqué publiés dimanche 16 février, ce jeune Américain se présente comme un simple « conseiller » et impute la responsabilité de l’effondrement du libra au revirement de Javier Milei. Hayden Davis semble pourtant avoir joué un rôle de premier plan. Son entreprise, Kelsier Ventures, est spécialisée dans le conseil et la fourniture d’infrastructures techniques pour lancer des projets Web3. On en trouve des traces au Texas, à Dubaï ainsi qu’en Argentine (deux employés sont présents dans le pays, selon sa page LinkedIn), et deux membres de sa famille y travaillent, d’après une page officielle désormais supprimée mais dont une copie reste disponible en ligne. C’est en tant que dirigeant de Kelsier Ventures qu’Hayden Davis a rencontré Javier Milei à Buenos Aires, le 30 janvier. Le président avait alors partagé un selfie enthousiaste avec le jeune homme, évoquant leur discussion sur les technologies blockchain. Le lendemain, le quotidien argentin Clarin se demandait qui était cet « énigmatique » conseiller aux lunettes dorées, et quelles étaient ses intentions. Délit d’initié La réponse a eu lieu avec le lancement, le 14 février, du libra sur Solana, une blockchain sur laquelle s’appuie un écosystème extrêmement spéculatif. Kelsier Ventures et Hayden Davis le connaissent manifestement bien : ils présentent parmi ses partenaires, en août 2024, plusieurs noms de services reconnus ou de collections de NFT (pour non-fungible tokens, des titres numériques de propriété) lancés sur Solana. Mais c’est une interview d’Hayden Davis avec le youtubeur chasseur d’arnaques CoffeeZilla, publiée lundi 17 février, qui illustre à quel point le jeune homme est impliqué. L’intéressé y avoue, à la grande surprise de l’intervieweur, que des robots avaient été activés par les équipes de « développeurs » ayant travaillé avec Kelsier Ventures sur le projet libra, afin d’acheter automatiquement une partie des jetons dès les premiers instants du lancement. Une pratique profondément inéquitable assimilable à un délit d’initié dans le monde des affaires régulées. Elle a permis l’achat d’importantes quantités de libra par des portefeuilles de cryptomonnaies liés à Kelsier Ventures, avant que la plupart des acheteurs du jeton argentin n’en apprennent l’existence. Ce qui explique en partie pourquoi, selon BubbleMaps, une entreprise qui analyse la blockchain, une poignée de portefeuilles détenait jusqu’à 82 % des libra seulement quarante minutes après le lancement. Avant qu’une partie de ces mêmes portefeuilles retire les fonds de la circulation et, ce faisant, s’enrichisse considérablement. Des liens avec la cryptomonnaie de Melania Trump Le phénomène a par ailleurs rappelé aux observateurs d’autres mouvements de fonds suspects liés aux jetons Solana les plus connus lancés en 2025 : ceux de la famille Trump. D’après BubbleMaps, un portefeuille crypto s’étant enrichi de plusieurs millions de dollars grâce au melania, le jeton Solana de la première dame des Etats-Unis, a même servi à la création du libra argentin. Là encore, Hayden Davis a donné une explication dans son interview avec CoffeeZilla, disant avoir « fait partie » des équipes ayant lancé le melania. Dans le cas du libra, le jeune Américain a également eu recours à d’autres mécanismes plus artisanaux. Dave Portnoy, un podcasteur spécialisé dans les cryptoactifs et par ailleurs partisan de Donald Trump, a détaillé sur X comment Hayden Davis lui avait envoyé gratuitement 6 millions de libra, pour qu’il puisse promouvoir le projet. Ce que Dave Portnoy a refusé de faire, Hayden Davis lui ayant demandé de ne pas rendre public le cadeau reçu. L’intéressé n’a pas nié et a confirmé que de tels cadeaux étaient régulièrement envoyés avant des lancements à des « leaders d’opinion » dans le monde des cryptomonnaies. Il s’en est même expliqué dans une vidéo en direct avec Dave Portnoy, lundi, où il se présente désormais comme « l’ennemi numéro 1 », recevant de nombreuses « menaces de mort ». Michaël Szadkowski -
Chine
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/08/la-tempete-trump-une-aubaine-pour-pekin_6536867_3210.html En attendant, face à l'agitation trumpienne, les autorités chinoises semblent boire du petit lait (façon de parler, le lait n'étant guère à l'honneur dans la cuisine chinoise) : -
Suède
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Bon sang, mais c'est bien sûr! Mille sabords! -
Finlande
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Au vu de ma très petite expérience en navigation (plaisance), la quasi impossibilité de garder un cap et les dégâts considérables provoqués le long de la coque par le frottement de la chaîne me semblent patents. Toutefois, je ne connais rien aux cargos, en dehors de l'impératif de virer de bord dès qu'on soupçonne le moindre risque de trajectoire de collision avec son voilier (priorité au plus gros, on oublie le tribord amure!)... Est-il envisageable sur un bâtiment de ce type de tracter une ancre par l'arrière ? Ou encore de laisser traîner l'ancre en marcha arrière (peu probable au vu de la perte de puissance, et je me demande si l'écubier ne se prendrait pas un sévère ragage) ? -
Opérations au Mali
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
La junte coupe les ponts avec les sociétés étrangères (occidentales, en tous cas), semble-t-il... https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/01/17/au-mali-comment-la-junte-impose-aux-groupes-etrangers-sa-souverainete-retrouvee-sur-les-mines-d-or_6502962_3212.html Au Mali, comment la junte impose aux groupes étrangers sa « souveraineté retrouvée » sur les mines d’or Les autorités ont engagé un bras de fer avec la compagnie canadienne Barrick Gold. Celle-ci a annoncé suspendre ses opérations à Loulo-Gounkoto, l’un des plus grands gisements aurifères d’Afrique. Les deux hélicoptères de l’armée de l’air se sont posés aux abords de la mine de Loulo-Gounkoto, dans le sud-ouest du Mali, samedi 11 janvier au petit matin. A leur bord, une vingtaine de militaires armés. Ils sont venus saisir trois tonnes d’or sur ordre de la justice malienne, en litige fiscal avec la société canadienne Barrick Gold, qui exploite le site depuis 2018. Il s’agit de l’un des plus grands gisements aurifères d’Afrique et du plus important du pays : en 2023, la mine de Loulo-Gounkoto a produit 19 tonnes d’or, soit près d’un tiers de la production totale du Mali, évaluée à 65 tonnes. Cette saisie est une première. Dans leurs relations parfois tumultueuses avec les compagnies minières étrangères, jamais les autorités maliennes, civiles ou militaires, n’avaient procédé à un tel geste. Le soir même, l’or saisi, d’une valeur de 250 millions de dollars (plus de 240 millions d’euros), a été transféré à la Banque malienne de solidarité (BMS), un établissement d’Etat, à Bamako. Pour les dirigeants de Barrick Gold, cette nouvelle mesure de rétorsion est celle de trop : dans la foulée, ils ont annoncé la suspension de leurs opérations à Loulo-Gounkoto, mettant leurs 8 000 employés et prestataires locaux au chômage technique. Depuis le coup d’Etat qui lui a permis d’accéder au pouvoir, en 2020, le général Assimi Goïta promet aux Maliens la « souveraineté retrouvée ». Credo au nom duquel il a justifié la rupture des relations avec la France et exigé le départ des soldats de la force « Barkhane » en 2022. Il souhaite aussi tirer un plus grand profit des mines d’or, première source de revenus du pays, qui sont en grande majorité exploitées par des sociétés étrangères. Fin 2022, les autorités ont lancé un audit du secteur qui a révélé, selon le ministère de l’économie et des finances, un « manque à gagner » se situant « entre 300 et 600 milliards de francs CFA » (entre 450 et 900 millions d’euros). Rééquilibrage En août 2023, un nouveau code minier, bien plus contraignant pour les entreprises étrangères, a été promulgué. Il impose une hausse conséquente des différentes taxes, permet à l’Etat de prendre jusqu’à 30 % des parts de chaque mine et oblige les sociétés à verser leurs bénéfices sur des comptes bancaires au Mali. « Avec ce code, l’Etat gagnera plus que les sociétés minières dans la plupart des mines. Pour elles, c’est financièrement très difficile à supporter », assure un entrepreneur du secteur. Ce changement de règles fait débat. Pour certains, ces charges sont telles qu’elles dissuadent tout investisseur étranger de venir travailler au Mali. Pour d’autres, c’est un juste rééquilibrage des choses après des décennies d’un système favorable aux sociétés minières. « Il y a un problème fondamental sur ce que gagnent les pays africains avec leurs matières premières. Ce n’est pas équitablement partagé. Les entreprises minières et pétrolières se sont souvent beaucoup enrichies au détriment des Etats », reconnaît une source française qui connaît bien le domaine. Barrick Gold est la dernière entreprise étrangère à faire de la résistance, refusant de se plier aux nouvelles règles minières et à ce qu’elle considère comme un chantage, voire de l’extorsion, de la part des militaires au pouvoir à Bamako. Ces derniers ont donc renforcé leurs mesures de rétorsion et ont engagé en 2024 un important redressement fiscal (à hauteur de 500 millions d’euros, selon l’agence Reuters) contre la compagnie canadienne, interdite d’exporter son or du pays depuis bientôt deux mois. Après l’échec de négociations à l’amiable durant le second semestre 2024, au cours desquelles Barrick Gold a proposé le versement de 370 millions d’euros en différentes tranches aux autorités maliennes, les relations se sont tendues un peu plus. Fin novembre, quatre de ses employés maliens ont été arrêtés et inculpés à Bamako. Ils sont toujours en détention. Début décembre, la justice malienne a émis un mandat d’arrêt national contre Mark Bristow, le PDG sud-africain de Barrick Gold. Demande d’arbitrage Ces mesures fortes ont conduit les dirigeants du groupe à utiliser l’ultime recours, que « les miniers font généralement tout pour éviter en cas de contentieux avec leurs pays hôte », selon un avocat spécialisé : une demande d’arbitrage auprès du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (Cirdi). Le jugement dans cette affaire, en cours de procédure devant cette institution liée à la Banque mondiale, ne devrait pas être connu avant plusieurs mois. Deux hommes, qui conseillent les autorités maliennes sur les affaires minières, jouent un rôle déterminant dans cette restructuration en cours : Mamou Touré et Samba Touré. Ce binôme, qui n’a pas de lien de parenté, dirige le cabinet de conseil Iventus Mining. Après avoir été choisis pour piloter l’audit du secteur en partenariat avec Mazars, en 2022, ils ont formulé plusieurs recommandations, dont l’adoption du nouveau code minier, qu’ils ont contribué à élaborer. Leurs travaux les ont rapprochés d’Alousséni Sanou, le ministre de l’économie et des finances, lui-même réputé très proche du président de la transition, Assimi Goïta. Ils sont aujourd’hui membres de la nouvelle commission de négociation et de renégociation des permis miniers, fonction stratégique à laquelle Samba Touré ajoute la casquette de président du conseil d’administration de la Société de recherche et d’exploitation des ressources minérales du Mali (Sorem), l’entreprise publique mise sur pied pour superviser les affaires minières dans le pays. Avant de fonder Iventus Mining, Mamou Touré et Samba Touré ont travaillé pour Randgold Resources, entreprise rachetée par Barrick Gold en 2018 et alors dirigée par un certain… Mark Bristow. Respectivement directeur de la mine souterraine et directeur des opérations à Loulo-Gounkoto, ils auraient, selon plusieurs sources, quitté l’entreprise en mauvais termes avec M. Bristow. Une vieille brouille qui pousse aujourd’hui certains à voir aussi un règlement de comptes personnel dans la crise entre les autorités maliennes et Barrick Gold. Sociétés russes Les dirigeants maliens n’ont pas l’intention de céder. « Arbitrage du Cirdi ou non, ils s’en moquent, estime un homme d’affaires bamakois. Tant que Barrick Gold ne se plie pas à leurs conditions, ils ne lâcheront pas. » Avec en tête l’idée de remplacer les Canadiens à Loulo-Gounkoto. Reste à savoir par qui et sous quelle forme. De fait, la procédure en cours devant le Cirdi limite drastiquement la liste des potentiels repreneurs ou sous-traitants étrangers, en raison des trop grands risques financiers et réputationnels. « Aucun investisseur sérieux ne va se positionner sur une mine en arbitrage, aussi juteuse soit-elle », affirme un collaborateur de groupes miniers. Selon plusieurs sources locales, les autorités maliennes aimeraient reprendre elles-mêmes la gestion de la mine. « Elles sont convaincues qu’elles ont les capacités humaines, grâce à leurs nombreux cadres dans le secteur, pour la faire tourner », indique un expert régional. Autre option : se tourner vers les quelques partenaires qui ne craignent pas les instances de régulation internationale. Premier d’entre eux, la Russie, principal allié du Mali depuis qu’il est dirigé par les militaires putschistes. Dès 2022, Sergueï Laktionov, alors géologue en chef du Groupe Wagner dans le pays, avait clairement exprimé auprès des autorités maliennes ses vues sur le permis d’exploitation de Loulo-Gounkoto. A ses yeux, le site, déjà opérationnel, présentait notamment l’avantage de ne pas nécessiter de gros investissements d’exploration et d’infrastructures, avec à la clé des bénéfices à moindre coût. En parallèle, Wagner avait créé deux sociétés minières au Mali, Alpha Development et Marko Mining. Cette dernière semble toujours active : le 7 novembre 2024, les autorités britanniques l’ont placée sur leur nouvelle liste d’entités russes sous sanctions. Benjamin Roger -
Allemagne
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Oh, tu ne m'as pas entendu parler anglais, toi ! Excusez-moi, je sors très vite ----->... -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Alors celle-là je l'adore! Admettons que le Principauté de Monaco décide de solder une centaine de fiers troupiers l'année prochaine. Population active de Monaco : 33500 pékins (données 2020). Le rapport armée / pop active devient impressionnant. GO MONACO GO GO GO ! MONACO WILL RULE THE WORLD ! -
Israël et voisinage.
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Le voici : -
Bielorussie. Présent et avenir.
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Politique etrangère / Relations internationales
Mais l'anglais lui-même est en danger: il se transforme en globish. Ce n'est peut-être qu'une victoire à la Pyrrhus... -
Ou une incidence sur le soutien à Trump. J'ai peur que ce soit du pain béni pour le bonhomme.
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turquie La Turquie
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de madmax dans Politique etrangère / Relations internationales
Ils font bien partie de l'OTAN, ce qui ne les empêche pas de jouer sur beaucoup de tableaux contradictoires, tout en ayant quelques fortes bisbilles avec la Grèce ou la France. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Une blague de l'époque soviétique me revient à l'esprit : Question posée à un Polonais : les Russes sont-ils de frères ou des amis ? Réponse : des frères. Les amis, on les choisit. -
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
J'étais persuadé qu'on était samedi, mais si j'en crois les derniers posts on doit être vendredi... Je téléphone à mon chef pour savoir si je n'ai pas indûment séché un jour de boulot ! -
Israël et voisinage.
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Sans doute, mais on est sur le fil 'Israël et voisinage" -
Israël et voisinage.
Hibernatus a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Mais cela n'a rien à voir. Le vote majoritaire en faveur de Zemmour chez les Franco-Israeliens est un marqueur assez franc de l'ambiance idéologique à l’œuvre, sinon en Israël, au moins dans la communauté israélienne d'origine française.