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Manuel77

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    Male
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    La Hesse
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    Germany

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  1. Le mieux serait d'offrir Novo Nordisk au clan Trump, cela le calmerait. Ou au moins un stock à vie d'Ozempic en ampoules dorées.
  2. Il doit être GRAND, DOREE et BAROQUE !
  3. En Allemagne, on s'interroge sur deux revirements surprenants de la politique étrangère de Meloni. Tout d'abord, il faut noter que jusqu'à présent, la coopération avec Meloni s'est déroulée de manière étonnamment harmonieuse pour l'Allemagne. Mais aujourd'hui : 1. Meloni exprime ses réserves quant à la confiscation des fonds russes, encouragée par le gouvernement allemand. 2. Meloni souhaite reporter la décision concernant Mercusor, qu'elle juge précipitée (nous négocions depuis seulement 27 ans). Il existe deux théories à ce sujet en Allemagne : 1. Meloni est vexée de ne pas avoir participé aux négociations sur l'Ukraine au format E-3 (Allemagne, France, Grande-Bretagne). 2. Meloni veut négocier des avantages pour l'Italie, car le cadre général du budget de l'UE sera bientôt discuté. @gianks Ton avis m'intéresse.
  4. Manuel77

    Luftwaffe

    Mon père est né en Sarre (à Völklingen/Lauterbach), à cause de sa mère. Je suis donc pour un quart sarrois (devise : l'essentiel, c'est d'avoir bien mangé) et pour trois quarts hessois/westerwaldois (devise : Dieu a créé cette région dans un accès de colère, car il n'y a ici que du basalte et du vent froid).
  5. Manuel77

    Luftwaffe

    Si tu te diriges légèrement vers l'ouest depuis le centre de la Hesse, tu arrives à Weilburg.
  6. Manuel77

    Luftwaffe

    Mouvement aérien inhabituel juste au-dessus de ma maison : un Eurofighter isolé volant à basse altitude, lentement et en décrivant des courbes. Remarquablement silencieux. Ciel nuageux. Normalement, on ne voit ici que des Tornados. Ces dernières années, on voit aussi des jets même par mauvais temps.
  7. Oui, mais c'est précisément pour ces raisons qu'il ne prononcera peut-être pas de grand discours dans lequel il développera une vision pour la politique étrangère allemande. Il a joué un rôle déterminant dans la politique étrangère allemande pendant de nombreuses années, et on le tient pour responsable de son échec. Il est un peu comme un canard boiteux, un poids du passé.
  8. Mais il faut rester juste. On argue souvent ici, dans ce forum, contre l'UE en tant qu'instrument des intérêts allemands, en faveur d'une coopération nationale sous d'autres formes. Renforcer l'Europe en renforçant chaque nation. Lorsque l'Allemagne, exceptionnellement, s'exprime en dehors du cadre de l'UE, on crie au scandale... damned if you do, damned if you don‘t… Mais il est vrai que, selon la déclaration de Merz, les États-Unis devraient négocier directement avec l'Allemagne et non avec l'UE s'ils ne l'apprécient pas, ce que nos médias ont critiqué et mis en garde contre le retour de la « question allemande » en Europe. (La « question allemande » a historiquement deux significations : d'une part, la forme que doit prendre l'unification de l'Allemagne, d'autre part, le rôle de l'Allemagne en Europe).
  9. Eh bien, objectivement, ils ont toujours d'excellentes conditions s'ils agissent avec sagesse sur le plan politique. Ils ont un énorme potentiel pour taxer leurs riches. Ils ont un énorme potentiel pour améliorer l'assurance maladie et l'éducation, etc. Tout est entre leurs mains s'ils en ont la volonté politique. Il suffit d'avoir un gouvernement plus compétent. Un plaisantin a dit un jour (mais il y a du vrai dans cette affirmation) qu'il est incroyablement facile de réformer un État avec succès, car il est incroyablement inefficace. Essayez de rendre Lidl plus efficace, bonne chance.
  10. C'est drôle, Bernard a été inventé par DeepL, cela ne figure pas dans l'article original. Parfois, le logiciel fait des erreurs bizarres qui, dans le pire des cas, inversent complètement le sens d'une phrase.
  11. Le plus grand journal conservateur allemand. Macron semble vouloir sauver le projet et a nommé une diplomate expérimentée (Alice Rufo) aux côtés de la ministre de la Défense. https://archive.is/vvUD2#selection-2429.0-2437.305 Une dernière tentative pour sauver le FCAS Lors d'une réunion confidentielle à Berlin, les ministres de la Défense allemand, français et espagnol discutent du projet de plusieurs milliards d'euros visant à développer un avion de combat commun. Ce projet est menacé de liquidation. Lors d'une réunion à Berlin, les ministres de la Défense français, espagnol et allemand ont examiné les perspectives d'avenir du projet commun d'avion de combat de dernière génération. Ces discussions confidentielles avaient pour but d'élaborer des propositions à l'intention des chefs d'État et de gouvernement afin de sauver le projet ou de le liquider sans trop de dommages politiques. Après les discussions, la France a déclaré avoir « réaffirmé sa volonté de poursuivre le travail commun sur le FCAS afin de disposer d'ici 2040 d'un avion et d'un système de combat aérien du futur ». Le projet « Future Combat Air System » (FCAS) a été lancé il y a huit ans par les chefs d'État et de gouvernement de l'époque, Emmanuel Macron et Angela Merkel, puis l'Espagne s'y est jointe. L'objectif du projet est de remplacer dans les années à venir les avions de combat Eurofighter et Rafale de quatrième génération par un avion commun de sixième génération. En outre, un char de combat commun (MGCS) doit être construit. À Berlin, on ne s'attendait plus à ce que le projet soit mis en œuvre. Cependant, depuis le début de la phase de projet pour ce projet de 100 milliards d'euros, des divergences existent quant à la répartition des parts entre les usines allemandes d'Airbus et le constructeur aéronautique privé français Dassault. Son PDG, Éric Trappier, avait réclamé des parts plus importantes pour son entreprise. Airbus a également rencontré des obstacles, les intérêts économiques bavarois étant également défendus avec véhémence en coulisses. À Berlin, on ne s'attendait plus à ce qu'un accord soit trouvé, d'autant plus que l'introduction prévue à partir de 2040 ne correspond pas à l'évaluation des risques en matière de politique de sécurité du gouvernement fédéral allemand et de l'OTAN. Une coopération avec la Suède, qui travaille également au développement d'un avion de combat moderne et dispose d'une industrie de l'armement performante dans ce domaine, serait également envisageable. Jeudi soir, le ministre de la Défense Boris Pistorius (SPD) a d'abord reçu sa nouvelle collègue Catherine Vautrin avec les honneurs militaires. Du côté français, un vent d'optimisme soufflait sur les discussions. Cela était principalement dû au travail préparatoire accompli par Alice Rufo avec son homologue allemand Jens Plötner. Âgée de 45 ans, cette diplomate de carrière fait depuis longtemps partie du cercle restreint des collaborateurs de Macron et suit le plus grand projet d'armement franco-allemand depuis ses débuts en 2017. Merz et Macron doivent prendre une décision En poste depuis octobre, Catherine Vautrin est encore en phase d'apprentissage. La presse française s'est moquée de ses premières apparitions médiatiques, car elle souhaitait faire atterrir le nouvel avion de combat Next Generation Fighter (NGF) sur des frégates plutôt que sur des porte-avions. La ministre de 65 ans a également semé la confusion en affirmant que l'Allemagne ne pouvait pas construire seule un avion de combat. Cela correspond certes à peu près à la perception de l'entreprise d'armement Dassault. Mais la déclaration de Mme Vautrin contredisait le souhait de M. Macron de faire enfin avancer ce projet de plusieurs milliards. Depuis 2017, le FCAS est la réponse concrète au discours de Macron à la Sorbonne, dans lequel il appelait à l'autonomie stratégique de l'Europe. Plusieurs propositions sont sur la table dans la recherche de solutions, mais la décision finale reviendra à Macron et Merz, qui doivent se rencontrer la semaine prochaine. La division en trois parties de la direction du projet, telle qu'elle a été décidée en 2019 avec l'adhésion de l'Espagne, est donc remise en question. Pour Macron, c'est son héritage qui est en jeu En France, on reproche certes au PDG de Dassault, Bernard Trappier, d'avoir exagéré dans ses critiques, mais on comprend tout à fait son souhait d'une répartition des tâches axée sur la performance. « Si nous voulons les meilleurs avions, nous devons choisir en fonction des compétences, et non selon des critères politiques », a déclaré Bernard Trappier à l'Assemblée nationale. Les députés ne se soucient que de savoir si leur circonscription est desservie, et non quelle entreprise est la plus compétente. Le PDG de Dassault a souligné les mauvais résultats obtenus par la répartition purement proportionnelle des contrats, par exemple dans le cas de l'hélicoptère de combat Tigre. À l'Assemblée nationale, il a également souligné que la France était capable de construire seule un avion furtif de sixième génération. À Paris, on n'est guère favorable à l'idée de ne construire en commun que les drones et les systèmes électroniques interconnectés, mais pas l'avion. Cela soulèverait de nouvelles questions concernant la transmission d'informations confidentielles. On dit que Dassault pourrait s'accommoder de construire le démonstrateur de l'avion avec une part de 50 % dans la deuxième phase du projet jusqu'en 2028. L'important est que l'efficacité et la qualité priment sur l'ancrage géographique ou la nationalité. Pour le président Macron, ce projet est également en jeu pour son héritage : il veut entrer dans l'histoire comme le chef d'État qui a fait progresser de manière décisive l'autonomie européenne en matière de sécurité et de défense. L'Espagne se sent parfois comme un partenaire mineur, car tous les regards sont tournés vers Paris et Berlin. Pourtant, en novembre dernier, le gouvernement de Madrid a clairement montré qu'il maintenait son engagement dans le projet en signant deux nouveaux contrats d'une valeur de 700 millions d'euros. « Nous ferons tout pour que ce projet soit couronné de succès », avait alors déclaré la ministre de la Défense Margarita Robles. Elle avait exhorté la France et l'Allemagne à faire des efforts pour construire l'avion de combat européen, car il s'agissait d'un projet fondamental pour les forces armées espagnoles et l'industrie de la défense : « Nous en avons besoin », avait déclaré Mme Robles. Le ministère espagnol de la Défense avait déjà promis 2,5 milliards d'euros sur cinq ans pour le développement de l'avion de combat. Cela devrait créer environ un millier d'emplois en Espagne, dont 400 chez le groupe d'armement Indra, qui coordonne le projet en Espagne.
  12. Mais nous pourrions, à titre de compromis, créer une toute petite catégorie consacrée à la politique française, à laquelle seuls les participants étrangers au forum auraient accès. Nous promettons également de ne rien écrire sur Dreyfus ou sur l'âge de la retraite en France, qui nous semble approprié...
  13. Mais cela ne concerne pas seulement la classe dirigeante, cela concerne l'ensemble du peuple. Tout doit maintenant être réévalué, cela prendra au moins 10 ans.
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