
Lathan
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Alexandre prit la route de Babylone, longea l'Euphrate, puis fit parvenir aux chefs des révoltés par des messagers l'annonce de sa victoire, et de sa volonté de soumission immédiate des révoltés sous peine de chatiments ou d'exils, dont les chefs avertit acceptèrent tous leur défaite irrémédiable. Ils furent simplement écartés des postes de pouvoirs et remplacés... Alexandre prit Tyr après un long siège, après un rève ou il vit Hercule lui ouvrir les portes de cette ville. ( Authentique ) Il descendit en Egypte, fut couronné pharaon, et fit batir le phare d'Alexandrie, puis, repartit vers la Perse ou il prit Persépolis. Huit ans furent nécessaire pour la conquete de la Perse. L'armée Perse fut incapable de résister et évita le combat. Il combattit le roi indien Poros sur les rives de l'Hydaspe. Puis, les troupes lassés, refusèrent de continuer. Le retour ce fit le long de la mer d'Oman et du Golfe Persique. Arrivé à Suse, Alexandre prit d'une grave fièvre et voyant sa fin proche, répondit au général qui voulait connaitre son succésseur : "Au plus fort." ( Authentique ) Ainsi, la lutte pour le pouvoir entre généraux commença, et l'empire fut divisé en autant de concurrent prétendant au trone suprème.
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Je ne vais que m'intéresser au front de l'est. Meme en admettant que les Allemands aient disposés du carburant nécessaire et que l'ouest devait rester passif, le manque de divisions a l'est forçant a choisir qu'un seul axe d'éffort, un front s'appuyant sur la Dvina, l'autre sur le marais du Pripet et les Carpates et sur un obstacle naturel, avec des forces justes suffisantes pour tenir un délai de plusieurs mois pour le sud, rend dangeureuse cette stratégie et ayant de surcroit a partir de Vitebsk une pointe s'étendant sur 500 Kms jusqu'à Moscou, traversant la Ligne Staline en étant optimiste, avec les flancs continuellement menacé par un ennemie reprenant ses esprits et ayant une certaine liberté d'action du fait que les flancs Allemands doivent rester sur leurs positions, nécessite continuellement un prélèvement important au dépend de la force principale a mesure de leur progression sur le territoire Russe, donc ce ralentissant devant la résistance Russe qui s'oppose aussi à la prise de leur capitale, devant les pertes, avec un matériel Allemand inférieur a celui de 1941, ferait qu'il atteindrait la capitale en restant optimiste avec des forces probablement juste suffisante pour s'opposer aux défenseurs, ou bien si la chance est toujours avec eux, atteindre leur but par sa prise, ne signifierait pas pour autant la capitulation de la Russie. Staline s'y opposerait. J'ai fait simple pour la stratégie, car le flanc nord pouvait dans une certaine mesure assez limité agir pour un temps pour géner l'intervention Russe contre le flanc nord du front centre avançant en pointe, en le protégeant seulement qu'en partie sur une certaine longueur. Le danger le plus important viendrait du front sud Russe qui pouvait au choix, soit conjugué ses efforts contre le front centre ennemi, soit attaquer environ la vingtaine de divisions Allemande du front sud, point faible du dispositif Allemand d'après les forces qu'ils disposeraient au départ, avec des forces trés supérieures a l'adversaire attaquant sur des points particuliers, ce renforçant continuellement contre ce front, pouvant trés probablement l'enfoncer, menaçant alors tout le front centre enfoncé en Russie, pouvant avant cela faire jusqu'à hésiter a poursuivre leur route vers Moscou car risquant d'etre coupé de leur base et encerclé. Je doute que le front sud tiendrait longtemps, d'autant que la pression Russe s'accentuerait continuellement partout contre les Allemands, les obligeant a garder des forces pour ne pas être enfoncé et limitant les renforts pour le sud menacé. Mais en admettant qu'il tienne jusqu'à la prise de Moscou, la Russie a des ressources considérable, donc rien n'oblige Staline a abandonner la partie. Au contraire, la première partie étaient en faveur des Allemands dans l'option optimiste, la seconde sera en faveur des Russes, d'autant que leur front nord et sud étant libre de la tutelle Allemande et possédant un certain vivier de population plus ou moins nombreuse, le choc en retour serait d'autant plus fort et rapide, avec une industrie encore sur place, donc, moins loin pour renforcer ses armées. Sans compter l'aviation sans sa doctrine, les chars bien inférieur en nombre et en qualité a ceux de 1941, provoquant moins de dégâts important, ayant un manque de maitrise du ciel aussi important et tendant nettement a être plus égalisé, pénaliserait l'offensive, la ralentissant et occasionnant bien plus de pertes, situation qui ne ressemblerait pas a la guerre éclair aussi rapide que 1941, dont profiteraient les Russes. Donc, je ne vois pas d'issue favorable pour l'Allemagne à l'est. Malgré sa faiblesse apparente en 39, l'espace et le temps travaille plus rapidement de fait en faveur des Russes, rendant sa conquête difficile, d'autant que les communications sont moins nombreuses et qu'une grande partie du territoire pris en 41 demeure libre, travaillant a l’effort de guerre Russe qui pourrait ce relever plus vite. Et je n'ai pas parlé des troupes sibériennes qui auraient mit inexorablement fin a l'avancée Allemande déja devant Moscou, et contre attaqueraient victorieusement en leur infligeant des pertes considérables et auraient mit trés certainement fin a la campagne, l'armée Allemande n'étant pas aussi puissante qu'en 41.
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La bataille de Suse 30 Mai 331 : Comme c'est dans la plaine, j'ai utilisé un fond blanc pour placer les troupes, ce qui reviendrais au meme sur le terrain mais serait moins visible. Les armées sont dans l'exacte proportion pour les étendu pour les Perses présentant un front de 1300 mètres, et tous sur dix rangs de profondeur, et pour les macédoniens, de 8 rangées... La cavalerie Perse est en carré et a bonne proportion selon leur forces, de meme celle des Macédoniens. En bleu sont les frondeurs et les archers ( 8 000H ) ( qui ont tenu tete a la cavalerie Perse à Gaugamèles et a l'infanterie.) Le trait rouge plus épais, représente la Phalange sur dix rangées au lieu de seize, pour constituer avec les Hypaspistes ( 3000 élites ) une réserve de 6 500H qui interviendront en tout ou partie sur l'une des ailes, selon la situation ou bien achèvera plus complètement l'adversaire. En tireté rouge, la forme que prendra en gros l'armée Macédoniene dans un deuxième temps et du a l'effet de la phalange, entre autres. Je rappelle, la droite d'une armée a cette époque est calqué sur la religion qui indique que la gauche est mauvaise, donc, de mauvaise troupes y sont installées, et la droite de bonnes troupes, le centre, représentant l'équilibre ou son placés les 10 000 Immortels. ( Authentique ) En marron, et devant les Immortels, les frondeurs et archers Perses. La fuite du Roi, signifiant que les Dieux ont décidés du vainqueur, toute résistance devient inutile, et sera la cible d'Alexandre pour influer sur le sort de la bataille. Je vous fais grace de la charge des 200 chariots a faux qui ont été rapidement éliminés ou pour éviter le choc les troupes se sont écartés sur leurs passages pour ce refermer derrières...( Authentique.) Alexandre a étendu son armée exprès ( 53 000H dont 42 700 fantassins ) pour forcer Darius a en faire autant, ( 130 000H dont 115 000 fantassins ) et le souvenir de ses généraux Perses lui rappelant les Macédoniens attaquant les ailes, l'a obligé a les renforcer par une seconde ligne, et la cavalerie Macédoniene au centre, ( 10 000H ) l'a forcé a diviser la sienne en deux partie égale de 7 500H pour protéger ses flancs. Désormais, Alexandre détient la supériorité et le choix de frapper sur l'aile qu'il souhaite en attaquant la cavalerie Perse. ( mais n'oublions pas que la gauche Perse est formé des plus mauvais éléments a cause de la religion qui prévot alors dont l'armée ce calque dessus. ) ( Authentique. ) Dans la flèche 1, 9 000 cavaliers Macédoniens divisé en deux partie attaque les 7 500 cavaliers Perses en deux étapes, la moitié intervient d'abord et la fixe, la seconde, dans la flèche 2, il la contourne et lui tombe dans le dos dans un mouvement tournant et les flèche 3, constituée des 1700 compagnons d'élite, elle poursuit sa route et attaque Darius qui prend la fuite, ce qui signe l'arrèt décisif de la décision des Dieux ayant tranchés en faveur d'Alexandre, ou le moral Perse, comprenant que leur sort est désormais scellé subit une baisse de moral considérable. ( Que la cavalerie Perse a gauche ce déplace ou pas avec l'infanterie ne changera rien au résultat. C'est pourquoi je l'ai laissé sur place. ) Dans le meme temps, l'armée Perse s'avance en flèche 1, mais l'armée Macédoniens pivote en s'appuyant sur la gauche de son armée et avance sa droite, la plus forte avec la phalange. La cavalerie Perse a droite attaque et menace de tourner le front, flèche 1, mais celui ci, recule pour former un arc de cercle, s'appuyant sur les 4 000 archers qui répondent a l'attaque, flèche 2, et les 1000 cavaliers Macédoniens restés en réserves les rejoignent et tombe en partie sur leur flanc et leurs dos, contenant largement l'ennemi. Flèche 3. C'est dans ce moment qu'interviendront les archers et Frondeurs ( en bleu ) pour attaquer et fixer cette partie du front Perse, accompagné par la phalange ( flèche 5 ) et le reste de l'armée qui pivote et ce présente en biais contre l'ennemi, et faisant reculer l'adversaire sur ce point et finira par percer ce front. Pourquoi la seconde ligne Perse a droite du dispositif n'a pas suivit le mouvement ? Car Alexandre dans cette manoeuvre éffectuée trés rapidement puisqu'il a évité le combat contre l'ennemi jusqu'a maintenant, ce présente au centre ( flèche 4 ) avec 1700 cavaliers d'élite de choc, chassant Darius du champ de bataille, et le danger que représente cette cavalerie est loin d'etre négligeable, la force a ne pas présenter ses arrières et donc, a ne pas contourner l'armée Macédoniene, qui était prévu au départ, et bénéficiant de cet avantage, il va continuer sa route pour détruire rapidement la seconde cavalerie Perse en lui tombant dans le dos. Les deux cavaleries Perses subiront rapidement d'importantes pertes. La réserve donnera a la fin et complèteront la victoire, que ce soit a droite comme a gauche. En tenant compte de la bataille de Gaugamèles, estimant vers 50 000H les pertes des Perses et a 1 a 7000H celles des Macédoniens en comptant les bléssés, j'estime en gros, que cette bataille peut avoir couter près de 40 000H aux Perses, vu la confusion, la panique et la percée par la phalange détruisant une bonne partie de l'aile gauche Perse, et en prenant en compte le combat frontal. Quand a la cavalerie perse, j'estime que moins de 6000H peuvent avoir réchappé sur les 15 000H au départ. Ce qui totaliserait environ de 45 a 48 000H. Et les Macédoniens, de 1000 a 5 000 morts et blessés. Conséquence de la bataille : 65 a 68 000 Perses retraite vers Persépolis, leur capitale, sans espoir d'y trouver refuge, le moral en berne, et n'avoir plus le temps de créer une nouvelle armée. Ce qui signifie, la fin de leur empire. Pour Alexandre, c'est une victoire décisive, l'ennemi ne pourra ce relever d'un tel coup. Mais il ne peut exploiter sa victoire car les révoltes fomentés par des satrapes en Egypte et ses arrières l'oblige a reprendre la route inverse, et son ravitaillement est menacé. Heureusement, dans sa retraite, l'ennemi a du abandonner une partie de son approvisionnement, de sorte que l'armée a assez de réserves pour réussir dans son entreprise, d'ou une des raisons d'accepter la bataille pour Alexandre, et que la nouvelle de sa victoire le précédant, calmera rapidement ses ennemis qui ce relèvaient. Voici le parcours d'Alexandre et la carte de ses conquetes :
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L'attente stratégique : Le temps passé dans l'Anatolie ( Asie Mineure ) Alexandre confia a des Satrapes Perses, des postes de pouvoir afin de controler les régions et mit en place un système de surveillance très efficace pour s'assurer de leur loyauté et prévenir toute rébellion, sauf dans les régions stratégique passés sous controle Macédoniens. Pendant l'hiver, il transforma toute sa cavalerie lourde pour en faire une cavalerie de choc, a l'image de celle des Compagnons, et possédant tous une longue lance. Il disposait d'un vaste réseau d'informateurs, tant en Macédoine que dans les provinces conquises, qui lui permettaient de surveiller les activités des satrapes et de détecter toute menace potentielle. Il enrola nombre de cavaliers Cappadocien réputé pour leurs capacités aux combat. ( La cavalerie cappadocienne était considérée comme une force d'élite. ) 5 000 hommes intégra sa cavalerie. Son armée totalisa 37 700H et 10 300 cavaliers. Il envoya un message pour le Pharaon en place, figure symbolique que les Perses avaient laissé a l'Egypte afin de faciliter la transition culturelle et leur domination, lui assurant de son amitié, préparant ainsi les lendemains pour sa conquete. Arriva le début du Printemps 331 Av JC. Alexandre ne bougea pas pour plusieurs raisons. La Grèce commençait a remuer, Thèbes, Athene et Sparte devenaient menaçante. Son meilleur général, Antipatros ( avec Parménion. Authentique ), avait levé jusqu'à 30 000 mercenaires, ayant sous son commandement 43, 500H dont 4 000 cavaliers. Rome venait de s'emparer des conquètes qu'Alexandre avait fait en Italie, profitant de son engagement contre les Perses qui l'éloignait fort loin de ce lieu, et dont il y avait tout lieu de croire dans leurs esprits qu'il n'y avait pas a redouter le retour du conquérant. Les Perses avait peut etre eu le temps de lever une nouvelle armée selon son calcul depuis leur défaite au Golfe Maliaque, en Grèce, et vouloir s'engager en Syrie jusqu'en Egypte au risque d'etre bloqué au retour par des forces trés supérieures sur d'excellente positions, voire battu, anéantirait tous les éfforts entreprit jusqu'ici, et la mauvaise situation en Grèce devait etre réglé rapidement, sous peine de devoir revenir en personne remettre l'autorité Macédoniene en place en battant ses adversaires. Et s'il devait y avoir bataille avec les Perses, mieux valait dans ces conditions les attendre. Du coté des Perses, Memnon de Rhodes était mort pendant l'hiver. Leur meilleur stratège n'était plus. ( Historiquement, il était mort en 333. ) Bessus et Mazaios lui succédèrent et reçurent le commandement de la cavalerie Perse, Darius, a la tete de la nouvelle armée montant a 85 000H au lieu des 60 prévu, plus les 45 000H de feu Memnon de Rhodes qu'il avait ramené, totalisait 130 000H, dont 15 000 cavaliers. Les stratèges lui conseillèrent d'attendre Alexandre derrière le Tigre, mais le Roi des Rois s'y opposa, préférant le combattre, ou devant une pareille force qu'Alexandre n'avait jamais eu a affronter, devrait céder, d'autant qu'il avait 200 chariots à faux qui devrait faire beaucoup de mal en désorganisant son infanterie, dont on pourrait exploiter l'attaque, et qu'une partie de sa cavalerie avait elle aussi des longues sarisses à l'égal de celle de leur cavalerie macédoniene, et décida de ce préparer a marcher contre lui en été, en ayant une idée en tete qu'il ne confia a personne. La Grèce remise au pas : En Grèce, Antipatros prit les devant, et soumit rapidement Thèbes, puis Athene, ou l'ennemi fut rapidement battu. Sparte subit une défaite a Mégalopolis au printemps 331. Son roi, Agis III, fut tué dans la bataille. ( Authentique. ) Ainsi, la Grèce fut remise au pas. Rassuré de ce coté ci par ses méssagers, Alexandre en profita pour ce renforcer encore. La nouvelle de ses victoires qui ce répandaient lui permit d'enroler encore 5 000 mercenaires Grecs. Cela porta son infanterie a plus de 42 000H plus 10 000 cavaliers. La nouvelle stratégie Perse : Ses espions lui apprirent que Darius marchait contre lui a la tete d'une grande armée. Alexandre partit a sa rencontre, libéré du probleme Grec, délaissant entretemps la Syrie et l'Egypte pour les raisons que j'ai cités, et contourna le Tigre et l'Euphrate par le nord afin de protéger aussi sa voie de ravitaillement. Il arriva en vu du coté de Gaugamèles, et vit l'armée Perse reculer refuser le combat. Les jours suivants furent semblables, jusqu'a qu'ils atteignirent la ville de Suses, située plus de 500 Kilomètres plus loin en arrière. Là, Alexandre apprit qu'il y avait des soulèvements importants en Asie Mineure et en Egypte, fomentés par des satrapes Perses, et voyait ses arrières menacés, ainsi que son ravitaillement. Tel avait été l'idée de Darius pour mieux affaiblir Alexandre et le mettre en mauvaise posture, en y envoyant des espions. Alexandre ne se laissa pas démonter, deux jours après, il fit une marche forcé presque jusqu'à la nuit, de sorte que le lendemain il ce retrouva face a l'armée Perse, désormais obligé de combattre car trop proche, décision qui surpris Darius qui ne s'attendait pas a une telle résolution de la part de son adversaire. Le combat allait ce dérouler dans la plaine.
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En armement et tactique, la cavalerie Macédoniene était supérieure a celle de la cavalerie lourde Perse, et avec la surprise, ayant pour conséquence l'impréparation Perse à la bataille de Kinalar, explique que plus de 5 000 Cavaliers Macédoniens aient pu battre 10 000 Perses. Les Compagnons, présentant presque le tiers de cette cavalerie était une cavalerie d'élite de choc avec de longue lance, faite pour le choc et percer, ce qui n'était pas le cas des autres cavaleries. Pour plus de précision sur ces deux cavaleries, voici les détails : Quelques éléments à considérer sur la cavalerie lourde perse: Composition: La cavalerie lourde perse était souvent composée de nobles et de guerriers d'élite, armés de lances, d'arcs et de poignards. Ils étaient généralement montés sur de solides chevaux persans. Tactiques: Les Perses utilisaient souvent leur cavalerie lourde pour harceler les flancs de l'ennemi, pour lancer des charges massives ou pour protéger les flancs de leur infanterie. Équipement: L'équipement de la cavalerie lourde perse était souvent plus léger que celui de leurs homologues macédoniens. Ils privilégiaient la mobilité à la protection totale. Formation: La formation de la cavalerie lourde perse était moins serrée que celle des Compagnons macédoniens. Les Perses privilégiaient des formations plus flexibles, leur permettant de manœuvrer plus rapidement. Comparaisons avec la cavalerie macédonienne: Compagnons macédoniens: La cavalerie compagne macédonienne, notamment les Hypaspistes, était réputée pour sa discipline, sa formation serrée et son choc puissant. Ils étaient armés de longues sarisses et d'épées courtes. Cavalerie perse: La cavalerie perse était plus diversifiée et moins homogène. Elle était souvent utilisée pour des missions de reconnaissance, de harcèlement et de poursuite. Pourquoi ces différences ? Traditions militaires: Les Perses et les Macédoniens avaient des traditions militaires différentes, qui se reflétaient dans l'organisation et l'équipement de leurs armées. Terrain: Le terrain sur lequel se déroulaient les batailles pouvait influencer les tactiques employées et, par conséquent, l'équipement des cavaliers. Ennemis affrontés: Les Perses et les Macédoniens affrontaient des ennemis différents, ce qui a pu conduire à l'évolution de leurs tactiques et de leur équipement. En conclusion, la cavalerie lourde perse était une force redoutable, mais elle présentait des caractéristiques différentes de celles de la cavalerie macédonienne. Les deux forces avaient leurs propres atouts et leurs propres faiblesses, et leur efficacité dépendait en grande partie du contexte de la bataille.
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Parlons strategie de toutes les époques et des principes qui ont été employés
Lathan a répondu à un(e) sujet de Lathan dans Histoire militaire
Le plan Schlieffen était-il prévisible ? Lors de la préparation du Plan XVII, l'état major Français n'a pas prit assez en compte la possibilité pour l'Allemagne de vouloir sortir de sa situation d'encerclement Franco-Russe, qui l'aurait écraser et a suivit sa doctrine sans adaptation réaliste de la situation pour parer a un danger possible, avant de penser a mettre en oeuvre son plan. Car quel pays aurait accepté un tel sort passivement sans chercher de solution qui puisse l'en sortir ? Il était facile de ce mettre a leur place pour rechercher des solutions qui leur aurait ouvert facilement les yeux. La seule solution pour l'Allemagne était d'utiliser toutes ses réserves, frapper un grand coup, dans une région reconnue qui permette toute cette avancée rapide en profondeur, passant par la Belgique, ( dont ils avaient comprit que l'Angleterre ce positionnerait d'avance contre eux a partir d'un moment,) prendre la capitale, s'en servir de pivot, et enfermer l'armée Française vers sa frontière est, le tout, dans un temps limité de 42 jours, date de l'entrée en guerre sérieuse des Russes, avant de ce retourner contre elle. Le passage par le nord évitait de forcer un réseau de fortification Français, et en affaiblissant leur aile gauche pour mieux attirer les Français vers l'est, pour mieux les encercler, était de la simple logique évidente dans cette situation. Et pour réussir dans une telle entreprise, il fallait employer les 9/10eme de leur forces, ce qui fut décidé par l'Allemagne. Ainsi, de part sa position centrale qui était un défaut au départ, elle en fit une qualité en exploitant le temps et ses forces a son avantage, en prenant l'initiative pour imposer sa stratégie contre UN adversaire. Ce qui est la base de la stratégie. Tout ceci n'est que pure logique, et vraiment fort simple a saisir et comprendre pour qui ce mettait a la place de l'Allemagne et qu'attendre passivement sans réagir une défaite estimée rapide et inévitable, qu'etre nombriliste et suivre une doctrine de l'offensive a outrance, inadapté. La France aurait donc du etre dans l'attentisme avant d'agir, meme sans connaitre précisément ce plan, au lieu de s'enfoncer immédiatement en Alsace pour répondre a un impératif symbolique pour le peuple, eut été plus réaliste si elle avait laissé ses forces vers le centre, pour parer une éventuelle grave menace qui pouvait venir du nord que du sud, si l'offensive ce confirmait... soit, si ce danger inexistant, ce diriger après vers l'Alsace. Cela s'appelle l'adaptation. Le danger encouru eut été moindre, et elle aurait subit moins de morts au final et aurait mieux résisté et plus longtemps sur ses positions. Les généraux Français ont fait preuve d'un certain aveuglement qu'a la lumière de ce simple exposé est peu compréhensible, et pourtant si facilement prévisible, plutot qu'etre enfermé dans une doctrine. Comme le disait De Gaule, "nul épée n'a pesée plus sur la tete que la notre." -
Voici la carte du parcours d'Alexandre en Asie Mineure et des Perses, en bleu.
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Le combat naval : La stratégie d'Alexandre fut d'abord de s'assurer la liberté de passage pour mettre le pied en Asie Mineure. Pour ce faire, la flotte Grecque maintenant réunit derrière la pointe des Dardanelles au 18 mai, avec 380 navires dont 200 Trières, descendit la cote de la Mysie. ( Voir la carte de la Grèce ci dessous. ) Le 19 au matin, eut lieu une grande bataille navale, vers Assos, ou les Perses, avertit n'avait plus que 120 trières comme plus gros navire a opposer au 200 trières Grecque, et 230 de plus petits navires contre 180 des Grecs, le tout rangés sur une ligne, sauf cinquante Trières des Grecs qui placé en arrière vers le centre, une fois le combat engagé après observation des forces ennemis et dispositions, longea sa ligne de bataille, et tourna l'aile droite Perse et la prirent en tenaille. Leur gauche, composé de 150 trières, face aux 120 Trières des Perses et aux navires plus faible, fit plier l'ennemi, ou la supériorité des armes et protections individuelle leur donna un net avantage en combat au corps a corps. Le centre Perse plia lentement. Au final, les Perses perdirent 180 navires dont 110 Trières sur les 350 navires. Les Grecs, 30 navires. Mais son commandant ne s'estima pas encore satisfait, ce qu'il voulait c'était détruire toute leur flotte, aussi, il les poursuivit jusque dans le golfe, ( seule voie d'issue pour les Perses vu la configuration de la bataille,) large au plus de 15 kms et profond de 35 kms, ou il n'y avait aucun moyen de s'en échapper. Il en fit un carnage le lendemain. Aucun navire ne fut épargné, toute la flotte Perse restante sombra dans le golfe. Mais cette fois les grecs ne perdirent que dix navires. Le retour fut plus difficile, une tempete en détruisit une trentaine. Heureusement, les navires longeant la cote Perse purent accoster sans problème. C'est donc six jours après leur départ des Dardanelles que les navires au nombre de 310 dont presque 200 trières revinrent et traversèrent le détroit des Dardanelles pour entrer dans la mer de Marmara. Et l'armée d'Alexandre, ( entretemps renforcé de 6 000H ) laissant 3 000H sur place, disparu de la vu des Perses installés sur la rive de l'Asie Mineure. Memnon de Rhodes, commandant des Perses, mit au courant du désastre et dans l'impossibilité de traverser le détroit, choisi de d'aller entre la rivière Macestos et la ville de Kios, ( voir la carte Grecque ) mais plus proche de la rivière, afin d'éviter d'etre pris de cours par la flotte Grecque qui pourrait meme débarquer l'ennemi en Bithynie, et le prendre à revers, afin par cette nouvelle position de pouvoir les contrer au plus tot dans ce cas précis. L'armée Perse ( 82 000H dont 10 000 Cavalerie ) mit sept jours pour atteindre son objectif, soit au 1er Juin 332. Pendant tout ce temps, les espions Perses restés sur place ne signalèrent rien de particulier, sauf qu'au petit matin, les navires étaient revenu au point le plus étroit des Dardanelles, avec l'armée d'Alexandre caché non loin de là, qui mit un jour à traverser le détroit, puis, s'engagea vers le nord en longeant plus ou moins la cote de la Mysie, de meme les Perses avertit plus tardivement avancèrent vers eux, pour occuper une position que leur commandant avait aperçu lors de leurs passage. Six jours plus tard, le 7 Juin, les deux armées ce rencontrèrent sur ce lieu plaineux choisit par Memnon de Rhodes, ayant la mer a sa droite, et la montagne a sa gauche et sur un front étendu de 3 455 mètres. La bataille de Kinalar du 7 Juin 332 : L'armée d'Alexandre y arriva avant la soirée, les Perses, l'attendant en ligne, les dix mille immortels au centre, sans quitter leur position pour ne pas etre tournés, virent que les Macédoniens commençaient a s'installer pour la nuit, ce qui relacha leur discipline et ils en firent autant pour ce préparer au combat du lendemain. Mais une fois commencé a s'installer pour la nuit, ils virent toute la cavalerie Macédoniene ( 5 800H ) foncer subitement sur eux et l'ennemi prendre ses armes, avancer sur toute sa ligne de front, en renforçant puissament sa droite, enfoncèrent la gauche Perse encore dans l'impréparation tellement ce fut rapide et inattendu, pour ce rabattre vers l'arrière et le centre, la cavalerie Perse enfoncée et rejeté du champ de bataille. Les pertes furent lourdes chez les Perses, 17 000 morts et 25 000 prisonniers furent le résultat de cette bataille, tandis que les Macédoniens ne déplorèrent que 1 500 morts. Alexandre, constatant la nécessité pour les Perses de garder leur position sans mettre a mal son aile qui deviendrait ouvert, prit le risque d'un relachement apparent provoqué pour endormir l'adversaire, basé sur la surprise et la rapidité d'exécution accomplit par des soldats professionnel depuis les guerres de Philippe II, qui avaient fait la différence, ainsi que leurs armes et la cuirasse. Ainsi, les Perses voyant dans leur salut que la retraite avaient perdu beaucoup d'hommes, faisant qu'il ne leur restaient plus que 45 000H sur les 82 000H qu'ils disposaient avant la bataille, dont 3 500 morts sur les 10 000 cavaliers qui c'étaient enfuit. Les Grecs eurent 300 morts dans leur cavalerie et 400 morts dans l'infanterie, totalisant 31 700 Infanterie et 5 300 Cavaliers. La Cavalerie Macédoniene partit en reconnaissance le lendemain et revint plusieurs jours après en confirmant le départ définitif des Perses. La route de l'Asie Mineure est ouverte : Satisfait du résultat, Alexandre descendit la cote de Ionie afin d'engager des mercenaires Grecs au passage, et de s'assurer de la prise des ports Perses afin de s'emparer des navires encore disponible, entra en Lycie ( Carte ) et en Cilicie. 6 000 Grecs mercenaires s'engagèrent dans l'infanterie de son armée, totalisant l'armée à 37 700H et 5 300 cavaliers. Cela lui prit cinq mois pour accomplir ce parcours, suivit par sa flotte le long des cotes pour le ravitaillement. L'asie Mineure était tombée entre les mains du conquérant. Entretemps, Darius apprenant cette nouvelle, fit tout pour accélérer les préparatif de sa nouvelle armée qu'il voulait encore plus forte que ce qui était prévu au départ pour disposer d'au moins 80 000H, plus les 45 000H que Memnon de Rhodes ramenait. Pour gagner du temps, il offrit à Alexandre l'Asie Mineure jusqu'a l'Euphrate, avec l'Egypte et toute la cote menant a ce pays, plus la main de sa fille. Alexandre répondit qu'il ne ce contenterait pas de si peu, et qu'il voulait tout le pays. ( Historique ) Il passa l'hiver près d'Issos. Et l'armée Perse était presque prete.
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Voici la carte des manoeuvres Perses jusqu'a leur rentrée en Asie Mineure et en s'appuyant sur le Granique. Menace sur l'Asie Mineure : C'est la meme route que suivra en partie Alexandre, s'arrétant avant, et qu'il devra y laisser Antipatros en Macédoine avec ses douze mille homme et 1 500 chevaux. Pourquoi la traversée par les Dardanelles et pas à Byzance sur la carte, ce qui explique la prise de position de l'armée Perse sur le Granique ? Parce que le courant a ce détroit au passage le plus étroit est assez fort pour etre appellé le courant du Diable ou sa vitesse peut atteindre 7 à 9 kilomètres a l'heure, génant la navigation. Les Grecs eux disaient Mega reuma, "le grand courant". Sinon pour le restant du parcours, c'est deux noeuds environ en moyenne = 3, 6 Kms/H. Vingt jours après, le 17 Octobre 333 Av JC, les Perses ont réunit leurs armée en récupérant les quatre mille hommes sous Larissa, et les trente mille étendu de la Macédoine jusqu'en Thrace protégeant les arrières et le ravitaillement terrestre, montant leurs armée à 82 000H placé derrière le Granique. Ils disposaient toujours de 700 navires dont 200 Trières maintenant, sans avoir eu a subir de tempète, désormais disponible pour embarquer des troupes pouvant monter a 33 000H en une seule fois, ce qui força Alexandre a ne pas trop s'avancer, pour s'arréter à la ville appelée Philippes, afin d'accourir a temps pour renforcer Antipatros au cas ou. Un fort parti de cavalerie fut envoyer au delà de Perinthe et a Cardia, pour constater que les Perses avaient évacués la Thrace. Alexandre ne pouvait continuer vers la Perse sans risquer un débarquement sur ces arrières, détruisant ses dépots et voir son pays remis sous controle Perse, l'obligeant a revenir en arrière s'il avait passé en Asie Mineure, pour sauver ce qui devait etre, puisque les Grecs avaient perdu la domination sur mer, et riche de leur expérience passé, jamais plus les Perses ne tenteraient une bataille navale les engageant dans un défilé, comme à Salamine. De plus, la réunion de telles forces en Grèce l'obligea a etre prudent s'il voulait combattre les Perses. Campant sur ces positions, Sept mois passèrent, quand il apprit par ses espions qu'une tempète avait détruit plus de la moitié de la flotte Perse. ( 400 navires furent détruit sur les 720 qu'ils disposaient. ) Ce qui rendait l'avantage aux Grecs sur mer qui disposait d'un total de 380 navires. Dès lors, il pouvait passer en Asie Mineure par le détroit des Dardanelles, mais les Perses, avec un stratège comme Memnon de Rhodes avait convaincu les généraux Perses de les attendre a cet endroit pour les rejeter a la mer, dont les espions avertirent Alexandre de l'arrivée de cette armée sur cette nouvelle position, à Abydos, en laissant des guetteurs sur la cote pour éviter des surprises. Entretemps, les Romains, fort de leur supériorité numérique et tactique, avec 19 000H avaient soumis les Samnites ne disposant plus que de 10 000H suite la la défaite contre Alexandre et aux conditions qu'ils avaient imposées et aux prisonniers emmenés en Grèce pour sécuriser sa conquete, qui maintenant semblait bien fragilisée et ne pouvait défendre a cause de son engagement contre les Perses. La seconde armée Perse encore en préparation, était loin de remplir les conditions et de monter a 60 000H, il lui faudrait encore huit a neuf mois avant d'etre prete. ( Je me conforme a l'histoire pour le temps de création des armées Perses qui montait en moyenne a un an et demi. ) Deux mois après, a la mi-mai 332, Alexandre avait pu faire réunir toute la flotte Grecque entre Enez et Cardia, en Thrace.
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Au moment de la bataille, 4 000 autres Perses ce trouvaient sur l'ile D'eubée, coté camp de base Perse, au cas ou les Grecs lanceraient par là une offensive surprise. Les Pertes : Voici les pertes estimé de la bataille du Golfe Maliaque du 12 Septembre 333 : Sur 35 000 Perses environ que la cavalerie, puis l'infanterie au pas de charge a encerclés - il y a 20 000 Morts et 10 000 Prisonniers. Il y a 8 000 Morts sur le reste du front Perse La Cavalerie Perse a droite : 2 500 Morts La Cavalerie Perse sous le front armée Grecs : 1 500 Morts. Grecs : 1000 Morts dans la partie de l'encerclement sur l'ennemi. 2 500 Morts sur le reste du front. La Cavalerie a droite affrontant les cavaliers Perses : 900 Morts, du fait de leurs protection et de la longue lance Théssalienne et étant une cavalerie lourde. La Poursuite ajouta : 3 000 Morts Perses. 1000 cavalerie a droite. 2 000 Prisonniers. Grecs : 300 Morts. 150 Cavalerie. Total des pertes : Perses : 31 000 Morts infanterie. 3 500 Cavaliers. Grecs : 3 800 Morts dans l'infanterie. 1050 Cavaliers Morts. Prisonniers : 12 000 Perses de la bataille, plus, 16 000 vers la région des Thermopyles, totalisant : 28 000H. Total des pertes générale Perses avec les prisonniers : 62 500H sur 118 000H qu'il comptaient en Aout. Sinon, je respecte presque le niveau de proportion des pertes donné pour Gaugamèles ou Issos, qui en vérité serait de Un pour Dix morts chez les Perses. Cette victoire acheva le moral des Perses, qui choisit d'embarquer dès le lendemain avec une partie de la flotte disponible. 100 Trières, plus 80 en fin de cette journée compléta a 18 000H le nombre de soldats qu'elle pouvait porter, sur les 44 000 du camp, envoyer dans un premier temps sur l'ile d'Eubée rejoindre les 4 000 Perses, pour etre transporter à Toroné plus tard, en Chalcidique, avertir au passage les 10 000 Perses installés en Macédoine, et repartir tous immédiatement pour la Perse, en avertissant aussi les 4 000H établit vers Larissa et Phères. Le départ des Perses : Le parcours de la flotte vers l'ile d'Eubée d'environ 48 Kilomètres aller-retour, demanderais 3 journées, en comptant l'embarquement et le débarquement sur l'ile de 44 000H en trois étapes, plus 150 Kilomètres par mer jusqu'à Toroné, soit, 4 jours aller-retour, pour 18 000H pour les Trières, demandant un total de 12 jours. Entretemps, Alexandre s'avança le 13 septembre vers le camp Perse, et reçu dans la journée les 12 000H d'Antipatros, totalisant son armée qui était au départ de 39 000 Infanterie, ( a 200 H près ) et a 9 450 Cavaliers, a 51 000 infanterie et restant a 9 450 cavaliers. Plutot que d'attaquer le camp, Alexandre soigna ses blessés et resta dix jours sur place. Le camp étant trop fort, et la fourchette de temps bien trop courte pour attaquer a la dernière évacuation des Perses vers l'ile d'Eubée qui s'éffectuerait rapidement. Au 23 Septembre, Alexandre partit pour la Macédoine, et libéra les 2 600 Spartiates sur les 3 000 et leur 1500 cavaliers restant sur les 2 000H, et les 1 600 Grecs, sur les 2 000 au départ. La Grèce éclata de joie a la nouvelle de la large défaite des Perses et de leur départ, mais fut dépité du faible nombre de morts Macédonien, car elle avait le secret espoir après cette confrontation qu'elle jugeait d'avance a l'avantage d'Alexandre, qu'il en sortirait assez affaiblit après cette bataille, pour l'attaquer en réunissant toute les forces Grecques contre lui, avec les Grecs finissant leur service armée pour Alexandre. De fait, la Grèce dut ce tenir tranquille. A cette date, il restait encore cinq jours pour la flotte Perse pour tout rapatrier. La campagne suivante allait commencer...
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Suite... Etape V : En début de soirée, la bataille était terminée, l'ennemi rentré a l'abri du camp. Alexandre saisit l'occasion d'avoir encore du temps devant lui, pour envoyer vers les Thermopyles 5 000 cavaliers dans le dos des ennemis, chargés de contenir les Grecs et les Macédoniens. Vers la fin de la soirée, ils furent en contact avec les Perses, cette fois encerclé dans le goulot qui mene a la passe étroite si chèrement disputé pour rien si longtemps, et leur éclairèrent sur la grande défaite que l'armée Perse avait subit dans la journée, dont des sentinelles Perses placés sur le Mont Sotiros voyaient ce dérouler la bataille au loin, et étaient allés les avertir, confirmant leurs récits, ce qui ne fit que démoraliser davantage leurs chefs et les soldats qui les écoutaient. Ils leur fut proposé de se rendre, sans quoi, l'armée victorieuse d'Alexandre ce retournerait contre eux et les battraient rapidement, sans pouvoir recevoir de secours d'ici là, car ils ne leur en laisserait pas le temps. Ne voyant aucune issue, les commandants Perses finirent par accepter. Tous déposèrent leurs armes et ce rendirent à Antipatros qui tenait la passe, les pris en charge. 16 000 Perses s'étaient rendue, soit la totalité de cette armée. Ils furent attachés, et confié a la garde de 3 000 Grecs qui les conduisirent le lendemain vers la route de Thèbes. Cela libéra 12 000H supplémentaire pour l'armée d'Alexandre qui le rejoignirent le lendemain, sans toucher aux dispositifs de protection des cotes placés en arrière en cas de débarquement possible tant que le danger pouvait exister.
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Suite : Etape III : L'ennemi est contenu et le rectangle attaqué sur presque trois coté complet, tient bien, mais l'aile droite Perse est entouré, plie et abandonne totalement le terrain, plutot que de périr dans la partie encore non encerclé. ( Il faut savoir qu'a l'époque, les meilleurs éléments Perses, ainsi que d'autres Nations, privilégiait leur droite, ou selon la religion d'alors de ces pays, la gauche était mauvais, et la droite, bonne, le centre étant l'équilibre. ) Ainsi, Alexandre avaient réunit ses meilleures troupes a droite contre de mauvaise troupes, et celle ci pliait et abandonna rapidement devant la surprise et l'éffet physique et moral qu'il devait subir. Le centre fut menacé devant ce danger par la cavalerie des Compagnons. Le rectangle Macédonien ne cédant toujours pas, et le moral étant bon, Memnon de Rhodes commanda la retraite plutot que de subir encore des pertes, et voir son centre, s'éffondrer. Etape IV : La poursuite s'engagea. La cavalerie Grecque et Macédoniene fit encore des milliers de morts et des prisonniers. L'ennemi rejoignit son camp de base, mais fut coupé des troupes de la région des Thermopyles... Le temps passé cet été fut profitable, Alexandre en profitait pour habituer toutes ses troupes a manoeuvrer en grand, cela ce révéla particulièrement payant... ( Une parenthese, au moment ou ce déroulait la bataille, 4 000H avaient déja été prélevé de l'armée depuis Aout, afin d'assurer la ligne de ravitaillement de la Macédoine au Golfe Maliaque. )
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La campagne de Septembre d'Alexandre : Au 10 Aout, Darius était déja parti pour la Perse afin de s'occuper des affaires du pays et de la création de la nouvelle armée qui allait demander du temps. Fin Aout, comme prévu Sparte arriva avec 20 000H avec des troupes de la Ligue de Corinthe venant du Péloponnèse, dont 8 000H en garderaient ce pays. Ainsi, si Alexandre le voulait, il pouvait lutter avec des forces considérable contre les Perses. Militairement, c'était l'idéal, politiquement, c'était une erreur, car s'appuyer sur ceux qu'il avait vaincu a la bataille de Chéronée avec Philippe II, c'étaient les forcer a revendiquer plus de droits qu'ils devaient en avoir. Pour éviter cela, il fallait donc une victoire indiscutable, qui soit Macédoniène, meme s'il comptait ce servir de la force Spartiate. Mais étant en petit nombre, et hors de la Ligue de Corinthe, elle ne demanderait rien qui remettrait en cause les fondement de cette Ligue, et seule, ne serait pas en mesure d'en discuter politiquement. Ainsi fut décidé la campagne en septembre qu'avec l'alliance Spartiate. ( 12 000H ) Les autres cités-Etats voyaient avec dépit leur role relégués au second rang et leur liberté perdue non remise en cause. Thèbes et Athene continuaient leur dispositif et n'étant toujours pas de taille a se mesurer a la flotte Perse, celle ci resta a l'abri à Salamine. Alexandre quitta Athene le 7 septembre 333 avec 30 700 fantassins et 4 500 cavaliers Macédoniens, de 3 000 guerriers Spartiates, 9 000 guerriers du Péloponnèse, et 4 000 cavaliers Grecs supplémentaire, plus 2000 pour Sparte. 8000 esclaves devaient assurer le ravitaillement. Les 1000 cavaliers Samnites, peu sur, qu'Alexandre avaient ramenés d'Italie furent laissé à la disposition d'Athene pour faciliter leur défense. Alexandre mis 5 jours a traverser la Béotie et entrer dans la Phocide, en prenant son temps afin de ne pas fatiguer la troupe. La dizaine de sentinelle Perse qui avaient pu voir arriver de loin l'armée Grecque, sans pouvoir distinguer de quelle nation elle était, postés dans la région, étaient tombé dans un piège qu'Alexandre avait prévu d'avance au cas ou son armée devait les rencontrer, en plaçant bien loin en avant de l'armée une cinquantaine de Grecs assez basanés et habillé comme les soldats Perses, pour les attirer et s'emparer d'eux. Ce qui fut fait. Et le soir du 12 septembre, l'armée arriva au bord du plateau pentu surplombant la plaine des Thermopyles de près de 400 mètres qu'il ne pouvait encore apercevoir, et ou un sentier d'une douzaine de kilomètres le conduisait a la plaine, que les arbres cachaient. Descente de l'armée, vers le Golfe Maliaque : Les montagnes et les arbres qui couvre le/s sentier/s ne permettent pas aux Perses de les apercevoir tant qu'ils ne sont pas dans la plaine et ils franchiront une petite rivière large de 5 a 6 M. Faute militaire en cas de retraite, mais Alexandre a confiance en la valeur de son armée. La stratégie et la bataille : Le lendemain en fin de matinée, l'armée Macédoniene était entièrement réunit dans la plaine, ou entretemps, l'alerte avait déja été donné chez les Perses qui en faisaient autant puis s'avançait a leur rencontre, laissant par force 16 000H contrant les Grecs des Thermopyles, ( plus précisément, de la région sud des Thermopyles ) et disposant alors de 77 000 fantassins et de 15 000 cavaliers. Memnon de Rhodes, avec sa large supériorité décida de placer 40 000H de front, les dix mille Immortels au milieu, la ligne sur dix rangés de profondeur, et autant a la seconde ligne derrière et la cavalerie de chaque coté, ( 7 500 ) avec l'intention de déborder l'ennemi moitié inférieur a lui par les ailes. Alexandre ne disposait que de 43 000 fantassins et de 10 500 cavaliers avec les alliés. Etape I : Mais il prépara ses troupes sur trois lignes. La première, la plus étendu, constitué par la phalange et les hoplites, et 2000 cavaliers a chaque aile, la seconde, par 6 500 cavaliers derrière, obligeant les Perses a diviser la leur en deux partie égale. La troisième ligne par 15 000 fantassins. Les Macédoniens prirent l'initiative, et avançaient contre les Perses, au lieu de menacer le centre au départ comme elle ce présentait, arrivés assez proche des Perses, et encore dans la possibilité de manoeuvrer et vers sa droite et plus rapide que l'adversaire plus nombreux et plus lourd, l'ennemi d'abord surpris, et trop tard pour corriger et contrer cette manoeuvre qui auraient créé des brèches dans leurs dispositif, durent accepter cette situation. Et le dispositif d'Alexandre changea lui aussi rapidement, la cavalerie a gauche de l'aile rentra derrière le front, pour presque toute ce regrouper a leur droite, hormis les 1 700 cavaliers d'élite restés au centre, les Compagnons, avec leur cuirasse et leur longue lance. Les Théssaliens étaient de la partie et avaient aussi de longue lance. ( Voir la bataille d'Issos. ) 7 000 cavaliers avancèrent vers la cavalerie Perse forte de 7 500 cavaliers sans la charger, et cherchèrent a la tourner, de fait, son homologue devait y répondre et dut ce déplacer un peu, s'éloignant de quelque centaine de mètres, de l'armée Perse, mais son commandant ne s'en inquiéta pas trop, voyant la cavalerie Perse de leur aile gauche ( vu du Macédonien ) charger l'ennemi et pensant traverser ses lignes de front. Mais a ce moment, l'ennemi encore a distance respectable, toute la cavalerie Macédoniene encore en arrière ( 3 500H ) ce plaça rapidement sur la droite du dispositif ou ce rassemblaient déja les Hypaspistes ( 3 000H Elites ) les 3 000 Spartiates et 2000H de la phalange prévu par Alexandre présentaient 8 000H, pendant que la troisième ligne ce rapprochait de la première ligne et que 2 000H de chaque coté du premier front reculait, pour former un rectangle ou la cavalerie ennemie ne trouverait aucune brèche. Etapes II Et ce rectangle s'avança sur son coté droit, et percuta la droite Perse ou la sarisse fit beaucoup de morts. Les Perses envoyèrent les Immortels partant du centre du front, et commanda a leur aile encore non combattante d'envelopper l'ennemi ayant réduit son front, en suivant la cavalerie. Les 7 500 cavaliers Perse qui c'était éloigné de leur aile droite, reçu la charge des 7 000 grecs et Macédoniens, et le combat tourna a leur avantage, étant éssentiellement une cavalerie lourde dont les Théssaliens étaient en plus équipés d'une longue lance. ( Authentique ) L'ouverture ainsi crée fut exploité par les 3 500 cavaliers lourds, dont les 1 700 Compagnons d'élites, ( cavalerie de choc, une première ) suivit par les 8 000 fantassins dont 3000 Spartiates et les 3 000 Hypaspistes d'élites pour attaquer le flanc droit Perse, et Alexandre, laissant 1000 Cavaliers derrière ses fantassins amis en cas d'attaque imprévus, continua avec la cavalerie et de l'infanterie sur l'arrière ennemi.
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( J'ai rectifié la carte des opérations générale en prenant cette fois en compte les morts dans la région des Thermopyles. ) ( Pour faciliter la tache pour la création du scénario, je ne prend pas toujours en compte le nombre de blessés difficilement quantifiable. ) ( Je n'ai pas fait d'expédition Perses derrière les forces Grecques des Thermopyles jusqu'a vers Chalcis, ou les deux seules rare plages seraient si rapidement fermer aux Perses et le déplacement de la flotte serait observé, ( que leurs reconnaissances maritimes inévitable ont permis de connaitre,) que leurs commandants n'ont pas juger bon de les retenir, car trop risqué, ou au pire, les Grecs y seraient aux plus tard autour d'une heure s'ils étaient surpris, ce qui ne ce ne pouvait etre. Le reste de la cote ne le permet pas, les montagnes touchant la mer le leur interdisent. ) Après la bataille : Le 8 Juillet vers 11H du matin, 35 600 grecs arrivèrent devant le camp Perse, ( 33 000H ) mais celui ci semblait en éffervécence. Nul doute qu'il avait pu etre avertit a temps, certainement par le contingent chargé de l'approvisionnement suivant de loin l'armée Perse marchant a la bataille du 7 Juillet. La flotte Perse embarquait les derniers hommes pour les transporter a l'abri, sur l'ile d'Eubée. Ainsi, les Grecs avaient en partie échoués, 38 000 Perses avaient pu s'échapper et ce soustraire a leurs coups. Sur ce nombre, 2000 Perses gardaient le détroit de Chalcis, protégeant les fuyards, tous découragés par une telle défaite, et revenant vers leur première position au site de débarquement a l'est de l'ile d'Eubée. Certains officiers Grecs maudirent le fait d'avoir totalement abandonner leur flotte qui aurait pu a ce moment porter de nouveaux coups sérieux aux Perses, et achever peut etre leurs dernières chances, et critiquèrent leurs stratèges. Ceux ci, mis au courant, les réunissent, et leurs expliquèrent qu'il fallait choisir entre la marine, trop faible, et la défense du territoire, et que l'exploit de la bataille de Salamine ne ce renouvellerait pas, le souvenir étant encore trop vivace dans la mémoire de tous les militaires, de plus, c'était condamner les 22 000H aux Thermopyles ( 21 600 précisément. ), et la Grèce. Seul un éffort immense pouvait probablement la sauver mais en enrégimentant tous les marins encore disponible des Trières avec les pécheurs, parce que solide physiquement, pour former une force capable, avec Thèbes, de repousser ensemble tout débarquement possible, mais que devant un tel déploiement de forces ennemi imprévu, connu des habitant de l'ile d'Eubée les avertissant d'avance, et la possibilité de la diversion pour tomber sur le flanc de l'armée pendant qu'elle était occupé a combattre pour rejeter l'ennemi a la mer, pouvait définitivement sceller le sort de la Grèce. Et que c'est en misant sur l'infanterie et la recherche du terrain idéal pour vaincre l'ennemi décisivement, ne pouvant compter que sur eux meme, que l'on a pu éliminer une telle menace et renverser la situation a notre avantage... pour le moment, car il restaient encore aux Perses 110 000H. Aux Thermopyles, c'était toujours au point mort, plutot que perdre des hommes inutilement, et la bonne position des Grecs et Macédonien, leur permettaient de tenir face a des forces considérable tant qu'elle ne pouvait etre tournée, mais les précautions étant prise, ce danger apparemment était exclus. Il ce passa une quinzaine de jour avant que la presque totalité de l'armée Perse rejoigne celle de Darius, mécontent de la défaite inattendu de ses stratèges. Quand au 2000 Perses gardant Chalcis, ils avaient pu s'échapper de nuit, et remonter la cote jusqu'au camp de base ou des navires ami les prirent en charge. Ont était donc au 23 Juillet. Thèbes tenait toujours la position stratégique du détroit de Chalcis avec 2 000H. 15 000H gardaient Thèbes. La menace ayant temporairement disparu, Athene repris malgré tout son premier dispositif de surveillance qu'elle avait établit avant le débarquement Perse. Alexandre était a Athene le 10 Juillet 333, et le 28, avait toute sa cavalerie, dont 1 000 cavaliers Samnites sous la main qu'il laissa à Athene, totalisant 5 500 cavaliers, et laissant celle des Lucaniens et des Bruttiens, peu sur, en Italie, et réunissait toute son infanterie, forte maintenant de 30 700H sur les 32 000 au départ, du au combat livré contre les Samnites et dont ses alliés firent aussi les frais. ( Coutant 2 500 morts au total. ) Tarente gardaient ses soldats pour protéger son territoire. Toute la flotte Grecque était de nouveau disponible a partir du 23 Juillet, plus la centaine qu'Alexandre avait fait construire, totalisant quatre cent navires, et pouvait ce réfugier a l'abri derrière l'ile de Salamine ou les étroits défilés pouvaient en interdire le passage. Mais une tempète les surprendraient, et en détruirait un bon un tiers durant le contournement du Péloponnèse demandant une dizaine de jours, de sorte qu'il ne resterait plus que 280 navires a leur arrivée à Salamine. Mais les Grecs avaient encore leurs Triéres, mais incapable d'affronter la haute mer du fait de leurs instabilités, et ne pouvait que longer les cotes. ( Authentique ) Il y arriverait vers le tout début d'Aout. Ce problème leur interdirait d'affronter en combat la marine Perse, sauf a opérer quelques attaques sur le ravitaillement par mer des Perses. Changement de commandement Perse : De son coté, Darius avait apprit entretemps l'échec complet de l'expédition et de la perte de la moitié des forces Perses dans cette opération, devant l'incapacité des stratèges et satrapes Perses : Spithridatès, Mithridate, Arsamès, il nomma Memnon de Rhodes ( Grecs et brillant stratège. ) commandant général des armées. ( Ils avaient participé a la bataille du Granique et ne valaient pas Memnon de Rhodes. ) ( Authentique ) Celui ci conseilla alors au Roi de rester sur leur position devant les Thermopyles, de menacer les cotes Grecque par des allées retour de leur flotte afin de maintenir une force pour la défense d'Athene et de Thèbes, et de créer une nouvelle armée en Perse, montant probablement a 60 000H mais demandant au moins un an et demi, afin d'essayer d'en finir avec les Grecs. Le Roi consentit, désireux de soumettre la Grèce et de venger l'échec. ( Je respecte a peu de chose près, le nombre de soldats Perse engagé contre Alexandre le Grand lorsqu'il envahit la Perse ou le maximum avait été fait jusqu'a sa chute et le délai de création de leurs armées. Sparte intervient : En date du 28 Juillet, Athene et Alexandre apprirent que la fin de la Prophétie de Delphes obligeant Sparte et leurs alliés a défendre leur patrie avait pris fin, et qu'ils allaient les renforcer avec 20 000H fin Aout. Ce qui était une excellente nouvelle. Ainsi, presque tout l'été passa sans combat, chacun gardant ses positions.
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Voici la carte des opérations générale pour vous donnez une idée générale de la situation : La flèche 2 en mer, représente la dernière expédition qui contournera l'ile d'Eubée. ( Cliquez sur la carte pour agrandir. ) Les 8 000H vers le cap Sounion, ( sud d'Athene.) et ceux de Marathon, 7 000H, voyant grace a des observateurs bien placés, que l'adversaire continue sa route en dépassant la plaine de Marathon, ont eu deux jours pour ce réunir avec Athene, plus les 3000H placé d'abord vers Chalcis, pour ce placer tous sur un plateau offrant la possibilité grace a plusieurs chemin, soit de rallier les Thébains avec 36 000H supplémentaire, soit, si la situation évoluait autrement que prévu, si les Perses choisissaient de longer la cote pour ensuite attaquer Athene avec 55 000H, ne laissant que 3 000H a la garde du camp, Athene pouvaient réunir avec les Thébains 54 000H. Avec une force pareille, ils étaient certains dans le temps de chasser cette invasion Perse...et, la réunion avec l'armée D'Alexandre leur garantissait assurément la victoire. Mais tout ceci pouvait prendre du temps, aussi, les stratèges Grecs décidèrent d'occuper le plateau entre Athene et Thèbes, a l'abri des regards, afin de maitriser la situation quoi qu'il arrive, ou ils pouvaient porter secours à Thèbes, et l'observation méticuleuse du terrain a permis de tendre un piège a l'adversaire, qui, si l'ennemi y répondait en acceptant la bataille au lieu choisit, en était fait de lui. Edit : Voici la manoeuvre dans le principe préparées par les Perses, là ou ailleurs sur la carte, pour battre les Grecs sur le rivage une fois qu'ils connaissaient ce point de débarquement, suite a leurs observations faites pendant leur parcours maritime et contrecarrer cette menace d'ou qu'elle viennent sur la cote. Et les Perses pouvaient réaliser cela rapidement dans le cours de la matinée. Stratégie : Les Perses comptaient prendre aux piège les Grecs s'ils les avaient attaqués, en effectuant un troisième débarquement sur un autre lieu, pris sur les troupes ou 40 000H étaient placé sur l'ile d'Eubée, et rapidement débarquer 18 000H pour les attaquer de flanc, dans une direction ou une autre, selon la situation. Le piège n'ayant pas fonctionner, car les Grecs, stratèges supérieur aux Perses, ( Authentique ) en avaient imaginer la possibilité. Il y a donc nécessité pour les Perses d'obtenir une victoire stratégique, et ils ont les moyens avec 80 000H, et puisque les Grecs ne répondent pas a leur attentent, devant la division apparente des Grecs pour une raison inconnue, il faut soumettre Thèbes, position centrale, avant de ce rabattre et marcher par la cote est sur Athene, étant donné que les Perses ignore la géographie de la région. Et la division apparente des Grecs, en apprenant que Thèbes marche seule au combat vers eux et occupe une large plaine, ce qui est un piège et un appat pour attirer les Perses avant de prendre d'excellente position plus avant comme présenté sur la carte ci dessous, suite aux reconnaissance Thébaines, laisse croire que les Perses auront la partie facile devant si peu de moyen qui leur sont opposés, et rempliront la deuxième condition, a savoir, battre un ennemi trés faible, et occuper une position centrale qui divise le nord et le sud de la Grèce et devenir maitre de la situation, en battant stratégiquement près de 20 000H, leur assurant le succès de la campagne. C'est pourquoi, les perses n'envoient que 45 000H qu'ils jugent suffisant dans une plaine bien trop large pour les forces Thébaines pour éviter d'etre encerclé. Ignorant encore ou ce trouve le gros des forces Grecques, ils gardent le camp avec 33 000H, afin de sécuriser leur base. Et s'ils y seraient attaqué, restant dans le camp, la victoire facile qu'ils comptent avoir sur les Thébains, verrait le retour rapide de cette armée, et plus de 70 000H alors réunit battrait inévitablement et rapidement ces Grecs, en débordant leurs ailes. Ce dont les Grecs, conscient de ce danger voulait éviter, et en présentant une soi disant division aux perses recherchant une victoire rapide si elle ce présentait, et un appat facile sur un terrain les favorisant, ils y a tout lieu de croire qu'il tomberait dans ce piège. Ce qui n'a pas manqué d'etre en présentant une situation qui les arrangeaient. Voici le lieu de la bataille : ( Pour attaquer sur les hauteurs, il faut trois fois plus de forces. ) La distance a parcourir pour les Perses voulant échapper a l'encerclement, et plus longue d'un kilomètre et demi que les Grecs en fermant la porte, voila pourquoi, une fois l'ennemi mordant a l'hameçon, la force principale d'Athene descendit alors le versant de la montagne, sans pouvoir etre visible des perses, voyant trop tard le danger. Pris en tenaille, poursuivit, le seul coté et perpendiculaire a l'armée Perse, offrant une possibilité de retraite mais les ralentissant beaucoup, ne permirent pas de choisir pour les échapper d'avoir plus de 12 000H, ayant les Grecs qui les poursuivaient dans leurs retraite, et ne purent choisir la route de retraite que vers Chalcis. Ainsi, l'ennemi était divisé, et l'armée Thébaine qui les pourchassait, laissant peut etre 2 000 H à Chalcis, pouvait rejoindre l'armée Athéniene au camp Perse, désormais en infèriorité, ou leur seul salut était de rembarquer... ( Rajout de cartes. )
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Le débarquement : Les navires Perses contournèrent l'ile d'Eubée, mais furent signalés assez tot en Grèce pour choisir la stratégie et réunir leur forces là ou ils le souhaiteraient suivant la progression de l'ennemi, ce dont bien sur, les Perses ce doutaient bien. Au 3 Juillet 333, les 60 000 Perses débarqués à l'est de l'ile d'Eubée arrivèrent devant la ville de Chalcis, dont 40 000 s'arrétèrent à Erétrie selon le plan prévu pour un troisième débarquement dans un second temps avec les 40 000H, sensé prendre les Grecs a revers en cas d'attaque de leurs part, soit vers Chalcis, soit vers le premier débarquement afin d'assurer par une victoire la route vers Thèbes et Athene et couper la retraite des Grecs situés au Thermopyles. Les 180 Trières transportant 18 000 Perses et suivit de 200 navires pour le transport et ravitaillement, débarquèrent leurs hommes en Grèce, dans l'axe sud-ouest de la ville d'Erétrie, dans la plaine. Les deux armées furent surprises, aucun ennemi ne semblaient les attendre. Les reconnaissances poussé a plus de 15 Kilomètres ne signalèrent aucun ennemis. La décision fut de regrouper au plus vite presque toute leur forces au point de débarquement, sans tenter de remonter vers les Thermopyles par la cote, ou des montagnes tombe a pics dans la mer rendant le passage impossible, ce qu'avait remarqué les reconnaissances navales avant l'expédition Perse pour savoir ou accoster. 2000 Perses furent laissé à Chalcis pour garder ce passage, et voie de retraite possible pour l'armée. Un camp fut préparé autour de l'armée Perse désormais réunit 2 jours après. Ne voyant toujours rien venir et recherchant la décision stratégique, les chefs Perses, décidèrent de controler la régions avant de descendre vers Athene et en finir une bonne fois. Plusieurs plan furent proposés, dont une attaque sur Thèbes certainement défendue et une autre sur Athene, pensant la force Grècque infèrieure a ce qu'elle était vraiment sans le renfort de Sparte, mais finalement, mieux valait assurer la campagne en unissant les forces. Le centre pris avec Thèbes, Athene coupé du front nord, il suffisait de descendre la cote vers Marathon, avec ou sans combat, puis marcher sur Athene avec toute les forces réunit, sauf ceux proposé a la garde du camp réduit au minimum et ceux assurant le passage à Chalcis. Les reconnaissances aperçurent les Thébains estimés a plus de 15 000H a 20 000H avançant vers les Perses, puis s'installer en plaine large de plus de 6 a 7 kilomètres, et encore situé a 30 Kilomètres de leurs camps. Ainsi, les Grecs allaient combattre séparément, décidément les stratèges Perses n'y comprenaient plus rien. Ce pourrait-il qu'une mésentente entre cités-Etats sur la conduite a tenir soit le fait de cette désunion ou dans un moment si crucial, seule l'union pouvait limiter les dégats ? Et cette plaine ne semblait pas receler d'obstacles pour recevoir le combat. La bataille : La décision fut prise de partir avec 45 000H, laissant 13 000H a la garde du camp, et 2 000H à Chalcis. Le 6 Juillet l'armée partit a la rencontre des Thébains qui avaient encore changé de position en ce rapprochant encore davantage d'eux, mais cette fois ayant leurs ailes placées aux sommet de collines ou celles de gauche vu de Thèbes vers le golfe d'Eubée prolongeait l'armée sur 1900 mètres et a leur droite sur 1300 mètres, appuyés a une rivière large de près de 7 a 8 mètres, laissant au centre une plaine de 1000 mètres de large. Devant cette situation, le 7 Juillet, devant l'ennemi et trois fois plus nombreux, ne voulant pas perdre la face, n'ayant que cette armée a combattre avant d'anéantir les chances Grecques définitivement, la plaine large de 4 kilomètres en moyenne sur 6 de profondeur ayant sur les cotés, des montagnes, présenté comme un couloir... et avec avec une petite rivière a traverser pour atteindre ce lieu, l'armée ce prépare au combat au petit matin. Les Thébains ayant l'audace de les attendre. Une seule solution, attaquer au centre, les ailes étant trop forte sur les hauteurs. Quand a leur cavalerie, elle devenait inutile devant un front que l'on ne pouvait tourner, hérissés de lances, a moins de faire un trop long détour pour décider de la bataille. Le combat s'engagea, pendant 2 heures la lutte devint intense, mais aucun moyen de faire reculer le front, ni de le percer. La supériorité des armes et la protection des armures avantageait nettement les Thébains qui comptait tres peu de morts, tandis que les Perses en avaient au moins 2 500. Il était 10 heure, quand les Perses virent arriver une nouvelle armée Grecque devancées par leur cavalerie, d'une trentaine de milliers d'hommes, ayant déja descendu la montagne et longeait maintenant la petite rivière que les Perses avaient franchit le matin, ou la route pour leur couper la retraite etait bien plus courte que celles des Perses d'un kilomètre et demi, dans la partie ou ils devaient s'échapper, fermant complètement tout l'arrière, l'obstacle de la rivière leur interdisant le passage une fois tenu. Les deux cavaleries ce combattirent, mais le front était trop étroit sur cette partie du terrain a cause des obstacles qui le parsemaient pour ce déborder l'un l'autre. Quand la retraite commença, les Thébains les poursuivirent. Une seule solution, plutot que de forcer le passage inutilement car trop fort une fois tenu, passer par les nombreuses collines perpendiculaire a leur armée, avec des hauts et des bas pour tenter de rejoindre leurs base. Mais c'etait Un kilomètre a franchir, ou pendant ce temps, les Grecs, en poursuivant simplement leurs avance en plaine et les devançant, les couperaient inévitablement, de leur camp retranché. De la bataille, seul, 12 000 Perses purent s'enfuir, et plutot que rejoindre le camp, chose impossible, firent route vers Chalcis, poursuivit par 10 000 Thébains jusqu'a cette ville ou ils firent au moins 3 000 prisonniers du fait du passage bien trop étroit, et 2 000 morts, ne coutant presque rien aux Thébains. Ainsi, durant cette journée, il y eu au total, 10 000 morts Perse dut surtout a la panique et la confusion générale, et seulement 1 280 Grecs tués. ( Je ne compte pas les blessés. ) 25 000 perses étaient prisonniers et attachés, puis conduit à travers les sentiers de la montagne pour etre envoyé vers Athene, conduit par 4 000 Thébains. Le ravitaillement des Grecs, un moment menacé d'etre coupé pour les Thermopyles, ne risquait plus rien Le lendemain, près de trente mille Grecs ce dirigèrent vers le camp retranché ou eu lieu le débarquement, occupés par 33 000 Perses, afin d'en finir avec cette menace. Le 8 Juillet, Alexandre avait 25 500H sous la main, et ignorait encore les évènements de la bataille. Ce sentant maintenant assez fort, il marcha vers Athene comme lui avait demandé Démosthène pour ce réunir aux Grecs, mais entendait etre le maitre et non leur serviteur. De sa position dans le Péloponnèse, il protégeait aussi une tentative possible de débarquement Perse, afin de tourner toute les positions Grecque connu. Quand aux navires, ils étaient repartit depuis trois jours vers le golfe d'Otrante, en Italie, récupérer le reste de son armée, mais cette fois, sa cavalerie pour le prochain voyage.
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Voici la carte des opérations : Darius est bloqué, sa superiorité en mer pour le moment est incontestable et ne rencontre aucune opposition du fait de l'expédition d'Alexandre. Cela lui permet de monter une grande opération maritime visant a prendre a revers ceux qui lui résistent, de faire tomber tout le nord en les obligeants a retraiter, et la voie ouverte obtenue avec ou sans combat, plus rien ne pourra l'empecher d'atteindre Athene et de dominer toute cette partie de la Grèce tant ses forces seront imposante. Dès ce résultat obtenu, il est certain de pouvoir soumettre la Grèce après etre entrée dans le Péloponnese, dernière partie de sa conquete. C'est pourquoi, Alexandre, avertit de ce qui ce passe plus précisément, a ce stade des opérations au 3 juillet, ne peut encore décider de la marche a suivre, il a un plan, c'est pourquoi il ne va pas a la rencontre d'Athène, et il choisit encore de ce renforcer, car s'il arrivait trop tard, les Grecs battu a cause d'un débarquement réussit par une force assez considérable, il ne pourrait peut etre pas résister lui aussi et serait probablement emporter dans la retraite avec ceux qui pourraient s'en échapper, dans un scénario pessimiste, ou seul l'isthme de Corinthe, une fois réunie tous les soldats Grecs, pourrait arréter l'ennemie mais seulement temporairement a cause de sa trop grande étendue a tenir. Et comme c'est peut etre qu'une courte question de temps avant que tout puisse etre renverser en faveur des Perses, mieux vaut attendre en réserve pour le moment, faute de moyens, ou si cela devait arriver, il irait renforcer l'armée Grecque en retraite sur l'isthme de Corinthe, et peut etre reprendre l'offensive une fois plus fort et si l'armée Perse montre qu'elle n'est pas encore réunie avec celles des Thermopyles. Donc, tout dépendra de la situation Grecque si elle résiste, ou pas, et selon les cas, soit mettre son plan en action une fois prèt, sans avoir toute la totalité de l'armée sous la main, le restant, ayant atteind un certain quota de force, allant renforcer Athene avec des Hoplites et ses alliés, ce gardant les meilleures troupes, soit, tenir sur l'Isthme de Corinthe avec les Grecs en retraite en les recueillant sur cette position. Donc, sa stratégie dépend de la capacité de résistance des Grecs s'il y a débarquement, réussie ou pas, et du temps qu'il peut en retirer s'il y a victoire Grecque nette lors d'un débarquement Perse, qu'il estime réalisable. Et pas question pour l'ennemi d'affronter les Grecs en mer dans un défilé étroit, chat échauder craint l'eau froide, le souvenir cuisant de leur défaite à Salamine reste en mémoire. Pour la carte : 1/ représente la route maritime de ravitaillement par mer. 2/Représente l'expédition décidée de débarquement a l'ile d'Eubée, sur le versant est de 60 000H, afin que les Grecs ne découvrent pas la manoeuvre. 3/ L'expédition contournant l'ile d'Eubée pour un second débarquement, qui, si le premier échouait, le second pourrait réussir, et meme porter secours a l'autre dans la meme journée, et vice-versa, pour renverser a leur avantage la situation. Ils ignorent quelles sont les forces Grecques en jeu, mais ils savent grace a un traitre, que Sparte n'interviendra que si elle est attaqué sur son sol et le défendrait, ce qui ferait environ 20 000H de moins avec leurs alliés. L'expédition ne prévoit pas de réussite absolument certaine, mais les Perses estime que leur chance de réussite sont assez grande, grace a la surprise et aux forces qu'ils emploieront, et ayant choisit un bon terrain d'action facilitant les manoeuvres avec la possibilités de combattre sur place au besoin, et a tout prendre, mieux vaut agir que rester toujours bloquer devant la passe des Thermopyles, ou la patience du Roi est mise a rude épreuve.
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Thermopyles, et stratégie de déblocage de la situation : Manier une si grande force et prévoir son ravitaillement par terre, et par mer, avec un terrain assez montagneux limitant le déplacement, ralentissait l'armée, mais finalement elle arriva devant l'armée Grecque qui s'opposait a son passage, aux Thermopyles, comme le prévoyaient les stratèges Perses. C'est donc le 2 Juin 333 que l'armée Perse arriva dans le golfe, dix jours après l'occupation de la capitale de la Macédoine, Pella. ( A cette date, Alexandre était arrivé au golfe d'Otrante pour embarquer son armée.) Connaissant l'histoire de cette bataille et la raison de leur victoire passé, les Perses envoyèrent 20 000H le lendemain pour contourner la position tenu par les Grecs en passant par un sentier sur une montagne permettant de prendre à revers l'ennemi, plutot que d'engager la bataille dans cette passe étroite que de cent mètres environ. ( Authentique a l'époque.) Mais ce n'étaient plus des Phocéens au nombre de 1000h qui comme par le passé tenaient la position pour faire barrage a leur diversion, mais 4 000H bien décider a combattre pour les en empécher et qui avaient préparer des obstacles apparemment inexpugnable. Pendant cinq jours, les perses renouvelèrent leur assaut contre cette position, qui leur couta 8 000H, et aux grecs, 400H, en raison de leurs armements plus long, et de leurs armures protectrices que ne bénéficiait pas leurs ennemis. Pour renforcer encore cette position, Antipatros pris sur lui de prélever 5 000H de son armée Macédoniene ( 12 000H et 1 500 Chevaux ) pour les renforcer, sans toucher a la réserve de 5 000H installé sur la cote, en cas de débarquement Perse sur leur arrière pour les rejeter devant la menace possible, et la renforça de toute sa cavalerie. ( En 480, 7000H avaient largement suffit pour arreter l'armée Perse estimé par les historiens a 60 a 70 000H avec trés peu de morts.) Entretemps, l'armée Perse ne bougeait pas devant la passe des Thermopyles, qui par le passé leur avait couté si cher. Le Sixième jour, constatant son impuissance, mais n'abandonnant pas, Darius donna en plus des ordres pour embarquer 60 000H avec sa marine pour la débarquer en plusieurs expéditions presque a la meme latitude de la ville de Chalcis, de l'autre coté de l'ile d'Eubée, ou le terrain d'après les reconnaissances navales permettrait d'accueillir cette armée, puis atteindre Chalcis, traverser le détroit aider par sa marine, dans l'idée de contourner cette position solide, la faire tomber, et pouvoir avancer en Grèce. Mais Darius ce gardant par nécessité le principal de sa flotte pour le ravitaillement de l'armée sur ses 700 Navires, ( constitué de Galères, Trières, ( copiant sur les Grecs ) de navires Phéniciens et Grecs de l'Asie Mineures), mais comptant sur les Trières pour cette opération, pouvant transporter jusqu'a une centaine d'homme chacun. La traversée aller-retour nécessitant cinq jours avec les 180 Trières disponible, transporteraient 18 000H environ. Plus de trois voyages seraient nécessaire, avant d'aller sur Chalcis situé a plus de 50 Kilomètres de là, ajoutant deux jours de plus avec la marche. Et les habitants de la région, alertés, ne manqueraient pas d'avertir les Grecs qui les recevraient. Cependant, leur marine viendrait a leur secours pour leur permettre de passer un détroit, large a peine de 40 mètres à Chalcis. Mais pour l'atteindre, il fallait passer par un goulot étroit de 300mètres de large sur 800 mètres de long, et un autre a près de 1800 mètres, plus bas, étroit de 220 mètres et long de 580 mètres. ( Salamine, c'est 1200 mètres de large. ) Mais pour faciliter l'opération, un second débarquement dans le meme temps ce ferait a partir de la ville d'Erétrie ( sur la carte, ) pour débarquer en face 18 000H supplémentaire avec 180 Trières plus 200 navires contournant l'ile d'Eubée, demandant huit jours de plus pour la quatrième expédition pour assurer la route maritime malgré tout, devant la défense inexistante de la flotte Grecque qui avait trop peu de navires a opposer, mais qui sait dans ces golfes... Alexandre ce l'ayant accaparé en grande partit pour son expédition, rendait ces opérations Perse réalisable. Tout ceci devrait dégager la voie des Thermopyles, ouvrir la route de Thèbes et d'Athène, a condition de ne pas trop attendre, car Alexandre pourrait revenir et faire échouer ce genre d'opération. Il y avait donc un certain délais a respecter, et cela porterait la date au 3 Juillet. 52 000 Perses resterait au camp de base, 80 000H sur l'ile d'Eubée, dont 18 000H contournerait l'ile dans une autre expédition pour une opération de débarquement. Aux Thermopyles, en montagne, des combats sporadique maintenait la pression. Darius comptait plutot sur son opération pour décider de la situation. A cette date, Alexandre avait débarquer à Patras plus de 16 500H, marchant vers la direction de Corinthe, s'arrétant à hauteur de la célèbre ville de Delphes, et sa flotte était déja repartie depuis huit jours. Voila ou en était la situation générale. Darius bloqué au Thermopyles, attendant le résultat de ses opérations pour débloquer le passage, Alexandre, ne pouvant encore agir.
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Nouveau préparatif d'Athène : Entretemps, les Grecs, devant l'inutilité d'une résistance maritime face aux 700 navires Perses étant donné que l'expédition d'Alexandre avait réquisitionnée presque toute les Dières et les Pentecontores, ne restant que les Trières en nombres insuffisant, et devant la nécessité d'empécher un ou des débarquements Perses, les stratèges décidèrent d'incorporer les 10 000 marins, pécheurs, encore disponible, dans l'armée, et 8 000 H supplémentaire prélevé sur toute la population encore libre. Le premier s'installera vers Marathon, ( 7 000H ) une partie, ( 3 000H ) face à la ville de Chalcis de l'ile d'Eubée. Le second, ( 8 000H )a 20 Kms de la pointe sud de la péninsule d'Athène. Les 18 000H déja placé à Thèbes pourront constituer une réserve ou un renfort, soit pour Athène, ( 18 000H ), soit sur Chalcis, soit, vers les Thermopyles. Des guetteurs placés stratégiquement sur le flanc des montagnes pourront voir venir de loin la flotte Perse et les avertir par des feux, pour arriver largement a temps avant l'ennemi voulant débarquer, pour les rejeter a la mer avant qu'ils ne puissent constituer une force suffisante pour etre menaçante ou forcer a modifier toute la stratégie. Ainsi, toute la cote est, des Thermopyles à Marathon, jusqu'a la pointe de la péninsule, et grace a la cavalerie, devrait garantir de toute surprise sur cette partie du pays. Aux Thermopyles, des fossés furent creusés a l'arrivée d'Antipatros, traversant tout le front large a cette époque que de 100 mètres environ, grace au golfe Maliaque bien plus étendu alors, et que les sédiments de nos jours ont en partie comblé, élargissant la passe de plusieurs kilomètres. Voici les informations nécessaire a cette région : "La rugosité de cette région est causée par d'abondantes précipitations à raison de quatre mois par année et par une saison estivale si chaude et si sèche que le sol en est régulièrement crevassé. La rare végétation se compose d'arbustes bas et épineux. Les flancs de coteaux le long du défilé sont couverts de buissons épais, des plants atteignant 3 mètres de haut. Avec la mer d'un côté et des collines infranchissables aux pentes abruptes de l'autre, Léonidas et ses hommes ont choisi un champ de bataille nettement à leur avantage. Au XXIe siècle, le défilé se trouve à des kilomètres de la mer à cause de la sédimentation dans le golfe Maliaque. Les traces de l'ancien défilé sont visibles aux pieds des collines, encadré par une route moderne. Des travaux récents indiquent que le défilé ne faisait que 100 mètres et que les eaux montaient jusqu'aux portes." Voici les informations ce rapportant a cette bataille et aux armes en l'an 480 Av JC: "Le premier jour de la bataille, le cinquième après son arrivée aux Thermopyles, Xerxès Ier se résout à attaquer les Grecs. Il ordonne à 5 000 archers de créer un barrage de flèches, qui se révèle inefficace. En effet, ils tirent d'une distance d'au moins 100 mètres, selon des chercheurs modernes, et les casques et les boucliers grecs en bronze dévient les flèches. Par la suite, le roi perse envoie 10 000 Mèdes et Cissiens pour capturer des défenseurs et les ramener auprès du roi61,87. Devant cet échec, les Perses attaquent frontalement, par vagues de 10 000 hommes, les positions ennemies61. Les Grecs se tiennent devant le mur phocidien, au passage le plus étroit du défilé, ce qui leur permet d'utiliser un minimum de soldats pour défendre leurs positions88,89. Peu d'informations sont connues sur les tactiques grecques ; Diodore de Sicile affirme que les hommes se tiennent côte à côte et que les Grecs « sont d'une valeur supérieure et dans la grande taille de leur boucliers »trad 12,90. Il s'agit probablement d'une description de la phalange grecque habituelle, formation où les hommes forment un mur de boucliers qui se chevauchent tout en pointant de longues lances hors du mur, ce qui est très efficace si le mur bloque toute la largeur du défilé91. Les lances, les épées, toutes deux plus courtes, et les boucliers des Perses empêchent ceux-ci de combattre efficacement les hoplites grecs90,92. Hérodote rapporte que les unités de chaque cité combattent ensemble et que les unités sont régulièrement remplacées pendant la bataille pour réduire la fatigue93 (ce qui laisse supposer que les Grecs ont plus d'hommes que nécessaire pour bloquer le défilé). Les Grecs tuent un si grand nombre de Mèdes que Xerxès se serait levé trois fois de son siège pendant qu'il observait les combats94. Selon Ctésias, la première vague aurait été « découpée en rubans »trad 13, les Grecs accusant la perte de deux ou trois Spartiates. Selon Hérodote et Diodore, le roi perse, ayant pris la mesure de ses ennemis, lance le même jour ses meilleurs hommes dans un second assaut, les Immortels, un corps d'élite de 10 000 hommes90,92. Eux non plus ne parviennent pas à percer les défenses grecques92. Les Spartiates auraient feint une retraite, puis se seraient retournés contre les Perses, tuant plusieurs ennemis courant vers eux." Au sentier qu'avait abandonné autrefois les 1000 Phocidiens devant 20 000 Perses chargés de tourner la position des Thermopyles en 480 Av JC, 4 000H maintenant l'occupent, et ont creusés des fossés et des retranchements, rendant inexpugnable le passage, et 5 000H placé en réserve a moins de 18 Kilomètres peuvent les renforcer en arrivant a temps en prélevant une partie de leurs forces. Ainsi, Darius III allait avoir a surmonter bien plus de problèmes que prévu. Et il avait du laisser 10 000H en Macédoine pour controler le pays, et 20 000H le long de toute sa route d'opération qui suivait la cote, de l'Héllespont vers les Thermopyles, afin de sécuriser son ravitaillement, de sorte qu'il ne lui restait plus que 140 000H.
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Situation, et retour d'Alexandre en Grèce. Lorsque Alexandre reçu le massage l'obligeant a retourner en Grèce, il c'était déja passé plus de vingt jours. Et d'ici là, la lourde machine de guerre Perse forte de plus de 150 000H, aux nations et langue diverses et qui ne ce déplaçait que d'une trentaine de kilomètres par jour, atteignit Pella, capitale de la Macédoine, indéfendable avec les maigres forces d'Antipatros, n'ayant seulement que 12 000H et 1 500 cavaliers. Les Grecs réagirent grace a Démosthène qui intervint, levèrent une armée de 55 000H, s'alliant par force avec Antipatros. Sparte n'y participa pas. L'oracle de Delphes lui déconseillait pendant un certain temps de quitter sa patrie sous peine de la voir envahit par une diversion de la Perse venant par mer. Pour les Grecs, le seul endroit possible pour arréter a temps l'armée Perse qui marchait sur eux, était de tenir a nouveau la région des Thermopyles, tenu autrefois en 480 Av JC qu'avec 7 000H et avait pu stopper une armée Perse pourtant trés supérieure en nombre a cause de l'étroitesse du défilé qu'Antipatros tenait déja pour sécuriser les arrières, le temps que la Grèce se prépare. Carte de la bataille des Thermopyles en 480 Av JC. Mais les Perses ne semblaient pas pressés. 5 000 Thébains y furent envoyer en soutient d'Antipatros qui comptait 12 000H et 1500 cavaliers. Les stratèges grecs se souvenant de la raison de leur ancienne défaite sur cette position, a cause d'un sentier traversant les montagnes permettant aux Perses d'alors de contourner leur position, envoyèrent 4 000 hoplites Grecs tenir ce sentier, largement suffisant pour arreter l'ennemi a cause de son étroitesse. Mais quid de la flotte Perse qui pouvait débarquer des troupes sur les arrières ou meme vers Athène ? C'est pourquoi la force armée Grecque comptant encore 36 000H ce divisa en deux partie égale, l'un pour défendre Thebes, l'autre Athène, pour rejeter les Perses a la mer dès qu'ils accosteraient, renseigné par les guetteurs placé sur des hauteurs. Deux jours après, l'armée Perse faisait son apparition devant les Thermopyles au nord. Un mois c'était déja passé d'ici là. Entretemps Alexandre était revenu sur ces pas, et avait atteind a cette date du 4 juin 333, en dix jours de marche, le Golfe de la future ville d'Otrante, plus trois jours pour atteindre soit le Golfe d'Ambracie, soit le nord du Péloponnèse, a Patras, rallongeant d'environ deux jours la route maritime, mais y transportant cette fois 7 500H par sa propre flotte, ( erreur corrigé ) plus celle de Tarente avertit avant son arrivée par un messager, qui en possédait une trentaine, plus une quarantaine de navire sur la centaine mis en chantier l'hiver terminé, par Alexandre, pouvant en transporter au total environ 750H de plus, totalisant 8 250H. Ainsi, en cinq voyages, toute l'armée retirée de l'Italie avec les alliés forcés, serait transporter en Grèce, jusqu'à Patras au nord du Péloponnese, mais nécessiterait cinquante jours, sans compter le nombre de navires encore en chantier devenu disponible. ( Il faut savoir, que les Romains avaient construit pendant la première guerre Punique, 150 navires dont des Quinquérèmes, mais avec d'autres moyens qu'Alexandre. Alors j'estime réaliste le nombre de navire disponible et sortie du chantier a ce moment, et probablement bien en dessous de la réalité puisque c'étaient des Dières et des Pentecontores de taille moins importantes que les Quiquérèmes.) D'après le peu informations qu'il reçu, Alexandre estime la Macédoine perdu et occupé depuis le temps, car impossible a tenir. Patras est la position la plus raisonnable a ce jour dans le Péléponèse, et l'armée marchera jusqu'a vers Corinthe en longeant la cote, et s'arretera a la hauteur de la célèbre cité de Delphes situé de l'autre coté de la mer. Et suivant l'évolution de la situation, l'armée entière réunit ou pas encore, Alexandre avisera, tout en disposant toujours de la flotte sous la main qui le suivra le long de la cote. Voici la carte des opérations, et avec les futures manoeuvres dans le Péloponnèse prévu d'Alexandre :
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IL s'agit du transport des troupes par la marine, seules la Pentécontore et la Dière pouvait affronter la mer, pas la Trière qui craignait la houle en haute mer et ne longeait que les cotes, a fond plat et instable, qui pouvait chavirer, que je n'ai pas employé pour ce dernier. Le premier navire ne pouvait transporter que 20 a 50 soldats selon leur taille. on va mettre la moyenne a 30 soldats. La Dière, seulement de 10 a 30. On fait aussi une moyenne a 20 soldats. La encore, par manque d'information, je vais partager en deux la catégorie des navires sur les 300 en service. On a donc 7 500 soldats au lieu de 4 300H qui arrivaient au port d'Otrante, soit près du double. Mais je le répète, la stratégie d'Alexandre n'aurait pas changé, et la recherche de l'encerclement décisif, non plus. Aussi, je fais mon mea-culpa devant une faute aussi grossière du a l'accumulation de trop de manque de sommeil ce jour là qui m'a joué des tours. Fin de la disgréssion. La Pentécontore : La Dière :
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A ce que je vois, personne n'a remarqué une erreur qui a été faite depuis longtemps, ou ce l'ai gardé pour lui, sans que cela remette en cause la stratégie finale et la victoire d'Alexandre. Heureusement. Mais cela a rendu le scenario que plus intéressant, je trouve, car plus difficile a mettre la stratégie en oeuvre. Quand parfois trop de fatigue est là, faute de sommeil, quand on construit le scénario et que l'on prend pour acquit le résultat sans le remettre en cause par la suite... L'avez vous remarqué ?...
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( D'après mes recherches, les Samnites n'avait que 2 a 3 000 cavaliers, pas davantage, coutant cher, et l'armée combattant dans une région montagneuse ne favorisait pas cet emploi de l'arme. ) Alexandre, maitre de l'Italie du sud : Ainsi, en deux mois, Alexandre établit sa domination dans le sud de l'Italie, jusqu'aux Samnites, dans un grand coup retentissant dans toute la Méditerranée centrale. Restait a savoir s'il s'arreterait là. Carthage s'inquiéta, Rome aussi. Mais Alexandre leur fit parvenir un message voulant apaiser leurs crainte, disant sa volonté de paix, et ne pas vouloir chercher a étendre davantage sa conquete en Italie centrale, que la menace Samnites n'était pas de son fait, qu'il ne l'avait pas rechercher, et qu'il avait du y répondre par la force. Ses adversaires pratiquèrent alors la politique de l'attentisme pour décider une fois pour toute de leur résolution finale a prendre. Alexandre passa l'hiver sur la cote Italienne, à Tarente, ou il regroupa autour son armée, pour montrer sa bonne intention, avec pour base d'approvisionnement de nouveau le golfe d'Otrante, et fit développer sa flotte pour une centaine de navires supplémentaire afin de faciliter ses communications avec la Grèce. Il rattacha la Lucanie et les Bruttiens sous son autorité, et sous le controle de Tarente, s'il partait. Les otages servant de pression politique pour les soumettre. Les Méssapii, petit peuple du nord de la province de Pouille et trop voisin de Tarente, passa sous son controle malgré sa neutralité. Au petit peuple qui lui avait fourni le port de Bari et son passage a travers son territoire, lui fut proposer une alliance pour sa bonne conduite, qu'elle accepta de bon gré, étant sous la protection d'une grande puissance. Tout l'hiver passa sans autre évènement, et au printemps suivant, Alexandre fit regrouper en mi mai sa flotte au détroit de Messine, ou l'armée la rejoignit, laissant dix mille hommes autour de Tarente en cas d'insurrection des peuples soumis, et passa dans la Sicile, ce détournant de l'Italie centrale. Rome fut soulagé, Carthage qui avait des vues en Sicile s'inquiéta, et comptait savoir jusqu'ou irait ses conquetes et envoya un diplomate pour connaitre ses intentions. Entre-temps, Alexandre prit Messine, puis descendit vers Catane le 23 mai 333 Av JC. A cette date vint le messager de Carthage, pour lui signifier diplomatiquement mais fermement que la politique de son pays comptait se réserver de la ville d'Himéra à Agrigente, tout l'ouest du territoire situé a gauche de celle ci pour lequel dans le passé elle avait tant combattu, et qu'elle ne pourrait accepter d'y voir un autre état que le sien ce l'approprier définitivement. Alexandre répondit qu'il y réfléchirait et lui donnerait une réponse rapidement, sans donner le moindre accord pour le moment ou montrant un signe d'acquiescement ou pouvant laisser entrevoir ses intentions. Deux jours après, dans une nouvelle entrevue, toujours sur le meme lieu, avant Catane, Alexandre lui donna son accord. Le diplomate repartit satisfait, Alexandre semblait réellement sincère, et il apprit en passant par Syracuse, qu'Alexandre quittait la Sicile avec son armée. Que s'était-il passé pour qu'Alexandre changea a ce point sa décision ?... Il avait apprit que les Perses avait profiter de son séjour en Italie, pour franchir le détroit du Bosphore. Leur objectif était clair, soumettre la Macédoine et la Grèce dans la foulée avec une grande armée qui comptait plus de 150 000H, avec Darius III a leur tête.
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La poursuite : Une mauvaise nouvelle survient pour les Samnites au 6 Juillet avant d'engager la poursuite. Parmi les 5000 cavaliers constituant leur cavalerie, 2 000 étaient des mercenaires venant des diverses tribus attiré par le gain qui faisaient défection, au prétexte qu'Alexandre en reculant vers leurs nations ( Au nord de l'Aufidus ) et y prenant conscience, pouvait, s'il n'était pas vaincu et rejeté a la mer, dont rien pour eux ne pouvait le certifier d'avance revenir tot ou tard et ce venger sur leurs tribus au passage, et qu'en conséquence, ils voulait absolument éviter ce risque. Les chefs Samnites eurent beau tenter de les faire revenir sur leur décision, mais ils restaient ferme, aussi, le jour meme, ils quittèrent l'armée Samnites pour rejoindre leurs petits états pour leur éviter cette ruine possible. Ce coup porté n'empécha pas les chefs de vouloir poursuivre leur plan et d'aller a l'encontre d'Alexandre, et en cours de journée firent Une trentaine de kilomètres jusqu'au soir, ayant perdu du temps avec la défection de leurs allies, et virent au loin l'armée Macédoniene qui semblait les attendre. Et leur reconnaissances montrèrent qu'un large ruisseau, tenu par Alexandre, séparait les deux adversaires mais les protégeraient des surprises pour la nuit. ( Le 6 Juillet, de son coté Alexandre atteignit le lieu que ses reconnaissances avaient repérés quelques jours plus tot, et ce plaça devant un large ruisseau, parallèlement a l'adversaire lorsqu'il paraitrait, l'obligeant a accepter le combat s'il le fallait, et prit ses dispositions dans le cas d'une attaque. ) La bataille : Le lendemain, l'ennemi parut et avança en ordre de bataille, visiblement décidé a combattre. Alexandre fit reculer son armée selon les ordres qu'il avait préparé a ses commandants, abandonnant sa ligne de défense naturelle et recula lentement, toujours en ordre de bataille. L'ennemi voyant cela, franchit le large ruisseau de trois mètres devant Alexandre qui reculait toujours lentement. Alexandre parcouru ainsi plus de quinze cent mètres avant de décider visiblement d'accepter la bataille, voyant apparemment qu'il n'avait pas le choix. Les Samnites, étonnés de le voir abandonner une si bonne position, furent encore plus convaincu qu'Alexandre comptait bien retraiter, ( ce qu'il souhaitait car cela faisait partie de sa stratégie ) mais que les évènements l'obligeait de force a devoir combattre. Il allait devoir payer ses fautes, sa jeunesse et son inexpérience le desservait, il allait voir ce qu'il en couteraient de provoquer les Samnites avec la prise de Venosa. Ainsi pensait le soldat Samnites. Chaque camp fit ses dispositions, l'infanterie s'appuyant chacune sur l'Aufidus, mais presque toute la cavalerie des deux camps ce plaça dans la partie dégagé du terrain, a part 300 cavaliers de chaque camps placé sur l'Aufidus, derrière la troupe, agissant chacun selon l'intention de son adversaire et le modifiant s'il le fallait selon la force qu'il emploierait. Ainsi, 2 700 cavaliers Samnites allaient affronter 2 600 cavaliers macédoniens, dont leurs alliés. Les Samnites étaient réputés pour leur infanterie lourde, bien entraînée et équipée. Leur tactique reposait souvent sur la formation serrée et la résistance. ( Authentique ) Leur tactique, après l'habituelle confrontation de l'infanterie légère, Peltastes, frondeurs, etc...est de vouloir enfoncer le centre Macédonien visiblement constitué d'Hoplites, en renforçant un peu le leur en profondeur, certain de la vaincre et de la percer, pendant que la lourde phalange Macédoniene repousserait leur gauche, avant que leur centre perce et ce retourne contre elle dans leur dos, avec une partie des forces renforcé dans ces buts, avec leur gauche reculant toujours en attendant cette percée, acceptant cette situation pour mieux les piéger. Et leur cavalerie Samnites devrait tenir tete assez longtemps pour réaliser leur plan. En face, a distance respectable, plus de 35 000 Macédoniens attendaient l'assaut Samnites sur leur nouvelle position. Le combat s'engagea rapidement, mais au centre l'ennemi recula sur 600 mètres de large environ, et sur une cinquantaine de mètres en profondeur, tout en ce réalignant correctement sur le front, dévoilant au dernier moment un fossé assez large et par endroit de plus de cinquante mètres, profond partout d'une dizaine de mètres et aux pentes assez abruptes. Ainsi le centre, point faible considéré d'Alexandre devant la stratégie Samnite serait en partie inaccessible, mais trop tard pour reculer, le front étant presque au contact. La cavalerie Macédoniene chargea son homologue Samnites. 1 800 Compagnons en tete, d'élites, cavalerie de choc, en formation triangulaire pour enfoncer la ligne ennemie, et constitué a sa base de deux forte ailes de 550 cavaliers chacune dont la célèbre de Tarente, est chargé d'envelopper dans une mesure raisonnable l'adversaire pour empecher dans une grande mesure sa liberté d'action, et la manoeuvre réussit parfaitement. Les Chefs Samnites constatant leur échec devant le centre ennemi dans la partie plaineuse ou aucun fossé ne ce présentait plus, ne pliant pas, renoncèrent et ordonnèrent la retraite devant la progression de la phalange Macédoniene qui devenait dangeureuse, et sont poursuivit par leur ennemis, au moment meme ou leur cavalerie abandonnait elle aussi le combat, poursuivit elle aussi. La difficulté allaient croissant avec le problème de devoir passer le large ruisseau de trois mètres avec la pression ennemi juste derrière. Mais une mauvaise surprise les attendaient pendant leur retraite bien avant de l'atteindre. 1 500 cavaliers Macédoniens surgirent derrière des bois sur leur flanc droit, c'étaient les renforts venant de Bari sur la cote Adriatique qui les chargèrent, qu'Alexandre avait placé là, et amena une confusion générale parmi l'ennemi qui ne pensait plus qu'a repasser le ruisseau pour ce mettre a l'abri derrière. Mais la cavalerie Macédoniene les genait beaucoup, et resserra le front Samnites en les repoussant vers l'Aufidus, large d'environ vingt mètres. Mais pendant le combat, 2 000 fantassins venant eux aussi de Bari, avec 300 cavaliers, tenaient désormais le long de toute la longueur nécessaire du ruisseau, s'étant cachés entretemps et l'occupant discrètement, ce releva, attendant de pieds ferme l'ennemi qui le franchirait, près a l'abattre, avec de la cavalerie chargeant ceux qui pourraient passer cet obstacle large de trois mètres, fermèrent ce troisième coté ci de la bataille, n'ayant d'autres ressources pour les Samnites, soit de ce rendre, soit de traverser l'Aufidus, dont beaucoup le tentèrent, ou ils rencontrérent 2000 Macédoniens auparavant cachés pendant le combat derrière les arbres, s'avançant vers eux avec des centaines de cavaliers pour fermer toute la nasse. Ainsi, le piège ce referma totalement sur eux. Pressés, bousculés, repousser vers l'Aufidus, dans un chaos et une panique grandissante, l'armée périssait. Il y eut plus de quinze mille morts parmi les Samnites, et 2 500 parmi les Macédoniens avec leurs alliés. Le chaos, la panique, et devoir tourner le dos fréquemment a l'ennemi pour fuir, expliqua cette large différence. Le traité : Alexandre leur proposa de ce rendre devant l'inutilité de poursuivre le combat, leur armée étant totalement encerclé avec aucun moyen de lancer une opération viable pour percer tant la confusion était grande. Les chefs acceptèrent, voyant une porte de sortie, mais avant de dégager l'armée qui avait déposer les armes, durent traité avec lui. ( 10 000h d'infanterie rejoindront leur patrie juste pour sa défense, les 10 000 autres seront prisonniers et envoyé en Grèce selon les estimations générales du combat.) La moitié des survivants de la cavalerie Samnites serviront dans les rangs Macédoniens, soit environ 1 000H d'estimer. Les otages des chefs seront pris dans leurs familles, et un traité d'alliance signé entre eux. S'il y a refus, aucun quartier ne sera fait a l'armée Samnites encerclés, un homme sur trois mourra, et la moitié survivante amener en captivité. De leur attitude dépendraient l'avenir de ces hommes emmener en Grèce, et s'il satisfaisait totalement aux conditions d'alliance qu'il proposait, Alexandre pourrait ce montrer généreux et leur renvoyer au bout de quelques années nombre de soldats pour renforcer leur état et rejoindre leur famille. Devant des conditions aussi dure, mais voyant leur armée épargné plutot que de tout perdre, fors l'honneur, les chefs résignés, acceptèrent. Ainsi, en tant que nation comptant comme force principale en Italie, les Samnites étaient ramenés au rang de petites puissances régionale, ne représentant plus une menace sérieuse. Et grace a sa politique du baton et de la carotte, Alexandre avait pu soumettre les Samnites, ou leur conduite pèseraient sur la tete des prisonniers, pour mieux les tenir tant qu'Alexandre en avait besoin. Mais ce vide politique sur la scène de l'Italie, et sa victoire, alarmerait inévitablement Rome dans un premier temps, et deuxio, s'aviserait de conquérir le territoire Samnites. Mais son alliance qu'il préparerait avec eux ou simple message devrait le garantir de ce danger, tant qu'il occuperait l'Italie.
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Voici les manoeuvres accomplit par chaque armée, du 4 a 6 Juillet : Cliquez sur la carte pour l'agrandir.