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89 ExcellentÀ propos de GR_Silent
- Date de naissance 06/02/1975
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Greece
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Le câble posé au large de Kassos fait partie du Great Sea Interconnector, un projet stratégique qui reliera la Grèce, Chypre et Israël par une interconnexion électrique sous-marine. Les travaux sont réalisés par la société Nexans. Mettre fin à l’isolement énergétique de Chypre et connecter à la fois Chypre et Israël au réseau électrique européen. C’est aussi un grand pas vers l’énergie propre et la sécurité énergétique de la région. alheureusement, la Turquie tente d’entraver le projet, car elle refuse que Chypre progresse sur le plan énergétique sans son contrôle. Une fois de plus, elle ravive les tensions en Méditerranée.
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https://x.com/dr_mdemiroglu/status/1912200848236597436 "Chef d'état-major allemand, le général Carsten Breuer ( @BundeswehrGI ) nous avons hébergé dans notre entreprise. Au cours de la visite, nous avons eu une conversation approfondie sur le stade atteint par notre industrie de défense et sur l’importance stratégique de la production nationale. Ce fut une réunion productive où nous avons parlé du succès de nos produits, qui sont le symbole de notre puissance d'ingénierie." Est-ce que c'est bon ou mauvais pour le FCAS ?
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À part la source que t’as montrée, je vois nulle part sur les sites de défense grecs qu’il est question de vendre des FREMM françaises d’occasion, donc j’pense pas que ce soit vrai.
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Pour clarifier un peu les choses : je suis heureux de l’achat des frégates italiennes FREMM d’occasion, qui à mon avis valent largement le coup pour remplacer les anciennes frégates qui approchent les 50 ans de service. En revanche, je suis catégoriquement opposé à l’achat des frégates américaines, car nous ne connaissons ni leur configuration finale, ni les éventuels problèmes initiaux, ni le coût d’achat et d’entretien, ni même la date de leur livraison. De plus, la configuration grecque comportera probablement un équipage réduit — ce qui n’est pas nécessaire, puisque ces navires ne seront pas déployés dans le Pacifique ou l’Antarctique. Je ne serais pas surpris si, au final, nous recevions une configuration semblable à celle des FREMM, mais avec des systèmes américains — probablement conçus pour l’exportation, dégradés, et à mon avis inférieurs aux systèmes français et/ou italiens. C’est comme si on réinventait la roue, mais avec un équipement de qualité douteuse.
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C’est clairement une décision politique : le ministre grec de la Défense, Níkos Déndias, affirme que nous achetons les « meilleures frégates » (Belharra), tout en s’intéressant aux Bergamini d’occasion – un « prélude » aux Constellation que nous espérons construire avec les États-Unis. Et juste après, il parle de « budgets serrés » et de « nécessité d’uniformisation des systèmes d’armement ». C’est une moquerie flagrante. Pour ceux d’entre nous qui suivent les questions de défense, ces décisions sont incompréhensibles.
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https://www.airbus.com/en/newsroom/stories/2025-04-airbus-and-european-innovation-imagining-a-future-combat-aircraft-cockpit Airbus et l'innovation européenne - Imaginer le cockpit d'un futur avion de combat
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https://flight.com.gr/metlen-with-knds-france-to-build-philoctetes-in-greece/ " EXTRAORDINAIRE : METLEN fabriquera le FILOCHTIS en Grèce, en coopération avec la société française KNDS. 7 avril 2025 METLEN a conclu un partenariat exclusif avec KNDS France (KNDS) pour la production du VBCI PHILOCTETES, le véhicule blindé de combat d'infanterie 8×8 français le plus avancé, marquant ainsi une étape majeure dans la coopération européenne en matière d'industrie et de défense. C'est la première fois qu'une entreprise française, leader dans le domaine de la défense terrestre, signe un accord aussi ambitieux pour des véhicules blindés 8×8. Cette alliance exclusive comprend le transfert de savoir-faire pour la fabrication de blindages en aluminium ainsi que la production et l'assemblage en Grèce du VBCI Mk2. L'objectif de cet accord stratégique est de répondre aux besoins opérationnels de l'armée grecque pour un grand nombre de véhicules blindés de combat 8×8, ainsi qu'à ceux des forces armées d'autres pays européens. En établissant des lignes de production et de maintenance clés en Grèce, le partenariat favorise la disponibilité des équipements et crée de la valeur ajoutée pour l'industrie du pays, tout en renforçant la coopération franco-grecque en matière de défense. PHILOCTETES : un système de combat puissant et intégré Le nom PHILOCTETES® fait référence au héros de la guerre de Troie et gardien des flèches d'Hercule, indispensables à la chute de Troie. Le VBCI PHILOCTETES® est une version améliorée du véhicule blindé de combat d'infanterie 8×8 qui répond déjà aux besoins de l'armée française. Il est équipé d'une tourelle téléopérée de 40 mm, équivalente à celle du JAGUAR, ainsi que d'un lanceur de missiles antichars MMP, assurant une couverture efficace contre un large éventail de menaces - des drones et des moyens aériens aux véhicules légers et aux chars de combat principaux. Le VBCI peut transporter une équipe de combat d'infanterie complète et est disponible en plusieurs versions, telles que véhicule de commandement, ambulance ou véhicule de dépannage. Le VBCI est utilisé par l'armée française depuis plus de 10 ans dans le cadre de missions à l'étranger et a depuis été continuellement amélioré et mis à niveau. METLEN possède une expérience considérable dans le secteur de la défense, étant un partenaire industriel fiable de KNDS Deutschland depuis 23 ans. Son usine de production de Volos assemble déjà le blindage du char LEOPARD 2 MBT. Avec ce nouveau partenariat, METLEN renforce encore sa présence dans les initiatives européennes en matière de défense. L'environnement géopolitique et le besoin croissant de renforcer l'autonomie de la défense européenne rendent nécessaire l'accélération des capacités de défense du continent. La reconstruction de la défense européenne (ReArm) souligne l'importance de la production locale et de l'autosuffisance industrielle dans le domaine de la défense. L'industrie grecque, à travers de telles initiatives, joue un rôle crucial dans l'indépendance stratégique de l'Europe, tout en contribuant à la création d'emplois hautement qualifiés et au développement de nouvelles technologies. Avec cet accord, METLEN confirme son engagement envers l'industrie nationale et européenne. METLEN est un leader dans le domaine des structures métalliques lourdes et complexes, l'unité industrielle de Volos étant reconnue pour sa production internationale dans le domaine de la défense. L'usine de Volos, créée en 1963, est devenue une installation de production spécialisée, dont 100 % de la production a été destinée à l'exportation au cours des deux dernières décennies. Afin de renforcer son rôle dans l'industrie de la défense, METLEN a annoncé début 2024 le développement d'une nouvelle installation de fabrication de métaux avancés, qui devrait être opérationnelle d'ici 2026. En outre, la société a acquis deux autres installations dans la zone industrielle de Volos, qui sont en cours de transformation pour être intégrées dans l'écosystème industriel plus large de METLEN. Avec le potentiel de production de METLEN et l'expertise de KNDS France en matière de systèmes de défense terrestres, ce partenariat représente une étape cruciale dans le renforcement de la préparation à la défense de la Grèce et de l'Europe, tout en garantissant des capacités industrielles qui soutiendront l'autonomie stratégique de la région pour les années à venir. " Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
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Tu as vu ça sur le Discord de Razbam ? Je demande parce que je viens tout juste d’y poster ces photos. Je ne me souviens plus exactement où je l’ai lu, mais j’ai appris qu’après le crash du Mirage 2000 sur les voies ferrées, quand l’équipe de secours est arrivée — ou peut-être le pilote lui-même après s’être éjecté, je ne suis pas sûr — ils ont constaté que le moteur M53 tournait encore !
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https://navaldefence.gr/naval-group-bad-practices-in-greece/ Un article intéressant qui mérite d'être lu pour ceux qui s'intéressent aux évolutions de la marine de guerre grecque concernant les frégates. Voici la traduction du texte en français : --- "Le texte qui suit a circulé hier en tant que note d'information de Naval Group adressée au gouvernement, aux partis politiques et à un groupe restreint et « sélectionné » de journalistes (selon la tactique chère aux jours les plus sombres de l’affaire des frégates). Il concerne une proposition de l’entreprise française pour la construction de trois frégates supplémentaires de type Belh@rra/FDI pour la Marine hellénique. Selon ce *non-paper* : Naval Group renforcera la coopération entre la France et la Grèce afin de répondre aux besoins de la Marine hellénique et de développer la base industrielle de défense et technologique grecque. Cela se concrétisera par les mesures suivantes : - **Transfert de technologie et de savoir-faire** vers des partenaires grecs clés (chantiers navals de Skaramagas, METKA, etc.) via la formation du personnel à Lorient et à Ollioules (au Centre d’Excellence pour les Systèmes de Combat) pour le programme FDI, pendant la construction de la quatrième FDI grecque à Lorient. Durant cette phase, les chantiers navals de Skaramagas moderniseront leurs infrastructures pour construire des frégates technologiquement avancées. - **Construction de trois (3) frégates FDI supplémentaires**, assemblées et livrées localement, en intégrant la chaîne d’approvisionnement grecque avec l’aide de Naval Group. Une telle proposition offre des avantages significatifs pour la Grèce : - **Homogénéité de la flotte** avec des frégates du même type, réduisant les coûts de formation, permettant une logistique commune, une maintenance optimisée et une disponibilité accrue. - **Retombées industrielles majeures** pour l’industrie grecque. - **Développement complet** des chantiers navals grecs dans le domaine des navires de guerre de surface. - **Renforcement de la souveraineté nationale**, en permettant une autonomie industrielle pour la construction locale de navires. - **Opportunité pour la Grèce** de devenir un partenaire clé de Naval Group pour la construction future de FDI, soutenant l’initiative *Rearm Europe* et renforçant la résilience européenne. Cette proposition **n’arrive pas par hasard** (même si, pour ceux qui ont de la mémoire, elle coïncide avec l’échéance contractuelle de livraison de la frégate *Kimôn*, qui n’a pas encore commencé ses essais). Naval Group profite clairement de la « période de grâce » prévue par le contrat. Elle intervient à la **veille de la présentation** au Parlement par le Premier ministre et le ministre de la Défense du **nouveau programme d’armement sur 12 ans** des Forces armées, qui inclut la construction de nouvelles frégates (selon plusieurs sources, 1+4, dont la quatrième FDI-HN, considérée comme acquise par le *non-paper* français). Elle survient aussi alors qu’émerge la possibilité d’acquérir **au moins deux frégates italiennes d’occasion de classe Bergamini (FREMM)**. Certains y verront une tentative française de contrer cette acquisition, mais l’objectif réel est plus large : il s’agit du **programme potentiel de frégates de type *Constellation***, qui, bien que rarement évoqué officiellement, reste théoriquement d’actualité. Sa confirmation (ou infirmation) interviendra lors de la présentation du programme d’armement. Si les premières rumeurs évoquaient jusqu’à sept *Constellation*, un tel programme se déroulerait par phases sur 10 ans, avec des livraisons au mieux au début des années 2030. L’acquisition de frégates d’occasion (comme les Bergamini) permettrait de combler le besoin immédiat en « coques » et de remplacer les vieilles frégates de classe *S*. Dans le paysage limité des frégates d’occasion disponibles, les Bergamini sont la **meilleure solution coût-efficacité**. Leur acquisition pourrait reproduire le succès des années 1990, quand la Marine hellénique avait acheté des frégates néerlandaises de classe *Kortenaer* (S). Un scénario incluant les huit Bergamini permettrait de remplacer à terme les classe *S* **et** les MEKO 200HN. Par étapes : 1. Modernisation minimale des MEKO pour les maintenir 10 ans. 2. Acquisition des premières Bergamini (*Carlo Bergamini* F590 et *Virginio Fasan* F591) pour remplacer les *S*. 3. Remplacement progressif des autres *S* et, enfin, des MEKO. Cela repousserait tout programme neuf (comme les *Constellation*) après 2035. Si la Grèce renonce aux *Constellation*, elle pourrait alors construire des FREMM italiennes (GP-e ou FREMM-EVO), bénéficiant de l’homogénéité avec les Bergamini acquises. La proposition de Naval Group, bien que séduisante, soulève des questions de **temps et d’argent**. Actuellement, on ignore quand la Marine pourra financer de nouvelles frégates (probablement vers 2030). D’ici là, elle devra financer : - La modernisation des MEKO. - La quatrième Belh@rra. - L’achat de deux Bergamini (et leur armement). Pour le même coût (1,2–1,5 Md€), la Grèce pourrait acquérir **quatre Bergamini** au lieu d’une FDI. Même avec une quatrième Belh@rra (nécessaire), un plan ambitieux mais réaliste d’acquisition de quatre Bergamini remplacerait avantageusement les *S*, et huit permettraient de retirer les MEKO d’ici 10–12 ans. Dans ce cadre, un programme FREMM (GP-e ou EVO) rivaliserait avec l’offre française. Cependant, **l’éléphant dans la pièce** reste le programme *Constellation*, dont le sort (confirmé ou abandonné) sera révélé lors de la présentation du plan d’armement." --- ### Notes : 1. J'ai adapté certains termes techniques (ex. *non-paper* = document informel) et structuré le texte pour une meilleure lisibilité en français. 2. Les jeux de mots comme « σμπάρου » (artillerie) → « canonnade » sont rendus par des équivalents contextuels.
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J'ai suivi toutes les évolutions concernant les 3 FDI supplémentaires et j'étais sceptique en raison de la journée. Cependant, il semble de moins en moins probable qu'il s'agisse d'un poisson d'avril. https://www.kathimerini.gr/politics/amyna/563542441/fregates-fdi-protasi-gia-grammi-paragogis-stin-ellada-kai-epta-fregates-gia-to-pn/ Traduction de DeepL "Une proposition de création d'une ligne de production de navires de surface, de sous-marins et de systèmes autonomes (USV) a été soumise au gouvernement et au ministère de la Défense par le groupe français Group Naval, le fabricant des frégates FDI. Selon les rapports, la proposition implique la création d'une ligne de production locale, éventuellement sur les chantiers navals de Skaramanga, qui sera accompagnée d'un accord pour la fourniture de trois FDI supplémentaires à la Marine. Les frégates supplémentaires ne comprennent apparemment pas les trois IED en cours de construction à Lorian, ni la quatrième, qui sera également construite en France pour respecter les calendriers prévus. La proposition est examinée par le gouvernement grec, le ministère de la Défense nationale et la Marine, tandis que le plan de Group Naval a l'approbation du président français Emmanuel Macron et du ministre de la Défense Sébastien Le Corneille, qui est attendu à Athènes lundi. Si les deux parties se mettent d'accord, la Grèce disposera d'une flotte d'au moins sept frégates FDI d'ici le milieu de la prochaine décennie. Coproduction La proposition a été soumise à la fin de la semaine dernière et est actuellement examinée par Athènes. Pour sa mise en œuvre, outre l'accord d'achat des trois FDI, elle nécessitera l'accord du propriétaire du chantier naval (un protocole d'accord existe déjà avec les chantiers navals de Skaramanga) et les investissements appropriés, tandis que des aspects importants du programme, tels que l'identité du maître d'œuvre du projet (Group Naval ou le chantier naval grec), n'ont pas encore été clarifiés. Toutefois, ce que les sources ayant connaissance des négociations précisent, c'est que les Français semblent disposés à construire un certain nombre de projets en Grèce, en dehors de l'IED, tels que des sous-marins, des corvettes et des systèmes de surface sans pilote (USV). Selon les mêmes sources, de la seule construction des trois frégates supplémentaires de l'IED, la Grèce recevra des retours industriels allant jusqu'à 40 %, tandis que les Français proposent un transfert de savoir-faire, voire une coproduction ou un développement conjoint des futurs programmes, soulignant que « nous ne venons pas pour vendre des navires, mais une coopération stratégique ». Il est toutefois à noter qu'une proposition similaire était en cours de préparation il y a cinq ans, mais la partie grecque avait exigé que les trois IED soient construits en France afin qu'ils puissent être construits le plus rapidement possible et au moindre coût. La situation politique et économique a considérablement évolué depuis lors et la priorité est désormais de renforcer l'industrie de défense nationale et d'accroître sa participation aux grands programmes internationaux. Développements concernant le 4e FDI Selon certaines informations, les projets de contrats ont été achevés et les Français attendent maintenant le feu vert d'Athènes pour procéder à la construction de la quatrième frégate qui, selon le calendrier prévu, sera livrée à la marine en 2028. Le navire sera construit en version Standard II, comme les autres IED grecques, et aucune modification ne sera apportée pour les missiles stratégiques navals Scalp à ce stade, mais les quatre auront 32 cellules antiaériennes Aster 30. Les navires seront toutefois dotés de moyens de communication, d'armement et de soutien améliorés par rapport à leurs homologues de la marine française, les FDI. Les rapports indiquent que les Français intégreront également le nouveau système de guerre électronique à temps, mais ils restent discrets à ce sujet. Le coût de la 4ème FDI sera nettement inférieur à un milliard d'euros car elle ne concernera que le navire et non son armement, suite à une demande de la partie grecque. Les essais en mer du 1er IED grec, le F-601 KIMON, devraient débuter au cours de l'été, alors qu'il y a quelques jours se sont achevés les essais de l'IED français, qui se rendra à Brest pour recevoir son armement et être livré à la Marine française. Les premières conclusions de l'équipe grecque qui a participé aux essais du navire français sont extrêmement positives, selon des sources bien informées, alors que jusqu'à présent aucun problème sérieux n'a été détecté sur le navire qui concerne la marine française ou grecque. "
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À ma connaissance, la Marine hellénique prévoit d'acquérir des chasseurs de mines de classe Hunt de la Royal Navy britannique, qui les retire du service actif. Initialement, il y avait un intérêt pour l'acquisition de chasseurs de mines de classe Alkmaar auprès des Pays-Bas, mais l'accord n'a pas abouti en raison d'un manque d'intérêt, tandis que certains de ces navires ont été transférés à l'Ukraine. Je viens de faire une recherche et j'ai vu sur un site grec Naval Defence https://navaldefence.gr/hellenic-navy-close-to-deal-for-more-hunt-mine-hunters-from-uk/ « Les dragueurs de mines de la classe Hunt (13 ont été construits au total) servent dans la marine britannique, mais ont également été vendus d'occasion à la marine grecque, ainsi qu'à la marine lituanienne. En plus de leur rôle principal dans lequel ils sont très efficaces, ils peuvent effectuer des missions de patrouille en mer, car ils sont capables de rester en mer pendant de longues périodes et de consommer peu de carburant. La marine grecque a déjà acheté deux Hunt à la Grande-Bretagne, le « Callisto » (anciennement HMS Berkeley) et le « Europa » (anciennement HMS Bicester). Malheureusement, le « Callisto » a été détruit en 2020, après une collision avec un porte-conteneurs commercial dans le golfe Saronique. La marine britannique a toutefois décidé de retirer le Hunt du service actif, où elle en conserve actuellement 6, ce qui a conduit la Grèce à exprimer son intérêt pour leur acquisition. Auparavant, le pays avait tenté d'acquérir des dragueurs de mines de la classe Alkmaar auprès des Pays-Bas, mais cette transaction n'a pas abouti en raison du manque d'intérêt de la partie néerlandaise. La question de l'acquisition du British Hunt a récemment été abordée lors de la réunion entre le Premier ministre grec et son homologue britannique à Londres, et nous savons que cette question figure en bonne place dans l'agenda de la coopération en matière de défense entre les deux pays. L'acquisition de ces navires pourrait considérablement renforcer les capacités de la Grèce en matière de guerre des mines et de surveillance des frontières maritimes, tout en s'appuyant sur l'expérience et l'expertise déjà acquises au niveau national. En outre, la poursuite de la coopération avec le Royaume-Uni pourrait garantir un soutien en matière de maintenance et de pièces détachées, ce qui est essentiel pour l'utilisation à long terme des navires. Cependant, il y a aussi des défis à relever. Les navires ont passé de nombreuses années en service actif (ils ont été mis en service entre 1981 et 1985) et leur retrait par les Britanniques pourrait impliquer des investissements dans la maintenance et les mises à niveau pour les maintenir opérationnels. Toutefois, la marine estime que la capacité de construction navale existante en Grèce est suffisante pour reconstruire les navires et les maintenir en service pendant plusieurs années. Les navires ont un déplacement de 660 tonnes, une longueur de 60 mètres et un tirant d'eau de 2,2 mètres. Ils sont équipés d'un sonar de type 2193, d'un système de lutte contre les mines sous-marines, d'un canon DS30B de 30 mm et de mitrailleuses légères. La coque est en plastique renforcé de fibre de verre pour une empreinte magnétique minimale ».
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La Marine hellénique recherche désespérément des frégates plus modernes, car elle possède certaines unités très anciennes, comme les frégates de type Kortenaer. Par exemple, la frégate « Elli » a été construite en 1975, ce qui signifie qu’elle est en service depuis 50 ans ! Les frégates de type Constellation, à mon avis, représentaient une décision politique qui, heureusement, semble s’éloigner. Elles présentent de nombreux inconvénients et, lorsque j’ai appris que le gouvernement grec souhaitait en faire l’acquisition, j’en suis resté bouche bée. De nombreux utilisateurs sur les forums grecs ont exprimé des opinions négatives à propos de ce choix, le jugeant incompréhensible étant donné que ces navires sont considérés comme inadaptés pour la Méditerranée. Quant aux deux frégates d’occasion de type Bergamini, d’après ce que j’ai lu, leur coût total s’élèverait à 800 000 000 € (sans qu’il soit précisé si les missiles et les autres équipements sont inclus), bien que je pense que le prix final sera certainement plus élevé.
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J’ai lu sur plusieurs sites grecs fiables (de défense) qu’il existe une possibilité d’acquérir des frégates d’occasion de type Bergamini, mais uniquement lorsqu’elles seront disponibles (à partir de 2027 ?). Je peux fournir des liens provenant de sources fiables, si vous le souhaitez
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
GR_Silent a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Si la structure du Rafale était conforme aux spécifications initiales, quel serait son allègement ? S’il s’agit d’une différence de seulement 100 kg, l’impact serait minime — il serait peut-être même préférable qu’il soit plus robuste et ait une durée de vie plus longue. En revanche, si la différence atteint 300 à 500 kg, cela pourrait poser un problème de poids susceptible d’affecter l’autonomie. -
Il provient de LA TRIBUNE selon defencereview.gr https://defencereview.gr/nees-exigiseis-kai-apokalypseis-gia-ti/ "Concernant une publication d'aujourd'hui du journal français LA TRIBUNE, selon laquelle le ministre de la Défense nationale, M. Nikos Dendias, n'aurait pas répondu aux demandes de son homologue français, Sébastien Lecornu, pour une rencontre à Athènes afin de discuter des développements concernant la vente des missiles Meteor à la Turquie, des sources du ministère de la Défense nationale soulignent ce qui suit : Le ministre français de la Défense a envoyé une lettre au ministre grec de la Défense (datée du 6 février 2025, envoyée par courrier électronique le vendredi 7 février 2025), dans laquelle il proposait, entre autres, une rencontre à Athènes afin que les deux ministres puissent discuter de la question qui avait surgi (bien que, comme mentionné, cette question ne relevait pas de la compétence de la France). Le ministre de la Défense nationale, se trouvant aux États-Unis, a répondu par une lettre le lundi 10 février, déclarant qu'il avait hâte d'accueillir son homologue à Athènes à un moment mutuellement convenable. À la veille du Conseil des ministres de la Défense de l'OTAN, alors que M. Dendias voyageait de Washington à Bruxelles, une demande de rencontre entre les deux ministres a été transmise à la Représentation permanente grecque auprès de l'OTAN par l'intermédiaire de la Représentation française. En raison du court laps de temps dont disposaient les deux ministres pour discuter d'une question aussi importante, il a été proposé par la partie grecque que la rencontre ait lieu à Athènes, comme initialement demandé par la partie française, proposition qui a été acceptée. Le vendredi 28 février, le ministre français de la Défense a transmis au ministre grec une lettre qu'il avait envoyée à son homologue britannique, dans laquelle M. Lecornu demandait au Royaume-Uni de prendre en compte les préoccupations d'Athènes concernant la vente des EUROFIGHTER. Parallèlement, le ministre français de la Défense a exprimé son regret que la rencontre n'ait pas eu lieu à Bruxelles et a réitéré sa proposition de tenir une rencontre à Athènes. Le lendemain, samedi 1er mars 2025, M. Dendias a remercié son homologue par lettre pour l'information, a expliqué les raisons pour lesquelles la rencontre du 13 février n'avait pas pu avoir lieu et a renouvelé son invitation ouverte au ministre français pour une rencontre à Athènes, qui serait fixée prochainement par le biais des canaux diplomatiques."