Si la voix de l'ifri portait autant que celle du GAO, c'est qu'ils auraient sacrément pris du galon.
On peut faire un mauvais rapport qui soit en fait salutaire.
Si certains éléments, notamment techniques (e.g. les raisonnements sur la bande X), sont 'discutables' pour ne pas dire plus, l'important est que l'ifri réussisse à secouer le cocotier.
Je ne serai pas étonné d'entendre également des voix américaines se manifester pour défendre les intérêts de l'USAF face à la nouvelle administration.
En particulier faire comprendre que, quelle que soit la glissade budgétaire actuelle, ce n'est pas une bonne idée de déplumer à court terme les programmes actuels.
C'est un peu la direction du dernier National Defense Authorization Act laissé en héritage.