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Tout ce qui a été posté par collectionneur

  1. Donc, en 2014, l'Union Européenne était considéré comme une alliance militaire capable de mettre en péril la Russie ?
  2. Gaz de ville ou attaque au gaz au QG des SR suédois ? Le siège du service de renseignement suédois Sapo a été évacué, vendredi 23 février, et huit personnes ont été hospitalisées avec des « symptômes » après une alerte au gaz dont la nature n’a pas été précisée par les autorités. Des images tournées sur place ont montré des policiers équipés de masques à gaz, ainsi que des véhicules de secours autour du siège du Sapo. « Il y a eu aujourd’hui vers 13 heures des indications selon lesquelles il y avait une substance dangereuse au siège du Sapo », a dit Patrick Soderberg, le médecin en chef des services de santé de la région de Stockholm. « Huit personnes au total ont été prises en charge à l’hôpital avec des symptômes », a de son côté indiqué l’administration de la région de Stockholm dans un communiqué, ajoutant que « la cause de la fuite n’était pas claire » https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/24/le-siege-du-renseignement-suedois-evacue-huit-personnes-hospitalisees-apres-une-alerte-au-gaz_6218246_3210.html
  3. La, ce qui m'étonne un peu dans cette vidéo, c'est que les fantassins sont autant visibles en IR, ils n'ont pas d'uniforme avec le camouflage anti-infrarouge ? En France, on à était quasiment les derniers de l'OTAN à l'adopté vers 1990.
  4. @GOUPIL Un de mes correspondants, Thomas Diana, écrivain uchronique et tenant un blog, à fait également une critique sur celui ci, et comme vous, son avis est assez mitigé. Cela ne vaut pas des vrais technotrilhers : https://blogconstellations.home.blog/2022/02/03/ces-guerres-qui-nous-attendent-2030-2060-red-team/
  5. Un yakuza inculpé aux États-Unis pour trafic de matériel nucléaire de qualité militaire a destination de l'Iran et de drogues au profit d'un groupe de la guérilla, il voulait acheter des missiles sol air entre autres ! Je ne trouve pas l'origine du yellowcake https://www.20minutes.fr/monde/etats-unis/4077602-20240222-etats-unis-chef-yakuza-inculpe-trafic-materiel-nucleaire https://www.reuters.com/world/us-charges-japanese-crime-leader-with-trafficking-nuclear-materials-myanmar-2024-02-22/ Résumé du DoJ : https://www.justice.gov/usao-sdny/pr/us-attorney-announces-nuclear-materials-trafficking-charges-against-japanese-yakuza A partir de 2020, il s’est vanté auprès d’un agent sous couverture qu’il avait accès à de vastes quantités de matériel nucléaire et qu’il cherchait à les vendre. Takeshi Ebisawa a fourni des photos du matériel à côté de compteurs Geiger, qui mesurent la radioactivité. Il avait était arrêté en avec 2022 pour trafic d'armes avec trois thaïlandais dont un général au profit de l'« Armée unie de l’État Wa » (UWSA) https://raids.fr/2022/04/13/yakusa-arrete-aux-etats-unis/ Takeshi Ebisawa pose avec un lance-roquettes lors d'une réunion avec un informateur et deux policiers danois infiltrés dans un entrepôt à Copenhague, au Danemark, le 3 février 2021,
  6. La Bibliothèque Sonore Romande propose ce titre si vous étes malvoyant https://www.bibliothequesonore.ch/livre/73055 Ces guerres qui nous attendent: 2030-2060 Red Team Le tome trois est sortie début février 2024 : Deux scénarios terriblement probables qui pulvérisent les frontières Face à l'Hydre. (2027-2045) La militarisation de la société civile, c'est le sujet de ce palpitant scénario malheureusement réaliste. L'eshu, implant d'un nouveau genre mis au point en 2027, permet l'assimilation instantanée de nouvelles connaissances et capacités dans tous les domaines pour tout individu (en commençant par les enfants). Ces connaissances réversibles n'altèrent en rien les volontés individuelles. Peu à peu, ces implants se diffusent et leur utilisation se généralise dans certaines régions du monde. Ils deviennent aussi des leviers de création ad hoc et immédiate d'une armée à partir de populations civiles par l'injection de savoirs militaires. Cette armée a pour nom l'Hydre, empruntant à l'animal mythologique sa capacité à se renouveler à l'infini : chaque individu volontaire pouvant s'implanter à tout moment des connaissances adéquates selon le besoin et son environnement. Progressivement, les capacités de l'eshu s'étendent et ouvrent la voie à la possibilité d'une action collective : les individus dotés d'un eshu communiquent les uns avec les autres de manière décentralisée et instantanée, voire symbiotique. Ce qui assure à l'Hydre une domination stratégique dans les régions où elle s'est implantée. La ruée vers l'espace (2035-2075) L'accès à l'espace s'est considérablement démocratisé à la suite d'innovations technologiques. Les ressources spatiales tant sur la Lune que dans les ceintures d'astéroïdes plus lointaines deviennent abordables et nourrissent les appétits industriels et économiques d'acteurs étatiques et privés. Des rapprochements s'opèrent, des alliances se créent pour assurer l'exploitation des minerais stratégiques, source principale d'énergie, au point que les grandes nations et leurs partenaires deviennent dépendant de l'économie spatiale. La compétition entre deux méga-consortiums soutenus par les agences publiques se traduit par des pratiques de sabotage et de déni d'accès, avant d'escalader vers une confrontation spatiale ouverte. Dans cet univers spatial, dans ce nouveau Far West qui échappe à la loi des états, quel sera le seuil de déclenchement d'une guerre spatiale ?
  7. Un informateur qui balancait des mensonges reprit par les républicains et Trump passe aux aveux : https://www.lexpress.fr/monde/amerique/un-ancien-indic-du-fbi-recevait-de-fausses-informations-russes-sur-biden-et-son-fils-V4VESBNXGVDC3EBORYB66J7J7I/ Etats-Unis : un ex-indic du FBI recevait de fausses informations russes sur Biden et son fils Monde. Un ancien informateur du FBI, poursuivi pour avoir fabriqué de fausses accusations de corruption contre Joe Biden et son fils, a avoué aux enquêteurs avoir reçu des informations de responsables "associés aux renseignements russes", ont dévoilé mardi les procureurs américains en charge de l’affaire. Ses informations transmises au FBI à propos de Joe et Hunter Biden avaient été utilisées par les républicains au Congrès pour soutenir leur enquête en destitution contre le président américain. Mais Alexander Smirnov, 43 ans, ex-indicateur américano-israélien de la police fédérale, a avoué avoir reçu des informations de responsables "associés aux renseignements russes", a dévoilé mardi 20 février le procureur spécial américain David C. Weiss dans un document judiciaire déposé devant le tribunal du Nevada. L’ancien indic avait été arrêté jeudi dernier à Las Vegas et inculpé le lendemain, pour avoir menti et fabriqué des allégations de corruption concernant Joe Biden et son fils, Hunter. Selon ses informations, transmises au FBI en juin 2020, ils auraient touché des pots-de-vin à hauteur de cinq millions de dollars de la part de l’entreprise gazière ukrainienne Burisma, dont Hunter Biden était alors membre du conseil d’administration, pour permettre à la société d’échapper à des poursuites.
  8. @Picdelamirand-oil Question destiné plus à Thalès qu'à Dassault, dixit Bruno.
  9. @Patrick @herciv@Picdelamirand-oil @Conan le Barbare Bruno pour son travail doit faire un tour à Dassault pour la présentation des chiffres 2023. Il y a une session de questions réponses, et il propose que les membres du forums écrivent des questions pertinentes; qui est un minimum un lien avec la partie financière, rythme de production - pourquoi sur la partie approvisionnement en matières premières ? -.
  10. Blagues éculées écrites à chaque fois sur les simulations du F-35 a évités. J'efface.
  11. Première partie d'un reportage sur l'ile de Kinmen à 6 km de la cote ou entre le 25 et 27 octobre 1949 une tentative de débarquement de la part de l'APL a eu un bilan pire que pour la plage d'Omaha : 3873 morts 5175 prisonniers pour 19 000 hommes engagés coté PCC dont 9000 débarqués contre 1267 tués et 1982 blessés cotés nationalistes : https://en.wikipedia.org/wiki/Battle_of_Guningtou
  12. @Clemor Arrondi vers le haut, mais la chute est assez brutale avec un habitant sur dix qui a plus de 80 ans: https://www.lepoint.fr/monde/japon-chute-record-de-la-population-en-2022--26-07-2023-2529608_24.php Le nombre d'habitants de nationalité japonaise était de 122,42 millions au 1er janvier 2023, soit quelque 800.500 personnes de moins par rapport à 2021, selon un rapport du ministère des Affaires intérieures. Cette diminution de 0,65 % est la plus importante depuis 1968, année depuis laquelle des statistiques comparables sont disponibles, a ajouté le ministère. Et les statisticiens ne sont pas optimistes : https://www.courrierinternational.com/article/chiffre-du-jour-le-japon-devrait-viser-une-population-de-80-millions-d-habitants-d-ici-a-2100 En 2023, la crise démographique du Japon s’est poursuivie, avec un point bas de 729 000 naissances, en baisse de 5,5 % par rapport à l’année 2022, comme le relevait en novembre le quotidien économique Nihon Keizai Shimbun, reprenant des analyses de Takumi Fujinami, chercheur au centre de recherche Japan Research Institute. Devant cette situation inquiétante, la Réunion sur les stratégies démographiques, un panel composé de spécialistes et d’hommes et de femmes d’affaires et dirigé par l’ancien président de la Chambre du commerce et de l’industrie du Japon Akira Mimura, a soumis un rapport détaillant des mesures de lutte contre la baisse de la population au Premier ministre, Fumio Kishida, mardi 9 janvier, rapporte le quotidien Tokyo Shimbun. Le rapport, alarmiste, se fonde sur la projection de l’Institut pour la population et la sécurité sociale du Japon, affilié au ministère de la Santé du pays, selon laquelle la population du pays devrait baisser de moitié d’ici à 2100 pour s’établir à 63 millions. Il souligne que, “si le déclin démographique se poursuivait au rythme actuel, le maintien de tous les systèmes économiques et sociaux serait impossible, relève la chaîne publique du pays NHK. Et nombre de collectivités territoriales disparaîtront, surtout en province, frappée davantage [que les grandes villes] par la baisse de population.” Éviter l’effondrement du système de protection sociale Afin d’éviter ce sombre scénario, le panel propose de viser une stabilisation de la population japonaise à 80 millions d’habitants à l’horizon 2100. Et préconise l’instauration au sein du gouvernement d’un bureau spécialisé dans les stratégies démographiques, qui piloterait toutes les mesures – parmi lesquelles l’amélioration de l’emploi des jeunes, la promotion du statut des femmes au travail et la création d’un système d’aide aux jeunes couples. Mais dans un Japon où le taux de natalité est en chute libre, un tel objectif est-il atteignable ? La NHK précise que, pour ce faire, il faudrait passer à un taux de 1,8, contre 1,26 aujourd’hui. Reconnaissant l’ampleur de la difficulté, le rapport souligne que l’objectif n’est toutefois “pas irréalisable, si l’on réunit toutes nos forces”.
  13. Pas trouver en VOSTF, n'étant pas abonné; les 8 épisodes d'une heure en VOSTA sont visible ici : https://dramanice.com.co/drama/the-silent-service-2023/
  14. Condamnation de complotistes pour diffamation, mais leurs stupidités ayant contaminé le net tourne toujours... Aux Etats-Unis, la victoire juridique d’un climatologue braque les projecteurs sur les attaques contre les scientifiques Douze ans après les faits, deux blogueurs d’extrême droite ont été condamnés par la cour supérieure de Washington pour diffamation contre le paléoclimatologue Michael E. Mann. https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/02/15/aux-etats-unis-la-victoire-juridique-d-un-climatologue-braque-les-projecteurs-sur-les-attaques-contre-les-scientifiques_6216694_3244.html C’est une décision judiciaire qui pourrait faire date pour la communauté scientifique, fréquemment ciblée en ligne par les sphères complotistes. Jeudi 8 février, deux blogueurs américain et canadien d’extrême droite, Rand Simberg et Mark Steyn, ont été condamnés par la Cour supérieure de Washington à verser des dommages et intérêts allant jusqu’à 1 million de dollars au paléoclimatologue Michael E. Mann, qu’ils avaient comparé à un pédocriminel. Pour comprendre cette histoire, il faut revenir en 2012, âge d’or de la blogosphère. Michael E. Mann est alors professeur de sciences du climat à l’université de Pennsylvanie. Le scientifique, qui a inspiré le personnage joué par Leonardo DiCaprio dans le film Don’t Look Up (2021), est célèbre pour avoir conçu en 1998 une courbe surnommée « crosse de hockey », l’une des premières modélisations de l’augmentation des températures sur mille ans, montrant 900 années plutôt constantes et une brusque augmentation au XXe siècle. Plusieurs climatosceptiques l’accusent déjà d’exagérer la situation.....
  15. @Conan le Barbare J'ai vu le premier épisode, beau graphisme, mais le scénario ne semble pas tellement élaboré.
  16. @Patrick Même soucis concernant l'exportation de poudre pour munition de l'usine Eurenco Clermont en Belgique vers Israël. Deux licences suspendu par le gvt régional wallon depuis début février : https://www.lesoir.be/566333/article/2024-02-05/guerre-israel-hamas-sous-pression-la-wallonie-suspend-des-licences-dexport# https://www.humanite.fr/monde/belgique/belgique-le-gouvernement-wallon-suspend-ses-livraisons-darmes-a-israel
  17. Encore un coup de tonnerre montrant le disfonctionnement politique aux États-Unis. Ce précédent pourra être utilisé pour démolir n'importe quel membre du gouvernement par le parti ayant la majorité . .. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/les-republicains-a-la-chambre-inculpent-le-ministre-de-biden-charge-de-l-immigration-20240214 Le secrétaire à la Sécurité intérieure Alejandro Mayorkas a été destitué mardi 13 février par les Républicains à la Chambre des représentants. Il était accusé de «crimes et délits graves » pour avoir «délibérément et systématiquement» refusé de se conformer aux lois des États-Unis sur l'immigration en ne détenant pas systématiquement les migrants illégaux interpellés à la frontière mexicaine et en laissant pénétrer certains sur le territoire américain, ainsi que d'avoir abusé le public américain en affirmant avoir le contrôle de la situation sur la frontière. «Depuis son entrée en fonction, le secrétaire Mayorkas» a alimenté «la pire catastrophe frontalière de l'histoire des États-Unis», a déclaré le président républicain de la Chambre Mike Johnson dans un communiqué publié après le vote de destitution. En démettant de ses fonctions un membre de l'administration démocrate, les républicains créent un précédent historique, la procédure n'ayant pas été utilisée contre un ministre depuis plus d'un siècle. Ce vote témoigne de la profondeur de la division entre les deux partis au Congrès. Une première tentative avait échoué la semaine dernière à une voix près.
  18. .... L'année 1967 a commencé avec l'Opération Bolo, au cours de laquelle la 8e Escadre de chasse tactique du colonel Robin Olds, équipée de F-4 Phantoms, a tendu une embuscade en imitant les itinéraires, les indicatifs d'appel et même les modules de brouillage radar que les F-105D Thunderchiefs utilisaient sur leur moyen de bombarder des cibles au Nord-Vietnam. Lorsque les MiG-21 nord-vietnamiens sont arrivés pour intercepter les « Thunderchiefs », ils ont été surpris de rencontrer des Phantom équipés de missiles pour le combat air-air, au lieu des F-105D chargés de bombes qu'ils attendaient. Lors de cet engagement, le 2 janvier, les équipages d'Olds ont revendiqué sept MiG-21 tués sans perte. Après avoir pansé leurs blessures, les pilotes nord-vietnamiens ont recommencé à défier les aviateurs américains fin avril, mais à mesure que les combats s'intensifiaient en mai, il est devenu évident qu'ils n'y parviendraient pas. Entre janvier et juillet, les chasseurs de l'US Air Force effectuant des missions air-air ont abattu 29 MiG tout en n'en perdant que deux, soit un ratio de destruction de 14,5 contre 1. Il n’est pas étonnant que les hauts gradés de l’Air Force n’aient pas vu un problème dans le programme de formation de leur force de chasse. Une fois sa suprématie aérienne pleinement établie, l'US Air Force a mis en œuvre une mesure d'économie de force, en utilisant des Phantoms qui pouvaient être déployés à la fois pour des frappes à la bombe et des patrouilles aériennes de combat. Ces avions STRIKE/CAP étaient principalement envoyés pour des missions de largage de bombes, mais pouvaient larguer leurs munitions air-sol et devenir des chasseurs air-air si nécessaire. Même si cette approche était logique à l’époque, elle s’est avérée être une erreur majeure. Tactiques d'embuscade L’armée de l’air nord-vietnamienne, ayant perdu la moitié de ses avions de combat en quelques semaines entre mars et juin 1967, entre dans une période d’auto-examen, d’entraînement et de reconstitution. Parce que les Nord-Vietnamiens ne pouvaient pas prendre le contrôle du ciel en défiant directement les aviateurs américains, ils ont adopté une tactique différente qui a créé des maux de tête à l’US Air Force jusqu’à la fin de la guerre. Le 23 août 1967, un radar au sol nord-vietnamien a guidé un MiG-21 vers une position derrière quatre F-4 Phantom chargés de bombes en formation rapprochée pour maximiser leurs mesures de brouillage radar contre les missiles sol-air, appelés SAM. Le MiG a effectué une passe supersonique, a lancé un missile air-air soviétique AA-2/Atoll qui a abattu le Phantom n°4 et a dépassé la formation pour se mettre en sécurité. Cet incident était une sombre nouvelle pour les tacticiens de l’US Air Force. "Le différentiel élevé de vitesse entre les MiG attaquants et les STRIKE/CAP F-4 rendait pratiquement impossible pour les F-4 d'accélérer suffisamment vite pour constituer une menace sérieuse pour les MiG-21", a déclaré le "Baron Rouge" de l'Air Force. », qui a été rédigée immédiatement après la guerre et examinait les performances du combat aérien en Asie du Sud-Est. « Parce que les MiG-21 n'engageaient que lorsqu'ils étaient dirigés par un radar, ce qui leur procurait à la fois une surprise et un avantage de position, les forces amies n'avaient aucune possibilité d'atteindre une position de tir mortelle sur les MiG attaquants. Tant que les MiG-21 maintenaient la tactique à grande vitesse du seul passage et refusaient tous les autres engagements, les vols STRIKE/CAP ne pourraient offrir aucune véritable protection. L'Air Force a initialement rétabli sa tactique consistant à envoyer des chasseurs d'escorte dédiés pour accompagner les porte-bombes, mais cela s'est également révélé inefficace. "Pour être efficaces contre les tactiques de délit de fuite des MiG-21, les vols MIGCAP ont dû quitter la force de frappe et intercepter les MiG-21 attaquants avant de pouvoir lancer leurs courses à grande vitesse", selon le Red Rapport Baron. Pourtant, sans support radar efficace pour positionner correctement les avions de combat entre les MiG et les porte-bombes, cette tactique était pleine de risques. Face à la fois à la menace SAM et aux MiG supersoniques, l’Air Force a commencé à construire de plus grands groupes d’avions pour les missions de bombardement. Les « packs de frappe » contenaient 40 avions ou plus, dont des porte-bombes, des « Wild Weasels » (des F-105F biplaces et des G Thunderchiefs équipés d'équipements pour détecter et détruire les sites SAM), des avions de reconnaissance et de brouillage radar, des F-4 Phantom. des escortes de chasseurs à proximité des porte-bombes et des MiGCAP F-4, qui étaient libres de s'éloigner du peloton et de s'en prendre agressivement aux MiG. Les nouvelles formations offraient une protection relativement bonne aux porte-bombes au cœur de la formation mais laissaient les avions en périphérie vulnérables. À mesure que de plus en plus d’avions américains étaient abattus et que les taux de mortalité s’aggravaient, la frustration des équipages de l’Air Force augmentait. Au cours des derniers mois de l'opération Rolling Thunder, fin 1968, l'ennemi a abattu 22 avions de l'Air Force pour un coût de 20 MiG. Dans tous les cas, les victoires des MiG ont été déclenchées depuis l'arrière d'une cible inconsciente. Ce fut une tournure lamentable des événements, le taux de mortalité global de l'US Air Force passant de 4,1-1 à 2,3-1. Le seul point positif de cette période était que les avions MiGCAP maintenaient un taux de mortalité respectable de 3,5 contre 1, malgré les avantages de l'armée de l'air nord-vietnamienne. Toutefois, si l’armée de l’air américaine ne parvenait pas à résoudre le problème des attaques surprises, le succès des opérations futures serait compromis. S'affronter, encore une fois Lorsque les forces américaines reprirent leurs opérations généralisées au Nord-Vietnam au printemps 1972, les Nord-Vietnamiens décidèrent une fois de plus de défier de front les frappes américaines. Entre février et début mars, l'US Air Force a réussi huit attaques décisives sans perte. Puis, le 10 mai, l'armée de l'air a échangé les Nord-Vietnamiens trois contre deux lors de la première bataille majeure de l'opération Linebacker. La Marine, avec plusieurs diplômés du nouveau cours Topgun dans les airs, a contré l'essentiel de l'action nord-vietnamienne ce jour-là et a abattu sept MiG-17 et un MiG-21 sans aucune perte. Ce fut le pire jour de la guerre pour l’armée de l’air nord-vietnamienne, comparable au choc de l’opération Bolo plus de cinq ans plus tôt. La réaction de Hanoï a été rapide, radicale et appropriée. Les MiG-17, désormais obsolètes, furent en grande partie retirés du combat. Ils ne seraient impliqués que dans sept autres batailles décisives pour le reste de la guerre. L'armée de l'air nord-vietnamienne est revenue à sa tactique d'embuscade supersonique réussie avec le MiG-21. Ces tactiques étaient cependant extrêmement difficiles à déployer contre des avions embarqués et, par conséquent, le rôle de la Marine dans les combats air-air au-dessus du Nord-Vietnam diminuait considérablement. La Marine n'a enregistré que 11 victoires et trois défaites pour le reste de la guerre. (La Marine n'a eu que 22 batailles décisives avec des MiG-21 au cours de toute la guerre.) Après le 10 mai, la guerre air-air est effectivement devenue un spectacle de l'Armée de l'Air. Retour à Tactiques d'embuscade Le changement de tactique du Nord-Vietnam a fonctionné. Pendant un bref instant en juin 1972, les MiG-21 prirent l'ascendant, abattant cinq Phantoms de l'Air Force lors de missions air-air pour une perte de seulement deux. Quatre des cinq pertes étaient le résultat de MiG-21 supersoniques attaquant des cibles inconscientes par derrière, tandis que l'une des victoires américaines a été remportée lors d'un renversement face à un MiG attaquant. Les pertes étaient suffisamment inquiétantes pour amener l'Air Force à réévaluer ses tactiques. Le mois de juillet s'est avéré à peine meilleur, les chasseurs de l'Air Force échangeant six victoires contre cinq défaites. La force MiGCAP, axée sur les opérations offensives, a cependant montré ses avantages en remportant quatre de ces six victoires sans aucune perte. Une fois de plus, les cinq pertes américaines provenaient d'attaques supersoniques sévères contre des avions ignorant qu'ils étaient dans le champ de vision de l'ennemi. Mais les choses étaient sur le point de changer. L’ère du Teaball En août 1972, l’Air Force obtint enfin sa réponse technique au problème de l’alerte d’attaque : un centre de contrôle appelé Teaball. Le centre, situé sur la base aérienne royale thaïlandaise de Nakhon Phanom, a fusionné les informations provenant des sources de renseignement disponibles et a fourni des alertes MiG en temps réel sur un ensemble complexe de réseaux radio. Les équipages de l’Air Force ont acquis la connaissance de la situation qui leur manquait – et dont les équipages de la Marine avaient bénéficié – depuis le début de la guerre. Teaball a essentiellement résolu le problème des embuscades. Seuls six avions de l'Air Force de tous types ont été perdus au profit des MiG après le lancement de Teaball, dont au moins la moitié ont été abattus lors d'une interruption des communications de Teaball. Au cours de la même période, l'armée de l'air a abattu 26 MiG, dont 23 au cours de missions air-air, entraînant la perte de trois avions américains (les équipages d'autres missions, comme les artilleurs des bombardiers B-52, ont été abattus par les autres MiG). ). Les 26 MiG tués par l'Air Force entre août 1972 et le retrait de toutes les forces américaines en janvier 1973 sont légèrement supérieurs au nombre de victoires remportées par la Marine au cours de toute l'année 1972 (25 victoires) et près de la moitié du record de la Marine sur l'ensemble de l'année. guerre (56 tués). L'armée de l'air a enregistré un total de 137 victimes pendant la guerre du Vietnam. Les avions de l'Armée de l'Air de tous types en mission air-air avaient un taux de mortalité global de 3,8-1 pour toute la guerre. Dans une comparaison comparable avec les F-86 en Corée, les MiGCAP F-4 de l'armée de l'air au Vietnam avaient un ratio de destruction de 5,5-1, avec une très forte tendance à la hausse vers 15-1 au cours des cinq derniers mois de l'année. la guerre, dépassant largement les résultats de la guerre de Corée de 10-1. Les taux de mortalité de la Marine, impliquant un nombre d'engagements beaucoup plus réduit, étaient de 4,7-1 pour les avions de tous types pendant toute la guerre, de 6,4-1 pour les missions MiGCAP pendant toute la guerre et de 8,7-1 pour les MiGCAP à l'époque Topgun. Libérée par Teaball pour être plus agressive sans crainte d'embuscade, la force MiGCAP s'en est spectaculairement bien sortie, en abattant 15 et en n'en perdant qu'un. En bref, lorsque l’Armée de l’Air bénéficiait de conditions similaires à celles dont bénéficiait la Marine, les résultats des deux services étaient très similaires. L'héritage de la puissance aérienne de la guerre L'analyse d'après-guerre a montré que 81 pour cent de tous les avions américains perdus au combat n'étaient pas au courant d'une attaque ou en étaient conscients trop tard pour se défendre. La principale raison des taux de mortalité insatisfaisants était claire : les excellentes tactiques nord-vietnamiennes exploitaient le manque d'alerte radar de l'armée de l'air. Même si une formation plus importante et de meilleure qualité est toujours souhaitable, il est difficile de comprendre comment elle aurait pu surmonter cet inconvénient. Quatre ans après la fin de la guerre aérienne au Nord-Vietnam, l'Armée de l'Air a trouvé sa véritable solution au problème de la surprise : le E-3 Sentry avec radar du système d'alerte et de contrôle aéroporté, appelé AWACS, qui peut collecter des informations sur la position des avions ennemis. et le relayer directement aux combattants. Depuis lors, un seul avion américain a été perdu en combat aérien : le Lt. Cmdr. Le F-18 Hornet de Scott Speicher, abattu le 17 janvier 1991 par un MiG-25 irakien lors de la première nuit de l'opération Tempête du désert. Aujourd'hui, le F-35 Lightning II embarque une suite de capteurs embarqués avec le potentiel de donner à son pilote une connaissance de la situation sans assistance externe comme celle fournie par l'AWACS. Le Lightning II intègre les informations qu'il a recueillies et les partage avec d'autres avions, compilant ainsi une « vue plongeante » de l'espace de combat qui élimine pratiquement le risque d'être pris au dépourvu par un chasseur ennemi. À quel point la guerre du Vietnam aurait-elle été différente si les États-Unis avaient déployé des avions qui non seulement étaient presque impossibles à surprendre, mais qui pouvaient également renverser la situation furtivement face aux attaquants ennemis ? Les Nord-Vietnamiens auraient sûrement opté pour la préservation de leurs forces et retenu leurs combattants du combat, tout comme les ennemis de l'Amérique ont appris à le faire trois décennies plus tard . Auteur : William A. Sayers a reçu une commission de l'Air Force après avoir obtenu son diplôme de Texas Tech en 1981. Il est titulaire d'une maîtrise en études militaires et en études stratégiques de la Marine Corps University. Il a passé 28 ans comme analyste militaire à la Defense Intelligence Agency, au National Counterterrorism Center et à la CIA. Cet article a été initialement publié dans le numéro de juin 2018 du Vietnam Magazine
  19. L'USAF était elle si nulle que cela au début de la guerre du Vietnam en combat aérien ? Pas si sûr... Cliquez sur la demande de traduction avant d'ouvrir la page, sinon elle devient réservée aux abonnés des la deuxième lecture. https://www.historynet.com/great-kill-ratio-debate/ Dans les premières années de la guerre du Vietnam, les performances des pilotes de chasse américains dans les combats aériens semblaient loin derrière celles de leurs homologues de la guerre de Corée. En Corée, les pilotes du F-86 Sabre ont balayé le ciel et atteint des taux de mortalité incroyables, mettant fin à la guerre avec environ 10 victoires pour chaque F-86 perdu. En revanche, les taux de mortalité au cours de la première moitié de la guerre du Vietnam dépassaient à peine l’humiliant 2-1. Il semblait que les pilotes de chasse américains avaient perdu toute connaissance du combat air-air au cours de la décennie entre les guerres de Corée et du Vietnam, selon l’opinion communément admise. La marine américaine, cependant, a pu accumuler de meilleurs scores après avoir créé la Topgun Fighter Weapons School en mars 1969, selon la théorie, tandis que l'US Air Force a évité cette voie et a été complètement humiliée par les rusés pilotes nord-vietnamiens. C'est le point de vue avancé dans des films à succès tels que Top Gun de Tom Cruise en 1986 , dans les programmes télévisés de History Channel et dans d'innombrables livres, mais est-ce un récit précis de ce qui s'est passé ? La réponse est non, même pas proche. Le contraste entre les taux de mortalité de la guerre de Corée et ceux du Vietnam constitue une comparaison injuste pour plusieurs raisons. Tout d’abord, le taux de mortalité de la guerre de Corée a été tiré de près de 900 combats décisifs (ceux ayant entraîné une perte d’avion), un nombre important qui semble conférer une validité statistique aux conclusions tirées de ces données. Les taux de mortalité au Vietnam sont compilés à partir d'un ensemble de données beaucoup plus restreint, qui permet de tirer des conclusions sur les taux de mortalité sur des terrains fragiles, en particulier pour le combat aérien de la Marine. Au total, 269 avions américains et ennemis ont été abattus lors de combats aériens au-dessus du Vietnam pendant toute la guerre : 201 lors de combats entre l'US Air Force et l'armée de l'air nord-vietnamienne et seulement 68 lors des combats aériens de l'US Navy avec les forces aériennes nord-vietnamiennes. Nord-vietnamiens. Au cours de ces combats, l’US Air Force a perdu 64 avions et la Navy 12. Deuxièmement, en raison des différentes méthodes utilisées pour calculer les ratios de mortalité au cours des deux guerres, toute tentative de placer ces ratios côte à côte est une comparaison invalide « des pommes avec des oranges ». Les taux de mortalité de la guerre du Vietnam ont été calculés en utilisant le nombre total d’avions américains perdus en combat air-air, qu’il s’agisse ou non d’avions de combat. Cela signifie que le décompte des avions abattus inclut le RF-101 non armé, un avion de reconnaissance ; l' A-1E Skyraider , un avion à moteur à pistons ; l'EB-66, un bombardier transformé en avion de reconnaissance ; le RC-47, un avion cargo transformé en avion de reconnaissance ; et cette « terreur du ciel », l’hélicoptère de sauvetage HH-53. L’armée de l’air nord-vietnamienne a même attribué la totalité des crédits de victoire aux pilotes qui ont abattu des drones de reconnaissance américains non armés. En revanche, le taux de mortalité de la guerre de Corée ne prend en compte que les victoires de notre meilleur chasseur, le F-86, dont les pilotes effectuaient presque exclusivement des missions de supériorité aérienne agressives et offensives. L’équivalent de la guerre du Vietnam est la mission MiGCAP – « patrouilles aériennes de combat MiG » de chasseurs F-4 Phantom II, qui protégeaient les porte-bombes des attaques MiG lors de frappes sur des cibles au Nord-Vietnam. Une comparaison équitable avec la Corée se limiterait aux missions MiGCAP de la guerre du Vietnam. Géographie de l'espace de bataille Toute comparaison entre les taux de mortalité de l'Air Force et de la Navy doit prendre en compte les itinéraires de vol de chaque service, car la géographie a un impact significatif sur les tactiques et les résultats. Contrairement aux avions de la Marine lancés depuis des porte-avions dans le golfe du Tonkin, la grande majorité des avions de l'armée de l'air en mission de bombardement ont décollé de bases en Thaïlande et se sont approchés de leurs cibles au Nord-Vietnam par le côté terre. Les radars ennemis les ont repérés alors qu'ils étaient encore dans l'espace aérien thaïlandais, et les MiG pouvaient manœuvrer vers des positions avantageuses jusqu'à 100 milles de Hanoï. Alors que l'armée de l'air nord-vietnamienne disposait d'un excellent radar d'interception contrôlé au sol pour diriger ses avions, la couverture radar de l'US Air Force variait de inégale à inexistante sur les routes de frappe assignées. Les équipages opéraient avec à peine plus que leurs yeux pour les guider. Les chasseurs escortant les avions porteurs de bombes ne savaient jamais d'où viendrait la menace et restaient donc normalement près des avions qu'ils protégeaient afin de ne pas être pris hors de position lors d'une attaque. En conséquence, les avions de l’US Air Force entraient généralement dans les engagements dans une position défensive et réactive. D’un autre côté, la Marine a utilisé au maximum ses opérations basées sur des porte-avions. Les combattants nord-vietnamiens disposaient de moins de temps d’avertissement pour réagir aux frappes américaines et de beaucoup moins de possibilités de manœuvrer derrière les chasseurs de la Marine, dont les arrières étaient protégés par des navires dans le golfe du Tonkin. De plus, les opérations aéronavales au-dessus du Nord-Vietnam étaient entièrement couvertes par des navires équipés de radars opérant dans le Golfe sous le nom de code « Red Crown ». Les pilotes de la Marine se voyaient principalement attribuer des cibles dans les zones côtières où ils bénéficiaient d'un bon système d'alerte radar et d'un bon contrôle des navires patrouillant juste au large. Les chasseurs de la Marine ont donc pu adopter une posture plus agressive que leurs homologues de l'Air Force, effectuant des sorties de combat à orientation offensive au lieu de missions défensives d'escorte rapprochée. Les rapports après action ont révélé que 65 pour cent des pertes de l'Air Force ont été subies par des avions combattant dans une position défensive, ce qui obligeait un chasseur attaqué à inverser ses positions pour tuer, une manœuvre très difficile à effectuer. En revanche, seulement 20 pour cent des pertes de la Marine et du Corps des Marines concernaient des avions en position défensive. La guerre aérienne au Nord-Vietnam peut être divisée en six périodes distinctes au cours des deux grandes campagnes de bombardement, les opérations Rolling Thunder (mars 1965-novembre 1968) et Linebacker I et II (mai 1972-janvier 1973) : la montée en puissance de l'aviation nord-vietnamienne force (1964-1966) ; s'affronter (janvier-juillet 1967) ; tactiques d'embuscade (août 1967-octobre 1968) ; s'affronter à nouveau (janvier-mai 1972) ; retour aux tactiques d'embuscade (juin-juillet 1972) ; et l’ère Teaball (août 1972 jusqu’à la fin des opérations américaines au Vietnam en janvier 1973). La montée en puissance nord-vietnamienne Durant cette période, l'armée de l'air nord-vietnamienne construisait un vaste réseau de radars au sol tandis que ses pilotes acquéraient lentement de l'expérience avec leurs nouveaux MiG-17. Agissant avec prudence, Hanoï a refusé d’engager ses combattants au combat à moins que les chances ne soient en leur faveur. Seuls 28 avions nord-vietnamiens ont été perdus au combat contre des avions américains au cours de la période 1964-66. Les premières victimes de la guerre de l'US Air Force ont eu lieu le 7 juillet 1965, lorsque deux MiG-17 ont attaqué une paire de chasseurs-bombardiers F-4C Phantom II, qui ont utilisé leur vitesse et leur taux de montée supérieurs pour inverser leur position sur les MiG, une tactique intégrée au programme Topgun de la Marine quatre ans plus tard. À la fin de cette période, les Nord-Vietnamiens ont commencé à piloter le MiG-21 amélioré, mettant ainsi en place la phase suivante de la guerre aérienne. S'affronter Au début de 1967, les pilotes nord-vietnamiens étaient convaincus de pouvoir affronter les aviateurs américains dans un combat direct. Ils se trompaient lourdement....
  20. @Rob1 Il y avait des rumeurs ou c'est une surprise ? Phillipe Grumbach (1924-2003), grand journaliste depuis les années 40, ami avec Giscard et Mitterrand, a travaillé pour le KGB pendant 35 ans - 1946-1981 - (article réservé aux abonnés) https://www.lexpress.fr/societe/le-directeur-de-lexpress-etait-un-agent-du-kgb-nos-revelations-sur-philippe-grumbach-5A6YO56MZRBLTC67C4KC3RAMGI/? Who Who's : GRUMBACH (Philippe), Journaliste. Né le 25 juin 1924 à Paris 16e. Fils d'Henri Grumbach, Arbitragiste, et de Mme, née Jacqueline Dalsheimer. Mar. en troisièmes noces le 11 octobre 1980 à Mlle Nicole Wisniak, Directrice du magazine Egoïste, (1 enf. : Judith et 3 enf. de ses précédents mariages : Laurent, Maria, Thomas) Etudes : Lycées Janson-de-Sailly à Paris et Périer à Marseille Carrière : Speaker-rédacteur à la section française de la Voix de l’Amérique à New York (Etats-Unis) (1943), Rédacteur au ministère de l’Information (1945), Secrétaire de rédaction à l’Agence française de presse (1946-48), Chef des informations à Libération (1948-49), Chef du service diplomatique de Paris-Presse-l’Intransigeant (1950-1952), Rédacteur (1954) puis Rédacteur en chef (1956-1963) de l’Express, Créateur de l’hebdomadaire Pariscope (1965), Rédacteur en chef (1966) puis Directeur (1966-67) du Crapouillot, Directeur politique (1971), Rédacteur en chef (depuis 1972), Directeur délégué de la publication, Directeur de la rédaction (1975-77), Membre du conseil d’administration (1976), Directeur (1977-78) puis Vice-président chargé du développement (1978) de l’Express, Membre de la commission chargée de veiller à la qualité des programmes de radiodiffusion et de télévision (1975-81), du Haut-conseil de l’audiovisuel (1977-81) et de la Commission nationale du droit de réponse (1977-81), Administrateur de l’Institut national de recherche pédagogique (1978), Président-directeur général d’Horizons Productions (1981-86), Producteur du film les Fantômes du chapelier (coll. avec la Sofirard), Directeur adjoint de la rédaction du Figaro (1984-89), Directeur de la communication de Carat Espace (1989-90), Conseiller d’Eurolude et de Seprotec pour la promotion de la presse et de la communication multimédia (1989), Conseiller de la direction d'Egoïste.
  21. @gustave Commentaire pour le moins discourtois, heureusement que @Clairon l'a bien prit. Pour ma part, @herciv @ksimodo @CANDIDE je place ce fil dans Conflits probables
  22. que le fonds spécial passe de 100 milliards à 300 milliards. .... Mais pour l'heure, à quoi réellement servi celui-ci ? Les industriels allemands n'ont pas l'air d'avoir reçu beaucoup de commandes supplémentaires.
  23. @rendbo @christophe 38@Coriace STOP, c'est le type même de petites phrases a éviter !
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