- 
                Compteur de contenus50 290
- 
                Inscription
- 
                Dernière visite
- 
                Jours gagnés28
Tout ce qui a été posté par Philippe Top-Force
- 
	  "HISTOIRE SECRETE du MOSSAD " de Gordon THOMASPhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de kedith dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation A lire ma chère Edith [12] tiré de TTU n°613 Une “guerre des services” sévirait au sein de la communauté du renseignement israélien. Entre le Mossad, le service du renseignement extérieur, Aman, la direction du renseignement militaire, et le Centre de recherches et de planification politique, un très discret service du ministère des Affaires étrangères, la concurrence est permanente. Le dernier affrontement en date a été déclenché par un tout récent rapport adressé par le Mossad au bureau du Premier ministre visant un diplomate impliqué ces derniers mois dans des “contacts suspects” avec un haut responsable d'un pays arabe, membre d'un service de sécurité. Visiblement blessé, le ministère des Affaires étrangères a aussitôt répliqué en accusant le Mossad de “persécuter” le diplomate, «qui est parvenu à obtenir des informations de très bonne qualité», contrairement aux agents du Mossad. «Le diplomate en question est très doué. Il est évident que ses contacts servaient les intérêts d'Israël. Il a d'ailleurs rendu compte systématiquement de ses activités à ses supérieurs au ministère des Affaires étrangères, il n’y a donc rien d’illégal dans sa conduite», a souligné un responsable du ministère des Affaires étrangères. Selon la version du Mossad, en revanche, «le diplomate, tant qu'il se trouve en mission à l'étranger, peut nouer des liens avec des personnalités arabes. Mais dès qu'il est de retour en Israël, la poursuite de ce genre de contacts devient suspecte». La polémique dépasse d’ailleurs les frontières du Proche-Orient, comme en Asie, où les diplomates sont parfois formés au traitement de sources clandestines. A Tel-Aviv, cette affaire a relancé la querelle sur la répartition des rôles. Le Mossad a pendant longtemps été le seul responsable des contacts diplomatiques secrets avec les pays arabes n'entretenant pas de relations diplomatiques avec l'Etat hébreu. Mais ce monopole a été sérieusement remis en cause ces dernières années, notamment par le ministère des Affaires étrangères, qui souhaite avoir son mot à dire. A cette rivalité s'ajoute la traditionnelle hostilité entre le Mossad et le renseignement militaire, qui bénéficierait de beaucoup plus de moyens et employerait surtout les écoutes. Comme dans d’autres pays, leurs évaluations des intentions de tel ou tel pays sont souvent contradictoires. La guerre au Liban contre le Hezbollah de l'été dernier a toutefois porté un coup dur à la réputation du renseignement militaire, qui aurait été incapable de fournir un tableau exact des positions, des forces et faiblesses de la milice chiite.
- 
	  La "politique étrangère" selon Royal...Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales Les sous-marins piégeurs pour Ségolène Royal Lors d'un entretien radio, elle n'a pas su dire le nombre de bâtiments dont dispose la France. Par Jean-Dominique MERCHET QUOTIDIEN : vendredi 26 janvier 2007 Ségolène Royal ne veut pas «baisser la garde» en matière militaire, mais elle s'est laissé piéger sur la défense nationale, en direct hier matin lors d'une émission de radio. Petit échange entre le journaliste de RMC-Info qui l'interrogeait sur le nombre de sous-marins nucléaires lance- engins (SNLE) que possède la France et la candidate du PS : «Nous en avons un.  Non  Deux...  Sept !  Oui, sept...» En réalité, la marine nationale possède quatre SNLE, auxquels on peut ajouter six sous-marins nucléaires d'attaque. L'équipe de la candidate PS a réagi en tentant d'expliquer à Libération qu'elle s'était trompée en pensant à l'unique porte-avions nucléaire et pas aux sous-marins. Autre explication : elle aurait évoqué les seuls sous-marins en patrouille, qui sont «en permanence au moins un à la mer» comme l'indique la Royale. Quoi qu'il en soit, la candidate PS estime que le budget de la Défense devra «globalement rester constant», car «il faut que l'armée française ait les moyens de remplir ces missions». D'autant, a-t-elle ajouté, que «les dépenses militaires contribuent de manière extrêmement importante à la recherche civile». Selon Ségolène Royal, il sera toutefois possible de «recentrer un certain nombre de dépenses» et de «faire un certain nombre d'économies» dans le cadre de la défense européenne. Très attendu dans les milieux militaires et stratégiques, le projet global de Ségolène Royal en matière de défense aurait dû être détaillé, début février, dans un numéro de la revue des anciens auditeurs de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN). Mais l'équipe de la candidate socialiste a retiré le texte sans explication. La revue Défense ne publiera donc que la seule contribution de Nicolas Sarkozy, opportunément dévoilée hier. Le candidat UMP y déclare notamment à propos du budget son souhait que «notre effort global de défense soit au minimum maintenu à son niveau actuel» .
- 
	  La politique étrangère et de défense selon SarkozyPhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales Le candidat de l'UMP Nicolas Sarkozy envisage d'enterrer le projet d'un second porte-avions • Une construction pourtant défendue par le président de la République Jacques Chirac • Par Jean-Dominique Merchet LIBERATION.FR : vendredi 26 janvier 2007 Nicolas Sarkozy est prêt à enterrer le projet d’un second porte-avions, s’il est élu à l’Elysée. Dans un entretien à la revue Défense, publiée par l’Association des auditeurs de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), le candidat de l’UMP affirme que « dans l’absolu, un deuxième porte-avions peut paraître nécessaire ». Une manière pour lui de dire que dans la pratique il n'est pas indispensable. Difficile donc de le dire en ces termes, sauf à s’opposer franchement à un projet défendu par le président de la République et le gouvernement auquel il appartient. « La décision de se lancer dans la construction (d’un nouveau porte-avions) doit s’apprécier relativement aux marges de manœuvre dont nous pouvons disposer et à la lumière des arbitrages capacitaires », ajoute Nicolas Sarkozy. En la matière, le candidat de l’UMP « ne croit pas que l’immobilisme soit une option raisonnable » et plaide pour « quelques ajustements ». Le deuxième porte-avions en fera-t-il les frais ? « Je n’ai pas aujourd’hui tous les éléments pour me prononcer sur ce point », glisse Nicolas Sarkozy. La France envisage de construire un porte-avions en coopération avec les Britanniques qui souhaitent en acquérir deux pour la Royal Navy. Nicolas Sarkozy estime que la France « s’est greffée » sur le programme britannique et que le maintien de cette coopération « ne peut pas être le critère de décision le plus déterminant » pour « l’approfondissement » des liens avec Londres, qu’il appelle de ses vœux. C’est également une manière diplomatique de préparer Londres à un éventuel retrait français. Le besoin d’un second porte-avions s’explique par les longues périodes d’indisponibilité du Charles-de-Gaulle. En particulier à cause des contraintes liées à la maintenance de sa propulsion nucléaire. Ainsi, le Charles-de-Gaulle restera immobilisé à quai pendant dix-huit mois, à partir de juin prochain. Au moment même où Nicolas Sarkozy rêve de s’installer à l’Elysée.
- 
	  La "politique étrangère" selon Royal...Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales et sinon Samson ,je t'avais mis le lien de l'ITV de Ségo sur RMC info et sa bourde sur la dotation de nos SNLE. Extrait : Ce matin (25 janvier), Ségolène Royal était l’invitée de Jean-Jacques Bourdin. Au cours de l’émission, un auditeur a posé une question à Ségolène Royal sur les SNLE : Question d’un auditeur : « Avons-nous besoin d’autant de SNLE ? » Jean-Jacques Bourdin : « On en a combien à propos de SNLE aujourd’hui ? » Ségolène Royal : « Nous en avons un ». Jean-Jacques Bourdin : « Non, nous en avons sept. » Ségolène Royal : « Oui, sept. » @Panajim : Jean-Jacques Bourdin a par la suite reconnu son erreur de lecture de sa fiche ,il s'en est excusé. Vous savez mon ami ,je suis calme ,cool ,zen et boîte Exomil [28] Comique de situation ,Ségolène soeur d'agent DGSE ,actif lors du Raimbow warrior ,qui choisit un ancien de Greenpeace france dans son équipe. On va finir par envoyer nos Commando de Marine rue Solferino. [13]
- 
	  Des commandes civiles pour EurocopterPhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Julien dans Hélicoptères Civils Commandes en fonction de la gamme de produits :En 2006, les commandes par appareil de série ont été les suivantes : 59 appareils EC120 Colibri 257 appareils de la famille des Ecureuil/Fennec/EC130 107 appareils EC135 80 appareils de la famille des BK117/EC145 40 appareils de la famille des Dauphin/Panther/EC155 29 appareils de la famille des Super Puma/CougarEC225/EC725 43 appareils NH90.
- 
	  Participation des aéronavales européennes à la guerre en AfghanistanPhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de charli dans Europe Tu ne sais pas pourquoi les français aiment critiquer le Harrier qui est un avion "combat proven" et qui a tant démontré sa superbe. Ils opérerent avec leur SEM qui est un avion de combat embarqué des années 60 ,réalisé en urgence et leurs Rafale qui n'a même pas d'armes et les français continuent à nous critiquer. European : tu as une inculture générale et arrogante mauvaise foi. Si tu continues de nous "chier sur la tête" ,tu vas finir par te faire expulser plus vite que prévue pour ton comportement irrespectueux ,on t'invite sur ce forum francophone et tu n'as pas la descence de faire des efforts de compréhension ou de réflexion. Pour ton instruction militaire et stratégique ,voici en français un rapport sur les forces européennes en Afghanistan : les leçons à tirer. assemblée interparlementaire européenne de sécurité et de défense. Même si les Européens avaient eu des capacités de renseignement et de projection de forces à la hauteur de celles des Etats-Unis, les moyens de projection de puissance font toujours défaut. Aucun bombardier à long rayon d’action n’est en service en Europe. La modernisation des flottes d’avions et d’hélicoptères de combat a connu des progrès, ainsi que celle des hélicoptères de transport. Mais leur nombre est limité et les conditions d’organisation de frappes en continu, jour et nuit et à très longue distance, ne sont pas réunies. La capacité aéronavale est très limitée, à l’exception de celle des Britanniques et des Français avec le porte-avions à propulsion nucléaire Charles de Gaulle ; mais il manque des avions – le Rafale français vient à peine d’entrer en service et le Harrier britannique, à décollage vertical, a une portée réduite. Son remplaçant, le JSF/F-35, ne sera disponible qu’après 2013. Pour un effet optimal, manquent aussi les missiles de croisière, qui dépendent du renseignement pour la précision du tir. Les Britanniques ont tiré quelques missiles de fabrication américaine Tomahawk à partir de leurs sous-marins nucléaires, mais ils coûtent cher (entre un demi-million et un million d’euros) et ne sont pas fabriqués au Royaume-Uni. L’usage plus intensif fait par les Etats-Unis leur donne aussi la priorité en termes de remplacement. L’entrée en service du missile européen Storm Shadow ou SCALP-EG, depuis 2003, accroît la flexibilité européenne dans ce domaine, mais il est uniquement destiné aux plates-formes aériennes et a une portée de 250 kilomètres (contre plus de 1 000 pour le Tomahawk). Dans le cas de l’Afghanistan, pays sans débouché maritime, cela suppose que l’espace aérien aux alentours soit accessible sans contrainte. Une version tirée à partir de la mer, en surface ou à partir d’un sous-marin, est à l’étude pour la marine française. Extrait de ce long rapport Ce n'est pas une critique mais un constat tactico-opérationnelle ,si on énumère que le SEM a plus de distance franchissable ,plus d'autonomie avec ou sans réservoirs supplémentaires ou s'il a la capacité d'attaque de nuit terrestre avec précisions ,ce n'est pas non plus insultant de dire que même si le SEM au standard 5 a une vieille cellule (porteur) mais qu'il peut délivrer un ASMP et faire retourner une ville à l'âge de pierre. [22]
- 
	  La "politique étrangère" selon Royal...Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales Louis Gautier : Délégué national aux questions stratégiques du Parti socialiste. La France, qui avait su se placer, entre 1998 et 2002, au centre du Meccano industriel européen dans le secteur aéronautique et de l’armement, se voit rejetée en touche. Les gouvernements Raffarin et Villepin en portent la lourde responsabilité. Les dossiers industriels tirés à hue et à dia par Bercy, Matignon et l’Elysée ont pâti d’une déplorable improvisation et de la concurrence des arbitrages à la tête de l’Etat. Les ratages se sont succédé, suscitant réprobation et risée. La volonté de faire brutalement évoluer l’organisation d’EADS, sans égard pour notre partenaire allemand et au mépris du pacte d’actionnaires, fut une erreur doublée d’une stupide arrogance. Certes, il n’a jamais été inscrit dans le marbre que la structure actionnariale et manageriale d’EADS devait rester inchangée pour l’éternité. Mais cette évolution suppose le mélange en douceur des cultures d’entreprise de cette société européenne et une communauté de vision à la tête. Espérons donc que la nomination récente de nouveaux dirigeants, après le trouble, ramène au sein du groupe la sérénité dans la gestion et la prospérité industrielle. S’agissant de Thales, les autorités françaises ont joué les “apprentis sorciers” depuis 2002. A plusieurs reprises, elles sont tombées sur un bec. Au bout du compte, le destin de cette société n’est toujours pas nettement tracé. La montée d’Alcatel au capital de Thales, concomitante de sa fusion avec Lucent, s’est opérée sans clarification préalable d’un dessein stratégique. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est que la position d’Alcatel comme actionnaire de référence a, jusqu’à présent, toujours été flottante. Plus de mariage forcé avec EADS, donc ! Cependant, hypothéqué par ce projet, le schéma d’alliance avec DCN, au-delà du simple partenariat, n’a pas beaucoup progressé en quatre ans. Aujourd’hui, la prise de participation de Thales dans DCN serait imminente. On aimerait, cependant, avoir quelques éclaircissements sur la valorisation des apports et sur l’emploi, à commencer par ceux que l’on est en droit d’attendre de l’Etat, présent au capital des deux sociétés. Toujours dans le domaine de l’armement naval, il y eut l’échec très regrettable des négociations menées par les parties françaises en vue d’un rapprochement avec l’allemand Thyssen. Bien évidemment, ces ratés n’ont pas favorisé la consolidation indispensable d’un secteur qui ne compte pas moins de 21 industriels et de 23 chantiers en Europe. Quant au secteur terrestre, où la survie d’un GIAT revivifié est en jeu, la situation est plus préoccupante encore. Les chaînes de fabrication, les bureaux d’études sont éparpillés. Aucun des industriels européens spécialisés n’est en mesure d’affronter dans de bonnes conditions le grand large de la compétition internationale. Dans le domaine des moteurs, les positions détenues par le français Safran-Snecma et par l’allemand MTU demeurent à terme problématiques. En ce qui concerne l’électronique et l’aéronautique, on constate des incertitudes nouvelles. Que deviendra l’italien Finmeccanica, la préférence européenne prévaudra-t-elle, comme c’est souhaitable, parmi ses choix d’union future et qui sera l’heureux élu d’un mariage que tout le monde attend ? BAE est en train de sortir d’Airbus et, comme le motoriste Rolls Royce, se repositionne aux Etats-Unis. Contrairement à ce que certains pensent, il ne faut pas se réjouir de ces décisions qui découlent d’une analyse pessimiste des perspectives offertes par le marché européen et par le carnet de commandes militaires des Etats de l’Union. A cet égard, les turbulences qui viennent d’affecter EADS sont emblématiques. Partout on observe une perte de l’“esprit européen” et partout le triomphe de logiques cocardières sans lendemain. Une relance de l’Europe de la défense est impérative. Elle doit porter à la fois sur le volet de la programmation militaire et sur le volet industriel. La réussite de l’Europe de la défense passe en effet par le succès de l’Europe de l’armement, gage de l’indépendance de nos approvisionnements militaires, de notre autonomie technologique et de la performance économique et commerciale de nos programmes. Pour la défense européenne, la rationalisation des coûts de production et le niveau technologique des équipements fabriqués sur le Vieux Continent sont des enjeux majeurs. La coordination des politiques d’acquisitions des pays de l’Union est donc une priorité à la fois financière et industrielle. L’effort doit porter sur deux points : d’abord la standardisation, ensuite l’acquisition en commun des matériels. Cela suppose que les pays européens ne fassent plus en matière d’investissement des choix contradictoires. L’incapacité des Européens, encore aujourd’hui, à se mettre d’accord sur leurs équipements militaires futurs (avions de chasse, drones, porte-avions, frégates, sous-marins classiques) est inquiétante et absurde. Quand on pense que depuis 1993 aucun des nouveaux programmes des armées de terre des pays membres de l’Union européenne n’a pu être développé en commun ! Les responsables politiques français, qui, récemment encore comme pour les drones, ont multiplié les commandes sans véritable discipline, ne sont pas les derniers fautifs dans cette pagaille européenne.C’est pourquoi on a envie de leur dire : halte au feu ! Jusqu’aux élections, expédiez donc les affaires courantes, ne lancez pas de nouveaux programmes, alors qu’il n’y a plus un sou vaillant dans les caisses de l’Etat. Ne vous aventurez pas sur des projets industriels que vous n’aurez pas le temps de conduire à bon port. Libre propos tiré de TTU. Programmation militaire :Comment sortir de l'impasse ? Par Jean-Claude Violet Député socialiste ,membre de la commission de défense de l'assemblée nationale. Le discours officiel, selon lequel la loi de programmation militaire 2003-2008 aurait été intégralement respectée, doit, pour le moins, être modéré, si l’on observe le décalage entre les lois de finances initiales successives, affichant les intentions de dépenses, et les lois de règlement correspondantes, traduisant la réalité de l’exécution budgétaire. Mais au-delà de cet aspect comptable, plus préoccupante encore est la forte tension observée sur l’ensemble des domaines de dépenses, qu’il s’agisse des grands programmes d’armement, des rémunérations et charges sociales, du maintien en condition opérationnel des matériels, ou encore du fonctionnement courant (carburants, transports…). Ainsi, et cela peut se vérifier avec la projection, au-delà de 2007, des seules dépenses d’investissement correspondant aux principaux programmes d’équipements de nos forces lancés à ce jour, à l’évidence, le modèle d’armée 2015 ne pourra être atteint. Si on ajoute que ce modèle, issu du Livre blanc de 1994, doit, en tout état de cause, être remis en phase avec l’évolution du contexte stratégique, il apparaît incontournable, pour préparer la prochaine loi de programmation militaire, de remettre en perspective l’ensemble de notre politique de défense. Cette remise en perspective globale exige au préalable un point de situation précis de la réalité exacte de nos moyens actuels, matériels et humains, mais également de nos engagements européens et internationaux, qu’il s’agisse de l’ONU, de l’Otan, ou de la mise en œuvre des différents accords de défense, d’assistance technique ou de coopération militaire conclus par notre pays en Afrique, comme de nos obligations intérieures, pour la sécurisation de notre territoire national (Vigipirate, interventions dans le cas de catastrophes naturelles…). Parce que c’est à partir de cet état des lieux, confronté à une analyse du contexte stratégique du moment et de son évolution prévisible, que nous pourrons, en fonction des différents types de menaces conventionnelles, asymétriques, voire conventionnelles-asymétriques, arrêter une nouvelle posture de défense globale, nationale, européenne et internationale, et opérer les choix de doctrine qui en découlent, pour chacune des fonctions stratégiques défensive (dissuasion, protection) ou offensive (projection-prévention). Sans oublier les actions civilo-militaires, notamment de reconstruction, sur lesquelles, bien que possédant des outils (GIACM), et des capacités réelles, potentiellement accrues par la mise en œuvre de notre réserve opérationnelle, nous accusons un retard considérable par rapport à d’autres puissances, souvent moins engagées que nous sur les théâtres d’opérations extérieurs. Ce travail important, qui engage, pour la durée, notre nation toute entière, renvoie bien évidemment à des choix institutionnels, et en particulier à la place du Parlement dans la conduite des affaires de défense, qu’il s’agisse du processus d’élaboration de la loi de programmation militaire, pluriannuelle, ou du suivi de sa mise en œuvre concrète, à travers les lois de finances successives, mais également du contrôle du renseignement, des opérations extérieures ou encore des exportations d’armes. Comme il nous conduira, avec la professionnalisation de nos armées, à nous reposer la question des droits civiques et sociaux de nos militaires. S’agissant des matériels, un effort devra manifestement être accompli, comme l’a montré le récent rapport parlementaire de la Mission d’évaluation et de contrôle (MEC), sur la définition et le suivi des différents programmes d’armement. Cet effort passe par la définition d’un juste niveau technologique, par rapport au besoin opérationnel, et la recherche d’une plus grande modularité, pour réduire les coûts de nos propres équipements, tout en optimisant notre capacité de réponses, technologique et économique, aux besoins de clients potentiels à l’export. Il passe également par la fixation d’un niveau compatible de disponibilité des différents équipements de nos forces, pour satisfaire à l’ensemble des besoins d’engagements opérationnels, mais aussi de formation et de préparation de nos armées, en intégrant les périodes d’immobilisation pour maintenance, ce qui renvoie à la question de l’acceptation d’une modulation capacitaire, à définir par les états-majors. Il impose de raisonner désormais en coût de possession pour chacun des matériels en cause, incluant le prix d’acquisition, les frais de maintenance sur l’ensemble de la durée d’utilisation, et de démantèlement après usage, un coût qui devrait être consolidé dans la loi de programmation militaire, avec un suivi annuel, à travers chaque loi de finances. Cette approche en coût de possession doit conduire à accroître l’effort de standardisation des composants, notamment pour faciliter la gestion de stocks de rechange les plus courants, mais aussi à responsabiliser les industriels, à qui on pourrait confier la maintenance en instituant une rémunération en fonction de la disponibilité opérationnelle des matériels, démarche vertueuse s’il en est puisque elle amène à optimiser, en continu, tout à la fois les coûts et les délais d’entretien. Une externalisation de la fonction maintenance, qui doit, bien entendu, se faire en prenant en compte la réversibilité indispensable pour garantir l’opérationnalité de nos forces, en opérations extérieures notamment, mais pour laquelle une réponse novatrice pourrait précisément être trouvée à travers les accords conclus par le ministère de la Défense avec les industriels, dans le cadre de la mise en œuvre de la réserve opérationnelle, tel opérateur civil pouvant intervenir, dans le cadre d’un engagement à servir dans la réserve, au sein d’une unité, le cas échéant en opération, avec le statut militaire. Tout comme nous pourrions, au-delà de ce qui a déjà été entrepris et pour lequel une évaluation est nécessaire, expérimenter l’externalisation d’autres fonctions, notamment en matière de location de matériels (transports de fret ou de troupes, ravitaillement en mer…) ou de services (communications…), avec les mêmes exigences de réversibilité. S’agissant des personnels, il est clair, au regard de tout ce qui vient d’être évoqué, que tant le volume que la structure des effectifs devront également être revus, pour atteindre un juste niveau de disponibilité, intégrant une montée en puissance progressive de la réserve opérationnelle, au niveau, cette fois, de l’ensemble des fonctions. Mais, dans le même temps, l’effort d’amélioration de la condition des personnels, militaires et civils, devra être poursuivi. Enfin, et s’agissant des industries d’armement, le travail de rationalisation doit continuer, en œuvrant aux regroupements opportuns, à la mise en réseau de l’ensemble des acteurs (grands groupes et leurs fournisseurs PME-PMI), en se saisissant de toutes les opportunités que constituent en France, d’abord, avec la DGA, les programmes nationaux, mais aussi en Europe, avec l’OCCAr, les programmes en coopération, l’Agence européenne de défense y ayant également toute sa place, à travers la recherche de convergence entre l’expression des besoins militaires des différents partenaires, qui devrait encourager les coproductions et, partant, les rapprochements industriels. Libre propos tiré de TTU.
- 
	  Le Venezuela souhaite acquérir 9 sous-marinsPhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Chris. dans Amérique Puisque Clad032 (Jonathan) ne veut pas nous répondre. Navantia a déjà vendu des patrouilleurs au Vénézuela et c'est donc Navantia qui proposerait de vendre des Scorpène à Caracas. Néanmoins cela doit passer par une autorisation voir la clause de réexportation. DCN pourrait proposer le BPC. Thales étant déjà présent dans ce pays grâce à un contrat de fourniture du système de combat pour les sous-marins allemands U209.
- 
	  Composante Navale des Forces Stratégiques FrançaisesPhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe Faisant suite à la réponse de Ségolène à Jean-Jacques Bourdin ,ce matin sur RMC Info :"Combien avons-nous de SNLE ?" ,réponse embarrasée de Ségo :"un ,nous en avons un ,je crois " [57] Madame Royal ,la France dispose d'une escadrille de 4 SNLE. [11]
- 
	  Un nouveau sonar remorqué pour la frégate De GrassePhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Europe Enzo mio palmo [29] tu voulais envoyer Jacques Mayol Bon >>>
- 
	  La "politique étrangère" selon Royal...Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales Donc entendu ce matin à la radio RMC-info à l'émission de Jean-Jacques Bourdin. BIEN ENTENDRE Il y a des seb ,dadou ,bruno ,chris ,philippe ...qui se sont inscrits ,sont-ils ce qui conversent sur ce forum ? Samsom va-t-il réagir ? Il est clair qu'elle doit travailler certains dossiers et notamment ceux de la politique étrangère et de défense. Pascal Boniface vient d'écrire une lettre ouverte à tous les futurs prétendant(e)s président(e)s ,sur les divers sujets de la place et du rôle de la France dans le monde.
- 
	Selon la BBC :L'armée américaine vient de dévoiler le prototype du "Silent Guardian", un canon qui projette un rayon de chaleur à une distance de 500 mètres. Les cobayes volontaires ont décrit une sensation qui les force à reculer. L'engin pourrait notamment servir à repousser des foules sans dommage grave pour les cibles. Il devrait entrer en service d'ici 3 ans.
- 
	  La "politique étrangère" selon Royal...Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales Sur RMC Info et BFM-TV, Ségolène Royal veut "mettre à plat" les questions de défense pour que "les Français comprennent bien les enjeux". "Je ne veux pas, par des annonces, laisser penser que nous baissons la garde sur des sujets extrêmement sensibles", dit-elle en souhaitant un budget "globalement constant". Par contre ,lors de la question posée juste à la fin de l'ITV par le journaliste : Combien avons-nous de SNLE ? Elle a gaffé en répondant 1. [29]
- 
	  [Liban] ArchivePhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de dr.watson dans Politique etrangère / Relations internationales Des soldats de l'armée libanaise se sont affrontés aujourd'hui avec des islamistes armés devant un camp de réfugiés palestiniens situé dans le sud du Liban.
- 
	  "HISTOIRE SECRETE du MOSSAD " de Gordon THOMASPhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de kedith dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation Pendant ce temps-là : Au lendemain de la découverte à Rouen (nord-ouest) de la voiture du chef de la mission du ministère israélien de la Défense en France, David Dahan, disparu à Paris, des plongeurs vont sonder la Seine à Rouen. Hier après-midi, des policiers de la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris, en charge de l'enquête, s'étaient rendus dans cette ville où le véhicule a été retrouvé vide et fermé en bordure de Seine.
- 
	  Après Airbus Eurocopter maintien sa place de leader.Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de seb24 dans Hélicoptères Civils Eurocopter: le chiffre d'affaires a augmenté de 18% en 2006 La filiale d'EADS a réalisé l'an dernier un chiffre d'affaires de 3,8 milliards d'euros en hausse de 18% sur le précédent. Ses prises de commandes ont totalisé 4,89 milliards d'euros grâce à la vente de 615 hélicoptères. Le PDG d'Eurocopter, Lutz Bertling, remplaçant de Fabrice Brégier parti chez Airbus ne peut que se frotter les mains: la filiale d'EADS annonce ce matin une progression de 18% de son chiffre d'affaires 2006, à 3,8 milliards d'euros. Fort de ses résultats, l'objectif des 4 milliards d'euros visés à l'horizon 2008 pourrait être atteint plus tôt que prévu et donc dès cette année. Le numéro un mondial des hélicoptères civils ajoute que ses prises de commandes ont totalisé 4,89 milliards d'euros l'an dernier grâce à la vente de 615 hélicoptères neufs, contre 3,52 milliards en 2005. Le chiffre d'affaires du groupe, qui avait déjà progressé de 15% en 2005, a été généré l'an dernier à 49% dans le civil et parapublic, et à 51% dans le militaires, précise Eurocopter dans son communiqué.L'hélicoptériste a livré l'an dernier 381 appareils civils et militaires contre 325 en 2005. A la fin décembre 2006, son carnet de commandes était à un niveau historique de 11,0 milliards d'euros. Le constructeur ajoute tabler sur une nouvelle croissance de son activité en 2007.
- 
	  Fusion partielle de la DCN et de Thalès NavalPhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Braindead dans Europe DCN et Thales sur le point de se marier L'Etat peut céder à Thales une participation minoritaire de DCN, selon un décret paru aujourd'hui. DCN et Thales, qui vont signer très rapidement, pourraient conclure cette opération dans le courant du mois de mars, une fois acquis le feu vert du ministère de l'Economie, voire de Bruxelles. Paru aujourd'hui dans le Journal officiel, un décret autorise le transfert au secteur privé, c'est-à-dire à Thales, d'une participation minoritaire de l'Etat au capital de DCN. En contrepartie de la cession de ses activités navales en France, notamment de Thales Naval France (400 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2005), le groupe d'électronique doit entrer à hauteur de 25% dans le capital du groupe DCN "dans le courant du mois de mars", date à laquelle les deux groupes doivent conclure cette opération (closing), selon des sources concordantes. En attendant, DCN et Thales devraient signer "dans les prochains jours". L'opération reste toutefois encore suspendue à l'avis de la Commission des participations et des transferts (CPT), qui "ne doit pas poser de problèmes", et à celui de la Commission européenne. La notification de cette opération à Bruxelles n'est pour l'heure "pas décidée" par Paris, explique-t-on de sources concordantes. "C'est une décision éminemment politique entre la France et Bruxelles", précise-t-on. Paris peut tout aussi bien s'exonérer de cette procédure en optant pour l'article 296.1 B, qui exempte ce projet du processus d'examen en raison de son caractère stratégique pour la France. Selon nos informations, le directeur général en charge des activités navales de Thales, Jean-Georges Malcor, va faire son entrée au conseil d'administration de DCN. A ses côtés, le PDG de Thales Denis Ranque pourrait l'y rejoindre s'il le décidait. "Nous souhaitons sa présence au conseil", explique-t-on chez DCN. En cas de défection, il pourrait être remplacé par le directeur financier de Thales Patrice Durand. Enfin, Bernard Huet, le numéro deux des activités navales de l'électronicien, et Pierre Legros, président d'Armaris, la co-entreprise commerciale entre DCN et Thales, feront de leur côté partie du comité exécutif du groupe naval. Les deux groupes ont également mis en oeuvre un accord de coopération industrielle et commerciale sur une durée de sept ans, reconductible tacitement par périodes de cinq ans. Il prévoit "une optimisation de l'articulation des activités des deux groupes", selon l'avis du JO publié également aujourd'hui. Thales ne pourra pas, notamment, se lancer dans les activités couvertes par Thales Naval France, Armaris et MO PA2. Ce qui n'est pas le cas en revanche pour ses filiales françaises et étrangères non couvertes par l'accord. Enfin, DCN prévoit "la liberté commerciale pour DCN". Ce dernier peut ainsi recourir aux services de Thales international (THINT) sous réserve de l'absence de conflit d'intérêt avec une filiale de l'électronicien. Sur le plan industriel, les deux groupes prévoient la mise en place entre les directions techniques des deux partenaires d'un comité de pilotage qui sera chargé de gérer la coopération dans le domaine de la recherche et développement (R&D). Enfin, l'accord prévoit une coopération dans le domaine des achats "pour lesquels un principe de préférence à conditions égales dans le cadre de mises en concurrence" pour la fourniture de biens et de services. Les deux partenaires ont par ailleurs prévu de constituer un comité de suivi de l'accord de coopération, comprenant des représentants des deux sociétés, "en vue de résoudre les difficultés que son application pourrait poser". En cas de désaccord des partenaires au sein du comité de suivi, la question soulevée sera soumise aux présidents des deux sociétés. Ce comité établira chaque année un rapport sur l'exécution de l'accord qui sera soumis au conseil d'administration des deux entreprises. Cédé à DCN, Thales Naval France sera toutefois "toujours propriétaire de ses éléments d'actifs essentiels", selon un avis du Journal officiel publié aujourd'hui. Cela concerne également ses participations de 50% dans Armaris, la co-entreprise commerciale entre DCN et Thales, et de 35% dans MO PA2, la société commune de DCN et Thales chargée de la maîtrise d'oeuvre du second porte-avions français.
- 
	Je t'envoie Scarlett ! La seixième photo de la page une que tu as apposé ,est une embarcation avec le drapeau brésilien.
- 
	Shuggart ,vous allez pouvoir vous balader avec vos beaux Dingo 2 et LMV Iveco. Nous avec nos PVP ,à moins qu'un Sherpa 2/3 ou un VBR débarquent. C'est le nouveau RG33 L pour les EOD et contractors
- 
	Tu kiffes cela aussi. Donc tu voudrais une force costale ,puis une river brown. Ce ne sont pas des suédois ,on dirait des mexicains en CB90. Des brésiliens en ont.
- 
	
- 
	  BD de TMorPhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Arnaud dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation Pour repartir sur de bonnes bases. Chris2002 :
- 
	  Un peu d'humour en images et vidéos !Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Mani dans Vidéos et Photos Guerre asymétrique et tribale contre le chef des armées.
- 
	  La Défense risque de devoir se serrer la ceinturePhilippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de wielingen1991 dans Divers Nous en avons tant débattu avec stratege qu'il suffit de se référer sur toutes ses réponses et ses interventions précises sur les prévisions budgétaires. [12]
- 
	Vu les retex de l'Afghanistan et de l'Irak ,la tendance va sur de la surprotection. C'est le nouveau RG33 L de BAE Systems OMC
 
        