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Tout ce qui a été posté par Philippe Top-Force
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Voilà un argumentaire supplémentaire pour le maintien et l'urgence d'avoir un second PA. Tiré d'un article de mer et marine. Conçu initialement pour embarquer 40 aéronefs, le CDG a été, à l’origine, dimensionné autour des F-18 américains, à ailes repliables (9.9 mètres d’envergure). L’adoption du Rafale, à voilure fixe, et le volume conséquent réclamé par ses modules de rechanges, ont entraîné une réduction du nombre d’avions embarqués. De plus, dans un hangar déjà surchargé, les équipes de maintenance devront progressivement gérer l’arrivée d’un parc homogène de biréacteurs (Rafale F2 et F3) en remplacement des Super Etendard, plus petits et monomoteurs. L’ensemble de ces éléments n’autorise pas le CDG à accueillir plus de 24 Rafale. Pour pouvoir disposer de 8 appareils supplémentaires, il faut donc une plateforme plus importante
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ousama l'est plus la
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de victor dans Politique etrangère / Relations internationales
Roland Jacquard dit la même chose depuis samedi ,y compris à la TV. -
ousama l'est plus la
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de victor dans Politique etrangère / Relations internationales
Quizz : Qui a vendu la mêche ? Une note de renseignement DGSE annotant des informations non recoupées. classifiée confidentiel défense. Datant du 21 septembre transmise à 4 autorités françaises. Parue sur un journal régional le 23 septembre. -
Commando Marine et fusilier commando.
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
L'ECUME. clicky Qui seront aussi embarqués sur les FREMM AVT -
Les nouvelles armes de la dissuasion nucléaire
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Europe
Calendrier de tir : C'est dans quelques semaines que le M51 réalisera son premier tir depuis le sol à Biscarosse. Alors que le premier étage propulsion a été testé il y quelques jours ,le premier tir (test de chasse SM) dans un bassin spécialement développé est planifié pour 2008. Celui du premier tir depuis un SNLE-NG sera réalisé courant 2009. Juillet 2010 ,le Terrible entrera en servcice opérationnel muni de 16 missiles balistiques avec un certain nombre de têtes variables. Coût : Une enveloppe de 5,7 Md€ (giga) aura été débloquée pour son développement* et l'adaptation des structures de l'île Longue. 2,8 Md€ (giga) pour la production ,durée de vie de 35 ans. *bancs d'essai propulseur ,caisson de tir immergeable ,simulation ... Flanker ,tu devrais écouter stratege. Visite privée pour Sébastien -
Le CIEH s'installe à METZ ( Moselle )
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de kedith dans Hélicoptères militaires
C'est le projet Air 2010 lancé en 2001 par le major général Courtet. Ensuite ,en 2004 le général Woltzinsky est passé de la réflexion aux actes. Pour la première fois ,le général Tilly commande le nouveau pôle "forces" de AA. Avec pour la première fois , un patron unique pour la chasse et le transport. 4 pôles qui pourront être optimisés ,voire réajustés. -
Salut à toi bouclier
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Hauteur : Ergonométrie et stature des futurs soldats à l'horizon 2015. Le CTA 40 pourrait équiper les EB20. Clair que le VPC avec sa 12,7 sera reconnaissable.
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Arrivée du Tigre en RHC/EOS/sur les Théatres d'OP
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Le général Cuche a évoqué les retards de livraisons liés à "des difficultés industrielles" de l'hélicoptère de combat Tigre .L'appareil ne sera livré qu'à cinq exemplaires au lieu de huit prévus en 2006. L'an dernier, l'armée de Terre n'avait reçu que cinq Tigre au lieu des huit programmés. Dix appareils qui ont été dédiés à l'école de formation des pilotes. Il ne prévoit qu'à l'horizon 2009 le démarrage opérationnel du Tigre avec la constitution d'un premier escadron. -
Missilerie de combat terrestre
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
le général Cuche a estimé qu'il avait "un vrai sujet d'inquiétude" sur le projet d'une nouvelle génération de missiles de combat terrestre, appelé à remplacer l'actuel Milan fabriqué par MBDA (EADS, BAE Systems et Finmeccanica). "Je ne vois rien venir", a-t-il expliqué. Il s'est déclaré prêt à un achat sur étagère d'un missile étranger. S'il se dit "guidé" par la volonté d'avoir l'arme la plus efficace pour armée, il se dit aussi "guidé" par le fait de ne pas perdre de compétences dans l'industrie européenne. -
Le Général Cuche s'est réjoui du "bon déroulement" du programme VBCI que l'armée de Terre a commandé à 700 exemplaires, qui seront livrés entre 2008 et 2015, à raison d'une centaine par an. Ce programme a connu des problèmes techniques et le coût a progressé de 16%, passant de 2,21 millions d'euros à 2,69 millions l'unité. Enfin, il a appelé à renouveler le parc de blindés AMX 10 RC, "un matériel très sollicité et très âgé", qui doit être "prolongé jusqu'en 2020"
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Programmes Européens de Soldat du Futur
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de tropergol dans Europe
Pour revenir à l'essentiel ,le général Cuche a rappelé que le programme Felin ,une tenue électronique qui permettra aux soldats d'être en réseau, de voir et de tirer de nuit et de transmettre des images de cibles en temps réel, dont la maîtrise d'oeuvre a été confiée à Sagem (groupe Safran), avait pris un an de retard. -
Les conséquences d'une chute capacitaire DTO/MCO de nos hélicoptères
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Le général Cuche a notamment évoqué les retards de livraisons liés à "des difficultés industrielles" de l'hélicoptère de combat Tigre (Eurocopter). L'appareil ne sera livré qu'à cinq exemplaires au lieu de huit prévus en 2006. L'an dernier, l'armée de Terre n'avait reçu que cinq Tigre au lieu des huit programmés. Dix appareils qui ont été dédiés à l'école de formation des pilotes. Il ne prévoit qu'à l'horizon 2009 le démarrage opérationnel du Tigre avec la constitution d'un premier escadron. Interrogé sur le fait qu'Eurocopter privilégie la livraison des Tigre à l'Australie, le général Cuche a déclaré qu'il se réjouissait que cette société "exporte" tout en rappelant que les exportations de matériels avaient toujours une incidence sur les livraisons françaises. S'agissant de l'hélicoptère de transport de troupes, le NH90, le chef d'état-major a exprimé "quelques inquiétudes" sur un possible retard. "L'hélicoptère connaît quelques difficultés dans sa version marine, a-t-il précisé. Si nous avions le même problème, cela nous perturberait". Pour autant, il ne "voit pas de retards pour le moment". La livraison du premier NH90 à l'armée de terre est "toujours prévue en 2011", a-t-il rappelé. "Un décalage d'un an serait supportable. Au-delà, non", a-t-il reconnu. Lors de l'Université de la défense de l'Assemblée nationale organisée il y a une dizaine de jours, Bruno Cuche avait déjà déclaré que le déploiement du NH90 ne pouvait plus être différé au "risque d'un abattement capacitaire significatif". -
ousama l'est plus la
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de victor dans Politique etrangère / Relations internationales
Autre article du Monde. Après Paris, c'est Washington qui adresse un "no comment" prudent à propos des renseignements publiées samedi 23 septembre sur la possible mort d'Oussama Ben Laden. "Nous n'avons pas de confirmation de cette information", a déclaré un porte-parole de la Maison Blanche, Blair Jones. Le quotidien régional L'Est Républicain a publié samedi une note confidentielle attribuée à la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), datée de jeudi 21 septembre, qui indiquerait que les services de renseignement saoudiens ont "acquis la conviction qu'Oussama Ben Laden est mort" des suites d'une crise de typhoïde, mais attendraient d'avoir des détails pour l'annoncer. Ce document aurait été toutefois enregistré dans les informations "non recoupées" par la DGSE, précise le quotidien lorrain. "Les éléments recueillis par les Saoudiens indiquent que le chef d'Al-Qaida aurait été victime, alors qu'il se trouvait au Pakistan le 23 août 2006, d'une très forte crise de typhoïde ayant entraîné une paralysie partielle de ses membres inférieurs", précise l'extrait publié par L'Est Républicain. "Son isolement géographique provoqué par une fuite permanente aurait rendu impossible toute assistance médicale (et) le 4 septembre 2006, les services saoudiens de sécurité ont recueilli les premiers renseignements faisant état de son décès", poursuit le texte. La DGSE préciserait que les services saoudiens "attendraient d'obtenir davantage de détails et, notamment, le lieu exact de son inhumation, pour annoncer officiellement la nouvelle", selon le journal. M. CHIRAC "SURPRIS" De source proche de la DGSE à Paris, on se refusait samedi matin à confirmer cette information. La note aurait été transmise jeudi à la présidence de la République, à Matignon et aux ministères concernés. Un porte-parole de l'état-major des armées a déclaré ne pas être habilité à commenter cette nouvelle. Lors de sa conférence de presse au sommet informel de Compiègne, Jacques Chirac a indiqué à la mi-journée que l'information"n'est en rien confirmée", et s'est dit "surpris" de la publication dans la presse d'une note de la DGSE sur ce sujet. L'information a aussi été jugée peu fiable par des sources au Pakistan et en Europe suivant de près les activités d'Al-Qaida, contactées samedi matin par l'AFP. Aucun site internet islamiste n'aurait évoqué ces derniers jours la mort du numéro un de l'organisation terroriste. Au Pakistan, un fonctionnaire du ministère de l'intérieur a indiqué n'avoir "aucune information sur la mort d'Oussama". Aucune réaction officielle des autorités saoudiennes ne pouvait être obtenue samedi matin à Ryad. La mort du milliardaire d'origine saoudienne, homme le plus recherché de la planète depuis qu'il a revendiqué les attentats du 11 septembre 2001, qui ont fait 3 019 morts aux Etats-Unis, a été régulièrement annoncée par le passé et jamais prouvée jusqu'à présent. Le général Henri Bentegeat, chef d'état-major des armées, avait cependant déclaré la semaine dernière qu'il n'était pas certain que le chef d'Al-Qaida soit encore vivant. Oussama Ben Laden "n'est certainement pas aujourd'hui en Afghanistan", avait-il déclaré au "Grand Jury Europe-1, TV5, Le Parisien/Aujourd'hui en France". "Personne n'est complètement certain qu'il est encore vivant. Ça fait déjà quelques temps, de longs mois qu'on n'entend plus parler de lui", avait-il ajouté -
Commando Marine et fusilier commando.
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
D'après un article de lorient ma ville Les fusiliers marins disposent d'un nouvel équipement d'entraînement. La coque du Bamo a été refondue en centre spécialisé contre le terrorisme maritime. Hier matin, en rade de Lorient. Quatre terroristes ont pris le commandement d'un navire civil. Finalement, les autorités décident de donner l'assaut. Peu avant midi, les fusiliers marins - une quinzaine de commandos - collent leurs deux canots pneumatiques contre la coque du bateau. En une poignée de secondes deux commandos escaladent le flanc du navire. A bord, ils se postent, dos à dos, pointant de leur arme les accès à la coursive. Dix mètres plus bas, leurs collègues entament à leur tour la montée. Les troupes se déploient sur le pont. Échanges de tirs avec les terroristes. L'un d'eux est tué, l'autre blessé. Les commandos investissent l'intérieur du navire. Détonation, tirs, les deux derniers terroristes sont neutralisés. Fin de l'assaut... et fin d'exercice. La petite mise en scène était destinée à illustrer tout le potentiel du nouvel équipement de la base lorientaise des fusiliers marins et commandos, les Fusco. Il s'agit en fait de la transformation du Bamo en centre d'entraînement spécialisé pour l'assaut en mer. La Marine aurait dû construire six bâtiments anti-mines océaniques. Mais la fin de la guerre froide entre l'Est et l'Ouest a stoppé net le programme en 1990, laissant dans son sillage une seule et unique coque nue. Dix ans plus tard, la Marine a donné son accord pour transférer cette coque catamaran aux Fusco et en faire le lieu d'exercice aux assauts en mer, sous le pilotage du Service de soutien de la flotte de Brest. Le chantier a été confié aux entreprises Timolor et Cégélec. Pendant un an, elles ont reconfiguré les aménagements intérieurs. Les rapprochant au maximum des navires marchands ou à passagers. Coût de cette première phase : 1,5 million d'euros. Lors de l'inauguration, hier, le contre-amiral Pierre Martinez, commandant de la force des Fusco, s'est félicité de disposer d'un équipement « performant » et « unique en Europe ». La deuxième phase de travaux, en 2007, permettra d'équiper le bâtiment en électronique, vidéo, etc. Et de préparer encore mieux les fusiliers marins aux interventions en mer. « Contre le narcotrafic, la piraterie, le terrorisme, mais aussi, souligne Pierre Martinez, pour protéger nos lignes maritimes, notamment le ravitaillement du pays en pétrole. » -
ousama l'est plus la
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de victor dans Politique etrangère / Relations internationales
Cela ne changerait rien à la donne. -
FAP :Une hypothèse location C-17 ?
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
En combien de temps Airbus livrerait les 5 A330-200 MRTT ? En combien de temps la FAP recevrait les tankers ? Le général Tilly en a-t-il fait la demande ? Avec quel financement ? et mode de financement ? Qui des basiers ,des chasseurs ,des transporteurs auraient le dernier mot ? Merci de me répondre stratege. Une FAP avec 5 C-17/50 A400 M /19/20 C235 /20 A330 MRTT/4 TLRA A340 n'aurait-elle pas "un petit plus" en Europe au niveau capacitaire et de souplesse d'emploi de projection ? Cette gamme d'aéronefs permettrait-elle pas à la France d'être crédible ? -
Premier exercice OTAN pour le Rafale
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Europe
La Rafale va évoluer auprès des aéronefs italiens ,belges ,britanniques ,Allemands ,Turques ,Norvègiens et Tchéques. Penses-tu un seul instant TMor qu'il n'y aura que des F1 Espagnols ?[29] -
Le meilleur char du monde en service
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Europe
Il faut admettre que : La milice armée chiite libanaise a été formée ,entraînée ,instruite par des experts et instructeur étrangers ,qu'elle était dotée d'armement et système d'arme perfectionné et qu'elle a été certainement secondée par des éléments de l'armée régulière d'un certain pays. Merkava II/III/IV en ont fait les frais ,aucun autre MBT n'aurait resisté. Il faut noter que les VCI et autres blindés ont subis des conséquences des divers AC. Nous sommes loin ,des cailloux et des M16/FLG palestinien. Des mines ,des IED ,des techniques de harcellement ,des roublardises ,des snipers et contre sniping ,des combats nocturnes ont demontrés la suite. -
Guerre nucléaire contre l'Iran
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui d'ailleurs ,j'avais lancé le débat sur une option militaire avec une hypothèse de frappe nucléaire sur l'Iran. 35 pages plus loin... La préparation d'une véritable guerre contre l'Iran au cours de laquelle des ogives nucléaires pourraient être utilisées est entrée dans sa phase finale. Les partenaires de la coalition qui comprend les USA, Israël et la Turquie sont "dans un état de préparation avancé". Le projet militaire a été approuvé par l'OTAN mais on ne connaît pas encore les modalités de la participation de l'Alliance aux attaques aériennes. Le fait que les USA et Israël préparent un holocauste nucléaire au Proche-Orient ne figure pas au programme des anti-guerre et des anti-mondialisation. La préparation d'une véritable guerre contre l'Iran au cours des ogives nucléaires pourraient être utlisées est entrée dans sa phase finale. Les partenaires de la coalition qui comprend les USA, Israël et la Turquie sont "dans un état de préparation avancé". Divers exercices militaires sont effectués depuis le début de 2005. De leur côté, les forces armées iraniennes se sont livrées, en décembre, à d'importantes manœuvres dans le golfe Persique en prévision d'une attaque soutenue par les Etats-Unis. Depuis le printemps 2005, on assiste à une intense navette diplomatique entre Washington, Tel-Aviv, Ankara et le quartier général de l'OTAN à Bruxelles. Parmi les derniers événements, il faut mentionner le fait que le directeur de la CIA, Porter Goss, lors d'une mission à Ankara, ait demandé au Premier ministre turc Recep Erdogan 'un soutien politique et logistique en vue du bombardement de cibles nucléaires et militaires iraniennes'. Goss aurait demandé que les Services secrets turcs collaborent de manière particulière à la préparation et à la supervision de l'opération.[1] Ariel Sharon, quant à lui, a donné à l'armée israélienne le feu vert pour commencer les attaques fin mars. "Tous les hauts responsables israéliens ont estimé que la fin mars était le dernier délai pour une attaque militaire contre l'Iran. Cette date coïncide avec celle de la remise à l'ONU du rapport de l'AIEA sur le programme d'énergie nucléaire de l'Iran. Des politiciens israéliens pensent que leurs menaces pourraient influencer les auteurs du rapport ou du moins les amener à utiliser des formulations ambiguës sur lesquelles leurs partisans d'outre- Atlantique pourraient s'appuyer pour demander que le Conseil de sécurité décide de prendre des sanctions ou pour justifier des opérations militaires israéliennes."[2] Le projet militaire soutenu par les Etats-Unis a été approuvé par l'OTAN mais on ne connaît pas encore les modalités de la participation de l'Alliance aux attaques aériennes. "Shock and Awe" deuxième version Les différents aspects de l'opération militaire relèvent tous du commandement américain et sont coordonnés par le Pentagone et le quartier général de l'US Strategic Command sur la base aérienne d'Offutt dans le Nebraska. Les opérations annoncées par Israël doivent être menées en étroite collaboration avec le Pentagone. La structure de commandement est centralisée et c'est Washington qui décidera in fine de leur déclenchement. Des sources militaires américaines ont confirmé que l'attaque de l'Iran impliquera un important déploiement de forces semblable au bombardement "shock and awe" (choc et effroi, choquer pour inspirer le respect) de l'Irak en mars 2003. Selon www.GlobalSecurity.org "Les attaques aériennes américaines seraient beaucoup plus importantes que l'attaque israélienne du centre nucléaire d'Osirak de 1981 en Irak et rappelleraient plutôt les premiers jours de la guerre aérienne de 2003 contre l'Irak. On pourrait, en utilisant tous les bombardiers Stealth B-2 basés à Diego Garcia ou aux USA et peut être également des Stealth-Fighter F-117 stationnés à Udeid au Qatar ou ailleurs, détruire les deux douzaines d'installations nucléaires suspectes. Les stratèges militaires pourraient dresser une liste de cibles en fonction des préférences du gouvernement américain en limitant les attaques aux installations les plus importantes… ou les USA pourraient opter pour un nombre beaucoup plus important de frappes dirigées contre un vaste éventail de cibles en rapport avec des arsenaux d'armes de destruction massive et des forces armées classiques ou nucléaires susceptibles d'être utilisées pour contre-attaquer les forces américaines en Irak."[3] En novembre, l'US Strategic Command a effectué un important exercice de "global strike plan" baptisé "Global Lightning". Il s'agissait de la simulation d'une attaque contre un "ennemi fictif" à l'aide d'armes classiques et nucléaires. Ensuite, il a annoncé un état de préparation avancé (cf. notre analyse ci- dessous). Alors que la presse asiatique pensait que l'ennemi fictif était en l'occurrence la Corée du Nord, le moment où a eu lieu l'exercice laisse plutôt supposer que celui-ci avait pour but de préparer une attaque contre l'Iran. Consensus en faveur d'une guerre nucléaire Au sein de l'Union européenne, aucune personnalité politique ne s'y est opposée. Des consultations entre Washington, Paris et Berlin sont en cours. Contrairement à l'invasion de l'Irak, qui fut refusée par la France et l'Allemagne au plan diplomatique, Washington a obtenu un consensus au sein de l'OTAN de même qu'au Conseil de sécurité. Ce consensus concerne également une guerre nucléaire qui pourrait affecter une grande partie du Proche-Orient et de l'Asie centrale. De plus, un certain nombre de pays arabes limitrophes sont aujourd'hui des partenaires tacites du projet militaire américano-israélien. En novembre 2004, les plus hauts commandants de l'armée israélienne ont rencontré, au quartier général de l'OTAN à Bruxelles, leurs homologues des six pays riverains de la Méditerranée – Egypte, Jordanie, Tunisie, Maroc, Algérie et Mauritanie. Un protocole de l'OTAN et d'Israël a été signé. A la suite de cette rencontre, les USA, Israël et la Turquie ont effectué des manœuvres communes au large de la Syrie. Et en février 2005, Israël a participé à des exercices militaires et à des manœuvres "antiterroristes" avec quelques pays arabes. Les médias ont été unanimes à dire que l'Iran représentait une "menace pour la paix dans le monde". Le mouvement pacifiste a avalé ce mensonge. Le fait que les USA et Israël préparent un holocauste nucléaire au Proche-Orient ne figure pas au programme des anti-guerre et des anti-mondialisation. Les "frappes chirurgicales" sont présentées à l'opinion mondiale comme un moyen d'empêcher l'Iran de fabriquer des armes nucléaires. On nous dit que ce n'est pas une guerre mais une opération militaire de maintien de la paix qui consistera à bombarder les installations nucléaires iraniennes. Les mini-nukes sont-elles sans danger pour les populations civiles? En révélant certains détails du projet militaire, les articles de presse servent avant tout à masquer l'ampleur de l'opération militaire qui prévoit le recours préventif aux armes nucléaires tactiques. Le projet militaire repose sur la doctrine de la guerre nucléaire "préventive" de l'Administration Bush exposée dans la Nuclear Posture Review de 2002. On a recouru à une large désinformation médiatique afin de dissimuler les conséquences dévastatrices d'une utilisation d'ogives nucléaires contre l'Iran. Le fait que ces "frappes chirurgicales" soient effectuées avec des armes classiques et des armes nucléaires ne fait l'objet d'aucun débat. Depuis la décision du Sénat américain en 2003, les armes nucléaires tactiques (low- yield mini-nukes = mini-bombes nucléaires de faible puissance) de nouvelle génération dont la puissance explosive est égale à 6 fois celle de la bombe d'Hiroshima sont considérées comme "sans danger pour les populations civiles" parce qu'elles explosent sous terre. Grâce à une campagne de propagande qui s'est assuré le soutien de spécialistes du nucléaire "qui font autorité", on présente les mini-nukes comme des instruments de paix et non de guerre. On en autorise l'emploi sur les champs de bataille. On prévoit de les utiliser dans la prochaine étape de la guerre américaine "contre le terrorisme" parallèlement aux armes classiques. Des membres de l'Administration américaine prétendent qu'on les emploiera comme des armes dissuasives crédibles à l'égard des Etats voyous (Iran, Corée du Nord). "Leur raisonnement est que les armes nucléaires existantes sont trop destructrices pour être employées en dehors d'une guerre nucléaire de grande envergure. Les ennemis potentiels s'en rendent compte, si bien qu'ils ne croient pas à la menace d'une riposte nucléaire. Les mini-nukes sont moins destructrices et il est donc plus probable qu'on y ait recours. Cela en fait un moyen de dissuasion plus efficace".[4] A l'aide d'un raisonnement complètement faux, les armes nucléaires sont présentées comme un moyen de maintenir la paix et d'éviter les dommages collatéraux. Dans ce contexte, le Pentagone a laissé entendre que les mini-nukes, avec leur puissance de moins de 5000 tonnes, étaient sans danger pour les populations civiles, l'explosion ayant lieu sous terre. Toutefois, en ce qui concerne leur puissance explosive et les retombées radioactives potentielles, chacune de ces bombes représente une fraction importante de la bombe d'Hiroshima. On estime la puissance explosive des bombes larguées sur Hiroshima et Nagasaki à respectivement 15 000 et 21 000 tonnes.[5] Autrement dit, la puissance explosive des mini-nukes représente le tiers de celle de la bombe d'Hiroshima. La nouvelle définition de l'ogive nucléaire a estompé la différence entre arme classique et arme nucléaire: Selon Hans Kristensen, du Nuclear Information Project, "c'est un ensemble (armes armes classiques et armes nucléaires). Il en résulte manifestement que l'arme nucléaire cesse d'appartenir à une catégorie à part, celle d'une arme de dernier recours, pour n'être plus qu'un outil parmi d'autres».[6] Nous nous trouvons à un tournant dangereux: les stratèges militaires croient déjà à leur propagande: les manuels militaires prétendent que cette nouvelle génération d'armes nucléaires peut être utilisée "sans risques" sur les champs de bataille. Ce ne sont plus des armes de dernier recours. Les politiques ne s'opposent plus à leur utilisation. A ce propos, le sénateur Edward Kennedy a accusé le gouvernement Bush d'avoir développé "une génération d'armes nucléaires plus praticables". La communauté internationale a approuvé une guerre nucléaire au nom de la paix dans le monde. "Rendre le monde plus sûr", telle est la justification d'une opération militaire qui pourrait aboutir à un holocauste nucléaire. Mais les holocaustes nucléaires ne font pas la une des journaux. Selon Mordechai Vanunu, le gouvernement israélien se prépare à utiliser l'arme nucléaire dans sa prochaine guerre contre le monde islamique. Là où je vis, les gens parlent souvent de l'Holocauste. Mais chaque bombe nucléaire, quelle qu'elle soit, représente un holocauste: elle peut tuer, détruire des villes, anéantir des peuples entiers.[7] Unité de commandement pour des attaques sur terre et dans l'espace Une attaque préventive avec des armes nucléaires tactiques serait coordonnée par l'US Strategic Command et l'Offutt Air Force Base au Nebraska en collaboration avec des unités de commandement des USA et de la coalition du golfe Persique, de la base militaire de Diego Garcia, d'Israël et de la Turquie. L'US Strategic Command a pour mandat de "superviser un plan d'attaque global" qui prévoit l'utilisation d'armes classiques et d'armes nucléaires. En jargon militaire, il doit "jouer le rôle d'un intégrateur global responsable d'opérations dans l'espace, d'information, de défense anti-missiles intégrée, de commandement et de contrôle globaux, de renseignement, de surveillance, de reconnaissance, d'attaque globale et de dissuasion stratégique…". En juin 2005, au début des préparatifs de guerre contre l'Iran, l'US Strategic Command a été reconnu "premier commandement de l'intégration et de la synchronisation des efforts du ministère de la Défense en vue de la lutte contre les armes de destruction massive". Pour accomplir cette tâche, une toute nouvelle unité de commandement a été créée, la Joint Functional Component Command Space and Global Strike (JFCCSGS). Elle a pour mission de superviser le déclenchement d'une attaque nucléaire conformément à la Nuclear Posture Review (NPR) adoptée par le Congrès en 2002. Celle-ci prévoit l'utilisation préventive d'ogives nucléaires non seulement contre les Etats voyous mais contre la Russie et la Chine. Depuis novembre, le JFCCSGS doit, après les exercices militaires appropriés, "se trouver en état de préparation avancé". C'est ce qu'a déclaré début décembre l'US Strategic Command. Cette unité doit être capable "d'atteindre rapidement des cibles dans le monde entier, et cela en utilisant aussi bien des armes classiques que des armes nucléaires". Les exercices effectués en novembre concernaient "un pays fictif que l'on supposait être la Corée du Nord"[8]. "A partir du 18 novembre, la nouvelle unité (le JFCCSGS) remplit les conditions nécessaires pour pouvoir se dire opérationnelle." Une semaine avant cette annonce, l'unité achevait un exercice de poste de commandement baptisé Global Lightning, qui était lié à un autre exercice, appelé Vigilant Shield, dirigé par le North American Aerospace Defense Command (NORAD) qui est chargé de la défense anti-missiles en Amérique du Nord. "Après avoir effectué plusieurs nouvelles missions en 2002, l'US Strategic Command a été réorganisé afin d'assurer une meilleure collaboration et d'être plus attentif aux relations entre les différentes fonctions", a déclaré le capitaine de la Marine James Graybeal, premier porte-parole de l'US Strategic Command. "Avant le mois de mai de cette année, le JFCCSGS avait publié un concept d'opérations et commençait à préciser les conditions nécessaires à sa réalisation jour après jour et son processus de planification intégré. Les performances de l'unité pendant l'exercice Global Lightning ont montré qu'elle était prête à réaliser sa mission consistant à prouver ses capacités de frappe intégrée dans le monde et dans l'espace afin de dissuader les agresseurs et, si l'ordre en est donné, de vaincre l'adversaire au moyen de mesures globales communes visant à appuyer l'US Strategic Command de manière décisive", a-t-il ajouté sans donner de détails sur les "nouvelles missions" de cette unité de commandement qui compte environ 250 personnes. Des spécialistes du nucléaire et des sources gouvernementales ont précisé qu'une de ses principales missions serait de mettre en oeuvre la Nuclear Posture Review de 2001 qui inclut une option consistant à attaquer des Etats voyous qui possedent des armes de destruction massive.[9] Concept plan (CONPLAN) 8022 Le JFCCSGS est dans un état de préparation avancé en ce qui concerne le déclenchement d'attaques visant l'Iran ou la Corée du Nord. La mise en oeuvre opérationnelle d'une attaque globale est appelée Concept Plan (Conplan) 8022. Il est décrit comme étant "un plan concret que la Marine et l'Armée de l'air traduisent en attaques coordonnées de leurs sous-marins et de leurs bombardiers.(ibid.) COMPLAN 8022 est "le plan général des scénarios stratégiques préparés qui impliquent l'usage d'armes nucléaires". "Il est particulièrement centré sur les nouvelles formes de menaces – Iran, Corée du Nord – de même que sur les proliférateurs et les terroristes potentiels." Selon Kristensen, "rien ne permet de dire qu'ils n'utiliseront pas le CONPLAN 8022 à une échelle réduite contre des cibles russes ou chinoises». (cf. note 11) La mission du JFCCSGS est de mettre en oeuvre le CONPLAN, c'est-à-dire de déclencher une guerre nucléaire contre l'Iran. Le Commandant en chef des Forces armées, en l'occurrence George W. Bush, chargerait le Secrétaire à la Défense qui, à son tour, chargerait les chefs d'état-major des trois armées d'activer le CONPLAN 8022. Ce dernier est différent des autres opérations militaires: il n'envisage pas le déploiement de forces terrestres. Il prévoit une opération à petite échelle. Un plan militaire typique comprend un mélange des trois armées – armée de l'air, marine et armée de terre – et prend en compte les aspects politiques et logistiques nécessaires au soutien de ces forces dans des opérations d'une certaine durée. Le plan d'attaque globale est offensif, il est déclenché par la perception d'un danger imminent et exécuté sur ordre du Président. (William Arkin, Washington Post, mai 2005) A vrai dire, la capacité de pénétration en profondeur de la [bombe nucléaire] B61-11 est limitée. Des essais ont montré qu'elle ne pénétrait que jusqu'à quelque 20 pieds [environ 6,6 m] dans un terrain sec lorsqu'elle était larguée d'une altitude de 40 000 pieds [environ 13 km]. Même ainsi – elle s'enfonce dans le sol avant d'exploser – une proportion beaucoup plus grande d'énergie explosive, en comparaison avec les explosions en surface, a pour effet d'ébranler le sol. Toute tentative de l'utiliser en milieu urbain cependant occasionnerait des pertes humaines considérables. Même avec une bombe de faible puissance (moins d'une kilotonne), l'explosion creuserait un énorme cratère, éjectant des quantités de matières radioactives qui émettraient un rayonnement gamma léthal sur une vaste étendue. (www.fas.org/faspir/2001/v54n1/weapons.htm) Le rôle d'Israël - Extension de la guerre Depuis la fin de 2004, Israël stocke des armes classiques et nucléaires made in USA en prévision d'une attaque contre l'Iran. Ce stockage, financé par l'aide militaire américaine, était quasi terminé en juin 2005. Israël a reçu des Etats-Unis plusieurs milliers "d'armes intelligentes lancées depuis des avions" dont quelque 500 bombes anti-bunker qui peuvent également être utilisées comme vecteurs de bombes nucléaires tactiques. La bombe B61-11 est la "version nucléaire" de la BLU 113 classique. Elle peut être lancée à peu près de la même manière que es bombes anti-bunker classiques. En outre, comme on l'a appris à la fin de 2003, des sous-marins Dolphin israéliens équipés de missiles Harpoon américains armés d'ogives nucléaires sont actuellement dirigés vers l'Iran. Fin avril 2005, vente à Israël de bombes antibunker GBU28. Au moment de la visite de Poutine en Israël, la Defence Security Cooperation Agency (Département américain de la Défense) a annoncé la vente à Israël de 100 nouvelles bombes anti-bunker fabriquées par Lockheed Martin. Les médias ont vu là "un avertissement à l'Iran à propos de ses ambitions nucléaires". La vente concerne les "Guided Bomb Unit-28 (GBU28) BLU-113 Penetrator" (qui comprennent l'unité de guidage WGU-36A/B et un équipement de soutien). La GBU-28 est décrite comme une arme spéciale prévue pour détruire des centres de commandement profondément enterrés. Le fait est que cette bombe compte parmi les armes classiques les plus meurtrières que l'on connaisse car elle peut tuer des milliers de civils. Elle a été utilisée lors de l'invasion de l'Irak en 2003. L'armée de l'air israélienne prévoit d'en équiper ses bombardiers F-15. ( www.dsca.osd.mil/PressReleases/36-b/200 … rected.pdf ) Extension de la guerre L'Iran a confirmé qu'il riposterait s'il était attaqué en lançant des missiles balistiques sur Israël (CNN, février 2005). Ces attaques pourraient aussi viser des installations militaires américaines en Irak et dans le golfe Persique, ce qui conduirait immédiatement à un scénario d'escalade militaire et à une guerre totale. Actuellement, il y a trois théâtres distincts d'opérations militaires: l'Afghanistan, l'Irak et la Palestine. Les attaques aériennes contre l'Iran pourraient contribuer à déclencher une guerre dans une vaste région comprenant le Moyen-Orient et l'Asie centrale. En outre, l'attaque prévue de l'Iran devrait également être envisagée en relation avec le retrait - opportun - des troupes syriennes du Liban qui a libéré un nouvel espace au déploiement de forces israéliennes. Et autre facteur à signaler: la participation de la Turquie à l'opération militaire américano- israélienne, qui résulte de l'accord conclu l'année dernière entre Ankara et Tel-Aviv. Plus récemment, Téhéran a renforcé sa défense aérienne en achetant 29 systèmes anti-aériens russes Tor M-1. En octobre dernier, avec la collaboration de Moscou, "une fusée russe a placé en orbite un satellite espion, le Sinah-1". Le Sinah-1 n'est que le premier de plusieurs satellites iraniens qui doivent être mis en orbite par les Russes au cours des prochains mois. Ainsi, l'Iran possédera bientôt un réseau de satellites constituant un système de préalerte en cas d'attaque israélienne, bien qu'il s'agisse là de peu de chose en regard des puissants espions aériens israéliens et américains capables de détecter les moindres mouvements de la barbe des mullahs de Téhéran. De plus, selon le Sunday Times, la Russie a signé à la fin du mois dernier un contrat d'un milliard de dollars portant sur la vente à l'Iran d'un système de défense moderne capable de détruire des missiles guidés et des bombes guidées au laser. Il sera opérationnel au cours des prochains mois. Guerre terrestre Bien que le CONPLAN n'envisage pas une guerre terrestre, les bombardements aériens pourraient y mener. Des troupes iraniennes pourraient passer la frontière avec l'Irak et s'opposer aux forces de la coalition en Irak. Des troupes israéliennes et ou des forces spéciales pourraient entrer au Liban et en Syrie. Actuellement, Israël prévoit d'effectuer des exercices militaires et de déployer des forces spéciales dans les régions montagneuses de Turquie qui jouxtent l'Iran et la Syrie, cela avec la collaboration du gouvernement d'Ankara. Ankara et Israël ont conclu un accord qui autorise ce dernier à effectuer des manœuvres dans les régions montagneuses de la Turquie situées à la frontière avec l'Iran. Selon un journal des Emirats arabes unis, et conformément à l'accord conclu entre le chef d'état-major de l'armée israélienne Dan Halutz et des hauts responsables turcs, Israël va effectuer diverses manœuvres dans les régions situées aux frontières avec l'Iran et la Syrie. Citant certaines sources sans les nommer, le journal en question insiste sur le fait qu'Israël a formulé cette demande en raison des difficultés à passer un hiver dans les territoires montagneux près des frontières avec l'Iran. Deux unités vont participer à ces exercices dont la date n'a pas encore été fixée. Ce sont les plus importantes unités militaires spéciales d'Israël. Elles ont pour mission de combattre le terrorisme et sont spécialisées dans la guérilla Auparavant, la Turquie avait autorisé l'entraînement de pilotes israéliens dans la région jouxtant l'Iran. La nouvelle de l'accord a été diffusée au moment où des responsables turcs essaient d'échapper à l'accusation de coopérer avec les Etats-Unis dans des opérations d'espionnage à l'encontre de la Syrie et de l'Iran. Depuis la semaine dernière, la presse arabe a publié divers articles indiquant qu'Ankara est disposé, du moins en principe, à engager des négociations sur la mise à disposition de ses espaces terrestre et aérien pour des opérations dirigées contre l'Iran. Conclusions Les conséquences de tout cela sont effrayantes. La "communauté internationale" a accepté l'éventualité d'un holocauste nucléaire. Les décideurs sont aveuglés par leur propre propagande. L'Europe de l'Ouest et l'Amérique du Nord sont parvenues à un consensus concernant des attaques aériennes au moyen d'armes nucléaires tactiques sans prendre en compte leurs effets dévastateurs. Cette aventure militaire motivée par la recherche du profit est une menace pour l'avenir de l'humanité. Ce qu'il faut dans les mois qui viennent, c'est un grand mouvement, national et international, qui brise la conspiration du silence, qui reconnaisse les dangers, qui mette ce projet de guerre au centre des débats politiques et de l'attention des médias, à tous les niveaux, qui exige des chefs politiques et militaires qu'ils prennent position contre cette guerre nucléaire patronnée par les Etats-Unis. En dernière analyse, ce qu'il faut, c'est de lourdes sanctions internationales à l'encontre des Etats-Unis et d'Israël. -
[PHA] Porte-Hélicoptères d'assaut ex BPC
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de BBe dans Europe
2 Gazelle ,2 Puma ,2 Cougar ALAT et de temps en temps 2/3 EC 725 RESCO. MAM a lancé une perche aux européens pour se doter d'un bâtiment école. Cela dépend ,les H en opex détiennent une bonne DTO. Sans compter ceux qui sont sur place. Que l'on coule le Colbert et le Clem ,se sera bon pour le corail. -
Alliot-Marie bientôt honoris causa militaire en Belgique !
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Mani dans Politique etrangère / Relations internationales
Et les autres ,ils étaient comment ,avant ? C'est sûr ils étaient plus courageux ,décideurs ,appréciés ,volontaires ...[07] ,le prog Rafale n'a jamais eu 10 ans de retard ,le CDG a été mis à l'eau plutôt ,les crédits équipements tous respectés ,les réformes. Au fait ,la professionnalisation n'est pas une réforme en soi ? Est-ce qu'avec les autres : Toutes les cibles de dotations et toutes les LPM ont été respectées. -
Guerre nucléaire contre l'Iran
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Au sujet de l'allusion en gras : Ta langue a fourchue de dire que la religion des musulmans est trop dangereuse. Attendre que les Iraniens commencent à faire des essais nucléaires est dangereux pour la région et le TNP. Pourquoi dis-tu que la Turquie est instable ? -
Alliot-Marie bientôt honoris causa militaire en Belgique !
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Mani dans Politique etrangère / Relations internationales
Edith est notre "honorable correspondante"[23] -
Alliot-Marie bientôt honoris causa militaire en Belgique !
Philippe Top-Force a répondu à un(e) sujet de Mani dans Politique etrangère / Relations internationales
On va demander à Charles Maisonneuve de nous faire un briefing sur l'histoire de Henri P[11] ,nous n'avons pas à juger ce général ,le débat porte sur MAM et sa décoration.