Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Rochambeau

Members
  • Compteur de contenus

    5 946
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    3

Tout ce qui a été posté par Rochambeau

  1. M'en parlez pas, je suis encore traumatisé... ok fana du système américain mais il abuse là! >:( Voili t-il pas qu'on va revenir 108 ans en arrière! P***, dire qu'on a eu du mal a instaurer la laïcité. Même De Gaulle évité le sujet pour respect à la laïcité! @ docteur de toute manière tout le monde est destiné à mourir... disont que si les catastrophes arrive et bien cela sera une espèce vivante en moins sur Terre, elle en a à vue bien d'autre notre bonne vieille planète =D
  2. @ Robert on sait que tout les pays on une liste semblable :P, mais on pointé seulement nos atouts dans notre économie.
  3. L'avantage tactique est d'avoir attaqué le point faible même du système de défense de la France, en exploitant celle-ci avec un mouvement en faucille qui a permis la capture de 500 000 hommes et en plus c'était les mieux équipés et entrainnés. Pour les panzer IV on été déjà à la version D alors le reste allez forcément suivre. Le tigre était déjà en étude... Elle était surtout fatiguée aprés ces longues heures de route et de marche pour d'autre. Voici un témoignage interessant: "Je vous livre ici le témoignage de mon grand-père (98 ans) sur sa campagne de mai-juin 40, recueilli cette semaine (je n'ai pas insisté des heures, malgré sa gentillesse, car ces efforts de mémoire sont aussi pour lui une fatigue; peut-être aurais-je l'occasion de compléter ultérieurement). Sa situation est un peu particulière: né en Egypte (baptisé en Grèce) d'une mère française et d'un père tchèque, il a vécu en France à partir de l'âge de 6 ans (orphelin de son père, mon arrière-grand père ayant décédé en 1914). Lorsque la guerre éclate en 1939, il a 29 ans et voit tous ses camarades Français partir pour le front. Lui n'est pas Français à ce moment-là (on ne devenait pas Français comme cela à l'époque) et n'est donc pas tenu de partir pour la guerre. Il décide néanmoins de faire son devoir comme les copains et espère ainsi pouvoir acquérir cette nationalité française. D'abord refusé car très maigre pour sa taille et son âge, il finit par être incorporé à la seconde tentative. Quelle n'est pas alors sa déception quand on lui annonce son versement dans les régiments de volontaires tchèques! Heureusement, il aura de nombreux camarades bilingues dans son régiment. Anecdotes croustillantes de mon grand-père, qui ne comprenait pas un traître mot des ordres que les officiers tchèques lui donnaient en hurlant ("ils étaient plus boches que les boches"!); il ne comprenait même pas son nom avec la prononciation tchèque lors des appels!!! Ca lui a valu quelques désagréments... Autre souvenir: la formation se passe à Agde, dans le Sud de la France; l'entraînement est pépère, pas l'impression d'être en guerre, plutôt en vacances. Toute la drôle de guerre se passe là-bas. Puis les choses sérieuses commencent après le 10 mai. L'entraînement est accéléré. Les officiers tchèques donnent la consigne d'achever les camarades blessés au combat, la Tchécoslovaquie étant occupée par les Allemands et ceux-ci considérant donc les Tchèques comme des traîtres (pas de prisonniers, pas de pitié): idéal pour donner le moral aux combattants qu'on envoie au casse-pipe!!! Mon grand-père ne participe pas aux premiers combats. Mais un beau jour, rassemblement général. Son régiment est acheminé en train vers le Nord de la France. Il ne peut hélas se souvenir de la date ni de la destination exactes car, me dit-il, on les fait descendre de train en rase campagne, pas dans une gare. Le régiment se dirige alors à pied à la rencontre de l'ennemi. Les hommes atteignent un vallon, dont ils dévalent une des pentes, lorsque, à quelques kilomètres en face d'eux sur la pente opposée surgit une colonne motorisée allemande. Mon grand-père m'explique: "on les a vus venir, de loin, avec leurs side-cars, leurs voitures blindées...en une seconde, j'ai pu saisir le fossé qui existait entre eux et nous, en une seconde, le mythe de la puissance de l'armée française s'est écroulé". Les Allemands ont commencé à les canarder de loin à la mitrailleuse. Comme ses camarades, mon grand-père est resté cloué le nez dans l'herbe sur cette pente, avec son vieux fusil Lebel à un coup et ses bandes molletières qui lui faisaient mal aux jambes. Un groupe proche de lui disposait d'une vieille mitrailleuse Hotchkiss de la 1ère GM dont les servants ne purent jamais sortir la moindre rafale... Il se souvient particulièrement du "sifflement affreux" que font les balles quand elles passent près, le petit jet de terre quand elles touchent le sol, et le terrifiant bruit mat quand elles touchent leur cible humaine. Combien d'heures ainsi, il ne peut le dire mais cela lui parut très long. Puis un officier est venu et leur a ordonné de décrocher. Au cours du décrochage, la cohésion du régiment est devenue plus lâche; il s'est retrouvé isolé, comme tant d'autres, avec un petit groupe de copains. Pas d'ordre, pas d'officier, les Allemands sur les talons et à chaque carrefour la gendarmerie "Dégagez, dégagez!!!" Il a ainsi "dégagé" sur plusieurs centaines de kms, échappant par miracle à l'encerclement, voyant nombre de ses camarades tomber d'épuisement sur le bord de la route. Noyé dans le flot des réfugiés, il a réussi à passer la Loire sans être pris. Et sa guerre s'est achevée ainsi. Revivant un peu tout cela en me le racontant, il a conclu: "pas un de mes camarades de combat ne s'est comporté en lâche, pas un n'a faibli sous le feu ennemi, pas un n'a manqué à son devoir et c'est aussi le cas pour l'écrasante majorité des combattants français de mai-juin 40". "Mais, poursuit-il, le matériel français était un mythe; nous n'avions rien pour nous battre correctement". Et 67 ans après il ne comprend toujours pas ces "dégagez, dégagez" à chaque carrefour, cette absence de reprise en main, cette liquéfaction de l'autorité. En vrac quelques convictions bien arrêtées: * "Les Anglais on ne les aimait pas beaucoup: ils n'ont pas envoyé grand monde et au premier coup dur ils ont détalé comme des lapins" * "Les communistes appelaient ouvertement à la désertion et au sabotage, pendant que leurs copains soviétiques se partageaient la Pologne avec les nazis. * "Pétain a été traîté de lâche et même de traître après coup: lors de l'armistice, pas une seule personne autour de moi n'y a rien trouvé à redire; face au rouleau compresseur allemand, c'était la seule chose à faire pour éviter un massacre". Voilà. Il put néanmoins grâce à cet épisode tragique obtenir la nationalité française, dont toute sa vie il restera très fier." Source: http://batailles-1939-1940.historyboard.net/la-debacle-f51/temoignage-la-guerre-d-un-francais-comme-les-autresq-t1501.htm C'est tout aussi absurde que d'accuser que le haut commandement. Les propos de Marc Bloch, s'en doute l'un des plus grand historien français du XXème siècle: Examen de conscience d'un Français Marc Bloch n'attribue pas à la seule armée la responsabilité de la défaite(haut commandement et allié). Il met en relation les carences de la première avec l'impréparation et la myopie du peuple français dans son ensemble. L'État et les partis Sa première cible est l'État et les partis. Il dénonce « l’absurdité de notre propagande officielle, son irritant et grossier optimisme, sa timidité », et par-dessus tout, « l’impuissance de notre gouvernement à définir honnêtement ses buts de guerre ». L'immobilisme et la mollesse des ministres sont stigmatisés, et l'abandon de leurs responsabilités à des techniciens, recrutés sur la même base corporatiste (École Polytechnique et Sciences-Po, surtout). Tout ce petit monde avance à l'ancienneté dans une culture commune du mépris du peuple, dont on sous-estime les ressources. Les partis politiques sont également stigmatisés dans leur contradictions. Ainsi, les partis de droite, qui oublient leur germanophobie pour s'incliner devant la défaite et se poser en défenseurs de la démocratie et de la tradition. De même, la gauche refuse les crédits militaires et prêche le pacifisme, mais demande des canons pour l'Espagne. Bloch reproche aux syndicats leur esprit petit-bourgeois, obsédés par leur intérêt immédiat, au détriment de leur avenir ou de l'intérêt du pays dans son ensemble. De même, il condamne le pacifisme et l'internationalisme comme incompatibles avec le culte de la patrie, reprochant en particulier aux pacifistes leur discours selon lequel la guerre est l'affaire des riches et des puissants dont les pauvres n'ont pas à se mêler (une interprétation marxiste du conflit). Ouvriers et bourgeois Dans la population dans son ensemble, il renvoie dos à dos ouvriers et bourgeois. Il accuse les premiers de chercher « à fournir le moins d’efforts possibles, durant le moins de temps possible, pour le plus d’argent possible » au mépris des intérêts nationaux, entraînant des retards dans les fabrications de guerre. Réciproquement, il accuse les bourgeois d'égoïsme, et leur reproche de n'avoir pas éclairé l'homme de la rue et des champs sur les enjeux du pays, ni même dans les enseignement de base (problème de la lecture). Il dépeint une bourgeoisie devenue rentière, faisant des études pour son seul plaisir et ne pensant ensuite qu'à s'amuser. Il dépeint ainsi « Le grand malentendu des Français », qui met face à face une bourgeoisie dont les rentes diminuent, menacée par les nouvelles couches sociales, contraints de payer de leur personne et trouvant que les ouvriers travaillent de moins en moins et un peuple mal éduqué, incapable de comprendre la gravité de la situation. Il souligne en particulier l'aigreur d'une bourgeoisie qui ne s'est jamais remise du Front populaire. En s'éloignant du peuple, le bourgeois « s’écarte sans le vouloir de la France tout court ». Au niveau plus immédiat, Marc Bloch décrit un peuple mal préparé. La propagande entretient un sentiment de sécurité, alors qu'on sait depuis Guernica qu’il n’y a plus de « ciel sans menace ». Malgré les images de l'Espagne en ruines, « on n’en avait pas assez dit pour nous faire peur ; pas assez et pas dans les termes qu’il eût fallu pour que le sentiment commun accepta l’inévitable, et sur les conditions nouvelles ou renouvelées de la guerre, consentît à remodeler le moral du civil ». La classe de 1940 avait été à peine préparée, et comme on ne souhaitait pas la guerre, on y allait sans zèle, de façon résignée. Bloch suggère au contraire que, face au péril national, il ne devrait pas y avoir d'immunité, même les femmes pouvant combattre. Mais la politique fut d'éviter les morts et les destructions de la guerre précédente : « On s’estima sage de tout accepter plutôt que de subir, à nouveau, ce double appauvrissement ». Dans ce cadre, l'exode marque la lâcheté commune et, surtout, l'absence d'effort du peuple pour comprendre, qui préfère retourner à la campagne et refuser la modernité source: http://fr.wikipedia.org/wiki/L%27%C3%89trange_D%C3%A9faite Dominique Lormier est un chauvin... ces chiffre sont gonflés!
  4. Les gardes du Cardinal et les mousquetaires du Roi
  5. Bizarre à force... cela ne nous fait plus aucun effet.
  6. @ Pascal, je ne reproche pas aux gars de l'époque d'être traumatisés par la Grande Guerre, au contraire je met juste l'accent sur se fait. Comme vous le souligné, il avait en face des types qui en voulaient et fanatisé par 7 ans de nazisme. @ Tancrède il reste malgrés tout l'avantage tactique pour les allemands, qui finalisé les enseignemant de la première guerre mondiale. Et des diminutions des budget défense dans la période 1920-1930. (seul des types comme Darlan on pu sauver la face en faisant s'en doute la meilleur marine de notre histoire) Et les allemands allaient être armés par des panzer IV et tigre et là notre avantage sur leur char étaient perdu. Le fait que la ligne Maginot n'a pas été continué jusqu'à la Manche n'est pas la faute des belge, mais encore française, l'ambassadeur belge a averti le gouvernement français qu'il avait l'autorisation de continuer cette ligne.
  7. D'ailleurs les états-uniens n'avait pas recyclé une ancienne plateforme pétrolière en plateforme lance fusée? (Pour soi-disant économiser en consommation d'essence :P)
  8. @ Oui Gaby la faiblesse de l'armée française de cette époque n'est pas seulement un problème de communication mais aussi un problème logistique, un matériel pas adapté pour une guerre de mouvement, manque de tout, un peuple qui n'avait pas envie de se battre etc...
  9. @ Noewens, en faites je me suis trompé il appartenait au FNFL "Après la défaite de 1940, il est réquisitionné alors qu'il se trouve à Plymouth par les Forces Navales Françaises Libres. En route vers Tahiti qu'il doit défendre face aux Japonais, le "Surcouf" est abordé par un cargo américain dans la nuit du 18 février 1942. Le sous-marin coule. Il n'y aura aucun survivant. L'ancien hôpital des Armées de Cherbourg-Octeville a porté le nom du médecin de bord du "Surcouf", René Le bas." Source: http://batailles-1939-1940.historyboard.net/la-guerre-sur-l-eau-f42/le-surcouf-t1176.htm D'ailleurs cette histoire de porte-avion sous marin me fait penser à deux anime: Full metal panic, il faut dire que les gars se battent à l'intérieur de robot :P D'ailleurs on voit dans la dernière saison le fusil qui tire dans les coins. Ou encore Macross Zero, un scénario à la princesse mononoke... ou là les avions se module a volonté en robot. Deux anime avec une bonne qualité graphique soi-dit en passant.
  10. Il dépendait de Vichy, je crois :rolleyes: On a la Martinique et la Guadeloupe dans le coin.
  11. Eh ben, qu'est que cela serait, si nous étions ennemis? :P
  12. Je pense que cette baisse pourrait être un avantage pour eux notement en attirant les entrepreneurs comme les Etats-Unis aujourd'hui(ou encore la Chine avec ses salaires 30 fois en dessous des salaires occidentaux), souvenez vous de la délocalisation de Dassault aux USA. Oui, mais si ils font cela... ils vont perdre leur autonomie, non? Avec le franc on arrivait a "gérer" l'inflation, maintenant on ne peut plus. EADS n'est pas une entreprise européenne? Comme Airbus?
  13. Dire que vous allez donner tout cela aux allemands et anglais, pour une "Europe forte". O0
  14. Malheureusement il a coulé en heurtant un cargo états-uniens. En faites l'hydravion avait un faible rayon d'action. J'ai ajouté un lien a mon précédent poste sur se sous-marin hors du commun.
  15. Il était aussi prévu pour les opération longue durée avec une grosse réserve de torpille et de nourriture et avait un compartiment fait pour accueillir les naufragés. Il été normalement prévue d'en faire deux mais cela a été abandonné... Voici un lien sur la bête: http://alaboc.ifrance.com/pages/france/surcouf.html
  16. Il y des gens qui compte bien fait des villes flottante, alors un porte-avion sous-marin ce n'est pas plus fou. La France a bien fait le sous-marin croiseur Surcouf pendant l'entre deux guerre.
  17. Ah bon la France a encore une industrie à elle... =D(je plaisante)
  18. Excusez moi mais nous avons aussi un contre exemple, la troisième république était parlementariste cela n'a pas empêché le désastre de la première guerre mondiale et la branlée de 40.
  19. Messieurs vous allez pas nous rejouer le siège de Saint Jean d'Âcre içi... :P
  20. Un peu d'insomnie et cela n'est plus un problème =D Bon, voici une des rare batailles navales remportées par la flotte de l'empire Bataille de Grand Port http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Grand_Port Vous trouverez des détail içi aussi dans le chapitre "Les héros de Grand-Port": http://visualiseur.bnf.fr/Visualiseur?Destination=Gallica&O=NUMM-87139 Il avait aussi une bataille navale en Guyane(1800) pendant le consulat remporté par la France contre les portugais mais malheuresement pas d'autre détails. La bataille navale de FOU-TCHEOU Courbet était devant Fou-Tcheou. Dès le 11 juillet 1884..... Le 30 août 1884, toute l'escadre de Courbet était mouillée, dans le plus grand ordre, sous l'île Matsou. La bataille de Fou-Tcheou s'achevait par une éclatante victoire. A Fou-Tcheou, nous avions comptés, en tout 10 tués et 48 blessés. L'ennemi avait perdu deux ou trois milles hommes. Tous nos bâtiments s'étaient tirés intacts ou à peu près de la bataille. La flotte chinoise avait été totalement détruite, et pas un canons de la rivière n'avait échappé à Courbet.... source: http://jose.chapalain.free.fr/pageprin735.htm Ce lien montre deux pienture de cette bataille: http://historic-marine-france.com/huile/peintres-maritimes.htm Combat de Shipu ou Shei-Poo: http://fr.wikipedia.org/wiki/Combat_de_Shipu Portrait de l'Amiral Palma Gourdon, héros de Shei-Poo: http://www.loiret.com/cgloiret/index.php?page=display&class=notrehistoire_figurespasse&object=r45_fig&method=h_display_full Les "GAURS": http://pagesperso-orange.fr/cli/Content.htm
  21. Il y a un an de cela que TF1 en a parlez de cette diffèrence de taux entre la métrople et ces régions d'outre mer, donc oui il y a bien des statistiques séparée. Et souvent les statisticiens en parlent sur nos chaînes régionaux, sur la prochaine évolution démographique de notre région, c'est même dans nos programmes scolaires.
  22. Oui, c'est ce que je vous est dit :rolleyes:, Mais il ne faut pas exclure le fort taux de natalité des région d'outre-mer, ma région dans une quinzaine ou vingtaine d'année va avoir 1 million d'habitants ou peut-être même plus tôt.(et la distance qui sépare les deux points les plus éloignés de la région est de 75 km, île de la Réunion vérifier vous même)
  23. @ A STNG, vous avez manquez mon message: Nous les régions d'outre mer(surnommé assistés par certain) n'avons pas encore fini notre "évolution démographique", nos régions se retrouve souvent avec un fort taux de natalité et aussi un chômage des jeunes supérieur à la moyen national, et biensur il y a les émigrant.
  24. Ola ola... Duralex, la France doit sa forte démographie grâce a nous les assistés (comme certain aime le dire) des régions d'outre-mer et je vous parle pas des émigrant . 8)
  25. Austerlitz? C'est quoi Austerlitz? Et Fontenoy c'est qui? :rolleyes: Et mes vous en avez une bonne idée =D, je vote pour.
×
×
  • Créer...