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AIR-DEFENSE.NET

g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Pour le freeride y a le Caucase qu'est pas mal ... y a plus d'helo qu'en Astan pour éviter la grimpette a pieds. Pour l'ambiance tendu ... ca se défend.
  2. Le truc rassurant c'est qu'il y a encore un service publique qui marche bien "La Poste" :lol:
  3. g4lly

    Armées européennes nordiques

    Les suédois utilise un FNC mise a jour, l'AK5C. Toute la gamme AK5
  4. A priori rien n'empêche d'utiliser le LGI tendu ... calé sur le haut de la cuisse par exemple le recul a l'air supportable. "Le tir tendu au LGI est strictement interdit à l'instruction et à l'entraînement." Sous entendu ... en dehors y a moyen.
  5. Il y reste !!! C'est le tireur qui sort pour tirer ...
  6. C'est presque aussi beau que dans googl earth :lol:
  7. Y a pas que du petrole ... y a des nodule métallique exploitable aussi du gaz pas mal de biomasse, et enfin le littoral giganteste de l'ocean arctique qui va se libérer et permettre l'installation de population si le climat devient plus vivable.
  8. C'est pas juste 1% c'est 1% de plus que les 2% de plus de l'automne dernier ... donc de 11% + 26% on passe a 12% + 28% soit 10% d'augmentation d'impot !!!
  9. C'était pas rapport a ton message mais au fond de l'histoire... ;)
  10. Je vais éviter de polémiqué la dessus ... merci pour le démenti du MinDef.
  11. Les ballon a gaz on des probleme de fuite ... les gaz léger sont des molécule tres petite qu'il est bien difficile de confiner ... résultat des course les ballon a l'helium perde rapidement leur gaz meme avec l'enveloppe la plus etanche qu'on connaissent ... pas moyen de passer des semaine en l'air sauf a organiser le regonflage a l'helium.
  12. Voila une vue de l'habitat typique afghan... contre lequel a priori les tirs indirects devraient etre assez efficace.
  13. [dailymotion=425,350]x6kbf4[/dailymotion] Comme ca il faut faire ;) [dailymotion=425,350]x6kbf4[/dailymotion] Argggggggggggggggggh si j'avais su qu'on entendrais Fogiel et Elkabach je l'aurais pas mise cette video grrr./
  14. Nope c'est le LGI ca avec des "mines" bien plus grosse que les grenade 40mm.
  15. C'est pas mal tout ca :) tout bon messieurs.
  16. Le "livre blanc de la defense et de la securité nationale"
  17. Video France 24 http://www.france24.com/fr/20080826-patrouille-taliban-parachutiste-rpima-afghanistan-reportage-embarque Notre reporter Matthieu Mabin a accompagné les militaires français du 8e Régiment de parachutistes d’infanterie marine (RPIMa) de Castres, dans une de leurs missions en Afghanistan, du 7 au 17 août. Le journaliste a pu tourner un reportage exclusif pour FRANCE 24 sur le quotidien de ce régiment, dont 8 hommes ont trouvé la mort et 21 autres ont été blessés au cours d’une embuscade, le 18 août 2008. Il s'agit de l'attaque la plus meurtrière pour des soldats français depuis l'attentat du Drakkar, à Beyrouth, en 1983. A Nijrab, un poste avancé perdu dans la montagne, soldats afghans, "boys" américains et parachutistes français sont encerclés par les Taliban. Pas de vue d’ensemble du camp, aucun chiffre non plus sur le nombre de soldats engagés. Seule certitude : les Taliban sont là, à quelques centaines de mètres des miradors. Bruno est un lieutenant français de 27 ans. Il commande 30 parachutistes du 8e RPIMa, tous fraîchement arrivés en Afghanistan dans le cadre de l’extension du mandat des troupes françaises. Après Saint-Cyr, l’école de l’Infanterie et quelques séjours en Afrique, il est envoyé en Afghanistan. Pour une véritable mission de guerre. "Il a fallu préparer les gens à ce qu’il y ait des blessés dans nos rangs, des morts. Il a vraiment fallu préparer les gens normalement et leur faire comprendre qu’avec la préparation qu’ils avaient, ils seraient bien dans leurs baskets et vraiment bien dans leur mission", explique-t-il sans état d'âme. Direction la vallée de Tagab, en véhicule blindé. Dernier moment de calme avant la marche et l'action. L'atmosphère est studieuse, chacun s'imprègne de son rôle. Ces hommes savent qu'au combat, la moindre erreur peut être fatale. Ce secteur - les parachutistes le savent - est aux mains des Taliban. C'est la troisième fois qu'ils s'engagent dans la vallée. A chaque fois, l'expédition s'est soldée par un accrochage. A chaque fois, Bruno est saisi d'angoisse de voir ses hommes tomber. L'ennemi ne s'est pas encore montré, mais déjà les corps souffrent. En haut du col, sur le plateau, promesse tenue : les Taliban sont au rendez-vous. Les tirs fusent. Deux chasseurs F15 américains arrivent en renfort et Bruno demande à ses hommes de se replier. "Voyant que la végétation était très épaisse, je ne pouvais pas m'emparer des positions en face. J'ai préféré faire un retrait provisoire de mes troupes", explique-t-il. Aujourd'hui, Bruno et ses hommes gardent l'avantage. Pas de morts, pas de blessés. Juste une bonne suée. Mais le travail des militaires ne s'arrête pas là. Il faut œuvrer auprès de la population. "La meilleure façon de travailler et de gagner la bataille, si je puis dire, c’est vraiment de conquérir les cœurs, avoir la population dans la poche", explique le soldat. Les militaires ont tout intérêt à ce qu’elle soit de leur côté pour qu’elle ne renseigne pas les Taliban, mais la coalition. D'autant que les insurgés, en gagnant en force, rallient à leur cause de plus en plus de locaux. Le profil des Taliban a changé depuis quelque temps. Ils sont mieux armés (des fusils-mitrailleurs, mais aussi des mortiers et des fusils de sniper - ce qui n’est pas dans la culture afghane). Ce ne sont plus exclusivement des Afghans. Il y a de plus en plus d’étrangers dans leurs troupes : des Pakistanais ou des Tchétchènes. Retrouvez le reportage d’Anne-Isabelle et Matthieu Mabin en cliquant sur la vidéo ci-dessus. (Ndlr : Aucun des soldats français qui apparaissent dans le reportage n’a été touché dans l’embuscade du 18 août.)
  18. Le probleme c'est que pas mal de truc se recoupent dans se sens ... et qu'il y a probablement du vrai la dessous. On peu penser que la première ligne étant débordé certain "blessé"/mort on été fini "égorgé ou a coup de pierre" comme le rapporte des témoignages indirects. D'ailleurs ça n'a pas été démenti.
  19. http://blog.wired.com/defense/2008/08/more-drones-mor.html More Drones = More Demand for Spies Reaper_front_s With much prodding from Secretary of Defense Robert Gates, the Air Force is belatedly boosting the number of drones and manned "drone surrogates" in war zones, with up to 50 round-the-clock "orbits" by 2011 versus 27 today. Now the growth in unmanned intel is having an unexpected effect. Rather than replacing people, the new robotic spy drones have actually increased demand for human spooks, according to Air Force Times. "For each orbit ... about six intelligence airmen are needed to analyze the full-motion video piped back" to bases in the U.S. In total, the Air Force says it needs another 2,000 analysts over the long term to handle the extra 23 drone orbits. But that's not all. In addition to Stateside analysts, the Air Force needs spies on the ground plus people to handle them. "Analysts depend on human intelligence and signals intelligence, which includes intercepted cell phone signals, to provide a full picture to ground commanders," Air Force Times reports. To that end, last week the Air Force stood up a new Human Intelligence detachment in Ohio -- "the first HUMINT unit in the Air Force since 1995," according to Major General Craig Koziol. If it's anything like the Pentagon's other HUMINT units, the Air Force det will coordinate the activities of operatives on the ground. Only their goal will be to corroborate and provide context for the video beamed back to the U.S. by drones. UPDATE: More drones also means more remote-pilot screwups, bringing the robotic planes down. Researcher Lt. Col. Robert P. Herz "found that 71 percent of Predator mishaps from 2003 to 2006 could be attributed to 'human-error factors,'" according the Arizona Star. Predator pilots ... are less experienced than before. In the past, they typically had two, three or more tours with a warplane before coming to the drone. Now the average Predator pilot has one tour, Herz found. Herz reported that most Predator mishaps were the result of three types of human errors: inadequate skills and knowledge necessary to operate the aircraft; lack of teamwork; and lack of situational awareness. The result, Herz wrote, is that operators are less able to conduct "real-world operations." For example, he said, "lapses of judgment and lack of experience" often lead pilots to continue marginal landing approaches when it would have been better to circle around for another attempt.
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