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C'est plutot un probleme de signature et de volume de bruit ... les petits propulseur font moins de bruit et plus aigu que l'helice principale a la meme puissance qui elle doit fait du bruit plus grave avec la signature caractéristique. Les sons aigus s'atténue assez rapidement, alors que les sons grave se propage longuement... Les hélice des propulseur additionnels doivent aussi être optimisé pour les faible vitesse alors que les pompe hélice principale doivent l'être pour une large gamme d'allure.
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
Je rappelle que la position US était encore en chantier ... des Hummer servaient de "bastion wall" - alors que normalement on a deux hauteur d'énorme sandbag ce qui donne pas loin de 4m de haut -, pas de barbelés etc. C'est la raison pour laquelle l'attaque a été si sanglante. Notamment sur l'avant poste. La aussi c'est une erreur tactique ... que les taliban on réussi a rapidement exploiter, voir même forcer. Le déménagement étant du a la fragilité de la position précédente aux attaque quotidienne desdits taliban. -
Les bombe anti bunker c'est quelques dizaine de mètre de terre et quelques mètre de béton ... pour la dizaine de mètre de roche c'est même pas la peine d'y penser, alors la base sous la montagne même pas en rêve on fait un trou dedans. Apres pour la "porte" ... ya moyen de proteger le systeme en faisant en sorte que le tunnel traverse toute la montagne et que les acces intérieur soit perpentdiculaire a celui ci. resultat des course les explosion dans le tunnel serait évacué naturellement par les extrémité sans générer de surpression excessive dans la base elle meme - c'etait le principe de la base du NORAD sous la montagne -. La seul chose génante ce sont les eboulements a déblayer en fait. contre ca on peut imaginer des issus verticale pour des stovl si y a pas trop de dénivelé au dessus difficile de faire s'ebouler grand chose. Apres faut faire comme Goldorak ... sous la cascade, dans le volcan toussa :lol:
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
Presque 2 compagnie de taliban contre une grosse section US et une section ANA ... -
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.parismatch.com/parismatch/dans-l-oeil-de-match/reportages/afghanistan-les-temoignages-accablants-et-poignants-des-paras/(gid)/49035 28 Août 2008 - 21:25 Afghanistan : les témoignages accablants et poignants des paras Au lendemain de l’embuscade, notre reporter Caroline Fontaine a recueilli les récits bouleversants des survivants de notre envoyée spéciale en Afghanistan Caroline Fontaine Assis sur un muret devant l’hôpital militaire de Kaboul, cloîtrés dans leur deuil, ils ont d’abord refusé de parler. Six hommes, serrés les uns contre les autres. Six survivants, rescapés de la mortelle embuscade qui tua dix des leurs. Ces soldats sont jeunes, très jeunes. 20 ans en moyenne. «C’est notre histoire», assène l’un d’eux, blessé au visage. Puis, au fil de la pensée, malgré les réticences, les mots se forment, et là, le drame se dévoile. Pour l’armée, les récits sont souvent durs. Sans mettre en cause leur honnêteté, l’état-major à Kaboul rappelle que, dans le feu du combat, la perception du temps est altérée. La compréhension des événements, réduite à un champ limité qui ne permet pas d’appréhender toutes les données, déforme parfois la réalité. C’est le besoin de rétablir leur vérité, de rendre hommage à leurs camarades «morts en héros» qui pousse ces rescapés à raconter. La colère, aussi. «Nous avons été lâchés», dénonce un soldat encore sous le choc, une perfusion dans le bras. Lâchés face à un ennemi qui est partout et peut, à tout moment, surgir là où on ne l’attend pas. Des talibans si proches qu’ils en distinguent parfois les visages. Et ce terrible témoignage : «Certains des nôtres ont été attaqués à l’arme blanche.» Ses camarades acquiescent. La trentaine d’hommes de Carmin 2, la 2e section de la 4e compagnie du 8e régiment de parachutistes d’infanterie de marine de Castres (RPIMa), arrive au pied du col vers 13 h 30, «après deux heures de route difficile» depuis la base opérationnelle avancée (Fob) de Tora, leur camp, à une quinzaine de kilomètres. Derrière eux, entre le précédent col et le dernier village traversé, sont stationnés une section du régiment de marche du Tchad (RMT), deux sections de l’Ana (l’armée afghane) et un détachement des forces spéciales américaines. En tout, 61 Français. Face à eux : jusqu’à une centaine de talibans. «ON ENTENDAIT A LA RADIO : “UN MEC VIENT DE TOMBER.” MAIS LE FEU ETAIT TELLEMENT VIOLENT QU’EXFILTRER NOS CAMARADES ETAIT IMPOSSIBLE. ON ASSISTAIT, IMPUISSANTS, A LEUR MORT» Huit des trente hommes de Carmin 2 restent en bas du col avec leurs quatre Vab (véhicules de l’avant blindés). Les vingt-deux autres, accompagnés par l’auxiliaire sanitaire, Rodolphe Penon, un légionnaire du 2e régiment étranger de parachutistes (REP), commencent l’ascension. Plus de 600 mètres à gravir à près de 2 000 mètres d’altitude. Il leur a fallu, disent-ils, «entre trois quarts d’heure et une heure» avant d’atteindre le sommet tant le chemin est escarpé, la chaleur oppressante, leurs équipements encombrants, la poussière asphyxiante. Peu avant le col, ils essuient les premiers tirs. «Ils nous attendaient, raconte un des survivants. Ils étaient à 50 mètres de nous. Nous étions complètement dépassés en nombre, trop loin des Vab pour nous replier. Le piège s’est refermé.» Les talibans ont des kalachnikovs, des fusils de tireurs d’élite et des mitrailleuses lance-roquettes RPG pour frapper des véhicules, mais qu’ils utilisent aussi comme mortier. Très vite, le chef de section du 8e RPIMa, l’adjudant Evrard, est touché à l’épaule. L’interprète et un transmetteur radio sont mortellement blessés. Une deuxième radio est détruite. Il n’en reste plus que deux. C’est la confusion. Des hommes se dispersent à la recherche d’abris, très rares ici. «On faisait des bonds en arrière, on essayait de se sauver tout en tirant», raconte l’un d’eux. Un autre ajoute : «Neuf étaient directement au contact des talibans sur la ligne de crête.» Les soldats sont «fixés», dira à la radio l’adjudant Evrard pour signaler qu’ils ne peuvent plus se déplacer ni manœuvrer. Coincés, en sous nombre, isolés, ils sont éparpillés sur les 200 mètres qui les séparent du col. Ils tentent désespérément de survivre sous le feu ennemi. En théorie, chaque soldat dispose de six chargeurs de 25 cartouches – soit 150 coups –, de grenades à main et à fusil, et d’une mitrailleuse pour neuf personnes. «Très vite, on a manqué de munitions», affirment plusieurs hommes. Tous savent qu’il faut du temps aux renforts pour arriver : «A la base, témoigne un blessé, ils doivent être prêts à partir en cinq minutes. Mais comme il y a plus de deux heures de route...» Pourtant, assurent-ils, rien ne vient. «Nous n’avons jamais été soutenus par les appuis mortiers», disent-ils. Plus grave, «l’intervention aérienne n’est arrivée qu’au bout de deux heures et demie et a d’abord tiré à plusieurs reprises sur nous. On était à la radio, on ne comprenait pas ce qu’ils faisaient. Cela n’a fait ni blessés ni morts, mais c’était proche». Ils soutiennent aussi que «trois véhicules de l’Ana, venus en renfort», leur ont «tiré dessus». Selon l’état-major à Kaboul, les éléments de l’Ana restés au village avec un lieutenant français n’ont pas fait défection. Quant aux autres soldats afghans, postés plus en arrière, ils ont aussi essuyé des tirs des talibans. Toujours selon l’état-major, les soldats français et les talibans étant «trop imbriqués», ce même lieutenant a refusé d’utiliser les mortiers et a demandé aux premiers appuis aériens de ne pas intervenir. Vers 17 heures, officiellement, l’aviation de l’Otan n’aurait donc visé que les crêtes pour essayer, au moins, de neutraliser les tireurs rebelles qui y sont postés. Mais les soldats français, piégés aux abords du col, ont le sentiment d’être abandonnés «sous le feu ennemi pendant six heures. Les talibans utilisaient des techniques de combat à l’occidentale. Ils étaient parfaitement préparés». Pendant ces six interminables heures, avant que la nuit ne tombe, les soldats ont essayé de survivre. «On se cachait. On attendait qu’il fasse nuit, on rampait derrière les cailloux», raconte l’un d’eux. Le salut ne peut pas venir de leurs huit camarades restés 600 mètres plus bas, au pied du col, avec les quatre Vab. Car, à peine la section de tête attaquée, les talibans lancent l’offensive contre eux, les coupant des autres et des appuis arrière, pris également, à partie. Ces huit hommes se retrouvent aussi très vite à court de munitions «Pendant près d’une heure, dit l’un d’eux, nous n’avions plus que nos Famas. Or, leur portée est de 300 mètres.» Insuffisant. Mais, contrairement à leurs camarades bloqués sur le col, ils seront ravitaillés peu après 16 h 30 par Carmin 3, une autre section du 8e RPMIa venue en renfort, elle aussi attaquée. «ON DANSAIT AUTOUR DES VAB CAR ÇA TIRAIT DE PARTOUT» L’embuscade est parfaite. «La zone était comme un fer à cheval, décrit l’un des huit hommes. Nous étions en plein centre, encerclés.» Selon lui, «une roquette a touché un Vab», heureusement vide. «On dansait autour des Vab car ça tirait de partout, ajoute un autre. On se cachait derrière les véhicules, on faisait des tirs de saturation en essayant de maintenir une continuité des feux, pour permettre aux autres de descendre de la crête. Mais comme il y avait des roches, d’en bas, on n’arrivait pas à les voir.» Ce que confirme un gradé à Kaboul : «Le feu était tellement violent qu’il n’était pas possible d’exfiltrer nos camarades.» Ni de les ravitailler en munitions. Et ils assistent, impuissants, à la mort de leurs compagnons. «On entendait à la radio : “Un mec vient de tomber.”» Les survivants maintiennent que tous ne sont pas morts au début de l’affrontement. «Certains ont été blessés jusqu’à 19 h 30. Un est mort dans les premières heures du matin», affirme un blessé. Des témoignages corroborés par les soldats partis chercher les corps au petit matin. «Ils étaient encore chauds» dit l’un d’eux. Ce que le général français Michel Stollsteiner, confirme à demi-mot : «Vous savez, quand des blessés restent douze heures sans soins... » Il est 20 heures. La nuit est enfin tombée. Les blessés restés aux Vab sont évacués par hélicoptère. Au col, les survivants commencent à descendre. Ils rampent pour passer inaperçus. Ils mettront des heures, sentant parfois la présence des talibans à quelques mètres. «Je suis arrivé aux Vab à 2 h 30 du matin, confie un blessé. Plus loin, les hélicoptères nous attendaient.» En bas du col, dès 21 heures, les soldats de Carmin 3 commencent, eux, l’ascension. Avec une mission, confiera le général Stollsteiner : «Dégager nos hommes imbriqués avec la rébellion et les ramener morts ou vivants.» Ils atteignent le sommet, mardi 19 août à 5 heures du matin, après une nuit d’horreur à tenter de contourner les talibans, évitant de tirer pour ne pas attirer l’attention. Le col est enfin sous contrôle français. En tout, 400 hommes ont participé à l’opération, qui aurait fait entre 35 et 50 morts côté rebelles. Depuis, les survivants de Carmin 2 ont été rapatriés en France. Et les missions des forces françaises ont repris : «Aujourd’hui, déclare le général Stollsteiner, le plus important c’est ressouder autour de ces morts l’ensemble de la compagnie. Et prouver que leur sacrifice n’a pas été inutile.» -
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
Qu'est ce que tu veut de plus que ce VAB 20mm et des mortier de 81 en appui feu de plus !!! Le fait que les mortier n'ont pas été mis en œuvre est un probleme tactique ... les servant pouvait pas etre abrité. Les VAB20 qui eux peuvent tirer sous le feu et assez précisément sont resté avec la QRF a perpet, ca aussi c'est un probleme tactique. Quant a la maniere d'aborder le col et les tir depuis le village ... ça aussi c'est un probleme tactique. Si le village avait été correctement sécurisé ... ont aurait pu y poster les appui proprement etc. etc. doit bien y a voir un coin dans ce putain de bled suffisamment abrité des tir provenant de la crête pour y coller un mortier. -
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
En général on fait pas passer le drone quand on arrive a pieds ... on fait passer le drone avant ... bien avant, c'est discret c'est petite bête, ça vol assez haut, ça fait peu de bruit ... pour peu qu'on les laisse dans le soleil je suis pas sur que ça se repère du sol facilement ni a la vue ni a l'oreille. Les Taliban ont pas tendu l'embuscade 15j avant, il se sont probablement posté dans la matinée s'il ont étaient informé de l'opération, ou vers le départ de la patrouille donc au alentour de 12h. Ca fait quelques heures de surveillance tout au plus, et pas nécessairement en continue, faire monté 50 hommes sur la crête ça se fait pas en un clin d'œil c'est flash les taliban non plus. Pour les esprit chagrin qui me dirait qu'il était posté bien avant ... je leur répond reco IR ... la nuit même en Afghanistan il fait frais sur les hauts, un passage en début de mâtiné aurait mis a jour le dispositif. -
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/08/les-talibans-on.html 28/08/2008 Les talibans "ont pris une sacrée raclée" "L'adversaire a été détruit. Ils ont pris une sacrée raclée" a assuré, ce matin, le général Puga, en charge des opérations à l'Etat-major des armées. Le général Puga, qui présentait à la presse, le compte-rendu de l'opération du 18 aout, au cours de laquelle dix soldats français ont été tués en Afghanistan, a estimé que "la mission a été remplie et l'adversaire repoussé". Au cours des neufs heures de combat, auquel 500 personnels de la coalition ont été engagés, sans compter l'appui aérien des Américains, "une quarantaine d'insurgés ont été mis hors de combat", dont deux responsables talibans. Dans les jours qui ont suivis, des opérations menées par la coalition, impliquant des moyens aériens et sans doute des forces spéciales américaines, ont abouti à la mise hors de combat d'une autre quarantaine de combattants ennemis, ainsi qu'à la destruction de stocks de munitions. Héroïsme et baïonnette Le général Puga a parlé d' "actes d'héroïsme" et de "comportement exemplaire" de la part des soldats français pris sous le feu des talibans. Plusieurs hommes sont morts alors qu'ils portaient secours à leurs camarades blessés. Un massage cardiaque a par exemple été réalisé sous les tirs par un des hommes du "8". Confirmant implicitement nos informations, le général Puga a indiqué qu'il était "possible" que des armes et des équipements personnels (comme des chaussures) aient été dérobés par les talibans sur les corps des soldats français tués. "Ils sont tous morts au combat, mais qu'ils soient morts par arme blanche ou arme à feu ne change rien", a-t-il indiqué. Un des hommes du "8" a sans doute été tué d'un coup de baïonnette. Revenant sur l'embuscade, le général Puga a indiqué qu'en fait la route carrossable s'arrêtait au village de Sper Kunday, situé 1,5 km en dessous du col. Un sentier permet d'y grimper, mais n'est pas praticable par les véhicules. La section de tête (Carmin 2) est tombée sous les tirs ennemis une cinquantaine de mètres avant le col (altitude 1900 m). Les premiers renforts (une section du RMT) sont arrivés 1h20 après le début des combats, le TIC (Troop in contact) en jargon otanien. Cette section était armée de canons de 20mm, de mortiers de 81 mm et de missile antichar Milan. En revanche, les deux premières sections engagées (Carmin 2 et Rouge 4) ne disposaient pour leur appui que des mitrailleuses de 12,7mm des VAB (non protégées en tourelles) et de mortier de 81 mm qu'elles n'ont pu mettre en batterie à cause du feu ennemi. Les soulignement et la correction de l'orthographe sont ed moi :lol: Bon ca s'éclaire doucement, "on" a bien péché par manque de prudence et de tactique adaptée ... sinon "tout" le matériel était la c'est le pire de cette histoire. L'appui trop rapproché, pas protégé incapable d'appuyer, la QRF trop éloignée, faudra leur mettre une petite dose en plus de "paranoia" a l'encadrement avant de les envoyer la bas. -
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
En "urgence" normalement oui y a des avions dans le ciel en permanence spécifiquement pour ça. Le soucis c'est qu'en général c'est des JDAM/BGL 250kg ... pas forcement adapté au contexte. Pour les autre moyen spécifique c'est plus long. Apres si y a plusieurs urgence en meme temps faut "ordonnancer". -
Groenland et Arctique : actifs strategiques très convoités
g4lly a répondu à un(e) sujet de Janus dans Politique etrangère / Relations internationales
Ceux du pacifique c'était juste un alibi pour monter une opération de récup' d'un sous marin Soviet ... sont taquins les ricains il ont meme failli nous faire un beau tsunami sur ce coup là. Nope en fait l'exploitation de ceux du "centre pacifique" vers clipperton n'est pas assez rentable meme si il en sera probablement question vu la consommation de minerais metallique qu'on fait. Les nodules polymetallique de la mer de Kara furent les premier découvert a la fin du 19e siecle. https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/geos/xq.html Natural resources: sand and gravel aggregates, placer deposits, polymetallic nodules, oil and gas fields, fish, marine mammals (seals and whales) -
Mais tu sais bien que c'est tjrs tout bon qd c'est toi qui répondu voyons :lol:
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g4lly a répondu à un(e) sujet de Shuggart dans Politique etrangère / Relations internationales
Je signale l'article de wiki, si quelqu'un veut surveillé la version wikidpedienne anglaise des fait. http://en.wikipedia.org/wiki/Uzbin_valley_ambush A l'origine c'était une pure base "Enduring Freedom" c'est probablement pour ça qu'elle faisait parti du dispositif US ... elle devait être réservé a leur "FS", Un peu comme "Spin Boldack" L'article de match qui est pas mal ... la dotation est bien de 6 chargeurs je suis pas encore sourd >:( http://www.parismatch.com/parismatch/dans-l-oeil-de-match/reportages/les-paras-du-8e-rpima-redoutaient-deja-ce-type-de-piege/(gid)/49049 28 Août 2008 - 07:56 Les paras du 8e RPIMa redoutaient déjà ce type de piège En juillet dernier, notre reporter Patrick Forestier avait partagé le quotidien du 8e RPIMa Reportages par Patrick Forestier Les hélicoptères survolent en rase-mottes le plateau de Kaboul avant de s’engouffrer dans l’étroite gorge de Saroubi, où serpente la route qui mène de la frontière pakistanaise à la capitale afghane. Ce n’est qu’après un rodéo aérien d’une quinzaine de minutes qu’apparaît la Fob, la base avancée, sur une hauteur qui domine cinq vallées. Tora est le poste le plus excentré du RCC, la région Centre qui ceinture Kaboul. Il est placé depuis début août sous les ordres du général français Michel Stollsteiner, qui remplace un officier italien. Le commandement de la région Centre change en effet tous les six mois, pour être confié chaque fois à un général issu d’un des trois contingents assurant la sécurité de la capitale. Et l’usage veut que la Fob de Tora soit occupée par des soldats de la même nationalité que ce général. Ce n’est que depuis octobre 2006 que Tora est passé sous commandement Centre. Presque une anomalie car son «territoire» s’enfonce dans le Regional Command East, tenu par les Américains. Au départ, la base s’appelait Hawk Eye, «œil de faucon». Depuis ses murs, on surplombe un rond-point géographique qui permet de contrôler le passage entre le Pakistan et la région de Kaboul. Un endroit stratégique déjà occupé par les Soviétiques avant que les alliés n’en fassent à leur tour une de leurs bases avancées. Début 2007, j’y trouve un jeune capitaine du 16e bataillon de Sarrebourg qui, déjà, se méfie des vallées qui l’entourent. Pour les Français, le gros du travail, c’est verser de l’argent pour refaire le toit d’une école ou creuser un puits. En ce temps-là, avec Jacques Chirac à l’Elysée, la mission est davantage de «conquérir les cœurs et les esprits» que de faire la guerre aux talibans. Depuis, Hawk Eye est devenu Tora et a été occupé six mois par les Turcs, puis par les Italiens avant que ce soit à nouveau au tour des Français d’y revenir. Début août, quand la 4e compagnie du 8e RPIMa débarque, la région de Tora est devenue très dangereuse, en particulier vers la Kapisa, la province voisine où est déployée la majorité du «8», soit 400 hommes, avec son chef de corps, le colonel Jacques Aragones. Tous sont placés sous le commandement de l’état-major de la 101e Airborne, doté de gros moyens aériens, qui a la main sur la région Est. TAPIS DANS LA ROCAILLE LES INSURGES DEVIENNENT INVISIBLES AUX DRONES, ILS TENDENT SUR LEUR TETE LE CHALE MARRON QU’ILS EMPORTENT TOUJOURS AVEC EUX Après Tagab, la vallée n’est plus vraiment sous contrôle. «Jusqu’à Saroubi, c’est un nid de frelons», déclare l’officier du S2 chargé du renseignement sur le terrain. Pour les Français, comme pour les Américains, les sources humaines sont d’abord afghanes. En premier lieu, des agents du NDS, la Direction de la sécurité nationale, soutenue par la CIA. Plusieurs sont présents dans chaque Fob. Ils travaillent avec des policiers afghans, souvent corrompus, mais surtout avec leurs indics implantés dans chaque village et équipés d’un téléphone portable. En particulier sur les hauteurs, le réseau GSM est presque partout présent, ce qui facilite la tâche des insurgés. Un IED, un engin explosif improvisé, posé devant la base, et Français comme Américains sont avertis. Comment le NDS le sait-il? Mystère. Mais, au petit matin, les démineurs tombent sur l’obus piégé à l’endroit indiqué. Idem pour l’identité des commandants rebelles locaux qui harcèlent, dans la Kapisa, les paras du 8e RPIMa, confrontés aux insurgés du HIG. Tel est le nom de code donné au Hezb-i-Islami, le parti de Gulbuddin Hekmatyar, chef de guerre fondamentaliste qui, avant de s’allier aux talibans, se battait contre les Soviétiques grâce à l’argent des services pakistanais. Selon les écoutes françaises, les insurgés pachtouns de la Kapisa parlent avec un accent pakistanais. Le HIG trouverait ses nouvelles recrues dans le camp de réfugiés pakistanais de Shamshatoo, à 25 kilomètres de Peshawar. Pis : des vallées désormais placées sous commandement français sont, selon le NDS et les services de renseignement alliés, des bases arrière pour préparer des attentats à Kaboul. Celui du 27 avril dernier, Journée des moudjahidin pour commémorer la victoire sur les Soviétiques, devait tuer le président Karzaï. Selon le NDS, il a été mis au point dans la vallée de Tagab par le groupe de Jalaluddin Haqqani, dont la tête est mise à prix 200 000 dollars. Il serait réfugié dans les zones tribales pakistanaises et dirigerait les opérations grâce à son frère Zmaraï, ancien du HIG passé lui aussi chez les talibans. Qari Baryal et Qari Hamadi sont aussi des chefs de l’insurrection de la nouvelle zone française. Après l’attentat en janvier dernier contre l’hôtel Serena à Kaboul, le NDS a annoncé avoir arrêté un officier armurier de l’armée afghane en poste dans la Kapisa. Des fusils d’assaut trouvés dans l’hôtel, à côté des terroristes morts, provenaient de chez lui. L’ADJUDANT EVRARD IGNORE QU’UN INDIC A RENSEIGNE LES INSURGES C’est dans ce contexte que la 4e compagnie du 8e RPIMa relève les Italiens de Tora. Le 18 août, la patrouille se met en marche vers la vallée d’Uzbin. L’état-major du bataillon français de Kaboul a préparé cette mission, sans tenir suffisamment compte de la dégradation sécuritaire de la zone depuis un an. Aucun moyen aérien de surveillance n’a été demandé. Aucun mortier ni appui feu lourd n’accompagne la patrouille. Trois jours avant l’embuscade, par crainte de représailles de la part des talibans, les villageois avaient conseillé à une autre patrouille française de ne pas aller plus avant. L’ennemi était donc tout près. En revenant, les soldats français avaient de fortes chances de tomber dessus, surtout s’ils poussaient leur itinéraire au-delà du village. Rien ne prouve que les insurgés, même avec des moyens aériens de reconnaissance, auraient pu être décelés. Du temps des Soviétiques, les moudjahidin déjouaient la surveillance des hélicos en tendant, au-dessus leur tête, le long châle marron qu’ils emportent toujours avec eux. A plusieurs reprises, à leurs côtés, j’ai constaté combien cette ruse était efficace. Vu du ciel, nous nous confondions avec le sol. Aujourd’hui, les talibans font de même pour déjouer les drones (engins volants sans pilote) américains. Quand l’adjudant Evrard donne à sa section Carmin 2 l’ordre de départ, il ne se doute pas qu’un indic, qui surveille le pourtour de la Fob, a communiqué des informations aux insurgés. Après une vingtaine de kilomètres, ils approchent d’un col. Pour accéder à la crête, il faut finir à pied. C’est là qu’un drone aurait pu remplir son rôle. Se croyant couverts par l’appui des mitrailleuses des éléments du régiment de marche du Tchad, la section du «8» grimpe dans la caillasse. Cachés dans les rochers, les insurgés les laissent approcher à 50 mètres avant de faire feu. Sur la piste, les blindés sont également attaqués pour empêcher que les soldats français se portent au secours de leurs camarades, qui n’ont sur eux qu’une demi-douzaine de chargeurs. Les lourdes caisses de munitions restent dans les blindés. C’est la règle. Sauf, que cette fois-ci, les voltigeurs sont cloués au sol sans pouvoir bouger. L’embuscade, bien préparée, est soigneusement exécutée. Les Américains des forces spéciales, qui accompagnaient le convoi français en parallèle pour une mission différente de renseignement, ont bien demandé un appui aérien depuis la hauteur où ils se trouvaient. La règle veut que, sur le théâtre afghan, aucune troupe alliée au sol n’attende plus de dix minutes un appui feu venu du ciel. Mais talibans et Français sont imbriqués à moins de 300 mètres, la distance minimale pour que les F-15 délivrent leurs bombes de 250 kilos. Vingt-cinq minutes après le début des combats, la QRF (force de réaction rapide) de Tora se met en branle, sans se soucier qu’une nouvelle embuscade ait pu être tendue au renfort français. Une heure plus tard, une autre section équipée de mortiers prend la piste. Sur place, les hélicoptères Caracal ont fini par poser des commandos et un médecin. Trop tard. Quatre jours après, le patron du «8» mène une opération dans la Kapisa. Deux cent cinquante hommes se déploient de nuit. Une première. En fait, un message destiné aux insurgés. Malgré leurs pertes, les paras français ne vont pas rester les bras croisés. -
Creepers ?! chenille? chenillette? treuille? dis Perry c'est quoi un creeper pour un sous marin? Creepers = propulseur additionnel :)
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Si t'achete des helo qui ne tombe pas en panne a notre sécurité civile ca peut s'arranger :lol: Si les mecs avaient pu réparer sur place je suppose qu'elle serait descendue par ses propre moyen l'alouette.
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Nos soldats en Afghanistan
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Vidéos et Photos
TC F NVG v2 -
Géorgie
g4lly a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
A non c'est pas notre faute !!! c'est la faute US ça :lol: pas taper! -
[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
Pourquoi une tel hypocrisie a part pour justifier les connerie du livre blanc. Une fois pour toute il va falloir comprendre que l'annonce par GW Bush apres le 11 septembre ... "l'amérique est en guerre contre le terrorisme" etait a prendre au premier degres. C'est bien de guerre dont il s'agit meme si les "troupes" en face utilise des technique de guerilla. Le "Peace Keeping" l'interposition c'etait bon pour la Yougo ou la Cote d'Ivoire. Pas pour l'Irak ou l'Afghanistan, ou une "grande quantité" de combattant veulent la peau de nos soldats ni plus ni moins. -
Géorgie
g4lly a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Non juste la France ... ils nous ont déjà fâché avec les US, les Chinois ... maintenant la Russie :lol: -
http://news.yahoo.com/s/nm/20080827/od_uk_nm/oukoe_uk_cambodia_rats Rat meat in demand in Cambodia as inflation bites Wed Aug 27, 2:44 AM ET The price of rat meat has quadrupled in Cambodia this year as inflation has put other meat beyond the reach of poor people, officials said on Wednesday. With consumer price inflation at 37 percent according to the latest central bank estimate, demand has pushed a kilogram of rat meat up to around 5,000 riel (69 pence) from 1,200 riel last year. Spicy field rat dishes with garlic thrown in have become particularly popular at a time when beef costs 20,000 riel a kg. Officials said rats were fleeing to higher ground from flooded areas of the lower Mekong Delta, making it easier for villagers to catch them. "Many children are happy making some money from selling the animals to the markets, but they keep some for their family," Ly Marong, an agriculture official, said by telephone from the Koh Thom district on the border with Vietnam. "Not only are our poor eating it, but there is also demand from Vietnamese living on the border with us." He estimated that Cambodia supplied more than a tonne of live rats a day to Vietnam. Rats are also eaten widely in Thailand, while a state government in eastern India this month encouraged its people to eat. (Reporting by Ek Madra; Editing by Alan Raybould and Paul Tait)
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[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
Des Mag58 normalement, c'est pas une MG42 que t as vu mais une MG3 ... mais philippe laissé supposé que le montage de la vidéo mélangé plusieurs vu depuis des hélico étranger parfois. -
Grave ... Je suis pas assez riche pour avoir droit au bouclier fiscale :lol: En fait les revenu du capital ... sont pour le moment taxé comme suit ... CSGRDSmachin 11% + l'IRPP ... seulemet a la place de l'IRPP on peut choisir un forfait. Donc avant Sarkozy c'était: 11% CSGRDStoussa + ( IRPP ou prélévement libératoire forfaitaire de 16% ) En automne il nous ont pondu une augmentation du PLF de 16% a 18% ... docn 11 + 18 = 29% d'impot Et la il nous augmente la CSGRDSmachin de 1% ... (11 + 1) + 18 = 30% 27% -> 30% = +12% Ca s'applique a tous les revenu du capital, mobilier ( assurance vie, valeur mobilière, action, obligation, compte a terme, dividende etc. ) aussi bien qu'immobilier ( revenu de loyer, plus value, foncier etc. ).
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La coalition en a besoin ... vu "qu'on" y déploie des Apache, des A10, des Harrier, des AC130... Apres le débat c'est HdC vs Turboprop ... plutot que TurboProp vs Jet.
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g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
En général les soldats Afghans servent dans d'autre province que la leur pour eviter qu'il se retrouve en face de leur proche ... Par contre la police est "locale". -
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g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
Pour détendre le topic quelques photos.