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  1. Soldats tués en Afghanistan : une première chronologie de l'embuscade Lors de la cérémonie d'hommage national rendu ce jeudi matin aux dix victimes de l'embuscade d'Uzbeen, en Afghanistan, le président de la République Nicolas Sarkozy a demandé que "tous les enseignements (soient) tirés" de cet événement. Cela veut-il dire que des éléments sont demeurés cachés à ce jour ? Que le président de la République dispose d'informations qui n'auraient pas été rendues publiques ? Voire qu'il accorde du crédit aux accusations publiées moins de quarante-huit heures après cet accrochage par Le Monde . Citant des "soldats blessés interrogés à Kaboul", l'envoyé spécial du quotidien explique que les militaires français sont restés sous le feu ennemi "pendant près de quatre heures sans renfort", ajoutant qu'ils ont connu des problèmes de communication radio, une pénurie de munitions, et qu'ils ont subi des tirs de la part d'avions de la coalition et d'unités afghanes. Selon les autorités militaires interrogées par Le Point , il est à cette heure trop tôt pour que tous les éléments de comptes-rendus sur ces combats aient été transmis à l'état-major des armées. Pour autant, nous avons pu établir une première chronologie des combats, sans doute incomplète, mais établie à partir de sources crédibles, ainsi que d'éléments d'information transmis aux autorités françaises par des éléments militaires nationaux et étrangers présents en Afghanistan. Mais cette chronologie n'est pas définitive et devra sans aucun doute être affinée. PREMIERE CHRONOLOGIE DES COMBATS Les deux sections françaises envoyées dans la vallée d'Uzbeen par le commandement régional capitale de Kaboul (RC-C Kaboul) contribuaient à une mission composée de trois phases. D'abord, la reconnaissance de la vallée d'Uzbeen au sud du 35e parallèle. Puis, des patrouilles dans la vallée de Tizin. Et dans une troisième phase, la poursuite des reconnaissances dans la vallée d'Uzbeen jusqu'au 36e parallèle. Les deux premières phases s'étaient déroulées le 8 août et le 15 août , sans incident particulier. Le 18 août , la dernière phase qui commence vers 9 heures à partir de la base opérationnelle avancée de Tora est organisée par deux sections du bataillon français (BATFRA), l'une appartenant au 8e RPIMa, l'autre au régiment de marche du Tchad (RMT). Elles sont accompagnées par deux sections de l'ANA (Armée nationale afghane), la première basée à Tora, et la seconde appartenant au HSSB (Headquarters Security Support Brigade) de Kaboul. Ces quatre sections sont accompagnées de forces spéciales américaines, dont un JTAC (élément d'éclairage et de guidage des avions d'appui). Vers 13 h 30 , alors que la section du 8e RPIma a dépassé Sper Kunday, certains de ses hommes descendent de leurs véhicules et progressent à pied vers un petit col. Il est 15 h 30 lorsque les "condés" (pour "combattants débarqués") sont pris à partie par une soixantaine d'insurgés, embusqués, qui dirigent contre eux des tirs d'armes automatiques et de roquettes antichars. Plusieurs hommes sont touchés, mais avec méthode : parmi les premiers qui tombent figurent le transmetteur radio, l'adjoint au chef de section, le tireur d'élite et l'interprète afghan. Vingt-deux minutes après le déclenchement de cette "boule de feu" qui anéantit une première partie du groupe français, le chef de section envoie un premier message radio au RC-C. Les contacts radio ne seront ensuite plus jamais rompus. Trois minutes plus tard, à 15 h 55 , la base opérationnelle avancée Tora, à Surobi, fait partir une section de réaction rapide en renfort. Elle arrive sur la zone avant 17 heures . Entre-temps, les insurgés qui avaient décimé le premier groupe et encerclé les survivants continuent d'agir dans les règles du combat tactique : ils encerclent également la seconde partie du groupe du 8e RPIMa, puis la section du RMT qui suivait. À 16 h 30 , la base opérationnelle Tora, à Surobi, dépêche une seconde section de renfort. Elle emporte des mortiers de 81 mm (ils ouvriront le feu à 18 h 25 ), et comporte un groupe médical, ainsi qu'un JTAC américain (élément d'éclairage et de guidage des avions d'appui). La progression de ces renforts est toutefois ralentie par la crainte que les "talibans" n'aient piégé la route, justement pour frapper les renforts. À 16 h 18 , soit 23 minutes après le premier message radio reçu d'Uzbeen, le "TIC" (Troop In Contact) est ouvert, terme militaire signifiant que des tirs visent des forces amies. À 16 h 50 , plusieurs aéronefs de combat envoyés par l'Otan arrivent sur zone, dont des drones Prédator, deux hélicoptères OH-58 (qui ont effectué des tirs d'appui contre les crêtes voisines), un AC-130 Gunship, deux avions "tueurs de chars" A-10 Thunderbolt et deux chasseurs-bombardiers F-15 . Ces derniers n'interviendront pas : ils emportent des bombes qui ne peuvent pas être tirées tant les combattants sont imbriqués. Les Prédator vont surveiller l'arrivée de renforts de talibans venant de Tabag, le AC-130 a tiré un obus de 40 mm et 4 de 105 mm. Les deux A-10 n'y sont pas allés de main morte : ils ont tiré 1.340 coups de 30 mm ! Pour autant, et jusqu'à plus ample informé, rien n'indique que des "tirs amis" aient visé les Français, qui, selon nos informations, portaient des équipements spécifiques permettant de les distinguer. L'Otan a démenti ces "tirs amis" cet après-midi. Patron de l'armée de terre, le général Elrick Irastorza a estimé à Paris que les témoignages de combattants devaient être relativisés : "La charge émotionnelle conduit un petit peu chacun à avoir sa vérité, ce qui est largement compréhensible." À 17 h 50 , deux hélicoptères américains d'évacuation médicale (MEDEVAC) arrivent sur la zone et rebroussent chemin : trop de tirs les empêchent d'atterrir. Huit minutes plus tard, deux hélicoptères français EC-725 Caracal de transport et d'appui-feu appartenant aux forces spéciales françaises, et qui sont les seuls appareils français de ce type présents sur le sol afghan, décollent de Kaboul. Ils déposent dans la zone de combat à 18 h 15, sans atterrir, un médecin et dix commandos qui préparent une ZPH (zone de poser d'hélicoptères). À 18 h 15 , après avoir stoppé d'autres missions en cours, le BATFRA de Kaboul fait convoyer sur zone par les Caracal une section d'infanterie. Trois autres partent par la route. 18 h 40 : les Caracal renforcent l'équipe médicale, et commencent à déposer des munitions. Ils en apporteront plus de deux tonnes au cours de la bataille. Vers 21 heures , les insurgés rompent le contact. Des unités françaises se lancent à leur poursuite, et recherchent les blessés et les morts répartis sur le terrain, alors que la nuit tombe et que le terrain est très accidenté. Les corps ne seront tous retrouvés que le lendemain, 19 août , au lever du jour. À 4 h 20 , un véhicule de l'avant blindé du RMT qui se rend en renfort sur la zone de combat se renverse. Un soldat est tué, trois autres blessés. À 9 heures , les "talibans" recommencent à tirer. Les mortiers ripostent. 42 coups seront tirés. Le désengagement se poursuivra ensuite toute la journée sous la protection d'un Predator . À 18 heures, le 19 août, toutes les unités françaises étaient en sécurité sur leurs bases. Les missions de reconnaissance dans la vallée de l'Uzbeen devaient reprendre ce jeudi.
  2. Il vient pas de nul part ce protectionnisme il vient du fait que tout le monde joue le meme jeu mais pas avec les meme regle ... et qu'une parti du business n'est pas un "jeu" mais releve avant tout de la politique et de la survie des etats. Alors d'un coté on signe des accords tres libéraux :) de l'autre on "nationalise"/"rachete avec des fond souverain" ce sur quoi on estime devoir garder la main. Vouloir tout marchandiser c'est aussi pouvoir se permettre de tout perdre ... car racheté pas plus riche que vous. Une bonne partie des fonds souverains s'ils servent a faire fructifier l'argent nationale sert avant tout a préserver "libéralement" l'intérêt nationale :)
  3. Si ca avait été le cas les VAB serait HS ... c'est peut etre le cas mais pour le moment seul les taliban affirme avoir detruit des véhicules et les temoignagent parle d'équipage de VAB "intact". Je doute que les taliban puisse assuré la logistique pour soutenir des heure de feu a la 14.5 ...ca pese. Les troupes OTAN se sont retrouvé rapidement a cours de munition visiblement avec des calibre supérieur sans moyen d'etre réapprovisionné c'eut été pareil. Le seul truc qui aurait pu limiter la casse c'est des LGauto40 ou des "petit" mortier avec suffisament de mun'.
  4. Gneuh ?! a bon ? qu'est ce qui te laisse penser ca? il semble que les combat dans la zone aient duré jusqu'au lendemain probablement pour empêcher les Taliban de fuir. Une fois qu'ils sont fixés et que les lignes sont dégagé en général il prennent très cher. On a parlé de 30 morts et 30 blessés taliban dont un "chef" sur les 80 à 100 engagés. Sur les 5 sections engagé par OTAN ANA ... 10 mort et un peu plus de 20 blessés. La compagnie taliban a été détruite presque complètement, la compagnie OTAN été encore grosso modo en ordre de combat. D'autant qu'il semble qu'ils soient pas tombés sur le vulgus pecum taliban mais plutôt sur un chef et sa garde rapproché qui avait élu le coin comme sa "cache"... Le fait que les taliban n'est pas fui apres les première heure d'engagement laisse supposer qu'il avaient quelques choses a défendre, pas qu'ils attendait le feu du ciel stoïquement. Parce que si dans un premier temps se tenir auprès des lignes de l'ennemi les protege des bombes, rester fixé plusieurs heures les condamnes a être détruit, les force OTAN peuvent etre lentes a la détente mais quand ca frappe ça frappe dur.
  5. Rien que le fait de débusquer une compagnie complète de Taliban est un "chef" sur la route du Pakistan est une victoire en un sens ... même si le bilan est bien lourd.
  6. http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2008/08/21/blesse-a-la-cuisse-un-legionnaire-du-2e-rep-meurt-en-portant-secours-a-ses-camarades_1086081_3216.html#ens_id=1049814&xtor=RSS-3208 Blessé à la cuisse, un légionnaire du 2e REP meurt en portant secours à ses camarades LE MONDE | 21.08.08 | 11h02 • Mis à jour le 21.08.08 | 11h07 KABOUL, ENVOYE SPECIAL Quarante-huit heures après l'embuscade qui a coûté la vie à dix soldats français en Afghanistan, lundi 18 août, on commence à connaître les dessous de ce véritable piège de feu dans lequel les militaires ont été pris pendant plus de six heures. Certains blessés du 8e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa), qui a subi l'essentiel des pertes, ont tenu à souligner le comportement "héroïque" de leur camarade légionnaire du 2e Régiment étranger de parachutistes (REP) mort au combat. Le caporal-chef Penon, âgé d'une trentaine d'années, était auxiliaire-sanitaire. Versé par l'état-major dans cette unité du 8e RPIMa, il faisait office d'"aîné" auprès des jeunes avec lesquels il patrouillait. Lundi 18 août, vers 13 heures 30, lorsque la section descend des véhicules blindés au pied du col qui sépare les provinces de Kaboul et de Kapisa, il prend sa place dans la colonne d'une trentaine de soldats qui part en reconnaissance. Quelques hommes restent auprès des véhicules. Les tirs ont débuté alors qu'ils avaient parcouru près de six cents mètres dans ce qui ressemble à une cuvette en fer à cheval. Alors qu'elle n'était plus qu'à une cinquantaine de mètres du col, la section s'est alors éparpillée pour trouver un abri, souvent derrière un simple rocher. Dans le même temps, des tirs de roquettes et de fusils visent le reste de la troupe restée près des véhicules. Le traquenard est parfait : les soldats, pris sous un feu nourri, ne peuvent ni avancer, ni reculer. Les renforts, arrivés une heure et demie après le début des combats, n'accéderont au front qu'au bout de quatre heures. Selon certains blessés français, le caporal-chef Penon fut l'un des rares à braver "le déluge de feu" qui s'est abattu sur les militaires français. Il s'est porté au secours d'un premier blessé, qu'il a déposé dans une zone située plus bas et protégée des tirs. Puis il est remonté au cœur de l'affrontement. Lors de sa première descente ou en remontant, il a été touché d'une balle dans la cuisse. Pourtant, sous les yeux de ses jeunes camarades, il s'est de nouveau porté au secours des autres blessés. Il aurait, selon certains témoignages, secouru un autre blessé avant d'être touché mortellement. Le caporal-chef, membre du 2e REP, basé à Calvi (Haute-Corse), avait déjà connu d'autres théâtres d'opérations. Selon ses supérieurs, il avait servi en Afrique et en ex-Yougoslavie. "Son corps sera inhumé à Calvi, son comportement honore notre régiment", commentait-on sobrement, jeudi matin, à Calvi. Le chef de corps et une compagnie d'honneur du 2e REP de soixante-dix hommes devaient assister, jeudi, aux Invalides, à Paris, à l'hommage aux victimes. "Cet infirmier a eu une attitude exemplaire", a-t-on confirmé, jeudi matin, à l'état-major des armées. Jacques Follorou
  7. g4lly

    [Turboprop] de combat

    Ce topic ne devrait meme pas exister si on engagé nos HdC pour ce qu'il sont fait ... reco/observation et appui feu... mais bon.
  8. g4lly

    [Turboprop] de combat

    :) en fait c'est un des rare utility encore en service en quantité et prévu pour ça a l'origine, les perf intrinseque sont faiblarde mais les service rendu sont grand et il est nettement moins sensible que les hélicoptère au condition aerologique Afghane. De plus il permet de trimballer +1000kg de cargo ... ou 10 pax ... ou 2 civiere ... c'est un avions ultra versatile.
  9. Le mieux comme appui serait des mortier dans les vab ... vu le terrain montagneux ça permettrait au moins de balancer des smoke et un peu e HE pour se désengager sans que ça ressemble a du tir au pigeon. L'usage de gaz lacrymogene est interdite la bas? parce que ce serait une bonne alternative a l'appui quand les ligne sont trop proche. Les troupe occidentale ne s'engage quasiment plus sur le terrain dangereux en Irak ... il laisse ca a l'armée irakienne ... et des que ca chauffe un chouilla il arrose a la JDAM. Le terrain s'y prete bien et le "surge" a fonctionné en parti, et les alliances passé avec les locaux on l'air de tenir en ce qui concerne l'éviction des "terroristes" étrangers. Les US aimeraient bien faire la même chose en Astan mais pour le moment c'est pas décider de renforcer fortement leur présence la bas.
  10. g4lly

    [Turboprop] de combat

    Houla va pas commencer a critiquer mon PC-6 adoré sinon je t'arrache un bras :lol: Le bordel se pose en 50m, decolle en 150m chargé ... et fait la meme chose a 5000m d'altitude ! Pour le blindage on mettra un peu de kevlar sur le plancher si tu veux :) de toute facon c'est pas fait pour du rase motte au dessus des Taliban ... on reste un peu haut et on guete et on arrose au 20mm. Et avantage suprême on en a en magasin !!! et oui :) même pas besoin de les acheter. Et qu'on viennent pas me dire que ca coute cher de l'heure de vol !!! ca se trouve un mecano Afghan arriverait a le faire voler. A 300km/h Bagrame Sarobi ca prend 10 minutes... http://www.pilatus-aircraft.com/html/en/products/index_49.asp?NavL1ID=31&NavL2ID=48&NavL3ID=0&NavL4ID=0&NavL5ID=0&NavL6ID=0&L=2
  11. g4lly

    [Turboprop] de combat

    On a des turbo porter ... qui serait a leur place en Astan, au moins pour ravitailler les mec dans la montagne ... mais aussi pourquoi pas pour de la reco voir meme de l'appui feu canon de 20 de sabord et rocket. Un systeme de flare est disponible pour le turbo porter ce qui limite le risque des manpads.
  12. L'approche d'un col ... donne lieu souvent a plusieurs rupture de pente qui ne permettent pas d'avoir une profondeur de champ, ce qui explique la reco a pied - manque de visibilité risque d'IED route etroite et/escarpé -. Résultat les premier élement sont non seulement tombé dans l'embuscade mais il semble que les Taliban aient "contre attaqué" rapidement les appui directes du reste de la section - a une centaine en venant du dessus c'est pas tres compliqué - puis l'autre section en retrait... Le seul moyen d'apporté un appui correct dans cette situation aurait été de controler la contre pente ... s'il y en avait une, ou d'aborder la col depuis la crete impliquant une longue marche... ou une dépose helo.
  13. Il sont réquisitionné pour la carte au trésor :lol: france 3 ce soir ... A priori lors de l'embuscade d'hier les US on réussi a dégoter un Kiowa pour guider les appuis ... juste qu'il semble que ce fut longtemps apres le debut de l'engagement.
  14. Ca n'aurait pas changé grand chose dans le cas présent ... des AMX10RC sont présent la bas nan? Visiblement l'incident est lié a un probleme tactique empiré par d'autres truc plus qu'a un probleme de type de véhicule. Les mecs sont montés sans appuis ou avec un appui incapable de les appuyer vu la configuration du terrain ... PC21 ou super-tucano peuvent durer plusieurs heure en l'air ... y a des point d'emport pour des bidons.
  15. g4lly

    Le F-35

    je crois qu'il voulais dire "assertion" ... mais il a quelques souci avec son franglais :)
  16. J'ai tout mélangé encore rhoooo! Нииомтплабопармбетзелбетрабсбомонимонконотдтехстромонт
  17. "Nazi" est une abréviation de "Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei", l'acronyme c'est SS pour "Schutzstaffel". Pour bien faire on devrait mettre une majuscule est un point genre Nazi. comme pour Tél. m'enfin
  18. g4lly

    [Turboprop] de combat

    Pour le moment les helo on du mal a voler en palier hors effet de sol en Astan ... alors le staionnaire ca risque pas :lol: Je suis pas convaincu par l'inutilité des turboprop "basique" pour la reco et le COIN... d'autant qu'on n'ose pas y déployer nos helo.
  19. En fait c'est pas un pb de JDAM c'est un probleme de 250kg ... La distance minimum de sécurité avec des 250kg c'est 200m pour des élément abrité ... en deca le blast devient vraiment dangereux. A 50m le seul appui envisageable c'est le canon et les rocket avec précaution. Sinon y a l'artillerie, meme si ca vise pas super bien, le rayon letale est assez faible et on peut toujours tirer au dela des ligne est ajuster doucement ... mais visiblement c'est plus la mode.
  20. g4lly

    [Turboprop] de combat

    Les super-tucano c'est plutot 600km/h les PC21 700km/h ... il ne sont pas plus puissant qu'un P51 et deux fois moins qu'un Do335
  21. Le bilan de la batailel navale http://www.corlobe.tk/article10109.html Un certain nombre de navires de la flotte russe de la mer Noire, qui ont participé aux opérations en Georgie, ne sont toujours pas rentrés à Sébastopol parce qu’ils doivent réparer les dégâts infligés par l’artillerie côtière georgienne, indique une agence de presse ukrainienne. Un correspondant de l’agence privée ukrainienne UNIAN a appris cette information de militaires impliqués dans les opérations. Cette source ajoute qu’actuellement, une équipe de généraux et de hauts gradés de l’état-major général russe et de l’état-major de la marine travaillent sur les navires de la flotte de la mer Noire. A ce jour, la marine russe a signifié à l’Ukraine que ces navires ne rentreraient pas avant le 22 aout. Selon des sources internes rapportées par la télévision de la marine ukrainienne, les résultats de la mission en Georgie de la flotte russe de la mer Noire seraient les suivants : "Une frappe de missiles par des navires russes a coulé le bateau lance-missiles Tbilisi et sérieusement endommagé un autre. L’artillerie côtière georgienne a répliqué. Les frappes d’artillerie ont mis hors service le petit croiseur lance-missile Mirazh et le petit navire de lutte ASM Murometc." "8 membres d’équipage russes ont été tués et 10 autres blesses. Des informations non-confirmées indiquent que le croiseur lance-missiles Moskva a aussi été endommagé." Le Moskva est le bâtiment amiral de la flotte de la mer Noire, quartier-général du contre-amiral Aleksandr Kletskov, et de son état-major. La télévision de la marine ukrainienne n’avait aucune information sur des marins georgiens tués au combat.
  22. Les incidents comme celui d'hier ne favorisent pas vraiment les recrutements deja tendus ... Alors que tu estiment les militaires consommables sous pretextes qu'ils coutent libre a toi, mais il se pourraient bien que "les consommables" aillent rapidement faire autre chose dans le civile que de se battre avec des lances-pierres.
  23. g4lly

    [Turboprop] de combat

    Les turbo prop moderne viendrait surtout en concurrence des HdC ... et dans ce cadre il sont deux fois plus rapide ils ont plus d'autonomie autant d'emport, plus de plafond...
  24. La faute a Murphy ... Probablement parce que les JTAC en contrebas n'avait pas de ligne de visé sur les Taliban sur le col ... Les attaques du bas vers le haut ... sans appui sur la contrepente, rendent les appui sol impossible ou presque. De toute façon vu la proximité des lignes ... faut tirer en visuel canon ou rocket.
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