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alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. Ce n'est pas l'existence de ces points (mégalomanie, népotisme, contrôle des médias, exploitation de faits divers, etc..) c'est leur amplitude qui est importante. Tout gouvernement connait des dérives (exemple de népotisme bas de gamme : le fils Sarkozy) mais à partir de quel niveau ces dérives font basculer un pays dans la dictature ? La pauvreté n'est pas une cause de la dictature mais un levier a utiliser à base de promesses d'amélioration, de cadeaux divers, etc... on obtient plus facilement le vote de quelqu'un de désespéré par des promesses que celui d'une personne de la classe moyenne. L'argument classique est le : "on va faire payer les riches" ça ne mange pas de pain, on a tous l'impression que c'est le voisin qui sera concerné et la simplicité (voire le simplisme) de l'idée s'adresse aux personnes privées d'éducation (ce qui le plus souvent le cas des pauvres). L'exemple qui manque est celui du Zimbabwe : le gouvernement a fait payer les riches... ils sont partis ailleurs et il ne restent plus que les pauvres : au final le pays est en ruine, le Choléra et la famine règne.
  2. J'ai cité des exemples de personnages qui, au début, passaient pour des "libérateurs" ou des "sauveurs" auprès de leurs concitoyens. Pauvre Caliméro Chavez, le monde entier lui en veut, c'est trop injuste ! La CIA grenouille dans le coin, tout le monde le sait mais tu te rends compte que la théorie du complot mondial (dirigé par la CIA, encore et toujours) est l'excuse favorite et récurrente des dictateurs pour mettre toute l'opposition dans le même sac ? Il n'a pas besoin d'éliminer physiquement l'opposition : toute personne s'opposant à lui (ou le critiquant) est forcément un agent de la CIA, n'est-ce pas ? En 2009, on ne tue plus les opposants, on les discréditent. Les montages vidéos ne fonctionnent pas que dans un seul sens. Les républicains américains ont des vidéos montrant Obama en train d'avouer qu'il est né au Kenya, qu'il est un espion communiste et qu'il mange des enfants pendant qu'il euthanasie les personnes agées. Il faut garder les pieds sur terre : Chavez a tenté à 2 reprises de s'emparer du pouvoir par la force militaire, on peut trouver mieux comme démocrate. On est au début de l'aventure "bolivarienne", on verra dans 30 ans, après sa 5ième réélection "démocratique" avec 99% des voix si vous avez changé d'avis. Sans rapport, un petit article intéressant à lire sur un immigré Cubain en France : http://20minutes.bondyblog.fr/news/200908060001/pedro-le-cubain-un-mojito-sans-papiers-por-favor-2 Un autre sur l'agonie de l'économie cubaine : http://www.lefigaro.fr/international/2009/08/06/01003-20090806ARTFIG00006-lahavanesue-sang-et-eau-malgre-castro-.php
  3. En guise de marmitons, choisissez des juristes plutôt que des lieutenants-colonels et comme ingrédients principaux, plutôt le référendum et l'amendement constitutionnel que le tank ou l'assaut sur le palais présidentiel. Les modes changent, surtout en cuisine, mais le résultat est toujours le même: les dictateurs parviennent à maintenir l'apparence de la démocratie tout en restant au pouvoir aussi longtemps qu'ils le peuvent. Bien sûr, cette constante ne saurait effacer les particularismes culturels et chaque pays accommode la recette au goût des élites locales. Ainsi, au Zimbabwe, la recette des élections qui maintiennent Robert Mugabe au pouvoir depuis 29 ans émet un bouquet plus relevé que celle appliquée en Russie, où l'élection d'un nouveau président ne change rien au fait que Vladimir Poutine continue de tirer toutes les ficelles. En Iran, où on apprécie un zest de religion et où le chef suprême du pays, Ali Khamenei, a affirmé que la victoire écrasante du président Mahmoud Ahmadinejad était un «signe du ciel», les milices autorisées à tabasser les manifestants constituent une garniture des plus appréciées. En Amérique latine, la grande nouveauté est la manipulation de la constitution. Au Honduras, Manuel Zelaya a essayé de suivre cette recette en modifiant la loi afin de rester au pouvoir pour un second mandat, mais il n'a réussi qu'à provoquer une indigestion chez les plus riches qui pourrait lui être fatale. Voici donc la recette qui fait aujourd'hui le succès des autocrates de tout poil. Ingrédients : - Des millions de citoyens très pauvres. - Des inégalités abyssales. - Une pauvreté inimaginable cohabitant avec une richesse obscène. - De l'injustice, de l'exclusion et de la discrimination raciale. - Une corruption omniprésente. - Une élite politique et économique arrogante, persuadée que «nous contrôlons la situation, rien n'arrivera ici.» - Des partis politiques discrédités. - Une classe moyenne apathique, déçue par la démocratie, la politique et ceux qui la font. - Un parlement, une justice et des forces armées ramollies par un bain prolongé dans une marinade à base d'indolence, de gaspillage et de corruption. Il doit être facile d'acheter un juge, un sénateur ou un général. - Des médias que leurs propriétaires utilisent pour promouvoir leurs intérêts économiques ou politiques. - Une superpuissance étrangère neutralisée, distraite par d'autres priorités ou empêtrée dans trop d'aventures militaires. - Une opinion internationale atteinte de troubles de l'attention aigus et ne s'intéressant pas vraiment à la manière dont les autres pays sont gouvernés. - Un ennemi extérieur que l'on peut pointer du doigt. La CIA est l'exemple idéal, mais un pays voisin peut également faire l'affaire. Ou des immigrés ayant une couleur de peau différente. Si rien ne marche, essayez les Juifs et le Mossad. - Des «milices du peuple» bien armées, bien entraînées et prêtes à briser les membres de ceux qui s'opposent au régime. Il n'est pas nécessaire que ces milices soient très nombreuses. Il suffit que les brutes qui les composent intimident la population en pratiquant le tabassage, l'assassinat, l'enlèvement ou d'autres formes de violence. Préparation : 1. Secouez bien les populations les plus pauvres grâce à une campagne qui monte certaines catégories contre d'autres. Saupoudrez de ressentiment, de rancœur électorale et de populisme économique. Faites évaporer toute harmonie en faisant bouillir la marmite sociale. 2. Prenez le pouvoir au cours d'élections démocratiques. Vous y arriverez plus facilement si vos rivaux sont corrompus et discrédités et si vous savez acheter les votes. Au cours de la campagne, proclamez votre volonté de lutter contre la corruption et de reprendre aux riches ce qu'ils ont volé aux pauvres. 3. Après avoir remporté les élections, organisez-en d'autres, mais ne les perdez pas. Les élections ne servent pas à défendre la démocratie, mais à décorer votre assiette. 4. Rafraîchissez le haut commandement militaire en nommant des officiers loyaux au président. Récompensez-les en leur faisant des cadeaux de toute sorte et punissez ceux qui manquent d'enthousiasme. Espionnez-les tous, tout le temps. 5. Faites la même chose avec la magistrature. 6. Lancez une campagne visant à obtenir la modification de la constitution par référendum. Obligez les employés des services publics à voter et assurez-vous que certains membres de l'opposition sont contre cette initiative. Persuadez le reste de l'opposition que son vote n'a aucun poids. 7. La nouvelle constitution doit garantir tous les droits des citoyens, surtout les plus pauvres, tout en ramenant leurs devoirs et leurs obligations au minimum. Promettez de réduire la pauvreté et de faire disparaître les inégalités. Dans le texte lui-même, insérez des provisions, rédigées dans un langage incompréhensible pour l'homme de la rue, qui affaiblissent ou suppriment la séparation des pouvoirs, concentrent l'autorité dans les mains du président et lui permettent de se représenter indéfiniment. 8. Discréditez, rabaissez, cooptez, achetez et réprimez l'opposition. 9. Contrôlez les médias. Tolérez quelques voix critiques que personne n'écoute, cela vous permettra de faire taire ceux qui vous reprochent de museler la presse. 10. Répétez le point trois, indéfiniment. Bon appétit ! http://www.slate.fr/story/8971/nouvelles-recettes-pour-dictateurs
  4. Un acharnement ? Chavez à fait quelques bonnes choses mais c'est un populiste, son parcours et ses actes montre une dérive dictatoriale. Lisez tout, vous aurez une opinion plus neutre du personnage : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hugo_Chavez Il faut éviter d'idéaliser ce type d'individu et en faire une icône, c'est comme ça que ça a commencé pour Mussolini, Hitler, Mao, Staline, Pol Pot, Castro.... et regardez comme ça a finit.
  5. Selon l'article suivant : http://www.defensetech.org/archives/004971.html la Garde Nationale US s'inquiète de l'absence de plan pour remplacer sa flotte de F16 qui vieillit vite alors que 80 % des appareils devraient être retirés avant l'arrivée du F35 dans les unités. Du coup, le congrès envisage de remplacer les F16 par des F18 (Le F15 ayant aussi fait son temps). Le F18 serait parfaitement suffisant pour les missions de protection du territoire national même si les pilotes souhaitent avoir des F35. Je suppose qu'en plus il est moins cher que le F35 et que ça permettra de maintenir la production de F18 ou de récupérer des appareils de la Navy, et donc de faire des économies.
  6. On peut quand même constater un début de course aux armements en amérique du sud notamment au Vénézuela et au Brésil ainsi qu'une grosse agitation du coté américain et russe dans la région et encore une fois à cause du pétrole, nappes actuelles et futurs gisements en mer. Question comportement, Chavez me fait penser à Mussolini : une grande gueule qui adore s'exhiber en public et parler pendant des heures avec des discours parsemés d'insultes et de propos populistes totalement assumés, un culte de la personnalité, des nationalisations à tour de bras, la main mise sur les médias, un mouvement bolivarien qui cherche en permanence des responsables extérieurs aux problèmes du pays.... Mussolini a marché sur Rome, Chavez a tenté 2 coups d'états militaires... les deux arrivant finalement au pouvoir par les urnes dans un contexte de crise économique. Les 2 ont ensuite mis en place dans la foulée un parlement à leur ordres (fasciste pour l'un, bolivarien pour l'autre) et s'empresse à modifier la constitution... De son coté, Pinochet tenait beaucoup de Franco... à croire que l'amérique du sud ne peut être dirigée que par des extrémistes.
  7. C'est pas la crise pour tout le monde. A Dubaï, la plus haute tour du monde a atteint son sommet. Les chiffres disent à eux seuls l'immensité de l'édifice. Aux confins du désert du Rub al-Khali et du golfe Persique, Burj Dubaï taquine les rares cumulus et brille de mille feux. Elle est visible à plusieurs dizaines de kilomètres. 818 mètres de hauteur, 162 étages habitables, 517.240 m² de superficie, 35.000 personnes en capacité d'accueil; Après cinq années de travaux titanesques et des millions d'heures cumulées par les quelque 8.000 travailleurs employés sur le site - indiens pour la plupart et payés en moyenne cinq dollars par jour, quinze au mieux -, le chantier arrive à son terme. A l'intérieur, tout est prévu depuis des années pour accueillir les premiers occupants début décembre. Les premiers étages abriteront un luxueux centre commercial de 300.000 m² - le Dubaï Mall - prêt à accueillir les boutiques les plus in et les plus chics du monde. Ambiance épurée. Marbrée. Lumineuse. Quant aux quelques dizaines d'étages surplombant l'émirat, le célèbre couturier italien Giorgio Armani s'est offert un quasi monopole . D'abord en ouvrant un hôtel de 160 chambres et suites ultra select, avec restaurants, spa de luxe et club privé à la clé. Puis en signant de son talent de créateur 144 résidences privées, situées entre le 9e et le 16e étage de Burj Dubaï. Des appartements vendus sur plan dès 2004, autour de 40.000 euros le mètre carré, dans un pays où le prix moyen du bâti est tombé ces derniers mois à 2.783 dollars le mètre carré. Sans parler des quatre piscines, des bibliothèques et des quelque 5.000 bureaux. Coût total : un peu plus d'un milliard de dollars. il parait qu'une demi-douzaine d'autres projets encore plus faramineux sont à l'étude.
  8. 7/08/2009 : 3 soldats britanniques tués It is with great sadness that the Ministry of Defence must confirm that three soldiers from The Parachute Regiment were killed in Afghanistan yesterday, Thursday 6 August 2009. The soldiers were killed yesterday afternoon while undertaking a routine security patrol alongside Afghan National Security Forces to the north of Lashkar Gah when the Jackal vehicle they were travelling in was hit by an explosion, followed by a small arms fire attack. It is believed that the three men were killed in the initial blast. A fourth member of the patrol remains in a critical condition. http://www.mod.uk/DefenceInternet/DefenceNews/MilitaryOperations/ThreeSoldiersKilledInAfghanistan.htm + 4 soldats américains : August 07, 2009 Associated Press KABUL -- Four U.S. Marines were killed Thursday when a roadside bomb struck their vehicle in western Afghanistan, driving up Western military deaths at a pace that would make August one of the deadliest months of the war. http://www.military.com/news/article/four-marines-die-in-afghan-bomb-attack.html Le Jackal, c'est pas cette merde qui déjà causé la mort de soldats britanniques ?
  9. Une grenade à fragmentation a été lancé dans un bar au Texas par des trafiquants de drogue mexicains. Elle n'a pas explosé grâce à la 2ième sécurité mais la police craint que les trafiquants utilisent ce type d'armes de plus en plus, comme au Mexique voisin. http://www.military.com/news/article/drug-cartel-grenade-tossed-in-us-bar.html?col=1186032325324 PHOENIX -- It was a scenario U.S. law enforcement had long feared: A fragmentation grenade from Mexico's bloody drug war tossed into a public place. Only the grenade thrower's bumbling prevented bloodshed in a south Texas bar - he neglected to pull a second safety clasp. But the act was proof that one of the deadliest weapons in Mexico's drug battle is a real threat to the United States, and investigators are stepping up efforts to make sure it doesn't happen again. While Mexican drug violence has been spilling across the border in the form of kidnappings and killings, grenades are a particular worry because they can kill large numbers of people indiscriminately, and they are a weapon of choice among Mexican cartel members. "It's one thing to shoot someone - that's a very violent act. But to throw a grenade into a crowded bar or a crowded restaurant, that's a different type of criminal you are dealing with, a different mindset," said Bill Newell, special agent in charge of the U.S. Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives in Arizona and New Mexico. In Mexico, there have been countless grenade attacks against police and rivals. Nearly a year ago, three alleged drug hit men threw several grenades into crowds of Independence Day revelers, killing eight people and wounding 106 others in an unprecedented attack on civilians. The weapons are preferred by drug hitmen because they are cheap and easy to find. Many are left over from Central America's civil wars and sold on the black market to drug cartels. Some are brought in by weapons smugglers. Others are diverted from the region's militaries: In April, Guatemala seized 563 grenades after a shootout with Mexican drug cartel members, and officials later determined the grenades came from Guatemalan military bases. Quand on commence à se flinguer à la grenade....
  10. http://www.dodbuzz.com/2009/08/05/who-needs-door-kicking-marines/?wh=wh The Navy’s departing head of expeditionary warfare said today that the Marine’s Expeditionary Fighting vehicle would be tough to kill since the Marines remain committed to some vehicle to allow them to land on beaches and roll in fighting. At the same time, Roger Smith, who leaves the Pentagon Friday after six years in the building, conceded that the EFV requirement was “developed in a different era” before the Pentagon decided hybrid war poses one of our greatest threats. I pressed Smith about Defense Secretary Gates’ signature comment about the Marines in his Naval War College speech, when he said the country needed to “take a hard look at where it would be necessary or sensible to launch another major amphibious action again. In the 21st century, how much amphibious capability do we need?” Does the country need door kickers, I asked Smith. He was mild. “I personally believe we probably would need to retain that sort of capability in some capacity,” he said, adding that storming the beaches would “probably be the last” type of combat the country would want to execute. After noting that the Joint Staff validated the EFV requirement in 2007, he said “you probably wouldn’t want to do a completely opposed landing” with EFV. After all, it will require an armor set be installed once it makes it to the beach. That will leave the EFVs vulnerable and require a pause in the action. And the armor is “going to be heavy. There’s no doubt about that,” he said. Still, after all those caveats, Smith did not say the country should kill EFV when we asked him for his personal opinion. And the senior Marine leadership is certainly publicly committed to some sort of forcible entry capability. At this year’s Navy League, Commandant Gen. James Conway said, “we have to admit we have lost expeditionary and amphibious skills.” As he left the conference hall, I asked Conway if the Marines would stick to the EFV and to amphibious warfare. Short answer: yes. He said he wants to make sure the country does not lose the capability for forced entry. C'est de la merde l'EFV si on doit lui rajouter de lourdes plaques de blindages sur la plage pour continuer au-delà.... c'est foireux !
  11. BRASILIA (AFP) - La tournée d'explications du président colombien Alvaro Uribe sur son projet de mettre sept bases à la disposition de l'armée américaine devait s'achever jeudi au Brésil, sans avoir levé toutes les inquiétudes des autres pays de la région. Avant même d'être entériné, cet accord de principe, divulgué le 15 juillet par Bogota, a réveillé de vieilles blessures sur ce continent marqué par une longue histoire d'invasions américaines. Le Venezuela et l'Equateur, fers de lance de la gauche radicale locale, ont dénoncé la politique belliciste de leur voisin colombien, tandis que le Brésil et le Chili, considérés comme plus modérés, ont également fait part de leur "préoccupation". Brasilia et Santiago ont même demandé la convocation du Conseil de défense sud-américain, probablement fin août. M. Uribe n'a pas l'intention d'y assister et a préféré se rendre dans sept pays sud-américains de mardi à jeudi, en évitant soigneusement l'Equateur, qui a rompu ses relations diplomatiques avec la Colombie depuis plus d'un an, et le Venezuela, qui vient de les "geler". Le président colombien n'a fait aucun commentaire après ses différentes visites, mais plusieurs de ses hôtes ont maintenu leurs doléances. Le président bolivien Evo Morales a appelé à "un rejet unanime" de la présence militaire américaine en Amérique latine, tandis que le principal conseiller international du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a comparé "les bases étrangères dans la région" à une "survivance de la guerre froide". Le ministre chilien des Affaires étrangères, Mariano Fernandez, s'est montré plus mesuré. "Plusieurs pays ont des accords avec différents pays en matière stratégique et militaire et il nous semble qu'il ne faut pas ressortir un cas particulier sans examiner la situation dans son ensemble", a-t-il ajouté. Le Venezuela a notamment proposé en mars de mettre des bases aériennes à la disposition des bombardiers russes et son président Hugo Chavez a annoncé mercredi la signature en septembre d'un nouveau contrat d'armement "important" avec Moscou, comprenant l'achat d'une quarantaine de chars. M. Chavez entend ainsi renforcer sa "capacité défensive", alors qu'il accuse "l'empire américain" de vouloir utiliser les bases colombiennes pour s'approprier le richissime bassin pétrolifère de l'Orénoque dans le sud-est de son pays. Bogota assure néanmoins que l'accord avec Washington ne prévoit qu'un soutien technique à la lutte antidrogue et contre les guérillas, comme dans le cadre du "plan Colombie" d'un montant de 5,5 milliards de dollars adopté en 2000 par les Etats-Unis. Ce projet ne cache "rien de secret" et s'inscrit dans la continuité de la coopération entre les deux pays, a ajouté le conseiller pour la sécurité nationale du président américain Barack Obama, le général à la retraite Jim Jones, en visite au Brésil. Ce nouvel accord permettrait à l'armée américaine de compenser la perte de sa seule base en Amérique du sud, située à Manta, en Equateur. Elle servait notamment à arraisonner les embarcations transportant des centaines de tonnes de cocaïne colombienne vers les Etats-Unis. Quito a demandé sa fermeture quelques mois après le bombardement par l'armée colombienne d'un camp de la guérilla des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc, marxistes) en Equateur, le 1er mars 2008. La situation se tend entre la colombie (le seul pays pro-américains) et tous les autres.
  12. alexandreVBCI

    [ CVF ]

    1) rien n'est encore officiel 2) le F35B n'a pas été commandé que par la Royal Navy.... la version F35B survivra pour les marines américains (et les autres clients) si elle est soutenue financièrement par les USA. Les appareils couteront en revanche plus chers à l'unité sans la commande britannique 3) RR perdra un marché de 5 billions de livres (=5 milliards de livres) : c'est ce que la vente du moteur pour les appareils britanniques aurait du rapporter 4) RR a déjà dépensé 500 millions de livres dans ce moteur. 5) cette décision (si elle est adoptée) va remettre en cause toute la réflexion sur les 2 CVF et la catapulte à choisir... alors que la construction du premier a débuté... c'est un cauchemar ! Vu le nombre de rumeurs qui circulent sur les PA britanniques et leur aéronavale, il faut surtout pas en rajouter. On peut se poser la question des appareils de guet aériens dans cette nouvelle configuration ?
  13. Un article du Monde : 5 témoignages d'habitants de nouvelle calédonie sur la situation http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/08/06/nouvelle-caledonie-l-embrasement-a-ete-evite-de-peu_1226105_3224.html#xtor=AL-32280184 Le calme est revenu pour l'instant.
  14. alexandreVBCI

    Le F-35

    Déjà publié par Scalp79 dans la rubrique "Marine" mais comme ça concerne le F35 et que l'info est importante.... L'abandon de la version F35B ? http://www.telegraph.co.uk/news/newstopics/politics/defence/5979736/Defence-jobs-at-risk-as-MoD-Rolls-Royce-fighter-engine.html In a significant about-turn, the MoD has indicated that it will drop the jump-jet version of the Joint Strike Fighter, or “B” version, which uses the Rolls-Royce engine, in favour of a conventional model, or “CV” variant, to use on its two new aircraft carriers. An official MoD statement said that the “B” variant remains “our preferred solution”, but The Daily Telegraph has learnt from senior defence officials that an announcement is due this autumn. But Rolls-Royce faces job losses with up to £5billion in lost revenue in engine sales if the MoD rejects the “B” version of JSF fighters, which can take off vertically, and goes for the “CV” model, which uses an aircraft carrier’s runway. Both variants are built by the American company Lockheed Martin. It will also mean that the first of two 65,000-ton carriers under construction, HMS Queen Elizabeth, will have to be redesigned, with cost penalties. In a statement the MoD said: “To maximise the flexibility that the carriers will offer over their service life, they are being built to an adaptable design that can operate both short take off and vertical landing and carrier variant type aircraft.” Senior MoD sources believe that choosing the “CV” variant over the “B” will give the Navy considerable advantages, as the conventional fighter can fly further and carry a bigger bomb payload. The “B” version comes with a projected price tag of £105 million for each aircraft. The CV version is expected to cost an estimated £90 million, leading to an overall saving of £2.2 billion. There have also been strong hints that considerably fewer than the 150 proposed JSF will now be ordered, with MoD sources suggesting that “greater capability will mean fewer aircraft”.
  15. La situation s'aggrave et se radicalise ! AP : Des tirs de chevrotines et de billes d'acier ont fait deux blessés parmi les gendarmes mercredi en Nouvelle-Calédonie lors de nouveaux affrontements avec des militants du syndicat indépendantiste USTKE, a-t-on appris auprès du haut-commissariat. La secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer Marie-Luce Penchard a regretté la "démarche d'affrontement systématique" de l'USTKE, tout en espérant trouver une solution au conflit social qui perturbe l'île. Les deux gendarmes ont été blessés mercredi lors de nouveaux affrontements à Saint-Louis, en périphérie de Nouméa. Un gendarme a reçu un tir de chevrotines à la cuisse. Un autre, un colonel de gendarmerie, a pris "dans la mâchoire un jet de billes d'acier", a-t-on appris auprès du haut-commissariat de la République. Lundi, près d'une trentaine de gendarmes avaient été blessés dans des affrontements à Nouméa et à Koné (nord). Cent cinquante représentants des forces de l'ordre ont été mobilisés mercredi pour tenter de déloger les manifestants de l'USTKE qui ont dressé des barrages sur les routes au Mont-Dore, perturbant fortement la circulation entre Nouméa et sa périphérie. Le haut-commissariat demande que "les gens conservent leur sang-froid et évitent les routes bloquées". Mercredi soir sur l'île, routes et carrefours étaient toujours occupés malgré l'intervention des forces de l'ordre. Proche de l'extrême gauche, l'Union syndicale des travailleurs kanaks et des exploités est en conflit avec la compagnie aérienne locale Aircal depuis mars dernier après le licenciement d'une employée. Depuis, il a multiplié les actions sur le terrain qui ont conduit une dizaine de personnes et son président, Gérard Jodar, en prison le 29 juin dernier. Les effets des blocages répétés depuis une semaine commencent à se faire sentir sur l'approvisionnement de l'île, provoquant l'inquiétude du patronat local. Mercredi matin, des files d'attente commençaient à se former dans les stations-service de Nouméa vendant du gaz. Le pain et les oeufs commencent également à se faire rare sur les rayonnages des grandes surfaces. La secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer Marie-Luce Penchard se dit persuadée "qu'on va trouver une solution parce que personne n'a intérêt à enflammer de nouveau la Nouvelle-Calédonie", après les violences des années 84-88. Mais, accuse-t-elle dans "France-Soir, l'USTKE "n'est pas dans une démarche de dialogue social, mais dans une démarche d'affrontement systématique". "Il y a une volonté de se servir d'un problème, qui peut être à l'origine d'ordre syndical", mais "en réalité pour chercher à radicaliser les positions en Nouvelle-Calédonie", selon elle. Mme Penchard se dit néanmoins convaincue qu'une solution va être trouvée rapidement dans le conflit Aircal. Le président du gouvernement local Philippe Gomes "a proposé de jouer les médiateurs et a rencontré les représentants de l'USTKE ainsi que le PDG d'Aircal afin de trouver une forme de sortie de crise. M. Gomes me laissait entendre que dans 24 heures, les choses pourraient bouger", précise-t-elle. AP
  16. En plus le terme Kanak est le nom utilisé pour désigner les populations autochtones de Nouvelle-Calédonie (en hawaien ça signifie "homme"), ça ne représente ni une nation, ni un peuple. La nouvelle calédonie est peuplée de 44 % d'autochtones et de 56 % d'européens ou d'asiatiques. Avant l'arrivée des européens, il n'y avait aucune unité politique, ils vivaient en tribus, il y a 27 langues parlées dont 4 langues régionales. On sait depuis hier que le conflit est lié à une rivalité entre 2 tribus : RUE89: "....au début de la crise, il y a un conflit dans une entreprise de l'île, la compagnie d'aviation calédonienne Aircal. L'USTKE y a lancé une grève après un licenciement pour faute professionnelle : « Le PDG d'Aircal, Nidoïsh Naisseline, qui est aussi le grand chef de l'île de Maré (et aussi ancien responsable du parti du LKS) a ensuite refusé le paiement des jours de grève, ce qui a déclenché les premiers heurts le mois dernier sur l'aérodrome de Magenta à Nouméa. Les adhérents de l'USTKE, avec à leur tête Gérard Jodar, ont été accusés d'avoir dégradé un avion et condamnés à plusieurs mois de prison.... L'USTKE réclame la libération de son président, Gérard Jodar, ainsi que cinq autres syndicalistes, condamné à un an de prison le 29 juin dernier.... Le président d'Aircal, Nidoish Naisseline, est aussi élu provincial et Grand Chef sur l'île de Maré, d'où est originaire le père volage. "Nidoish confond ses casquettes", confie un adhérent USTKE." Olivier Besancenot en rajoute une couche : "ce nouveau conflit se déroule dans un climat social dégradé par l'amplification des inégalités sociales et du chômage galopant pour les jeunes kanaks et wallisiens" José Bové aussi (dans Libération) : "Le premier responsable de cette montée des tensions, c'est le haut-commissaire, Yves Dassonville. Il jette en permanence de l'huile sur le feu. Il fait une croisade anti-USTKE. En ciblant le syndicat comme opposant et en envoyant des forces de l'ordre à chaque action syndicale." De son côté, Yves Dassonville, haut-commissaire de la République, continue à « déplorer une nouvelle fois ce type d'action totalement hors la loi, qui relève d'une stratégie de tension ». Le haut-commissaire a ajouté que d'après lui, « ce n'est plus de l'action syndicale mais du banditisme ».
  17. Medvedev a grimpé trop vite l'échelle du pouvoir (il a carrément pris l'ascenseur ultra-rapide) si on lit son parcours professionnel : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dmitri_Medvedev Il n'a pas eu le temps de se constituer un réseau propre, c'est pas un imbécile mais pour moi c'est clair : il est au service de Poutine depuis 1990 et n'a pas la carrure (ni l'expérience KGB ou armée) pour s'affranchir de son mentor. "Medvedev est diplômé de la faculté de droit civil de l'Université de Leningrad en 1987, et obtient son doctorat en 1990. Pendant ses études, il se passionne pour la photographie et le hard rock (son groupe préféré est « Black Sabbath » et spécialement Ozzy Osbourne), et gagne des compétitions d'haltérophilie." : plutôt éclectique ce gars là !
  18. Ossétie du sud : son président veut s'unir à la Russie. Un après la courte guerre entre Moscou et Tbilissi à propos de l'Ossétie du Sud, le dirigeant de l'enclave géorgienne rebelle affirme vouloir unir sa population à la Russie voisine et exhorte le Kremlin à déployer plus de soldats et d'armes. "Le but de ma vie, mon but politique, est d'unifier mon peuple", a dit le président sud-ossète Edouard Kokoity lors d'un entretien accordé à Reuters à Tskhinvali, capitale de l'enclave. "Nous bâtirons notre Etat, qui s'inscrira dans une alliance avec la Russie, (...) et je n'exclus pas qu'un jour nous fassions partie de la Russie. Le peuple d'Ossétie du Sud aspire à être uni à la Russie." http://fr.news.yahoo.com/4/20090801/twl-georgie-ossetie-bd5ae06.html A quelques jours du premier anniversaire du conflit russo-géorgien en Ossétie du Sud, il y a comme un air inquiétant de déjà-vu dans les récents incidents autour de la frontière administrative entre la Géorgie et sa région séparatiste. Après un échange d'accusations concernant une fusillade et des tirs de mortiers entre la capitale séparatiste Tskhinvali et le village géorgien voisin de Nikozi, les autorités séparatistes ont accusé la Géorgie d'avoir tiré au mortier à deux reprises, samedi matin, sur un de ses postes d'observation militaire. Le ministère de l'Intérieur géorgien nie l'incident. Les observateurs de la mission de l'Union européenne qui patrouillent dans la région excluent tout tir de mortier depuis les positions géorgiennes, mais ont fait part de quatre explosions entendues du côté sud-ossète. Pour la Russie cependant, dont les dirigeants répètent depuis août dernier que la Géorgie, par «revanchisme», se prépare à une nouvelle guerre, il n'y a aucun doute sur le sujet. Et samedi, la réponse n'a pas tardé : en cas de «nouvelles provocations» géorgiennes, le ministère de la Défense «se laisse le droit d'utiliser toutes les forces et les moyens nécessaires pour défendre les citoyens de la république d'Ossétie du Sud et les soldats russes». http://fr.news.yahoo.com/76/20090803/twl-gorgie-la-russie-menace-de-recourir-1a8f422.html C'est une blague ? qui va croire une seconde que la géorgie veut déclencher une guerre contre la russie ?
  19. Le code du parfait Taliban par le Mollah Omar : Un code de conduite pour les combattants en Afghanistan et au Pakistan est distribué depuis le mois de mai au sein des moudjahidines. Al Jazeera a eu accès au contenu de cette brochure de 37 pages à la couverture bleue. Cette mince charte de l'Emirat islamique d'Afghanistan pour les Moudjahidines vise à donner de grandes directions aux combattants islamistes. Ces nouvelles lois seraient directement dictées par le mollah Omar. Un article paru dans le Wall Street Journal en juin 2009, révélait que l'ex-chef suprême des talibans afghans avait repris le commandement des bataillons talibans en Afghanistan depuis la ville de Quetta, au Pakistan. la suite : http://fr.news.yahoo.com/69/20090803/twl-mollah-omar-prsente-le-code-du-parfa-b11dcaf.html
  20. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/08/03/01016-20090803ARTFIG00316-nouvelle-caledonie-des-manifestations-degenerent-.php Lundi, des protestations du syndicat indépendantiste de l'île ont tourné à l'affrontement avec les forces de l'ordre, blessant 27 gendarmes. Quelques mois après les tensions en Martinique et en Guadeloupe, c'est au tour de la Nouvelle-Calédonie de connaître un climat tendu. Lundi, des manifestations organisées par le syndicat indépendantiste USTKE (Union syndicale des travailleurs kanaks et des exploités), ont dégénéré en affrontements avec les forces de l'ordre, blessant légèrement 27 gendarmes. Tôt dans la matinée, entre 50 et 200 adhérents de l'UTSKE accompagnés de jeunes Kanaks, ont dressé des barrages filtrants près de la subdivision administrative de Koné, dans la province nord de l'île. Alors que les gendarmes tentaient de les disperser, les manifestants s'en sont pris à eux, leur jetant des grenades lacrymogènes, des pierres et des billes d'acier. D'après le porte-parole de la police, les affrontements ont duré plus d'une heure. Depuis une semaine, l'UTSKE, proche de la CGT et du NPA, le parti d'Olivier Besancenot, s'est déclaré en grève générale et multiplie les blocages et les manifestations au nord de Nouméa, la capitale de l'île, pour protester contre l'enlisement du conflit à Aircal, la compagnie aérienne locale. Le mouvement, qui a démarré en mars suite au licenciement pour faute professionnelle d'une employée, s'est peu à peu étendu à d'autres secteurs. La compagnie reprochait à la jeune femme d'avoir dit à sa mère que son père se trouvait dans un avion en compagnie de sa maîtresse, trahissant ainsi le secret professionnel auquel sont soumis les employés d'Aircal. Après un mois de grève, une solution a été trouvée dans cette affaire mais le conflit a été relancé par la condamnation du président du syndicat, Gérard Jodar, à un an de prison ferme, suite à une action coup de poing menée sur l'aéronef de Nouméa fin mai. Depuis, l'UTSKE, deuxième syndicat de Calédonie, bloque de nombreuses zones industrielles, notamment à Ducos et Numbo, causant ainsi l'exaspération des chefs d'entreprise de la région. Ils ont défilé lundi dans les rues de Nouméa pour protester contre ce qu'ils appellent une « prise d'otage économique ». D'après le quotidien local, les Nouvelles Calédoniennes, la plupart des habitants de l'île ne soutiennent pas les manifestants. Beaucoup d'entre eux craignent que les violences qui avaient enflammé l'île à la fin des années 1980, ne renaissent. Ces affrontements interviennent quelques jours après la visite de Marie-Lise Penchard, ministre de l'Outre-mer et de Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères à l'occasion du sommet France-Océanie en Nouvelle-Calédonie. Venue rencontrer les personnalités économiques et politiques de l'île, la nouvelle secrétaire d'Etat avait dû faire face, tout au long de son voyage, aux manifestations et aux barrages du syndicat qui réclamait la libération de son leader. Pendant sa visite, quatre policiers et deux pompiers avaient déjà été blessés au cours de heurts. C'est le foutoir, on a encore des actes de violence et une grève générale sous un prétexte mineur ridicule ! Il y a clairement la volonté criminel de provoquer la haine dans l'île et de s'emparer du pouvoir par la violence à défaut de pouvoir le faire par les urnes.
  21. "Too fat to fight. C'est ce qui ressort d'une note d'urgence que s'est procurée The observer et révélant une "l'évolution inquiétante de l'obésité" au sein de l'armée Britannique. Des milliers de soldats sont jugés "personnel unable to deploy", comprenez personnel inapte au déploiement. Une méforme pouvant être fatale face à des Talibans habitués à gambader dans les montagnes, les militaires "obèses" se voient dans l'obligation de rester au bercail. L'armée préconise d'ordinaire 2 à 3 heures d'efforts physiques par semaine, or le Major Brian Dupree déplore que "ces bases fondamentales ne soient pas respectées". D'autre part, depuis quelques années et pour faire face à une pénurie d'homme, l'armée a revu ses critères de recrutement. Ainsi, les candidats ayant un IMC de 32, soit deux points au dessus de ce que l'Organisation mondiale de la santé établit comme de l'obésité, peuvent être engagés. Si aucune mesure n'a encore été annoncée, il y a des chances que le footing devienne quotidien et que le pain sec/eau soit au menu de la cantoche. C'est en tout cas une polémique mal venue pour le gouvernement britannique puisqu'elle intervient seulement quelques jours après qu'une partie de la classe politique lui ait reproché de ne pas assez investir dans le matériel militaire."
  22. July 31/09: Oshkosh Corp. in Oshkosh, WI receives another M-ATV order, raising its total to $2.11 billion for 3,924 vehicles. They also announce that Oshkosh has exceeded the July 2009 delivery schedule of 45 M-ATVs by delivering 46. The $1.064 billion firm-fixed-price contract modification exercises an option for another 1,700 M-ATVs, Field Service Representative Support, and associated parts support packages to include Authorized Stockage Lists (ASL), Prescribed Load List (PLL), Reprocessing Spares, Battle Damage Repair parts (BDR) and Basic Issue Items (BII). Vehicles will be provided to the US Marine Corps, Army, Special Operations Command and US military testing. Vehicles and parts support packages will be fielded to Afghanistan in support of Operation Enduring Freedom. Field Service Representatives will be providing support in Kuwait and Afghanistan. Work is to be performed in McConnellsburg, PA, with an estimated completion date of July 31, 2010. U.S. Army TACOM LCMC in Warren, MI manages this contract (W56HZV-09-D-0111, delivery order #0002, modification 02). 2224 M-ATV commandés en juin + 1700 commandés en juillet = 3924 commandes fermes pour l'instant. Déjà 46 véhicules livrés destinés à l'afghanistan.
  23. C'est une question de culture. Aux USA les distances d'interventions sont énormes et l'hélicoptère coule de source, toutes les villes ont des hélicos pour la police, en plus des hélicos de la garde nationale. En europe, le découpage police/gendarmerie, des budgets ridicules et des lois restrictives d'usage empêche la mise en place des hélicos de police autrement qu'à dose réduite (et pas question de compter sur les hélicos de l'armée, sauf cas exceptionnel pour le GIGN ou RAID). Les criminels en profitent en utilisant des véhicules rapides qui sément les renault poussives de la police.
  24. Le mi-24 c'est bien, le Mi-35 c'est mieux ! En matière de "tank volant", personne n'a fait mieux ! En ce qui concerne les manpads, c'est un type de matériel dont on peut facilement identifié la provenance. Si les USA se foutait que le monde sache qu'ils fournissaient des Stinger contre les russes (because guerre froide), ce n'est plus le cas aujourd'hui : le pays qui fournirait en masse les talibans en manpads serait vite démasqué et aurait très chaud aux fesses très vite. Et le coup du "oups ! on m'a volé mon stock !" ne marcherait pas. Les talibans, c'est pas une armée de libération, sa "popularité" lui interdit le soutien quasi-officiel d'un état depuis déjà 8 ans... les manpads vont continués à rester plutôt rares dans la région. La chute d'un caracal rempli de soldats et c'est la déroute politique assurée pour Sarkozy avec départ des troupes françaises dans les 6 mois suivants.
  25. Dans l'idéal il faudrait avoir plusieurs gammes de véhicules pour répondre à tous les besoins possibles et imaginables, mais c'est pas possible pour une question de coût et la complexité d'une maintenance multiple et l'apprentissage de la conduite et de l'entretien de véhicules très différents : un seul véhicule sera choisi pour remplacer les VAB. Moi, je préfèrerais qu'on prenne le meilleur, le plus sécurisé, le VBCI 8x8 en version VTT. Dans la même logique les autres pays choisissent aussi des 6x6 ou 8x8 lourds blindés et en plus on cherche à vendre des VBCI version VTT aux anglais et aux espagnols... ça serait absurde de choisir du bas de gamme pour nous. Il y aura toujours des petites rues impraticables même si on choisit le Bushmaster 4x4. Le but n'est pas de baser son choix sur un risque spécifique en particulier mais sur l'utilisation courante et les besoins futurs estimés. Si le VBCI ne passe pas dans les ruelles minuscules d'un village afghan il est en revanche excellent pour la brousse africaine, les routes du sud liban, le Kosovo.... Le véhicule unique et parfait qui réponds à tous les besoins n'existe pas, il faut faire un choix en sachant que le véhicule choisi à de fortes chances de rester 30 ans en service comme le VAB (et on va pas rester 30 ans à crapahuter en afghanistan j'espère).
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