Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

alexandreVBCI

Members
  • Compteur de contenus

    16 127
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    9

Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. alexandreVBCI

    Arctic Sea

    Si c'est vrai, la discrétion c'était pas leur truc. Ils auraient chargés les missiles sur des camions de pompiers, sirènes hurlantes, escortés par des cosaques sur des chevaux, c'était plus discret ! Il y a encore trop de bizarreries dans cette histoire.
  2. Dans le DSI de septembre 2009, un article dans la rubrique "Tendance" indique le retour aux élémentaires visible au salon du bourget et émergente depuis des mois : le gros des développements en missions ISR (Intelligence, Surveillance, Reconnaissance) se produit dans le domaine des plates-formes pilotées à base de turbopropulseurs civils éprouvés (exemple type MC-12, King air, Caravan...). DSI note les coûts d'achats et d'utilisation très faibles, charge utile diversifiée (missiles Hellfire pour les Caravan Irakiens, boule optroniques, radar SAR, liaisons satellites, désignateurs lasers....), utilisable à partir de petits aérodromes, grande endurance (MC-12W : 8 heures), capables de s'insérer dans le trafic civil (pas les drones !)... Cette tendance touche l'US Air Force et est appelée à se diffuser dans toutes les armées budgétairement ou techniquement incapable de se doter de drones de plus en plus chers, aux capacités bien plus réduites et plus vulnérables (de nombreux drones ont été perdus suite à une perte de signal satellite).
  3. Dans le dernier DSI (N°51 - septembre 2009) : - Selon l'agence de presse Novosti le ministère russe devrait annoncer en septembre l'ouverture des négociations pour l'achat d'un BPC à la France - les 2 sous-marins de classe Typhoon, le Severstal et l'Arkhangelsk placés en réserve vont être modernisés et remis en service. - le programme Bulava de missile balistique stratégique lancé de sous-marins pourrait être abandonné si les prochains tests sont infructueux. - la deuxième frégate russe de classe Neustrashimy, le Yaroslav Mudr a entamé sa première croisière, 19 ans après que sa quille eut été posée (travaux arrêtés pendant 15 ans !)
  4. AQMI entretient la menace terroriste TTU : Alors que les investissements étrangers en Algérie continuent de progresser, le risque terroriste mine la stabilité du pays. Sur le plan des investissements, les Sud Coréens sont particulièrement bien placés au travers de Samsung, qui vient d’enlever le marché pour la réhabilitation et l’extension des capacités de la raffinerie de Skikda pour 2 milliards de dollars. Les Chinois confirment leur position dans les chemins de fer avec la réalisation de plusieurs lignes ferroviaires (Saida - Tirate...). Ce dynamisme économique auquel la France participe activement ne doit pas masquer la poursuite des attentats ciblés, et toujours mieux préparés, selon certaines sources, comme celui contre des militaires, le 29 juillet, à Damous (23 morts). Les groupes terroristes opèrent toujours depuis leur zone traditionnelle d’implantation tout en réinvestissant certains territoires, comme Skikda. De nouveaux foyers terroristes, où le GSPC avait pourtant été éliminé, sont également apparus, comme dans la région de Mascara. Si les forces de sécurité restent les cibles privilégiées, les intérêts étrangers ne sont pas à l’abri. Côté officiel algérien, on souligne qu’en deux ans 763 “terroristes” ont été tués, alors que le volume des groupes terroristes sur le terrain oscillaient entre 600 et 800 hommes (un chiffre nettement sous-évalué). Le recrutement par l’argent fonctionne à plein régime. Al Qaïda continue son prosélytisme en Algérie et sa campagne antifrançaise.  Dans un message diffusé cet été, Abou Yahia Al-Libi (de son vrai nom Hassen Kaïd, d’origine libyenne, théologien formé en Mauritanie et membre présumé du Groupe de combat islamique libyen — il est considéré comme un successeur possible de Ben Laden) invite la jeunesse algérienne à combattre «les ennemis de Dieu parmi les héritiers de la France et ses esclaves». Le Quai d’Orsay déconseillant vivement tout déplacement par voie routière même avec escorte... Cet intérêt renouvelé d’Al Qaïda pour l’Algérie souligne, selon nos sources, un renforcement d’Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Comme l’a montré l’attentat suicide devant l’ambassade de France, le 9 août, à Nouakchott blessant légèrement deux ressortissants français, AQMI entend s’attaquer aux intérêts français à partir d’Alger sur l’ensemble du Maghreb. Outre la France, AQMI a officiellement ciblé les intérêts chinois pour punir Pékin de sa politique contre les Ouïghours (30 000 Chinois vivent en Algérie). Les terroristes pourraient notamment souffler sur les braises de tensions existantes entre les habitants de certains quartiers et les Chinois (Bab Ezzour...) pour susciter la déstabilisation. http://www.ttu.fr/francais/Articles/strategie%20%26%20politique/risqueeleveaqmi.html
  5. C'est de jour en jour de pire en pire au Yémen et la situation est curieusement totalement ignorée des médias, est-ce parce que ça se passe au nord du pays, dans une zone isolée à la frontière avec l'arabie saoudite qui prétend que "tout va bien, il y a rien à voir". Au sud, ils ont al-qaida... et l'armée yéménite ne vaut rien, autant dire que c'est pas le moment pour aller faire du tourisme là-bas. The Associated Press : "GENEVE - Au moins 35.000 personnes auraient été chassées de chez elles ces deux dernières semaines dans le nord du Yémen, à cause des combats opposant les forces gouvernementales à la rébellion chiite, selon les estimations du Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR). Ces déplacés ont fui les affrontements et bombardements dans la province de Saada, frontalière de l'Arabie saoudite et théâtre depuis cinq ans d'une insurrection armée d'un groupe issu de la minorité chiite zaïdite. Depuis deux semaines, l'offensive de l'armée de Saana y bat son plein. Selon le porte-parole du HCR Andrej Mahecic, les routes sont bloquées dans la province de Saada, et les déplacés doivent souvent payer des passeurs. La plupart des civils en fuite tentent de gagner le camp de réfugiés d'Al Talh, en lisière de la ville de Saada, chef-lieu de la province du même nom."
  6. http://fr.news.yahoo.com/63/20090903/tpl-a-chauffe-au-gabon-il-faut-tuer-les-5cc6428.html Ça chauffe au Gabon : « Il faut tuer les Français ! » Les Gabonais voient dans l'élection du fils d'Omar Bongo une influence de la France. Les incidents se multiplient. Il pourrait y avoir déjà un mort. Il était ministre de la Défense du Gabon quand son père, Omar Bongo, était alors Président. Décédé le 8 juin dernier à l'âge de 73 ans, Omar Bongo régnait sur ce petit pays d'Afrique centrale depuis 41 ans. En politique, « les histoires de fils, ça ne marche pas » avait déclaré Omar Bongo à l'automne 2008, rapporte L'Express. Et pourtant... Ce jeudi, c'est pourtant bel et bien son fils qui vient de remporter l'élection présidentielle anticipée du 31 août, avec 41,73 % des voix. « Je serai toujours le Président de toutes les Gabonaises et de tous les Gabonais », a déclaré Ali Bongo, indique 20minutes. Entre dimanche, jour du vote et ce jeudi, jour des résultats, l'attente a créé des suspicions et des tensions. Les deux principaux concurrents d'Ali Bongo dans la course à la présidentielle ont interprété ce délai comme une manipulation des résultats. Pourquoi ? Le verdict des urnes était attendu mercredi. Ce jour-là, rien ; mais les réseaux de téléphones portables étaient paralysés. Et des présidents de bureau de vote convoqués pour signer de nouveaux procès-verbaux. Bizarre, bizarre... Ce jeudi matin, peu après la proclamation des résultats, le consulat général de France à Port-Gentil a été incendié par des partisans de l'opposition. L'histoire de quelques minutes, on a cru aussi qu'une concession Total avait été pillée, mais la firme française vient de démentir d'après 20minutes. Des Gabonais reprocheraient à la France de leur avoir « imposé » le fils du Président Omar Bongo, selon Le Monde. « On en a marre de ces Français, il faut les chasser, les tuer ! », auraient déclaré des Gabonais, selon Ouest France. Du coup, Bernard Kouchner a voulu se montrer rassurant, affirmant qu'un « dispositif était prêt pour protéger les Français au Gabon ». Sur son compte Twitter, le candidat Ben Moubamba explique que les Français ont été regroupés à la base militaire de Port-Gentil. Du coup, la France s'en mêle et appelle au calme... au Gabon. « Il faut absolument que les candidats qui n'auront pas gagné respectent les résultats du scrutin », a déclaré Alain Joyandet, secrétaire d'État à la coopération, selon Le Monde. Ça chauffe aussi à Libreville, la capitale du Gabon. Des voitures auraient été brûlées, des sculptures cassées, des poubelles renversées. La Gabon est au bord de l'implosion. « On entend l’armée qui tire, on n’ose pas sortir. Nous n’avons plus l'électricité », explique une Gabonaise qui soutient le chef de l'opposition, Pierre Mamboundou, à 20minutes. Arrivé en troisième place aux élections, Pierre Mamboundou aurait été grièvement blessé à la tête et à l'épaule lors d'une dispersion, ce jeudi. « Je suis allé voir les lieux stratégiques de la ville, où pourraient commencer les débordements. Ils sont quadrillés par la police antiémeutes. Les choses vont certainement monter en puissance », a déclaré un journaliste franco-gabonais sur place à 20minutes. 16 h 30, le candidat Ben Moubamba annonce sur son twitter : « Premier mort à Okembo. La Garde républicaine vient de tirer à balles réelles sur la foule. Il y aurait un mort. » Manquait plus que ça !
  7. Les 25 et 26 juin 2006 s'est tenu en Italie un référendum constitutionnel relatif au projet dit de « réforme fédérale ». Le résultat définitif a été de 61,3 % pour les partisans du Non (soutenu par l'Union) et 38,7 % pour les partisans du Oui (soutenu par la Maison des libertés). Le oui ne l'a emporté que dans deux régions, la Lombardie et la Vénétie, où la Ligue du Nord est un parti assez implanté. http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9f%C3%A9rendum_constitutionnel_de_2006_en_Italie 2 régions ont quand même votées majoritairement oui, il y a donc quand même un début de fracture dans l'unité italienne même s'il ne s'agissait pas de séparatisme mais de la mise en place d'un régime fédéral.
  8. alexandreVBCI

    Le F-35

    U.S. Defense Secretary Robert Gates reiterated his support for the F-35 Joint Strike Fighter — along with his opposition to an alternative engine for the aircraft — during a tour of Lockheed Martin’s final-assembly line in Fort Worth, Texas, Aug. 31. Gates predicted the F-35 at peak production rate will be half the cost of an F-22, adding the program “seems to be on schedule for the first training squadron” in 2011. “Most of the high-risk elements are largely behind us,” he said. Repeating the Obama administration’s threat to veto the fiscal 2010 defense budget if Congress funds the F136 alternate engine at the expense of the F-35 program, Gates said: “At this point we are trying to count every dollar” and cannot afford the second engine. http://www.aviationweek.com/aw/generic/story.jsp?id=news/GATES090109.xml&headline=Gates%20Supports%20F-35,%20Opposes%20Second%20Engine&channel=defense
  9. LA PAZ, Bolivia - Bolivia is looking to buy six combat aircraft from China or Brazil after the U.S. blocked the sale of Czech planes, Defense Minister Walker San Miguel said in remarks published Aug. 31. "They could be Chinese or they could be Super Tucanos from Brazil, one or the other," San Miguel was quoted as saying an in interview with the newspaper La Razon. He provided few details on the status of negotiations with either country. The government of leftist President Evo Morales last year tried to buy six L-159 ALCA two-seater light combat aircraft, made with U.S. components, from the Czech Republic for $58 million. But Morales disclosed in July that the sale had been vetoed by Washington. Bolivia also has been negotiating to buy arms and equipment from Russia worth about $100 million, including an Antonov aircraft for presidential travel outside the country. http://www.defensenews.com/story.php?i=4258547&c=AME&s=AIR Les Tchèques perdent un marché au profit de la Chine ou peut-être du Brésil !
  10. Les séparatistes flamands remontés à bloc se mobilisent avant la reprise des pourparlers sur l'avenir institutionnel de la Belgique, qui étaient au programme du premier conseil des ministres de la rentrée, mardi 1er septembre. http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/09/01/les-autonomistes-flamands-contre-l-executif-belge_1234270_3214.html#xtor=AL-32280184
  11. Un compromis a été trouvé lors du sommet de l'UNASUR sur les bases américaines en colombie : http://www.lefigaro.fr/international/2009/08/31/01003-20090831ARTFIG00565-compromis-sud-americain-sur-la-presence-de-l-armee-us-.php Même si le sommet a revélé des divisions entre les membres de l'UNASUR, on peut constater que c'est la première fois que 12 pays sud-américains s'entendent ensemble sur une question de sécurité. Pour rappel, l'UNASUR se construit sur la base du modèle de l'Union Européenne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_des_Nations_sud-am%C3%A9ricaines
  12. La France compte 60 millions d'habitants, on peut mettre autant de % qu'on veut on ne tient pas la route face à la Chine, l'Inde, le Brésil, les USA, la Russie ou une coalition de pays moyens... heureusement on a l'arme atomique. 60 % des européens (329 millions d'habitants dans 16 pays) ont déjà la monnaie unique. La zone euro représente plus de 70 % du PIB de l'Union européenne. L'euro est la deuxième monnaie au monde pour les transactions, derrière le dollar américain. Parmi les 10 nouveaux membres de 2004 et les 2 nouveaux membres de 2007, la plupart espèrent rejoindre la zone au plus vite, mais pour le moment seuls Chypre, Malte, la Slovaquie et la Slovénie ont adopté l'euro. L'Estonie et la Lituanie ont adhéré en même temps que la Slovénie au MCE II en juin 2004, première étape à leur entrée dans la zone euro, et ont été rejointes par la Lettonie, Chypre et Malte au 2 mai 2005. - La Lituanie (recalée de peu en 2007) n'intégrera pas la zone euro comme prévu en janvier 2010 comme l'Estonie et la Lettonie (renonciation pour 2008) du fait de la crise financière et de la trop forte inflation. Aucun nouvel objectif n'a été communiqué pour l'instant. - La Bulgarie, membre de l'UE depuis le 1er janvier 2007, pratique déjà un taux fixe avec l'euro depuis le 1er janvier 1999 (au taux de 1,95583 nouveau lev pour un euro, soit le taux de conversion du mark allemand). Elle espère rejoindre le MCE II courant 2010 et la zone euro en 2013. - La République tchèque a pour objectif la date du 1er janvier 2012. - La Hongrie et la Roumanie tablent sur le 1er janvier 2013. - La Pologne a indiqué par la voix de son premier ministre Donald Tusk vouloir intégrer la zone euro le 1er janvier 2012 après un référendum en 2010 sur l'adoption de l'euro, mais l'adoption du MCE II sur un temps si court reste très difficile. sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_euro + http://fr.wikipedia.org/wiki/Euro + http://ec.europa.eu/economy_finance/the_euro/index_fr.htm?cs_mid=2946 Le Danemark et la Suède (euro refusé par référendum en 2000 et 2003) ne s'interdisent pas un nouveau référendum. Seule la Grande Bretagne ne s'est pas prononcé mais elle est pour l'instant clairement hostile. Lors de la crise, la Livre Sterling a perdu 30% de sa valeur, la monnaie islandaise (l'islande veut entrer dans l'europe et dans la zone euro le plus vite possible) a perdu 60 % de sa valeur. La Suisse, de sa particularité d'être entourée par la Zone euro, permet de régler la plupart des achats dans cette devise. La plupart des grandes entreprises nationales et commerces (Migros, Coop, Les Chemins de Fer Fédéraux, La Poste Suisse) permettent de payer soit en franc suisse, soit en Euro. Les centres touristiques acceptent également l'Euro et tous les commerces affichent les tickets et factures en franc suisse et en Euros. La principauté d'Andorre n'a pas le droit de frapper ses pièces en euro avec sa propre face nationale, mais une négociation est en cours avec la BCE et la Commission européenne pour que dans un avenir proche elle puisse frapper sa monnaie et avoir sa propre série d'euros estampillée Andorre. L'euro a mieux résisté à la crise que bien d'autres monnaies dans le monde, je ne crois pas à un abandon des adhésions (prévues dans les traités d'adhésions) ou un retour en arrière pour les pays déjà adhérents.
  13. La politique européenne de défense en encore en construction mais le chemin déjà parcouru est énorme, il y a 20 ans seulement tombait le mur de berlin. Les pays européens sont de plus en plus interdépendants économiquement, on a une une monnaie commune (les pays de l'est l'auront tous bientôt aussi), un parlement commun, l'harmonisation technique/fiscal progresse entre les pays y compris dans le cadre militaire (matériel et doctrine) par le biais de l'OTAN et de l'AED. La pologne a participé à l'EUFOR/Tchad sans aucun problème. Comme je l'ai déjà précisé, 99% des décisions européennes sont validées sans problème dans les 27 pays, y compris à l'est, mais les journaux ne parlent que du 1% qui pose problème parce qu'on parle jamais des milliers de trains qui arrivent à l'heure mais toujours de celui qui est en retard. il y a 70 ans on s'entretuait joyeusement à partir de vagues alliances politico-militaires alors qu'on n'avait même pas de liens économiques suffisant pour justifier un quelconque intérêt à entrée en guerre (la pologne ça intéressait plus les français en 1939 qu'aujourd'hui ? son potentiel militaire était meilleur que celui d'aujourd'hui ?). Les liens économiques de plus en plus étroits aujourd'hui sont plus fort que les alliances politiques d'hier, et font partie de l'appartenance à une europe unie. Comme tout changement d'importance, ça prends du temps. La création de la France en tant que nation/état ne s'est pas faite en 50 ans (on a même encore des corses, basques et bretons qui s'y opposent). De toute façon on n'a pas le choix, c'est l'europe ou la dépendance aux USA ou la réduction à terme du rôle politique et économique de la france à un rôle mineur, de second plan. Moi, je préféres partager une suite royale au Ritz avec une jolie allemande/suédoise/italienne (voire les 3 en même temps) que de me retrouver tout seul dans une chambre d'un hotel formule 1, chacun ses goûts. =)
  14. Sur le PDJ (http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_d%C3%A9mocrate_du_Japon) : "affaires étrangères et sécurité : généralement résumée par la phrase « joji churyu naki Ampo », soit littéralement « Le Traité de sécurité Japon-États-Unis sans la présence continue de forces américaines au Japon », ou tout du moins «avec une présence conditionnelle» (la présence ou non, et surtout la gradation du retrait des troupes américaines est sujet à débat à l'intérieur du parti). Tout en reconnaissant le rôle centre de la relation avec les États-Unis dans la politique étrangère japonaise, il milite pour que cette relation soit moins exclusive notamment en renforçant la coopération régionale avec les voisins de la région Asie-Pacifique et le renforcement de l'« indépendance nationale » du Japon dans le respect des valeurs constitutionnelles et du droit international. S'il milite pour la reconnaissance des Forces japonaises d'autodéfense comme une armée à part entière, il veut conditionner toute intervention à l'étranger de ces dernières aux seules opérations mandatées par l'Organisation des nations unies. Pour cela il s'est opposé à l'envoie de forces japonaises en Irak."
  15. Le long règne du Parti libéral-démocrate (PLD, conservateurs) a pris fin au Japon. Au pouvoir depuis 54 ans, le PLD du Premier ministre Taro Aso a reconnu sa défaite aux élections législatives, remportées dimanche par le Parti démocrate du Japon (PDJ, centre-gauche). Selon les sondages à la sortie des urnes réalisés pour les principales chaînes de télévision, le PDJ est très largement en tête avec 300 à 315 sièges sur 480 au Parlement, contre 100 à 112 pour le PLD. "Le parti au pouvoir a trahi le peuple au cours des quatre dernières années, amenant l'économie au bord du gouffre, accumulant plus de 6.000 milliards de yens (45 milliards d'euros) de dette publique, gâchant de l'argent, ruinant notre système de sécurité sociale et élargissant le fossé entre riches et pauvres", a accusé avant le scrutin le PDJ. "Nous allons changer le Japon", a promis le parti, dont la plateforme électorale a mis l'accent sur des mesures d'ordre social: soutien aux revenus agricoles, allocations mensuelles pour les demandeurs d'emploi en formation, hausse du salaire minimum, réductions d'impôts. Le PDJ souhaite également encourager la natalité, en versant aux familles une allocation de 26.000 yens (194 euros) par mois et par enfant jusqu'au collège. La population du Japon (127,6 millions d'habitants en 2006), en déclin, ne devrait plus atteindre que 115 millions en 2030 et tomber sous les 100 millions au milieu du siècle. "Raide et professoral, Hatoyama n'a pas le charisme d'autres personnalités de son parti, comme l'avocat Naoto Kan. Il est surnommé "alien" du fait de son excentricité, et peut paraître méprisant. Il montre en même temps un respect de la chose publique qui peut l'amener à enlever ses chaussures pour monter sur un banc lors d'un meeting. Il a promis de réduire les dépenses publiques, de régenter la bureaucratie, et de mettre plus d'argent dans les poches des citoyens en bloquant les hausses d'impôts que, dit-il, son adversaire avait programmé. Hatoyama veut rapprocher politiquement le Japon de l'Asie, et le rendre moins dépendant des Etats-Unis, son principal allié militaire et partenaire commercial, tout en soutenant que l'alliance est la pierre angulaire de la diplomatie du pays." Un rapprochement avec la Chine ? Si le Japon ne veut plus être dépendant des USA, une ouverture de son marché militaire (même à base de coopération) avec l'europe est possible. L'eurofighter pourrait être candidat au remplacement des F15 Japonais puisque les USA ne veulent pas leur vendre le F22.
  16. On en parle depuis des années mais il y a-t-il réellement un risque de division de l'état italien ? la mise en place d'un système comme les lander allemands ou carrément une séparation régionale du pays comme en espagne est-elle possible ? La ligue du nord (http://fr.wikipedia.org/wiki/Ligue_du_Nord) et sa "Padanie", la main-mise de la mafia en sicile ou à Naples, un régime politique décrié avec des partis séparatistes, un nord "riche" face à un sud "pauvre" peut-il conduire le pays à des troubles internes ? Je me pose la question suite à cet article du monde : http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/08/29/en-italie-les-nouveaux-adeptes-de-la-ligue-du-nord_1233282_3214.html#xtor=AL-32280184
  17. REUTERS : Les dirigeants régionaux du Nord-Caucase ont averti le président russe Dmitri Medvedev qu'ils ne parvenaient pas à contenir les menaces des groupes islamistes, qui ont pénétré toutes les sphères de la société. Lors d'une réunion à Sotchi, le président russe et les responsables politiques et religieux de la région sont tombés d'accord pour promouvoir l'islam traditionnel et prévenir la radicalisation de la société, face à l'échec des options militaires. L'islamisme "s'est répandu dans toute les facettes de la vie. C'est une sérieuse menace pour la paix et l'ordre dans la république et dans la région, il est impossible de ne pas s'en rendre compte", a dit le président de la république autonome d'Ingouchie, Iounous-Bek Evkourov. Les islamistes multiplient depuis des mois les attentats à la bombe et les attaques armées contre la police et les forces de sécurité en Tchétchénie, au Daghestan et en Ingouchie. Iounous-Bek Evkourov se remet lui-même à peine d'un attentat l'ayant visé le 22 juin. Le ramadan a été marqué par une recrudescence de la violence en Tchétchénie. Son président Ramzan Kadirov, un ancien rebelle devenu proche du Kremlin, a dit à Dmitri Medvedev qu'il fallait adopter une nouvelle stratégie. "Ils tuent, font tout exploser, ils sont diaboliques (...) Nous savons que nous faisons des erreurs. Nous devons tout faire pour l'emporter sur le terrain spirituel", a dit Ramzan Kadirov. Le président ingouche a estimé que la pression militaire n'était pas efficace contre les rebelles. "Nous devons reconstruire le système de valeurs public", a dit Evkourov. Faisant la même analyse, Dmitri Medvedev a exhorté les hauts dignitaires musulmans à s'unir pour lutter contre les groupes islamistes qui attirent à eux de nombreux jeunes. "Malheureusement, les bandes criminelles réussissent encore à recruter des jeunes gens pour leurs activités", a-t-il dit dans sa résidence d'été à Sotchi, sur les rives de la mer Noire. "Il serait bon d'élaborer un programme de travail avec les jeunes dans le Nord-Caucase", a-t-il ajouté. Outre la menace de déstabilisation qui pèse sur la région, le Kremlin redoute que l'islamisme radical ne s'étende aux autres régions à majorité musulmane de Russie. La popularité des enseignements des radicaux ne cesse de grandir dans le Nord-Caucase, dont les habitants sont confrontés à la pauvreté, à la corruption et à des abus de pouvoir. Dmitri Medvedev a soutenu l'idée de combattre la propagande islamiste, mais a prévenu que les possibilités étaient limitées. Il a notamment proposé de créer une chaîne de télévision pour promouvoir l'Islam traditionnel et de contrôler l'accès à l'éducation islamique à l'étranger. "Il faut penser à trouver une chaîne qui proposerait un enseignement et une explication complète de l'islam, qui est traditionnel dans notre pays", a-t-il dit. On n'est pas dans la merde ! C'est clairement un constat d'échec du traitement militaire de la situation, le problème est le même en afghanistan, somalie, yémen...
  18. Et s'ils ne savent pas quoi mettre dedans comme battellerie, on a toujours les L-CAT "top technologie" à vendre. =) Je partage tout à fait l'analyse concernant le rôle de l'hélicoptère comme outil de contrôle du littoral, d'attaque et de surveillance. Pas besoin de porte-avions dans des conflits de basse intensité ou contre un adversaire très faible. Que la marine russe souhaite un navire plus accès "force expéditionnaire" et très polyvalent est normal quand on voit la volonté politique de la russie de jouer un rôle plus actif au niveau international. Depuis quelques années, la flotte russe parcours à nouveau toutes les mers du globe en force et un batiment moderne, peu couteux, à équipage réduit mais très polyvalent est une nécessité.
  19. alexandreVBCI

    Marine Britannique

    Meretmarine.com : http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=110870 Les premiers éléments du HMS Queen Elizabeth, tête de série du programme des deux futurs porte-avions britanniques, sont arrivés cette semaine au chantier Babcock de Rosyth. C'est là que l'ensemble des blocs, provenant de différents chantiers, sera assemblé. Le début de la construction du Queen Elizabeth intervient au moment où la Grande-Bretagne envisage l'abandon de la version à décollage court et appontage vertical du F-35 (F-35 B). Par souci d'économie, la Royal Navy pourrait finalement adopter la version catapultée du Joint Strike Fighter (JSF), également connue sous la désignation F-35 C. Cette disposition entrainerait la disparition du tremplin, situé à l'avant, ainsi que l'ajout de deux catapultes et de brins d'arrêt. La modification est rendue possible par le fait que le design du Carrier Vessel Future (CVF) a été étudié en commun avec la France, qui souhaitait une version pouvant mettre en oeuvre Rafale et Hawkeye. Toutes les dispositions ont donc été prises, lors des travaux d'ingénierie, pour que l'architecture du porte-avions permette la mise en place de catapultes et brins d'arrêt. Si ce projet se confirme, la Grande Bretagne retrouverait le club des nations mettant en oeuvre des porte-avions à catapultes (Etats-Unis et France), club qu'elle avait quitté il y a une trentaine d'année au profit des porte-aéronefs, dotés d'avions à décollage court et vertical. Outre le fait que la Royal Navy disposerait, alors, d'appareils aux performances et capacités renforcées, le groupe aéronaval britannique deviendrait interopérable avec ceux de l'US Navy et de la Marine nationale. bon dieu ! quand est-ce qu'ils vont décider (catapulte ou non), quand il sera fini ?
  20. La nouvelle politique d'Obama face à la Russie fâche les ex-pays de l'est : http://www.lefigaro.fr/international/2009/08/28/01003-20090828ARTFIG00007-la-nouvelle-europe-ne-fait-plus-confiance-a-l-amerique-.php Peut-être qu'ils comprendont qu'il faut mieux jouer la carte de l'europe de la défense plutôt que de dépendre des USA qui ne s'intéresse qu'à son intérêt propre.
  21. http://www.defensenews.com/story.php?i=4252129&c=EUR&s=AIR Il y a trop d'articles sur des sites sérieux pour parler de simple rumeur, mais entre l'intêret semble-t-il réel pour le BPC et la signature du contrat il y a encore de la marge. Les russes commencent à acheter à l'étranger ce qu'ils ne sont pas (plus) capable de construire, dans l'article on cite notamment les drones israéliens déjà achetés par Moscou. Col. Gen. Nikolai Makarov, the chief of the General Staff, told reporters in Ulan Bator, where he was traveling with President Dmitry Medvedev, that "not a single country can produce everything at the high-quality level."
  22. Le métier de pilote d'hélicoptère bombardier d'eau est surement l'un des plus difficile au monde, vu la complexité pour charger l'eau et larguer à basse altitude au dessus d'un feu, au coeur de la fumée, dans des endroits escarpés.. Il y a pile 5 ans, le 26/08/2004, un skycrane s'est écrasé en corse près de Ventiseri, tuant les 2 pilotes. Les Skycrane sont couramment utilisés comme bombardier d'eau : http://www.helicopassion.com/fr/03/wbl306.htm Je ne sais pas s'il existe encore des versions militaires en service.
  23. Je me suis aussi posé la question, et sur wiki on précise les avantages et les inconvénients de ce système : http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9lice_propulsive Je suppose vu le nombre restreint d'appareils expérimentés que les inconvénients d'une hélice propulsive sont plus importantes que les avantages (sauf sur les drones comme expliqué dans l'article).
  24. C'était en 1998 : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/15/15159.htm Ballon en détresse : Le ballon météo canadien qui dérive depuis six jours a quitté l'espace aérien islandais et poursuit sa route au-dessus de l'Océan arctique. L'immense ballon-sonde est devenu incontrôlable depuis son lancement lundi, en Saskatchewan. Le ballon, haut d'une centaine de mètres, a été repéré au large de l'île norvégiennee de Jan Mayen par les radars d'une base américaine. Les experts croient que le ballon pourrait entrer dans l'espace aérien norvégien s'il était porté par des vents dominants. Les aiguilleurs ont dû détourner le trafic aérien et de nombreux vols transatlantiques enregistrent des retards. Jeudi, deux chasseurs CF-18 ont tenté sans succès d'abattre le ballon au-dessus de Terre-Neuve. L'appareil devait servir à mesurer la couche d'ozone au-dessus des Prairies canadiennes. Il contenait pour un million de dollars d'équipements.
  25. Le JHL-40 (pour 40 tonnes) a pour ambition de remplacer le C-130 pour moins cher en coût de transport et pour desservir les endroits où il n'y a pas de piste pour atterrir.
×
×
  • Créer...