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alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. http://www.ttu.fr/francais/Articles/strategie%20%26%20politique/somaliedjihadist.html TTU : L’attentat suicide contre le QG de la Mission de l’Union Africaine en Somalie (AMISOM), à Mogadiscio, vient confirmer un peu plus l’importation du savoir-faire et des techniques djihadistes dans cette zone. L’opération a coûté la vie à une vingtaine de personnes, dont le général burundais Juvenal Niyoyunguruza, numéro deux de la mission, et légèrement blessé son patron, le général Nathan Mugisha, qui échappe ainsi à son troisième attentat. Les deux véhicules piégés, siglés aux couleurs de l’Onu, ont franchi les postes de sécurité de l’AMISOM, en s’insérant au sein d’un convoi de la force internationale. Signe de la bonne préparation de l’attaque, celle-ci est intervenue lors d’une réunion entre les officiers de l’AMISOM et des responsables du gouvernement somalien. Les miliciens islamistes ont tiré simultanément plusieurs obus de mortiers contre le QG de l’AMISOM. Le second véhicule piégé visait, lui, les bâtiments abritant la société de sécurité américaine DynCorp, qui assure des missions d’assistance au profit de l’AMISOM depuis 2007. Cette deuxième attaque n’a causé que des blessés (dont un sérieux) parmi les conseillers militaires étrangers. Les deux véhicules utilisés pour ces attaques ont été dérobés lors du pillage des bureaux de l’Onu à Jowhar et à Baidoa, en mai et en juillet derniers, et une demi-douzaine de véhicules portant des marquages onusiens sont encore aux mains des milices islamistes. Ces attentats ont été présentés comme une action de représailles à la mort de Saleh Ali Saleh Nabhan, tué lors d’une opération héliportée des forces spéciales de l’US Navy, le 14 septembre, dans le district de Barawe, à 250 km au sud de Mogadiscio. Plusieurs combattants, dont des étrangers, auraient également été tués, lors de cette opération, et deux autres capturés. Selon certaines sources, l’un des hommes tués, ou peut-être capturés, pourrait être Sheik Hussein Ali Fidow, considéré comme un haut responsable des milices islamistes Al-Shabab. Ali Saleh Nabhan était, quant à lui, considéré comme un responsable intermédiaire d’Al-Shabab, mais il constituait néanmoins l’un des pivots des relations des islamistes somaliens avec les groupes djihadistes à l’étranger. Depuis plusieurs mois, en effet, les services de renseignement anglo-saxons s’alarment de l’augmentation du nombre d’étrangers se rendant en Somalie, «où se constituent des camps d’entraînement similaires à ceux présents au Pakistan». Selon le MI-5, une centaine de Britanniques, la plupart d’origine somalienne, ont ainsi transité par la Somalie depuis deux ans. Deux d’entre eux ont même été tués lors d’une frappe américaine, en août 2007, près de la frontière kenyane. Et en août dernier, les services de sécurité australiens ont arrêté une vingtaine de personnes, placées sous surveillance depuis plusieurs mois, dont le noyau dur est suspecté d’avoir préparé une attaque contre les installations d’Holsworthy Barracks, dans la banlieue de Sydney. Une base qui abrite plusieurs unités d’élite des forces australiennes, dont le 3rd Battalion, Royal Australian Regiment (3 RAR) et le 2nd Commando Regiment (2 Cdo Regt), ainsi que le Incident Response Regiment et le Tactical Assault Group, deux unités chargées de la lutte anti-terroriste. Selon les enquêteurs australiens, plusieurs de ces hommes, formés en Somalie et ayant établi un réseau avec des connexions en Grande-Bretagne et au Kenya, entretenaient des contacts réguliers avec des membres d’Al-Shabab. Une opération considérée comme un demi-succès, car l’un des principaux suspects a échappé au coup de filet des autorités australiennes et serait toujours en Somalie.
  2. Le Monde.fr : En 1975, la Grande-Bretagne avait offert 14 millions de livres - l'équivalent aujourd'hui de 500 millions de livres (543 millions d'euros) - au colonel Kadhafi pour que Tripoli cesse de fournir des armes à l'Armée républicaine irlandaise (IRA), et resserre ses liens économiques avec Londres. Selon des documents déclassifiés par les Archives nationales et révélés par The Independent, lundi 5 octobre, Harold Wilson, le premier ministre entre 1974 et 1976, avait écrit un "message personnel" en 1975 au numéro un libyen pour aborder le sujet. "Je ne souhaite pas anticiper sur les résultats des négociations à venir, mais il me semble utile de mentionner deux sujets capitaux pour nous, écrivait-il. Le premier concerne l'Irlande du Nord. Le second est relatif, évidemment, aux questions financières non réglées entre la Libye et la Grande-Bretagne." Ainsi, Londres réclamait des compensations pour les expropriations que la Grande-Bretagne avait subies après la prise de pouvoir de Kadhafi en 1969. De son côté, Tripoli exigeait que le Royaume-Uni indemnise les Libyens qui avaient été victimes des mines laissées par la 8e armée britannique sur le sol libyen alors qu'elle combattait durant la seconde guerre mondiale les Italiens et les Allemands. Selon les Nations unies, entre 1940 et 1975, 5 670 Libyens ont été tués et 4 935 blessés par ces mines. "J'espère que ces questions pourront être réglées au plus vite", poursuivait M. Wilson dans son courrier. Le gouvernement britannique a ensuite rédigé un protocole d'accord où il détaillait les conditions auxquelles les 14 millions de livres seraient payés. "Le gouvernement libyen, conscient que la majorité des (Irlandais du Nord) ont choisi de rester au sein du Royaume-Uni, s'engagera à n'offrir aucun soutien politique, moral ou matériel à l'IRA ou à toute autre organisation commettant des violences en Irlande du Nord", y était-il stipulé. Fin 1976, Harold Wilson avait cédé la place à James Callaghan. Mais l'offre de Londres restait valable. D'autant que, comme le signale un mémorandum du ministère des affaires étrangères de cette époque, "notre part de marché en Libye a été réduite de moitié depuis cinq ans". Tripoli a refusé, jugeant que ce n'était pas 14 millions de livres qu'il lui fallait mais 51 millions. La Libye a donc continué à fournir des armes au principal groupe armé catholique en Irlande du Nord. Depuis 2005, l'IRA a abandonné la lutte armée. Et ce sont désormais les victimes des attentats de l'ancienne organisation terroriste qui réclament des indemnisations à la Libye tandis que Tripoli poursuit son combat pour les victimes libyennes des mines posées par les Britanniques. Le 20 août, Edimbourg a libéré Abdelbaset al-Megrahi, atteint d'un cancer en phase terminale. Le seul condamné à ce jour pour l'attentat de Lockerbie, qui avait fait 270 morts en 1988, est rentré en héros à Tripoli. Les affaires, elles, ont repris.
  3. Oct 5/08: Aviation Week reports that IqAF AC-208 Combat Caravans have been fitted with launchers, and will be cleared to start shooting laser-guided Hellfire missiles later in October 2009. The report adds that: “On the intelligence-collection side, operating the C-208 Caravans, Hawker Beechcraft King Air 350s and SAMA CH2000s also has progressed well. As a result, coalition advisers are focusing more on teaching the Iraqis how to exploit the sensor information.” Le personnel irakien a déjà été formé : http://www.dvidshub.net/?script=news/news_show.php&id=37700 Les Irakiens vont balancer des hellfires à partir de Cessna Caravan... nous on sait pas faire, on est plus cons que les irakiens...
  4. Le Mi5 révèle 100 ans de secrets dans un bouquin : http://www.lefigaro.fr/international/2009/10/06/01003-20091006ARTFIG00011-le-mi5-revele-cent-ans-de-secrets-.php ok, le lien ne comprends que des broutilles mais on devrait avoir bientôt un tas de nouvelles infos croustillantes !
  5. une solution en vue au Honduras ? Associated Press : Le président de facto du Honduras Roberto Micheletti a annoncé lundi le rétablissement des libertés publiques à compter de mardi. Roberto Micheletti avait signé le 26 septembre un décret instaurant l'état d'urgence, par crainte de voir se multiplier les troubles après le retour d'exil du président déchu Manuel Zelaya. Il suspendait les libertés publiques, limitant notamment le droit de réunion et le droit d'expression. Ce décret a été abrogé lundi en conseil des ministres, abrogation qui entrera en vigueur le lendemain, a expliqué le président sur les ondes de la cinquième chaîne de télévision nationale. "Ce décret n'est plus nécessaire car la paix est revenue dans le pays", a-t-il assuré. Le président Zelaya, renversé par un coup d'Etat le 28 juin et chassé en exil, a regagné le Honduras le 21 septembre, et vit depuis retranché dans l'ambassade du Brésil à Tegucigalpa avec un groupe de ses fidèles. Le décret interdisait les rassemblements de plus de 20 personnes, autorisait la police à procéder à des arrestations sans mandat et à prolonger les gardes à vue plus de 24 heures pour les personnes soupçonnées de fomenter des troubles. Il a également entraîné la fermeture de deux radios, Radio Globo et Canal 36, critiques envers le gouvernement de facto. Roberto Micheletti avait auparavant annoncé cette prochaine abrogation de l'état d'urgence à quatre parlementaires américains. Les Etats-Unis travaillent depuis le début de la crise à ce que Manuel Zelaya retrouve son poste. Une élection présidentielle est prévue le 29 novembre au Honduras. AP
  6. Plans in Works for Larger, Stronger Bradley Block II program looks to add bigger engine, bigger chassis that is higher off ground. The U.S. Army is in the early phases of planning a bigger, more-survivable and more mobile 35-ton Block II Bradley Fighting Vehicle. The aim of the Block II Bradley is to preserve and build upon the survivability enhancements added to the vehicle over the years. ( Staff Sgt. Suzanne M. Day / U.S. Air Force) The Block II Bradley will be designed to possibly add greater ground-clearance for blast protection, a stronger 800-horsepower engine and include a host of additional upgrades built into the vehicle, service and industry officials said. "The original Bradley was fast and maneuverable," said Roy Perkins, Heavy Brigade Combat Team director, BAE Systems. "It could swim. As part of the survivability packages we put belly armor underneath it. We put all of these additional armor packages on it and we did the hot box [Kevlar protective lining for 25mm ammo stored in the floor of the vehicle]. All the extra weight made the Bradley a little bit slower, a little bit less maneuverable. The Block II is designed to buy that back. "As part of the Block II program they are looking at a bigger engine, a bigger chassis and externally storing the fuel tanks. Right now the fuel tanks are stored internally. We might possibly modify the chassis." Decisions on a bigger engine or larger chassis have not officially been made. A bigger hull would enable the Bradley to ride higher off the ground, Perkins said. "The new chassis will raise the Bradley back up. Bradley's magic number is about 18 inches [off the ground]. We are about 11 right now but if we can get up to 18 we will have the same or better mine protections than MRAP," said Perkins. While seeking to add greater mobility and ground clearance, the aim of the Block II will be to preserve and build upon the survivability enhancements added to the vehicle over the years. The Bradley Urban Survivability Kit (BUSK) III expands on earlier versions which included underbelly armor, reactive armor tiles, transparent armor ballistic gunners kit, the hot box and blast attenuated seats. It would add armor protection to the turret floor, a manual release lever for the back ramp, and fuel cell technology aimed at preventing secondary fires in the case of an attack. The Army plans to blast-test new fuel cell casings for the fuel tanks at Aberdeen Proving Grounds later this month. "We've tapped into the aviation community and are using the same fuel cell technology, which includes self-sealing bladders. Before, they were plastic and they were cracking," said Army Lt. Col. Bill Sheehy, Bradley program manager. "At Aberdeen we will use real fuel and see how it reacts under the stress of an event." The BUSK and Block II Bradley programs are aimed at upgrading the vehicle to serve for several more decades. "We're looking at maintaining the Bradley family for the next 20 years - the Army is looking to optimize the size, weight and power," said Mike Hogan, director of business development, vice president of business development, BAE's U.S. Combat Systems. http://www.defensenews.com/osd_story.php?sh=VSDA&i=4307572&c=AME&s=TOP Et hop ! on enterre encore un peu plus le FCS !
  7. Russie : La Russie a perdu 6,6 millions d'habitants en 15 ans http://fr.news.yahoo.com/3/20091005/twl-russie-population-091cf94.html C'est un vrai problème démographique, la Russie risque de passer à la 15ième place dans le monde en nombre d'habitants, après le Vietnam. Il faudrait une immigration massive mais comme l'indique l'article l'assimiliation est quasi-impossible en russie.
  8. Le FAMAS FELIN n'est-il pas la version upgradée en optique du G2 des marins ? sur le site http://fr.wikipedia.org/wiki/FAMAS on parle de la "version Félin du Famas G2". Peu importe... au final la décision de remplacer le FAMAS n'est pas encore prise, on continue d'acheter des lots de HK416 en petit nombre (ce qui au final va coûter surement plus cher qu'une grosse commande massive !).
  9. Il n'existe plus aucun projet d'avion à réaction au sein de l'US Navy, même au point de vue militaire (à l'exception des ekranoplane qui ne sont pas vraiment des hydravions puisqu'ils ne peuvent "voler" qu'à quelques mètres d'altitudes) il ne reste que les japonais pour utiliser des hydravions pour le sauvetage en mer (et pas à réaction !). http://www.globalsecurity.org/military/world/japan/us-1-pics.htm
  10. Il n'y a pas que l'armée qui s'intéresse aux Turboprop, la police de la ville de Phoenix a acheté un PC-12 Spectre : http://www.pilatus-aircraft.com/applications/press_release/index_rd.php?det=0000000281 Le marché Police n'est pas à négliger !
  11. Moi ce qui me dérange c'est qu'il n'y a pas de commande globale, Paris appuyant fortement sur la pédale de frein. On a l'impression qu'il s'agit de commandes au coup par coup, pour les unités partant en OPEX mais que rien ne sera fait pour des raisons financières pour celles restant en france ou DOM-COM. On s'achemine vers une armée à 2 vitesses : le FAMAS restant comme arme de dotation pour la plupart des unités et le HK416 pour les unités travaillant en coopération (histoire de régler le problème de compatibilité arme/munitions avec nos alliés). Reste le problème FELIN : choisir le FAMAS G2 est une grosse connerie, on aurait dû dès le départ sélectionner le HK416. On va se retrouver avec au final 3 armes en dotation : le G1, le G2 et le HK416 (je ne compte pas la poignée de G36/HKG3/SIG-551 pour les spécialistes).
  12. Je rappelle que le traité n'est pas secret mais tout est public et à ma connaissance le vote à la majorité qualifiée n'a pas entrainé d'émeutes dans toute l'europe ! La démocratie ça marche au niveau des communes, des régions, de l'état mais ça ne marcherait pas au niveau de l'europe ? Il ne faut pas avoir peur de la démocratie et du droit de vote, il y aura de toute façon toujours une minorité d'opposants quelque que soit le sujet, d'ailleurs aucune loi n'est votée à 100 % en france... Les lois européennes votées par les députés européens élus par le peuple s'appliquent depuis 60 ans en France. Le diktat c'est qu'un homme seul puisse bloquer la mise en place d'un traité voté démocratiquement par les représentants de 500 millions de personnes. Quand on voit les idées politiques de Vaclav Klaus (http://fr.wikipedia.org/wiki/V%C3%A1clav_Klaus) on peut même se demander si ce fanatique libéral enragé anti-écologiste n'est pas un agent américain. Bien sur les mêmes personnes qui aujourd'hui s'offusquent que "les fonctionnaires parisiens" imposent leur volonté aux autres régions françaises accuseront demain "les fonctionnaires bruxellois" (certains le font déjà, ça ne changera rien) mais politiquement il y a un consensus dans la très grande majorité des partis politiques pour accepter plus de démocratie. Dans le cas contraire pourquoi le traité aurait été voté et soutenu massivement dans les 27 pays par les partis politiques les plus représentatifs du peuple ? Par ailleurs l'UE n'est pas une dictature dirigée par Satan en personne, si ça marche pas on changera encore les règles, il faut être débile pour croire que le traité de Lisbonne sera le dernier ! Si on ne faisait jamais rien de peur d'essayer on serait toujours en train d'habiter des grottes, habillés avec des peaux de bêtes. Il faut de temps en temps faire une révolution pour avancer, c'est pas toujours facile mais choisir l'immobilisme ou le conservatisme est toujours une mauvaise solution.
  13. Le journal Le Monde rappelle les principaux points du traité : http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/10/03/les-principaux-points-du-traite-de-lisbonne_1249028_3214.html#xtor=AL-32280184 Pour moi le plus important est celui-là : - Le vote à la majorité qualifiée devient la règle à partir de 2014. La majorité qualifiée se définira comme réunissant 55 % des Etats membres représentant au moins 65 % de la population de l'UE venant d'au moins 15 Etats membres. La règle permettra d'éviter les négociations parfois interminables parmi les Vingt-Sept pour parvenir à l'unanimité. Le droit de veto est LE premier problème de l'UE, c'est une abomination qui doit disparaitre, c'est un moyen de chantage et d'extorsion inacceptable. Il est impensable de continuer avec le risque d'une infime minorité puisse bloquer la volonté de la majorité. Le vote à la majorité va booster l'UE, accélerer les réformes et débloquer les décisions sur les sujets sensibles comme sur les milliers de projets simples en attente.
  14. Les américains commencent à comprendre ! I found the most interesting part of McChrystal’s speech to be his discussion of “counterinsurgency mathematics,” which explains, in part, the Afghan insurgency’s growth over the past eight years: “There is another complexity that people do not understand and which the military have to learn: I call it ‘COIN mathematics’. Intelligence will normally tell us how many insurgents are operating in an area. Let us say that there are 10 in a certain area. Following a military operation, two are killed. How many insurgents are left? Traditional mathematics would say that eight would be left, but there may only be two, because six of the living eight may have said, ‘This business of insurgency is becoming dangerous so I am going to do something else.’ There are more likely to be as many as 20, because each one you killed has a brother, father, son and friends, who do not necessarily think that they were killed because they were doing something wrong. It does not matter – you killed them. Suddenly, then, there may be 20, making the calculus of military operations very different. Yet we are asking young corporals, sergeants and lieutenants to make those kinds of calculations and requiring them to understand the situation. They have to – there is no simple workaround.” http://www.dodbuzz.com/2009/10/02/mcchrystal-pushes-coin-coin-coin/
  15. Bruits de bottes en amérique latine : http://www.slate.fr/story/10797/bresil-argentine-colombie-que-signifie-augmentation-depenses-militaires
  16. http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/10/03/le-groupe-d-armement-britannique-bae-systems-inquiete-pour-corruption_1248859_3214.html#xtor=AL-32280184 Traîner en justice le groupe britannique de défense BAE Systems pour faits de corruption à l'étranger : le Serious Fraud Office (SFO), l'autorité anti-fraudes du Royaume-Uni, pourrait réussir cette gageure malgré la haute portée politique de cette affaire. En cas de culpabilité, le premier marchand d'armes européen est passible d'une amende équivalente à un milliard d'euros. La requête d'ouverture de poursuites judiciaires déposée par l'organisme britannique de lutte contre la délinquance en col blanc auprès du conseiller juridique de la Couronne porte sur des contrats d'armement signés avec quatre pays : l'Afrique du Sud, la Tanzanie, la Roumanie et la République tchèque. L'annonce du jeudi 1er octobre ne concerne pas les pots-de-vin prétendument versés par BAE à des membres de la famille régnante d'Arabie saoudite dans le cadre du contrat Al-Yamamah conclu dans les années 1980. Ce scandale avait été étouffé en 2006 sous la pression du premier ministre d'alors, Tony Blair, au nom de l'entente antiterroriste entre les deux pays. Furieux de l'interruption de l'enquête sur les supposées commissions saoudiennes, le SFO prend aujourd'hui sa revanche en constituant un solide dossier sur d'autres grands contrats controversés signés par BAE. Le gouvernement travailliste devrait donner son accord à son action. Le premier ministre, Gordon Brown, est en effet conscient du préjudice causé à l'image du Royaume-Uni par cette série d'affaires de corruption. "Il est dans l'intérêt national de punir la corruption" : à l'instar du quotidien de centre gauche The Independent, les organisations non gouvernementales (ONG) ont salué cette décision en soulignant qu'un arrêt de la procédure serait catastrophique pour la réputation des entreprises britanniques. Reste que, même en cas de soutien gouvernemental, bien des obstacles demeurent sur la route du SFO. Pour brouiller les pistes, BAE Systems a eu recours à des paradis fiscaux de la Couronne, comme Jersey ou les îles Vierges britanniques, réticents à fouiller dans les comptes des banques offshore qu'ils abritent. Par ailleurs, les intermédiaires sulfureux utilisés pour soudoyer les dirigeants en Europe de l'Est et en Afrique bénéficient de protections au plus haut niveau dans ces pays. Aussi, les autorités des nations visées rechignent à coopérer avec les enquêteurs britanniques. Tel est le cas de l'Afrique du Sud dont le parti au pouvoir, l'African National Congress (ANC), aurait largement bénéficié des largesses de BAE pour faciliter la vente de chasseurs Gripen et d'avions d'entraînement Hawk. La fourniture de frégates à la Roumanie, d'appareils Gripen à la République tchèque et d'un système de défense anti-aérien à la Tanzanie aurait donné lieu à l'octroi de juteuses enveloppes. Le laxisme de la législation britannique dénoncé à maintes reprises par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) constitue un dernier écueil. Pour BAE le coup est dur. En se réformant de fond en comble, la compagnie, dotée d'une nouvelle direction, espérait avoir tourné la page. La voici confrontée à un choix impossible. En admettant sa culpabilité en échange d'une réduction de l'amende, la société se verrait pénalisée dans la course aux contrats militaires européens. Une telle décision aurait des répercussions aux Etats-Unis où le groupe réalise près de la moitié de son chiffre d'affaires et où la justice a de surcroît ouvert une enquête pour corruption en 2007 visant BAE. Mais, un procès entraînerait un déballage en public, extrêmement préjudiciable à l'image que la compagnie veut se donner.
  17. Un score indiscutable. Le "oui" au traité de Lisbonne a cette fois remporté une large victoire en Irlande, d'après les résultats officiels, annoncés samedi à Dublin, du nouveau référendum organisé la veille: les électeurs irlandais se sont prononcés par 67,1% des voix pour ce texte réformant le fonctionnement institutionnel de l'Union européenne. Le taux de participation s'est établi à 58%. Lors du précédent référendum, en juin 2008, le "non" l'avait emporté avec 53,4% des suffrages et une participation de 51%. "Mon message aujourd'hui est très simple: merci l'Irlande!", a commenté samedi à Bruxelles le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso. "L'Irlande a donné à l'Europe une nouvelle chance", s'est-il réjoui, "extrêmement heureux" de ce vote crucial pour l'avenir de l'Union. Le Premier ministre irlandais Brian Cowen a pour sa part salué une "bonne journée pour l'Irlande et pour l'Europe". Le Traité de Lisbonne, estime-t-il, débouchera sur une "meilleure" Europe, "plus forte, plus équitable". "Je suis absolument enchanté pour ce pays", a de son côté déclaré le chef de la diplomatie irlandaise Michael Martin avant l'annonce des résultats définitifs. "C'est bon pour l'Irlande, parce que je crois passionnément que notre avenir est au sein de l'Union européenne et qu'il n'y avait pas de raison réelle de voter non", selon M. Martin, qui a mené la campagne du gouvernement en faveur du traité. Quelque 3,08 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes, soit un chiffre comparable à la précédente consultation organisée en 2008. D'après des responsables à Dublin, plusieurs circonscriptions de la capitale irlandaise où le "non" avait gagné lors du premier référendum ont basculé en faveur du "oui". Avant le dépouillement, les sondages officieux à la sortie des urnes réalisés par les deux principaux partis irlandais, le Fianna Fail au pouvoir et le Fine Gael dans l'opposition, donnaient déjà la victoire du "oui". Le gouvernement et la quasi-totalité de la classe politique irlandaise ont soutenu le traité. Avant le scrutin, le Premier ministre Brian Cowen avait d'ores et déjà exclu un troisième vote. Une nouvelle victoire du "non" aurait signé la fin du traité de Lisbonne. Depuis un an, l'Irlande traverse une grave crise économique et financière et le sentiment des électeurs à l'égard de l'UE a changé. De nombreux Irlandais ont estimé désormais que leur pays a besoin de l'Europe. Le traité de Lisbonne, rédigé en remplacement de la défunte Constitution européenne, rejetée par les Français et les Néerlandais en 2005, reprend la plupart des dispositions de celle-ci. Il doit ainsi faciliter la prise de décision, avec l'extension du vote à la majorité qualifiée et l'instauration à terme d'un nouveau système de vote à double majorité (55% des Etats membres et 65% de la population). L'Irlande était le seul pays à se prononcer par référendum, ses partenaires européens ayant opté pour la voie parlementaire. Désormais, malgré le vote irlandais, le traité doit encore être signé par les présidents tchèque et polonais pour pouvoir entrer en vigueur. AP Le Figaro : David Cameron, qui espère succéder à Brown, compte sur Vaclav Klaus pour l'aider à faire capoter le traité de Lisbonne. Le dernier mot n'est pas dit. Après la réponse irlandaise de vendredi, le traité de Lisbonne a encore besoin du paraphe des présidents polonais et tchèque. En coulisses, un troisième homme attend son heure : le Britannique David Cameron, farouche eu­rosceptique. Il s'est juré de torpiller le renforcement de l'UE, s'il devient premier ministre au printemps, comme le promettent les sondages. Le combat d'arrière-garde de Lech Kaczynski et Vaclav Klaus, malgré le feu vert des deux Parlements, a déjà fait une victime. La Suède, qui préside l'UE, a pratiquement renoncé à voir la Commission Barroso II formée sous l'empire du traité de Lisbonne. Ce qui soulève de délicats problèmes de transition et de continuité juridique. Un pacte destructeur : Ce casse-tête pour constitutionnalistes n'est rien à côté du pacte destructeur noué par le président tchèque et le Prime Minister en puissance. La trame est connue, confirmée par une lettre adressée à Vaclav Klaus par David Cameron : le premier doit retenir sa signature jusqu'en mai, voire juin, le temps que le second, parvenu au 10, Downing Street, lance le référendum promis pour casser la ratification du traité par Londres (2008). «Si vous réussissez à tenir, vous me retrouverez aussitôt à vos côtés», écrit le chef des tories, cité par le Daily Mail. L'état de l'opinion britannique laisse peu de doute sur l'issue d'une telle con­sultation. Reste à confirmer qu'un premier ministre Cameron aurait l'au­dace de dynamiter vingt ans d'ambitions européennes. Le scénario est loin d'être farfelu. Il donne des sueurs froides à Bruxelles. «À côté de Cameron, Maggie Thatcher était une aimable euro-fédéra­liste», ironise un responsable français. Vaclav Klaus a crédibilisé le complot en suscitant, au Sénat, un énième recours contre le traité de Lisbonne. D'après Tomas Langasek, responsable à la Cour suprême, l'arrêt définitif prendra «quelques semaines, ou quelques mois». La perspective d'un nouveau délai avait déjà jeté un froid au dernier sommet européen. Après le vote irlandais, la stratégie des Vingt-Sept - Tchèques et Britanniques compris - consisterait à faire monter la pression sur le locataire du château de Prague. «Si Vaclav Klaus s'amuse à tout bloquer, il y aura des conséquences, avertit Pierre Lellouche, secrétaire d'État aux Affaires européennes. Un seul homme ne peut pas bloquer la volonté de 500 millions d'Européens.» Pour casser le cercle vicieux tchéco-britannique, l'une des hypothèses avancées est de priver Prague de son commissaire européen. L'ex-premier ministre Mirek Topolanek a agité l'hypothèse cette semaine, à l'issue d'un rendez-vous avec José Manuel Barroso. Cette punition nécessite l'unanimité des Vingt-Sept, Tchèques compris. À défaut, le Parlement européen pourrait aussi refuser son feu vert au candidat présenté par Prague.
  18. @artyparis : pour un FA à 100$ il faut aller dans le bazar de Kandahar, ils ont de bonnes occases chinoises =) Le prix dépend aussi des "accessoires" qui peuvent coûter aussi très cher, je viens de lire dans le dernier RAID que les CPA dotés de HK416 manquaient cruellement de lance-grenade M203 (ça, c'est encore une bourde bien grasse !). Une optique de qualité c'est pas donnée non plus !
  19. alexandreVBCI

    [Femmes soldats]

    C’est une section de reconnaissance (bataillon de choc) qui présente leur tenue d’infiltration en milieu bourgeois décadent occidental. :lol: La tenue de combat (en chambre) ne va pas du tout avec l’arme, ils auraient pu au moins peindre les mitraillettes en rose. =) Il doit bien rire le fourrier du régiment à gérer les robes rouges et bottines blanches (bien cirées svp !).
  20. alexandreVBCI

    [Femmes soldats]

    Décidément, les chinois adorent les couleurs criardes, ou alors ils sont super nuls en camouflage !
  21. Appelez-moi "aimer l'armée" http://www.liberation.fr/monde/0101593885-appelez-moi-aimer-l-armee :rolleyes:
  22. La dictature chinoise vu par le journal Libération : http://www.liberation.fr/monde/0101593907-une-dictature-modernisee
  23. Révélations sur la famine en Chine entre 1959 et 1962 qui fit 50 millions de morts : http://www.liberation.fr/monde/0101593908-quand-la-faim-justifiait-les-moyens
  24. Au moins 157 personnes ont été tuées lundi à Conakry lors de la répression par l'armée d'une manifestation de l'opposition dans un stade de la capitale guinéenne, selon un bilan annoncé mardi par l'Organisation guinéenne de défense des droits de l'homme, qui fait état par ailleurs de plus de 1.200 blessés. Le gouvernement a annoncé l'ouverture d'une enquête pour déterminer qui avait donner l'ordre aux soldats d'ouvrir le feu à balles réelles sur les manifestants. Le gouvernement maintient que seules 57 personnes sont mortes, pour la plupart piétinées. Dans un communiqué diffusé mardi soir le ministère de l'Intérieur qualifie d'"illégale" la manifestation de l'opposition et précise que le président présente ses condoléances aux familles endeuillées. La France, qui "réitère sa condamnation de cette répression sauvage et sanglante", a annoncé mardi la "suspension immédiate de sa coopération militaire avec la Guinée" et le réexamen de "l'ensemble de son aide bilatérale", selon une déclaration du ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner. Les rues de Conakry, où l'on dénombrait de nombreuses voitures calcinées, étaient calmes mardi matin, des soldats patrouillant dans les rues, alors que les habitants restaient terrés chez eux. Un médecin de l'hôpital de Donka, à Conakry, a affirmé qu'il avait vu plus de cent corps à la morgue. L'Organisation guinéenne de défense des droits de l'homme a fait état d'au moins 157 morts. Un reporter de l'Associated Press a vu à l'hôpital Donka plusieurs patients blessés, certains par balles, d'autres portant des traces de coups. Plus de 50.000 personnes ont participé lundi à la manifestation contre le putsch du capitaine Moussa "Dadis" Camara, arrivé au pouvoir en décembre dernier, quelques heures après la mort du dictateur Lansana Conté. Bien qu'il ait assuré qu'il ne se présenterait pas à l'élection présidentielle, il a récemment souligné qu'il avait le droit de se porter candidat si tel était son choix. Le capitaine Camara a tenté de prendre ses distances avec cette violente répression en affirmant lundi soir sur les ondes de RFI que les soldats ayant tiré sur la foule avaient "commis ces atrocités" et constituaient "des éléments incontrôlables de l'armée". L'ancien Premier ministre Sidya Touré, aujourd'hui chef de l'Union des forces républicaines (UFR, opposition), avait été arrêté pendant la manifestation de lundi. Il a été libéré mardi mais a retrouvé son domicile vandalisé. L'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch a reçu des témoignages selon lesquels des éléments des forces de sécurité avaient déshabillé et violé des manifestantes dans les rues. D'autres ont vu des militaires poignarder des civils avec des couteaux ou des baïonnettes. La communauté internationale a unanimement protesté contre ces agissements. L'Union européenne a condamné la répression contre les manifestants, appelant les autorités "à exercer un maximum de retenue et à assurer une transition pacifique et démocratique" dans le pays, selon le chef de la diplomatie européenne Javier Solana, qui a appelé à la libération immédiate de tous les opposants. L'Union africaine, qui a suspendu la Guinée de son organisation depuis l'arrivée au pouvoir de Camara, a pour sa part condamné "les tirs sans discernement sur des civils sans armes" et a exhorté les responsables guinéens à respecter la liberté d'expression et de rassemblement. La France avait condamné lundi "avec la plus grande fermeté la répression violente exercée par l'armée contre les Forces vives de Guinée au cours d'une manifestation pacifique organisée à Conakry". Paris, qui a réitéré mardi sa condamnation, a souligné que "le bilan des massacres et des graves violations des droits de l'homme commis hier (lundi) à Conakry par l'armée guinéenne s'alourdit d'heure en heure". A la demande de la France, selon le communiqué de M. Kouchner, l'Union européenne se réunira dès mercredi à Bruxelles pour "examiner les mesures complémentaires, notamment individuelles, qui pourraient être prises rapidement". L'UE a "déjà suspendu toute aide non humanitaire à la Guinée". La France, poursuit le ministre dans son communiqué, "se concerte avec les responsables de l'Union africaines, et ses partenaires au Conseil de sécurité, afin d'envisager les conséquences à tirer des ces événements dramatiques. Nous examinons tous les moyens pour apporter rapidement une assistance médicale aux blessés", conclut-il. AP Que peut faire l'Union Africaine ou l'Union Européenne ?
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