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AIR-DEFENSE.NET

alexandreVBCI

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Tout ce qui a été posté par alexandreVBCI

  1. Heureusement que l'algérie n'a pas gagné par un but grâce à une main d'un de ses joueurs dans les prolongations... :lol:
  2. C'est vrai que des scénarios plus croustillants seraient bienvenus pour les Buck Danny, par exemple : - le soudan attaque le Tchad, la france intervient massivement au moment où Buck Danny est formé au pilotage du Rafale, - le hezbollah s'empare du pouvoir au Liban (et des Mig-29 fournis par les russes), les USA (Porte-avion) et Israël attaquent, - une guerre éclate entre l'algérie et le Maroc (Buck Danny instructeur des F16 Marocains), - escalade militaire entre l'Ukraine et la russie suite aux contentieux gaziers, les USA soutiennent l'Ukraine, - etc... Par contre l'inconvénient c'est que de telles histoires ne tiennent pas dans le format de moins de 50 pages d'une BD Buck Danny, à moins de la jouer par épisodes comme Zipang avec ses 23 tomes déjà parus (excellent ! je le conseille fortement aussi !).
  3. Le site Defensetech reprend les infos du Mamouth.. http://defensetech.org/2009/11/25/french-scars/#idc-container
  4. Un reportage TV sur le Mistral à St Pétersbourg : http://www.corlobe.tk/article17076.html
  5. http://www.lefigaro.fr/international/2009/11/25/01003-20091125ARTFIG00133-les-pirates-ouvrent-un-deuxieme-front-en-afrique-.php
  6. INFO FIGARO - Le mystère Adlène Hicheur commence à s'éclaircir. Ce physicien franco-algérien de 32 ans, employé sur le site du Cern à Genève et arrêté le 12 octobre dernier à Vienne (Isère), envisageait de s'en prendre au 27e bataillon de chasseurs alpins d'Annecy. Outre cet objectif, une source de haut niveau confie au Figaro qu'«il devait faire valider par l'échelon algérien d'autres projets», comme «l'élimination de personnes physiques à haute responsabilité , des hommes politiques ou autres. Tout cela devait être vu et discuté avec ses interlocuteurs.» Le chercheur était en lien depuis des mois, via Internet, avec un correspondant identifié comme un membre d'al-Qaida pour le Maghreb islamique (Aqmi). Concernant le 27e BCA, Hicheur l'aurait désigné pour «punir l'armée, et plus généralement la France, de son implication en Afghanistan», assure un magistrat. Dans un courriel à ses contacts, le terroriste présumé aurait même fourni des indications sur la caserne afin de préparer l'action. Au quartier Tom-Morel, siège du 27e BCA, le silence est de rigueur. Mais un militaire constate que ce bataillon était une «cible à double titre». D'abord, fait-il valoir, «parce que le 27 a envoyé trois compagnies en Afghanistan». Ensuite, poursuit-il, «parce qu'il célèbre l'anniversaire de Sidi-Brahim, en souvenir d'un combat héroïque des chasseurs alpins en Algérie contre l'émir Abd el-Kader». Un fait d'armes qui, selon cet officier, «n'aura pas échappé aux islamistes, férus de symboles». Au pôle antiterroriste parisien, un spécialiste voit dans cette affaire la confirmation que «le terroriste isolé devient une menace de plus en plus sérieuse». Quelques contacts pris sur Internet peuvent ainsi faire basculer la vie d'individus jusqu'alors inconnus des services de police. «C'est pour nous le pire des scénarios», estime un cadre de la Direction générale de la police nationale. Ce commissaire constate notamment l'influence croissante de certains sites et forums islamistes sur des personnalités à l'esprit plus ou moins dérangé. Des électrons libres en somme, qui peuvent frapper à tout moment, après s'être imprégnés de la prose de prêcheurs qui les téléguident. L'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat) a multiplié les alertes en ce sens au cours de ses dernières réunions. La police a déjà identifié plus de vingt sites «particulièrement nocifs». Elle s'étonne même de l'augmentation des consultations dont ils font l'objet depuis l'Hexagone. Beaucoup de ces sites sont nés après la fermeture de minbar.com, qui fut le point de ralliement de nombreux moudjahidins à travers l'Europe. Le 5 novembre dernier, la fusillade de Fort Hood, aux États-Unis, où treize personnes ont trouvé la mort, n'a fait que confirmer les craintes des experts de la Place Beauvau. Car le psychiatre militaire de 39 ans, Nidal Malik Hasan, à l'origine de cette action, n'avait éveillé les soupçons de personne. Et pourtant, selon les enquêteurs, ce lone terrorist avait consulté plusieurs sites se réclamant de la mouvance islamiste radicale. Il avait aussi échangé des courriels avec des personnes appartenant à cette nébuleuse. «Ces nouveaux profils sont d'autant plus difficiles à détecter qu'ils peuvent correspondre à des individus parfaitement insérés», assure un professionnel du renseignement à Paris. Leur amateurisme sur le plan criminel reste malgré tout leur faille, car ils laissent des traces. «De ce point de vue, Internet est devenu un facteur déterminant pour l'enquête», explique un policier spécialisé. La police a d'ailleurs intensifié sa veille pour détecter les «signes prédictifs d'un passage à l'acte», explique-t-on dans l'entourage du ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux. Cette traque est conduite en coulisse par les hommes de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) du préfet Bernard Squarcini. À partir de mots-clés, grâce à des logiciels spécialement conçus. En infiltrant également les forums de discussion, pour appâter les éventuels candidats à la guerre sainte. Un terroriste isolé recruté par internet, la nouvelle menace ?
  7. Programme Félin : commande de 16 454 derniers systèmes La direction générale de l'armement (DGA) a notifié le 20 novembre 2009 une nouvelle commande de 16 454 systèmes fantassins à équipements et liaisons intégrés (Félin) à Sagem (groupe Safran). Le nombre de systèmes commandés s’élève ainsi au total à 22 588. Le montant global du programme Félin, incluant le développement, l’industrialisation, la production et le soutien initial, s’établit à un milliard d’euros. http://www.defense.gouv.fr/dga/votre_espace/presse/communiques/2009/programme_felin_commande_de_16_454_derniers_systemes
  8. Hugo Chavez, président du Venezuela, encense le terroriste "Carlos", Mugabe, Ahmadinejad et Idi Amin Dada : Le président vénézuélien, Hugo Chavez, a fait l'éloge samedi 21 novembre du terroriste "Carlos", condamné et emprisonné en France depuis quinze ans, et de l'ancien dictateur ougandais Idi Amin Dada, mort en exil en 2003. Prenant la parole à Caracas devant un congrès international réunissant des représentants de partis de gauche, M. Chavez a qualifié son compatriote Ilich Ramirez Sanchez, alias "Carlos" ou "Le Chacal", de "héros révolutionnaire". "Je le défends, a-t-il ajouté sous les applaudissements. Peu m'importe ce que l'on dira demain en Europe. On l'accuse d'avoir été un terroriste. Mais il fut en réalité l'un des grands combattants de l'Organisation de libération de la Palestine. Il a, je le pense, été injustement condamné. On l'accuse de choses dont il n'est pas responsable." Aujourd'hui âgé de 60 ans, Carlos a été jugé responsable du meurtre, le 27 juin 1975 à Paris, de deux policiers de la DST et de leur informateur. Il organise en décembre 1975 la séquestration de onze ministres de l'OPEP à Vienne, au cours de laquelle trois personnes trouvent la mort. Le mois suivant, depuis la terrasse de l'aéroport d'Orly, il tire au lance-roquettes sur un avion de la compagnie El Al, mais le manque. Six jours plus tard, il revient à Orly et prend deux personnes en otage lors d'une attaque qui fait vingt et un blessés. Pourchassé un peu partout, Carlos s'installe à Beyrouth, d'où il s'enfuit après l'expulsion de Yasser Arafat, en 1982. Signalé au Yémen, en Libye et en Syrie, il trouve refuge au Soudan en 1991. En 1992, la justice française le condamne par contumace à la réclusion à perpétuité. En 1994, il est enlevé à Khartoum par les services secrets français, sur l'ordre de Charles Pasqua, alors ministre de l'intérieur. En prison, Carlos s'est converti à l'islam et a épousé son avocate française, Isabelle Coutant. Il a déclaré avoir éprouvé "du soulagement" en apprenant les attentats du 11-Septembre. Ce n'est pas la première fois qu'Hugo Chavez exprime de la sympathie pour Carlos, mais il ne l'avait jamais fait avec autant de force. En 1999, il lui avait écrit une lettre où il l'appelait "Cher compatriote". En 2003, le journal progouvernemental Vea a publié une lettre de Carlos, après la mort de son père, un riche avocat, cofondateur du Parti communiste vénézuélien. Carlos rendait hommage à celui qui, disait-il, lui avait enseigné "toutes les règles des conspirations". Ce dernier était un chaud partisan de M. Chavez. Le chef de l'Etat a également pris la défense d'Idi Amin, le président sanguinaire au pouvoir en Ouganda de 1971 à 1979 : "On a dit qu'il était un cannibale. J'ai des doutes. Peut-être était-il un grand nationaliste, un patriote." M. Chavez a enfin complimenté ses homologues du Zimbabwe, Robert Mugabe, et d'Iran, Mahmoud Ahmadinejad, qu'il a qualifiés de "frères". http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2009/11/23/hugo-chavez-president-du-venezuela-encense-carlos_1270805_3222.html#ens_id=1253873&xtor=AL-32280151 Ces "frères" sont des terroristes et des fous mégalos... belle famille !
  9. Un reportage complémentaire du journal Le Monde sur les SMP en afghanistan : http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/11/20/l-afghanistan-nouveau-marche-des-societes-militaires-privees_1269827_3216.html extrait : "... Le poids des sociétés militaires privées est l'une des facettes cachées de cette guerre. La Commission parlementaire américaine sur la passation des marchés en temps de guerre a révélé, début novembre, qu'avec 74 000 salariés en Afghanistan, leur nombre dépasse celui des troupes régulières américaines. Un chiffre deux fois plus important que celui admis officiellement par le Pentagone. L'OTAN et les Etats-Unis n'aiment guère parler de cette privatisation du conflit. Car les méthodes et les dérapages des compagnies privées, déjà dénoncées en Irak, se poursuivent en Afghanistan. Dans la province de Kandahar, où les Canadiens supervisent les opérations de l'OTAN, plus de 80 % des sociétés privées sont américaines. "Notre objectif est d'apporter un soutien aux soldats, expliquait, le 13 novembre, Peter MacKay, ministre de la défense canadien, de passage à Kandahar. Nous n'avons pas de problème de conscience avec les compagnies (privées). Nos troupes peuvent ainsi se concentrer sur ce qu'elles savent faire : se battre."
  10. Exécutions sommaires au Mexique : http://www.rue89.com/droguesnews/2009/11/20/drogues-un-ex-ministre-mexicain-accuse-larmee-de-meurtres Participant samedi à un colloque international pour la réforme des politiques antidrogues au Nouveau-Mexique, Jorge Castañeda, ministre des Affaires étrangères de l'ancien président mexicain Vincente Fox, a accusé l'armée mexicaine de pratiquer des exécutions extrajudiciaires de membres des cartels de trafiquants de drogues. « Nous avons de plus en plus de “faux positifs” », a déclaré Castañeda, faisant référence au terme utilisé en Colombie pour désigner les civils exécutés par l'armée puis déclarés comme guérilleros tués au combat : « Ici au Mexique, des meurtres attribués aux gangs sont en réalité le fait de l'armée. A chaque fois que les cartels éliminent un policier ou un militaire infiltrés, l'armée réplique : “Nous en tuerons dix des vôtres.” Selon les statistiques, 90% des meurtres sont l'oeuvre des cartels eux-mêmes, mais en réalité l'armée est impliquée. » Le président Calderon a déployé l'armée face aux cartels en décembre 2006. Depuis, 15000 personnes ont été tuées dans des violences liées à la guerre à la drogue, dont 6000 cette année. Des centaines de policiers et de militaires comptent également parmi les victimes. Interrogé sur le fait de savoir s'il avait des preuves de ses accusations, Castañeda a déclaré : « Le seul cas documenté s'est déroulé dans la ville de Chihuahua, où les corps de 29 sicarios (tueurs à la solde des trafiquants) ont été retrouvés. Des témoins ont déclaré que ces personnes avaient été précédemment détenues par les autorités. La presse n'a pas voulu enquêter là-dessus. » Mais l'armée ne sera pas capable de garder le silence longtemps pour Castañeda : « Ils fréquentent des bars, des restaurants, ils se saoulent, parlent et lancent à la cantonade combien de personnes ils ont élimées. C'est à cause des 12 militaires tués par les cartels à Michoacan que cette opération a été menée par l'armée. » Ces accusations arrivent au moment où le Département d'Etat américain entame le processus de certification du Mexique sur le plan des droits de l'homme, l'une des conditions pour l'attribution des 1,4 milliard de dollars de l'Initiative Merida contre la drogue. Si le Département d'Etat estime que le Mexique ne respecte pas les droits de l'homme, des pans entiers de l'initiative pourraient être annulés. Castañeda a également accusé le président Obama de détourner le regard des violations des droits de l'homme par l'armée mexicaine : « Obama a déclaré que les violations des droits de l'homme qui l'inquiétaient le plus concernaient les victimes de la guerre à la drogue. »
  11. L'Afrique du Sud booste sa police avant la coupe du monde de football : http://www.liberation.fr/monde/0101603976-en-afrique-du-sud-la-police-doit-viser-la-tete "A sept mois de la Coupe du monde de football, le gouvernement sud-africain multiplie les déclarations de guerre contre les gangsters. «Tirez sur les salopards !» a lancé le 13 novembre Fikile Mbalula, le ministre adjoint de la Police. On pouvait s’attendre à des propos plus modérés, une retentissante bavure ayant coûté la vie à un garçon de 3 ans, le 3 novembre. Un policier a abattu l’enfant, assis à l’arrière d’une voiture, parce qu’il tenait un bout de métal évoquant la forme d’un canon de revolver. Le même jour, un jeune de 20 ans, qui discutait avec des copains dans un township de Pretoria, a eu le tort de s’enfuir quand des policiers ont voulu l’embarquer sans raison. Il a été abattu sur le champ. Fikile Mbalula a quand même appelé ses recrues à «tirer pour tuer», afin de venir à bout de la criminalité de son pays, la plus forte au monde. Si le nombre de meurtres, en moyenne 50 par jour, a diminué de moitié depuis la fin de l’apartheid, les viols, les braquages de voitures à main armée, les cambriolages et les attaques de commerces augmentent d’année en année. Le ministre cherche donc à rassurer l’opinion et les visiteurs étrangers avant le Mondial. A l’approche de l’événement, le gouvernement s’efforce de juguler la criminalité. La police est ainsi passée de 120 000 personnes, il y a trois ans, à 180 000 aujourd’hui. Avec 200 000 recrues prévues d’ici 2013, il devrait y avoir de plus en plus d’hommes en bleu dans les rues, qui tireront peut-être plus vite. Le gouvernement veut aussi changer la loi qui n’autorise la police qu’à retourner le feu pour protéger des vies ou si c’est absolument nécessaire. «J’ai de sérieux problèmes avec les policiers qui n’utilisent pas leur force de feu, a expliqué le ministre de la Police, Bheki Cele. Ils doivent viser les criminels à la tête.» Jacob Zuma, le Président, estime que «la police doit agir, à partir du moment où les criminels sortent une arme, dans la mesure où ces derniers ne tirent pas de coups de semonce». «Plutôt que de changer la loi, il faudrait améliorer la formation des policiers», rétorque Anthony Minnaar, professeur à l’université de Pretoria. La multiplication des bavures, qui a coûté la vie à 71 passants en deux ans, remet en cause la qualité de la formation des agents. Puis, finalement, il a modéré les propos de son ministre : «La loi ne donne pas liberté aux policiers de tuer.» Pendant ce temps, en afrique de l'ouest... http://www.lefigaro.fr/international/2009/11/21/01003-20091121ARTFIG00068-l-afrique-sur-le-chemin-des-trafiquants-de-drogue-.php Les Colombiens utilisent l'ouest du continent comme zone de transit vers l'Europe. La déflagration a secoué toute la région de Bourem, aux confins du Tilemsi, le désert du nord-est malien. Dans la journée du 5 novembre, un avion de ligne de type Boeing explosait en bordure d'une piste d'aviation rudimentaire à Almoustras, à 180 km au nord de la ville de Gao. Saisie de l'enquête, la gendarmerie malienne a conclu que l'avion avait manqué son décollage et avait été abandonné sur place, ses mystérieux occupants prenant soin de l'incendier pour ne pas laisser de traces. Depuis, dans le Tilemsi, les langues se délient, répercutées dans la presse locale. Cela ferait plus de deux ans que la région, à mille lieues de toute agglomération, sert de terrain de délestage pour les narcotrafiquants colombiens, qui ont choisi l'Afrique de l'Ouest comme zone de transit pour la drogue à destination des marchés européens. Que contenait le Boeing d'Almoustras ? « On estime que sa cargaison était constituée de cocaïne et d'autres substances illicites », indique Alexandre Schmidt, le chef du bureau régional de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) à Dakar. Seule certitude, le Boeing, un vieux coucou sans aucun plan de vol répertorié, provenait d'Amérique du Sud. Il se serait ravitaillé en kérosène au Venezuela, sans que l'on sache s'il était parti de ce pays ou d'un autre État de la région. La nouvelle de l'incident s'est propagée comme une onde de choc à travers la région, où jamais les trafiquants de drogue n'avaient été surpris à utiliser des gros-porteurs. Jusqu'à présent, les cartels de Colombie utilisaient soit de petits jets privés, soit des hors-bord déchargeant les cales de cargos croisant au large de la Guinée-Bissau, havre des narcotrafiquants sud-américains. Pour l'ONUDC, l'affaire du Boeing n'a rien de rassurant. «Elle confirme nos craintes : le trafic se développe plus au sud, plus à l'intérieur des terres, souligne Walter Kemp, porte-parole au siège de l'organisation à Vienne, en Autriche. Il ne se contente plus de proliférer le long de la façade côtière. » Surveillés de près par les marines des puissances occidentales, dont les navires croisent au large des côtes africaines, les trafiquants cherchent de nouveaux points de chute, comme le désert du nord-est malien, infesté de bandes armées en rébellion face à Bamako et dont certaines se revendiquent de la mouvance islamiste d'al-Qaida au Maghreb islamique. «Les routes de la drogue sont en train de changer, constate Walter Kemp. On a la sensation bien palpable que les opérations des narcotrafiquants deviennent de plus en plus importantes, de plus en plus sophistiquées », comme en témoigne le Boeing fantôme de Gao, dont le chargement en stupéfiants divers et variés s'élevait probablement à plusieurs tonnes. Ce n'est pas le seul développement inquiétant. De nouvelles organisations criminelles sont apparues, qui se mêlent de trafic de drogue, mais également de la contrebande de cigarettes, de pétrole et de médicaments, comme l'évoquait un rapport édifiant de l'ONUDC en juillet. Ces nouveaux acteurs proviennent du Nigeria et ils s'approvisionnent au Brésil, empiétant sur le terrain de chasse des Colombiens en Afrique de l'Ouest. Un affrontement entre ces groupes paraît inévitable. Et il sera sanglant, forcément. Comme si tout cela ne suffisait pas, une autre découverte récente est venue bouleverser les certitudes des experts de la lutte antidrogue, à l'ONU comme à Interpol. Fin juillet, à Conakry, en Guinée, la police est tombée sur des laboratoires recélant des précurseurs chimiques, du type de ceux qui servent à élaborer la cocaïne et l'ecstasy. «Cela prouve l'existence de capacités de production de stupéfiants à Conakry », souligne Alexandre Schmidt. Désormais, les trafiquants acheminent de la coca non raffinée en Afrique de l'Ouest, ce qui leur offre un risque moindre : en cas de saisie, ils perdent beaucoup moins d'argent. »
  12. alexandreVBCI

    Eurofighter

    C'est au tour des italiens..... ROME - As the industrial consortium behind the Eurofighter Typhoon presses customers to commit to an electronically scanned radar, the Italian Air Force has confirmed its doubts that the radar can be ready in time for the next tranche of the combat jet. "The physical insertion of an AESA radar in Tranche 3A is not feasible timewise," said Gen. Giuseppe Bernardis, the Air Force deputy chief of staff. "Another thing could be an interest in studying the option of retrofitting the fleet one day, money and circumstances permitting," he added. Speaking at the Dubai Airshow this week, Eurofighter CEO Enzo Casolini said proposals could be submitted by year's end to the four lead Eurofighter nations for a new AESA (advanced electronically scanned array) radar to replace the twin-engine jet's mechanically scanned Captor radar. Britain, Germany, Italy and Spain may then make a joint decision by February on how to proceed, he said. Officials from companies in the Eurofighter consortium have previously said the deadline was needed in order to mount a new radar on board the first batch of the third tranche of Typhoons that the four nations signed up to buy in July. Italy has signed to buy 21 Tranche 3A aircraft. It originally envisioned buying 46, but when the tranche was split it said budget limitations may rule out taking the full quota. Britain and Germany are reportedly interested in switching to an AESA radar, but the doubts raised by Bernardis, which he first voiced last summer, suggest finding a consensus will not be easy. The Italian Air Force's less-than-enthusiastic support for e-scan is due in part to its desire to focus on the air superiority role of the Typhoon, leaving air-to-ground missions to the F-35 Joint Strike Fighter, which Italy has ordered. "We believe the mechanically scanned radar is fulfilling all our operational needs for an air superiority fighter," Bernardis said. "This, however, doesn't rule out a more up-to-date radar in the future, given that we will be possibly flying Eurofighters until 2040." Eurofighter officials are, however, keen to get started on developing an e-scan radar to boost the aircraft's chances in competitions such as in India, where e-scan is a prerequisite. In Dubai, Casolini said e-scan technology being developed by Selex Galileo - which is teamed with EADS and Indra in the Euroradar consortium - would be a likely candidate for use on the Typhoon. Selex officials have said that after a deal is struck on the warplane's AESA radar, about five years will be required to develop a production-standard version. Unlike fixed-panel AESA radars being built by U.S. companies, which face in the direction of the aircraft, the Selex panel sits at an angle and can revolve, meaning its angle of coverage can be increased in any given direction by moving the panel. The "swashplate" concept has been taken up by Saab, which chose Selex to supply the Swedish company with its AESA Vixen radar for the Gripen NG fighter jet that Saab is offering to Brazil. A smaller version of the Vixen, using a fixed plate, has been sold for use on U.S. Customs and Border Protection aircraft. Bob Mason, vice president of marketing and sales at Selex Galileo, part of Italy's Finmeccanica group, said a rapid pace is called for to develop an e-scan radar for Typhoon partners. "We will need to work fast and be innovative to get an e-scan ready for Eurofighter," he said. Mason said the new e-scan with a swashplate would put the Typhoon ahead of U.S. competitors. "We believe the Captor now on the Eurofighter outperforms the first generation of e-scan radars, while the respositionable e-scan radar we are now developing takes us beyond the first generation F-16, F-15 and F-18 arrays." The angle of the revolving plate to the direction of the aircraft could range from 5 to 45 degrees, depending on the wish of the customer, he added. Some of work being undertaken with Saab on the Gripen e-scan radar would be of benefit to future work, Mason said. Looking ahead, he said Selex is eyeing the e-scan radar's capabilities in broadband communications and electronic warfare. "E-scan has the ability to do these things, and we are looking at the possibilities in case there is a request from a customer," Mason said.
  13. Ils jouent à quoi les Talibans ? ....à mon avis c'est pas à "Mon petit poney" ! Je ne parle même pas d'Hitler, Gengis Khan ou Néron, qui surement se ruinaient les yeux sur World in Conflict ou GTA pour en être arrivés à négliger autant les droits de l'homme =)
  14. Le Pakistan est à feu et à sang. Jeudi, un nouvel attentat-suicide a fait une vingtaine de morts à Peshawar , dans le nord-ouest du pays. Il s'agit du huitième attentat en onze jours qui frappe cette région frontalière de l'Afghanistan. Une vague terroriste qui, pour l'essentiel, porte la signature du TTP, Mouvement des talibans du Pakistan, lié à Al-Qaeda. lepoint.fr a interrogé Olivier Guillard, responsable du programme Asie à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). lepoint.fr : Quelle est la stratégie des terroristes au Pakistan ? Olivier Guillard : Ils veulent affaiblir le pouvoir en place et ralentir les ardeurs de l'armée, qui a entamé une vaste offensive terrestre et aérienne depuis un mois. Les structures terroristes radicales du type TPP - mais il y en a d'autres - parient sur un pourrissement de la situation en Afghanistan et sur une dégradation de la situation parallèle au Pakistan. L'idée, c'est de reprendre d'une façon directe ou indirecte les rênes des deux pays. Leur avantage, c'est qu'ils n'ont pas de compte à rendre à une quelconque opinion. Ils ont un agenda qui va un peu plus loin que celui de la prochaine élection... Pourquoi l'État pakistanais n'arrive-t-il pas à les combattre ? Parce rien ne fonctionne comme il faut au sommet de l'équipe gouvernementale. Rien ne fonctionne comme il faut entre les militaires et les civils. Aujourd'hui, l'autorité de l'État ne s'étend pas sur tout le territoire pakistanais, loin de là. Certes, il y a un gouvernement civil à la tête du pays qui est démocratiquement élu. Il y a aussi une présidence. Mais tout ceci n'est que du décorum. On sait pertinemment qu'en dépit de ce vernis démocratique, c'est l'armée qui tient les ficelles du pays. Et concrètement, la puissante armée pakistanaise a fait montre de peu d'élan pour s'investir dans les zones tribales pakistanaises, au sud de l'Afghanistan. Elle y est allée en traînant un peu ses rangers, en ne mettant probablement pas tous les moyens pour arriver à une résolution rapide du conflit. Les États-Unis peuvent-ils jouer un rôle dans ce bourbier ? Déjà, il apparaît désormais évident que les États-Unis n'ont pas l'intention de s'éterniser dans la région [Hillary Clinton a déclaré le 15 novembre que les USA n'y avaient " pas d'intérets à long terme "]. Et puis, leur efficacité est limitée. La nouvelle administration américaine a, sous la bannière d'Obama, lancé le concept d'une prise en main conjointe de la crise en Afghanistan et au Pakistan ["l'Aflpak", ndlr], considérant que les deux conflits étaient liés. Ça a à la fois du sens et, en même temps, c'est une approche très grossière. Pourquoi ? Parce que la situation des deux pays est différente. Si elle n'est pas plus glorieuse au Pakistan qu'en Afghanistan, on ne peut toutefois pas considérer que le Pakistan est un pays en guerre. On n'a pas une insurrection comme les talibans, qui sont capables de prendre le pouvoir du jour au lendemain, à Islamabad comme à Kaboul. En Afghanistan, on est déjà en train de réfléchir à une association future entre talibans modérés et talibans repentis dans un gouvernement d'unité nationale...
  15. Le salon de Dubaï selon TTU : "Le Salon Dubai Air Show 2009, qui a vu la participation de 890 entreprises de 47 pays, dont 120 entreprises de 20 pays venues pour la première fois, a atteint ses objectifs. Et ce, en dépit de la récente crise financière mondiale, qui a entraîné une contraction significative du nombre de contrats annoncés. Concernant les questions régionales, trois questions ont dominé le Salon : le dossier du nucléaire iranien, la situation au Yémen et l'insécurité persistante en Afghanistan et au Pakistan. Outre leur dimension politique, ces questions ont des implications militaires pour les pays de la région, en particulier les Etats du Golfe. Une chose paraît certaine : les marchés de l'armement dans la région vont continuer à croître et les commandes dans la région devraient atteindre les 100 milliards de dollars d'ici à 2014, soit 11 % de l’ensemble des commandes mondiales d'armes et de systèmes de défense. Premièrement, on constate une évolution des menaces qui pèsent sur la zone du Golfe, où, au lieu de faire face à un ennemi conventionnel, les pays sont confrontés à des groupes armés rebelles, comme c'est le cas au Yémen et en Irak, mais aussi au Liban et en Algérie. Il convient donc d’élaborer de nouvelles struc­tures de défense pour faire face à ce type de menaces. Les forces spéciales et de réaction rapide tiennent, à cet égard, un rôle central, d’où la demande croissante de coopération, dans ce domaine, des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG). Or, la France a un rôle clé à jouer dans le développement des capacités de ces pays, comme le montrent la coopération avec Bahreïn ou le soutien aux forces d’intervention du ministère saoudien de l'Intérieur. Rappelons, en outre, la participation d'unités des forces spéciales émiraties à la coalition internationale en Afghanistan. Au Salon de Dubaï, on évoquait surtout la conclusion prochaine d'un accord entre Paris et Riyad, au terme duquel les forces spéciales françaises fourniront un appui à leurs homologues saoudiennes, notamment dans la formation. L’évolution des menaces se reflète aussi dans les besoins en équipements militaires. Les Etats arabes du Golfe s’intéressent en particulier aux véhicules blindés, qui offrent des niveaux de protection et des capacités de manœuvre élevés. Ainsi, le Koweït a pris livraison des véhicules VBL MKII de Panhard, l’Arabie Saoudite met la touche finale au contrat d’achat de véhicules russes BMP-3, alors que les Emirats arabes unis se sont engagés à acquérir des véhicules AMV (du groupe Patria). En outre, les forces terrestres émiraties souhaitent moderniser leurs chars Leclerc, comme l’ont fait les forces canadiennes avec leurs chars Abrams, pour acquérir une meilleure protection contre les IED. Les besoins des forces aériennes sont également en hausse, notamment en ce qui concerne les hélicoptères de transport armés (Oman devrait recevoir trois hélicoptères NH-90, alors que l’Arabie Saoudite, le Koweït et les EAU étudient des offres) et les drones, destinés aux missions de surveillance et de renseignement. Deuxièmement, l'aggravation des menaces terroristes pousse les Etats du Golfe à renforcer la protection de leurs frontières et des installations sensibles. EADS est un acteur important dans ce domaine : le Qatar a eu recours au groupe européen pour son système de protection nationale, National Security Shield (NSS), et l'Arabie Saoudite l’a choisi pour mettre en œuvre son système de protection des frontières. Ces systèmes comprennent des radars de détection et de surveillance, des systèmes de détection optroniques à infrarouge IR, des hélicoptères, des véhicules, des drones et des systèmes C3I. De même, on constate une hausse des besoins en systèmes de missiles de haute précision, qui peuvent être employés dans des espaces clos, tels que des missiles Eryx de MBDA, utilisés par la Garde nationale saoudienne et dont l’acquisition est envisagée par d’autres pays du CCG. A cela s’ajoute le besoin en systèmes de défense aérienne à courte portée, de type SHORAD, pour la défense des sites sensibles. A cet égard, les forces omanaises et la garde nationale saoudienne ont choisi le système Mistral de MBDA. Les demandes de systèmes de ce type devraient donc croître à l’avenir. Troisièmement, l'escalade de la piraterie navale et le renforcement des forces sous-marines de certains pays poussent les Etats du Golfe à développer leurs capacités dans le domaine des missions de patrouille maritime, par l'acquisition d'avions MPA. Ainsi, les EAU ont choisi le groupe Thales pour équiper leurs avions Bombardier Dash 8-300 pour ces missions. Ils ont aussi signé un contrat, il y a trois ans, avec EADS pour des avions C-295 FITS, contrat qui n'est pas encore entré en vigueur. L'Arabie Saoudite et Oman étudient également l’acquisition de C-295 FITS. Quatrièmement, les pays de la région s’emploient à renforcer leurs forces de frappe en s’équipant de missiles de croisière, pour faire face à des menaces externes, sans qu'il leur soit nécessaire d'envoyer des troupes hors de leurs frontières. D’où le contrat conclu par Riyad et Abou Dhabi pour l’acquisition d’avions de ravitaillement en vol A330 MRTT (trois appareils, respectivement, avec des options pour trois autres, qui pourraient être levées prochainement), afin d’augmenter le rayon d’action de leurs avions de combat. En outre, le programme de modernisation des Tornado saoudiens vise principalement à les équiper de systèmes de missiles Storm Shadow, capacités qui devraient être étendues dans le futur, lors de la mise en service des Eurofighter Typhoon. Même chose concernant la force aérienne émiratie, dans la perspective de l’acquisition de Rafale, qui devraient conserver leur capacité de frappe, avec des missiles de croisière Scalp EG/Black Shahine, utilisés actuellement sur les Mirage 2009-9. De leur côté, Oman étudie l’achat de 14 Eurofighter Typhoon et le Koweït envisage le remplacement de sa flotte de F-18, alors qu’on reste dans l'incertitude sur les intentions du Qatar, qui pourrait remplacer ses Mirage 2000-5 par des Rafale. Il est clair, enfin, que les pays du CCG — à l'exception de l'Arabie Saoudite — ne sont plus réticents à accueillir des forces étrangères sur leur territoire, dans un contexte de menace croissante de l’Iran. La présence militaire américaine au Koweït et en Irak, la base aérienne d’Al-Adid, au Qatar, et le commandement de la 5e flotte américaine à Bahreïn font partie du paysage stratégique de la région. Certains faits nouveaux montrent même le renforcement de cette tendance : Washington a annoncé la formation d'une force d'intervention marine rapide dans le Golfe, basée à Bahreïn, après l'ouverture de la base française aux Emirats, en mai dernier. Mais l'événement principal, dévoilé à Dubaï, est la présence de six avions F-22 Raptor sur la base Dhafra d’Abou Dhabi." Le lien : http://www.ttu.fr/francais/Articles/Industrie%20%26%20materiels/dubaiairshow2009.html
  16. alexandreVBCI

    Eurofighter

    BERLIN - Germany's coalition government has confirmed that the Luftwaffe will not receive its final batch of Eurofighters. To date, Germany has firmly committed to 143 aircraft; now Tranche 3B, covering the final 37 jets originally planned for the Luftwaffe, will instead be made available for export. Faced with penalties for non-acceptance of the 37 remaining aircraft, the German government has decided to put these Eurofighters up for sale, under an agreement issued by the new coalition government. The decision may appease Eurofighter officials, since there will be no reduction in the original 180-aircraft German order. Industry, however, will not be able to benefit from any additional work that would have been created by a new export order. The Luftwaffe, long committed to its planned 180 Eurofighters, is yet to comment. Finding a customer for the Tranche 3B aircraft may not be easy. EADS is competing to sell Eurofighters in India's Medium Multi-Role Combat Aircraft competition. Switzerland is also examining the Eurofighter to meet its requirement for an F-5E Tiger II replacement. Greece, which has already selected the Eurofighter once before, prior to canceling its options, may be seen as an outside chance when it reopens its fighter competition. The 15 Eurofighters already diverted from the Luftwaffe to Austria could also be factored into total numbers, meaning that Germany would need to offload just 22 Tranche 3B jets. A similar offset arrangement was adopted by the United Kingdom when it diverted 24 RAF Typhoons to Saudi Arabia, and later took these aircraft out of its full 232-aircraft commitment. The implications for the Luftwaffe are unclear. Plans called for the establishment of five Eurofighter wings, two of which (including a training unit) are now flying the jet. With Tranche 3A deliveries yet to begin, the air arm has some time to decide whether to ax one of the planned wings, as some politicians have campaigned for. http://www.defensenews.com/story.php?i=4384702&c=EUR&s=AIR C'est terminé, l'allemagne ne veut plus d'Eurofighter et cherche des acheteurs pour les 37 derniers appareils dont la commande serait trop chère à annuler.
  17. Quand les services de renseignements français en 1924 se demandaient si Hitler ne serait pas juif et un tantinet fasciste : http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/11/19/adolf-hitler-genre-fasciste_1269349_3214.html On apprends aussi l'avis porté sur Konrad Adenauer : "Alors maire de Cologne, ce "centriste ami de l'ordre (et) protecteur de la classe moyenne" fit l'objet de commentaires peu amènes. Si les services ont compris que ses plaidoyers pour une autonomie de la Rhénanie n'en faisaient pas pour autant un "séparatiste", le futur chancelier de l'Allemagne fédérale fut jugé "douteux du point de vue de ses sentiments". "Caractère froid", "faux modeste (...) jouant l'homme simple", "fonctionnaire compétent mais esprit subalterne" : difficile d'imaginer, à la lecture de ce portrait, que cet homme dépeint au milieu des années 1920 comme "très hostile à la France" sera, trente ans plus tard, l'un des artisans de la réconciliation franco-allemande."
  18. EU Ministers Pursue 'European Air Transport Fleet' Brussels - Fourteen of the EU's 27 defense ministers have signed a letter of intent to establish a European Air Transport Fleet based on the A400M military transport plane and other aircraft such as the C130. The central idea is to make existing aircraft available to those countries that do not own them themselves. Various options are being considered, including allowing countries to exchange or buy flight hours from each other. Officials hope to achieve initial operating capability by 2014, said European Defence Agency (EDA's) Chief Executive Alexander Weis at a press conference Nov. 17. Belgium, Czech Republic, Finland, France, Germany, Greece, Italy, Luxembourg, the Netherlands, Poland, Portugal, Slovakia, Spain and Sweden have all signed the letter while two other unnamed countries are set to sign in the coming weeks. More immediately, a joint investment program in unmanned underwater systems has been launched. The EDA expects to deliver a set of concrete proposals by the end of 2010. It is expected to be a three-year program worth about 60 million euros ($89.8 million) that is likely to include new sensors and maritime mine detection capacities. Defense ministers also agreed to carry out two helicopter training exercises in 2010 and backed the idea of creating common requirements for European military airworthiness certification "to reduce the costs of air systems and speed up European aircraft programs." They also asked the EDA to recommend how to correct market distortions, such as state aid and subsidies, that stand in the way of creating a fair and transparent European Defence Equipment Market. As for the Franco-German idea of developing a 32- to 35-ton "future transport helicopter" by 2020, Weis said that the EDA was "in close dialogue with the Pentagon" and that the European Union needed "an emerging military requirement on the U.S. side similar to France and Germany." http://www.defensenews.com/story.php?i=4380582&c=EUR&s=AIR
  19. alexandreVBCI

    Le F-35

    Le MV-22 "brule" les ponts... et le F35B ? It's now official. The new generation of high-tech hovering aircraft - namely the famous V-22 "Osprey" tiltrotor and the upcoming F-35B supersonic stealth jump-jet - have an unforeseen flaw. Their exhaust downwash is so hot as to melt the flight decks of US warships, leading Pentagon boffins to look into refrigerated landing pads.... ... According to the request: The deployment of the MV-22 Osprey has resulted in ship flight deck buckling that has been attributed to the excessive heat impact from engine exhaust plumes. Navy studies have indicated that repeated deck buckling will likely cause deck failure before planned ship life. With the upcoming deployment of the F-35B Short Take Off and Vertical Landing (STOVL) Joint Strike Fighter (JSF), it is anticipated that the engine exhaust plumes may have a more severe thermo-mechanical impact on the non-skid surface and flight deck structure of ships. Currently, there are no available strategies to mitigate deck buckling and thermal-mechanical deck failure other than heavy structural modifications. The jarheads* will want to operate their new machines from their existing helicopter-carrier amphibious assault vessels, which can't practically be torn apart and refitted with massively reinforced upper decks as this would be likely to make them capsize. Similarly it would be extremely difficult to refrigerate the whole deck from beneath. Hence the Marines would like someone to invent "a system that can be installed on top of the existing decks", capable of resisting the hot breath of the F-35B and less than one inch thick. It should also, of course, be tough enough not to suffer any damage from the aircraft landing on it. This miracle fridge-sheet assembly should be covered with "thermally stable non-skid" finish - this latter perhaps incorporating "amorphous metal coatings". For help in the project, the Marines have of course turned to DARPA - really the only people to call when the exhaust of your super-advanced hovership requires a refrigerated landing pad, we'd suggest. http://www.theregister.co.uk/2009/11/17/darpa_chilled_landing_pads_for_osprey_f_35b/
  20. alexandreVBCI

    V-22 Osprey

    Le MV-22 "brule" les ponts... et le F35B ? It's now official. The new generation of high-tech hovering aircraft - namely the famous V-22 "Osprey" tiltrotor and the upcoming F-35B supersonic stealth jump-jet - have an unforeseen flaw. Their exhaust downwash is so hot as to melt the flight decks of US warships, leading Pentagon boffins to look into refrigerated landing pads.... ... According to the request: The deployment of the MV-22 Osprey has resulted in ship flight deck buckling that has been attributed to the excessive heat impact from engine exhaust plumes. Navy studies have indicated that repeated deck buckling will likely cause deck failure before planned ship life. With the upcoming deployment of the F-35B Short Take Off and Vertical Landing (STOVL) Joint Strike Fighter (JSF), it is anticipated that the engine exhaust plumes may have a more severe thermo-mechanical impact on the non-skid surface and flight deck structure of ships. Currently, there are no available strategies to mitigate deck buckling and thermal-mechanical deck failure other than heavy structural modifications. The jarheads* will want to operate their new machines from their existing helicopter-carrier amphibious assault vessels, which can't practically be torn apart and refitted with massively reinforced upper decks as this would be likely to make them capsize. Similarly it would be extremely difficult to refrigerate the whole deck from beneath. Hence the Marines would like someone to invent "a system that can be installed on top of the existing decks", capable of resisting the hot breath of the F-35B and less than one inch thick. It should also, of course, be tough enough not to suffer any damage from the aircraft landing on it. This miracle fridge-sheet assembly should be covered with "thermally stable non-skid" finish - this latter perhaps incorporating "amorphous metal coatings". For help in the project, the Marines have of course turned to DARPA - really the only people to call when the exhaust of your super-advanced hovership requires a refrigerated landing pad, we'd suggest. http://www.theregister.co.uk/2009/11/17/darpa_chilled_landing_pads_for_osprey_f_35b/
  21. Le plus haut responsable religieux d'Arabie saoudite a accusé lundi l'Iran de soutenir la rébellion chiite au Yémen, qui a provoqué l'intervention de Riyadh chez son voisin du sud. Le Yémen et l'Arabie saoudite accusent le régime de Téhéran de financer et d'envoyer des armes au mouvement rebelle en lutte contre les autorités de Sanaa, affrontement qui a redoublé d'intensité depuis août. Au début du mois, l'aviation et l'artillerie saoudienne sont intervenues après l'attaque d'une patrouille saoudienne par les rebelles yéménites. Sheik Abdul-Aziz Al Sheikh a qualifié de "péché et agression" la collaboration présumée entre l'Iran et les rebelles yéménites, selon le quotiden "Al-Watan", et estimé que le royaume wahhabite avait le droit de se défendre. Il a exhorté la rébellion yéménite à "se repentir". Ces affrontements laissent craindre l'émergence d'un nouveau conflit impliquant, par factions rivales interposées, l'Iran chiite et son rival sunnite l'Arabie saoudite. AP
  22. Half of army armoured vehicles out of action : More than half of Britain's armoured fighting vehicles used in Afghanistan are "unfit for purpose," raising fresh concerns over the protection of UK forces. New MoD statistics reveal that more than 1,000 life-saving armoured infantry carriers are out of action owing to maintenance problems, roadside bombs and broken axles. The figures, which reveal that 1,049 out of a total of 2,027 of the five armoured vehicles most frequently deployed to Afghanistan are idle, follows complaints from senior officers of a shortage of the right vehicles in the theatre of operations. They reveal that just 203 of the army's total of 653 Snatch 2 variants are fit to use. Less than half the Mastiffs, hailed by troops as one of the safest vehicles against IEDs, are usable, with just 134 out of 271 working. Only 87 out of 192 Vector carriers are working, while 73 out of 118 of another widely used vehicle, the mine-resistant Ridgback, are usable. Even the heavily protected Warrior carrier – described by the MoD as the "backbone of the British army's armoured infantry's capability" – has a significant number sidelined, with 552 out of a total of 793 serviceable. (The Guardian) Plus de la moitié des véhicules blindés britanniques en Afghanistan sont hors service. Quelqu'un à des chiffres sur le matériel français et sur ce que ça va nous couter ?
  23. On a quand même un problème : soit on n'a rien, soit on a un Javelin top moumoute plus cher que le T72 qu'il est sensé faire péter mais qu'on va utiliser pour pulvériser des sacs de sable ou ruiner une toyota ! Il ne nous manque pas un lance roquette bas de gamme comme un RPG bunker-killer ? un truc polyvalent à munitions diverses y compris thermobariques ? MBDA ne fabrique que du luxe genre missile plaqué or-diamant ?
  24. C'est vrai que ce HS N°3 est un peu court, j'aurais aimé plus de détails sur les opérations, plus de photos, plus d'explications sur le matériel ou l'armement... En plus concernant l'AMX 10RC, Debay indique qu'il sera remplacé par un VBCI canon (105mm ?) ce qui est plus une hypothèse gratuite (ce que je regrette car j'y suis à 100% favorable) qu'une information. J'espères que le prochain HS sera sur les FA (2ième partie). Sinon comme idée de HS : les opérations en Afrique (Tchad, Côte d'ivoire, etc..) de Kolwezi à aujourd'hui, les blindés de l'ADT (du PVP au VBCI en passant par l'ARAVIS) ou un gros dossier historique et matériel sur le train (par exemple).
  25. Une vidéo exclusive (filmée par les talibans) de l'attaque en juillet 2008 d'un poste avancé de l'armée américaine (9 morts US) : http://abcnews.go.com/WN/Afghanistan/exclusive-video-shows-taliban-attack-killed-us-soldiers/story?id=9068156 On peut constater qu'un poste avancé faiblement gardé est un vrai piège pour les défenseurs et que les talibans sont très bien équipés.
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