Le problème des FdO étant que leurs contraintes tactiques ont une pondération juridique que ne connaissent pas les armées.
Ainsi quand il s'agit de choisir le type de sélecteur de tir, les policiers ne voudront pas d'un mode rafale par trois car c'est juridiquement incorrect. Ils veulent plus que du coups par coups car en face, il y a des méchants. Donc ils choisissent des rafales de deux alors que cela ne sert à rien.
La longueur du canon est trop déterminée par des considérations balistiques théoriques. La partie "vie avec l'arme" est absente. En véhicule, c'est une horreur. Pourtant, c'est en véhicule que les utilisateurs travaillent.
Enfin, le programme d'instruction sur l'arme réserve trop de temps à du verbiage et n'aborde pas certaines réactions en cas de mal-fonction de l'arme.
L'avantage est que l'essentiel est présent vis à vis des juges.