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Tout ce qui a été posté par Serge
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C'est bien Panhard qui a racheté Auverland. Le PVP est un designe Auverland. Attention, ce sujet est un déterrage. Seul Philippe pouvait s'en souvenir.
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Je rejoins cet avis. J'aime beaucoup la forme du châssis. En revanche, à cette heure il serait intéressant d'avoir des vidéo du Sphinx en franchissement. Et pourquoi pas avec une tourelle russe...
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Ce qui me fait marrer depuis quelques pages ici, c'est que les infos sur la campagnes de Romney sont raillées comme si en France nous ne faisions pas la même chose. Comme si l'élection de l'un ou de l'autre n'apporterait pas "1000ans de malheur". Quand vous reprocher à des patrons de dire que de nouvelles taxes provoqueront des licenciements dans l'entreprise, où est le problème fondamentalement? C'est la réalité. Toute imposition nouvelle sur une société contracte les capacités d'emploi. Après, ce qui gêne, c'est que ces patrons sont républicains (ouuuuuuuu, les vilains.....) et qu'ils parlent ouvertement et vertement pour certains. Mais en France, les hausses d'imposition auront-elles un impact différent? Pour la légèreté des déclarations du ticket républicain, là aussi, est-ce propre aux EUA? La grande différence est qu'il y a du fact cheacking là bas. Voulez-vous que l'on sorte les perles du président actuel? Et de ses ministres? Enfin, pour les dépenses militaires, je renvoie aux années de postes ici où nous déplorons les chutes capacitaires sans pour autant pousser des "hourras" en se disant "ça va améliorer les soins des américains, des français...." Il serait bon de neutraliser l'emotif et surtout de replacer toute cette campagne dans l'histoire de la pensée politique américaine qui n'est absolument pas la notre. Dire que les Démocrates sont de gauche, c'est amusant. Car c'est la gauche américaine et donc la droite en France. Et l'espoir Obama, c'est sympathique mais sur quel argument là aussi hormis qu'il soit noir? Qu'a-t-il fait? En économie, il est responsable du laisser faire de la FED (même si celle-ci est autonome). Les sub-prime sont relancés. On prepare donc le prochaine effondrement. Les grandes banques agissent en toute impunité avec des produits hautement toxiques. L'Amérique du sud se prend une pression spéculative qui paupérise les basse couches de la société avec la hausse des matières premières. Sa diplomatie ne resoud rien en Israël, en Iran. Il fout la merde au moyen-orient en armant tous les fondamentalistes (Lybie, Syrie...). Vis à vis des grandes monarchies du golf, il n'a rien changé de Bush. En Europe, il fait de l'entrisme et nous déstabilise copieusement dans nos affaires intérieurs.
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L'économie étant mondialisée (et c'est irréversible à moins d'un effondrement civilisationnel), chacun comprend que toute décision interne à un pays, toute mutation réglementaire à des effets qu'il faut pondérer de ce que font les puissances qui nous sont comparable. Aussi, voici un comparatif de systèmes fiscaux entre plusieurs pays: http://h16free.com/2012/10/16/18062-le-parcours-du-combattant-fiscal-francais Et que l'on ne me dise pas que c'est de la mauvaise foi de l'auteur, ce n'est pas suffisant.
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Là, une fois de plus, c'est du grand n'importe quoi. Tu ne comprends même pas ce que tu lis et tu fais de copieuses citations de courbes, d'analystes pour défendre l'indéfendable... Faire un QE a des conséquences à la différence de ton histoire de rehydratation. Cela fait exploser le coût des matières premières, cela renchéri les cours immobiliers. Toutes l'Amérique du sud est en tension â cause de cela. Tu iras expliquer cela a ceux qui n'arrivent plus à se nourrir grâce à B&D. L'explosion de la masse monétaire n'a rien de conjoncturelle. Il faudra expliquer comment tu feras pour neutraliser le trop plein. À l'évidence, il y a des choses que tu ne comprends pas trop. Dont celle que toute décision économique a des conséquences. Comment sont financés ces investissements? Les acheteurs sont solvables? Si ce n'est pas le cas les conséquences seront encore une fois mécanique.
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Comme tu aimes les métaphores médicales, en voici une: le coups de chaleur. Les experts donneront plus d'explications sur ses causes et conséquences métaboliques mais qu'est-ce? C'est une surchauffe généralisée du corps lors d'un exercice physique soutenu en cas de forte chaleur. La chaleur générée par l'activité physique se combine à celle de l'environnement et l'organisme n'arrive plus à évacuer le trop plein. Cette incapacité soutenue à la régulation thermique est mortelle. Quels sont les symptômes (c'est là où c'est intéressant)?: Un gars qui fait un coups de chaleur se sent mal au debut. Il a de plus en plus de difficuté à poursuivre son effort physique. C'est une grosse fatigue accompagnée de malaise, envie de vomir. En footing, l'homme quitte le groupe car n'arrive plus à suivre. Mais il y a quelque chose qui se passe et qui fait la différence (c'est le symptôme le plus inquiétant). À un moment, la victime ne ressent plus de fatigue, de douleurs. Il a l'impression que courrir est enfin plus facile. On le voit se relancer, accélérer. Cela ne signifie en rien qu'il va mieux. Bien au contraire. Il est déjà trop tard car les signaux de fatigue sont neutralisés. On a même une phase de délire (d'où l'expression "T'as un coups de chaleur ou quoi?" à une personne qui vous chauffe.). À ce moment, le coups de chaleur a déjà eu lieu et la victime va s'effondrer et mourrir si sa température corporelle ne chute pas immédiatement. Aussi, pour l'heure, il vaut mieux être prudent pour parler de victoire, de tous va mieux car "aller mieux" peut être le chant du signe. La chute des taux est liée à un arbitrage des agents économiques (Comme sur tout marché). Sauf qu'il faut savoir pourquoi il y a cet arbitrage. Voilà ce qui compte. Si la chute des taux n'est pas liée à une amélioration des fondamentaux des économies (ce qui est le cas) alors il y a une distorsion quelque part (ici, un trop plein de liquidité qu'il faut placer.). Or, toute distorsion est suivi d'une correction. Quel sera la correction? Second point: la chute des taux n'est pas suffisante. Il faut quantitativement que le taux passe au dessous du taux de progression du PIB et de façon durable. Or, ce n'est pas le cas. Donc, comme le remboursement des dettes sera toujours supérieur à la création du PIB, celui-ci diminue mécaniquement. Le résultat est simple: l'économie plonge car une part toujours plus grande de la richesse quitte le pays. Pour changer cela, il faut casser cette logique. Comme pour le coureur, dès qu'un signe de faiblesse apparaît, il faut l'arrêter sous peine de le mettre en danger. On se prend un coups pour l'amour propre mais il fait savoir ce que l'on veut. Vivre ou mourir. Alors, comme je l'ecrivais un peu plus haut: une économie ne peut se détruire totalement. Même délabrée, il y a quelque chose. Le problème est que les décisions de B&D non seulement faussent les arbitrages des marchés (youpi, les taux baissent) mais elles provoquent un étouffement de très longue période des économies concernées. Donc que faut-il faire? Laisser la correction des distorsions financiaires se faire ou continuer les méthodes "non conventionnelles"? Moi, j'ai fais mon choix. Quand la masse monétaire crée va se libérer, on va rire (enfin, pas tout le monde).
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Ça tombe bien que tu reprennes une fois de plus ton exemple car il n'est pas bon et ce sur deux points: 1- Face à un accidenté aux urgences, l'ensemble des techniques médicales employées n'ont aucun effet sur des troubles non liées à l'accident. Ces troubles en revanche peuvent compliquer l'intervention mais rien de plus. Donc, en effet, les médecins qui ont obligation de moyens et non de résultats agissent quelque soit les maladies du blessé. M. Delamarche ne prend jamais cet exemple d'ailleurs. Lui parle d'une voiture à 300km/h à 10m d'un mur. Cela n'a donc rien à voir. En économie, toute action à des répercutions, qu'elles soient positives ou non. Donc quel est l'effet des mesures d'urgence du binôme B&D? 2- L'action en accidentologie se fait sur des individus. Ce qui signifie que nous sommes face à une structure qui va mourrir. C'est ainsi. L'économie conceptuellement ne peut mourir. Ce qui signifie une chose simple: si une intervention apporte sur le court terme du bien mais a des conséquences néfastes au long terme, que faut-il faire? La réponse, on l'a dans les intervention de M. Delamarche et d'autres qui annoncent la couleur. Les taux baissent? Très bien mais pour combien de temps? L'Euro remonte (comme s'en félicitaient un polémiste ce soir sur RTL)? Super. Mais pour quelles conséquences? Les promoteurs d'un QE-3 commencent à dire que les voyants passent au vert. Alors pourquoi lancer un QE-3? Comme le dit Delamarche, on nous prend pour des cons. Surtout que ce qui est amusant, c'est qu'il annonce que les organismes pretteurs américains refont des sub-primes non plus pour l'immobilier mais pour l'automobile. Amusant non? Déjà la crise de 2008 n'est en rien liquidée mais en plus on en refabrique une. Bravo.
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M. Delamarche ment plus, moins ou autant que M. Draghi (un bon étalon dans ce domaine)? Au fait, ses explications sont bidons? C'est étranges car on trouve de plus en plus de mise en doute de la pertinence des méthodes non-conventionnelles. Même chez les banquiers pour qui tout va bien. D'ailleurs F. Hollande vient d'annoncer que l'on est sauvé. Ça y est. Il est bel et bien dans les pas de son predecesseur.
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Es-tu sûr de la cohérence de tes exemples au regard de ta thèse mais aussi aussi et surtout entre eux?
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Pour continuer (de mon côté) à bien insister sur le sens exacte des mots, des concepts: Se réclamer de droite ou s'opposer à un gouvernement de gauche est tout à fait compatible avec l'adhésion à un interventionnisme. Cet exemple est très bon dans ce sens. Sauf que libéralisme et interventionnisme sont antinomiques (même si certains courants libéraux peuvent admettre un interventionnisme mais c'est sur des points spéciaux). Calvet comme la plus part des grands capitaines d'entreprise français et le MEDEF sont interventionnistes. De gros interventionnistes qui profitent copieusement de l'argent du contribuable. Être quelque chose ne se prouve pas sur le déclaratif mais sur les actes. Le libéralisme n'est surtout pas un truc de dominant. Bien au contraire comme l'actualité le montre. Les dominants sont des interventionnistes. Ils font du lobbying, sont pour l'Euro pour obtenir des financement à taux bas indus et écraser leurs concurents européens de petite taille. Tout cela n'est en rien du libéralisme mais du "capitalisme de copinage" ou une forme quelconque d'étatisme. Pour donner un exemple, un sondage de moins d'un mois a démontré que l'UMP est coupé en qu'autres courants idéologiques. Parmis ceux-ci, les vrais libéraux sont seulement 18%. Tout le reste sont des interventionnistes. Dans l'océan des géremiades, tout le monde ne dit pas la même chose. Aussi le secteur privé qui pleure, cela peut recouvrir beaucoup beaucoup de choses très différentes. Être propriétaire est une partie seulement de la consommation. Il faudrait comparer notre marché de l'immobilier avec celui d'autres pays qui ont moins de fonctionnaires. La suisse par exemple a peu de propriétaires car il existe une taxe spéciale qui s'applique aux propriétés dès qu'elle est payé. C'est une façon d'imposer un loyer même à un propriétaire. Résultat, cela fait les choux gras de grosses sociétés de location qui n'existent pas ailleurs. Ce système absurde est proposé par le fameux Th Piketty, professeur fiscaliste de gauche qui inspire la présidence Hollande. La diminution de la redistribution signifie également la diminution de l'imposition au sens large. La redistribution n'est pas de l'argent gratuit. Il provient de la fiscalité mais aussi de l'emprunt pour combler les deficites des comptes. De plus n'oublions pas que dire "les entreprises payeront" ne pas de sens. Les consommateurs payent les taxes des entreprises dans leur totalité. Donc ce type de diminution fait baisser les prix des biens et participe à la consommation. Pour qu'un "yaka faukon" ne marche pas, il fait être sûr qu'il ait été testé. Et pas seulement évoqué à l'envolé....
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Tout faux. Cela n'a rien à voir. Mais absolument rien à voir. La comparaison ne s'arrête pas à la cotisation. Elle commence à celle-ci. Un système social, quel qu'il soit, est un mecanisme certain qui cherche à fournir un revenu pour faire face à une période de non activité obligatoire (retraite, maladie, invalidité...). Le but est là et c'est ce but qui doit être considéré. Tout système offrant une garantie de versement est bon dès lors que la somme prévue corresponde à la somme reçue. Le système français est particulier en cela qu'il est obligatoire et redistributif. On peut s'en soustraire mais c'est un parcours du combattant (pas fou le législateur, dès qu'il y a de l'argent en jeu...). Une approche libérale consiste à laisser le choix aux individus. La situation de monopole est donc contestable sur ce point. De plus, qui garanti qu'il est efficace? Personne puisqu'il est obligatoire. Il n'y a aucune concurrence pour démontrer ou invalider son efficacité. Sur l'approche redistributive: celle-ci n'est valide conceptuellement qu'à une condition: le ratio (inactifs+chomeurs+retraités)/travailleurs doit être le plus faible possible. Or, la démographie française et le fort taux de chômage font grimper ce ratio. Et l'effet est explicite: les versements s'effondrent, les cotisations augmentent inexorablement pour que les comptes restent à l'équilibre jusqu'à asphyxier l'économie. Pour retarder les effets du déséquilibre démographique, il faut recourir à l'emprunt. Sur un exercice annuel, c'est gerrable. Mais très vite, c'est du suicide collectif. C'est ce que nous vivons actuellement. Selon les calculs, notre système explosera entre 2016 et 2020. L'épargne individuelle est la constitution progressive sur toute la vie active d'une retraite. Une fois en retraite, on reçoit sous une forme ou une autre cette épargne (dont on reste propriétaire. On en est pas dessaisie au moment du versement de la cotisation). Sa valeur ne dépend en aucune façon de la démographie. Elle en est autonome. L'inconvénient est que cette épargne peut être perdue en cas de faillite de l'organisme assuranciel contracté. Mais ce cas se produit-il vraiment? Il y a des mécanismes de sauvegarde mais il y a aussi des mécanismes prudentiels. En effet, une structure qui garde l'épargne des individus, va-t-elle se lancer dans des marchés à haut risque? Sûrement pas. Ses clients sanctionneraient immédiatement cette politique. Enfin, s'il y a écroulement d'un organisme, cela ne provoque pas la chute de tous les versements ce qui est le cas en France régulièrement. Donc écrire que c'est la même chose parcequ'il y a versement identique est un non-sens. En plus de ce que je viens d'ecrire, il faut se poser la vrai question des coûts. En l'absence de concurrence, qui peut me garantir que la Sécu est réellement moins coûteuse qu'une autre offre? Qui? Sur plusieurs siècles aussi, non. Pourquoi pas. L'allemagne a fait sa bascule en une mandature Schroeder et la Suède en 7 ans en comptant le temps de négociation avec toutes les parties. En lançant de telles phrases, en effet, on dissuade les individus de réfléchir. "Vous vous en rendez-compte! Il faut des décennies pour changer ce système que tout le monde nous envie. Auquel tous les français sont attachés...." Voilà comment on étouffe la réflexion. Lorsque nous aurons mis fin au principe de répartition, alors il n'y aura plus de logique de "passager clandestin" donc plus ce genre de lutte. Comme tu l'ecris bien. L'absence de réforme ne vient surtout pas de la soi-disante efficacité de notre système mais que ce sont des lobbys qui le verrouillent. Rien de plus.
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Annonce de l'abandon du programme d'automoteurs australien en faveur du tracté léger de 155mm M-777 A2. Cela s'inscrit dans le cadre du programme LAND-17: Un lien du DOD australien: http://www.minister.defence.gov.au/2012/10/16/minister-for-defence-and-minister-for-defence-materiel-joint-media-release-19-new-howitzer-guns-for-the-army/
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Voici une présentation du programme américain d'intriduction par remplacement des Stryker à fond de caisse plat par ceux à caisse en double-V: http://www.asdnews.com/mobile/news/45544/Army_Completes_First_Pilot_Stryker_Exchange_Vehicle.htm
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Ouf. Je suis rassuré. Donc, si j'ai bien compris le raisonnement: le GIGN s'entraîne pour éviter les coupes. Mais, au fait, que dirait-on d'un thème de prise d'otages où les terroristes seraient des islamistes français? Il fait justifier ses budgets, n'est-ce pas. ;)
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Présentation de Stabilo Due 2012 sur BFM radio: http://www.youtube.com/watch?v=mA2_UaEnN3A&feature=youtube_gdata_player
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Guerre civile en Syrie
Serge a répondu à un(e) sujet de maminowski dans Politique etrangère / Relations internationales
Veuillez me trouver desolé, il y a quelques minutes je pensais poster le lien d'un article sur le décorticage d'un reportage où le journaliste se fait bidonner. En fait, je me suis trompé. Voici le lien: http://www.lesobservateurs.ch/medias/probleme-de-credibilite-a-la-rts -
On ne trouve pas beaucoup de textes diversifiés sur Stabilo Due. Un autre commentaire sur un blog suisse: http://chevallier.biz/2012/10/thomas-jordan-pire-que-le-mariole/
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Bas de la page 3: http://www.20min.ch/printpdf/GE_20121008.pdf
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Et pendant ce temps, que font les suisses? http://www.lw.admin.ch/internet/luftwaffe/fr/home/aktuell/news/news_single.45918.nsb.html http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-la-suisse-se-prepare-a-d-importants-soulevements-en-europe.aspx?article=4084057682G10020&redirect=false&contributor=Mac+Slavo. Un commentaire du Point sur le prix Nobel accordé à l'UE: Tient, tient, tient... Cela me rappelle quelque chose. http://www.lepoint.fr/reactions/monde/commentaires-sur-le-nobel-de-la-paix-a-l-ue-12-10-2012-1516154_24
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Ça c'est intéressant. État providence: parcequ'il impose la contraction d'une assurance par tous (comme pour Bismarck...) ou cette assurance est-elle monopolistique comme la Sécurité Social telle que nous la connaissons? Le premier cas reste dans le libéralisme (pas dans toutes ses formes ceci-dit), le second est de l'étatisme en cela que tu n'as aucun choix dans ta négociation.
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Pour une bonne introduction, c'est assez étrange. En effet,: - on apprend que ce concept est défendu par une palette de courants dont les libertariens. Bizarre, bizarre car au même moment ils s'opposent sur ce genre de concept redistributifs. La totalité des mécanismes de financement sont des procédés dénoncés par ces libéraux là. Il n'y a aucune source faisant en fait le lien. J'imagine un Ron Paul face à un tel truc. - une grande partie des promoteurs de ce concept sont des philosophes, des sociologues, surtout pas des économistes. - le financement est ou un impôt ou une planche à billet. - les bénéfices financiers ne sont pas expliqués dans le cas de l'Allemagne. Pourquoi? En quoi avec 20% d'économie on a un service meilleur? Il y a un problème. Je n'ai pas l'impression qu'ils remplacent le même service en fait. Comment à coût de service constant, les bénéficiaires peuvent acheter autant de service avec moins d'allocation distribuée. - les tests sont très limités et ne valident pas la pertinence systémique du concept. Ainsi on mesure les bien-faits de la distribution de revenu mais on ne voit pas d'où vient l'argent. On ne vérifie donc pas la soutenabilité donc la perennité au long terme. - on place de l'aide au développement (Namibie) dans ce système. C'est tendancieux. En résumé, il n'y a pas d'exemples concrets de la pertinence de ce concept tellement il reste théorique et contesté.
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Non, non. Il n'a pas changé. Il est bien avec un ton "pierreux".
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Oui en effet, quand je pense à plusieurs choses à la fois, j'écris des lapsus. Pour le Tibet, t'as l'air de bien connaître. Et au fait: les arguments??? Où sont-ils? Et je repose toujours ma question à ceux qui veulent une allocation universelle, même pour ceux qui travaillent d'ailleurs: qui paye? D'où vient cet argent gratuit.
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La revue de press de JJ. Netter pour "Atlantico: http://www.atlantico.fr/decryptage/combat-entre-talibans-austerite-et-economistes-keynesiens-se-poursuit-jean-jacques-netter-506785.html
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Il n'y a jamais eu de bande noire sur le Daguet.