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Scarabé

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Tout ce qui a été posté par Scarabé

  1. Scarabé

    Les portes-avions géants

    Le USS George H.W. Bush en dry-docks pendant 28 mois. The US Navy’s Nimitz-class aircraft carrier USS George H.W. Bush (CVN 77) has arrived at Norfolk Naval Shipyard (NNSY) where it will spend the next 28 months, undergoing planned maintenance. The 103,000 ton, 1,092-foot aircraft carrier completed the dry docking procedure on February 21. The dry-docking planned incremental availability (DPIA), as the maintenance is referred to, marks the first time George H.W. Bush has not been waterborne since 2006. Requiring an estimated 1.3 million man-days, it will be the most extensive maintenance period for the ship yet and one of the most complex CVN chief of naval operations availabilities in recent NNSY history. The shipyard workforce will be providing approximately 775,000 man-days, with ship’s force, alteration installation teams and contractor work comprising the rest. George H.W. Bush Project Superintendent Jeff Burchett worked to incorporate corporate lessons learned after visiting Puget Sound Naval Shipyard to see USS Nimitz (CVN 68) undergo similar work during its availability. “There are a lot of first-time jobs all around, given this is the first time Bush has sat on keel blocks since being built,” said Burchett. “With the size of this work package, it will take a total team effort by Norfolk Naval Shipyard.” As the first carrier docking at NNSY in several years, George H.W. Bush will be on blocks for the majority of its availability. Naval Facilities Engineering Command (NAVFAC) helped get the dry dock ready for NNSY, with recent dock flooding and saltwater system upgrades to accommodate the ship. Ils ont 4 CVN en IPER sur 10 Et sur les 6 autres qui reste 3 seulement sont en opex les autres sont au port base ou en transit comme le john S. Stennis qui était à Marseille et qui rentre à Norfolk heureusement qu'il prolonge le Lincoln qui doit lui aussi passer en IPER
  2. Le 501e RCC est stationné à Mourmelon-le-Grand. Le 501e RCC est composé de près de 800 militaires, dont une quarantaine d’officiers, près de 200 sous-officiers et environ 550 militaires du rang répartis en 3 escadrons de chars LECLERC (la 1re CIE de chars, la 2e CIE, le 3e ESC), 2 escadrons de reconnaissance et d’intervention (le 4e et 5e ESC), 1 escadron de commandement et de logistique (la Compagnie Hors Rang), 1 escadron de réserve (le 6e escadron) Matériel Participant depuis plus de 40 ans à toutes les expérimentations de matériels blindés nouveaux, le régiment est doté d’un matériel des plus modernes : le char Leclerc. Il dispose également de dépanneurs de chars Leclerc (DCL), de véhicules blindés à roues (VBL), de véhicules de transport, et de deux PPLOG. Il récemment été équipé de véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI) de dernière technologie dans leur version poste de commandement (VPC). A l’été 2018, le 501 a également été équipé de HK416 ainsi que de MASSTECH. VBCI PC NG Scorpion en expérimentation au 501 RCC
  3. Le PHA Tonnerre la FLF la Fayette et le BSAM Seine au départ de Rio après 5 jours d'escale Prochaine escale Fort de France ou ces 3 navires seront rejoint par un PAG un FS le BSAOM Dumont d'Urville un TCD et un Patrouilleur Hollandais pour un grand exercice AEM Puis le Mexique et Charleston pour un exercice Amphibie avec les US Marines
  4. Sauf que ça ne marche pas dans la marine en raison des nombreuses spécialités
  5. Juste un petit rappel: Le double équipage permet d'améliorer la disponibilité du bâtiment afin d'effectuer un maximum de jour de mer dans l'année sans que cela se ressente trop au niveau de l'équipage. La Marine connaît aujourd'hui son défi majeur avec le personnel et c'est difficile de recruter, mais il est encore plus difficile de fidéliser. Au cours des dernières années le taux de volontariat à l'embarquement a sérieusement baissé (En cause je pense un seule équipage par navire avec pas mal d'opex ) L'EMM a donc réfléchi à différentes solutions. Le passage d'un plus grand nombre de bâtiments à deux équipages (BSAM, BSAOM, PSP, FREMM) a été retenu compte tenu des retours positifs des équipages de bâtiments (Dupy de Lome Beautemps Beaupré SNA SNLE etc..) bénéficiant déjà de ces 2 équipages. Les équipages A et B se relayant tous les 4 mois. L' équipage en charge est sur le navire. L'équipage à terre, dit équipage en préparation, est logé dans les bâtiments de la base naval. (A Brest, un nouveau bâtiment est en construction sur l'ancien stade de foot. A Toulon les travaux infra sont pratiquement terminé). Durant la période à terre, l'équipage prend ses permissions (elles sont données au compte-goutte durant la période "en charge"), suit des stages ou des formations, fait de l'entrainement (notamment sur simulateur). Avant quand on avait un malade on pouvait piocher dans l'équipage à terre maintenant c'est interdit afin de respecter le cycle des 2 PO Permission Préparation Opération. Il faut donc faire une demande à la RH pour une mise pour emploi. La RH peut vous envoyer des gars pas encore bien formé mais qui prendront de l’expérience lors de leur remplacement. Il faut aussi faire la demande à la RH pour les embarquement en renfort avant départ en O. Un exemple le BSAM reçoit un ordre de départ en mission de 3 mois en assistance corymbe le Pacha va demander à son Bidel une demande de renfort d'un groupe de 6 Fusiliers qu il transmettra au GFM Med qui lui piochera dans ses RH pour fournir le groupe à la date prévu. Le Pacha fera aussi une demande pour avoir un infirmier un chef de quart et un Meca en plus pour cette mission.
  6. Scarabé

    Les Frégates de la Royale

    Pétrolier Ravitailleur
  7. Scarabé

    Les Frégates de la Royale

    dans la bulle de défense des groupes ( Naval Aéronaval Amphibie ou Mines) Les frégates d'escorte (FREMM Horizons FDI ) seront capable de faire du tir collaboratifs via les liaisons de données qui connecte les radars du groupe ( Smart S Smart L Arabel etc.. ) entre eux. Donc oui un PR sera mieux protégé en offrant des solutions de tirs au navire chef de groupe responsable de la défense de l'ensemble du groupe. Par exemple le PR en route vers le CDG pour une mission de ravitaillement à environ 300 km de son point de rendez vous ,détecte aux maximum de la portée de son Smart S, 2 avions inconnu en route vers le GAN et bien immédiatement la FDA pourra dans la seconde suivante détourner sur ce contact les Rafales qui seraient en vol vers un point d’interception vu que la FDA aura elles les moyens de communications nécessaire pour cette action. Au pire si ils sont classés hostiles elle pourra demander à une FREMM entre le PR et le CDG de les allumer.
  8. Scarabé

    Les Frégates de la Royale

    Tu pense que sur les future BRF ils n'auront pas de circuit d'eau glacée? Vu que le nombre de frigos et de congélateurs à bord sera important ? Et sur les PR de type Durance ils marchent comment les frigos?
  9. Scarabé

    Les Frégates de la Royale

    Si justement les PR font des aller retour entre le GAN et la côte pour aller refaire le plein.
  10. Scarabé

    Les Frégates de la Royale

    Justement dans un conflit asymétrique avec des drones kamikazes et autres menace un BRF avec un smart S et des 40mm pourra quand même se protéger efficacement. Et puis bon les Smart S on les à payer alors au temps les utiliser sur les BRF . Ce ne sera pas la première ni la dernière fois que l'on monte du matos d'un navire RSA sur un navire neuf. Je te rappel que nos BRF feront 194 mètres de long et 27 mètres de large et ils auront un déplacement de 31.000 tonnes en charge, liquides (carburant, eau douce), 220 tonnes de munitions, 15 tonnes d’huile lubrifiante, 30 000 rations alimentaires, 20 tonnes de pièces de rechange et 8 conteneurs de 28 tonnes. Et ils seront en mesure d’accueillir deux hélicoptères ainsi qu’un hôpital de rôle 2. les Bâtiment ravitailleur de forces seront mis en oeuvre par un équipage de 130 marins. Doté d’une double coque ils disposeront d’une autonomie de 8.000 nautiques [soit 15.000 km] et d’une vitesse de 20 noeuds. Ils pourront en outre héberger 190 personnes au total.
  11. Scarabé

    Les Frégates de la Royale

    Le kingklip Mk2 c'est pour les FDI integration sur le bull étrave avant. Pour l'installer sur les FLF c'est pas la même histoire et c'est plus simple et moins cher d’intégrer un blue watcher comme sur le S même si j'ai des bonnes sources j'ai mis mon poste au conditionnel . Mais bon le Smart S fait de la veille surface air et puis sur une plateforme neuve le problème du cooling doit être facilement résolue. Je pense aussi à un truc le CDG doit faire son ATM 3 en 2026/27 avec cette fois une refonte complété de ses moyens de détection va savoir si a ce moment la il ne récupère pas le Smart S du CDG pour le mettre sur le PR 4 qui doit être ASA en 2029
  12. Scarabé

    Les Frégates de la Royale

    Tiens à propos du Smart S du Cassards Il est en cours de démontage et d’après les derniers infos les deux radars SMART-S Mk 2 des FAA et le troisième qui est utilisée sur le Site d’Expérimentation des Systèmes de Défense Aérienne (SESDA) seraient maintenant prévu pour être installer sur les Bâtiment ravitailleurs. Le Smart S irait tout en haut du mat et le scanter de navigation juste en dessous . Les tourelle de 40 mm auraient leur propre conduite de tir Les Smart S des BRF pourront également travailler en reseau via la liaison de données du BRF. Sans oublier que le hangar des BRF sera dimensionné pour embarquer 2 H160 ou un NH90 et un drone Quand au FLF le contrat de modernisation des 2 dernières devrait être notifier après 2022. L'intégration du sonar bleu watcher sur le Surcouf et les essais qui ont suivi ont définitivement valider l’intégration de ce model sur les 5 navires. les Crotales seront tous RSA en 2024 Les Sadral des 3 F ASM et des 2 FAA après modernisation seront intégrées au SENIT des FLF FLF 1 MMV 2021 FLF 2 MMV 2022 FLF 3 MMV 2023 FLF 4 MMV 2024 FLF 5 MMV 2025
  13. Scarabé

    Les portes-avions géants

    Un peu plus Le welcome on board du Captain
  14. Les POM livrés entre 2022 et 2025 https://www.meretmarine.com/fr/content/les-pom-livres-entre-2022-et-2025 En déplacement en début de semaine à La Réunion, ce qui constitue une première pour un chef d’état-major de la marine française depuis de nombreuses années, l’amiral Christophe Prazuck est venu marquer l’importance accrue de ce territoire dans la stratégie maritime tricolore : « Le quart du domaine maritime français est autour de La Réunion, l’équivalent de sept fois la France, depuis La Réunion jusqu’aux Kerguelen. Ces eaux sont riches, ces eaux doivent être protégées et contrôlées parce que ce qui n’est pas contrôlé, ce qui n’est pas surveillé, est pillé et ce qui est pillé est contesté. Par ailleurs on voit bien de nouveaux trafics, d’héroïne, d’êtres humains, et on voit également dans ce qu’on appelle la zone indopacifique un nouveau jeu stratégique avec de nouvelles puissances mondiales et régionales. C’est la raison pour laquelle La Réunion est devenue un point particulièrement important de notre stratégie maritime », a expliqué le CEMM sur l’antenne de LINFO.re (regarder l'interview complète) Après des années budgétairement difficiles, le renouvellement des moyens ultramarins de la flotte française est maintenant bien amorcé. C’est le cas notamment de La Réunion, troisième port de la Marine nationale après Toulon et Brest, où sont arrivés en 2017 le bâtiment de soutien et d’assistance outre-mer (BSAOM, ex-B2M) Champlain, puis le patrouilleur polaire L’Astrolabe. Ils s’ajoutent aux frégates de surveillance Floréal et Nivôse, ainsi qu’au patrouilleur Le Malin. Alors que les deux premières, en service depuis 1992, seront remplacées à l’horizon 2030, deux nouveaux patrouilleurs sont attendus à La Réunion entre 2023 et 2025. Ces bâtiments font partie du programme POM (Patrouilleurs d’Outre-Mer) qui doit être notifié cette année et portera sur la construction de six bâtiments conçus pour les territoires ultramarins. Deux sont donc destinés à La Réunion, les autres étant basés en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française, soit deux unités pour chaque territoire. Livrable en 2022, le premier de cette nouvelle série sera affecté à Nouméa, où la Marine nationale maintient tant bien que mal ses deux ultimes patrouilleurs du type P400, La Glorieuse et de La Moqueuse, qui datent de 1987. L’un de ces bâtiments sera retiré du service en 2020, celui disposant du meilleur potentiel étant prolongé jusqu’en 2022 pour faire la jonction avec le premier POM calédonien. Le programme a légèrement glissé par rapport à ce qui était initialement espéré. Selon l’état-major de la marine, il est maintenant prévu que les POM 2 à 6 seront livrés entre 2023 et 2025, sans qu’il y ait, « à ce stade, d’éléments officiels sur leur répartition géographique ». En clair, on ne sait pas encore exactement qui, de Nouméa, Papeete ou Port des Galets, sera précisément fourni en 2023, 2024 et 2025. Concernant la Polynésie française, en 2018, l’amiral commandant la zone tablait sur 2022 et 2024 pour la réception de ses POM. Ce ne sera donc pas possible pour le premier, qui glissera logiquement en 2023. Ces nouvelles unités succèderont en Polynésie à l’Arago, en poste à Papeete depuis 2011 afin de compenser le désarmement de La Railleuse. Il s'agit également de combler le trou capacitaire laissé par le retrait de La Tapageuse en 2013. L’Arago, qui devait prendre sa retraite en 2022, pourrait être légèrement prolongé dans l’attente de l’arrivée du premier POM polynésien. A La Réunion, les nouveaux patrouilleurs assureront aussi la succession des anciens P400 qui y étaient basés, La Boudeuse (désarmée en 2010) et La Rieuse, vendue au Kenya en 2011. Le départ de ces deux bateaux a été temporairement et partiellement compensé par Le Malin, ancien palangrier datant de 1997 et saisi après avoir été surpris en flagrant délit de pêche illicite dans les eaux des Taaf en 2004. Il avait au terme de la procédure judiciaire été cédé à la marine en 2009 et converti en patrouilleur fin 2011. Il sera désarmé avec l’arrivée des POM réunionnais. Plus grands que leurs aînés et offrant des capacités accrues pour surveiller et protéger les vastes zones économiques exclusives des territoires français d’Outre-mer, les POM seront des bâtiments d’au moins 70 mètres dotés d’artillerie légère (40mm au plus), d’embarcations rapides et d’une plateforme pour la mise en œuvre d’un drone aérien. Armés par environ 35 marins, ils devront pouvoir naviguer jusqu’à 220 jours par an, avec probablement un double équipage se relayant à bord. Plusieurs industriels sont en lice pour remporter ce programme, notamment Ocea avec un patrouilleur hauturier en aluminium de la famille OPV 230 (72 mètres) et Kership, société commune de Piriou et Naval Group avec un modèle dérivé de ses OPV 70 (72.5 mètres) et OPV 75 (77 mètres).
  15. Transport de renfort dans les Dom Tom et en France
  16. Les Dasch servent aussi à la projection et sont utiliser toute l'année par la SC dans le cadre de la Capacité nationale de renfort pour les interventions à bord des navires de la sécurité civile (Capinav), réclamée par le préfet maritime de l’Atlantique, qu’un bombardier d’eau Milan 74 a appareillé ce mardi matin de l’aéroport de Marseille, avec à son bord, une équipe de marins-pompiers. Quand aux Canadair ils ont encore 10ans de vie Et comme Viking a racheté la licence et va lancer le CL415 NEMO on pourra toujours en acheter un dizaine en complément des 8 Dasch Soit en 2030 8 Dasch 10 CL415 nemo et les 3 king air de commandement
  17. De toute façon le problème est réglé ont a commandé des Dasch SIX Q400 SUPPLÉMENTAIRES POUR LA SÉCURITÉ CIVILE La mini polémique sur la disponibilité des appareils de la Sécurité civile cet été en Corse avait abouti à un engagement du ministre de l’Intérieur en faveur de l’achat de six appareils de lutte contre les incendies. Mi-janvier, Gérard Collomb, le ministre de l’Intérieur a acté l’achat par la France à la société Conair de six appareils Q400 produits par Bombardier pour un montant d’environ 400 millions d’euros. Ces appareils sont équipés du dernier système de déversement de produit ignifuge développé par Conair. L’intérêt technique de ce choix est de pouvoir démonter le réservoir de produit et ainsi de rendre à l’appareil sa configuration initiale. Cette dernière permet alors d’effectuer des transports de personnel en toute discrétion (reconduite) voire d’acheminer des équipes et du matériel à l’autre bout du Monde en cas de catastrophe naturelle demandant l’intervention d’équipes de pompiers spécialisés. Ils peuvent également être affectés à de la surveillance ou de la patrouille. Le premier de ces appareils devrait être livré à partir de 2019, ces six avions viendront compléter la flotte de 2 Dash 8 Q400 déjà opérationnels au sein de la Sécurité civile. Le Q400, grand rival de l’ATR, peut être exploité, selon son constructeur, à partir de pistes non préparées, avec des approches à pente prononcées et des atterrissages courts. La puissance de ses moteurs en fait un avion rapide, croisant à près de 700 km/h. L’achat de Canadair a été assez vite abandonné, car la chaîne de fabrication est arrêtée depuis plusieurs années et la relancer aurait demandé des investissements nettement plus lourds. Il y a bien eu une tentative de fédérer des demandes au plan européen pour l’achat de Canadair, mais elle n’a pas abouti. Côté pilote, on est satisfait, car aucun renouvellement de la flotte n’avait été opéré depuis 10 ans, ce au moment où la période estivale 2017 a été particulièrement tendue sur le front des feux de forêt. Ainsi, plus de 19 000 hectares ont été dévastés et l’activité de la flotte a connu une hausse de 120 % en heures de vol et 190 % en termes de largage (10000), ce alors que la disponibilité des appareils connaissait des ratés. Cet été, il a par ailleurs été acté le manque de trois hélicoptères. Ils devraient être logiquement budgétés en 2019 et ce seront, pour des raisons évidentes de gestion, des EC 145.
  18. Le 15 em est le dernier de la LPM 2014 /2019 Dans la LPM 2019/2025 seulement 10 A400M seront livrées 2 en 2020 2 en 2021 2 en 2022 2 en 2023 2 en 2024
  19. Inceendie sur le chantier du BPE Turc Fire breaks out aboard Turkish landing helicopter ship Anadolu in shipyard A fire broke out aboard the Turkish Navy’s future landing helicopter dock (LHD) Anadolu at a shipyard in Tuzla, Istanbul, on April 30. Fire aboard the ship, which is being constructed by shipbuilder Sedef for the Turkish Navy, was contained by shipyard workers and firefighters. No injuries or fatalities were reported in the incident, according to Turkish reports. The cause of the fire is yet to be determined. TCG Anadolu is currently in dry dock and was expected to be launched in 2019. Depending on the extent of the damage sustained in the fire, the launch could potentially be delayed. The contract for the design and transfer of technology agreement for the TCG Anadolu (L-408) was signed between the Turkish Undersecretariat for Defence Industries and Navantia in 2015. While based on the Spanish LHD Juan Carlos I and Australian Canberra-class landing helicopter docks, TCG Anadolu will be registered as a light aircraft carrier by the Turkish Lloyd and is expected to be delivered to the navy in 2021. With a displacement of 28,000 tonnes at full load and a length of 225 meters, the ship will have 6 landing spots on its deck and will carry up to 12 F-35B aircraft and 12 helicopters, depending on configuration. Posted on April 30, 2019 with tags TCG Anadolu,
  20. BARKHANE, Le Groupe d'appui aux opérations spéciale du 25e régiment du génie de l'air le lieutenant Christopher et son équipe ont réalisé la reconnaissance d’une piste d’aviation de circonstance en plein désert, au milieu de l’Afrique sub-saharienne. Mesure de la résistance des sols, planimétrie et autres relevés permettront à l’équipe de valider le terrain pour le déploiement d’avion de transport tactique de l’armée de l’air
  21. Moi je pense que c'est un fake On ne récupère pas un RHIB comme ça surtout avec un blessé à bord. C'est la base de toute manœuvre enseignée dans toutes les écoles de navigation du monde. Un le navire ralentie. Deux il se tourne en travers pour couper la houle et le vent. Trois le RHIB s'approche doucement attrape le bout secondaire pour tirer le bout primaire afin de clapper le RHIB contre la coque et ensuite l’équipage du RHIB peut saisir le crochet d’arrimage l’enclencher afin d'hisser l'embarcation à bord en toute sécurité. Dans cette vidéo rien de tout ça n'est respecté. Moi si je suis l'armateur de ce navire je vois ça. Je vire tout le monde le Captain le second le bosco et le pilote de l'embarcation. C'est pas possible de faire un truc pareil. Même un pilote avec l’échelle contre la coque ne pourrait pas monter à bord dans ses conditions.
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