christophe 38 Posté(e) le 18 septembre 2010 Share Posté(e) le 18 septembre 2010 bof polémique stérile le gars même à terre avait encore un flingue dans la patoune et la levait un gendarme à quelques metres d'un gars qui lève une arme, je vois rien de choquant à ce qu'il tire pour neutraliser l'individu maintenant peut etre qu'un bastos calibre 12 dans la poire c'etait un chouille overkill mais les reflexes etant de tirer pour tuer (et oui on n'est pas à Hollywood ou les flics dans les films s'entrainent à viser les bras, l'entrainement réel lui c'est la masse centrale qu'il vise à toucher) ...... donc on ne me fera pas avaler la théorie du complot voulant qu'on l'ait abattu pour le faire taire reflexe malheureux : peut etre mots dis sous la poussé d'adrenaline/testosterone : surement shoot overkill : possible assassinat voulu : certainement pas salut possible ; mais je n'en suis quand meme pas convaincu ; je ne parle pas de complot, je pense " peut etre raison d'Etat" les auteurs des tirs etaient (quand meme) des gendarmes de qualité (EPIGN).... des gens entrainés, pas des bourrins maintenant, il est possible que tu aies raison... ce qui me fait douter, c'est l'ombre du GIA derriere, et le GIA n'etait pas manipulé ou sous controle par un service etranger ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 18 septembre 2010 Auteur Share Posté(e) le 18 septembre 2010 et que là, j'aurai bien aimé connaitre son implication avec les GIA algeriens (lesquels etaient manipulés par les services du meme pays) Moi aussi, je lui aurai quelques questions. Entre amis. Au fond d'une cave... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 18 septembre 2010 Auteur Share Posté(e) le 18 septembre 2010 possible ; mais je n'en suis quand meme pas convaincu ; je ne parle pas de complot, je pense " peut etre raison d'Etat" les auteurs des tirs etaient (quand meme) des gendarmes de qualité (EPIGN).... des gens entrainés, pas des bourrins Il arrive parfois qu'un groupe génère tout seul ses motivations. Ainsi, je ne serai pas surpris que les hommes qui le traquaient puissent penser "on va lui faire la peau" en gardant en mémoire l'émotion nationnale des attentats. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 18 septembre 2010 Share Posté(e) le 18 septembre 2010 peut etre raison d'Etat c'est ce que j'entendais pas théorie du complot des gendarmes de qualité (EPIGN) oui mais pas habitués à gérer de l'humain comme pourrait l'être le GIGN l'EPIGN c'etait un escadron de combat de la gendarmerie, même pas un escadron de MO, encore moins un escadron anti terroriste (après tout elle a appartenu à la 11e DP un moment) donc la dessus rien n'exclu des reflexes de combat ou comme le dis Serge une envie de faire la peau à un tueur d'innocents réhaussé par la pression de la traque (plusieurs jours) et le fait que l'individu ait été armé m'enfin je vais pas pleurer sur son sort Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 18 septembre 2010 Share Posté(e) le 18 septembre 2010 c'est ce que j'entendais pas théorie du complot oui mais pas habitués à gérer de l'humain comme pourrait l'être le GIGN l'EPIGN c'etait un escadron de combat de la gendarmerie, même pas un escadron de MO, encore moins un escadron anti terroriste (après tout elle a appartenu à la 11e DP un moment) donc la dessus rien n'exclu des reflexes de combat ou comme le dis Serge une envie de faire la peau à un tueur d'innocents réhaussé par la pression de la traque (plusieurs jours) et le fait que l'individu ait été armé m'enfin je vais pas pleurer sur son sort +1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 18 septembre 2010 Share Posté(e) le 18 septembre 2010 Il tente de s'évader donc il reconnait être coupable. Les innocents ne sautent pas par les fenêtres. Innocent ou "coupable en devenir", la peine de mort ne devrait pas etre administrative !!! Les aveux ne sont pas une preuves irréfragable de culpabilité, la fuite non plus. S'il s'évade, il ne réponds pas plus aux questions, en plus il menace la société. Euh ... en général, et dans en fait la plupart des cas l'évasion n'est que temporaire. Le monde est une prison dont on ne s'évade que les pieds devant. Quand a la menace a court terme je suis assez dubitatif, le fuyard ayant d'autre chat a fouetter que de commettre un mefait avec le risque de se faire de suite reprendre. Les délinquants ne sont pas des idiots non plus. Il va bien falloir un moment retrouver un peu de bon sens. Il faut penser aux victimes et ne pas considérer quelqu'un qui commet un crime en public comme innocent au seul prétexte qu'un tribunal n'a pas donner son verdict parce que ce même criminel a tenté d'empêcher la tenue du procès. C'est toi qui ne comprends rien. La justice n'est pas la pour les victime colle toi ca dans le crane une bonne fois! La justice pénal n'est pas le bras vengeur par procuration. La justice est au contraire la pour protéger l'état et remettre le coupable dans le droit chemin. C'est trop facile, il suffit de s'évader pour être innocent faute de procès ? Effectivement tant que tu n'as pas été jugé tu n'es pas coupable, cela s'appele la présomption d'innocence, et c'est un fondement de la justice dans notre république. C'est d'ailleurs comme ca dans tous les pays civilisé. Le doute profite toujours a l'accusé, seuls les coupable garantie par le jury populaire mérite le "chatiment". C'est ton type de réponse G4lly qui permet aux nazis de dire que Hitler est l'homme le plus innocent de la terre, parce qu'il n'a pas été jugé coupable dans un procés où il aurait pu se défendre. Tu mélange la vérité des faits et la justice ... les deux n'ont rien a voir. La justice n'est pas la pour la postérité, elle est la pour établir a un moment donnée si quelqu'un de vivant est dans le cercle ou en dehors du cercle, et le chatiment a pour but version baton de faire rentrer l'individu a nouveau dans le cercle apres avoir "expié". Il faut comprendre les gendarmes et les policiers, comment pourraient-ils continuer à se regarder dans la glace en sachant qu'en ne faisant rien ils seraient complices des crimes futurs du criminel ? Agir est indispensable, il s'agit de défendre des vies humaines, G4lly, c'est pas un jeu ! Le role des gendarme est des policier est de présenter a la justice des prévenus vivant!!! Pas de faire la justice ou quoi que soit d'autre!!! Les deux grosse mission c'est celle ci - faire cesser les troubles a l'ordre public - assurer que les prévenu seront présent VIVANT devant la justice Parce que dans le cas présent, avec la mort du prévenu, les victimes, parties civiles et le ministère public, ont été privés d'un procès ... probablement a tout jamais. C'est une drôle de conscience des victime que cela. A oui pour les états d'âmes des policiers qui a merdé en laissant le gars s'échapper et en arrivant pas a le rattrapé, ça se règle chez le psy, plutôt qu'a coup de puchka. Mais si tu côtoies un peu les FdO tu t'apercevra vite que de laisser filer un délinquant n'est pas très traumatisant, sachant que tôt ou tard, et souvent tôt tu vas remettre la main dessus. C'est rare les criminel arrêté, puis en fuite qui le reste longtemps, la cavale ça coûte cher très cher, et y a toujours quelqu'un pour balancer. D'ailleurs je suis pas sur de la qualité du sommeil du gendarme en question, tuer un homme c'est pas comme au paint ball, chez les gens normaux ça laisse des trace, même si tu te persuade que c'était indispensable et juste. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 20 septembre 2010 Share Posté(e) le 20 septembre 2010 Un petit résumé de la situation du gendarme et du fuyard de Draguignan http://moreas.blog.lemonde.fr/2010/09/20/reflexions-apres-l%e2%80%99acquittement-du-gendarme-de-draguignan/ « Ce qui me paraît malsain, c’est qu’on autorise les gendarmes à faire usage de leurs armes, et qu’ensuite on leur reproche. On met les gendarmes dans des situations impossibles. Si on ne veut plus que les gendarmes fassent usage de leur arme, il faut avoir le courage politique de modifier le cadre légal et d’aligner leur statut sur celui des policiers. » Après ces propos, lors de son réquisitoire devant la Cour d’assises, l’avocat général Philippe Guémas a estimé que le maréchal de logis-chef Christophe Monchal avait agi dans « le cadre légal » et « conformément à ce qu’on lui a enseigné ». Ce qui n’est pas l’avis de son confrère, le procureur Christian Girard, qui estime, lui, que le gendarme ne se trouvait pas dans « la situation d’absolue nécessité d’ouvrir le feu ». Le jury a tranché, mais les interrogations demeurent. En 2009, lors du débat qui a précédé le vote de la loi qui redéfinit le statut de la gendarmerie nationale, les élus se sont penchés sur le « droit exorbitant d’usage des armes des gendarmes par rapport aux policiers » : Fallait-il maintenir cette particularité, la supprimer, ou au contraire l’étendre à l’ensemble des forces de l’ordre ? Finalement, les choses sont restées en l’état. Dans l’utilisation des armes, c’est donc toujours l’article L-2338-3 du Code de la défense qui s’applique aux gendarmes, et le Code pénal aux policiers. Cette prérogative militaire a d’ailleurs été jugée conforme à l’article 2 de la Convention européenne des droits de l’homme, sous réserve, a dit la Cour de cassation, que l’usage de la force soit absolument nécessaire au regard des circonstances. À noter que cet article prévoit plusieurs hypothèses, dont « l’évasion d’une personne régulièrement détenue ». Le problème n’a d’ailleurs pas échappé au député Franck Marlin puisqu’il a posé la question au ministre de l’Intérieur - mais dans l’autre sens – en lui demandant s’il entendait aligner l’emploi des armes dans la police sur celui de la gendarmerie. C’était au mois d’août 2009. La réponse a un peu traîné. Elle date du 13 juillet 2010. Brice Hortefeux rappelle à « l’honorable parlementaire » les cas où les gendarmes peuvent déployer la force armée : 1° Lorsque des violences ou des voies de fait sont exercées contre eux ou lorsqu’ils sont menacés par des individus armés ; 2° Lorsqu’ils ne peuvent défendre autrement le terrain qu’ils occupent, les postes ou les personnes qui leur sont confiés ou, enfin, si la résistance est telle qu’elle ne puisse être vaincue que par la force des armes ; 3° Lorsque les personnes invitées à s’arrêter par des appels répétés de « Halte Gendarmerie » faits à haute voix cherchent à échapper à leur garde ou à leurs investigations et ne peuvent être contraintes de s’arrêter que par l’usage des armes ; 4° Lorsqu’ils ne peuvent immobiliser autrement les véhicules, embarcations ou autres moyens de transport dont les conducteurs n’obtempèrent pas à l’ordre d’arrêt. Il justifie la différence entre les deux corps par les risques que feraient encourir l’usage des armes en zone police, c’est-à-dire en milieu urbain, et également par le statut militaire de la gendarmerie nationale et la nature des missions susceptibles de lui être confiées. Toutefois, il ajoute qu’un décret est à l’étude pour uniformiser les conditions d’emploi des armes dans le cadre des opérations de maintien de l’ordre, mettant au diapason policiers et gendarmes ; et même les forces armées. Qu’entend-on par maintien de l’ordre ? Réprimer une manif ? On n’ose imaginer une troupe hétérogène composée de policiers, de gendarmes et de soldats ouvrant le feu place de la République ! Soyons sérieux. Le jugement de Draguignan pose une autre question : la place de la victime dans un procès d’assises. En effet, la loi du 15 juin 2000 a donné à l’accusé le droit de faire appel d’une décision de condamnation. Puis une nouvelle loi, du 4 mars 2002, a autorisé le procureur général à faire appel d’une décision d’acquittement. En vertu du principe de « l’égalité des armes ». Mais dans un cas comme celui-ci, où l’accusé a agi au nom de la société et où le procureur (qui représente la société) n’a demandé aucune peine contre lui, que peut-il se passer - alors que la victime ne peut faire appel que de ses intérêts civils ? Ce gouvernement se vante de protéger les victimes, mais quid quand la victime est un gitan multirécidiviste ? Décidément, dans ce procès, atypique, on a l’impression qu’il y a rupture d’équilibre. Le gendarme est donc blanchi, mais au plus profond de lui, il doit bien savoir qu’il n’y a aucune gloire à vider la moitié de son chargeur sur un homme qui s’enfuit… Comme il n’y avait aucune gloire pour l’antigang à fusiller Mesrine au volant de sa voiture, et encore moins à se réjouir de sa mort. Même s’il s’agissait de la pire des crapules. Dans ma carrière, j’ai vu parfois des policiers se vanter d’avoir « flingué un truand ». Je me souviens d’une affaire de prise d’otages ou la BRI de Paris et l’Office du banditisme se disputaient la mort de deux braqueurs. Il a fallu attendre l’autopsie pour les départager. Parfois, je me demande comment ils vieillissent, ces flics d’un autre âge… Comment on vieillit. Dans une étude qui date d’une douzaine d’années, le capitaine de police Frédérick Bertaux, auteur d’un mémoire universitaire de criminologie sur le stress et l’usage des armes dans la police, écrit : « Tuer ou blesser quelqu’un est ce qui peut arriver de pire à un policier ». Je dirais que policier ou pas, cela ne change rien. Tuer un homme est la pire des choses, du moins pour un homme normal. Et cela laisse des traces. Même les soldats sont parfois victimes de ce syndrome, comme un flash-back qui revient par intermittence, avec des interrogations sur une décision prise à chaud, en un trait de temps. Et cela, que le tir soit légitime ou pas. Alors, Christophe Monchal pourra-t-il oublier ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 20 septembre 2010 Share Posté(e) le 20 septembre 2010 bien écrit =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 20 septembre 2010 Share Posté(e) le 20 septembre 2010 petite question de la part d'un néophyte sur le sujet et qui pourrait paraître "tordu" voir bête ,mais si on change le "systéme gendarme" pour l'ouverture du feu ,sa se passe comment quand ils seront déployaient en Afghanistan par exemple .vu qu'en haut lieu on ne parle pas d'opération de guerre pour se qui concerne l'Afgha ,sa peut disons être litigieux comme situation ,le déploiement de gendarme ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 21 septembre 2010 Share Posté(e) le 21 septembre 2010 petite question de la part d'un néophyte sur le sujet et qui pourrait paraître "tordu" voir bête ,mais si on change le "systéme gendarme" pour l'ouverture du feu ,sa se passe comment quand ils seront déployaient en Afghanistan par exemple . vu qu'en haut lieu on ne parle pas d'opération de guerre pour se qui concerne l'Afgha ,sa peut disons être litigieux comme situation ,le déploiement de gendarme ... ma question ne semble pas attiré l'enthousiasme :lol: j'ai peut-être dit une connerie :P Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 21 septembre 2010 Share Posté(e) le 21 septembre 2010 ma question ne semble pas attiré l'enthousiasme :lol: j'ai peut-être dit une connerie :P bonsoir, pas forcement une connerie mais les gendarmes qui vont là bas s'exposent aux memes problemes que les militaires (les kakis) ; je pense qu'ils auront les memes regles d'engagement en France, les gendarmes travaillent comme des policiers... pas comme dans un pays en guerre enfin, c'est mon point de vue, expliqué en 3 mots Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 21 septembre 2010 Share Posté(e) le 21 septembre 2010 ma question ne semble pas attiré l'enthousiasme :lol: j'ai peut-être dit une connerie :P C'est surtout que c'est pas simple de différencier les missions de police dans notre société assez civilisé, des missions de mentoring ANP en afghnistan. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 21 septembre 2010 Share Posté(e) le 21 septembre 2010 bonsoir, pas forcement une connerie mais les gendarmes qui vont là bas s'exposent aux memes problemes que les militaires (les kakis) ; je pense qu'ils auront les memes regles d'engagement en France, les gendarmes travaillent comme des policiers... pas comme dans un pays en guerre enfin, c'est mon point de vue, expliqué en 3 mots je connais les kakis ,j'en ai faît parti pendant 15 ans ;) j'ai souvent travaillé en soutien avec les gendarmes en guyane ,sur le fleuve Maroni (orpaillage ,clandestins ,trafic divers ),les gendarmes n'abusaient pas (on s'est prit une fois des coups de pagaies de trafiquant qui n'arrété pas leur pirogue ),on a bien failli finir à la flotte ,mais le gendarme n'a jamais sorti son arme et ne pas pas donné l'ordre de le faire avec mon FAMAS (perso je l'ai eu mauvaise ,pas forcémment d'utiliser mon arme mais au moin de riposté avec une pagaie :lol:, mais on obéi aux ordres ) ,et on a laissé partir la pirogue ,heureusement on avait notre piroguier Guyanais qui connaissaît superbement son job .d'un autre côté ,on avait de grosse consigne ,en se qui concerne le cadre légale d'ouverture du feu (on y réfléchi vite faît quand s'est chaud ),et rien que de les connaîtres ,sa donnait pas envie d'employer son arme au vu des risques encourru au niveau justice . quand j'y repense ,j'en ai passé des heures en plein milieu de la nuit :lol:,accosté sur l'île aux lépreux (la fameuse île du film Papillon avec steve macqueen =D) à surveillé et coincé des clandestins venant du Surinam ,on les ramené directement au Surinam .m'enfin s'etait vidé la mer avec une cuillére à soupe ,on obéit aux ordres =),s'est tout . je défend les gendarmes ,car ayant bossé avec eux ,j'ai jamais eu le sentiment d'être avec des personnes qui sortent leur arme pour n'importe quel prétexte ,même dans des situations tordus comme l'exemple que je cite plus haut (et j'en ai d'autres des anecdotes dans le genre ). en gros il faudrait mettre les gendarmes au même niveau régle "d'engagement "de la police avec une un petit texte en plus stypulant que se type de régle est bien-sûr caduque lors de déploiement en zone de guerre . C'est surtout que c'est pas simple de différencier les missions de police dans notre société assez civilisé, des missions de mentoring ANP en afghnistan. s'est pas faux =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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