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il y a 40 minutes, Dedieu a dit :

Toujours aucune réaction au "décret trumpien" visant à diminuer le coût des médicaments et à la libération d'un otage américano-israélien? Ou alors je l'aurai raté, ne suis pas très assidu du forum ces temps ci. Ou alors c'est comme le document signalé par  greg0ry, publié sur le site de l'armée de terre, concernant la "vague humaine comme unique tactique russe", aucune réaction, stratégie de l’édredon...

Quel est l'objectif de la demande et quel est le sous-entendu derrière exactement ? 

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il y a 11 minutes, clem200 a dit :

Quel est l'objectif de la demande et quel est le sous-entendu derrière exactement ? 

Avez vous traité de ces deux sujets qui me semblent important?

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Je doute que personne ici n'ai eu ces informations, vu comment chaque truc, même microscopique, pouvant bâcher Trump est de suite monté en épingle.

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il y a une heure, Dedieu a dit :

Toujours aucune réaction au "décret trumpien" visant à diminuer le coût des médicaments et à la libération d'un otage américano-israélien? Ou alors je l'aurai raté, ne suis pas très assidu du forum ces temps ci. Ou alors c'est comme le document signalé par  greg0ry, publié sur le site de l'armée de terre, concernant la "vague humaine comme unique tactique russe", aucune réaction, stratégie de l’édredon...

Le fameux décret dont tous les spécialistes se demandent comment il sera appliqué ? Non, pas de réaction parce que si je devais réagir à toutes les rodomontades trumpiennes, je passerais mon temps ici.

il y a 14 minutes, Dedieu a dit :

Je doute que personne ici n'ai eu ces informations, vu comment chaque truc, même microscopique, pouvant bâcher Trump est de suite monté en épingle.

Sinon oui, tu peux aussi publier. C'est moins satisfaisant mais plus utile.

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il y a 9 minutes, Ciders a dit :

dont tous les spécialistes se demandent comment il sera appliqué

Ah les spécialistes, vous devriez renoncer à la démocratie et établir un gouvernement technocratique.

Je ne sais pas comment ça peut être mis en œuvre, mais l'idée me parait saine (et source d'économie).

Et l'otage, il parait qu'il y aurait de l'eau dans le gaz entre Trump et Bibi, mais c'est peut être un jeu de rôle.

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à l’instant, Dedieu a dit :

Ah les spécialistes, vous devriez renoncer à la démocratie et établir un gouvernement technocratique.

Je ne sais pas comment ça peut être mis en œuvre, mais l'idée me parait saine (et source d'économie).

Et l'otage, il parait qu'il y aurait de l'eau dans le gaz entre Trump et Bibi, mais c'est peut être un jeu de rôle.

Le fameux "bon sens" qui va se briser comme nombre de promesses populistes sur le récif de la réalité.

Sinon, se renseigner sur la situation des industries pharmaceutiques américaines et sur la réalité de la manière dont sont fixés les tarifs des médicaments aux Etats-Unis, ce serait bien aussi.

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il y a une heure, Dedieu a dit :

Je doute que personne ici n'ai eu ces informations, vu comment chaque truc, même microscopique, pouvant bâcher Trump est de suite monté en épingle.

Sur ce sujet je n’ai aucun avis, et il a été pas mal éclipsé par l’Inde /pakistan, l’Ukraine et les contrats en Arabie saoudite.

mais si des articles sont partagés ça mettra en lumière le sujet

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il y a 3 minutes, Albatas a dit :

J'étais passé à côté. Je suis curieux de voir si il va parvenir à ces fin et comment. Visiblement selon lui c'est la  faute de l'Europe!

Il a déjà essayé la dernière fois, ça n'a rien donné ...

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Il y a 12 heures, Albatas a dit :

J'étais passé à côté. Je suis curieux de voir si il va parvenir à ces fin et comment. Visiblement selon lui c'est la  faute de l'Europe!

En général c'est assez simple... On fixe un prix national négocié entre le ministère de la santé ou une émanations du payeur dans un système paritaire - CPAM par exemple en accord avec les autorités de santé concernant le service rendu - et le fournisseur.

A partir du moment où tu as un acheteur unique de médicaments prescrits pour 350 000 de citoyens pas pauvres tu peux largement négocier.

C'est exactement comme cela que ça se passe en France. En gros la CPAM est l'acheteur en gros pour tous les résidents - techniquement tous les clients en France - ... Et donc achete en gros pour 70 000 millions de personnes.

Ça donne un peu de poids dans la négociation avec les fournisseurs.

Le petit souci c'est les terme du contrat notamment concernant les volumes a prix négociés.

En cas de pénurie ou juste d'approvisionnement tendu. Le fournisseur oriente son stock sur les marchés les plus rémunérateurs. Et les marchés ayant négociés au plus "juste" se retrouve en pénurie. C'est une situation de plus en plus courante.

Derrière cette situation c'est le prix de notre santé... En gros les revenus des acteurs de santé dans ce système négocié en très très gros on de plus en plus de mal a marger... Et donc migre vers les systèmes meme agressif. Et comme dans un monde très largement globalisé ont a aucun moyen de les attirer/retenir... On se retrouve a force de gratter dans un système dégradé durablement.

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il y a 4 minutes, Paschi a dit :

Et évidemment, ils n'ont qu'une attaque personnelle à envoyer en retour.

Je me demande quelles têtes ils vont essayer de sacrifier pour sauver leurs fesses.

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https://www.lemonde.fr/international/article/2025/05/19/joe-biden-revele-qu-il-est-atteint-d-un-cancer-de-la-prostate-en-pleine-relance-du-debat-sur-son-etat-de-sante-a-la-maison-blanche_6606980_3210.html

Tandis que l’administration Trump et ses relais conservateurs prétendent depuis des années que la dissimulation de sa condition réelle a relevé d’une conspiration, avec la complicité des médias classiques, un livre enquête relance cette accusation. Rédigé par le présentateur de la chaîne CNN Jack Tapper et Alex Thompson, un journaliste du site Axios, Original Sin (« Péché originel ») revient sur la façon dont l’entourage de Joe Biden n’a pas tenté de le dissuader de se représenter, en 2023, puis l’a placé dans un cocon protecteur.

Ce même soir, vendredi, un extrait audio de l’audition de Joe Biden menée en 2023 par le procureur spécial Robert Hur, révélé par Axios, a confirmé de façon glaçante ses pertes de mémoire sur des faits et des dates pourtant essentiels. Par exemple, le sort de son fils Beau, mort d’un cancer en 2015.

Au terme de son enquête sur la gestion des documents classifiés retrouvés notamment au domicile de Joe Biden, le procureur Hur n’avait pas retenu de charges contre lui. Mais il avait qualifié le président de l’époque « d’homme âgé, sympathique et voulant bien faire, avec une mauvaise mémoire ». La Maison Blanche avait alors attaqué le magistrat pour ses commentaires supposément inappropriés et politiques.

https://www.bbc.com/news/articles/c9q047dgvyno (17 mai 2025)

Le président de l'époque avait répliqué en insistant sur le fait que « ma mémoire est bonne ».

Un nouveau livre affirme que la Maison-Blanche a dissimulé l'état de santé de M. Biden, qui aurait été si mauvais l'année dernière que des collaborateurs ont envisagé de le placer dans un fauteuil roulant.

Il était également incapable de reconnaître l'acteur hollywoodien George Clooney ou de se souvenir des noms de ses principaux collaborateurs, selon Original Sin, de Jake Tapper et Alex Thompson.

https://www.axios.com/2025/05/16/biden-hur-tape-special-counsel-audio

Les nouveaux enregistrements de Biden, qui montrent qu'il a du mal à se souvenir de ces détails, tout en marmonnant et en bafouillant parfois, expliquent pourquoi la Maison Blanche a refusé de les publier l'année dernière, alors que des questions sur son acuité mentale se posaient de plus en plus.

L'enregistrement semble également valider l'affirmation de Hur selon laquelle les jurés d'un procès auraient probablement considéré Biden comme « un homme âgé sympathique, bien intentionné et doté d'une mauvaise mémoire ».

C'est en partie sur cette base que Hur a décidé de ne pas poursuivre Biden pour possession indue de documents classifiés, ce qui a suscité la colère des républicains, car Trump faisait alors l'objet de poursuites dans le cadre de son propre scandale de documents classifiés.

Les démocrates et la Maison Blanche de Biden ont critiqué Hur pour ses observations sur Biden. Ils ont insisté à maintes reprises sur le fait qu'il était « incisif » et que Hur avait des motivations politiques. Mais l'audio des plus de cinq heures d'entretien indique que lui et son co-instructeur Marc Krickbaum étaient respectueux et amicaux.

Les avocats ont dû rappeler à Biden l'année de la mort de son fils Beau (2015) [1] et la date de la première élection de Trump (2016).

Le tic-tac d'une horloge grand-père dans la salle des cartes de la Maison-Blanche, où se sont déroulés les entretiens, est également capté dans l'audio. Il ajoute une mesure métronomique au discours hésitant de Biden - en particulier lorsqu'il décrit son livre, Promise Me, Dad, sur la mort de Beau d'un cancer du cerveau à l'âge de 46 ans.

[1] https://www.axios.com/2025/05/17/biden-hur-tape-special-counsel-beau-death

À un moment donné, il demande : « Était-ce en 2015 qu'il est mort ? ».

 

Robert Hur : Donc, à l'époque où vous viviez à Chain Bridge Road et où il y avait des documents relatifs au Centre Penn Biden, à l'Institut Biden, au Cancer Moonshot ou à votre livre, où conserviez-vous les documents relatifs à ces choses sur lesquelles vous travailliez activement ?

Le Président Biden : Eh bien, euh... Je, je, je, je, je ne sais pas. C'est, quoi, 2017, 2018, cette zone ?

Hur : Oui, monsieur le président.

Biden : N'oubliez pas qu'à cette époque, mon fils a été déployé ou est en train de mourir, et c'était donc le cas, et d'ailleurs, à l'époque où j'ai quitté le Sénat, beaucoup de gens m'encourageaient encore à me présenter à cette période, à l'exception du président. Je ne suis pas - et ce n'est pas par méchanceté. Il pensait simplement qu'elle [Hillary Clinton] avait plus de chances que moi de remporter la présidence. Et donc je n'avais pas, je n'avais pas, à ce stade - même si je suis à l'université de Pennsylvanie, je n'avais pas abandonné l'idée que je pourrais me présenter à nouveau aux élections. Mais si je me représentais, je me présenterais à la présidence. Et, et donc ce qui se passait, c'est que - en quel mois Beau est-il mort ? Oh... mon Dieu, le 30 mai...

Rachel Cotton (conseillère de Biden à la Maison Blanche) : 2015.

Intervenant non identifié : 2015.

Biden : C'est en 2015 qu'il est mort ?

Intervenant non identifié : C'était en mai 2015.

Biden : C'était en 2015.

Bob Bauer (avocat personnel de Biden) : Ou je ne suis pas sûr du mois, monsieur le président, mais je pense que c'était l'année.

Marc Krickbaum (conseiller spécial adjoint) : C'est exact, monsieur le président. Je ...

Biden : Et ce qui s'est passé entre-temps, c'est que - et Trump a été élu en novembre 2017 ?

Intervenant non identifié : 2016.

Intervenant non identifié : 16.

Biden : 16, 2016. D'accord, alors - pourquoi ai-je 2017 ici ?

Ed Siskel (conseiller de Biden à la Maison Blanche) : C'est quand vous avez quitté vos fonctions, en janvier 2017.

Biden : Oui, d'accord. Mais c'est quand Trump a prêté serment, en janvier.

Siskel : C'est vrai.

Bauer : Oui, c'est exact.

Biden : D'accord, oui. Et en 2017, Beau est décédé et - c'est personnel - la genèse du livre et du titre « Promise Me, Dad » était un - je sais que vous êtes tous... proches de vos fils et de vos filles, mais Beau était comme mon bras droit et Hunt était mon bras gauche. Ils avaient un an et un jour d'écart et ils pouvaient finir les phrases l'un de l'autre, et Beau, j'avais l'habitude de rentrer à la maison en train, et pendant la période où j'étais encore au Sénat - de toute façon.

Il y avait de la pression - pas de la pression. Beau savait à quel point je l'adorais, et je sais que cela semble - peut-être cela semble-t-il - que tout le monde savait à quel point nous étions proches. Il n'y avait personne au monde qui se demandait si oui ou non - de toute façon. Et donc...

Hur : Monsieur, je me demande si c'est le bon moment pour faire une petite pause. Est-ce que ce serait .... ?

Biden : Non, je... laissez-moi juste continuer pour que ce soit fait.

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Trump, par certains côtés, c'est un peu Reagan mais avec des dents en or :happy:

Ronald-Reagan-dents-en-or.jpg

 

Trump lance un projet de bouclier spatial antimissiles - comme Reagan en 1983 avec l' "Initiative de Défense Stratégique"

Sauf que cette fois-ci c'est tout doré :tongue:

... Le Golden Dome !

 

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Trump et le président sud africain : Chaud les marrons !

Trump affronte le président sud-africain sur des allégations non fondées de « génocide »

Le bureau ovale a été la scène d'un nouvel affrontement avec un dirigeant étranger, mercredi, alors que le président américain Donald Trump a répété devant son homologue de l'Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa, des théories conspirationnistes selon lesquelles les fermiers blancs de ce pays font notamment l'objet d'un « génocide ».

Si la rencontre ne s'est pas, du moins selon les dernières informations, soldée par l’expulsion de la délégation invitée comme lors de la réunion contentieuse avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en février dernier, elle n'en a pas moins été marquée par des tensions. Elle a aussi été caractérisée par une scène inhabituelle dans le bureau ovale, que plusieurs médias américains ont même qualifiée d'embuscade. Après un début de réunion au ton cordial, Donald Trump a surpris son invité, demandant que les lumières soient tamisées pour la projection d'un montage vidéo d'environ 5 minutes prouvant selon lui que les fermiers sud-africains blancs se font tuer en masse et confisquer leurs terres. Feuilletant ensuite plusieurs copies de textes présentés comme des articles, il en a résumé les grands titres en martelant plusieurs fois le mot mort. Je ne sais pas, tous ces articles des derniers jours disent : mort de personnes, mort, mort, morts horribles, mort, a-t-il déclaré. Les Sud-Africains blancs fuient la violence et les lois racistes, a-t-il soutenu. C’est en quelque sorte l’inverse de l’apartheid. Ce qui se passe actuellement n’est jamais rapporté. Personne n’en entend parler, a-t-il dit.

Conservant son calme, son homologue a tenté de remettre les pendules à l'heure, en plus d'essayer à plusieurs reprises de recadrer la discussion sur les questions économiques. Il y a de la criminalité dans notre pays. Les personnes qui se font tuer, malheureusement, à cause d’activités criminelles, ne sont pas seulement des Blancs – la majorité sont des Noirs.

Les fermiers ne sont pas noirs, a rétorqué Donald Trump.

S'il est vrai que plusieurs des meurtres commis dans des fermes ont été perpétrés contre des propriétaires blancs, plusieurs des victimes sont des travailleurs agricoles, le plus souvent noirs. (Cyril Ramaphosa, président de l'Afrique du Sud).

Alors qu'une journaliste demandait à Donald Trump ce qui le convaincrait du fait qu'il n'y a pas de génocide blanc, le président Ramaphosa est intervenu. Ce qui peut le convaincre, c'est d'écouter les voix des Sud-Africains – dont certains sont ses bons amis, comme ceux qui sont ici, a-t-il répondu. Le président sud-africain avait inclus dans sa délégation deux champions de golf, Ernie Els et Retief Goosen, qui connaissent Donald Trump, ainsi que le milliardaire philanthrope Johann Rupert. S’il y avait un génocide des fermiers afrikaners, je peux vous assurer que ces trois messieurs ne seraient pas ici, pas plus que mon ministre de l’Agriculture , a-t-il dit des quatre hommes, tous blancs. Ils ne seraient pas avec moi. Il faudra que le président Trump écoute leurs histoires, leurs points de vue.

La première question des médias posée après la vidéo concernait l'acceptation formelle du 747-8 donné au Pentagone par le Qatar, une nouvelle tombée pendant la rencontre. Le président Trump n'a visiblement pas apprécié le changement de sujet et a insulté le journaliste de NBC ainsi que le réseau de télévision. Tentant de dissiper les tensions, le président Ramaphosa a, à un certain point, lancé à la blague : Je suis désolé, je n’ai pas d’avion à vous offrir. J’aimerais que vous en ayez un. Je le prendrais, a rétorqué le président américain.

M. Ramaphosa a en outre démenti l'expropriation des fermiers blancs. Non, non, non, non, personne ne peut prendre des terres, a-t-il répondu après que son homologue l'eut accusé d'autoriser la confiscation de terres. Originaire d'Afrique du Sud, le multimilliardaire Elon Musk, l'allié de Donald Trump qui met le plus en avant les allégations d'un génocide blanc dans ce pays, était présent à la rencontre.

Tout au long de la rencontre devant les caméras, le président Ramaphosa a cependant abondamment remercié et complimenté son hôte, par exemple sur la redécoration du bureau ovale, où le doré est désormais omniprésent, en plus de rire de ses blagues.

La rencontre survient quelques jours après l'arrivée aux États-Unis d'environ 60 Afrikaners, acceptés comme réfugiés, même si Donald Trump a suspendu l'accueil des réfugiés dès le début de son mandat. Alors que le processus pour obtenir l'asile prend habituellement des années, les fermiers blancs ont pu atterrir aux États-Unis trois mois après la signature du décret présidentiel qui leur ouvrait les portes.

Les Afrikaners constituent la majorité de la population blanche d'Afrique du Sud. C'est de cette frange de la population que sont issus les dirigeants politiques qui ont mis en place l'apartheid, système de ségrégation raciale qui a privé la population noire majoritaire de ses droits de 1948 jusqu'au début des années 1990.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2166440/trump-ramaphosa-afrique-sud-allegations-genocide

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Pourtant Ramaphosa s'est bien engagé à redistribuer les terres pour corriger les inégalités héritées de l'apartheid ...

https://www.bbc.com/news/articles/cvg9w4n6gp5o

South African President Cyril Ramaphosa has signed into law a bill allowing land seizures by the state without compensation - a move that has put him at odds with some members of his government.

Black people only own a small fraction of farmland nationwide more than 30 years after the end of the racist system of apartheid - the majority remains with the white minority.

This has led to frustration and anger over the slow pace of reform.

While Ramaphosa's ANC party hailed the law as a "significant milestone" in the country's transformation, some members of the coalition government say they may challenge it in court.

The law "outlines how expropriation can be done and on what basis" by the state, the government says.

It replaces the pre-democratic Expropriation Act of 1975, which placed an obligation on the state to pay owners it wanted to take land from, under the principle of "willing seller, willing buyer".

Anger over land set to explode in South Africa

The new law allows for expropriation without compensation only in circumstances where it is "just and equitable and in the public interest" to do so.

This includes if the property is not being used and there's no intention to either develop or make money from it or when it poses a risk to people.

The president's spokesperson Vincent Magwenya said that, under the law, the state "may not expropriate property arbitrarily or for a purpose other than... in the public interest".

"Expropriation may not be exercised unless the expropriating authority has without success attempted to reach an agreement with the owner," he added.

The signing of the law comes after a five-year consultative process as well as the findings of a presidential panel set up to look into the issue.

The pro-business Democratic Alliance (DA), the second largest party in the government of national unity (GNU), says it "strongly opposes" the law and was consulting with its lawyers.

It says that while it supports legislation addressing land restitution, it takes issue with the process followed by the country's parliament to enact this law.

The Freedom Front Plus, a party which defends the rights of the white minority and is also in the GNU, vowed to challenge the constitutionality of the law and do "everything in its power" to have it amended if it is found to be unconstitutional.

One of the sticking points for the party was the law's possible threat to private ownership.

Outside of the coalition government, the Economic Freedom Fighters, known for its radical views on nationalisation and land distribution, has called the move a "legislative cop-out" by the governing party.

The party also says the law will not help resolve the contentious issue of land restitution in South Africa.

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il y a une heure, FAFA a dit :

Trump et le président sud africain : Chaud les marrons !

Trump affronte le président sud-africain sur des allégations non fondées de « génocide »

Le bureau ovale a été la scène d'un nouvel affrontement avec un dirigeant étranger, mercredi, alors que le président américain Donald Trump a répété devant son homologue de l'Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa, des théories conspirationnistes selon lesquelles les fermiers blancs de ce pays font notamment l'objet d'un « génocide ».

Si la rencontre ne s'est pas, du moins selon les dernières informations, soldée par l’expulsion de la délégation invitée comme lors de la réunion contentieuse avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en février dernier, elle n'en a pas moins été marquée par des tensions. Elle a aussi été caractérisée par une scène inhabituelle dans le bureau ovale, que plusieurs médias américains ont même qualifiée d'embuscade. Après un début de réunion au ton cordial, Donald Trump a surpris son invité, demandant que les lumières soient tamisées pour la projection d'un montage vidéo d'environ 5 minutes prouvant selon lui que les fermiers sud-africains blancs se font tuer en masse et confisquer leurs terres. Feuilletant ensuite plusieurs copies de textes présentés comme des articles, il en a résumé les grands titres en martelant plusieurs fois le mot mort. Je ne sais pas, tous ces articles des derniers jours disent : mort de personnes, mort, mort, morts horribles, mort, a-t-il déclaré. Les Sud-Africains blancs fuient la violence et les lois racistes, a-t-il soutenu. C’est en quelque sorte l’inverse de l’apartheid. Ce qui se passe actuellement n’est jamais rapporté. Personne n’en entend parler, a-t-il dit.

Conservant son calme, son homologue a tenté de remettre les pendules à l'heure, en plus d'essayer à plusieurs reprises de recadrer la discussion sur les questions économiques. Il y a de la criminalité dans notre pays. Les personnes qui se font tuer, malheureusement, à cause d’activités criminelles, ne sont pas seulement des Blancs – la majorité sont des Noirs.

Les fermiers ne sont pas noirs, a rétorqué Donald Trump.

S'il est vrai que plusieurs des meurtres commis dans des fermes ont été perpétrés contre des propriétaires blancs, plusieurs des victimes sont des travailleurs agricoles, le plus souvent noirs. (Cyril Ramaphosa, président de l'Afrique du Sud).

Alors qu'une journaliste demandait à Donald Trump ce qui le convaincrait du fait qu'il n'y a pas de génocide blanc, le président Ramaphosa est intervenu. Ce qui peut le convaincre, c'est d'écouter les voix des Sud-Africains – dont certains sont ses bons amis, comme ceux qui sont ici, a-t-il répondu. Le président sud-africain avait inclus dans sa délégation deux champions de golf, Ernie Els et Retief Goosen, qui connaissent Donald Trump, ainsi que le milliardaire philanthrope Johann Rupert. S’il y avait un génocide des fermiers afrikaners, je peux vous assurer que ces trois messieurs ne seraient pas ici, pas plus que mon ministre de l’Agriculture , a-t-il dit des quatre hommes, tous blancs. Ils ne seraient pas avec moi. Il faudra que le président Trump écoute leurs histoires, leurs points de vue.

La première question des médias posée après la vidéo concernait l'acceptation formelle du 747-8 donné au Pentagone par le Qatar, une nouvelle tombée pendant la rencontre. Le président Trump n'a visiblement pas apprécié le changement de sujet et a insulté le journaliste de NBC ainsi que le réseau de télévision. Tentant de dissiper les tensions, le président Ramaphosa a, à un certain point, lancé à la blague : Je suis désolé, je n’ai pas d’avion à vous offrir. J’aimerais que vous en ayez un. Je le prendrais, a rétorqué le président américain.

M. Ramaphosa a en outre démenti l'expropriation des fermiers blancs. Non, non, non, non, personne ne peut prendre des terres, a-t-il répondu après que son homologue l'eut accusé d'autoriser la confiscation de terres. Originaire d'Afrique du Sud, le multimilliardaire Elon Musk, l'allié de Donald Trump qui met le plus en avant les allégations d'un génocide blanc dans ce pays, était présent à la rencontre.

Tout au long de la rencontre devant les caméras, le président Ramaphosa a cependant abondamment remercié et complimenté son hôte, par exemple sur la redécoration du bureau ovale, où le doré est désormais omniprésent, en plus de rire de ses blagues.

La rencontre survient quelques jours après l'arrivée aux États-Unis d'environ 60 Afrikaners, acceptés comme réfugiés, même si Donald Trump a suspendu l'accueil des réfugiés dès le début de son mandat. Alors que le processus pour obtenir l'asile prend habituellement des années, les fermiers blancs ont pu atterrir aux États-Unis trois mois après la signature du décret présidentiel qui leur ouvrait les portes.

Les Afrikaners constituent la majorité de la population blanche d'Afrique du Sud. C'est de cette frange de la population que sont issus les dirigeants politiques qui ont mis en place l'apartheid, système de ségrégation raciale qui a privé la population noire majoritaire de ses droits de 1948 jusqu'au début des années 1990.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2166440/trump-ramaphosa-afrique-sud-allegations-genocide

C’est irréel...

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