herciv Posté(e) dimanche à 19:26 Share Posté(e) dimanche à 19:26 La vache je me suis fait avoir. Les GAFAM et consort c'était mon numéro deux dans l'ordre des rétorsions contre les US. PS j'adore la réponse d'un trader : "vendre d'abord poser des questions ensuite". https://www.zonebourse.com/cours/action/PAYPAL-HOLDINGS-INC-23377703/actualite/Les-actions-de-PayPal-chutent-alors-qu-un-legislateur-europeen-evoque-la-perspective-de-nouveaux-49469277/ Révéler le contenu masqué Les actions de PayPal chutent alors qu'un législateur européen évoque la perspective de nouveaux frais dans un contexte de tensions commerciales. Le 28 mars 2025 à 18:59 Partager Les actions de PayPal ont chuté de 5 % vendredi après que les commentaires d'un parlementaire de l'Union européenne ont suscité des inquiétudes quant au fait que les entreprises de paiement pourraient être emportées dans l'escalade des tensions commerciales et des tarifs douaniers potentiels entre les États-Unis et l'Europe. L'incertitude concernant les droits de douane et les actions commerciales croissantes ont déstabilisé les marchés mondiaux, provoquant de la volatilité, mettant à rude épreuve les chaînes d'approvisionnement et modifiant le sentiment des investisseurs dans tous les secteurs. En début de semaine, le président américain Donald Trump a déclaré que des droits de douane plus importants pourraient être imposés à l'Union européenne et au Canada s'ils travaillent ensemble "pour nuire économiquement aux États-Unis". "Dans le cas des fournisseurs de services numériques, il y a également un énorme intérêt économique de la part des entreprises américaines", a déclaré Bernd Lange, le chef de la commission du commerce international du Parlement européen. "À cet égard, vous pouvez également envisager d'imposer des frais à PayPal ou à Google. Par ailleurs, vendredi, un porte-parole du gouvernement allemand a également déclaré que "rien n'est exclu" en ce qui concerne les mesures punitives en réponse à la menace de droits de douane américains. PayPal s'est refusé à tout commentaire à ce sujet. Il est généralement difficile d'imposer des droits de douane sur la finance et les paiements, car ces secteurs reposent sur des transactions et des services numériques plutôt que sur le commerce transfrontalier de biens physiques, ce qui complique l'application des règles commerciales traditionnelles. Les analystes sont restés sceptiques quant à la probabilité d'une telle mesure. "Il n'y a pas beaucoup de détails ici. Il est clair qu'il faut vendre d'abord et poser les questions ensuite", a déclaré Stephen Biggar, analyste chez Argus Research. "Les tarifs douaniers ont toujours été un outil de négociation, donc nous ne sommes pas sûrs de l'ampleur de la mise en œuvre de ces mesures, si tant est qu'il y en ait une. Les tarifs douaniers se répercutent sur l'économie mondiale en augmentant les coûts pour les entreprises, en perturbant les chaînes d'approvisionnement et en freinant les flux commerciaux, ce qui entraîne souvent des pressions inflationnistes et un ralentissement de la croissance. Depuis son investiture en janvier, l'offensive tarifaire de M. Trump a été marquée par des menaces, des revirements et des retards. Les responsables de l'Union européenne tentent d'apaiser les tensions avec les États-Unis afin d'éviter une guerre commerciale. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) dimanche à 19:47 Share Posté(e) dimanche à 19:47 Le 29/03/2025 à 20:25, olivier lsb a dit : Tranquillement, Jesse Solovyov Watters, élargit la fenêtre d'overton au sujet du Danemark, citant le précédent japonais. Tout va très bien. Expand Autant j'ai pu apprécier Carlson qui sur certains sujets et même dans son interview de poutine était encore capable de soupçons d'esprit critique, autant je n'ai jamais aimé ce type et maintenant je sais pourquoi. Ils n'ont pas changé depuis 2003 et leurs propos ignobles contre la France. 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) hier à 07:28 Share Posté(e) hier à 07:28 (modifié) Je ne sais pas si les bourse tiendront jusqu"à mercredi. Cà sent déjà le décrochage voir pire : "En Asie Pacifique ce matin, les cachettes sont rares. Tokyo coule de près de 4%, Taiwan de 3,5% et Séoul de près de 3%. Les trois économies, très tournées vers l'export, ont tout à perdre des tarifs douaniers. L'Australie souffre aussi (-1,7%), comme Hong Kong (-1,5%), tandis que l'Inde limite la casse (-0,3%). Les indicateurs avancés occidentaux sont rouge vif." https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Comme-un-vent-de-panique-en-bourse-49479462/ Révéler le contenu masqué Comme un vent de panique en bourse La rechute de vendredi est en train de s'amplifier sur les marchés actions. Le compte à rebours vers la guerre commerciale initiée par les Etats-Unis provoque une levée de boucliers symbolisée par l'ascension de l'or, qui vient de passer le cap des 3100 USD l'once. Les deux dates à retenir cette semaine sont le 2 avril, pour les annonces de la Maison Blanche, et le 4 avril, pour les statistiques sur l'emploi de mars aux Etats-Unis. Le retour aux affaires de Donald Trump a poussé les investisseurs à se positionner sur des stratégies relativement simples, en lien avec les orientations politiques du nouveau président. Mais la plupart de ces stratégies ont échoué, parce que la réalité et la fiction ont rapidement divergé. Le dollar fort ? Le billet vert a perdu près de 4% depuis le 1er janvier, soit l'une de ses pires performances trimestrielles depuis la crise de 2008. L'avènement du bitcoin ? La cryptomonnaie est la classe d'actifs la moins prolifique de ce début d'année, avec un chute de 26%. Les petites capitalisations américaines ? L'indice Russell 2000 est à -9% en 2025, alors que l'indice des valeurs moyennes européennes (MSCI Europe MidCap) est à +9%. Tous les "Trump Trade" n'ont pas échoué, mais les plus emblématiques ont tourné au fiasco. C'est une bonne leçon pour tout le monde : en investissement, l'écart entre une idée simple et une idée simpliste est souvent ténu. Pourquoi cette entrée en matière ? Parce que nous sommes le 31 mars et que les statistiques trimestrielles vont prendre fin ce soir. L'indice large S&P500 accuse pour le moment une baisse de 5,1% en 2025 et de 6,27% en mars. Si Wall Street échoue à se redresser aujourd'hui, mars 2025 pourrait être le pire mois boursier depuis avril 2022. Dit autrement, ce serait le pire mois sur les trente derniers. 31 mars donc, mais aussi semaine cruciale puisque la Maison Blanche a fixé au 2 avril la date d'annonce de multiples barrières douanières. Le décrochage des marchés la semaine dernière est lié à la question des droits de douane. Donald Trump a planté une première banderille dans l'industrie automobile. Une décision qui a dérouté, sans mauvais jeu de mots (bon OK, un peu quand même) aux Etats-Unis, parce qu'elle risque de frapper durement les locaux de l'étape, Ford, General Motors et Stellantis. Et leurs salariés, qui font partie des classes laborieuses censées être protégées par la politique du républicain. D'autres annonces vont suivre cette semaine, avec un niveau d'incertitude élevé sur le contenu exact, et beaucoup d'inconnues sur ce qui pourrait se produire d'ici demain. L'indice de volatilité VIX est remonté en flèche, signe de la nervosité qui monte à mesure que la date butoir approche. Les milieux d'affaires américains ont tendance à considérer que la baisse de Wall Street reflète assez bien le risque lié à la guerre commerciale, mais ils ont du mal à se projeter sur le coup d'après. Le camp de ceux qui redoutent une récession à cause d'un cocktail de vents contraires (droits de douane, désordres engendrés par le DOGE, inflation…) n'est pas majoritaire, mais il se renforce de jour en jour. JPMorgan a relevé en fin de semaine dernière à 40% le risque de récession. Bank of America souligne toutefois pour sa part que si le sentiment à Wall Street est clairement morose, le marché des dérivés ne signale pas encore de peur extrême. Le marché est-il prêt à acheter la nouvelle après avoir vendu la rumeur, pour inverser le célèbre adage ? Rien n'est moins sûr, même si les banques américaines pensent généralement que Trump pourrait faire pas mal d'esbrouffe d'ici demain, pour finalement laisser la porte ouverte à une approche plus souple. La dernière mode à Wall Street consiste aussi à se projeter sur le 4 avril et la publication des donnée sur l'emploi de mars. Il devrait s'agir du premier mois où l'impact des coupes sombres du DOGE seront visibles sur l'emploi fédéral. Problème, les données de janvier et février ont été biaisées par la météo défavorable. La statistique pourrait donc être difficile à interpréter. Pour aiguiller vos choix, je vous partage cette citation d'un grand gérant américain piochée dans une dépêche d'agence ce matin : "Soit nous nous dirigeons vers une période de risque important, soit nous nous dirigeons vers un rebond". Ben voilà, c'est pas compliqué la finance. Je tairai son nom par pudeur. Les informations à ne pas rater pour bien démarrer la semaine : Donald Trump s'est-il fait macroniser par Vladimir Poutine ? Trump s'est dit "très en colère" contre le Kremlin à cause de l'absence d'avancées dans le processus de trêve en Ukraine. Il a menacé la Russie de pénalités sur le pétrole. Par ailleurs, le président américain a mis la pression sur l'Iran en évoquant des bombardements si le pays ne conclut pas d'accord sur le nucléaire. Enfin, Donald Trump envisage sérieusement un troisième mandat présidentiel, même si la constitution américaine l'interdit. La Norvège est invitée à renoncer à l'interdiction faite à son richissime fonds souverain d'investir dans les entreprises de défense. L'UE va investir 1,4 milliard de dollars dans l'intelligence artificielle, la cybersécurité et les compétences numériques. Plusieurs sociétés françaises ont reçu un questionnaire en provenance des autorités américaines, leur demandant si elles mettent en place des programmes de lutte contre les discriminations, auquel cas elles pourraient être bannies des contrats fédéraux. Benjamin Netanyahu se rend en Hongrie du 2 au 6 avril. La Chine poursuit son offensive économique en soutenant ses banques et en annonçant une réorganisation de ses constructeurs automobiles. Elon Musk va racheter X avec sa société xAI, en titres, sur la base d'une valeur d'entreprise de 45 Mds$. Les indicateurs PMI Chinois de mars ont légèrement dépassé les attentes dans l'industrie et les services. Sur l'agenda : outre le fameux 2 avril, on surveillera l'inflation européenne de mars (mardi) et les traditionnels chiffres mensuels de l'emploi américain (vendredi). Sans oublier un véritable feu d'artifice de discours de banquiers centraux tout au long de la semaine, dont celui du grand prêtre de la politique monétaire mondiale, Jerome Powell, attendu vendredi après-midi. Côté entreprises, l'agenda sonne creux. C'est le calme avant la tempête des résultats trimestriels, qui reprendront dès le 11 avril... déjà. En Asie Pacifique ce matin, les cachettes sont rares. Tokyo coule de près de 4%, Taiwan de 3,5% et Séoul de près de 3%. Les trois économies, très tournées vers l'export, ont tout à perdre des tarifs douaniers. L'Australie souffre aussi (-1,7%), comme Hong Kong (-1,5%), tandis que l'Inde limite la casse (-0,3%). Les indicateurs avancés occidentaux sont rouge vif. Le CAC40 perdait 1% à 7834 points peu après l'ouverture. Le SMI reculait de 0,8% à 12 736 points. Le Bel20 abandonnait 0,8% à 4363 points. Alors c'est pas juste un crac boursier qu'on va avoir à surmonter ... comme les précédents. Parce que les précédents il y avait une action coordonnée et massive des banques centrales US/UE/ASIE. Là il va se passer quoi, qui va soutenir une économie qui n'est pas la sienne ? La Chine comme elle avait pu le faire ? Problème les américains sont très investit en action et en dette US. L'appauvrissement des ménages va être très sensibles. Sauf à se réinvestir en dehors des US ... Début d'une forte sorti de capitaux ? Modifié hier à 07:44 par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) hier à 08:22 Share Posté(e) hier à 08:22 Encore un article sur la remise en cause du dollar. Celui-ci rajoute un commentaire sur les instrulents européens de coercition. https://www.zonebourse.com/cours/devise/EURO-US-DOLLAR-EUR-USD-4591/actualite/Les-craintes-de-coercition-incluent-le-detournement-de-la-domination-du-dollar-Mike-Dolan-49479535/ Révéler le contenu masqué Les craintes de "coercition" incluent le détournement de la domination du dollar : Mike Dolan Le 31 mars 2025 à 08:00 Partager La frontière entre "transactionnel" et "coercitif" est peut-être mince, mais les politiques économiques internationales des États-Unis jugées comme l'ayant franchie pourraient affaiblir les fondements du rôle dominant du dollar dans la finance internationale. Washington utilise depuis longtemps son poids économique et financier pour arracher des changements aux pays qu'il considère comme ses ennemis, mais menacer explicitement ses alliés traditionnels est quelque chose de très nouveau. Alors que les fissures commerciales et militaires se creusent entre les États-Unis et leurs voisins les plus proches et leurs partenaires du G7, le mot "coercition" est de plus en plus utilisé pour justifier d'autres pressions potentiellement extrêmes de la part de "l'Oncle Sam". L'Union européenne s'y est préparée, puisque son "instrument de lutte contre la coercition" (ACI) est entré en vigueur il y a un peu plus d'un an. Cet instrument crée des remparts politiques contre les pays qui cherchent à utiliser le commerce comme un outil politique. S'il est considéré que des pays exercent une pression économique sur les membres de l'UE pour qu'ils modifient leurs politiques, l'AIC permet à l'UE de limiter l'accès des entreprises du pays incriminé aux marchés publics, de restreindre la protection des droits de propriété intellectuelle ou de limiter l'accès des sociétés de services financiers de ce pays aux marchés de l'UE. C'est un outil que l'Europe pourrait potentiellement utiliser pour frapper les grandes entreprises technologiques américaines si le président américain Donald Trump met en œuvre ses vastes projets de droits de douane. Le mot "coercition" est un grand mot, souvent réservé aux politiques chinoises ou russes, mais extraordinaire lorsqu'il est utilisé dans les interactions entre des alliés de longue date. Et pourtant, nous y sommes. Le mois dernier, la présidente de l'Union européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré qu'elle se préparait à une "coercition" économique en relation avec les menaces tarifaires américaines. Mais cette résistance à la pression américaine pourrait également avoir des ramifications au-delà de la sphère commerciale et pourrait finalement amener le monde à repenser sa dépendance à l'égard d'un accès facile à des dollars omniprésents. La planification des mesures d'urgence semble être en bonne voie, car les dirigeants se demandent jusqu'où ira l'administration Trump. La semaine dernière, l'économiste en chef de la Banque centrale européenne, Philip Lane, a déclaré que la dépendance de l'Europe à l'égard des fournisseurs de paiement basés aux États-Unis la rendait vulnérable aux "pressions et coercitions économiques", affaiblissant ainsi son autonomie et renforçant les arguments en faveur d'un euro numérique. De manière plus précise, les responsables des banques centrales et des autorités de surveillance européennes ont déclaré à Reuters qu'ils étaient nombreux à se demander s'ils pouvaient encore compter sur la Réserve fédérale pour leur fournir des fonds en dollars en temps utile. LE "BOUTON NUCLÉAIRE Les plans d'urgence ne sont bien sûr que cela. Il incombe aux autorités de surveillance de se préparer à toutes les éventualités. Mais il est remarquable qu'il soit même envisagé qu'une Fed ostensiblement indépendante puisse être poussée à renoncer à son rôle de "créancier en dernier ressort" des dollars pour le reste du monde. Les marchés financiers et les investisseurs étant par nature des planificateurs d'urgence, le discours sur la coercition a forcé certains stratèges à examiner l'impact que cela pourrait avoir sur l'énorme volume de transactions financières libellées en dollars qui ont lieu chaque jour dans le monde entier. George Saravelos, de la Deutsche Bank, l'a qualifié de "bouton nucléaire pour le dollar". M. Saravelos insiste sur l'utilisation écrasante du dollar sur le marché des swaps de devises et des contrats à terme, où les données de la Banque des règlements internationaux montrent que le dollar représente 88 % des quelque 100 000 milliards de dollars d'obligations de swaps et de contrats à terme au niveau mondial. Il note que ce marché est le moyen le plus simple pour les entreprises non américaines de se procurer des dollars pour leurs importations ou leurs investissements aux États-Unis. Mais il s'agit de contrats à court terme reconduits en permanence pour financer des actifs à plus long terme, ce qui crée un risque d'asymétrie des échéances susceptible de provoquer des ruines massives en cas de pénurie soudaine de dollars à l'échelle mondiale. Pour contrer les risques liés à la stabilité financière mondiale, la Fed a ouvert, au cours des 20 dernières années, des lignes de swap en dollars d'urgence avec plusieurs banques centrales. Bien que rarement utilisées, ces lignes sont considérées comme un filet de sécurité essentiel en temps utile. L'idée même que ce filet de sécurité de la Fed puisse être utilisé comme monnaie d'échange a des implications potentiellement sismiques. D'une part, les dollars pourraient sembler plus rares à la marge et même soutenir le taux de change à court terme. Mais le coût à long terme pour l'Amérique pourrait être que les étrangers reconsidèrent leur exposition aux actifs américains. Si les scénarios sont compréhensibles, ils se résument à une question centrale : la Fed pourrait-elle un jour être utilisée de manière aussi politique ? On a beaucoup écrit sur la façon dont la banque centrale peut s'isoler du contrôle du gouvernement. Pourtant, l'antagonisme entre Trump, la Fed et les agences fédérales en général est bien connu. La décision de Trump, ce mois-ci, de renvoyer deux commissaires de la Commission fédérale du commerce soulève des inquiétudes quant à la possibilité que quelque chose de similaire se produise à la Fed. "Selon nous, des mesures similaires prises à l'encontre des gouverneurs de la Fed pourraient nuire à l'indépendance et à la crédibilité de la banque centrale", a déclaré Brian Gardner, stratège de Stifel à Washington. La coercition économique à l'intérieur et à l'extérieur du pays prend bien sûr de nombreuses formes et est souvent dans l'œil de celui qui regarde. Mais peu de tabous ont été brisés cette année et il n'est pas difficile de comprendre pourquoi la planification du "pire des cas" bat son plein. Les opinions exprimées ici sont celles de l'auteur, chroniqueur pour Reuters. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) hier à 13:00 Share Posté(e) hier à 13:00 Dans la série "Ce serait quand même mieux si c'était une plaisanterie" Trump dit qu'il ne « plaisante pas » à propos d'un troisième mandat au mépris de la Constitution Dans une interview accordée à NBC News, le président Trump a déclaré qu'il existait des « méthodes » permettant un troisième mandat. Le 22e amendement interdit à une personne d'être élue pour plus de deux mandats présidentiels (...) Dans l'interview, Mme Welker a indiqué qu'elle l'avait entendu plaisanter à plusieurs reprises au sujet d'un troisième mandat. M. Trump a clairement indiqué qu'il considérait cette possibilité comme réelle. « Non, non, je ne plaisante pas », a-t-il déclaré. « Je ne plaisante pas. Mme Welker a demandé à M. Trump si on lui avait présenté des plans, et il a répondu que non - mais il a ajouté qu'il y avait « des méthodes pour le faire ». Mme Welker a suggéré une possibilité : avoir le vice-président JD Vance en tête de liste en 2028, pour ensuite transmettre le poste à M. Trump après avoir gagné. M. Trump a reconnu que « c'est l'une » des possibilités. « Mais il y en a d'autres », a-t-il ajouté. « Il y en a d'autres. M. Trump n'a pas voulu dire de quoi il s'agissait Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) hier à 14:32 Share Posté(e) hier à 14:32 Pêché sur un autre fofo, voici un petit aperçu de la pensée de Curtis Yarvin … Grand agité du bocal et éminence grise des néo réactionnaires, proche de JD Vance, Peter Thiel et conseiller informel de Trump. Attention aux âmes sensibles … ça pique les yeux Citation https://legrandcontinent.eu/fr/2025/03/15/trump-va-ceder-leurope-a-poutine-la-prophetie-de-curtis-yarvin/#easy-footnote-5-267640 Expand 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) hier à 16:25 Share Posté(e) hier à 16:25 Le 31/03/2025 à 14:32, Ardachès a dit : Pêché sur un autre fofo, voici un petit aperçu de la pensée de Curtis Yarvin … Grand agité du bocal et éminence grise des néo réactionnaires, proche de JD Vance, Peter Thiel et conseiller informel de Trump. Attention aux âmes sensibles … ça pique les yeux Expand Texte remarquable, merci La question, comme à chaque fois qu'un "maître à penser secret" est désigné, est de savoir dans quelle mesure il l'est vraiment, et dans quelle mesure son influence est surestimée. Même question que pour un Alexandre Douguine en Russie - dans son cas l'influence est probablement surestimée. Yarvin est décrit comme quelqu'un qui serait lié à Vance, et ses "intuitions" se seraient souvent avérées justes. C'est quelque chose oui, mais ce n'est pas déterminant non plus Ce que je note, c'est que l'essayiste a des formules percutantes en effet, et qui font mouche Je pense que si l’Amérique pouvait décider que nous n’avons de chien dans aucun combat à part le nôtre — et qui nous combattrait, si ce n’est pour combattre nos chiens ? — ce « monde sans alliés » s’avérerait meilleur non pas seulement pour tous les Américains, mais aussi pour tous les autres. Les chiens devraient être libres de courir et de jouer — ils ne devraient pas être enchaînés toute la journée. Le droit à faire la guerre est l’attribut le plus fondamental de la souveraineté nationale. Dans notre avenir néo-westphalien, il n’y a pas d’États fantoches ni de faux pays ; chaque nation est indépendante : elle existe par sa propre puissance. Si cette puissance échoue, elle disparaît C'est formuler en quelques phrases l'abandon total du projet américain - approuvé par beaucoup d'autres - depuis la Seconde guerre mondiale de relations internationales basées sur le droit, et garanties par la force titanesque des Etats-Unis, deus ex machina assurant que "la liberté est en sécurité", assurant en fait que "les chiens sont enchaînés", ceci aussi loin que possible, initialement dans "le monde libre", et en définitive dans le monde entier Selon Yarvin, le titan est fatigué, et surtout il serait meilleur non seulement pour les Etats-Unis - position réaliste - mais aussi pour les principaux intéressés - position proprement réactionnaire - que chaque nation garantisse son existence par sa propre force seulement. L'état de nature ne serait pas seulement le soubassement des relations internationales, ce dont tous les réalistes conviendront mais sans que cela interdise certaines améliorations par un cadre de droit international, simplement contraint à tenir compte des réalités de puissance sous-jacentes. Il serait le meilleur état possible. Ainsi, plus de faux-semblants, la nation qui existe est celle qui sait tenir les autres en respect, et puis c'est tout ! Mon impression personnelle est qu'il y a pas mal de réalistes dans l'entourage de Trump, ils ne sont pas tous réactionnaires dans ce sens-là. Mais d'une part je peux me tromper, d'autre part cela n'exclurait pas que le néo-westphalisme soit le courant dominant sous-jacent... 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) hier à 16:45 Share Posté(e) hier à 16:45 (modifié) Juste deux petits souvenirs, moins intéressants par eux-mêmes que par ce qu'ils permettent de mesurer de la distance parcourue Lecteur assidu de science-fiction étant enfant, disons début des années 80, j'étais tout de même un peu déçu voire troublé de constater qu'en ces époques fantastiques à venir tout le monde était américain. Enfin ce n'était pas toujours dit explicitement, mais c'était tout comme, au minimum sur le plan culturel. Donc, pas d'avenir pour la France, pas d'avenir pour personne d'autre ? J'en étais troublé et aussi attristé car je le prenais au pied de la lettre - naïvement oui, je rappelle que j'étais un enfant ! Dans les années 1990, assistant au triomphe (bruyant) de l'Amérique seule superpuissance, au moment unipolaire, dont le point culminant à mon sens était la deuxième présidence de Clinton (Bush fils était déjà beaucoup plus inquiet, la fureur déclenchée par les attentats du 11 septembre ne recouvrait pas entièrement un certain trouble), j'avais suffisamment de recul pour comprendre que l'Amérique, comme tous les prétendants précédents à l'hégémonie définitive croyant naïvement à une quelconque "fin de l'Histoire", ne connaîtrait cette position que pour un temps. Une forme quelconque de déclin et/ou des événements encore imprévisibles l'écarteraient un jour ou l'autre de cette position, car telle fut la loi de l'Humanité dans les millénaires précédent. J'étais toutefois à peu près certain de ne pas voir ce jour, qui serait probablement une affaire de plusieurs générations Révéler le contenu masqué La plus jolie formulation de cette loi que je connaisse est due à Victor Hugo Comme un aigle arrivé sur une haute cime, Il cria tout joyeux avec un air sublime : - L'avenir ! l'avenir ! l'avenir est à moi ! Non, l'avenir n'est à personne ! Sire, l'avenir est à Dieu ! Je constate que les choses vont beaucoup plus vite que je ne l'imaginais Et par des voies non seulement que je n'aurais pas pu imaginer, mais si un auteur de science-fiction m'avait fait lire en 2000 l'Histoire des vingt-cinq années suivantes... j'aurais trouvé que tout cela était palpitant certes, mais manquait quand même singulièrement de réalisme ! Révéler le contenu masqué Hein ? Quelques mecs qui passent les défenses du pays le mieux armé au monde et font s'effondrer deux tours géantes avec des cutters ? Attends t'es marrant mais tu te f... quand même de la gueule des gens là ! Et on n'en est qu'à la première année ! Tu veux concurrencer Tom Clancy ou quoi ? Modifié hier à 16:49 par Alexis 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) hier à 18:16 Share Posté(e) hier à 18:16 Nouvelle alerte sur le risque pour le dollar de perdre son statut de monnaie de réserve mondiale Cette fois-ci par le PDG du plus grand gestionnaire d'actifs au monde... et avec un "petit" détail supplémentaire Le directeur du plus grand gestionnaire d'actifs au monde prévient que le dollar américain pourrait perdre son leadership mondial au profit de la crypto-monnaie Bitcoin. Fink, cependant, est optimiste à propos de l’Europe Larry Fink, le directeur de Blackrock, le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, estime que l'économie mondiale est en danger. « J’entends cela de la part de presque tous les clients, de tous les décideurs avec qui je parle, qu’ils sont plus inquiets de l’économie qu’à tout autre moment de mémoire récente », indique la lettre annuelle de Fink aux actionnaires, aux clients, aux dirigeants et aux politiciens. Fink est particulièrement préoccupé par l'importance de la monnaie américaine comme point d'ancrage du système monétaire mondial : « Les États-Unis bénéficient du rôle du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale depuis des décennies, mais cela n'est pas garanti pour toujours. » (...) « Si les États-Unis ne parviennent pas à maîtriser leur dette, si les déficits deviennent incontrôlables », les États-Unis perdraient leur position de fournisseur de monnaie de réserve mondiale au profit de monnaies numériques telles que le Bitcoin, prévient Fink 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) hier à 18:23 Share Posté(e) hier à 18:23 Le 30/03/2025 à 19:47, Patrick a dit : Autant j'ai pu apprécier Carlson qui sur certains sujets et même dans son interview de poutine était encore capable de soupçons d'esprit critique, autant je n'ai jamais aimé ce type et maintenant je sais pourquoi. Ils n'ont pas changé depuis 2003 et leurs propos ignobles contre la France. Expand La campagne lancée récemment sur le thème «I don't wanna be French» est l'occasion de rappeler que même si beaucoup d'étrangers seraient tout à fait dignes de devenir des Français, s'ils immigraient et s'intégraient, il y a quand même des exceptions... Ce Monsieur Watters notamment 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) il y a 23 heures Share Posté(e) il y a 23 heures (modifié) Le 31/03/2025 à 16:25, Alexis a dit : Texte remarquable, merci La question, comme à chaque fois qu'un "maître à penser secret" est désigné, est de savoir dans quelle mesure il l'est vraiment, et dans quelle mesure son influence est surestimée. Même question que pour un Alexandre Douguine en Russie - dans son cas l'influence est probablement surestimée. Yarvin est décrit comme quelqu'un qui serait lié à Vance, et ses "intuitions" se seraient souvent avérées justes. C'est quelque chose oui, mais ce n'est pas déterminant non plus Ce que je note, c'est que l'essayiste a des formules percutantes en effet, et qui font mouche Je pense que si l’Amérique pouvait décider que nous n’avons de chien dans aucun combat à part le nôtre — et qui nous combattrait, si ce n’est pour combattre nos chiens ? — ce « monde sans alliés » s’avérerait meilleur non pas seulement pour tous les Américains, mais aussi pour tous les autres. Les chiens devraient être libres de courir et de jouer — ils ne devraient pas être enchaînés toute la journée. Le droit à faire la guerre est l’attribut le plus fondamental de la souveraineté nationale. Dans notre avenir néo-westphalien, il n’y a pas d’États fantoches ni de faux pays ; chaque nation est indépendante : elle existe par sa propre puissance. Si cette puissance échoue, elle disparaît C'est formuler en quelques phrases l'abandon total du projet américain - approuvé par beaucoup d'autres - depuis la Seconde guerre mondiale de relations internationales basées sur le droit, et garanties par la force titanesque des Etats-Unis, deus ex machina assurant que "la liberté est en sécurité", assurant en fait que "les chiens sont enchaînés", ceci aussi loin que possible, initialement dans "le monde libre", et en définitive dans le monde entier Selon Yarvin, le titan est fatigué, et surtout il serait meilleur non seulement pour les Etats-Unis - position réaliste - mais aussi pour les principaux intéressés - position proprement réactionnaire - que chaque nation garantisse son existence par sa propre force seulement. L'état de nature ne serait pas seulement le soubassement des relations internationales, ce dont tous les réalistes conviendront mais sans que cela interdise certaines améliorations par un cadre de droit international, simplement contraint à tenir compte des réalités de puissance sous-jacentes. Il serait le meilleur état possible. Ainsi, plus de faux-semblants, la nation qui existe est celle qui sait tenir les autres en respect, et puis c'est tout ! Mon impression personnelle est qu'il y a pas mal de réalistes dans l'entourage de Trump, ils ne sont pas tous réactionnaires dans ce sens-là. Mais d'une part je peux me tromper, d'autre part cela n'exclurait pas que le néo-westphalisme soit le courant dominant sous-jacent... Expand Si je comprend bien le reste de son projet, Yarvin me fait fort penser à un Lambert d'Ardres assez fayot, près à chanter la gloire des puissants pourvu qu'ils maintiennent une distance certaine entre sa petite place chaude et douillette et les rustres prêts à le dépouiller. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lambert_d'Ardres Ce "néo-féodalisme" (si j'ai bien compris) marque une certaine tentative de prise de pouvoir par les nouveaux puissants du moment, légitimée par des "néo-clercs" assez fumeux. Et pour les bons citoyens allant d'un royaume à l'autre pour montrer leur désaccord, il semble complétement ignorer le temps et les sacrifices nécessaires à la mise en place d'un état un peu fonctionnel et parie sur la bonté d'âme des dirigeants laissant aller et venir leur citoyens (leurs sujets plus surement et assez vite). A quand les techno-serfs aux USA ? Amusant aussi, cette croyance de Yaryin dans d'un système royal qui garantirait la stabilité des sociétés, l'a t'il pêché dans Blanche Neige et les sept nains de Disney ou ""A Christmas Prince", téléfilm de Noel de qualité ? De mémoire, le dernier royaume en cours de construction est la dynastie des Kim-il-quelle chose en Corée du Nord. Pour le coup, ceux-là ne laissent aucun de leurs "citoyens" aller et venir et on repassera sur la stabilité relative de la transmission de pouvoir avec éxecution(sss) à la clef.. Et donc les MAGA ont ce héraut des sciences politiques de 3e zone comme mètre à penser ...? Modifié il y a 13 heures par Benoitleg 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) il y a 23 heures Share Posté(e) il y a 23 heures (modifié) erreur Modifié il y a 22 heures par Benoitleg Doublé du précedent Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures Le 29/03/2025 à 20:47, Phacochère a dit : @nemo Ce petit rire narquois des personnes chargées de distribuer les tickets restaurant. Expand Gratuit. @nemo mes excuses Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure Quelques nouvelles de l'administration américaine et des nouvelles coupes dans le personnel. Ca va pas aider à faire baisser le prix des oeufs ... Mais je peux me tromper https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Les-licenciements-dans-le-secteur-de-la-sante-de-Trump-incluent-le-personnel-charge-de-la-lutte-co-49500628/ Révéler le contenu masqué Les licenciements dans le secteur de la santé de Trump incluent le personnel chargé de la lutte contre la grippe aviaire, selon une source Le 01 avril 2025 à 19:27 Partager L'administration Trump a licencié le personnel qui travaillait sur la réponse à la grippe aviaire de la Food and Drug Administration dans le cadre de ses licenciements massifs au sein du ministère de la santé et des services sociaux, selon une source au fait de la situation. Les licenciements de mardi, que de nombreux employés ont appris en tentant d'entrer dans les bâtiments administratifs et en se voyant refuser l'accès, font partie des efforts de l'administration pour réduire la taille du gouvernement fédéral. Le secrétaire d'État à la santé, Robert F. Kennedy Jr, a déclaré qu'il allait licencier 10 000 personnes dans l'ensemble des services de l'agence. Parmi les personnes licenciées mardi figuraient des dirigeants et des membres du personnel administratif du Centre de médecine vétérinaire de la FDA, selon la source, qui ne connaissait pas le nombre exact d'employés licenciés. Le réseau de laboratoires vétérinaires d'investigation et de réponse du centre teste les aliments crus pour animaux de compagnie pour détecter la grippe aviaire. Ces dernières semaines, la FDA a procédé à plusieurs rappels d'aliments pour animaux de compagnie après avoir détecté une contamination par la grippe aviaire. Bien que le personnel du réseau de laboratoires n'ait pas été réduit, la suppression des postes de direction et du personnel administratif entraînera l'arrêt de ses activités, a indiqué la source. Selon Keith Poulsen, vétérinaire et directeur du Wisconsin Veterinary Diagnostic Laboratory, qui a participé à ces efforts, les coupes budgétaires risquent également de disrupter considérablement les efforts déployés pour mettre en place une infrastructure de dépistage de la grippe aviaire pour les fromages artisanaux au lait cru vieillis. En raison de l'épidémie de grippe aviaire, les autorités sanitaires fédérales ont mis en garde contre la consommation de lait cru, qui peut être porteur d'un grand nombre d'agents pathogènes. Près d'un millier de troupeaux de vaches laitières américains ont été infectés par le virus au cours de l'année écoulée. Kennedy est un partisan du lait cru. La coordination des tests de dépistage de la grippe aviaire par le réseau national de laboratoires est essentielle pour suivre et gérer la propagation du virus, a déclaré M. Poulsen. "Vous coupez la tête du leader et nous devons maintenant réinventer la roue. Ce n'est pas dans notre intérêt", a-t-il déclaré. La FDA n'a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire. La grippe aviaire a tué près de 170 millions de poulets, de dindes et d'autres oiseaux dans le cadre d'une épidémie qui a débuté en 2022 et qui a fait grimper le prix des œufs à des niveaux record. Les prix ont quelque peu baissé ces dernières semaines en raison d'une accalmie des nouvelles épidémies et d'une augmentation des importations. (Reportage de Leah Douglas ; Rédaction d'Emily Schmall et Bill Berkrot) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure (modifié) Vu le bordel que nous mets DT et notamment dans son propre pays, et qui n'a ni queue ni tête, alors soit c'est un vendu aux Russes, ou alors ils ont promis de ne pas le louper ce coup ci... ... ;) Modifié il y a 1 heure par Ronfly Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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