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http://www.stern.de/politik/ausland/is-sympathisant-plant-anschlag-mutmasslicher-attentaeter-geht-fbi-in-die-falle-2186378.html (11 avril 2015)

 

Un "sympathisant de l'État islamique" ayant planifié l'attaque de la base militaire de Fort Riley a été arrêté. Le comportement des enquêteurs, qui l'auraient incité à cela, est critiqué. Notamment les enquêteurs lui auraient fourni une liste de matériaux pour construire une bombe et des outils pour la fabriquer.

Modifié par Wallaby
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C'est très arbitraire et assez bas comme remarque ça... C'est vrais que le "LifeStyle" américain est devenu une monstruosité, mais il y a plein de bon côté aux USA, comme à peu près partout dans les pays développés...

Ce qui est vrais c'est que la ségrégation sociale aux USA est en train de devenir un vrais problème existentiel pour le pays...

Une façon de voir. L'autre est de constater que la chose est peut-être enfin en train de venir sur le tapis, dans le débat national après 30 ans de dégradation continue qui ont abouti à un état de polarisation des richesses plus grand que ceux de l'Angleterre victorienne et du "Gilded Age" américain (des années 1870 aux années 10-20), avec le plus faible taux de mobilité sociale du monde développé. 

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Quelle dérive celle consistant a châtier les enfants des chromeurs en leur interdisant les loisirs?! Ils sont aussi privé de joué au football?

J'ai dis ou de privé des gosses de chômeurs de loisir ?  :blink:

 

 

Tu te rend bien compte que c'est n'importe quoi, ou plutôt c'est une infini perversion qui rendrait la plupart des gens saint pré psychotique a court terme. D'un coté on te donne du "cash" en échange de quoi on t'interdit tout un tas de truc, interdiction qui peut etre désocialisante voir tres désocialisant, alors justement que le chomage en lui meme est un chatiment - ou ressenti comme telle - pour la plupart.

Ca tombe bien, je ne suis absolument pas favorable a ce que l'on donne du cash. Il y a bcp d'autres manière d'imaginer des aides.

 

En plus comme les besoins ne sont pas tous uniformes cela permettrait d'essayer de coller au mieux des besoins des bénéficiaires.  

 

 

Dans un pays tel que les USA ou rien n'est gratuit, ne pas avoir de gros revenus c'est être par défaut interdit de mille chose, ne serait ce que de l'acces au crédit qui permet d'accéder a tout le reste.

 

Attention, mon exemple et mon avis de manière plus général concernait la Suisse voir dans une certaine mesure la France

 

 

 

C'est la bienveillance qui tire les gens vers le haut, pas les coup de pieds dans la tronche.

C'est ton point de vue, tout le monde n'est (je crois) pas obliger de le partager. Et mon expérience personnel ainsi que celle d'un certain nombre de personnes que j'ai fréquenté me dis que c'est même tout l'inverse de ce que tu prônes. 

 

 

Sauf si effectivement il s'agit de laisser ces inadaptés hors du chemin ... 

J'ai dis ca ?

 

Marrant comme demander un bête contrôle sur des subsides vous fou automatiquement dans la catégorie nazi mangeur d'enfant ou un enculé d'eugéniste  :happy:

 

Après si tu veux être certain que l'aide destiné a acheter de la nourriture servent a l'achat de nourriture tu monte des commerce "sociaux" ou la subvention est dans le prix, une forme de ticket alimentation, mais sous forme de commerce subventionné.

C'est effectivement un début de solution qui serait très intéressante.

 

 

 si les mecs touchait des monceaux de pognon et passait leur temps au putes avec je comprendrais un peu l'indignation

 

Une telle proposition me semble plus relever de l'éthique protestante telle que Weber la présente.

 

 

Franchement c'est a peu près aussi con qu'interdire l'alcool.

 

 

Tu as quand même une manière bien a toi de discuter quand un sujet sociétale aux antipodes de tes idées est mis sur la table ^^

 

 

Il a ses charmes aussi..... 

Tout a fais, mais pour moi cela ne contre balance de loin pas ce que je perçois négativement. Après c'est purement subjectif, les goûts les couleurs toussa ^^

 

 

Il a ses charmes aussi..... 

Ben c'est un peu tout le problème: "l'art et la manière". Si tu n'as pas de vraie bonne méthode (ou moins pire que d'autres) fondée sur de vraies données, tu n'as que de bonnes intentions dont on sait très bien où beaucoup d'entre elles mènent. Donc "vouloir" changer cet état de fait n'est pas vraiment le fond de l'affaire: tout le monde, de tous les bords politiques, veut le changer et mettre à la place ce qu'ils sont sûrs de voir comme quelque chose de mieux. 

 

Le problème de l'intention dans le cas évoqué est que là aussi, ce genre de législation n'arrive pas sur une page blanche; qui plus est, il s'agit de politique, et encore pire, de politique en période pré-électorale et dans un Etat qui n'a pas d'alternance politique et qui est trusté par une clique politique très particulière. C'est un dominion ultra conservateur sans partage, le fief des frères Koch (qui ont commencé à s'aliéner une partie de la base conservatrice "normale", les agriculteurs et quelques autres) et l'Etat d'un gouverneur qui s'est signalé par sa nullité absolue et l'une des politiques les plus catastrophiques qui soit depuis plusieurs années, nommément la disparition immédiate du déficit de l'Etat, lancée conjointement avec une diminution drastique et massive des impôts, d'une année sur l'autre.... Au prix de tous les budgets, notamment la destruction annoncée du secteur de l'éducation dans l'Etat. Avec pour résultat annoncé que le déficit et la dette de l'Etat ont augmenté massivement (et continuent à le faire, la baisse de taxe ne produisant pas l'effet miracle attendu par la droite US), alors même que nombre de ses missions ne sont plus que très mal et très peu assurées (construction/entretien/renouvellement d'infrastructures, éducation, administration....), faisant fuir des investisseurs potentiels et entreprises en place, baisser les rentrées fiscales (de beaucoup, et encore pire, brutalement au moment de la "transition") et dégradant la note de crédit de l'Etat. 

 

N'ayant aucun bilan positif à défendre face à une élection (qu'il a finalement gagnée de justesse.... Mais avec un tiers des élus républicains de l'Etat qui ont pris parti pour le candidat démocrate), il a fait comme tant d'autres ultra-conservateurs; il dépense plus en com, et il s'enfonce à tombeau ouvert dans les problématiques chéries et immatérielles de l'ultra-droite US (avortement et contraception, discrimination, place de la religion, droits des minorités et gays....), pour faire du bruit, inventer ou accroître des problèmes érigés en catastrophes nationales.... Une pure stratégie de fuite en avant dans le toujours plus délirant qui continue aujourd'hui et a réussi à diviser les républicains du Kansas, Etat complètement à droite, entre conservateurs raisonnables (on ne parle même pas de républicains au Kansas: il n'y a que des conservateurs pour ainsi dire) et les tarés (Tea party, Talk Show Conservatives et droite ultra religieuse). Sa réélection n'est due qu'à ce caractère très ancré à droite (notamment dans le fait du vote "affectif": on hérite souvent de sa tendance, et l'attachement est assez personnel) de l'Etat et une participation faible (aidée par les multiples dispositifs de handicaps au vote qui dérange). 

 

D'où mon point sur ce problème particulier, qui s'inscrit dans ce paysage, et a donc bien peu de chances d'être abordé correctement, d'être dimensionné correctement (il ne touche qu'une faible proportion de la population bénéficiant de ces aides).... Et donc d'être traité correctement par des mesures et moyens tapant juste (ce qui est mis en place a plus de chances de coûter pour rien et de créer plus de problèmes que ça n'en résout). C'est par ailleurs une mesure qui vise à faire croire que le gouvernement s'attache à une bonne gestion, alors que ça représente des montants qui sont essentiellement des clopinettes.... Et qui ne devraient pas avoir une telle pub. Pourtant, cette mesure a une énorme publicité.... Innocent? Non, un politicien aux abois, au bilan catastrophique, qui essaie de tirer tous azimuts pour désigner des coupables, faire des économies de bouts de chandelle présentées comme des mesures radicales et innovantes, et se faire bien voir en cette période pré-électorale nationale (l'élection de gouverneur au Kansas est décalé par rapport à l'agenda national, mais il y a quand même élections en 2016 (l'autre partie du parlement de l'Etat), et c'est aussi le moment de se faire bien voir pour l'échelon national: convention républicaine et toussa). 

Excellent poste, très bien argumenté, plaisant a lire.

 

Je ne peux que plussoyer ta jolie démonstration.

 

 

C'est très arbitraire et assez bas comme remarque ça... 

 

Je sais qu'on est a l'heure du village mondiale, mais j'ose encore penser qu'a titre individuelle je n'aime pas tout ni tout le monde et que certaine société me semble être de parfait contre exemple pour ce que je souhaite comme futur pour mon pays.

 

 

C'est vrais que le "LifeStyle" américain est devenu une monstruosité, mais il y a plein de bon côté aux USA, 

Cf réponse a Tancrède plus haut.

 

 

comme à peu près partout dans les pays développés..

Je pourrais te rétorqué que c'est "assez arbitraire et bas comme remarque", il y a de très bon cotés aussi des les pays sous développés ;)

Une façon de voir. L'autre est de constater que la chose est peut-être enfin en train de venir sur le tapis, dans le débat national après 30 ans de dégradation continue qui ont abouti à un état de polarisation des richesses plus grand que ceux de l'Angleterre victorienne et du "Gilded Age" américain (des années 1870 aux années 10-20), avec le plus faible taux de mobilité sociale du monde développé. 

D'ailleurs est-ce que cette problématique commence a apparaître dans le débat public ? et est-ce que l’élite commence a se rendre compte de ce problème ?

Modifié par Tonton Flingueur
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Marrant comme demander un bête contrôle sur des subsides vous fou automatiquement dans la catégorie nazi mangeur d'enfant ou un enculé d'eugéniste  :happy:

Tu ne demandes pas un "bête contrôle" du tout. Ou alors il y a un quiproquo. Tu es d'accord avec l'article qui préconise non pas de contrôler mais d'interdire. Ça n'a rien à voir.

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C'est très arbitraire et assez bas comme remarque ça... C'est vrais que le "LifeStyle" américain est devenu une monstruosité, mais il y a plein de bon côté aux USA, comme à peu près partout dans les pays développés...

Ce qui est vrais c'est que la ségrégation sociale aux USA est en train de devenir un vrais problème existentiel pour le pays...

 

 

Un pays où l’on a le droit de s’entrainer au calibre 50 ne peut pas être mauvais.

 

Sinon pour l’anecdote un peu zarbi, de façon presque universel, beaucoup d’expats de tas de nationalités (et surtout les femmes) mon dit que c’est un pays formidable, mais pas pour élever des gosses…

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Tu ne demandes pas un "bête contrôle" du tout. Ou alors il y a un quiproquo. Tu es d'accord avec l'article qui préconise non pas de contrôler mais d'interdire. Ça n'a rien à voir.

Je suis d'accords pour qu'un certain nombre d'activité de loisir (tatouage, cinéma, ect) ne soit effectivement pas financer avec de l'aide social mais je ne suis pas pour autant pour que tout les loisirs ne soit pas financer par l'aide social (dans le cadre d'activité sportive notamment). 

Donc oui cella s'apparente plus pour moi a un bête contrôle qu'a une interdiction pure et dur de tout ce qui ressemble a un loisir. 

 

 

Un pays où l’on a le droit de s’entrainer au calibre 50 ne peut pas être mauvais.

:lol:

 

Sinon pour l’anecdote un peu zarbi, de façon presque universel, beaucoup d’expats de tas de nationalités (et surtout les femmes) mon dit que c’est un pays formidable, mais pas pour élever des gosses…

Tout a fais d'accords. On pourrait aussi rajouter a l'exemple, quand tu arrives a une périodes de ta vie ou tu commences a avoir besoin du système de santé et que tu n'es pas dans la catégorie des nantis.

Modifié par Tonton Flingueur
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D'ailleurs est-ce que cette problématique commence a apparaître dans le débat public ? et est-ce que l’élite commence a se rendre compte de ce problème ?

Oui, elle a commencé à faire partie des quelques sujets "tête d'affiche" dans les deux partis, même si les réponses sont pour l'instant encore juste des resucées des programmes précédents: c'est le premier pas, en politique, à savoir que tu ne changes rien à tes politiques annoncées (sauf peut-être quelques aménagements cosmétiques), mais tu mets la problématique qui pèse sur le tapis, à laquelle ton programme est censé répondre. Des programmes adaptés pour réellement commencer à traiter le problème (bien ou mal, c'est encore autre chose) sont l'étape suivante. Mais républicains (qui niaient encore le phénomène fin 2014; ils ont du avoir des retours d'enquêtes et de "city hall debates" depuis, et pris un peu le pouls du pays hors de FoxNews) et démocrates ont désormais le terme de "wealth inequality" dans la liste des 4-5 sujets qu'on évoque tout le temps, quel que soit le sujet qui fait polémique dans le news cycle de la semaine. Les démocrates sont nettement plus en pointe là-dessus, d'abord parce que c'est plus en conformité avec leur plate-forme depuis un bail (en fait c'est en bonne partie -plus ou moins prononcée- leur plate-forme depuis Roosevelt, avec une éclipse prononcée sous Clinton et dans les années de la bulle internet), mais aussi depuis peu:

 

- parce que Obama en a fait un cheval de bataille de son 2ème mandat, particulièrement depuis la branlée des dernières élections: il a beaucoup fait campagne au porte à porte ces derniers mois pour forcer la thématique (dans ces termes de "income inequality"/"income injustice") dans le débat national, et ça a bien pris. Un exemple réussi de ce qui s'appelle aux USA le "bully pulpit", soit le pouvoir de provoquer le débat via une position en vue, mode d'action présidentiel qui a réellement été lancé par Franklin Roosevelt (qui avait une grande gueule et était en colère après tout), dans des circonstances socio-économiques très similaires à l'époque actuelle, et précisément pour obtenir le même effet, à savoir la lutte contre la concentration de la richesse (qui a débouché, pendant et après sa présidence, par un plus grand pouvoir d'arbitrage de l'Etat, la lutte antitrust, les premiers signes de minimas sociaux et d'aide aux  défavorisés....). 

 

- parce que le parti démocrate aussi est en phase de tension interne, avec la base liberals/progressists qui en a marre d'être mise au rencart par les "blue dogs" (dont Hillary Clinton est souvent -assez à tort d'ailleurs- présentée comme la chef de file, une "républicaine en habits de démocrate"), et s'est fortement insurgée, ce qui a tendance à leur mettre le vent en poupe, surtout dans le contexte de la candidature à la présidentielle de 2016 qui voit Hillary en "candidate inévitable", favorisant l'envie d'une alternative pour avoir un débat au-delà des seuls liberals/progressists hardcore. Et la figure qui émerge de façon dominante pour porter cette envie de débat (toujours plus forte quand il y a un visage pour la représenter) est la sénatrice du Massachussets, Elizabeth Warren qui, même si elle a annoncé fermement qu'elle ne serait pas candidate (hier soir, elle a refusé une donation d'1 million de dollars faite en directe par le comédien Bill Maher dans son Talk Show, si elle se présentait), semble représenter cette tendance sociale (y compris dans le parti républicain où elle a une assez bonne image de probité) et entend peser dans le débat en organisant cette énergie en force politique (interne à la Convention Nationale Démocrate - vu qu'il n'y a pas de parti démocrate ou républicain au niveau fédéral). 

 

Pour "l'élite" non politique ou médiatique, il y a aussi un peu de remous, même dans les pires bastions du conservatisme fiscal bien pensant (ceux qui pensent qu'ils méritent chaque penny qu'ils gagnent et que rien ni personne d'autre n'a participé à leur réussite): les milliardaires du pétrole et de la Silicon Valley. C'est pas majoritaire, loin de là, mais plusieurs milliardaires ont réussi à créer des mouvements et de la visibilité pour développer leur argumentation d'un capitalisme dévoyé et inefficace dans la redistribution non étatique des richesses. Ca reste encore petit, ceci dit, par rapport à la déferlante de fric et de pub sans précédent (merci Citizens United) qui va arriver pour la prochaine période électorale (les deux premiers candidats républicains annoncés, Ted Cruz et Rand Paul, ont déjà à eux deux levé 60 millions en une semaine, alors qu'ils sont des candidats à zéro chances d'être nominés ou de gagner). 

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Un pays où l’on a le droit de s’entrainer au calibre 50 ne peut pas être mauvais.

 

Sinon pour l’anecdote un peu zarbi, de façon presque universel, beaucoup d’expats de tas de nationalités (et surtout les femmes) mon dit que c’est un pays formidable, mais pas pour élever des gosses…

 

Faut pas croire tout ce qui se dit m'sieur ! 

 

Non venait dans nos charmants états du Sud ,vous verrez on s'occupe vachement bien des mômes . Par chez moi en Louisiane ils découvrirons le retour à la nature ,les bayous ,la chasse aux alligators ,la bonne bouffe cajun et la musique qui va bien .

Sinon la Géorgie s'est sympa ,pour apprendre le boulot de bûcheron ,j'ai un cousin qui y vit .

 

Non m'sieur ,on est peut-être pas bien riche mais il n'y a plus de "fruit mûre" qui pendent aux arbres dans l'Alabama ,le KKK s'est plus ce que sa a était m'sieur ...

Eviter le Nord m'sieur ,des Yankees prétentieux et trop propre sur eux m'sieur !

 

 

Bon je suis en mode je fais le zouave (le comble pour un Bigor Marsouin  :huh: ) mais j'aurais l'occase de le faire (vivre là-bas ) sa me botterais bien le vieux Sud ,la Louisiane  ou je me prendrais pas la tête ,surtout en vivant au fin fond du Bayou .

Je me visiterais le Texas et le Géorgie (en fait tout les états du Sud ,Le Nord aussi sa doit-être sympa ) .

 

Mais j'emmènerais pas les gosses  :D ,ils aiment trop leur petit confort pour vivre comme moi je le voudrais  :D .

 

Bon après il y a ce que l'on s'imagine et la réalité ,donc faut éviter d'y allé la fleur au fusil en pensant que sa sera exactement comme on ce l'imagine .

 

 

Putain Johnny Cash ,s'est pas le pied  =D

 

 

 

 

Putain celle là s'est la Rédemption  =D  Hurt !

 

Bon je sors ,mais s'est trop bon Johnny Cash  8)

 

Hell o i'm Johnny Cash  ;)

 

 

Edit :

 

J'ai remarqué un truc avec Johnny Cash il avait une façon de se positionné face aux gens ,comme si ils étaient hyper respectueux de ceux-ci ou de ce qu'il représenté :

 

 

 

 

La chanson sur Ira Hayes ,l'indien Pima qui monta avec ses frères marines les couleurs à Iwo-Jima .

 

Cela va paraître très con et naïf ,mais en fait pour moi ,les USA s'est Johnny Cash .

Le mec qui a commencer avec rien et qui a fini en haut .

 

Et qui n'a jamais oublier d'ou il venait même si le fait d'être une star il a fait des conneries . 

Un sacré Bonhomme qui a cherché une Rédemption ,et à mon avis qui l'a trouvé , sa doit-être merveilleux Johnny Cash qui chante dans la pureté du ciel , au Paradis entouré des Anges .

 

 

Bon s'était ma minute space mais bon Johnny Cash ,s'est Johnny Cash  =D

Modifié par Gibbs le Cajun
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Le problème de l'éducation aux USA c'est que c'est très cher et même avec des revenus confortables tu peux très bien être incapables de mettre tes mômes dans la meilleure école du coin. Soit parce que ces trop cher, soit parce que c'est trop cher et que tu ne correspond pas aux critères de sélection.

En France si le gamin est bon il peut même sans le sous faire de belles études pour peu qu'il habite près d'une grande ville lui permettant d'aller dans un bon lycée sans passer par la nécessité d'un internat.

 

L'autre problème c'est l'autonomie des gosses, en gros tant qu'ils n'ont pas de voiture il ne peuvent rien faire - sauf l'école et encore ca dépend un peu du ramassage scolaire - sans leur parent parce que tout est tres loin ... mais vraiment très loin. Donc si tu as des horaires qui finissent tard t'es obligé de payer des heures et des heures de fille au pair etc.

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En effet g4lly, le système éducatif des Etats-Unis est très, très onéreux.

 

Et ceci particulièrement au niveau universitaire, que ce soit en Grande-Bretagne désormais – terminé les études supérieures à faible coût – ou aux universités des Etats américain qui n’ont pas toutes les mêmes valeurs en niveau donc en modalité financière.

 

Les étudiants admis sont obligés – dans ces deux pays - à prendre des prêts très élevés pour leurs études.qui est fonction de l’Université et du type d’étude qui va handicaper durant de longue années les futurs étudiants qui n’ont d’autre alternative que de réussir et d’obtenir un emploi susceptible de permettre les remboursements de leurs prêts sur de longues années parfois.

 

Les critères de sélection enfin, totalement différent des nôtres. Il faut reconnaitre que la grande masse des étudiants du secondaire et plus particulièrement de la population noire est des plus faibles en niveau.

 

Comme déjà indiqué à Gibbs le Cajun, je suis resté assez longtemps aux USA au sein de mon groupe Américain à Chicago, Tempé dans le désert de l’Arizona ou à Los-Angeles, et nos entretiens sur les Etats du Sud que je ne connais pas. C’est promis Gibbs le Cajun, nous allons nous faire la mythique Route 66 d’ailleurs organisé par le forum. =)

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/U.S._Route_66

 

Mes entretiens avec les personnels de mon groupe qui va des « charmen » à la quasi-misère la plus basse de « certaines petites mains », sans âge,  travaillant dans une atmosphère d’Etain-Plomb de poudre en suspension dans l’air, m’on permit de toucher du doigt la vie des familles de nos amis d’Outre-Atlantique. Je me souviens de l’inquiétude des parents dont les enfants étaient admis en Université. Prêts, niveau des études, années d’études, étaient autant de soucis.

 

Par contre, les étudiants, dans le cadre Universitaire,  sont dans un système unique corporatif dont ils seront membres à vie (avec cravates, logo distinctif et certificats) qui seront une entité fermée et qui s’épauleront durant toutes leurs vies professionnelles et privées. Le nom m’échappe mais l’acceptation au sein des ces entités ne sont pas simples et correspondent  à des rites initiatiques avec un brin prononcée de violences et d’acceptation de l’autorité.

 

Franchement, sur ce point, nous avons, nous Français, un système universitaire (que je connais un peu pour avoir été en 1999 / 2000 à l’Université François Rabelais de Tours pour un master d’informatique) et un système d’écoles d’ingénieurs encore plus élaborés dont les firmes américaines viennent proposer des contrats aux futurs ingénieurs dès les sorties de leurs formations, et même avant parfois.

 

L’obtention d’un diplôme de haut niveau aux USA, correspond a une formation longue te difficile – comme en France – mais aussi à es montants extraordinaires de frais d’études.

Mes collègues américains m’ont indiqués des montants de 40.000 dollars à l’époque (année 90) pour la première année universitaire, le logement sur le campus universitaire, les frais multiples, pour une formation prévue sur deux années. Pas étonnant, que nombres d’étudiant(e)s travaillent et font des petits boulots.

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Par contre, les étudiants, dans le cadre Universitaire,  sont dans un système unique corporatif dont ils seront membres à vie (avec cravates, logo distinctif et certificats) qui seront une entité fermée et qui s’épauleront durant toutes leurs vies professionnelles et privées. Le nom m’échappe mais l’acceptation au sein des ces entités ne sont pas simples et correspondent  à des rites initiatiques avec un brin prononcée de violences et d’acceptation de l’autorité.

 

Le "système grec" des fraternités et sororités, qui est sérieusement mis sur la sellette depuis quelques années en raison de sa grande responsabilité dans les proportions hallucinantes de viols et agressions sexuelles sur les campus US (il semble aujourd'hui que toute fille entrant à l'université a en moyenne 20% de chances de se faire violer). Pas mal de chapitres locaux de telle ou telle fraternité se sont fait purement et simplement fermer récemment, même si le système fait de la résistance (omerta, complicité des autorités d'universités -et souvent autorités locales-, anciens qui s'en mêlent....). 

Mais faut quand même dimensionner le phénomène: les étudiants inscrits dans une fraternité ou sororité sont une minorité sur les campus, même plutôt une assez petite minorité. 

 

L’obtention d’un diplôme de haut niveau aux USA, correspond a une formation longue te difficile – comme en France – mais aussi à es montants extraordinaires de frais d’études.

Mes collègues américains m’ont indiqués des montants de 40.000 dollars à l’époque (année 90) pour la première année universitaire, le logement sur le campus universitaire, les frais multiples, pour une formation prévue sur deux années. Pas étonnant, que nombres d’étudiant(e)s travaillent et font des petits boulots.

 

Ca dépend des étudiants et des universités, mais en moyenne un diplômé américain sort de ses études avec 30 à 35 000 dollars de dette étudiante, sachant que la grande majorité d'entre eux se contentent des 4 ans d'undergraduate studies (qui en font des "bachelors"), voire ne font que les deux premières années. Pour beaucoup aussi, les deux premières années se font dans un "community college" (université publique de l'Etat), nettement moins cher, pour accéder ensuite à un établissement plus prestigieux (et plus cher) pour l'obtention du diplôme (et d'une bourse si possible), voire poursuivre ensuite des postgraduate studies (masters et PHD). 

C'est cette somme moyenne de 30-35 000 dollars qui, couplée aux énormes difficultés pour les diplômés à trouver un job correct dans l'économie américaine telle qu'elle fonctionne aujourd'hui (disproportion totale du coût des études avec le nombre disponible de postes permettant de rembourser) qui pose un problème majeur ayant atteint le niveau politique et s'inscrivant dans deux points de débat majeur, à savoir l'échelle des inégalités (dont on a parlé plus haut: ascenseur social bloqué, polarisation des richesses....) et l'endettement des USA, public et privé. Le cumul de la dette étudiante aux USA est aujourd'hui d'1,3 trillions de dollars, dont on sait qu'une bonne partie ne pourra jamais être remboursée. 

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C'est cette somme moyenne de 30-35 000 dollars qui, couplée aux énormes difficultés pour les diplômés à trouver un job correct dans l'économie américaine telle qu'elle fonctionne aujourd'hui (disproportion totale du coût des études avec le nombre disponible de postes permettant de rembourser) qui pose un problème majeur ayant atteint le niveau politique et s'inscrivant dans deux points de débat majeur, à savoir l'échelle des inégalités (dont on a parlé plus haut: ascenseur social bloqué, polarisation des richesses....) 

A ce sujet d'ailleurs, est-ce que les études universitaires sont une obligation pour éventuellement décrocher un "travail correcte" ou il est tjs possible de "a la sueur de son front" de monter les échelons comme dans l'image d'épinale de l'économie us ?

 

J'avais lu il y a qq moi que les US avaient commencé a s'inspirer du modèle suisse d'apprentissage et qu'on avait commencer a former qq écoles/entreprises a cette "nouvelle" manière d'enseigner. 

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J'avais lu il y a qq moi que les US avaient commencé a s'inspirer du modèle suisse d'apprentissage et qu'on avait commencer a former qq écoles/entreprises a cette "nouvelle" manière d'enseigner. 

Il y a toujours plein "d'expériences" en cours de route, ça veut pas dire que leurs leçons sont ensuite retranscrites en systèmes à grande échelle, mais il est vrai que, comme dans beaucoup d'endroits, le monde de l'éducation supérieure a plus ou moins lentement commencé à se réinventer en raison entre autres des coûts extrêmes qu'il a pu atteindre, de l'apparemment insoluble problème de la transition études-travail (manque de plates-formes et systèmes de transition et orientation, peu d'efforts sur les jeunes diplômés hors d'une faible portion, trop peu de capital d'investissement disponible -et de structures d'encadrement- pour en laisser une partie tenter leur chance en créant leur taf/boîte) et des problèmes d'adéquation entre les contingents "fournis" par les universités et le monde du travail. 

 

 

A ce sujet d'ailleurs, est-ce que les études universitaires sont une obligation pour éventuellement décrocher un "travail correcte" ou il est tjs possible de "a la sueur de son front" de monter les échelons comme dans l'image d'épinale de l'économie us ?

 

 

Je l'ai mentionné plus haut: la mobilité sociale des USA est depuis pas mal de temps la plus faible du monde développé: trop de barrières plus ou moins informelles (sociales, économiques, culturelles, géographiques, mobilité physique....) se sont créées et s'ajoutent au niveau extrême des inégalités et de polarisation des richesses, si bien qu'il y a réellement un phénomène de blocage social pour une portion importante et sans cesse croissante des générations entrées sur le marché du travail depuis la fin des années 80. L'idéologie du "lifting yourself up by your bootstraps" n'est plus qu'un artifice de discours de campagne conservateur, dans lequel plus beaucoup de monde ne croit longtemps. Ils y tiennent encore (comme nous en Europe d'ailleurs), mais y croient moins et pour moins de temps. D'ici à ce que mentionner ça dans le discours soit ressenti comme une insulte.... 
Mais le pire est que les études universitaires restent statistiquement nécessaires, même si par défaut: hors quelques spécialités représentant un pourcentage faible de population (même si pas négligeable, attention), ceux qui n'ont pas un tel diplôme ont quasi systématiquement de plus bas revenus, un emploi plus irrégulier, de plus longue période d'inactivité et peu de perspectives. Ca veut pas dire que c'est très rose pour les gros bataillons des diplômés (la majorité étant en plus diplômés de community colleges, et en général se contentant ou ne pouvant s'offrir au mieux qu'un titre de "bachelor of") dont une part énorme rament dans des jobs bas de gamme pompeusement qualifiés "d'entry jobs"; genre tu vises la grosse boîte où tu commences comme réceptionniste avant de grimper..... Ce qui était vrai avant, et quasiment plus aujourd'hui. Les jobs de serveurs (restos et fast foods), réceptionnistes, gardiens de parking/voituriers.... Qui étaient jadis des jobs de débuts de carrière (ou d'étudiants), ou de transition, sont désormais une part énorme des jobs disponibles, comme en témoignent l'âge moyen de ces professions (autour de 29-30 ans maintenant) et le temps d'occupation de ces postes (conséquence aussi: il y a nettement moins de tels jobs disponibles pour les étudiants, qui se retrouvent souvent avec des trucs encore plus précaires, irréguliers et moins payés; détail notable par exemple, avec la proportion hallucinante d'étudiantes qui se prostituent et/ou font du porno sur internet).
Cette composition qualitative du marché du travail est l'une des principales causes de l'explosion de la dette étudiante (avec les structures de coûts des universités), dont une partie croissante sera toujours plus insolvable: la proportion de diplômés qui se retrouvent dans des jobs ne leur permettant pas de rembourser leurs prêts est très importante et sans cesse croissante, les enferrant en outre souvent dans un cycle perpétuel de d'endettement (prêts à la consommation et autres arnaques modernes; un secteur très peu régulé aux USA et cause de nombreux scandales). 
La part des "middle class jobs" n'a fait que se réduire aux USA depuis 30 ans, et c'est là que la plate forme politique sur le discours du "by your boostraps" est sans doute en train de rebondir: toucher de trop à l'idéal de la classe moyenne n'est pas du goût des Américains, et il a fallu pas mal de temps pour qu'une part significative de la population s'en rende compte individuellement et collectivement (dans les années 90 et 2000, ça a été masqué en partie par la conjonction de la baisse des prix -denrées importées de pays à très bas coûts de main d'oeuvre- et de l'explosion de l'endettement privé).... C'est, il semblerait, en train d'arriver, avec les premiers signes d'organisation politique du phénomène à une certaine échelle: succès des "moral mondays", regain d'intérêt -même dans certaines parties de la droite- pour le syndicalisme (qui reste cependant aujourd'hui en danger), début de restructuration des liberals et progressives dans la DNC autour notamment de la personnalité d'Elizabeth Warren qui a atteint une notoriété nationale, mouvement pour la hausse du salaire minimum (centré autour des organisations d'employés de la grande distribution et de la restauration rapide).... 
Modifié par Tancrède
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Je pense que Janmary apporté une explication sur un système sans rentré dans le détail 

 

Le "système grec" des fraternités et sororités, qui est sérieusement mis sur la sellette depuis quelques années en raison de sa grande responsabilité dans les proportions hallucinantes de viols et agressions sexuelles sur les campus US (il semble aujourd'hui que toute fille entrant à l'université a en moyenne 20% de chances de se faire violer). Pas mal de chapitres locaux de telle ou telle fraternité se sont fait purement et simplement fermer récemment, même si le système fait de la résistance (omerta, complicité des autorités d'universités -et souvent autorités locales-, anciens qui s'en mêlent....). 

Mais faut quand même dimensionner le phénomène: les étudiants inscrits dans une fraternité ou sororité sont une minorité sur les campus, même plutôt une assez petite minorité. 

 

 

 

 

 

Janmary est peut-être pas rentré dans le détail ,mais il a quand même expliqué que sa restait un truc violent ces "clubs" .

 

 

 

Par contre, les étudiants, dans le cadre Universitaire,  sont dans un système unique corporatif dont ils seront membres à vie (avec cravates, logo distinctif et certificats) qui seront une entité fermée et qui s’épauleront durant toutes leurs vies professionnelles et privées. Le nom m’échappe mais l’acceptation au sein des ces entités ne sont pas simples et correspondent  à des rites initiatiques avec un brin prononcée de violences et d’acceptation de l’autorité.
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http://blogs.lecho.be/fairtrade/2015/03/flash-boys-un-an-apr%C3%A8s.html (17 mars 2015)

 

Michael Lewis, l'auteur du livre "Flash Boys", un pamphlet sur le trading à haute fréquence (...) ancien trader, devenu écrivain, maintient toujours que les marchés américains sont truqués et qu'ils pénalisent le petit investisseur.

Modifié par Wallaby
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Et ceci particulièrement au niveau universitaire, que ce soit en Grande-Bretagne désormais – terminé les études supérieures à faible coût – ou aux universités des Etats américain qui n’ont pas toutes les mêmes valeurs en niveau donc en modalité financière.

Les étudiants admis sont obligés – dans ces deux pays - à prendre des prêts très élevés pour leurs études.qui est fonction de l’Université et du type d’étude qui va handicaper durant de longue années les futurs étudiants qui n’ont d’autre alternative que de réussir et d’obtenir un emploi susceptible de permettre les remboursements de leurs prêts sur de longues années parfois.

 

D'après les spécialistes, ce sera d'ailleurs la raison de la prochaine crise financière. Pour tout un tas de raisons sociales et économiques, il semblerait que les salaires trouvés par ces étudiants ne permettent pas de rembourser le prêt, et ceux ci ayant été financiarisés pour être introduit dans le système boursier (comme les sub prime), certains annoncent d'ors et déjà que l'action basée dessus ne vaudra dans un futur proche que le papier et l'encre dessus...

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Ce qui m'avait surpris l'an dernier c'était cet article faisant part des retards sur les prêts étudiants des retraités ....

 

http://etudiant.lefigaro.fr/international/actu/detail/article/etats-unis-certains-retraites-peinent-a-rembourser-leur-pret-etudiant-8766/

 

Je pensais peut être à tort qu'ils avaient eu une carrière plus stable et une facilité à rembourser leurs prêts comparé à la nouvelle génération, mais je suppose que sur +40 ans les taux ont du bondir.

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Et j'adore John Oliver même si il n'est pas du niveau de Bill Maher

Il a gagné des points et du "street cred" avec son interview de Snowden: non seulement c'est pas facile à obtenir et il a bien joué la surprise, mais surtout, il s'est pas laissé balader par le transfuge et a bien mené la danse. 

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Yep, il a relativement bien géré Snowden, même si il aurait dût lui rentrer dans le mars un peu plus...

J'ai beaucoup aimé son show sur le délire des saisies abusives et sans raisons https://m.youtube.com/watch?v=3kEpZWGgJks

Et celui sur miss America était bien marrant aussi https://m.youtube.com/watch?v=oDPCmmZifE8 les questions posées aux candidates sont vraiment WTF O_O

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http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2015/04/12/nouvelle-bavure-policiere-aux-etats-unis_4614592_3222.html

Ooooops j'ai tiré avec mon Sig alors que je pensais utiliser mon taser ... désolé!

https://www.youtube.com/watch?v=4IarNpHfyB4
 

« Il m'a tiré dessus, il m'a tiré dessus. Oh mon dieu, je perds mon souffle. » Eric Harris est mort le 2 avril, à Tulsa dans l'Oklahoma, succombant au tir mortel d'un officier judiciaire de réserve américain, rapporte le NY Daily News. Après avoir couru après lui dans la rue, Robert Bates, un ancien policier de 73 ans, l'appréhende, et lui tire dessus par erreur, pensant faire usage de son Taser.

Cette nouvelle bavure policière aux Etats-Unis entre un membre des forces de l'ordre blanc et un suspect noir est passée plutôt inaperçue jusqu'à la diffusion d'une vidéo de l'interpellation par la police, dimanche 12 avril. Une minute douze d'une scène stupéfiante. Les images montrant les circonstances de la mort de Walter Scott en Caroline du Sud, abattu de plusieurs balles dans le dos quelques jours plus tard, avaient fait basculer l'afffaire, qui aurait pu rester un fait divers comme il y en tant aux Etats-Unis.

« Une erreur »

On y voit l'interpellation d'Eric Harris depuis la caméra portée par l'officier Bates, qui assistait les policiers cherchant à arrêter le suspect après l'avoir pris en flagrant délit, tentant de vendre une arme à des policiers sous couverture. Alors que M. Harris, qui n'était pas armé, passe en courant à côté de sa voiture, M. Bates le poursuit. Alors qu'il l'a déjà rattrapé, il lui tire une balle dans le corps, persuadé qu'il tient son Taser en main. Et lâche son arme, affolé.

« Je lui ai tiré dessus ! Je suis désolé. »

« C'était une erreur. » Voilà l'explication officielle donnée ensuite, explique le NY Daily News dans un nouvel article publié après la révélation de la vidéo.

Mais le moment le plus choquant de la vidéo, souligne le site Vibe, arrive après le coup de feu. Eric Harris, touché, crie alors de douleur et de panique.

« Il m'a tiré dessus, il m'a tiré dessus. Oh mon dieu, je perds mon souffle. »

Le suspect blessé est alors toujours violemment maintenu au sol par au moins trois policiers, dont on peut entendre l'un d'eux lancer, en conclusion de la vidéo : « J'emmerde ton souffle. »

Selon Vibe, le capitaine Billy McKelvey a affirmé que la police n'enquêterait pas sur la mort d'Eric Harris à moins que le bureau du shérif ne leur demande. « Et ils ne nous ont pas demandé de le faire. »

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