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Un climat tout simplement délirant ...  Les terroristes de boston ont très probablement fait une recherche sur google de sac a dos et cocote minute avant de faire leur attentat ... Ou pas !  J'appelle pas ça de l'anti-terrorisme, j'appelle ça du travail d'amateur ... Un simple travail de renseignement aurait du faire apparaitre qu'aucun danger n'existe avec cette journaliste ... Pendant ce temps, de vrais terroristes s'affairent ailleurs devant bien rire de ces conneries

Le gros probleme au USA c'est qu'il pense combattre le terrorisme ...

... en combattant extensivement les terroristes

Sauf qu'en combattant extensivement les terroristes ... ils justifient le terrorisme, dans le sens ou effectivement les terroristes réussissent systématiquement et facilement a faire changer durablement le mode de vie des américains.

Lutter contre le terrorisme c'est faire en sorte que les actions terroristes n'aient aucune influence, et donc quel deviennent tellement vaines que ce mode de pression n'ai plus d’intérêt comme arme politique.

Penser empêcher toutes les actions terroristes c'est non seulement vain mais ça n'apporte rien a la lutte anti terrorisme. C'est le même cul de sac que le bouclier ABM.

L’intéressant la dedans c'est la facilité avec laquelle la population accepte la disparition de son intimité, juste pour soit disant éviter quelques morts américains. En pratique le nombre de mort lié au terrorisme est ridiculement faible par rapport a celui lié a l'obésité, au téléphone au volant, a l'alcool et aux stup, a la pollution, au fusillades columbinesque ... qui eux ne sont pas une fatalité contrairement au terrorisme qu'on pourrait assimiler a une bête "petite catastrophe naturelle".

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En pratique le nombre de mort lié au terrorisme est ridiculement faible par rapport a celui lié a l'obésité, au téléphone au volant, a l'alcool et aux stup, a la pollution, au fusillades columbinesque ... qui eux ne sont pas une fatalité contrairement au terrorisme qu'on pourrait assimiler a une bête "petite catastrophe naturelle".

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Au lendemain de l'annonce de la fermeture pour raisons de sécurité d'une vingtaine d'ambassades dimanche, le département d'Etat a diffusé ce vendredi un avis de prudence à l'attention de tous ses ressortissants dans le monde: des attentats sont possibles en août  particulièrement en Afrique du Nord et au Moyen-Orient avec un risque accru dans la péninsule arabique. 

«Les informations actuelles suggèrent qu'Al-Qaïda et ses organisations affiliées continuent à préparer des attentats terroristes dans cette région et au-delà. Ils pourraient concentrer leurs efforts pour perpétrer des attaques d'ici la fin août», a précisé le département d'Etat. Cette recommandation évoque «des attentats terroristes potentiels dans les transports et d'autres infrastructures touristiques». Cette mise en garde a été lancée sur la base d'informations «spécifiques et crédibles», a précisé un responsable américain sous couvert d'anonymat.

«Les Etats-Unis sont visés au quotidien par des menaces, mais cela atteint un nouveau seuil», a estimé Jason Chaffetz, un républicain qui a notamment critiqué l'administration Obama pour sa gestion de la sécurité dans ses ambassades. «Il y a une vraie menace au niveau mondial», a-t-il poursuivi. Pour lui,  l'importance des programmes de surveillance antiterroriste sont plus importants que jamais, alors que les révélations faites par l'ex-agent de la CIA Edward Snowden sur l'espionnage mondial mené par les Etats-Unis continuent de faire scandale. 

http://www.leparisien.fr/international/moyen-orient-et-afrique-du-nord-washington-craint-des-attentats-en-aout-02-08-2013-3026415.php

 

Vraies menaces ou tentative de justification des programmes d'espionnage ?  ::)

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Fermeture d'ambassades : "Le programme de la NSA prouve sa valeur"

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/08/05/fermeture-d-ambassades-le-programme-de-la-nsa-prouve-sa-valeur_3457701_3222.html

 

 

Le sénateur démocrate Chuck Schumer a loué, sur CBS, les agences de renseignement américaines, "sacrément bonnes" : "Elles sont capables d'écouter et d'entendre ce qu'il se passe et ont perturbé beaucoup, beaucoup de projets terroristes." Puis de nuancer : "une fois que l'on a dit ça, il faut toujours un équilibre entre la sécurité et la liberté, et il y a toujours un temps pour le réexaminer."

 

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la guerre a beau être secrète, je ne vois pourtant aucun démantèlement, aucune arrestation, aucune annonce. Je me demande donc en quoi la NSA vient de prouver sa valeur, je dirai même qu'elle vient de perdre. En fermant les ambassades, les terroristes ont gagné sans avoir eu à poser une seule bombe : le mode de vie des américains (surtout ceux sur place) vient de changer...

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Les commentaires des lecteurs en bas de la page

 

 

Le bon sens semble être dans les commentaires en bas de cette page lemonde.fr.

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la guerre a beau être secrète, je ne vois pourtant aucun démantèlement, aucune arrestation, aucune annonce.

Les bombes ne font du bruit que si elles explosent. Qui a entendu parler de l'arrestation de Najibullah Zazi pour avoir envisagé de poser des bombes dans le métro new-yorkais ?

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Un article de The Wall Street Journal qui fait un peu réflechir, notamment la phrase "America is turning into a huge medium-power, like an XXL France—a nation that still shows some great-power reflexes as in nearby Libya and Mali, but cannot take care of global business"...  :-[ 

 

http://online.wsj.com/article/SB10001424127887324635904578643663020328162.html

 

 

 

Exploiting Obama's Foreign Policy Retreat Why did Vladimir Putin thumb his nose at the U.S. in the Snowden affair? Because he could.

 

  • By 
  • JOSEF JOFFE

'We are extremely disappointed," the White House press secretary said after Moscow granted asylum to fugitive NSA leaker Edward Snowden. A nice understatement. Washington is now looking at the greatest counterintelligence failure since the Rosenbergs betrayed nuclear know-how to Stalin some 60 years ago. Now the Russians have Mr. Snowden's hard disks to unearth more U.S. secrets than could be stolen by a battalion of spies.

President Vladimir Putin has it in his hands to endlessly embarrass the U.S. by releasing choice bits and pieces from the Snowden trove, or to threaten to do so to keep Washington on its best behavior. After this slap, "extremely disappointed" is the diplomatic equivalent of pouting—unbecoming to a great power.

Why did Mr. Putin decide to thumb his nose at the U.S. after playing cat-and-mouse for six weeks? Easy—because he could. He has taken the measure of Barack Obama, concluding that there isn't much there there, to paraphrase the president on the State Department's emails about Benghazi.

The Russian leader has been checking off the weak spots since Mr. Obama's 2009 inauguration—in disbelief at first, no doubt, then with growing brashness. It started with the Cairo speech in June of that year, where Mr. Obama made nice to the Islamic Middle East, Iran included. A few months later came the White House cave-in on a Europe-based antimissile system the Russians had vehemently opposed. This was part of the celebrated "reset"—but Moscow got to pocket something for nothing, a no-no in great-power politics.

The Kremlin has also noticed how Mr. Obama has basically scotched the military option against Iran's nuclear-arms program. So has the Khamenei regime in Tehran, which keeps enticing Washington with talks resembling a minuet: bow, circle, return to the starting point. In Libya, the U.S. was "leading from behind," in Syria, not at all. Cutting the defense budget has been the order of the day, with or without the sequester.

So if you're Vladimir Putin, why not probe more deeply?

Consider the gauntlets flung down by Russia earlier this year. One is the delivery of sophisticated Yakhont antiship missiles to the Assad regime in Syria. Hard to detect and even harder to destroy, these missiles would pose a serious threat to U.S. naval forces if the weapons were ever deployed to the eastern Mediterranean. Israel regarded the danger sufficient to level a storage site in Syria's port city of Latakia on July 5.

Moscow keeps denying that it has delivered the mobile S-300 air defense system to Assad. The up-to-date version, the S-300PMU-2, would be a game-changer, engaging planes at all altitudes, as well as cruise missiles. Yes, the U.S. Air Force could take them out—but it won't be the kind of easy bombing campaign that helped rout Moammar Gadhafi in Libya.

Also in the spring, the Russians dispatched about a dozen warships to the eastern Mediterranean, according to press reports. This was a classic, 19th-century show of force to show resolve and to deter. If the U.S. actually did move against Assad, it would have to put serious sea power in the area. And risk a naval clash with Russia just to topple a bad guy? Anyway, the Sixth Fleet that used to patrol the Mediterranean went long ago, except for a single command ship.

The Kremlin's message: We shall protect our Syrian asset, the Assad regime. And the Russians have plenty of battle-hardened company: Hezbollah on the ground, Iran nearby. While Secretary of State John Kerry is investing in a sideshow—the Israeli-Palestinian peace—Moscow and Tehran are securing a foothold on the Mediterranean. Preventing Russia from reinserting itself in the Middle East has been a top American priority since the 1970s.

Mr. Obama's America seems to be withdrawing from the great-power table in favor of "nation-building at home," as the president keeps repeating. In his May speech at National Defense University, Mr. Obama vowed to end the war on terror and to curtail drone strikes, America's best weapon in an age of "asymmetric warfare." He means it. Last week, Mr. Kerry promised to end drone attacks in Pakistan "very, very soon."

Terror International will not junk its suicide vests in return. The world is being treated to a first in the history of great-power politics. Traditionally, the might of nations was hemmed in by others in an endless game of pressure and counter-pressure. Now, the reigning superpower is proposing to neutralize itself—no foes needed. The nation that invented containment in the Cold War is now playing with self-containment.

So don't blame Mr. Putin for what ambitious powers always do, which is to probe their rivals' positions on the periphery—as Beijing is doing in the war of nerves over some tiny islands in the South China Sea. America is turning into a huge medium-power, like an XXL France—a nation that still shows some great-power reflexes as in nearby Libya and Mali, but cannot take care of global business. When the Europeans ran out of ammunition in Libya, the U.S. stepped in. But if America shrugs off global responsibility, nobody else will shoulder it.

Mr. Obama's central problem is philosophical. Just as nature abhors a vacuum, so does the state system. The president apparently believes that the U.S. can safely retract because giants no longer roam the earth. Alas, the chickens of indifference always come home to roost as birds of prey. In the 1930s, the coldblooded opportunists were Nazi Germany and Imperial Japan. In our time, it is second-rate powers like Russia and Iran, and non-nations like Hezbollah, that are taking on the United States, and they do so because they can.

Their calculus should give pause to Mr. Obama, who is routinely compared to Jimmy Carter. But Mr. Carter learned a lot faster. In May 1977, he had pronounced America "free of that inordinate fear of communism." After the Soviet lunge into Afghanistan in December 1979, he noted wistfully: "This action . . . has made a more dramatic change in my own opinion of what the Soviets' ultimate goals are than anything they've done in the previous time I've been in office."

It took Jimmy Carter only three years to grasp the cruel game of nations. And what it takes to be the "indispensable nation," a term coined by another Democratic president, Bill Clinton. Mr. Obama seems to have forgotten that he used exactly the same words a year ago: "America remains the one indispensable nation in world affairs." There is no other.

Mr. Joffe teaches U.S. foreign policy at Stanford University, where he is also a fellow at the Hoover Institution and the Institute for International Studies. His book "The Myth of America's Decline" will be published by Norton in the fall.

 

Henri K.

 

 

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mouais enfin c'est ke Wall Street Journal hein.... avec eux les USA devraient péter la gueule à un pays par an minimum sinon ils seraient pris pour des fillettes surtout avec le traitre socialiste Obama...

et le French bashing c'est leur spécialité, la France ce pays communiste où les banquiers ne sont pas libre et où on soigne cororectement les pauvres inutiles.

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Je ne connais pas la ligne du WSJ, mais il ne fait pas dans la mesure là :

Washington is now looking at the greatest counterintelligence failure since the Rosenbergs betrayed nuclear know-how to Stalin some 60 years ago.

 

Now the Russians have Mr. Snowden's hard disks to unearth more U.S. secrets than could be stolen by a battalion of spies.

Ben justement, ce qu'un seul a pu voler...

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Pour la note: le WSJ est un sujet de blagues permanentes dans les médias américains (même sur les Networks à l'occasion, pourtant si policés.... Et castrés de nature): sa crédibilité actuelle ne pèse pas très lourd et il a eu en fait une tendance marquée et continue à suivre le même genre de trajectoire que FoxNews: un média destiné à un lectorat de niche (même si une niche peut être nombreuse) très spécifique, et sans grande influence au-delà de ce qui s'apparente à une bulle tournant par et pour elle-même (comme Fox et un certain nombre de médias et émissions dont l'audience peut sembler impressionnante, mais qui ne portent pas ailleurs que sur une part de marché constante, très orientée, déjà acquise et enfermée dans ses rengaines).

Bref, ça fait un moment que le WSJ est considéré comme perdu pour la cause et pris au sérieux par personne au-delà de sa petite bulle; un peu comme un cercle de poivrots refermé sur lui-même, toujours à la même table dans le même bar et auquel personne ne fait attention, les ignorant même quand ils gueulent fort et tapent sur la table.

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Conséquence après la décision des autorités russes d'accorder un asile temporaire d'un an à Edward Snowden :

 

Le président américain Barack Obama a annulé sa rencontre bilatérale prévue le mois prochain à Moscou avec son homologue russe Vladimir Poutine. C'est un membre de son administration qui l'a annoncé aujourd'hui. La participation des Etats-Unis au G20 de Saint-Petersbourg, les 5 et 6 septembre, n'est en revanche pas remise en cause.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/07/97001-20130807FILWWW00327-snowden-obama-annule-sa-rencontre-avec-poutine.php


 

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http://nationalinterest.org/blog/jacob-heilbrunn/obamas-foolish-cancellation-the-moscow-summit-8848 (7 août 2013)

 

D'une façon, ou d'une autre il [barack Obama] semble lui-même être devenu l'otage des agences de renseignement, qui sans relâche tenteront d'étendre leur champ d'action dans leur quête de ce que l'amiral John Poindexter a jadis nommé la « connaissance totale de l'information ».

 

http://nationalinterest.org/commentary/obamas-missing-russia-strategy-8852 (8 août 2013)

 

Pour l'auteur, Barack Obama et son gouvernement ont manqué de jugement dans l'affaire Snowden. Le plus grave est probablement le manque de pédagogie à l'égard du peuple américain livré à des discours antirusses très virulents propagés par les médias. Le rôle du président serait plutôt d'expliquer au peuple que l'intéret bien compris des États-Unis est de ne pas laisser les relations avec la Russie trop se détériorer. Il aurait aussi été plus habile de laisser Snowden partir pour la Bolivie ou l'Équateur, de façon à déconnecter le problème Snowden des relations russo-américaines.

Modifié par Wallaby
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Conséquence après la décision des autorités russes d'accorder un asile temporaire d'un an à Edward Snowden :

 

Le président américain Barack Obama a annulé sa rencontre bilatérale prévue le mois prochain à Moscou avec son homologue russe Vladimir Poutine. C'est un membre de son administration qui l'a annoncé aujourd'hui. La participation des Etats-Unis au G20 de Saint-Petersbourg, les 5 et 6 septembre, n'est en revanche pas remise en cause.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/07/97001-20130807FILWWW00327-snowden-obama-annule-sa-rencontre-avec-poutine.php

 

 Faut les comprendre aussi. Les US étaient tellement habitués aux courbettes et manifestations zélées d'allégeance (notamment de la part des européens) que ça leur fait tout drôle d'avoir affaire à un pays pour qui la notion de souveraineté reste importante.

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http://nationalinterest.org/commentary/sorry-airsea-battle-no-strategy-8846 (7 août 2013)

 

C'est un article qui critique le concept peu lumineux, voire fumeux car top secret de "AirSea Battle" vis à vis de la Chine. Il est reproché à "AirSea Battle" d'être un concept tactique et non une stratégie au sens d'élaboration de buts avant de décliner les moyens pour y parvenir. L'auteur lui oppose son concept d' "Offshore Control" qui est une véritable stratégie alternative, consistant à faire payer à la Chine un prix militaire mais aussi économique suffisamment important pour qu'elle décide de rembarquer ses troupes et revenir au statu quo ante, au cas où elle se serait aventurée à une invasion de la première chaîne d'Îles (Japon, Taïwan (?), Philippines, j'imagine). Il est reproché à "AirSea Battle" son coût, ce qui n'est pas rien face à des budgets non extensibles, et son potentiel déstabilisateur. Alors qu'"Offshore Control" est clairement une stratégie défensive, "AirSea Battle" est suffisamment ambigü pour 1°) avoir le don d'inciter une Chine, même peu hégémonique et peu belliqueuse à une attaque préventive et 2°) dégénérer potentiellement en guerre nucléaire. Enfin son caractère top secret fait que les alliés comme les Japonais ne savent pas s'ils peuvent vraiment compter sur ce mystérieux "AirSea Battle" et sont dans le plus grand désarroi pour construire leur propre stratégie.

Modifié par Wallaby
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Il y avait un article dans DSI sur l'Air-Sea Battle et cette "stratégie" ressemble en effet plus à un bricolage ou à une vue de l'esprit qu'à une stratégie. Je pense que la difficulté pour les Etats-Unis est d'arriver à faire plus face à des adversaires de plus en plus puissants (la Chine notamment) mais avec moins de moyens.

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http://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-23627656 (9 août 2013)

 

Deux sites américain de e-mail crypté ont décidé volontairement de fermer leurs portes. Ils estiment ne plus pouvoir garantir la confidentialité à leurs clients. Une spécialiste des questions de l'internet et des libertés à l'université Stanford, Jennifer Granick, dit que ces annonces pourraient être le "canari dans la mine de charbon".

 

Alors qu'un Obama assez mal inspiré vient de traiter Poutine d' « élève avachi qui s'ennuie dans le fond de la classe » ( http://nationalinterest.org/blog/jacob-heilbrunn/was-obamas-press-conference-about-channeling-george-w-bush-8868 ), la rencontre entre ministres de la défense et des affaires étrangères russes et américains (Hagel, Kerry, Shoigu, Lavrov) est programmée aujourd'hui comme prévu à Washington ( http://www.foreignpolicy.com/articles/2013/08/09/today_s_summit_with_the_russians_can_hagel_kerry_close_a_deal_obama_to_speak_to_ ). Au menu, notamment l'Afghanistan, la Corée du Nord et l'Iran).

Modifié par Wallaby
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  Ca commence a puer sévère l'espionnage économique et industriel ... :

 

 http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/08/10/cybersurveillance-l-union-europeenne-cible-prioritaire-de-la-nsa_3460010_651865.html

 

 

   Selon le spiegel en gros les cibles prioritaires de la NSA sont l'Allemagne, la France et le Japon ... (on se demande bien pourquoi le Japon hein, c'est bien connu qu'il y prolifère des salafous partout la bas ...)

 

     Comme par hasard, les 3 pays du G20 en concurrence technologique frontale avec les USA ... Comme par hasard !!!

 

 

  On note qu'apperemment L'espagne et l'Italie moins "prioritaire" alors que pourtant ce sont les 2 points majeurs de l'arrivée des clandestins qui sont des cibles potentielles a recruter par les salafs ... Et l'espagne avec son importante minoritaire musulmane marocaine est au moins aussi active que le djihadisme français

 

   Et Londres ? La ville ou on sait grosso modo que les djihadistes y font ce qu'ils veulent (et disent, prechent, manifestent ce qu'ils veulent) Londres moins prioritaire ? Ou Londres en confrontation de concurrence technologique moins frontale que la France et l'Allemagne ? A votre avis ?

 

   Prism a l'évidence cache un énorme programme d'espionnage économique ... Cela me parait + qu'évident avec de telles cibles prioritaires contestables

Modifié par alpacks
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Si je me souviens bien, la France et l'Allemagne se sont souvent opposées à la politique étrangère des USA voir même de la contrer.

 

Et j'ai plus l'impression que la France est une plaque tournante du recrutement et de collecte de fond pour le terrorisme international car elle offre des conditions plus aissées qu'en Italie ou la mafia n'aime pas ces groupes là. De plus, la France dispose de zone de non-droit telles les banlieues et de conditions politiques favorables.

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Et j'ai plus l'impression que la France est une plaque tournante du recrutement et de collecte de fond pour le terrorisme international car elle offre des conditions plus aissées qu'en Italie ou la mafia n'aime pas ces groupes là. De plus, la France dispose de zone de non-droit telles les banlieues et de conditions politiques favorables.

 

Dit il depuis le milieu du pacifique :lol:

 

Donc la France est un danger pour les USA et c'est normale qu'ils nous espionnent, nous et nos entreprises. Donc la concurrence libre et non faussée tout ca c'est des connerie, puisque tout est stratégique, donc celui qui signe un accord de commerce international avec les USA est un pigeon. CQFD.

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