C’est un message populaire. Stark_Contrast Posté(e) le 30 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 30 juin 1 hour ago, Manuel77 said: I would have a different opinion, but I'm not American. If there was indeed a possibility of nominating Newsom and a new VP as candidates, it would be a move that could work. The element of chaos doesn't necessarily strike me as harmful these days, and while I don't like that style, such charlatanism might, for once, work in Democrats' favor. If Newsom runs in 2028, Republicans will be able to negatively highlight his quality as governor of California in a planned campaign, this state polarizes and has the image of a Woke nightmare, even for me as a centrist European. This is perhaps Newsom's best chance. C'est intéressant ! bien dit. Newsome est en difficulté dans son État d'origine ces derniers temps. Il est possible qu'il prenne le pari et qu'il décide "maintenant ou jamais" Vous évoquez des possibilités très intéressantes... Je ne parierais toujours pas sur cette éventualité, mais vos arguments sont convaincants. 2 hours ago, herciv said: Exactly, very good question. And so I have a technical question. If Biden resigned now, what would happen to the electoral process in the US? Related question: can the inauguration ceremony be held before January in the event of Biden's complete and visible incapacity? Second question. Biden no longer gives the impression of governing 100% of the time. How is the Interim ensured? Blinken or some kind of shadow council that holds the president's hand when signing decrees? I know the question is disturbing but seen from afar we ask ourselves it. https://en.wikipedia.org/wiki/2024_Democratic_National_Convention La convention démocrate aura lieu en août à Chicago. Je suppose que le DNC a décidé de tenter le sort en choisissant Chicago pour la convention. La convention de 1968 à Chicago est restée dans l'infamie. Si Biden démissionne, Harris devient président, mais étant donné que Harris n'est pas viable, je m'attends à une convention plutôt moche. Je suppose que Harris serait directement contesté. En ce qui concerne "qui dirige vraiment", je ne saurais le dire. C'est une question assez vaste qui a de nombreuses implications. L'un des signaux d'alarme les plus importants pour moi a été lorsque Biden a pris publiquement des décisions politiques très sérieuses et que le corps de presse de la Maison Blanche l'a ensuite contredit en disant "le président n'a pas voulu dire cela" C'est une chose pour le président d'être corrigé sur de petites erreurs ou de petites fautes en disant "10" alors qu'il voulait dire "12". Mais à de nombreuses reprises, Biden a dit quelque chose qui constituait un nouveau regard ou un changement de politique majeur, pour que d'autres nous disent qu'il ne voulait pas dire cela et qu'il n'y a pas eu de changement de politique. Je n'imagine pas JFk s'engageant à aller sur la lune dans ce formidable appel à l'action, et s'entendant dire plus tard que "le président ne le pensait pas" Autrefois, ce que disait le président devenait la nouvelle série d'ordres. Ce n'est apparemment plus le cas et tout le monde attend les porte-parole pour savoir ce qui se passe réellement. Voilà qui devrait faire froncer les sourcils. 1 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 30 juin Share Posté(e) le 30 juin Il y a 2 heures, herciv a dit : Deuxième question. Biden ne donne plys l'impression de gouverner 100% du temps. Comment est assurer l'Interim. Blinken ou une sorte de conseil de l'ombre qui tient la main du president au moment de signer les decrets ? Je sais que la question est dérangeante mais vu de loin on se la pose. Et si personne ne dirige vraiment ( à part qq sujets d'importance ), je veux dire l'administration fait son bonhomme de chemin avec son inertie ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet https://www.smh.com.au/world/north-america/biden-is-as-selfish-as-trump-and-risking-the-democracy-he-wants-to-save-20240701-p5jq1w.html J'ai écarté Biden de la course en 1987. Près de quarante ans plus tard, il doit à nouveau quitter la course Maureen Dowd Chroniqueuse du New York Times Il est égoïste. Il se fait passer avant le pays. Il est entouré de complices opportunistes. Il a créé un champ de distorsion de la réalité où l'on nous dit de ne pas croire ce que nous avons clairement vu. Son orgueil démesuré est exaspérant. Il dit qu'il fait cela pour nous, mais il le fait en réalité pour lui-même. Je ne parle pas de Donald Trump. Je parle de l'autre président. J'ai fait la connaissance de Biden en 1987, lorsqu'il était candidat à la présidence. Il était alors considéré comme l'un des principaux orateurs du parti démocrate, même s'il pouvait être grandiloquent. Je l'ai éliminé de la course lorsque j'ai écrit sur la façon dont il s'était drapé dans la vie de Neil Kinnock, le leader travailliste britannique qui était un orateur hors pair, et sur la façon dont il prononçait des discours qui empruntaient, probablement sans le vouloir, à Robert F. Kennedy et à Hubert Humphrey. Biden était un homme plein d'entrain à qui l'on disait qu'il devrait être président depuis qu'il avait été élu au Sénat à l'âge de 29 ans. Il n'allait pas se laisser arrêter par le scandale du plagiat ou par ses problèmes de santé. Il a eu deux anévrismes en 1988 et a déclaré plus tard que ses médecins lui avaient dit qu'il ne serait plus en vie si sa campagne avait continué, et il m'a dit en plaisantant que je lui avais sauvé la vie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Stark_Contrast Posté(e) le 1 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 juillet 15 hours ago, Alexis said: It seems natural to me, and it is already old on this side of the Atlantic, however disturbing or even impolite it may be: “ Who governs America?” Is it Kamala Harris? Jill Biden? A group of bureaucrats in a smoke-filled room? Barack Obama on the sly? Or does Joe Biden really remain in power, “simply” unavailable from time to time when he gets lost in the confusion that hits him? If this were a city councilor in a town of 10,000 people, the question would only be intriguing. When it comes to the most powerful democratically elected leader in the world, the question is a little more than intriguing ... c'est le "tout aussi terrifiant" Le président Biden dirige les opérations, mais à partir d'un point où ses capacités mentales sont faibles ou Le président Biden a de faibles capacités mentales et ce sont donc des substituts ou d'autres forces non élues et invisibles qui dirigent les opérations. Ni l'un ni l'autre n'est une pensée particulièrement agréable. Ce qui est frustrant, c'est que tout sentiment de déclin du président a été catégoriquement nié comme un "argument de droite" plutôt que comme une véritable préoccupation, surtout avec l'arrivée imminente de Trump. Il y a eu ensuite le contrecoup lorsque des proches de Biden nous ont assuré que c'était la faute de nos propres yeux menteurs, et de nombreuses personnes ont été heureuses de nous dire que Biden était "plus affûté que jamais" - alors que dans le même temps nous avons eu l'occasion de voir le Président de moins en moins souvent. Le contraste est saisissant avec Obama. Si Biden était à la hauteur, nous verrions un niveau d'engagement public complètement différent. Il était très clair qu'il était "lourdement géré" et que chaque fois que Biden apparaissait en public, c'était un événement sous haute tension. Une grande nervosité l'entourait parce qu'on craignait qu'il ne commette des erreurs - ce qu'il a souvent fait. C'était comme regarder les Japonais se battre jusqu'au dernier homme pour une île insignifiante, avec des contre-attaques suicidaires, plutôt que de se replier sur une position plus défendable. et je tiens à préciser que je ne dis pas qu'il faut se coucher et abandonner. Je dis simplement qu'ils auraient dû se battre plus intelligemment plutôt que d'occuper une position intenable. Une fois que tout le monde a décidé que la réalité était un "argument de droite" qu'il fallait défendre jusqu'au dernier. et même en interne, les gens ne pouvaient pas la remettre en question, de peur de "donner des munitions" à la droite. et nous avons dû commencer une série d'anecdotes ridicules de la part d'initiés qui ne pouvaient pas attendre pour nous dire que Biden était plus intelligent que jamais. Comme si le fait de se demander si le plus vieux président jamais élu n'avait pas un peu ralenti était une idée folle. Personnellement, je suis d'avis que, pour l'essentiel, le président est toujours aux commandes. Les conseillers et autres hauts fonctionnaires qui devraient normalement conseiller le président ont probablement été tenus à l'écart et un cercle restreint a été gardé à l'écart. En fin de compte, ce n'est pas une maison blanche fonctionnant normalement. Je terminerai sur cette note, que j'ai déjà mentionnée. Au-delà des détails politiques, la campagne de 2020 promettait de l'ordre. En s'opposant au chaos de Trump, la Maison Blanche de Biden était censée être "l'adulte dans la pièce". Cette promesse n'est plus viable, et même avant le débat, il pouvait y avoir des désaccords sur le caractère "ordonné" ou plus compétent de la Maison Blanche telle qu'elle était gérée. Elle ne fonctionnait pas normalement, comme je l'ai souligné plus haut. Il y a beaucoup d'images qui nous parviennent du monde entier ces dernières années, et la dernière chose qui me vient à l'esprit est "ordonné" ou "mature". Ce n'étaient pas les adultes qui dirigeaient les choses, et rien ne pouvait être considéré comme "ordonné" Si nous regardons les niveaux d'approbation présidentielle, c'est là que Biden est tombé "sous l'eau" en août 2021 et les chiffres ne se sont jamais rétablis. Ils remontent de temps en temps, mais sont fondamentalement bloqués dans la même fourchette de désapprobation. J'en parle parce que c'était un argument de vente clé en 2020, mais il n'est plus crédible à un moment où le peuple américain doit prendre une décision. Et je mentionne cela parce que je pense que l'idée de "mettre de l'ordre" et "acquérir de l'expérience" est ce qui a remporté l'élection en 2020 par rapport au Président Twitter, l'heure de l'amateurisme. L'effondrement de l'approbation du président en 2021 mettrait ce fait en évidence. Les gens voulaient vraiment de l'ordre, et il n'est plus possible d'en offrir. Le cirque électoral actuel en est la preuve 2 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet La cour supreme a rendu son verdict : je ne comprends pas tout @Stark_Contrast Immunité totale dans les cadres de ses fonctions présidentiels officiels comme convenu article 2 dans la constitution mais renvoie au juge Chutkan juge de la cour fédérale de district qui devra déterminer ce qui relève de l'acte officiel ou du non officiel pour lequel elle réaffirme qu'il n'a aucune immunité. C'est alambiqué, si je comprends bien le juge Chutkan/Procureur Smith apporte les preuves que ces actes (pour le 6 janvier) ne faisaient pas partis de ses fonctions officiels alors feu vert pour le procès et Trump non immunisé... Je crois que ç'est ça... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Stark_Contrast Posté(e) le 1 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 juillet 4 hours ago, vincenzo said: The Supreme Court has delivered its verdict: I don't understand everything@Stark_Contrast Full immunity in the course of his official presidential duties as agreed in Article 2 of the Constitution but refers to Judge Chutkan, a judge of the Federal District Court, who will have to determine what constitutes an official or unofficial act for which she reaffirms that he has no immunity. It's convoluted, if I understand correctly Judge Chutkan/Attorney Smith provides evidence that these acts (for January 6) were not part of his official duties so green light for the trial and Trump not immune... I think that's it... Le verdict de la Cour suprême est l'une de ces décisions qui n'auraient pas eu une fin heureuse, quelle qu'elle soit, parce qu'elle touche à des domaines que nous préférons laisser dans l'ombre ou dans le doute. Cela reviendrait à demander au pouvoir judiciaire de rendre les choses plus formelles et plus rigides. Il est pratiquement impossible pour la Cour suprême de rendre un verdict qui n'empiète pas sur les autres branches du gouvernement et sur les devoirs et protections accordés à la fonction de président. Vous avez raison de dire qu'il incombera à l'accusation, puis au juge, de décider si Trump remplit les conditions requises pour bénéficier de l'immunité contre ces accusations. Un processus en deux parties en somme. Les opinions divergentes de la Cour suprême confirment la situation impossible dans laquelle se trouve la Cour. En officialisant l'immunité, elle donne le feu vert à de futurs comportements répréhensibles, quel que soit le président en exercice. Je ne me serais jamais attendu à ce qu'un président soit un jour condamné pour meurtre. Nous savons simplement que de telles choses n'arrivent pas, même lorsqu'un président est coupable de crimes de guerre. Nous ne sommes pas naïfs, nous savons que les présidents ne sont pas inculpés. Le fait que cela formalise le passage de "nous ne poursuivrons pas" à "nous ne pouvons pas poursuivre en raison de l'immunité" n'est pas une porte que je préférerais voir fermée, même si les chances de voir un jour un président inculpé étaient pratiquement inexistantes. Les avis divergents le soulignent également, car cela crée une notion officielle selon laquelle le président est au-dessus de la loi dans un système qui est censé garantir l'égalité devant la loi. Cela supprime cette feuille de vigne de couverture. Nous pouvons facilement constater que, bien entendu, un président n'est pas égal et ne le sera jamais dans la réalité. Je ne verrai jamais Bush ou Cheney être inculpés (juste Trump, étrangement), mais cela rend la chose officielle jusqu'à ce que la cour puisse la réexaminer à une date ultérieure dans des circonstances différentes. Je l'ai déjà dit, je ne suis pas un fan de Trump, mais il est extrêmement destructeur pour le système judiciaire et la confiance du public dans les institutions gouvernementales de poursuivre Trump de cette manière. Le jeu n'en vaut tout simplement pas la chandelle, et il s'agit là d'un nouvel exemple de ce préjudice. l'impact pourrait bien être pire que tout ce que Trump aurait pu faire lui-même. Trump ne pouvait pas discréditer à lui seul le système judiciaire américain. Seul le système judiciaire pouvait le faire, et l'attaque kamikaze a été quelque chose à voir. À gauche, le meurtre de George Floyd a créé une autre attaque contre le système judiciaire. À droite, les poursuites engagées contre Trump constituent une attaque à l'extrémité opposée de l'échiquier politique. Lorsque le gouvernement fédéral a décidé de faire une descente à Mar-A-Lago, il a ouvert la boîte de Pandore. Un autre avocat à qui j'ai parlé a insisté sur le fait que si les Républicains accèdent au pouvoir, ils n'auront pas d'autre choix que de répondre de la même manière. "Tout cela fait très République bananière, mais sans les marines américains pour maintenir l'ordre. Il ne s'agit que de mes premières opinions et je n'ai pas tout lu en entier. je n'ai pas non plus tous les détails des différentes poursuites de Trump, donc si je me trompe complètement sur un point ou si j'ai raté quelque chose, j'admets mes erreurs. une ébauche. Je ne suis pas un très bon avocat et je bois. 1 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dedieu Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet Nous avons un maitre, qui peux le nier? Mais qui est il? Pour ma part, être un vassal peut être un honneur, mais ça me chagrine de ne pas savoir qui est souverain. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet il y a 7 minutes, Dedieu a dit : Nous avons un maitre, qui peux le nier? Mais qui est il? Pour ma part, être un vassal peut être un honneur, mais ça me chagrine de ne pas savoir qui est souverain. Révélation 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dedieu Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet Vous pouvez me faire passer pour un complotiste, pourquoi pas, j’admets volontiers être curieux, tout en restant rationnel, je l'espère. Ici, j'évoquais plutôt l'honneur des temps jadis, révolus, oubliés, un temps où c'était effectivement un honneur de que servir son maitre, mais ce sont des "trucs désuets" comme la "chevalerie", cela vous parle-t-il? Et il y avait une note d'ironie, je précise, car un modérateur m'a reproché d'être un égout, pour ce que je voulais être de l'humour. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coriace Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet Il y a 1 heure, Stark_Contrast a dit : Le verdict de la Cour suprême est l'une de ces décisions qui n'auraient pas eu une fin heureuse, quelle qu'elle soit, parce qu'elle touche à des domaines que nous préférons laisser dans l'ombre ou dans le doute. Cela reviendrait à demander au pouvoir judiciaire de rendre les choses plus formelles et plus rigides. Il est pratiquement impossible pour la Cour suprême de rendre un verdict qui n'empiète pas sur les autres branches du gouvernement et sur les devoirs et protections accordés à la fonction de président. Vous avez raison de dire qu'il incombera à l'accusation, puis au juge, de décider si Trump remplit les conditions requises pour bénéficier de l'immunité contre ces accusations. Un processus en deux parties en somme. Les opinions divergentes de la Cour suprême confirment la situation impossible dans laquelle se trouve la Cour. En officialisant l'immunité, elle donne le feu vert à de futurs comportements répréhensibles, quel que soit le président en exercice. Je ne me serais jamais attendu à ce qu'un président soit un jour condamné pour meurtre. Nous savons simplement que de telles choses n'arrivent pas, même lorsqu'un président est coupable de crimes de guerre. Nous ne sommes pas naïfs, nous savons que les présidents ne sont pas inculpés. Le fait que cela formalise le passage de "nous ne poursuivrons pas" à "nous ne pouvons pas poursuivre en raison de l'immunité" n'est pas une porte que je préférerais voir fermée, même si les chances de voir un jour un président inculpé étaient pratiquement inexistantes. Les avis divergents le soulignent également, car cela crée une notion officielle selon laquelle le président est au-dessus de la loi dans un système qui est censé garantir l'égalité devant la loi. Cela supprime cette feuille de vigne de couverture. Nous pouvons facilement constater que, bien entendu, un président n'est pas égal et ne le sera jamais dans la réalité. Je ne verrai jamais Bush ou Cheney être inculpés (juste Trump, étrangement), mais cela rend la chose officielle jusqu'à ce que la cour puisse la réexaminer à une date ultérieure dans des circonstances différentes. Je l'ai déjà dit, je ne suis pas un fan de Trump, mais il est extrêmement destructeur pour le système judiciaire et la confiance du public dans les institutions gouvernementales de poursuivre Trump de cette manière. Le jeu n'en vaut tout simplement pas la chandelle, et il s'agit là d'un nouvel exemple de ce préjudice. l'impact pourrait bien être pire que tout ce que Trump aurait pu faire lui-même. Trump ne pouvait pas discréditer à lui seul le système judiciaire américain. Seul le système judiciaire pouvait le faire, et l'attaque kamikaze a été quelque chose à voir. À gauche, le meurtre de George Floyd a créé une autre attaque contre le système judiciaire. À droite, les poursuites engagées contre Trump constituent une attaque à l'extrémité opposée de l'échiquier politique. Lorsque le gouvernement fédéral a décidé de faire une descente à Mar-A-Lago, il a ouvert la boîte de Pandore. Un autre avocat à qui j'ai parlé a insisté sur le fait que si les Républicains accèdent au pouvoir, ils n'auront pas d'autre choix que de répondre de la même manière. "Tout cela fait très République bananière, mais sans les marines américains pour maintenir l'ordre. Il ne s'agit que de mes premières opinions et je n'ai pas tout lu en entier. je n'ai pas non plus tous les détails des différentes poursuites de Trump, donc si je me trompe complètement sur un point ou si j'ai raté quelque chose, j'admets mes erreurs. une ébauche. Je ne suis pas un très bon avocat et je bois. Je lis l'excellent livre de Bennassar sur les debuts de la guerre d'Espagne et depuis quelques semaines je me dis que j'y lis en fait l'actualité Française, avec une course a l'échalote entre des partis ultra radicalises et sur de leur supériorité morale qui courent a la guerre. Et le plus tragique c'est que l'auteur nous montre que pendant très longtemps des autres voies étaient possible mais qu'elles ont été évitées, parfois sciemment car les gens voulaient la guerre pour "crever l'abcès". A vous lire j'ai l'impression que les USA aussi sont peuplés d'éléments intelligents mais totalement sûrs de leur bon droit qui veulent la confrontation 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet il y a 30 minutes, Dedieu a dit : Vous pouvez me faire passer pour un complotiste, pourquoi pas, j’admets volontiers être curieux, tout en restant rationnel, je l'espère. Ici, j'évoquais plutôt l'honneur des temps jadis, révolus, oubliés, un temps où c'était effectivement un honneur de que servir son maitre, mais ce sont des "trucs désuets" comme la "chevalerie", cela vous parle-t-il? Et il y avait une note d'ironie, je précise, car un modérateur m'a reproché d'être un égout, pour ce que je voulais être de l'humour. "L'honneur de servir son maître". "La chevalerie et l'honneur". Malheureusement, ce n'est pas du tout vrai historiquement parlant. De même que se référer au passé pour en tirer des enseignements positifs n'est pas toujours une bonne idée. Où était l'honneur du client romain allant mendier son sportule chaque matin auprès de son patron ? Les chevaliers honorables ? Parlez-en aux prisonniers exécutés après Azincourt ou à Richard Cœur de Lion arrêté comme un malpropre en Autriche au retour de la croisade. Aux multiples trahisons médiévales, y compris dans les romans de chevalerie, preuve s'il en est que même au Moyen Âge, on savait ce qu'il en était véritablement de cette idée de l'honneur et des valeurs. il y a une heure, Dedieu a dit : Nous avons un maitre, qui peux le nier? Mais qui est il? Pour ma part, être un vassal peut être un honneur, mais ça me chagrine de ne pas savoir qui est souverain. Incompréhensible pour ma part. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dedieu Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet Vous avez raison Ciders, il y eu des vassalités qui n'étaient que d'intérêts, mais j'ai la faiblesse de croire, qu'il y en eu, qui était basé sur l'honneur. Le guerrier d'autre fois, naissait souvent fils de guerrier, s'entrainait, vivait et mourrait en guerrier. Chez certains, c'était parfois une vie de pillage, de rapines, mais ça n'a pas été que cela. Les ordres chevaleresques nous ont élevé, la religion catholique, ce n'est pas juste des "prêtres pédophiles" comme certains la décrive aujourd'hui. Et il en reste, malgré tout, comme une mythologie qui peut encore élever l'homme de bonne volonté qui se destinerait aux armes. Ceci dit, le "maitre américain" est devenu bien "flou". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet il y a 28 minutes, Dedieu a dit : Vous avez raison Ciders, il y eu des vassalités qui n'étaient que d'intérêts, mais j'ai la faiblesse de croire, qu'il y en eu, qui était basé sur l'honneur. Le guerrier d'autre fois, naissait souvent fils de guerrier, s'entrainait, vivait et mourrait en guerrier. Chez certains, c'était parfois une vie de pillage, de rapines, mais ça n'a pas été que cela. Les ordres chevaleresques nous ont élevé, la religion catholique, ce n'est pas juste des "prêtres pédophiles" comme certains la décrive aujourd'hui. Et il en reste, malgré tout, comme une mythologie qui peut encore élever l'homme de bonne volonté qui se destinerait aux armes. Ceci dit, le "maitre américain" est devenu bien "flou". Je vous renvoie à Marcel Pagnol pour l'essentiel. Pour le reste, Calatrava, Hospitaliers ou Porte-Glaives, l'honneur d'accord, la religion d'accord, mais se remplir les poches et accumuler des honneurs, aussi, et très largement. Du reste, les idéaux initiaux disparaissent assez vite, en une ou deux générations. Quant aux prêtres pédophiles, pas de panique. Point besoin d'être prêtre hélas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dedieu Posté(e) le 1 juillet Share Posté(e) le 1 juillet Sans même appartenir à un ordre, il était possible d'être fier de servir son seigneur, comte, duc ou roi. C'était un temps où le maitre et son serviteur combattait bien souvent cote à cote, ce qui crée des liens. Enfin, nous sommes hors sujet, aujourd'hui qui est le maitre? Une chose est sure, il ne sera pas dans "notre tranchée". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ksimodo Posté(e) le 2 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 2 juillet Il y a 4 heures, Stark_Contrast a dit : Cela supprime cette feuille de vigne de couverture. Une feuille de vigne c'est pas bien grand, donc ça ne cache pas grand chose, donc y'a pas grand chose à cacher. Perso pour cacher mes attributs, je ne joue pas en dessous de la taille d'une feuille de catalpa ( au minimum ). ( pardon, je suis déjà déjà dehors, histoire de vérifier que le fond de l'air est frais, mais aussi le fond du ruisseau - pas sûr qu'un américain puisse comprendre.... ) 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stark_Contrast Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet Il convient de noter que toutes les fautes de Biden et son "histoire problématique" ont été commodément ignorées jusqu'au moment où il a semblé qu'il ne pourrait pas vaincre Trump, puis il a été immédiatement jeté par-dessus bord. Tout a été pardonné ou ignoré en échange d'une seule attente Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet Il y a 5 heures, Stark_Contrast a dit : Il convient de noter que toutes les fautes de Biden et son "histoire problématique" ont été commodément ignorées jusqu'au moment où il a semblé qu'il ne pourrait pas vaincre Trump, puis il a été immédiatement jeté par-dessus bord. Tout a été pardonné ou ignoré en échange d'une seule attente C'est triste de voir ce aveuglement managérial constant dans tous domaines, alors que même au bistrot du coin la plupart des personnes de "bon sens" diraient que ça ne va pas le faire... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet Il y a 12 heures, ksimodo a dit : Une feuille de vigne c'est pas bien grand, donc ça ne cache pas grand chose, donc y'a pas grand chose à cacher. Perso pour cacher mes attributs, je ne joue pas en dessous de la taille d'une feuille de catalpa ( au minimum ). ( pardon, je suis déjà déjà dehors, histoire de vérifier que le fond de l'air est frais, Je pense que tu dois être marseillais, si ce n'est de naissance alors de cœur Donc, les attributs dont tu parles sont à peu près de la même dimension que la sardine qui bloque le port de Marseille ? (Et oui, il y a des gens sur ce fil qui sont réveillés, si l'objectif était de le vérifier...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 2 juillet Share Posté(e) le 2 juillet Sinon, avec un clin d’œil à qui vous savez (parti à la recherche du Sacré Graal), voici le président des Etats-Unis qui affirme être toujours en lice Biden, sans bras ni jambes, affirme que sa défaite au débat n'est qu'une blessure superficielle ATLANTA, GA - Les deux bras et les deux jambes coupés à la fin du débat, le président Biden a continué d'insister sur le fait que la défaite n'était qu'une "blessure superficielle". "Revenez ici et prenez ce qui vous arrive, Donald ! Je vais te mordre les jambes", a crié M. Biden. "Joe Biden triomphe toujours ! Selon certaines sources, Trump avait encouragé Biden à s'écarter, mais Biden a refusé de le faire malgré la perte d'un membre après l'autre. "Joe, tu n'as plus de bras, crois-moi. C'est très triste, Joe sans bras", a déclaré Trump. "Il ne va pas très bien jouer au golf sans bras, je vous le dis. Admettez-le, Joe." "C'est une égratignure ! Regardez ces bras", s'est écrié Biden en agitant ses moignons. "Je peux jouer à vingt sous le par comme ça ! Reviens ici et bats-toi, poule mouillée ! Poule mouillée !" "Je prendrai tes jambes, Joe. Je ne veux pas, franchement ça a l'air terrible", a répondu Trump. "Pas de jambes, je ne peux même pas marcher, pas comme les gens qui traversent notre frontière, Joe". "Biden s'est écrié : "Je suis invincible ! "Je suis invincible !!!!" Au moment de la publication, les stratèges démocrates avaient gentiment demandé à Biden, qui mesurait désormais un mètre, s'il pouvait laisser la place à un candidat doté de membres, mais Biden a insisté sur le fait qu'il n'était guère blessé Révélation 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 3 juillet Share Posté(e) le 3 juillet Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet C'est très caustique, et je suppose que cela ne concerne pas tous les Américains, mais certains commencent à faire des comparaisons fort déplaisantes entre l'état actuel de la direction de leur pays et celui d'un autre pays il y a environ 40 ans... En voici un exemple. On ne peut pas pousser de telles comparaisons trop loin, et il y a certaines différences évidentes. Mais c'est notable tout de même Le secrétaire général Biden est enrhumé Les jeunes ne le savent pas, mais dans les années 1980, lors des derniers soubresauts de l'Union soviétique, l'URSS a eu quatre dirigeants en cinq ans : Brejnev, Andropov, Tchernenko et enfin Gorbatchev. On disait que les trois premiers, tous vieux et malades, étaient enrhumés... jusqu'à ce que la télévision d'État se mette brusquement à jouer du Tchaïkovski, pour signaler au peuple russe que quelque chose d'important s'était produit. Vous avez peut-être entendu dire que le secrétaire général du parti démocrate, Joe Biden, est enrhumé. Sa mort n'est pas considérée comme imminente, mais compte tenu de l'effondrement du président dans les sondages et de la panique qu'il suscite parmi les fidèles du parti, sa démission pourrait l'être. Comment saurons-nous qu'elle est imminente ? MSNBC se mettra-t-elle soudain à jouer en boucle l'hymne de Fleetwood Mac de l'ère Clinton, "Don't Stop" ? (...) "Dites les gens, il s'est passé un truc..." A y réfléchir, cette critique s'adresse peut-être davantage aux médias qu'au monde politique ou à un parti politique (démocrate) Après tout, la tambouille politique n'a jamais été une belle chose, c'est comme la saucisse mieux vaut ne pas savoir comment c'est fait, et les politiciens démocrates prétendant jusqu'au dernier moment, jusqu'à ce que ce soit vraiment indéniable, que tout allait bien avec la candidature Biden, ce sont des petitesses humaines certes, mais qui peuvent se voir en d'autres lieux et en d'autres temps Mais le black-out médiatique (sauf à écouter des médias partisans de l'autre bord, évidemment... qui eux sont capables de black-out, mais sur d'autres sujets) ? La comparaison avec les médias d'Etat soviétiques devant un fait embarrassant comme le "rhume" du secrétaire général n'est hélas pas forcément exagérée... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet (modifié) Ha mais cela fait des années que je prédis que l'occident tournera comme l'URSS. Alors avant que les captain obvious accourent pour me dire qu'il y a plein de différence je précise : similitude signifie pas identité. Les similarités sont suffisamment nombreuses et inquiétantes pour être relevé comme ici. J'avais déjà relevé le caractère gérontocratique de la fournée actuelle des candidats il y a quelque mois. Reste à voir quel genre de "Gorbatchev" vont nous sortir les démocrates puisque la victoire de Trump est hélas de plus en plus probable. Modifié le 4 juillet par nemo 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet il y a 22 minutes, nemo a dit : HA mais cela fait des années que je prédis que l'occident tournera comme l'URSS. Alors avant que les captain obvious accourent pour me dire qu'il y a plein de différence je précise : similitude signifie pas identité. Les similarité sont suffisamment nombreuses et inquiétants pour être relevé comme ici. J'avais déjà relever le caractère gérontocratique de la fournée actuelle des candidats il y a quelque mois. Reste à voir quel genre de "Gorbatchev" vont nous sortir les démocrates puisque la victoire de Trump est hélas de plus en plus probable. J'imagine très mal en effet que le parti démocrate ne réagisse pas. Ils vont faire un truc, pas possible d'y couper. Savoir si cela suffira, si cela réussira, c'est une toute autre question, mais ils vont devoir bouger. La moyenne des intentions de vote pour Trump / pour Biden est en train d'évoluer dans la direction qu'on pouvait attendre Et il s'agit là de la moyenne glissante... les deux dernières études en date à ce jour montrent une différence de carrément 6 points entre les deux candidats Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 5 juillet Share Posté(e) le 5 juillet https://www.lemonde.fr/international/article/2024/07/04/etats-unis-les-medias-de-gauche-levent-le-silence-sur-la-sante-du-president-biden_6246944_3210.html Le 21 juin, le New York Times dénonçait les vidéos mettant en scène le vieillissement de Joe Biden. « Comment les vidéos trompeuses traquent Biden, alors qu’il lutte contre les doutes liés à son âge », titrait le quotidien new-yorkais, dénonçant, à juste titre, « une série de clips récents, dont beaucoup ont été édités ou manquent de contexte ». C’était avant le 27 juin, jour du calamiteux débat de Joe Biden face à Donald Trump, qui a mis en évidence les faiblesses du président sortant. Le 2 juillet, avec le zèle de ceux qui ont longtemps nié, le quotidien mène l’enquête. « Les défaillances de Biden seraient de plus en plus fréquentes et inquiétantes », titre un nouvel article. Les Américains sont furieux, ayant le sentiment d’avoir été bernés par la Maison Blanche et les médias. Le milliardaire Bill Ackman, suivi par 1,3 million d’internautes, sonne l’hallali et accuse les médias de complaisance : « “60 minutes” [émission sur la chaîne CBS] savait ; CNN savait ; MSNBC savait, les médias de gauche avaient un accès complet au président, ses équipes et son administration. Ils savaient tous, mais ils vous ont dit le contraire. Ils vous ont menti éhontément. » « Le New York Times doit s’expliquer. Il fait un revirement total sur une histoire majeure en un peu plus d’une semaine », s’agace aussi sur X Alex Tabarrok, professeur d’économie à l’université George Mason, à Fairfax (Virginie). Seul le Wall Street Journal a publié, le 4 juin, une longue enquête : « A huis clos, Biden montre des signes de détérioration », accusait le quotidien des affaires, précisant que la Maison Blanche voyait dans ces critiques « de la politique partisane ». De fait, l’enquête citait essentiellement des sources républicaines, ce qui a permis aux démocrates de dénoncer un article à charge. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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