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Il y a 2 heures, herciv a dit :

Deuxième question. Biden ne donne plys l'impression de gouverner 100% du temps. Comment est assurer l'Interim. Blinken ou une sorte de conseil de l'ombre qui tient la main du president au moment de signer les decrets ? Je sais que la question est dérangeante mais vu de loin on se la pose.

Et si personne ne dirige vraiment ( à part qq sujets d'importance ), je veux dire l'administration fait son bonhomme de chemin avec son inertie ?

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https://www.smh.com.au/world/north-america/biden-is-as-selfish-as-trump-and-risking-the-democracy-he-wants-to-save-20240701-p5jq1w.html

J'ai écarté Biden de la course en 1987. Près de quarante ans plus tard, il doit à nouveau quitter la course

Maureen Dowd
Chroniqueuse du New York Times

Il est égoïste. Il se fait passer avant le pays. Il est entouré de complices opportunistes. Il a créé un champ de distorsion de la réalité où l'on nous dit de ne pas croire ce que nous avons clairement vu. Son orgueil démesuré est exaspérant. Il dit qu'il fait cela pour nous, mais il le fait en réalité pour lui-même.

Je ne parle pas de Donald Trump. Je parle de l'autre président.

J'ai fait la connaissance de Biden en 1987, lorsqu'il était candidat à la présidence. Il était alors considéré comme l'un des principaux orateurs du parti démocrate, même s'il pouvait être grandiloquent. Je l'ai éliminé de la course lorsque j'ai écrit sur la façon dont il s'était drapé dans la vie de Neil Kinnock, le leader travailliste britannique qui était un orateur hors pair, et sur la façon dont il prononçait des discours qui empruntaient, probablement sans le vouloir, à Robert F. Kennedy et à Hubert Humphrey.

Biden était un homme plein d'entrain à qui l'on disait qu'il devrait être président depuis qu'il avait été élu au Sénat à l'âge de 29 ans. Il n'allait pas se laisser arrêter par le scandale du plagiat ou par ses problèmes de santé. Il a eu deux anévrismes en 1988 et a déclaré plus tard que ses médecins lui avaient dit qu'il ne serait plus en vie si sa campagne avait continué, et il m'a dit en plaisantant que je lui avais sauvé la vie.

 

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La cour supreme a rendu son verdict : je ne comprends pas tout @Stark_Contrast

Immunité totale dans les cadres de ses fonctions présidentiels officiels comme convenu article 2 dans la constitution mais renvoie au juge Chutkan  juge de la cour fédérale de district qui devra déterminer ce qui relève de l'acte officiel ou du non officiel pour lequel elle réaffirme qu'il n'a aucune immunité.

C'est alambiqué, si je comprends bien le juge Chutkan/Procureur Smith apporte les preuves que ces actes (pour le 6 janvier) ne faisaient pas partis de ses fonctions officiels alors feu vert pour le procès et Trump non immunisé...

Je crois que ç'est ça... 

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il y a 7 minutes, Dedieu a dit :

Nous avons un maitre, qui peux le nier? Mais qui est il?

Pour ma part, être un vassal peut être un honneur, mais ça me chagrine de ne pas savoir qui est souverain.

 

Révélation
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Vous pouvez me faire passer pour un complotiste, pourquoi pas,

j’admets volontiers être curieux, tout en restant rationnel, je l'espère.

Ici, j'évoquais plutôt l'honneur des temps jadis, révolus, oubliés,

un temps où c'était effectivement un honneur de que servir son maitre,

mais ce sont des "trucs désuets" comme la "chevalerie", cela vous parle-t-il?

Et il y avait une note d'ironie, je précise,

car un modérateur m'a reproché d'être un égout, pour ce que je voulais être de l'humour.

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Il y a 1 heure, Stark_Contrast a dit :

 

Le verdict de la Cour suprême est l'une de ces décisions qui n'auraient pas eu une fin heureuse, quelle qu'elle soit, parce qu'elle touche à des domaines que nous préférons laisser dans l'ombre ou dans le doute. Cela reviendrait à demander au pouvoir judiciaire de rendre les choses plus formelles et plus rigides. Il est pratiquement impossible pour la Cour suprême de rendre un verdict qui n'empiète pas sur les autres branches du gouvernement et sur les devoirs et protections accordés à la fonction de président. 

Vous avez raison de dire qu'il incombera à l'accusation, puis au juge, de décider si Trump remplit les conditions requises pour bénéficier de l'immunité contre ces accusations.

Un processus en deux parties en somme. 

Les opinions divergentes de la Cour suprême confirment la situation impossible dans laquelle se trouve la Cour. En officialisant l'immunité, elle donne le feu vert à de futurs comportements répréhensibles, quel que soit le président en exercice.

Je ne me serais jamais attendu à ce qu'un président soit un jour condamné pour meurtre. Nous savons simplement que de telles choses n'arrivent pas, même lorsqu'un président est coupable de crimes de guerre. Nous ne sommes pas naïfs, nous savons que les présidents ne sont pas inculpés. 

Le fait que cela formalise le passage de "nous ne poursuivrons pas" à "nous ne pouvons pas poursuivre en raison de l'immunité" n'est pas une porte que je préférerais voir fermée, même si les chances de voir un jour un président inculpé étaient pratiquement inexistantes. Les avis divergents le soulignent également, car cela crée une notion officielle selon laquelle le président est au-dessus de la loi dans un système qui est censé garantir l'égalité devant la loi.

Cela supprime cette feuille de vigne de couverture. 

 Nous pouvons facilement constater que, bien entendu, un président n'est pas égal et ne le sera jamais dans la réalité. Je ne verrai jamais Bush ou Cheney être inculpés (juste Trump, étrangement), mais cela rend la chose officielle jusqu'à ce que la cour puisse la réexaminer à une date ultérieure dans des circonstances différentes. 

Je l'ai déjà dit, je ne suis pas un fan de Trump, mais il est extrêmement destructeur pour le système judiciaire et la confiance du public dans les institutions gouvernementales de poursuivre Trump de cette manière. Le jeu n'en vaut tout simplement pas la chandelle, et il s'agit là d'un nouvel exemple de ce préjudice.

 l'impact pourrait bien être pire que tout ce que Trump aurait pu faire lui-même. Trump ne pouvait pas discréditer à lui seul le système judiciaire américain. Seul le système judiciaire pouvait le faire, et l'attaque kamikaze a été quelque chose à voir. À gauche, le meurtre de George Floyd a créé une autre attaque contre le système judiciaire. À droite, les poursuites engagées contre Trump constituent une attaque à l'extrémité opposée de l'échiquier politique. 

Lorsque le gouvernement fédéral a décidé de faire une descente à Mar-A-Lago, il a ouvert la boîte de Pandore. Un autre avocat à qui j'ai parlé a insisté sur le fait que si les Républicains accèdent au pouvoir, ils n'auront pas d'autre choix que de répondre de la même manière. "Tout cela fait très République bananière, mais sans les marines américains pour maintenir l'ordre. 

Il ne s'agit que de mes premières opinions et je n'ai pas tout lu en entier. je n'ai pas non plus tous les détails des différentes poursuites de Trump, donc si je me trompe complètement sur un point ou si j'ai raté quelque chose, j'admets mes erreurs. une ébauche. Je ne suis pas un très bon avocat et je bois. 

 

 

Je lis l'excellent livre de Bennassar sur les debuts de la guerre d'Espagne et depuis quelques semaines je me dis que j'y lis en fait l'actualité Française, avec une course a l'échalote entre des partis ultra radicalises et sur de leur supériorité morale qui courent a la guerre. Et le plus tragique c'est que l'auteur nous montre que pendant très longtemps des autres voies étaient possible mais qu'elles ont été évitées, parfois sciemment car les gens voulaient la guerre pour "crever l'abcès". A vous lire j'ai l'impression que les USA aussi sont peuplés d'éléments intelligents mais totalement sûrs de leur bon droit qui veulent la confrontation

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il y a 30 minutes, Dedieu a dit :

Vous pouvez me faire passer pour un complotiste, pourquoi pas,

j’admets volontiers être curieux, tout en restant rationnel, je l'espère.

Ici, j'évoquais plutôt l'honneur des temps jadis, révolus, oubliés,

un temps où c'était effectivement un honneur de que servir son maitre,

mais ce sont des "trucs désuets" comme la "chevalerie", cela vous parle-t-il?

Et il y avait une note d'ironie, je précise,

car un modérateur m'a reproché d'être un égout, pour ce que je voulais être de l'humour.

"L'honneur de servir son maître". "La chevalerie et l'honneur".

Malheureusement, ce n'est pas du tout vrai historiquement parlant. De même que se référer au passé pour en tirer des enseignements positifs n'est pas toujours une bonne idée. Où était l'honneur du client romain allant mendier son sportule chaque matin auprès de son patron ? Les chevaliers honorables ? Parlez-en aux prisonniers exécutés après Azincourt ou à Richard Cœur de Lion arrêté comme un malpropre en Autriche au retour de la croisade. Aux multiples trahisons médiévales, y compris dans les romans de chevalerie, preuve s'il en est que même au Moyen Âge, on savait ce qu'il en était véritablement de cette idée de l'honneur et des valeurs.

il y a une heure, Dedieu a dit :

Nous avons un maitre, qui peux le nier? Mais qui est il?

Pour ma part, être un vassal peut être un honneur, mais ça me chagrine de ne pas savoir qui est souverain.

Incompréhensible pour ma part.

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Vous avez raison Ciders, il y eu des vassalités qui n'étaient que d'intérêts,

mais j'ai la faiblesse de croire, qu'il y en eu, qui était basé sur l'honneur.

Le guerrier d'autre fois, naissait souvent fils de guerrier, s'entrainait, vivait et mourrait en guerrier.

Chez certains, c'était parfois une vie de pillage, de rapines, mais ça n'a pas été que cela.

Les ordres chevaleresques nous ont élevé, la religion catholique,

ce n'est pas juste des "prêtres pédophiles" comme certains la décrive aujourd'hui.

Et il en reste, malgré tout,

comme une mythologie qui peut encore élever l'homme de bonne volonté qui se destinerait aux armes.

Ceci dit, le "maitre américain" est devenu bien "flou".

 

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il y a 28 minutes, Dedieu a dit :

Vous avez raison Ciders, il y eu des vassalités qui n'étaient que d'intérêts,

mais j'ai la faiblesse de croire, qu'il y en eu, qui était basé sur l'honneur.

Le guerrier d'autre fois, naissait souvent fils de guerrier, s'entrainait, vivait et mourrait en guerrier.

Chez certains, c'était parfois une vie de pillage, de rapines, mais ça n'a pas été que cela.

Les ordres chevaleresques nous ont élevé, la religion catholique,

ce n'est pas juste des "prêtres pédophiles" comme certains la décrive aujourd'hui.

Et il en reste, malgré tout,

comme une mythologie qui peut encore élever l'homme de bonne volonté qui se destinerait aux armes.

Ceci dit, le "maitre américain" est devenu bien "flou".

Je vous renvoie à Marcel Pagnol pour l'essentiel.

Pour le reste, Calatrava, Hospitaliers ou Porte-Glaives, l'honneur d'accord, la religion d'accord, mais se remplir les poches et accumuler des honneurs, aussi, et très largement. Du reste, les idéaux initiaux disparaissent assez vite, en une ou deux générations.

Quant aux prêtres pédophiles, pas de panique. Point besoin d'être prêtre hélas.

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Sans même appartenir à un ordre, il était possible d'être fier de servir son seigneur, comte, duc ou roi.

C'était un temps où le maitre et son serviteur combattait bien souvent cote à cote, ce qui crée des liens.

Enfin, nous sommes hors sujet, aujourd'hui qui est le maitre? Une chose est sure, il ne sera pas dans "notre tranchée".

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Il convient de noter que toutes les fautes de Biden et son "histoire problématique" ont été commodément ignorées jusqu'au moment où il a semblé qu'il ne pourrait pas vaincre Trump, puis il a été immédiatement jeté par-dessus bord.

Tout a été pardonné ou ignoré en échange d'une seule attente 

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Il y a 5 heures, Stark_Contrast a dit :

Il convient de noter que toutes les fautes de Biden et son "histoire problématique" ont été commodément ignorées jusqu'au moment où il a semblé qu'il ne pourrait pas vaincre Trump, puis il a été immédiatement jeté par-dessus bord.

Tout a été pardonné ou ignoré en échange d'une seule attente 

C'est triste de voir ce aveuglement  managérial constant dans tous domaines, alors que même au bistrot du coin la plupart des personnes de "bon sens" diraient que ça ne va pas le faire...

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Il y a 12 heures, ksimodo a dit :

Une feuille de vigne c'est pas bien grand, donc ça ne cache pas grand chose, donc y'a pas grand chose à cacher.

Perso pour cacher mes attributs, je ne joue pas en dessous de la taille d'une feuille de catalpa ( au minimum ).

( pardon, je suis déjà déjà dehors, histoire de vérifier que le fond de l'air est frais,

Je pense que tu dois être marseillais, si ce n'est de naissance alors de cœur :happy:

Donc, les attributs dont tu parles sont à peu près de la même dimension que la sardine qui bloque le port de Marseille ?

(Et oui, il y a des gens sur ce fil qui sont réveillés, si l'objectif était de le vérifier...)

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Sinon, avec un clin d’œil à qui vous savez (parti à la recherche du Sacré Graal), voici le président des Etats-Unis qui affirme être toujours en lice

Biden, sans bras ni jambes, affirme que sa défaite au débat n'est qu'une blessure superficielle

ATLANTA, GA - Les deux bras et les deux jambes coupés à la fin du débat, le président Biden a continué d'insister sur le fait que la défaite n'était qu'une "blessure superficielle".

"Revenez ici et prenez ce qui vous arrive, Donald ! Je vais te mordre les jambes", a crié M. Biden. "Joe Biden triomphe toujours !

Selon certaines sources, Trump avait encouragé Biden à s'écarter, mais Biden a refusé de le faire malgré la perte d'un membre après l'autre. "Joe, tu n'as plus de bras, crois-moi. C'est très triste, Joe sans bras", a déclaré Trump. "Il ne va pas très bien jouer au golf sans bras, je vous le dis. Admettez-le, Joe."

"C'est une égratignure ! Regardez ces bras", s'est écrié Biden en agitant ses moignons. "Je peux jouer à vingt sous le par comme ça ! Reviens ici et bats-toi, poule mouillée ! Poule mouillée !"

"Je prendrai tes jambes, Joe. Je ne veux pas, franchement ça a l'air terrible", a répondu Trump. "Pas de jambes, je ne peux même pas marcher, pas comme les gens qui traversent notre frontière, Joe".

"Biden s'est écrié : "Je suis invincible ! "Je suis invincible !!!!"

Au moment de la publication, les stratèges démocrates avaient gentiment demandé à Biden, qui mesurait désormais un mètre, s'il pouvait laisser la place à un candidat doté de membres, mais Biden a insisté sur le fait qu'il n'était guère blessé

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C'est très caustique, et je suppose que cela ne concerne pas tous les Américains, mais certains commencent à faire des comparaisons fort déplaisantes entre l'état actuel de la direction de leur pays et celui d'un autre pays il y a environ 40 ans...

En voici un exemple. On ne peut pas pousser de telles comparaisons trop loin, et il y a certaines différences évidentes. Mais c'est notable tout de même

Le secrétaire général Biden est enrhumé

Les jeunes ne le savent pas, mais dans les années 1980, lors des derniers soubresauts de l'Union soviétique, l'URSS a eu quatre dirigeants en cinq ans : Brejnev, Andropov, Tchernenko et enfin Gorbatchev. On disait que les trois premiers, tous vieux et malades, étaient enrhumés... jusqu'à ce que la télévision d'État se mette brusquement à jouer du Tchaïkovski, pour signaler au peuple russe que quelque chose d'important s'était produit.

Vous avez peut-être entendu dire que le secrétaire général du parti démocrate, Joe Biden, est enrhumé. Sa mort n'est pas considérée comme imminente, mais compte tenu de l'effondrement du président dans les sondages et de la panique qu'il suscite parmi les fidèles du parti, sa démission pourrait l'être. Comment saurons-nous qu'elle est imminente ? MSNBC se mettra-t-elle soudain à jouer en boucle l'hymne de Fleetwood Mac de l'ère Clinton, "Don't Stop" ? (...)

 

"Dites les gens, il s'est passé un truc..."

 

A y réfléchir, cette critique s'adresse peut-être davantage aux médias qu'au monde politique ou à un parti politique (démocrate) Après tout, la tambouille politique n'a jamais été une belle chose, c'est comme la saucisse mieux vaut ne pas savoir comment c'est fait, et les politiciens démocrates prétendant jusqu'au dernier moment, jusqu'à ce que ce soit vraiment indéniable, que tout allait bien avec la candidature Biden, ce sont des petitesses humaines certes, mais qui peuvent se voir en d'autres lieux et en d'autres temps

Mais le black-out médiatique (sauf à écouter des médias partisans de l'autre bord, évidemment... qui eux sont capables de black-out, mais sur d'autres sujets) ? 

La comparaison avec les médias d'Etat soviétiques devant un fait embarrassant comme le "rhume" du secrétaire général n'est hélas pas forcément exagérée...

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Ha mais cela fait des années que je prédis que l'occident tournera comme l'URSS. Alors avant que les captain obvious accourent pour me dire qu'il y a plein de différence je précise : similitude signifie pas identité. Les similarités sont suffisamment nombreuses et inquiétantes pour être relevé comme ici. J'avais déjà relevé le caractère gérontocratique de la fournée actuelle des candidats il y a quelque mois. Reste à voir quel genre de "Gorbatchev" vont nous sortir les démocrates puisque la victoire de Trump est hélas de plus en plus probable.

Modifié par nemo
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il y a 22 minutes, nemo a dit :

HA mais cela fait des années que je prédis que l'occident tournera comme l'URSS. Alors avant que les captain obvious accourent pour me dire qu'il y a plein de différence je précise : similitude signifie pas identité. Les similarité sont suffisamment nombreuses et inquiétants pour être relevé comme ici. J'avais déjà relever le caractère gérontocratique de la fournée actuelle des candidats il y a quelque mois. Reste à voir quel genre de "Gorbatchev" vont nous sortir les démocrates puisque la victoire de Trump est hélas de plus en plus probable.

J'imagine très mal en effet que le parti démocrate ne réagisse pas. Ils vont faire un truc, pas possible d'y couper. Savoir si cela suffira, si cela réussira, c'est une toute autre question, mais ils vont devoir bouger. La moyenne des intentions de vote pour Trump / pour Biden est en train d'évoluer dans la direction qu'on pouvait attendre

Capture-d-cran-2024-07-04-110916.jpg

Et il s'agit là de la moyenne glissante... les deux dernières études en date à ce jour montrent une différence de carrément 6 points entre les deux candidats

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https://www.lemonde.fr/international/article/2024/07/04/etats-unis-les-medias-de-gauche-levent-le-silence-sur-la-sante-du-president-biden_6246944_3210.html

Le 21 juin, le New York Times dénonçait les vidéos mettant en scène le vieillissement de Joe Biden. « Comment les vidéos trompeuses traquent Biden, alors qu’il lutte contre les doutes liés à son âge », titrait le quotidien new-yorkais, dénonçant, à juste titre, « une série de clips récents, dont beaucoup ont été édités ou manquent de contexte ».

C’était avant le 27 juin, jour du calamiteux débat de Joe Biden face à Donald Trump, qui a mis en évidence les faiblesses du président sortant. Le 2 juillet, avec le zèle de ceux qui ont longtemps nié, le quotidien mène l’enquête. « Les défaillances de Biden seraient de plus en plus fréquentes et inquiétantes », titre un nouvel article.

Les Américains sont furieux, ayant le sentiment d’avoir été bernés par la Maison Blanche et les médias.

Le milliardaire Bill Ackman, suivi par 1,3 million d’internautes, sonne l’hallali et accuse les médias de complaisance : « “60 minutes” [émission sur la chaîne CBS] savait ; CNN savait ; MSNBC savait, les médias de gauche avaient un accès complet au président, ses équipes et son administration. Ils savaient tous, mais ils vous ont dit le contraire. Ils vous ont menti éhontément. » « Le New York Times doit s’expliquer. Il fait un revirement total sur une histoire majeure en un peu plus d’une semaine », s’agace aussi sur X Alex Tabarrok, professeur d’économie à l’université George Mason, à Fairfax (Virginie).

Seul le Wall Street Journal a publié, le 4 juin, une longue enquête : « A huis clos, Biden montre des signes de détérioration », accusait le quotidien des affaires, précisant que la Maison Blanche voyait dans ces critiques « de la politique partisane ». De fait, l’enquête citait essentiellement des sources républicaines, ce qui a permis aux démocrates de dénoncer un article à charge.

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