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Steve Davies, Red Eagles

Il y a quelques années, l'US Air Force a déclassifié son programme des années 80 d'entretien d'une escadrille secrète volant sur des avions soviétiques. Mais c'était assez superficiel. L'auteur Steve Davies a voulu en savoir plus et a interviewé pas mal d'anciens pilotes, aboutissant à ce livre qui est le seul boulot de recherche jamais mené sur ce sujet. On apprend ainsi comment l'idée de cette escadrille est née, quel était son but, comment cela a été appliqué, etc. Un peu trop "américain" par moments avec les histoires de vie de base et ce genre de trucs.

Marc Sageman, Le vrai visage des terroristes

Une référence conseillée par Alain Chouet. Je n'en suis qu'à la moitié, mais j'en ai déjà eu pour mon argent. L'auteur étudie les terroristes d'al-Qaïda sous l'angle psychologique, mais c'est très concret et non pas des théories fumeuses (je regrette cependant un manque d'exemples au 3ème chapitre). L'auteur s'est aussi aventuré à décrire les courants religieux et l'évolution du djihad qui a aboutit à AQ, de l'agitation en Egypte des années 80 à 2001, là aussi en partant de faits bien concrets pour en tirer des conclusions bien étayées et surprenantes (dont celle-ci : peu de membres d'AQ viennent d'Arabie Saoudite ou du Pakistan, la plupart autour de Ben Laden sont en fait des Egyptiens exilés après des démêles avec leur pays d'origine). Bref, du béton pour comprendre le phénomène.

Un seul regret, mais de taille : cela ne concerne que AQ comme groupe organisé d'avant l'invasion de l'Afghanistan et pas le djihad style "guérilla à l'échelle mondiale" qui a suivi.

Modifié par Rob1
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Si, et la BD date d'un sacré bout de temps (1989 je crois). Les rumeurs sur l'escadrilles couraient depuis les années 80, mais personne n'avait vraiment expliqué à quoi elle servait (si c'était seulement tester les MiGs, les Américains ne l'auraient pas entretenue à faire voler des MiG-21 pendant une douzaine d'années).

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Non, l'escadrille a volé sur MiG-17, 21 et 23 seulement.

Autant que je sache, le seul MiG-25 que les Américains ont touché est celui qui a filé au Japon en 1976, mais qui a été rendu par les Japonais sans avoir été testé en vol.

Modifié par Rob1
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Ils ont cependant pu le démonter entièrement, avant de le remonter pour le rendre aux Soviétiques.

Outre ces MiG, ils ont eu aussi en main des appareils comme des Mil Mi-24, des Yak à réaction de première génération... Depuis, les Etats-Unis ont pu aussi mettre la main sur des MiG-29 (moldaves) et des Su-27.

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Sur le wiki francophone, l'article http://fr.wikipedia.org/wiki/Yakovlev_Yak-23 indique cette version :

Un Yak-23 a été étudié par les services-secrets US, avec l'aide de la Yougoslavie, en novembre 1953. il s'agissait du Yak-23 Roumain piloté par Mihail Diaconu qui avait fait défection avec. L'avion arriva démonté à l'Air Force Test and Evaluation Center à Wright Field près de Dayton, Ohio. Il fut remonté et rendu opérationnel pour plusieurs vols d'essais, camouflé avec mes marquages US. Des efforts avaient été faits pour garder l'identité de cet avion secrète en ne volant qu'au petit matin. A une occasion, il fut dépassé sur un taxiway par une formation de F-86, dont les pilotes s'interrogèrent sur l'identité de cet avion. L'histoire raconte qu'ils furent persuadés qu'il s'agissait d'un Bell X-5, qui avait une configuration similaire. A la fin de l'évaluation, l'avion fut démonté et renvoyé en Yougoslavie avec sa peinture et ses marquages d'origine.

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En fait le test et l'évaluation des appareils "inconnus" était le boulot d'une autre unité, le 6513th Test Squadron “Red Hats”. C'est évidemment le premier réflexe qui est venu aux Américains dans les années 60 quand ils ont mis la main sur des MiG-17 et MiG-21 (données par Israël).

Après la guerre du Viêt-nam, divers officiers de l'USAF ont réfléchi à améliorer leurs performances, qui n'avaient pas été renversantes. De l'évaluation surtout "technique" des appareils, on est passés à une évaluation "tactique" où ils ont simulé des combats aériens, pour écrire des "manuels" pour les pilotes de chasse (en fonction de l'appareil piloté et de l'appareil ennemi, comment prendre l'avantage). C'est à cette époque qu'on a inventé l'entraînement "dissimétrique" et les Agresseurs sur Northrop F-5.

Enfin, le dernier constat a été que la plupart des pilotes perdus l'étaient dans leurs premières missions en combat. L'USAF a donc voulu essayer de reproduire des combats de manière aussi réaliste que possible pour que les pilotes soient aussi peu "surpris" que possible lors de leur premier vrai combat. D'où l'idée de Red Flag, puis d'une escadrille de MiG pour qu'ils affrontent de vrais MiG et non pas des appareils connus. Lors des premières rencontres, les pilotes étaient tout simplement paralysés de croiser de vrais MiG, chose qui n'arrivait pas avec les F-5. Les “Red Eagles” (4477th Test and Evaluation Squadron) ont donc été créé non pas pour tester des MiG mais pour les faire voler régulièrement.

Le problème était d'en avoir en nombre suffisant et de réussir à les entretenir. Ils ont eu des MiG-17, une dizaine de MiG-21 indonésiens à la fin des années 70, puis des MiG-23 égyptiens au début des années 80, et des J-7 chinois neufs pour remplacer les MiG-21 au milieu des années 80 (+ peut-être d'autres, allez savoir, c'est un des points que l'USAF n'a pas déclassifiés). Le tout généralement sans manuels, avec des pièces "rétro-ingineerées" et des moteurs pas fiables et aux durées de vie faibles. Ils ont eu divers accidents, dont la perte de deux pilotes (+ un officier supérieur qui avait tenu à prendre les commandes d'un MiG-23 lors d'une visites à ses unités subordonnées...), et une confiance limitée dans les sièges éjectables (sauf peut-être les chinois qui étaient flambants neufs). La principale mission des commandants d'unités était d'augmenter le nombre de sorties pour que le maximum de pilotes US "rencontrent" les MiG (plusieurs milliers au total, mais pour la plupart des pilotes, ca s'est limité à une ou deux rencontres).

En 1989, il y a eu une réduction des budgets de l'USAF et la formation à la chasse a été durement touchée. Il faut dire qu'elle avait pas moins de quatre escadrons d'agresseurs (2 à Nellis, un dans la zone PACAF et un pour l'USAFE) et que Red Flag coûtait la peau des fesses. Dans les réductions, les “Red Eagles” ont été parmi les premiers touchées car fort coûteux (d'autant que leur base n'était plus partagée par les F-117).

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Pour les MiG-29 moldaves, le but était d'éviter que l'Iran ne les achète car ce pays s'était montré intéressé. Il faut rappeler que l'USAF n'a recréé des unités d'Agresseurs qu'assez récemment en fait.

Il ne reste plus qu'à espérer qu'on ait un jour un livre équivalent sur l'escadron Red Hats.

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J'avais entendu une version différente pour le Yak-23. On disait qu'un enfant avait un jour téléphoné à la base, en leur demandant s'ils savaient qu'un appareil soviétique volait tous les jours au-dessus de leurs pistes. On lui avait répondu qu'il s'agissait du X-5.

Pour les MiG-29 moldaves, le but était d'éviter que l'Iran ne les achète car ce pays s'était montré intéressé. Il faut rappeler que l'USAF n'a recréé des unités d'Agresseurs qu'assez récemment en fait.

On ne connaît d'ailleurs pas vraiment le sort de ces MiG-29. Est-ce qu'ils pourraient eux aussi servir d'Agresseurs ?

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  • 2 weeks later...

Je l'ai commencé. En attendant, je conseille sérieusement le livre de Marc Sageman, Le vrai visage des terroristes : Psychologie et sociologie des acteurs du djihad, qui aborde le sujet de manière extrêmement concrète et sous des angles inattendus : même si l'essentiel est sur la psycho/socio, il y a une parenthèse théologique et historique au début qui à elle seule vaut le détour.

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  • 2 weeks later...

Je ne saurais trop vous recommander un livre de Jean-Christophe Notin

"La guerre de l'ombre des français en A-stan 1979/2011"

Remarquablement documenté, qui permet de comprendre ce qui se passe là bas depuis 35 ans

Je viens de creer un fil au sujer de ce livre.

Clair, instructif, assez bien renseigne

A conseiller.

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  • 4 weeks later...

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Intéressant et fort complet : petit historique du mercenariat et de son avatar moderne, remise en perspective des choses (explications entre mercenariat et SMP, etc.), les risques de dérives sont passés au peigne fin (dépendance, éthique, financier,...), petit tour des SMP dans le monde (Anglo-saxons, Afrique du Sud, Israel, Europe,...),... Tout dans un style clair et facile d'accès.

;)

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Dommage qu'il n'y ait pas plus d'aquarelle comme la couverture dans ce livre :

On y apprend que le Courbet en 40 a fait du bombardement de la route de cote menant à Cherbourg, ce qui est très en phase avec la discussion sur les 127 LW sur les Fremm...

Par contre, le vieux courbet y a été plus utile que les grandes unités toutes neuves,basées en outre-Mer

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  • 2 weeks later...
  • 8 months later...

The Bullet or the Bribe: Taking Down Colombia's Cali Drug Cartel, de Ron Chepesiuk

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Je ne sais pas si vous l'avez remarqué, mais j'aime bien choisir des livres écrits par des gens qui connaissent bien leur sujet, et vont chercher leurs sources au plus près des faits. Si en plus le livre peut être atypique, pas très célèbre et donc m'éviter de rabâcher ce qui a été lu par tout le monde, c'est tant mieux.

Avec ce livre, je n'ai pas été déçu (faut dire que j'avais une certaine idée de ce que j'achetais grâce aux aperçus du contenu Amazon/Google Books * ) : l'auteur sait visiblement de quoi il parle, et tire bon nombre de ses infos d'interviews de membres-clés de la DEA et d'autres services de police. On a donc une vision assez bonne de la création du Cartel de Cali par une poignée de criminels colombiens quelque peu ingénieux, sa montée en puissance, sa découverte progressive par les services de police US, jusqu'à ce qu'il devienne une de leurs plus grandes priorités, et enfin sa chute - assez rapide - et son démantèlement.

* : quand est-ce que les éditeurs français réaliseront enfin l'intérêt de ces trucs ?!

L'exposé des méthodes vicieuses du cartel (préférant la ruse à la force - bien que l'auteur ne manque pas de relever que les gens de Cali étaient sans pitié quand ils l'estimaient nécessaire), de sa tendance à innover en permanence et à "intégrer" toutes les fonctions liées à son activité, de son incroyable activité de pourrissement de l'Etat colombien (le cartel alla jusqu'à être sur le point d'acheter un président colombien en exercice) est fascinant. L'importance de l'implication de la DEA en Colombie est également surprenante : des agents de la DEA se mêlaient aux fouilles faites par la police colombienne, et cultivaient leurs propres informateurs.

Le degré de corruption des autorités colombiennes est par moments hallucinant. Ainsi, lors d'une fouille par la police colombienne d'un appartement à la recherche d'un des parrains du Cartel, des agents de la DEA commençaient à forer un meuble installé de manière suspecte. Ils furent interrompus par des officiers colombiens, qui les expulsèrent purement et simplement du logement. Revenant 24 heures plus tard, ils démolirent le meuble et trouvèrent qu'il avait effectivement servi de planque à un homme, avec réserves d'eau, de nourriture et une bouteille d'oxygène. Quelques traces de sang laissèrent à penser aux agents qu'ils avaient même blessé involontairement le parrain avec leur perceuse - une perspective qui ne les consola guère du fait qu'il leur avait échappé après qu'ils soient arrivés à quelques centimètres de lui.

Mon avis est quand même un peu mitigé, pas à cause de ce qu'il y a dans le livre, mais parce que j'aurais aimé qu'il y en ait plus. Ses narrations des histoires de policiers dans les rues ont tendance à être décousues : dans ces récits, il est rare qu'on ait la progression de l'enquête de manière continue, ce qui donne trop souvent une impression de "trous" dans le récit.

Par ailleurs, l'exposé atteint ses limites un peu en-deçà de là où j'aurais aimé les trouver. L'auteur répète trop que le cartel de Cali était "géré comme une entreprise", sans assez justifier ce point de vue : toute organisation de ce genre cherche à maximiser ses profits, et si certaines initiatives du cartel de Cali étaient très originales (installer des laboratoires aux USA même), j'ai du mal à voir en quoi un autre cartel n'aurait pas la même logique de fonctionnement.

Enfin, autre type de "trou", l'auteur ne couvre que les efforts d'agents de la DEA et autres services policiers US, certes indispensables, mais en ignorant certains aspects (je crois qu'il n'y a pas un mot sur les dispositifs aérien et maritime d'interception US), et n'abordant pas du tout les domaines juridique ou du renseignement (ce dernier point m’attristant particulièrement, vous le devinez).

Autre petit regret, le manque de relecture : bien que je lise quotidiennement en anglais, il est extrêmement rare que je remarque des fautes dans cette langue. Ici j'ai remarqué une dizaine d'erreurs (ortho ou frappe, parfois conjugaison). Pas de quoi me gâcher la lecture, mais ça surprend.

Je tiens à détailler un des éléments de la conclusion qui m'a particulièrement frappé : de l’intérêt, ou de l'absence d'intérêt, à neutraliser de telles organisations. Après le démantèlement des grands cartels (celui de Medellin puis celui du Cali) par la mort ou l'arrestation de leurs chefs, des "cartelitos" ont pris le relai, évitant de devenir trop gros, mais causant toujours une très forte corruption, notamment au niveau local, et surtout, le volume de drogue entrant aux USA ne semble pas avoir été changé. L'auteur se risque à comparer la guerre contre la drogue à la guerre contre le terrorisme (le livre date de 2003), et pense 1) qu'une stratégie visant à enrayer les cause à la base de ces phénomènes (la "demande" pour la drogue) est nécessaire pour arriver à un vrai résultat 2) que les rivalités interservices sont un obstacle bénéficiant aux trafiquants & terroristes et que ce n'est que quand la coopération été effective que le système répressif est devenu efficace.

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Stiks avait posé une question l'année dernière qui est resté sans réponse :

On ne connaît d'ailleurs pas vraiment le sort de ces MiG-29. Est-ce qu'ils pourraient eux aussi servir d'Agresseurs ?

Quelqu'un à une idée ?

Et voici en prime la photo du premier MiG-15 US, un pilote nord coréen à déserté le 21 septembre 1953 avec son zinc pour aller au Sud avec :

http://en.wikipedia.org/wiki/Operation_Moolah

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Au moins six de ces MiG-29 ont été exposés en divers endroits des USA, selon Tom Cooper.

En relisant le livre de Steve Davies :

- l'escadron sur MiG a arrêté de voler en 1988

- une partie des plus vieux MiG-21 sont exposés, mais les J-7 et MiG-23 ont disparu (la rumeur dit qu'ils auraient été simplement enterrés, comme les MiG-17 et MiG accidentés avant eux)

- en 1992 un programme a tenté de créer un escadron sur Su-27, mais ils n'ont jamais eu les fonds

- des MiG-23 d'origine ex-RDA ont été utilisés pour de la "static exploitation" (apparemment ca veut dire uniquement au sol), mais il a fallu que l'Allemagne les fournisse gratuitement et paie le transport, ce qui donne une idée des contraintes budgétaires !

- l'achat des MiG moldaves en 1997 aurait été motivé uniquement pour éviter qu'ils finissent en Iran

Image IPB

Tiens, un aigle rouge...

Le rôle du 4477th TFS "Red Eagles" a été repris par le Detachment 2 du 57th Fighter Wing, devenu le Detachment 3 du 53rd Test and Evaluation Group. Le commandant du 53rd avait en 2004 des sticks de chasseurs russes modernes exposés dans son bureau, et un pilote bien gradé de l'USAF avait une maquette de Su-27 sur son bureau. Des MiG-29 et Su-27 auraient été vus à Groom Lake.

Davies pense qu'il y a bien utilisation en vol de ces appareils, probablement de manière occasionnelle et limitée à certains utilisateurs (instructeurs de la Fighter Weapons School). Aucune idée d'où les avions ont été trouvés.

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Je confirme pour les MiG-29 moldaves. Les Etats-Unis avaient le poil hérissé à l'idée que ces appareils puissent aller en Iran... ou ailleurs. Dans l'Air Fan d'octobre 2007, on précise que le stock moldave était de 33 appareils à l'origine, dont 24 Fulcrum-C, en provenance du 86 GvIAP (Flotte de la Mer Noire). Ils avaient vendu 5 appareils au Yémen et 1 à la Roumanie.

Toujours selon cet Air Fan, officiellement, Washington les aurait acheté car ces MiG étaient a priori câblés pour emporter des bombes à charge nucléaire. Ca me paraît curieux, car en 1997 l'Iran n'avait pas un programme très développé. Mais les stocks soviétiques en la matière étaient peut-être encore perméables ou jugés comme tels.

Et pour conclure avec cet Air Fan, l'article mentionne que six appareils sont exposés dans des musées aux Etats-Unis, mais que le sort des autres demeure mystérieux. Deux hypothèses sont avancées par le magazine : stockage du côté de Wright-Patterson AB, ou unité Agressors secrète à Tonopah AB (Nevada).

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Le stockage n'a d'intérêt que s'ils peuvent resservir. Je pense qu'il est plus probable qu'ils servent de réserves de pièces détachées, ou de cibles dans un Red Flag, ou qu'ils soient purement et simplement "scrapped".

Pour la prolifération nucléaire, les Américains ont un programme de sécurité très étendu, dont la première "ligne de défense" comprend l'équipement de bases russes en matière de barrières, caméras, digicodes et j'en passe. Ils ont aussi signé des accords de manière à fournir du combustible à d'autres pays, récupérant en échange le combustible usé à potentiel militaire, pour s'assurer qu'il ne tombe pas en de mauvaises mains. Donc prendre comme précaution supplémentaire de récupérer des vecteurs potentiels, pourquoi pas.

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Lecture du moment

"Two-Block Fox"

The rise of the Aircraft Carrier, 1911-1929

Charles M. Melhom

http://www.amazon.com/gp/product/images/0870217089/ref=dp_image_0?ie=UTF8&n=283155&s=books

Analyse assez brève mais remarquable sur les conditions qui prévalurent à la naissance du concept du porte-avions aux USA. 18 ans qui expliquent pourquoi les Américains ont pu forger leur puissance aéronavale.

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