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https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/whether-evs-or-solar-panels-protectionism-has-same-distorting-effect (21 mai 2024)

Au cours du premier trimestre de cette année, 80 % des nouveaux véhicules électriques vendus en Australie ont été fabriqués en Chine, avec en tête deux modèles Tesla fabriqués à Shanghai, mais aussi des ventes en hausse pour les marques chinoises moins chères MG, BYD et Great Wall.

Selon le rapport - qui est en faveur des subventions - la fabrication chinoise de panneaux solaires est aujourd'hui et restera moins chère que la fabrication australienne probable, à tous les stades de la production. Selon l'étape, l'écart de coût varie de 20 % à 100 %. Le rapport calcule que pour atteindre le niveau de production visé, une industrie nationale de panneaux solaires nécessiterait des subventions à la production de près de 8 milliards de dollars sur dix ans. Malgré cela, le produit final restera plus cher que le produit chinois.

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https://www.smh.com.au/politics/nsw/nsw-government-throws-eraring-power-station-a-lifeline-until-2027-20240523-p5jfxd.html

La nouvelle selon laquelle Eraring, la plus grande centrale électrique au charbon d'Australie, fonctionnera pendant deux années supplémentaires est une pilule difficile à avaler ("Coal power gets lifeline", 24 mai). Cette décision coûtera au public de la Nouvelle-Galles du Sud jusqu'à 450 millions de dollars sur deux ans. Elle entraînera également le rejet dans l'atmosphère d'environ 40 millions de tonnes supplémentaires de pollution climatique et l'ajout de polluants toxiques tels que le mercure, le dioxyde de soufre et les oxydes d'azote dans la région du lac Macquarie.

https://en.wikipedia.org/wiki/Eraring_Power_Station

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  • 4 weeks later...

La déforestation massive de l'Australie Occidentale après la seconde guerre mondiale :

https://filmsforchange.stream/programs/a-million-acres-a-year

Réédition d'un documentaire remarquable de 2002, toujours d'une grande pertinence aujourd'hui. L'histoire dévastatrice d'un désastre écologique : l'épopée du développement agricole de l'après-guerre en Australie Occidentale et les itinéraires personnels d'une avant-garde rurale qui en est venue à reconnaître que les formes actuelles d'agriculture n'étaient pas viables.

"Une œuvre obsédante... Elle rend parfaitement compte d'une période de notre histoire au cours de laquelle notre relation à la terre a profondément changé. Il est profondément ressenti et compatissant et ne recule pas devant l'ampleur de la destruction qu'il documente. Il mérite de devenir un classique australien. Je ne saurais trop le recommander. - Asa Wahlquist, The Australian

cliquer sur "watch trailer". En particulier, voir la carte satellite à 00:58.

https://www.wa.gov.au/government/media-statements/McGowan-Labor-Government/Historic-new-plan-to-protect-WA's-forests-20221018

Les Australiens de l'Ouest peuvent désormais s'exprimer sur le projet de plan de gestion forestière 2024-2033, qui concrétise la décision historique du gouvernement McGowan de mettre fin à l'exploitation des forêts anciennes dans notre Sud-Ouest.

Respect de l'engagement de mettre fin à l'exploitation des forêts anciennes à partir de 2024.

https://www.bushheritage.org.au/what-we-do/our-challenge/land-clearing

Environ 90 % de la végétation d'origine de la zone tempérée orientale a été détruite pour l'agriculture, l'industrie, les transports et l'habitat humain.

Environ 50 % des forêts tropicales d'Australie ont été défrichées et la proportion de l'Australie couverte de forêts ou de bois a été réduite de plus d'un tiers.

https://www.abc.net.au/news/science/2020-10-08/deforestation-land-clearing-australia-state-by-state/12535438

L'Australie est l'un des leaders mondiaux en matière d'abattage d'arbres et d'élimination d'animaux : deux réalisations discutables qui sont étroitement liées.

Le défrichement et la perte d'habitat sont les principaux facteurs d'extinction des animaux et, ces dernières années, le rythme agressif du défrichement en Australie a été l'un des plus rapides du monde développé.

Ainsi, malgré notre réputation de nature sauvage et de faune charismatique, il n'est peut-être pas surprenant que l'Australie ait l'un des taux d'extinction animale les plus élevés au monde.

Depuis la colonisation européenne, nous avons provoqué l'extinction de 29 mammifères et plus de 1 700 autres sont menacés ou en voie d'extinction. Le koala, autrefois abondant, disparaît rapidement de la Nouvelle-Galles du Sud et du Queensland.

L'agriculture est à l'origine de la plupart des défrichements, le "pâturage de végétation indigène" représentant plus de 1,8 million d'hectares de défrichement. Le deuxième facteur contribuant le plus aux données est le "pâturage de pâturages modifiés", avec environ 125 000 hectares.

Malgré le défrichement de plus de 3,5 millions d'hectares au niveau national au cours de la période 2010-2018, selon les données des comptes nationaux de l'effet de serre (NGA), il y a eu une augmentation nette de la couverture arborée en Australie au cours de cette période.

Mais les critiques disent que cela ne représente pas ce qui se passe dans nos forêts du point de vue de la conservation de la faune et de la flore ou du stockage du carbone.

Le problème est qu'une forêt mature peut être déboisée à un endroit et qu'une surface équivalente de jeunes arbres de 2 mètres peut avoir repoussé à un autre endroit.

Dans ce cas, les données n'indiqueraient aucune perte nette de la couverture forestière, bien qu'il y ait un déficit significatif de l'habitat.

Selon Martin Taylor, expert forestier du WWF, l'analyse est effectuée à l'aide d'images satellite et ne permet pas de déceler les différences subtiles qui se produisent au niveau du sol.

La méthode NGA est basée sur l'imagerie satellite où 20 % ou plus du couvert végétal est classé comme forêt. Ce n'est que lorsqu'une zone passe en dessous de ce seuil de 20 % qu'elle est considérée comme une perte de forêt.

Selon M. Taylor, cela signifie qu'une forêt dense peut être éclaircie de 95 % à 21 %, par exemple, sans être considérée comme défrichée selon la méthode NGA.

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https://www.dcceew.gov.au/environment/biodiversity/threatened/species/koalas/listing-under-national-environmental-law

Le koala (populations combinées du Queensland, de la Nouvelle-Galles du Sud et du Territoire de la capitale australienne) a été inscrit sur la liste des espèces en danger le 12 février 2022.

https://www.express.co.uk/news/world/1831396/koalas-australia-extinction-sydney-hospital (4 novembre 2023)

Steph Carrick, du Sydney Basin Koala Network, nous explique que les koalas sont extrêmement territoriaux et qu'ils ont donc besoin d'espace pour s'étendre si l'on veut enrayer le déclin de leur nombre.

Elle explique : "Nous avons cette population saine et croissante qui est essentiellement la clé pour les retirer de la liste des espèces menacées, mais c'est exactement là qu'ils ont décidé que l'étalement urbain allait se produire".

"Pour l'instant, c'est le développement d'abord, la conservation ensuite".

Les koalas ne vivent que dans l'est de l'Australie, le long des côtes du Queensland, de la Nouvelle-Galles du Sud, de l'Australie-Méridionale et de l'État de Victoria.

Leur nombre exact est inconnu, mais des dizaines de milliers d'entre eux ont été tués pendant l'été noir du pays, une période de feux de brousse intenses en 2019-20. Ils ont été inscrits sur la liste des espèces menacées d'extinction en février 2022.

Elle ajoute : "Ce qui m'horrifie, c'est que pour chaque koala qui vient se faire soigner à l'hôpital, il y en a probablement deux ou trois qui sont morts sur la route ou qui ont été euthanasiés".

"Je ne vois pas comment les populations de koalas vont pouvoir supporter ces pertes. Je comprends que les populations humaines augmentent et s'étendent, mais je pense qu'il y a de meilleures façons de gérer le développement. Les coupes à blanc ne sont jamais une bonne chose".

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https://www.theguardian.com/environment/article/2024/jun/19/coalition-nuclear-plan-peter-dutton-power-station-sites-australia

Peter Dutton a annoncé que la Coalition proposait de construire sept centrales nucléaires et deux petits réacteurs modulaires, mais il a esquivé les questions concernant le coût de ce plan.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Peter_Dutton

Il est chef du Parti libéral

https://fr.wikipedia.org/wiki/Coalition_(Australie)

Constituée de plusieurs partis de centre droit existant sous des formes variées depuis 1923, la Coalition est actuellement formée du Parti libéral d'Australie et du Parti national d'Australie. Lorsqu'elle forme le gouvernement fédéral, le chef du Parti libéral est Premier ministre d'Australie et le chef du Parti national est vice-Premier ministre.

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https://www.theguardian.com/australia-news/live/2024/jun/21/australia-news-live-peter-dutton-nuclear-power-anthony-albanese-facebook-scrutiny-journalism-ndis-labor

Comme indiqué dans le blog plus tôt dans la journée, l'opérateur du marché de l'énergie a mis en garde contre des "risques potentiels" de pénurie de gaz dans les États du sud. En fait, le temps a été froid (plus de chauffage) et relativement calme (plus de production d'électricité à partir de gaz que d'énergie éolienne), de sorte que les stocks de gaz ont été vidés.

Ces problèmes ont incité Ted O'Brien, porte-parole de l'ombre pour l'énergie, à quitter la 64e conférence annuelle du parti libéral à Sydney pour déclarer que notre énergie était en " grand danger ".

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Je ne crée pas un fil spécial sur les "criailleries" australiennes, mais il faudra y songer :

https://www.smh.com.au/politics/federal/dutton-goes-off-script-labels-albanese-a-child-in-a-man-s-body-20240622-p5jnug.html

S'écartant des notes écrites distribuées aux médias avant son discours, M. Dutton a déclaré que les caricatures sur les risques de sécurité du nucléaire publiées sur les médias sociaux par de hauts responsables politiques travaillistes ces derniers jours - y compris des poissons et des koalas à trois yeux - montraient "la nature juvénile de notre premier ministre".

"C'est un homme dont l'esprit est encore dans ses années d'université. C'est un enfant dans un corps d'homme".

Qualifiant M. Albanese d'"apaiseur politique, et non de leader de conviction", M. Dutton a déclaré : "Quel que soit le public auquel s'adresse M. Albanese, il lui dit ce qu'il veut entendre, et non ce qu'il faut dire".

M. Dutton a déclaré que M. Albanese avait dit aux habitants de l'Australie occidentale qu'il était favorable à l'industrie gazière, tout en assurant aux habitants de Canberra qu'aucun fonds public ne serait consacré à des projets gaziers dans le cadre de son plan "Future Made in Australia" (L'avenir en Australie).

Modifié par Wallaby
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https://www.smh.com.au/world/asia/stabilisation-or-self-censorship-pandas-can-t-paper-over-australia-s-differences-with-china-20240618-p5jmte.html

La visite de M. Li, la première d'un premier ministre chinois depuis sept ans, témoigne du succès du modèle de diplomatie discrète qui a sous-tendu les efforts de M. Albanese et de Mme Penny Wong, ministre des affaires étrangères, pour stabiliser les relations entre l'Australie et cette superpuissance instable.

Mais dans le même temps, la décision du gouvernement Albanese de réduire la rhétorique australienne critique à l'égard de la Chine depuis son entrée en fonction et même de s'engager dans une politique d'autocensure ont été des victoires évidentes pour Pékin.

Pour preuve, le fait que l'Australie n'ait pas suivi les États-Unis, l'Union européenne et le Royaume-Uni en sanctionnant les entreprises chinoises qui fournissent à la Russie des technologies à double usage utilisées dans le cadre de son invasion illégale de l'Ukraine.

Incontestablement, cette approche a porté ses fruits au cours des deux dernières années, notamment sur le plan commercial. Pékin a progressivement levé les 20 milliards de dollars de sanctions coercitives qu'il avait imposées à une douzaine d'exportations australiennes en 2020, en représailles aux critiques publiques plus virulentes de l'ancien gouvernement de coalition à l'égard de la Chine et aux mesures politiques telles que l'interdiction de Huawei et les lois sur l'ingérence dans les affaires étrangères.

Pour l'industrie du homard, qui souffre depuis longtemps, la visite de M. Li n'a pas apporté la confirmation de la levée de cette dernière interdiction d'exportation, mais des annonces ont été faites concernant la reprise des communications entre militaires, bien que peu détaillées, l'exemption de visa pour les Australiens se rendant en Chine et, bien sûr, l'arrivée de deux nouveaux pandas au zoo d'Adélaïde.

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Il y a 14 heures, Wallaby a dit :

Pour l'industrie du homard, qui souffre depuis longtemps, la visite de M. Li n'a pas apporté la confirmation de la levée de cette dernière interdiction d'exportation, mais des annonces ont été faites concernant la reprise des communications entre militaires, bien que peu détaillées, l'exemption de visa pour les Australiens se rendant en Chine et, bien sûr, l'arrivée de deux nouveaux pandas au zoo d'Adélaïde.

Ah oui, ça c'est vital

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il y a 27 minutes, Paschi a dit :

Ah oui, ça c'est vital

Pareil que pour les États-Unis :

Le 10/11/2023 à 15:04, Wallaby a dit :

C'est presque un rappel d'ambassadeur :

https://www.rfi.fr/fr/amériques/20231109-à-la-une-la-fin-de-la-grève-à-hollywood

Aujourd’hui, « alors que les tensions entre les États-Unis et la Chine augmentent depuis des années, on se demande », écrit le New York Times, « si c’est pour cette raison que la Chine demande le retour des pandas ».

-

Le 17/11/2023 à 19:06, Wallaby a dit :

https://english.elpais.com/usa/2023-11-16/more-pandas-will-be-coming-to-the-us-chinas-president-signals.html

Le président chinois Xi Jinping a indiqué que la Chine enverrait de nouveaux pandas aux États-Unis, les qualifiant d'"envoyés de l'amitié entre les peuples chinois et américain".

Nous voilà rassurés et rassérénés.

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Le 11/06/2023 à 21:11, Wallaby a dit :

https://www.rfi.fr/fr/monde/20230505-australie-le-premier-ministre-et-le-leader-de-l-opposition-veulent-la-libération-de-julian-assange

Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a fait part de son souhait de voir le fondateur de WikiLeaks libéré.

De façon plus surprenante, le leader de l’opposition, Peter Dutton, a également estimé que l’emprisonnement de Julian Assange avait duré trop longtemps, alors qu’au cours des dix années de gouvernement conservateur, dont il était l’un des plus éminents membres, l’Australie s’était totalement désintéressée du sort de l’un de ses concitoyens.

https://www.lemonde.fr/international/article/2023/06/09/l-australie-unie-derriere-le-lanceur-d-alerte-julian-assange_6176817_3210.html

Pour la première fois depuis plus de dix ans, majorité et opposition appellent, de concert, à ce qu’une solution soit trouvée pour que le fondateur australien de WikiLeaks, incarcéré au Royaume-Uni depuis 2019, puisse rentrer au pays.

https://www.france24.com/fr/amériques/20240625-accord-avec-justice-américaine-julian-assange-est-libre-annonce-wikileaks

"Julian Assange est libre" et a quitté le Royaume-Uni et la prison de haute sécurité proche de Londres où il était incarcéré depuis 2019, pour embarquer dans un avion à l'aéroport de Stansted.

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L'annulation de l'accord sur les sous-marins de classe Barracuda avec la France et l'annonce de l'accord AUKUS sans consultation préalable avec Paris ont certainement eu des conséquences diplomatiques et stratégiques importantes. L'absence de consultation avec la France, qui a des intérêts et une présence importants dans le Pacifique, a créé des tensions qui pourraient affaiblir la coopération et les relations futures entre ces alliés. Cela illustre la nécessité d'une meilleure coordination diplomatique et d'une meilleure communication pour maintenir la cohésion entre les partenaires stratégiques, en particulier dans des domaines aussi sensibles que la défense et la sécurité régionale.

Une meilleure diplomatie vis-à-vis de la France aurait pu faciliter la transition vers la classe AUKUS en termes de délais et de coûts

Compte tenu du goulot d'étranglement dans la production des sous-marins de classe Virginia aux États-Unis et de leur probable disponibilité tardive pour les Australiens, une approche basée sur la livraison de sous-marins de classe Suffren à court terme, suivie de sous-marins de classe AUKUS lorsqu'ils seront disponibles, pourrait être envisagée.

La combinaison des sous-marins de la classe Suffren et de la future classe AUKUS offre une approche équilibrée, permettant de disposer beaucoup plus tôt et à moindre coût d'une capacité de sous-marins nucléaires avancés, tout en établissant une base solide pour l'intégration des capacités plus avancées et interopérables de la classe AUKUS à plus long terme. Cela permettrait à l'Australie de réagir rapidement aux menaces et de renforcer sa défense tout en développant progressivement ses capacités de coopération stratégique avec ses alliés.

Classe Virginia et classe AUKUS

La disponibilité de la classe Virginia est estimée entre 2036 et 2042, tandis que celle de la classe AUKUS est estimée entre 2038 et 2045. Les coûts du programme combiné de mise à disposition de la classe Virginia suivie de la livraison de la classe AUKUS sont très élevés, les coûts totaux du programme étant estimés entre 268 et 368 milliards de dollars australiens.

Les avantages supposés sont l'alignement stratégique sur les États-Unis, l'accès à des technologies avancées et une interopérabilité accrue avec les forces américaines. Les inconvénients sont les longs délais, les coûts très élevés et la complexité de l'intégration des systèmes américains et australiens.

Classe Suffren et classe AUKUS

La disponibilité de la classe Suffren pour le premier sous-marin est possible dès 2031, avec des livraisons ultérieures en 2033, 2035... tandis que celle de la classe AUKUS est estimée entre 2038 et 2045. Les coûts du programme combiné d'approvisionnement de la classe Suffren suivi de la livraison de la classe AUKUS sont estimés à environ 1,6 milliard de dollars australiens par sous-marin Suffren, ce qui est potentiellement beaucoup moins coûteux que le programme précédent de solution transitoire.

Les avantages supposés sont la réduction des délais de livraison : Les sous-marins de la classe Suffren seraient disponibles beaucoup plus tôt, ce qui permettrait à l'Australie de disposer plus rapidement de capacités nucléaires avancées, et les coûts par sous-marin seraient potentiellement moins élevés, ce qui constituerait une solution plus rentable à court terme. En outre, les sous-marins de la classe Suffren sont technologiquement avancés et offrent une furtivité, une endurance et des capacités opérationnelles élevées, et cette solution ne constitue pas une rupture technologique, ce qui faciliterait la transition vers les capacités de la classe AUKUS. Les inconvénients sont une interopérabilité moins immédiate avec les forces américaines, bien que cela puisse être compensé par une intégration progressive avec les futurs systèmes de la classe AUKUS.

Conclusion

La classe Suffren permettrait à l'Australie de disposer rapidement de sous-marins nucléaires tout en développant l'infrastructure et les capacités nécessaires aux sous-marins de la classe AUKUS à plus long terme. Cette approche permet d'atténuer les risques liés aux retards et aux coûts élevés en fournissant une capacité intermédiaire solide. La combinaison du Suffren comme solution provisoire avec les sous-marins AUKUS à plus long terme permet une plus grande flexibilité dans l'adaptation des capacités de défense à l'évolution des besoins. Moins coûteux à court terme, il permet d'affecter les ressources financières au développement de la classe AUKUS et à d'autres priorités en matière de défense.

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il y a 35 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

La disponibilité de la classe Suffren pour le premier sous-marin est possible dès 2031, avec des livraisons ultérieures en 2033, 2035... tandis que celle de la classe AUKUS est estimée entre 2038 et 2045. Les coûts du programme combiné d'approvisionnement de la classe Suffren suivi de la livraison de la classe AUKUS sont estimés à environ 1,6 milliard de dollars australiens par sous-marin Suffren, ce qui est potentiellement beaucoup moins coûteux que le programme précédent de solution transitoire.

Est ce que les dates et montants prévisionnels tiennent compte des retards et des trucs qui ne fonctionneront pas ? Parce qu'il y a du LM dans ces sous-marins... 

 :bloblaugh:

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Il y a 1 heure, Picdelamirand-oil a dit :

L'annulation de l'accord sur les sous-marins de classe Barracuda avec la France et l'annonce de l'accord AUKUS sans consultation préalable avec Paris ont certainement eu des conséquences diplomatiques et stratégiques importantes. L'absence de consultation avec la France, qui a des intérêts et une présence importants dans le Pacifique, a créé des tensions qui pourraient affaiblir la coopération et les relations futures entre ces alliés. Cela illustre la nécessité d'une meilleure coordination diplomatique et d'une meilleure communication pour maintenir la cohésion entre les partenaires stratégiques, en particulier dans des domaines aussi sensibles que la défense et la sécurité régionale.

Une meilleure diplomatie vis-à-vis de la France aurait pu faciliter la transition vers la classe AUKUS en termes de délais et de coûts

Compte tenu du goulot d'étranglement dans la production des sous-marins de classe Virginia aux États-Unis et de leur probable disponibilité tardive pour les Australiens, une approche basée sur la livraison de sous-marins de classe Suffren à court terme, suivie de sous-marins de classe AUKUS lorsqu'ils seront disponibles, pourrait être envisagée.

La combinaison des sous-marins de la classe Suffren et de la future classe AUKUS offre une approche équilibrée, permettant de disposer beaucoup plus tôt et à moindre coût d'une capacité de sous-marins nucléaires avancés, tout en établissant une base solide pour l'intégration des capacités plus avancées et interopérables de la classe AUKUS à plus long terme. Cela permettrait à l'Australie de réagir rapidement aux menaces et de renforcer sa défense tout en développant progressivement ses capacités de coopération stratégique avec ses alliés.

Classe Virginia et classe AUKUS

La disponibilité de la classe Virginia est estimée entre 2036 et 2042, tandis que celle de la classe AUKUS est estimée entre 2038 et 2045. Les coûts du programme combiné de mise à disposition de la classe Virginia suivie de la livraison de la classe AUKUS sont très élevés, les coûts totaux du programme étant estimés entre 268 et 368 milliards de dollars australiens.

Les avantages supposés sont l'alignement stratégique sur les États-Unis, l'accès à des technologies avancées et une interopérabilité accrue avec les forces américaines. Les inconvénients sont les longs délais, les coûts très élevés et la complexité de l'intégration des systèmes américains et australiens.

Classe Suffren et classe AUKUS

La disponibilité de la classe Suffren pour le premier sous-marin est possible dès 2031, avec des livraisons ultérieures en 2033, 2035... tandis que celle de la classe AUKUS est estimée entre 2038 et 2045. Les coûts du programme combiné d'approvisionnement de la classe Suffren suivi de la livraison de la classe AUKUS sont estimés à environ 1,6 milliard de dollars australiens par sous-marin Suffren, ce qui est potentiellement beaucoup moins coûteux que le programme précédent de solution transitoire.

Les avantages supposés sont la réduction des délais de livraison : Les sous-marins de la classe Suffren seraient disponibles beaucoup plus tôt, ce qui permettrait à l'Australie de disposer plus rapidement de capacités nucléaires avancées, et les coûts par sous-marin seraient potentiellement moins élevés, ce qui constituerait une solution plus rentable à court terme. En outre, les sous-marins de la classe Suffren sont technologiquement avancés et offrent une furtivité, une endurance et des capacités opérationnelles élevées, et cette solution ne constitue pas une rupture technologique, ce qui faciliterait la transition vers les capacités de la classe AUKUS. Les inconvénients sont une interopérabilité moins immédiate avec les forces américaines, bien que cela puisse être compensé par une intégration progressive avec les futurs systèmes de la classe AUKUS.

Conclusion

La classe Suffren permettrait à l'Australie de disposer rapidement de sous-marins nucléaires tout en développant l'infrastructure et les capacités nécessaires aux sous-marins de la classe AUKUS à plus long terme. Cette approche permet d'atténuer les risques liés aux retards et aux coûts élevés en fournissant une capacité intermédiaire solide. La combinaison du Suffren comme solution provisoire avec les sous-marins AUKUS à plus long terme permet une plus grande flexibilité dans l'adaptation des capacités de défense à l'évolution des besoins. Moins coûteux à court terme, il permet d'affecter les ressources financières au développement de la classe AUKUS et à d'autres priorités en matière de défense.

Peut-on en savoir plus sur l'auteur et la date de cette analyse ?

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il y a 8 minutes, Wallaby a dit :

Peut-on en savoir plus sur l'auteur et la date de cette analyse ?

C'est ma prose mais je me suis fait aider par ChatGPT, comme ChatGPT est très conciliant quand on exprime des opinions on peut arriver à produire rapidement un texte qui exprime ses propres opinions.

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  • 2 weeks later...

1er juin 2024

L'Australie possède la 13e économie mondiale, des plages magnifiques, un accès à une éducation de classe mondiale, des soins de santé universels et bien d'autres choses encore. Dans le même temps, les prix de l'immobilier et les loyers ont atteint des niveaux record, faisant de l'Australie l'un des pays les plus inabordables au monde.

Dans ce documentaire, nous explorons les principales causes de la crise de l'accessibilité financière en Australie. Nous discutons de l'immigration, de la bureaucratie, des incitations fiscales, de la baisse des investissements, etc. À la fin du documentaire, nous découvrons la véritable raison pour laquelle le marché immobilier australien est hors de contrôle et nous suggérons des idées pour y remédier.

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  • 4 weeks later...

https://www.bbc.com/news/articles/c3w68ywqv2go (14 août 2024)

La ville australienne de Melbourne a interdit la location de trottinettes électroniques, les autorités estimant qu'elles présentaient des risques inacceptables pour la sécurité.

La capitale française, Paris, les a interdites en septembre dernier - M. Reece a déclaré qu'il voulait copier "l'option parisienne".

L'un des principaux hôpitaux de la ville, le Royal Melbourne Hospital, a publié en décembre 2023 un rapport indiquant que près de 250 conducteurs de scooter s'étaient présentés aux urgences pour des blessures en 2022. Une majorité d'entre eux étaient liés à des facteurs tels que l'intoxication, la vitesse et le non-port du casque.

Un porte-parole de l'hôpital a déclaré que les accidents de trottinettes électriques avaient même causé des décès et des lésions cérébrales, les blessures touchant principalement les jeunes patients.

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  • 1 month later...

https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/out-way-usa (23 septembre 2024)

Le sondage 2024 de l'Institut Lowy indique une certaine méfiance des Australiens à l'égard des États-Unis. 56 % des personnes interrogées font confiance aux États-Unis pour agir de manière responsable, loin derrière la France [81 %] et le Japon [87 %].

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  • 2 weeks later...

https://www.abc.net.au/news/2024-10-04/influencer-jaylie-tori-criticism-queensland-croc-feeding-boast/104430428

Une influenceuse s'est retrouvée au centre d'une controverse après avoir mis en ligne une vidéo dans laquelle elle affirme avoir donné un poulet à manger à un crocodile sauvage à Babinda, au sud de Cairns.

Il y a un mois, le Queensland a considérablement alourdi les peines encourues pour avoir nourri des crocodiles, à la suite de l'attaque mortelle à Cape York d'un homme originaire de Newcastle.

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… Les choses semblent s'organiser :wink:

https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/10/03/en-australie-l-opposition-conservatrice-relance-le-debat-sur-le-nucleaire_6342939_3244.html
 

Révélation

En Australie, l’opposition conservatrice relance le débat sur le nucléaire

A moins d’un an des élections législatives, les conservateurs font campagne pour que le pays se dote de centrales nucléaires, alors que les travaillistes au pouvoir misent résolument sur les énergies renouvelables pour décarboner l’électricité.

Par Isabelle Dellerba (Sydney, correspondance)

Publié le 03 octobre 2024 à 17h24, modifié le 03 octobre 2024 à 17h25

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Le parc solaire de Rio Tinto, au nord-est de Perth, en Australie, le 19 octobre 2023. REUTERS/MELANIE BURTON

Elles sont encore seize, silhouettes d’acier et de béton, à cracher leur fumée dans l’est et le sud de l’Australie. Dans les quinze ans qui viennent, ces centrales à charbon auront toutes fermé leurs portes. Pour les remplacer et décarboner son mix électrique, la majorité travailliste a investi, depuis son arrivée au pouvoir en mai 2022, dans les énergies renouvelables. Mais à l’approche des élections législatives prévues au premier semestre 2025, l’opposition conservatrice veut convaincre les électeurs de prendre le virage du nucléaire.

Peter Dutton, leader de la coalition politique de droite, a défendu sa proposition, lundi 23 septembre, lors d’un discours très attendu. « Vous ne pouvez pas faire fonctionner une économie à plein temps avec une énergie intermittente et peu fiable. Si nos objectifs nationaux sont d’obtenir une énergie moins coûteuse, plus propre et constante, alors l’Australie doit rejoindre le nombre croissant des nations dotées de l’énergie nucléaire », a plaidé l’ancien ministre de l’intérieur et de la défense.

Pour l’Australie, qui a formellement interdit en 1998 la production d’énergie nucléaire sur son territoire, ce serait une véritable révolution. Bien que possédant les plus grandes réserves d’uranium au monde, l’île-continent est l’un des rares pays industrialisés sans nucléaire civil. La méfiance de l’opinion publique, alimentée par les essais menés par le Royaume-Uni sur son sol entre 1952 et 1963, a longtemps pesé sur les débats. Mais depuis le début des années 2000, l’avis des Australiens, confrontés à la crise climatique et à la nécessité de réduire l’utilisation des énergies fossiles, a évolué. Un sondage publié par le Lowy Institute en juin, montre que 61 % d’entre eux soutiennent désormais « en partie » ou « fortement » l’utilisation du nucléaire pour produire de l’électricité.

Afin de respecter l’engagement de Canberra d’atteindre la neutralité carbone en 2050, les conservateurs promettent de construire sept centrales nucléaires en lieu et place de certaines centrales à charbon en fin de vie et de les raccorder au réseau existant. Leur plan, dont la mise en œuvre comme les coûts restent peu détaillés, prévoit une transition énergétique en deux étapes. D’ici à 2037, deux premières unités – soit des petits réacteurs modulaires (SMR), soit des centrales plus grandes et modernes telles que l’AP-1000 ou l’APR-1400 – devraient voir le jour. D’ici le milieu du siècle, l’ensemble des centrales, appartenant à l’Etat, devraient être opérationnelles.

Le coût important du nucléaire

« C’est une idée folle pour l’Australie. Notre pays dispose de ressources pratiquement infinies pour devenir une superpuissance des énergies renouvelables, et l’opposition dit que nous allons choisir la forme d’énergie la plus coûteuse et que, peut-être, nous l’aurons dans vingt ans », s’indigne, le jeudi 3 octobre, Tanya Plibersek, ministre de l’environnement, interrogée par l’Association des correspondants étrangers. Son gouvernement s’est engagé à ce que les énergies renouvelables représentent 82 % du mix électrique d’ici à 2030, contre 40 % actuellement, et a adopté une série de mesures qui, bien qu’encore insuffisantes, sont jugées pertinentes par les experts pour décarboner efficacement le secteur énergétique australien.

A contrario, ces derniers émettent de nombreux doutes quant à l’option nucléaire, notamment en matière de coûts. L’organisme gouvernemental australien pour la recherche scientifique (Csiro) a calculé que la construction de chaque centrale d’une puissance 1 000 MW nécessiterait un investissement de 8,6 milliards de dollars (5,2 milliards d’euros), avec un surcoût potentiel de 100 % pour la première unité. « Pour récupérer cet investissement sur le marché de l’électricité, comme le prévoit l’opposition, les factures des ménages devraient augmenter de 665 AUD [413 euros] par an en moyenne », s’inquiète Johanna Bowyer, spécialiste du réseau électrique australien à l’Institut d’analyse économique et financière de l’énergie (Ieefa) et coautrice d’un rapport sur le sujet.

Le programme des travaillistes nécessite aussi des dépenses importantes, en particulier pour étendre le réseau électrique afin d’intégrer les nouvelles sources d’énergie solaire et éolienne, et pour développer les capacités de stockage nécessaires, mais « les énergies renouvelables restent l’option la moins coûteuse pour la construction de nouvelles capacités de production d’électricité », a également analysé le Csiro.

« Le meilleur allié du secteur minier »

Dans un pays qui ne dispose, jusqu’à présent, que d’un petit réacteur dédié à la recherche scientifique situé en banlieue de Sydney, le nucléaire représenterait aussi le sérieux désavantage d’imposer de repartir de zéro, sans infrastructures ni personnel qualifié. Autant dire qu’une telle transition prendrait du temps. « Rien que pour modifier les législations fédérales et étatiques, cela pourrait être très long. Je ne pense même pas que l’Australie puisse disposer de réacteurs nucléaires à temps pour remplacer les vieilles centrales à charbon », avertit Alison Reeve, directrice adjointe du programme Energie et Changement climatique à l’Institut Grattan. « Et la question est : quelle source d’énergie utiliser en attendant ?  », interroge Johanna Bowyer.

Peter Dutton, à la tête d’une coalition qui avait été critiquée pour son inaction climatique pendant ses neuf années au pouvoir (2013-2022), a déjà indiqué que le secteur électrique devrait s’appuyer davantage sur les ressources gazières et n’exclut pas de prolonger la durée de vie de certaines centrales à charbon. Ces mesures empêcheraient l’Australie, deuxième exportateur mondial de charbon et de gaz naturel liquéfié, de respecter son engagement de réduire de 43 % ses émissions d’ici à 2030 par rapport aux niveaux de 2005. Le leader conservateur a pour le moment refusé de se prononcer sur le maintien ou non de cet objectif. En revanche, il a affirmé que, s’il remportait les élections, son gouvernement serait « le meilleur allié que le secteur minier et des ressources naturelles australien n’ait jamais eu ».

 

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il y a une heure, Ardachès a dit :

A contrario, ces derniers émettent de nombreux doutes quant à l’option nucléaire, notamment en matière de coûts. L’organisme gouvernemental australien pour la recherche scientifique (Csiro) a calculé que la construction de chaque centrale d’une puissance 1 000 MW nécessiterait un investissement de 8,6 milliards de dollars (5,2 milliards d’euros), avec un surcoût potentiel de 100 % pour la première unité. « Pour récupérer cet investissement sur le marché de l’électricité, comme le prévoit l’opposition, les factures des ménages devraient augmenter de 665 AUD [413 euros] par an en moyenne », s’inquiète Johanna Bowyer, spécialiste du réseau électrique australien à l’Institut d’analyse économique et financière de l’énergie (Ieefa) et coautrice d’un rapport sur le sujet.

Le programme des travaillistes nécessite aussi des dépenses importantes, en particulier pour étendre le réseau électrique afin d’intégrer les nouvelles sources d’énergie solaire et éolienne, et pour développer les capacités de stockage nécessaires, mais « les énergies renouvelables restent l’option la moins coûteuse pour la construction de nouvelles capacités de production d’électricité », a également analysé le Csiro.

Ces mecs sont intéressants : un peu comme les Allemands, ils se demandent devant leur maison qui brule s'il vaut mieux avoir une station de pompage ou attendre l'eau de pluie (qu'on ne put pas stocker dans l'exemple)

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