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Opérations au Mali


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çà fait plaisir à lire !

l'important s'est que nos unités vont resté mobile et pas enfermé dans des FOBs  comme en Afghanistan .

En effet, allez au contact , en gardant une grande mobilité oblige les rebelles à reprendre leur stratégie à chaque instant. le Force spécial peut venir de n'importe quel axe et si la toyota est rayé  :lol:... le Moral en prend un coup et le cours du Chameau remonte grave.

La marche à pied à porter l'eau , les armes lourdes, la bouffe. çà fout en l'air la mobilité des assassins. reste la moto pour eux , mais il est difficile en moto de bouger suffisamment de combattants pour un spot donné. l'aéromobilité sera la guerre d'avenir contre ce type d'agresseurs qui croient nous impressionner avec leur grottes , leurs niches et leurs petites montagnes. C'est du boulot ponctuel pour la Légion. Bronzage assuré pour le début d'été.

les snipers vont être aux premières loges aussi.

Pour l'instant, sur Kidal , c'est toujours très calme. certains groupes touaregs jouent visiblement bien le jeux et le repérage des rebelles sera facilité par un pistage commun FS / Touareg. C'est une belle expérience à tenter.

30 avions (si j'ai bien saisi) montre visiblement qu'on est intervenu sur des cibles parfaitement localisées...les images de ses avions montraient une majorité de bombes guidés laser...qui guide ses bombinettes ?  =D =D :O

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Surtout que l'armée Algérienne va les bloquer

La frontière algérienne est loin d’être étanche, c'est pas le mur marocain anti sahraoui ... de toute manière vu les étendues a controler aucune armée ne pourrait tenir vraiment le terrain d'autant plus que les djihadiste se fonde dans la population pour s'exfiltrer au besoin. Il ne faut pas oublié qu'ils ont aussi des soutiens dans la population, même si ca ne représenterait que 20% de celle ci c'est déjà un bon appui pour passer d'un pays a l'autre, se cacher, disposer d'un minimum de logistique etc.

Si le coin était si étanche que ça il n'y aurait pas autant de trafic dans la région.

Certes les djihadiste vont perdre pas mal de matériel, qu'il n'ont pu emporté ou dissimuler, mais ce n'est pas un gros probleme, ca se reconstitut assez bien ce genre d'arsenal dans la région, y a un gros marché d'armes ou les vendeur sont pas regardant.

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Le problème du soldat malien repose sur une capacité de le projeter rapidement là où çà fera très mal aux rebelles. d'où peut être le moyen de leur procurer des avions de transport et des hélicos. Auquel cas, la création d'une force Aérienne Malienne est aussi importante qu'une bonne formation des troupes au sol. (les fameux bang/bang).

beaucoup des terroristes qui ont aidés à coincer nos otages sont maintenant à l'horizontal et il reste un peu de travail pour finir. Encore une fois, même si on veut pas que les forces maliennes aillent sur Kidal , ne pourrions-nous pas les projetter sur des secteurs histoires qu'ils participent plus au "festin"?

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- Comme établi plus avant, humilier culturellement son ennemi est souvent contre-productif. Enterrer les morts permet d'éviter des images qui peuvent être sujettes à interprétation et manipulation. En particulier de l'ennemi qui peut essayer de manipuler les images.

- Le "body-count" est bien sûr effectué et dûment répertorié par nos forces. Il est important car les estimations des services de renseignement nous donnent l'effectif de l'ennemi, facteur de sa capacité de nuisance, avant le début des opérations. Les fuites lors des points presse, 300 morts lors des premiers jours de l'opération Serval, 1000 morts au jour d'aujourd'hui. Quelle part de vérité ? Quelle part de guerre psychologique ?  

La guerre est anxiogène et par ces temps de crise, trop en parler ou trop montrer peuvent avoir des effets néfastes sur l'opinion.Donc on contrôle et maîtrise le flux d'images et on ne comptabilise pas les pertes hostiles.Au début les communicants disaient au Ministre de parler de Guerre contre les Terroristes pour ne pas heurter et stigmatiser la communauté musulmane , puis le Ministre a parlé de guerre contre des groupes de terroriste, maintenant on entends contre les groupes fondamentalistes, les groupes djihadistes mais aussi faire la guerre contre des criminels, faire la guerre contre les narco-terroristes.

Le Président parle d'éradiquer le Terrorisme au Sahel, les détruire, faire la guerre au terroriste pour assurer notre propre sécurité en France et en Europe.Si nous sommes intervenus c'est à la demande urgente d'un pays ami, allié, pour sauver ce pays, redonner l'intégrité totale du Mali, reconquérir.

Les militaires parlent de guerre de mouvement, avec 4 missions allouées ,une pour objectif d'empêcher la progression des colonnes de T, 2/ frapper les bases arrières, 3/assurer la sécurité des grandes villes Bamako/....., 4/ préparer le relais et aider les forces Maliennes et africaines à s'assumer, prendre le relais dans les combats.

Tout est question d'art de communiquer, tout est question ne pas heurter, tout est question de doigter ! De temps en temps, on fait passer une vidéo d'actions aériennes d'un Rafale ou Tigre, d'un poser d'assaut d'un ATT ou d'une OPAé ...Les militaires communiquent pour montrer aux autres les savoir-faire mais aussi pour montrer aux décideurs et rédacteurs du Livre Blanc 2013 ce qu'il ne faudra pas faire pour faire faire des économies.Chaque capacité démontrée est là pour le rappeler, on a besoin de 14 ravitailleurs, de 50 Atlas A400M, de remplacer nos VAB/P4/VPS, de brigade d'urgence parachutiste, d'infanterie et des appuis.On a besoin de revaloriser les ATL2 Atlantique et les Mirage 2000D, on a besoin de munitions bombes moins onéreuses pour taper des 4x4 TOY, on a besoin de missiles AS pour nos Tigre HAD, on a des forces spéciales, on des combattants, ...Il ne faudrait pas descendre encore plus bas dans ces effectifs minimum historiques, on démontre que l'on doit combler les déficits capacitaires et on ne veut pas faire l'impasse sur d'autres.

Tout le monde communique, du PR pour se donner une image de sérieux et Chef des Armées qui sait prendre des initiatives, en passant pas l'EMA et les militaires sur le terrain, et tous ensemble on dit à la Terre entière, la France ne se défausse pas face à l'ennemi invisible, aux chantages des Terroristes et à ceux qui détiennent nos otages, on rappelle à l'UE qui est vraiment le pays Phare de l'Europe.On rappelle à cette même Europe, qu'il n'y aucune volonté politique dans l'Europe de la défense, aucune volonté de le faire, à cette Europe déclinante que toutes les menaces à leurs frontières ne sont pas parties et que le Monde se réarme contrairement à ce que font les autres.   

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30 avions (si j'ai bien saisi) montre visiblement qu'on est intervenu sur des cibles parfaitement localisées...les images de ses avions montraient une majorité de bombes guidés laser...qui guide ses bombinettes ?  =D =D :O

:rolleyes:  :rolleyes:

qu'est ce que ça veut dire ?

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J'ai l'impression qu'on a un max d'agents avec des désignateurs laser...c'est à çà que je pense...dessous les guignols doivent plus rien comprendre.

---------

sinon l'info du jour pour moi , c'est çà ! et çà montre à quel point les opérations françaises touchent de près les intérêts des narco-trafiquants de l'Etat Pakistanais:

13h43 : Les tabilans du Pakistan condamnent la « guerre idéologique » au Mali -Les talibans du Pakistan ont condamné l'intervention française au Mali, la qualifiant de « guerre idéologique », et appelé « le monde musulman » à s'unir pour y résister, dans une vidéo rendue publique dimanche. « Le gouvernement français a attaqué des moudjahidines au Mali et l'Amérique soutient la France. Je demande à tout le monde musulman de s'unir parce que c'est une guerre idéologique », lance Ehsanullah Ehsan, porte-parole des talibans du Pakistan, dans ce message vidéo remis aux journalistes dans le nord-ouest du Pakistan. Puisque tous les « non-croyants » sont unis, poursuit le message, « alors tous les musulmans doivent s'unir et se soutenir ».

Encore une fois d'où vient le soutien du terrorisme internationale ? quel surprise!  :O :O

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A ceux qui fantasment sur les possibilités d'enterrer les méchants terroristes dans les grottes, il suffit d'aller voir ce que faisaient les Soviétiques en Afghanistan. Pas besoin de bombes guidées, en fait, un simple lance-grenades suffit (Poutine peut bien nous faire livrer quelques dizaines d'AGS-17 ?).

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A ceux qui fantasment sur les possibilités d'enterrer les méchants terroristes dans les grottes, il suffit d'aller voir ce que faisaient les Soviétiques en Afghanistan. Pas besoin de bombes guidées, en fait, un simple lance-grenades suffit (Poutine peut bien nous faire livrer quelques dizaines d'AGS-17 ?).

Je crois que le 17 a encore des lance-flammes !

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Trop dangereux pour l'usage qu'on en aurait, et ça laisse trop de traces visibles.

En plus, nous passerions pour des sauvages, ce qui serait contreproductif.

Prière de ne pas prendre au sérieux le fait qu'on dispose de lance-flammes!  =)

http://www.lejdd.fr/International/Afrique/Actualite/Et-maintenant-Le-plus-dur-commence-au-Mali-589457

Des djihadistes affaiblis, jusqu'à quel point?

C'est l'un des mystères de l'opération Serval : aucun bilan des morts, chez les forces maliennes comme chez les djihadistes, n'est disponible. "Les terroristes ont pris de sérieux coups sur la tête avec les raids aériens", se borne à signaler un officier français. Les stocks de munitions qu'ils ont laissés dans les villes désertées témoignent parfois d'un départ précipité. "Ils ne semblaient pas du tout en panique. Les chefs sont partis de façon très organisée", raconte pourtant un hôtelier de Tombouctou. Selon un autre habitant de la ville, les islamistes auraient forcé certains résidents à leur vendre leurs véhicules moins repérables que les 4x4. Sur le front ouest, les djihadistes seraient, pour une partie d'entre eux, partis vers la frontière mauritanienne et, pour l'autre, vers la région montagneuse au nord de Kidal (lire ci-contre). Samedi, Moussa Ag Assarid, représentant du MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad), affirmait ainsi qu'une centaine de véhicules auraient été repérés dans les collines de Tigharghar. Avant même la reprise des principales villes du Nord, un diplomate européen s'inquiétait : "Ils vont disparaître pendant quelque temps. Puis réapparaître pour mener une guérilla. Et là, c'est une vraie guerre sale qui va commencer."

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http://www.leparisien.fr/international/alain-juppe-l-operation-au-mali-a-ete-reussie-03-02-2013-2535715.php

Mali : une intervention justifiée. «Cette intervention est justifiée car les terroristes nous visent aussi, a estimé l'ancien ministre de la Défense. Elle a été réussie. Peu de pays peuvent mener de telles opérations dans d'aussi brefs délais. C'est la preuve que l'armée française est une armée efficace. Le président de la République a eu raison de décider de cette intervention, ce qui ne nous empêche pas de nous poser quelques questions.» Mais, a-t-il nuancé, «nous n'avons pas vaincu les terroristes. Ils se sont enfuis. Il ne faut pas encore triompher et continuer le combat».

«François Hollande a reçu un accueil triomphal. Il a fait le job. On va voir maintenant comment cela se passe», a ajouté Alain Juppé. Revenant sur son expérience personnelle, il a dressé un parallèle : «Le grand enthousiasme de Bamako m'a rappelé ce que j'ai vécu avec Nicolas Sarkozy à Benghazi, en Libye.» Quant au rôle de l'Europe au Mali, il n'y a pas été par quatre chemins : «Elle a été nulle !»

L'avenir au Mali : «Trois questions se posent». «Que se passe-t-il à Bamako ? Il y a eu un coup d'Etat et le pouvoir est fragile. Deuxièmement, à quel rythme la force africaine va-t-elle se déployer pour prendre le relais de l'armée française ? L'Europe pourrait d'ailleurs se bouger un peu. Il faut que ceci se mette en place rapidement. Enfin, quelle attitude allons-nous avoir avec les gens du nord ? Il faut trouver le moyen d'ouvrir le dialogue avec les Touaregs». Il a ajouté que «l'Afrique est un partenaire essentiel et nous avons tout intérêt à y rester. Cela n'a rien à voir avec une attitude néo-colonialiste».

Otages français au Sahel. Après avoir rappelé les échecs des tentatives de libération d'otages au Niger en 2011 et en Somalie au mois de janvier, Alain Juppé explique qu'«avant de décider une intervention militaire pour libérér des otages il faut avoir des informations et peser le pour et le contre pour savoir si on est en mesure de le faire. Il ne faut monter une opération que quand les conditions sont réunies».

Le budget de l'armée : «Nous ne pouvons pas tout faire tout seul». «La question est simple : le monde dans lequel nous vivons est-il dangereux ? Il faut sanctuariser notre territoire et pouvoir défendre, quand c'est nécessaire, nos intérêts. Il y a beaucoup de choses à faire, comme le projet de drones avec les Britanniques et impliquer plus l'Europe. Nous ne pouvons pas tout faire tout seul. Il y a en Europe une sorte d'allergie à l'utilisation de la force. Or parfois il le faut pour faire valoir le droit.»

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Parce que tu me croyais sérieux quand je proposais de louer des Plamya aux Russes ? ;)

On a encore des stocks de Missile Hot/MILAN à écouler.

http://www.lepoint.fr/monde/mali-l-afghanistan-de-francois-hollande-03-02-2013-1623223_24.php

C'est la comparaison que redoutent les chefs militaires français. Le nord du Mali - et particulièrement le massif de Tigharghar, près de la frontière algérienne, avec ses grottes, ses oueds encaissés, ses points d'eau - ne risque-t-il pas de devenir ce que les montagnes de Tora-Bora ont été pour les Américains et les troupes de l'Otan en Afghanistan ? Un refuge imprenable où les islamistes chassés des villes du désert se dissimuleront et reprendront des forces pour lancer des coups de main sur une bourgade, un convoi, miner des pistes, préparer des attaques de kamikazes, enlever des otages qui s'ajouteraient à ceux qu'ils détiennent déjà. Avec cette conséquence : si les villes restaient à peu près protégées, aucune piste ne serait jamais sûre.

Car si l'offensive dont les troupes françaises ont été l'élément de percussion a été jusqu'à présent relativement facile grâce à l'aviation et à leur supériorité en armes, si, comme François Hollande l'a clairement indiqué, elles poursuivent leur avance en direction du nord, ce qui les attend est d'une tout autre difficulté. Certes, les forces envoyées par les pays africains sont appelées à se renforcer dans les semaines à venir. On espère 6 000 ou 7000 hommes venant notamment du Tchad et du Nigeria, ainsi que d'une demi-douzaine d'autres pays de la Cedeao, l'organisme de coopération de l'Afrique de l'Ouest. Avec dans ce domaine quelques bonnes surprises, comme l'arrivée prochaine de 730 Togolais qui n'étaient pas prévus.

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A ceux qui fantasment sur les possibilités d'enterrer les méchants terroristes dans les grottes, il suffit d'aller voir ce que faisaient les Soviétiques en Afghanistan. Pas besoin de bombes guidées, en fait, un simple lance-grenades suffit (Poutine peut bien nous faire livrer quelques dizaines d'AGS-17 ?).

A Tora Bora en décembre 2001, les Américains ont carrément bouché des grottes à coup de JDAM... quand ils sont revenus en mai 2002, ils n'ont même pas pu les déboucher pour voir si le cadavre d'OBL était parmi eux.
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La frontière algérienne est loin d’être étanche, c'est pas le mur marocain anti sahraoui ... de toute manière vu les étendues a controler aucune armée ne pourrait tenir vraiment le terrain d'autant plus que les djihadiste se fonde dans la population pour s'exfiltrer au besoin. Il ne faut pas oublié qu'ils ont aussi des soutiens dans la population, même si ca ne représenterait que 20% de celle ci c'est déjà un bon appui pour passer d'un pays a l'autre, se cacher, disposer d'un minimum de logistique etc.

Si le coin était si étanche que ça il n'y aurait pas autant de trafic dans la région.

Certes les djihadiste vont perdre pas mal de matériel, qu'il n'ont pu emporté ou dissimuler, mais ce n'est pas un gros probleme, ca se reconstitut assez bien ce genre d'arsenal dans la région, y a un gros marché d'armes ou les vendeur sont pas regardant.

effectivement ,on éradiquera pas à 100% les djihadistes ,mais je pense que dans notre stratégie ,on va leur faire mal tout en évitant de prendre des coups car mobile à un tel point que sa va être compliqué pour eux de se reformer en nombres conséquent malgré des possibilités d'avoir du matos .

je pense d'ailleurs que le renseignement "local" va permettre de tissé une toile d'informations ,dans le sens ou la crainte des islamistes ne sera plus disons aussi importante que se ne le fut auparavant .

en gros on parlera plus facilement car moins de risque de "punitions" du fait de la présence des militaires Français dans le coin .

de plus je pense que les Algériens même si il y a du boulot en terme de km de frontière à surveiller vont aussi travaillé sur un mode de ciblage des zones de passage ou trafic en liaison avec l'armée Française .

on table sur une monté en puissance de l'armée Malienne et de l'arrivé d'autres troupes africaine pour géré la défense des villes principales de manière ferme et de se mettre en chasse contre le faible reliquat de barbus qui aurait encore envie de redescendre vers le sud avec une offensive d'envergure .

on a plus les moyens et le temps de leur pourrir la vie qu'eux de le faire à notre encontre je dirais .

avec une armée française présente au Mali le temps qu'il faut selon le président de la République ,et qui n'a pas pour but de resté éternellement (donc avant d'atteindre l'éternité on a une marge en terme de temps de présence ) j'ai l'impression qu'on fait comprendre à tout le monde que la notion de temps ,est un facteur qui ne se quantifie pas au vu de l'évolution sur le terrain mais de se qui est concret dans la stratégie à long terme .

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De nouveaux renforts français sont arrivés samedi à Kidal par avion, selon des habitants. Et des soldats tchadiens (pays non membre de l'Afrique de l'Ouest) ont commencé à se déployer en ville. Selon plusieurs témoignages d'habitants, militaires français et tchadiens ont patrouillé pour la première fois samedi dans les rues de Kidal. Des Tchadiens ont même été aperçus sur le marché de la ville, en train de faire des courses. Le contingent tchadien à Kidal serait d'environ 150 soldats, selon des témoins.

:happy:

Bon tout ce qu'il y a de plus normal en fait. Mais en zone de guerre, C'est toujours insolite de lire une chose pareil ! "Ici Kidal, on a fait les courses, et on prépare le couscous. RAS"  :happy:

Les rebelles touareg du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) ont d'ailleurs affirmé avoir eu vendredi « un accrochage » avec une unité d'islamistes dans la région de Tessalit, qui s'est conclu par « l'arrestation de plusieurs jihadistes ».

Affaire à suivre.

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202542669732-hollande-au-mali-le-moment-est-venu-de-liberer-les-otages-534634.php

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http://www.cridem.org/C_Info.php?article=639274

02-02-2013 23:28 - Nord-Mali : « C’est maintenant que la guerre va commencer »

Alors que les troupes françaises sont aux portes de Kidal et que l’aviation bombarde les montagnes du nord, refuge des groupes jihadistes, nous avons rencontré à Bamako un proche de Iyad ag-Ghaly, le chef d’Ansar Dine, qui décrypte la personnalité du leader islamiste touareg. Selon lui, la guerre n’est pas finie avec la reprise des villes du nord.

(De Bamako) La personnalité d’Iyad ag-Ghaly, chef d’Ansar Dine et principal meneur de l’insurrection islamiste qui ébranle le Mali depuis janvier 2012, constitue probablement l’énigme la plus complexe de ce conflit, qui ne saurait être résumé à une guerre contre le terrorisme islamiste.

La soudaine offensive venue du Nord contre le gouvernement de Bamako (dominé par les Maliens du sud, les Bambaras) trouve son origine dans la marginalisation dont les tribus touarègues ont fait l’objet depuis l’indépendance du pays en 1960 :

ces dernières, qui peuplent les deux-tiers sahariens du Mali (l’Azawad : Tombouctou, Gao, Kidal et le désert), au Nord de la boucle du fleuve Niger, s’étaient insurgées à plusieurs reprises déjà et dès 1963.

La grande révolte de 1990 avait certes abouti à la signature du Pacte national, qui assurait aux Touaregs leur intégration, mais le traité ne fut suivi que de peu d’effets. Les tensions restaient donc vives entre Bamako et le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), organisation touarègue indépendantiste.

Une des grandes figures de la révolte de 1990, Iyad ag-Ghaly, à l’époque chef du Mouvement populaire de l’Azawad (MPA), est aujourd’hui à la tête d’Ansar ad-Dine (la défense de la religion), mouvement à l’origine de la campagne par laquelle les islamistes s’étaient rendus maîtres du nord du Mali, avant l’intervention de l’armée française, qui, avec la récente prise de la ville de Gao, progresse en direction de Tombouctou, repoussant les rebelles vers le désert et la région de Kidal, fief touareg dont est originaire Iyad ag-Ghaly.

Mety ag-Mohamed Rissa, ami intime d’Iyad

C’est en effet Iyad ag-Ghaly qui a emmené derrière lui une partie des forces du MNLA et a été rejoint par des mouvements islamistes étrangers opérant dans le Sahara, à savoir Al Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) et le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao).

Pour appréhender à la fois le personnage central de l’insurrection du nord du Mali et les ressorts de ce soulèvement majoritairement touareg, qui associe aujourd’hui les anciennes revendications indépendantistes et une dimension religieuse fondamentaliste inédite, nous avons pu rencontrer Mety ag-Mohamed Rissa, ancien porte-parole du MPA à Bamako, membre de la Commission du suivi du Pacte national et compagnon d’armes, ami intime, d’Iyad ag-Ghaly. Interview.

Pierre Piccinin : Vous êtes un ami de toujours du chef d’Ansar ad-Dine. Vous avez combattu à ses côtés. Il est votre ami aujourd’hui encore. Iyad ag-Ghaly a été la figure révolutionnaire de l’insurrection touarègue de 1990. Aujourd’hui, on le retrouve islamiste… Que lui est-il arrivé ? Bref, qui est-il ?

Mety ag-Mohamed Rissa : Je connais Iyad depuis très longtemps. Tout le monde le sait ; inutile de le cacher… Iyad est originaire du village d’Abeybara, dans la region de Kidal. Il a une cinquantaine d’années.

C’est quelqu’un, quand nous étions jeunes, qui faisait rarement la prière. Mais, dans les années qui ont suivi la signature du Pacte national, vers 1994 ou 1995, je l’ai vu s’intéresser de plus en plus à la religion, d’abord, puis plus spécifiquement à la Dogha (le salafisme).

Il passait des jours, puis des mois, dans sa chambre, à lire le Coran. Ensuite, il est allé à la mosquée. Il y passait tout son temps…

Iyad a-t-il fait seul ce cheminement ?

Non. Il rencontrait des gens, mais je ne sais pas qui exactement… Il s’est rendu au Pakistan, pour y étudier la religion.

Il y est allé seul ?

Au début, oui, je crois. Mais, plus tard, il y a envoyé des jeunes de chez nous. Pour le moment, nous avons cinq jeunes qui étudient au Pakistan. Iyad est très respecté à Kidal. Il a entraîné beaucoup de gens, qu’il a envoyés au Pakistan et en Afghanistan, pour qu’ils reçoivent une formation religieuse.

Il a contribué, ainsi, à étendre le mouvement islamiste, la Dogha, dans tout le nord du Mali. Je suppose qu’il a dû donner sa parole à des extrémistes, sans en mesurer les conséquences. Mais il est de ceux qui meurent pour la parole donnée.

Il avait des contacts avec Al Qaeda ?

Oui, mais sans en faire partie. Il a toujours désapprouvé les méthodes d’Aqmi. Un Touareg n’enlève pas quelqu’un pour le vendre. C’est un déshonneur.

En 2003, Iyad a d’ailleurs participé à la libération des otages allemands que détenait le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC).

Mais il ne s’est pas opposé au développement d’Aqmi dans le Sahara : Aqmi s’est progressivement implantée et a infiltré la population touarègue. Des jihadistes se sont mariés avec nos femmes ; ils ont intégré nos familles, avec l’accord d’Iyad qui les a couverts de sa notoriété.

Iyad : « Votre islam est incomplet »

Et le gouvernement malien n’a pas réagi ?

Si, bien sûr. Le gouvernement l’a envoyé comme diplomate en Arabie saoudite, dès qu’il a compris qu’il devenait dangereux, comme activiste.

Mais, l’Arabie saoudite, c’est le cœur d’Al Qaeda. C’est de là que venait Ben Laden. Iyad y a fait des contacts et a commencé à militer. Il est donc devenu persona non grata ; et ils l’ont renvoyé au Mali.

Et, de retour au Mali…

Ils n’ont pas osé lui faire des problèmes. On l’a laissé tranquille, ici, à Bamako ; il a été mis sur une voie de garage, mais avec son traitement d’agent consulaire. Or, pendant ce temps, il préparait la révolte. Je l’ai revu récemment ; j’étais allé à Kidal pour voir ma vieille maman. Elle vit encore sous la tente, comme une vraie Touareg.

Et que vous a-t-il dit ?

Nous nous sommes rencontrés seuls. Il était dépité. Il m’a dit qu’il voulait installer au Mali l’islam total. L’indépendance des Touaregs, pour lui, ça n’a plus d’importance.

Je lui ai répondu : « Mais, on a déjà l’islam au Mali. »

Il a dit : « Non. L’islam est un tout. Tu ne peux pas faire un islam partiel. Par exemple : si tu surprends un voleur, tu dois lui couper la main. C’est écrit dans le Coran. Votre islam est incomplet. »

Nous étions face à face. Il n’y avait personne d’autre. J’ai su qu’il était sincère et j’ai compris qu’il pensait ce qu’il me disait. Oui, il pense ça !

Il est donc devenu islamiste ?

Oui, c’est certain. Comment ? Je ne sais pas. Chez nous, quand on atteint un certain âge, on se tourne vers Dieu. C’est normal. Mais le Touareg ne devient pas salafiste.

C’est à ce moment-là qu’il a décidé de faire le jihad ?

Il va se battre pour ça, jusqu’au bout. « Et les Chrétiens ? » lui ai-je demandé. « Et les animistes ? Tu en feras quoi ? » Il m’a répondu : « Non ! Il faut que le Mali soit un pays musulman. »

Si on en croit les communiqués de l’armée française, il est en train de perdre la guerre…

Ne croyez pas cela ! L’armée française peut récupérer les villes. Ce n’est rien. C’est facile. D’ailleurs, Iyad n’y combat pas ; il s’en retire ; il ne s’enfuit pas !

Mais les Français ne pourront pas éradiquer le salafisme dans les zones désertiques, ouvertes, dans nos montagnes.

Les grottes de l’Adagh (massif) des Iforas sont imprenables. Et il est aidé par Aqmi, qui s’est greffée à Ansar ad-Dine. Les combattants d’Aqmi, depuis vingt ans, ils connaissent bien le Sahara. Pas les Français.

De quel armement Iyad dispose-t-il ? Il est appuyé par les mercenaires touaregs de retour de Libye…

En effet ! Les Touaregs qui ont servi Kadhafi en Libye, après sa chute, sont revenus au Mali, avec un armement très sophistiqué, des missiles, des batteries anti-aériennes… Un armement qu’ils n’ont pas encore utilisé…

Les Touaregs, victimes de ségrégation

Mais qui sont ces gens ?

C’étaient des fils de bergers, peu éduqués, comme moi à l’époque. Ils ont été chassés du Mali par la sècheresse de 1973. Ils sont partis en Libye pour y chercher du travail.

On n’était pas aidés par le gouvernement de Bamako. Parce que les Noirs sont terriblement racistes. Ils méprisent les « peaux claires », les Arabes et les Touaregs. Et la loi, au Mali, ne punit pas ce racisme.

Si les Touaregs se sont si souvent révoltés, ce n’est pas pour l’indépendance ; ça ne les intéresse pas vraiment. C’est parce qu’ils sont victimes d’une ségrégation.

On oublie que, le Mali, au deux tiers, c’est mon désert… C’est le désert où mon peuple meurt de soif chaque année. Chaque année, des gens meurent de soif… C’est le Sahara. S’il y a de vrais Sahariens, c’est nous !

Et que sont-ils devenus, en Libye ?

Ils ont été recrutés par l’armée libyenne. L’armée les a fascinés, en leur donnant un uniforme. C’était le sommet de la réussite, pour eux.

Ils voyaient les militaires maliens, qui entraient dans nos maisons et faisaient ce qu’ils voulaient, comme ce qu’il y avait de mieux socialement. Iyad était avec eux. Kadhafi leur a construit de magnifiques casernes, avec l’eau courante et l’électricité. Ils ont eu des enfants.

Et Kadhafi les a utilisés. Au Liban, en 1982. Au Tchad, pour la Bande d’Aouzou, en 1987. Et Kadhafi leur a promis de les aider pour l’indépendance de l’Azawad. En 1990, ils ont été envoyés au Mali, soutenus par Kadhafi.

Et que s’est-il passé après la mort de Mouammar Kadhafi ?

C’est une armée qui est revenue au Mali ! Pas des individus… Les Touaregs qui sont revenus de Libye ont renforcé le MNLA. Et Bamako a envoyé Iyad pour connaître leurs intentions et négocier avec eux. Mais ils ont accusé Iyad de traîtrise, eux, qu’Iyad avait formés ! Ils ont dit qu’il avait trahi la cause indépendantiste, en acceptant le Pacte national. Il s’est senti humilié…

C’est alors qu’il crée Ansar ad-Dine ?

Oui, parce qu’il comprend que, s’il ne réagit pas tout de suite, il sera mort politiquement. Il va emmener avec lui beaucoup de gens du MNLA.

Etait-ce dans ses intentions de lancer une insurrection ?

Oui, mais l’arrivée des « Libyens » a précipité son projet. Il voulait faire la guerre. Mais plus tard.

Mais, s’il voulait rester le chef, il devait lancer le mouvement avant que les « Libyens » le fassent avec le MNLA. La plupart l’ont suivi. Mais d’autres, non.

Mais le MNLA a quand même accepté de se battre à ses côtés. Iyad a complété son armée avec des combattants d’Aqmi, du Mijao et de Boko Haram (mouvement islamiste du Nigeria). En janvier 2012, il a attaqué l’armée malienne…

« Il n’y aura pas de fin »

Comment voyez-vous la fin du conflit ?

Il n’y aura pas de fin. Il y a quelques jours, une partie d’Ansar ad-Dine a fait sécession. Ils ont créé le Mouvement islamique de l’Azawad. Ils ont demandé aux Français de négocier, parce qu’ils ont peur de la Communauté internationale : ils sont conscients qu’ils sont trop faibles pour faire face. Mais Iyad se bat pour son Dieu ; il ne cèdera pas.

Mais ceux qui le suivent se battent pour autre chose. Les Français ont repris Gao : l’armée française a laissé la population lyncher des Touaregs. C’est toute l’histoire de mon peuple : les démocraties africaines nous oppriment.

Le peuple touareg est un peuple particulier, dont la vie ne ressemble à celle d’aucun autre peuple. Nous avons choisi de vivre dans le désert, dans les grands espaces, pour être libres. Nous avons renoncé à tout pour être libres.

Mais les démocraties africaines ont été mal coupées par leur tailleur. On a importé des modèles qui ne nous conviennent pas. Notre robe démocratique est mal coupée. Elle nous empêche d’être libres. Notre indépendance, nous ne l’aurons jamais. Le monde entier est contre cela. Mais que nous ayons au moins notre intégration !

Je suis malien ! Et, pourtant, pour les Maliens, je suis un étranger ! Voyez ce qui se passe aujourd’hui : les Touaregs qui fuient les bombardements français, ils ne se réfugient pas au sud du pays, non ! Ils vont dans des camps de réfugiés au Burkina Faso, au Niger, en Mauritanie…

Mais laissera-t-on ces gens revenir au Mali ? Et l’armée malienne suit la conquête française et nettoie les villes… Les Touaregs ont peur et s’en vont. C’est comme ça que la France veut régler la question touarègue ? On est à la limite de l’épuration ethnique !

Cela veut-il dire que la rébellion va perdurer ?

Bien sûr qu’elle va perdurer ! C’est maintenant que la guerre va commencer ! Dans nos montagnes ! A Kidal ! Ce sera comme en Afghanistan… Si les Touaregs cèdent maintenant, c’est fini pour nous.

http://www.cridem.org/C_Info.php?article=639274

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http://www.cridem.org/C_Info.php?article=639281

03-02-2013 12:19 - Mali: «importantes frappes aériennes» au nord de Kidal - [Videos]

Paris - D'importantes frappes aériennes françaises ont été menées dans la nuit de samedi à dimanche dans le nord du Mali, dans des zones proches de la frontière avec l'Algérie, a annoncé à l'AFP l'état-major quelques heures après la visite du président français François Hollande à Tombouctou et Bamako.

Ces bombardements au nord de Kidal et dans la région de Tessalit, ville à 70 km de l'Algérie, visaient des dépôts logistiques et des centres d'entraînement des groupes islamistes armés, a précisé le porte-parole de l'état-major des armées françaises, le colonel Thierry Burkhard.

Trente appareils ont été engagés: chasseurs bombardiers, avions ravitailleurs, de reconnaissance, a-t-on souligné de même source.

Après les prises successives de Gao puis Tombouctou, les soldats français avaient pris le contrôle il y a cinq jours de l'aéroport de Kidal, ville tenue par des rebelles touareg et des islamistes dissidents s'affirmant modérés.

Samedi lors d'une visite d'une journée au Mali, le président François Hollande avait promis qu'après ces succès récents dans l'opération anti-islamistes, la France resterait au côté du Mali le temps qu'il faudra. Il s'agit d'aller plus au nord, finir cette opération avec les armées africaines engagées, a dit le président français.

Le ministre malien des Affaires étrangères, Tieman Hubert Coulibaly, a souhaité que l'opération militaire française Serval se poursuive au Mali d'autant que la dimension aérienne est très importante, face à des combattants aguerris dont il faut détruire l'arsenal, dans un entretien au Journal du dimanche.

Kidal et sa région comprenant le massif des Ifoghas, près de la frontière algérienne, sont le berceau des indépendantistes touareg et, selon Paris, le lieu de détention probable de sept otages français.

http://www.cridem.org/C_Info.php?article=639281

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çà fait plaisir à lire !

l'important s'est que nos unités vont resté mobile et pas enfermé dans des FOBs  comme en Afghanistan .

En effet, allez au contact , en gardant une grande mobilité oblige les rebelles à reprendre leur stratégie à chaque instant. le Force spécial peut venir de n'importe quel axe et si la toyota est rayé  :lol:... le Moral en prend un coup et le cours du Chameau remonte grave.

La marche à pied à porter l'eau , les armes lourdes, la bouffe. çà fout en l'air la mobilité des assassins. reste la moto pour eux , mais il est difficile en moto de bouger suffisamment de combattants pour un spot donné. l'aéromobilité sera la guerre d'avenir contre ce type d'agresseurs qui croient nous impressionner avec leur grottes , leurs niches et leurs petites montagnes. C'est du boulot ponctuel pour la Légion. Bronzage assuré pour le début d'été.

les snipers vont être aux premières loges aussi.

Pour l'instant, sur Kidal , c'est toujours très calme. certains groupes touaregs jouent visiblement bien le jeux et le repérage des rebelles sera facilité par un pistage commun FS / Touareg. C'est une belle expérience à tenter.

30 avions (si j'ai bien saisi) montre visiblement qu'on est intervenu sur des cibles parfaitement localisées...les images de ses avions montraient une majorité de bombes guidés laser...qui guide ses bombinettes ?  =D =D :O

Ce qui bloquais les unités dans les FOB en afgha c est les ordres et ceux ci étaient intimement lié aux actions (je ne rentrerais pas dans le détails ). Mais ce scénario pourrait tout a fais ce reproduire .C est la volonté et la détermination de nos chef ainsi que l opinion public qui sera importante .

Pour ce qui est des désignateurs lasers il y en a robablement beaucoup qui ce ballade mais la plupart des bombes sont guidées par les avions .

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