SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française

[g4lly]

Il y a 9 heures, FATac a dit :

Vrai réponse (d'un psychologue/sexologue de mes connaissances) : l'homosexualité n'est pas systématiquement permanente (et même de moins en moins, au fur et à mesure que la société devient plus tolérante). Elle est, de plus en plus souvent, corrélée à un attachement intellectuel, puis sentimental, avant même d'être liée à une attirance physique normée.

Donc, dans un équipage 100% homogène, à moins qu'ils ne soient profondément mascu, il reste même possible que des relations se créent, et la probabilité augmente même avec le temps et les évolutions sociétales.

Au delà de l'homosexualité - avec du sexe dedans - homosensibilité - un sentiment amoureux/particulier entre deux personnes du même sexe - est plus courante, et pose les mèmes probleme, le sexe n'est pas le souci en soit ici, mais plus les rapprochements sentimentaux "fort".

Et effectivement la non mixité ne change rien à cela ... encore plus avec les générations qui rentre en service aujourd'hui.

Quand aux équipage "mascu" ... comment dire ... la représentation "mascu" ne garantit en rien telle ou telle attirance, c'est souvent même le contraire. Quand tu as besoin d'en faire des tonnes c'est souvent qui tu essaies de te rassurer sur certain sujet 

[Patrick]

...Cette discussion est un excellent argument pour la dronisation des SNA.

Plus d'équipages, plus de problèmes!

[Asgard]

Et les oreilles d'or alors !? Et si tu mets que 1 mec dedans, il va peter un cable mdr

[g4lly]

il y a 42 minutes, Asgard a dit :

Et les oreilles d'or alors !? Et si tu mets que 1 mec dedans, il va peter un cable mdr

L'informatique serait incapable de faire du traitement du signal ?

Pas que des analystes ne servent à rien ... mais ce ne serait pas la premiere fois qu'on se dise que finalement une machin fait plus ou moins la meme chose ... alors bon ... on leur fera des enregistrements et il les écouteront à terre.

[ARMEN56]

Les soums sont des symboles  phalliques , quand ils sont à couple ou à la queue leu leu c’est un air de gay pride à Devenport ou ailleurs , la kermesse quoi ! 

Sinon pour revenir à la question de l’utilité des SSK pour la MN 

Je remets ceci en ligne , je pense que plus haut @Patrick voulait parler de ça 

Extrait in fine du doc ce dessous en lien

https://static.blog4ever.com/2010/11/447417/Non---lucid--.pdf

Alors qu’en pense l’I.A ? 

Question : 

«  Un SSK peut il être aussi avantageux tactiquement qu’un SNA pour la France ? En posant la question je sais bien qu’en terme d’indiscrétion ( rapport plongée/surface) le SNA n’a pas d’obligation snorchel . Je n’ignore pas non plus que nous vendons des scorpenes à l’export et nous avions proposé un barracuda ssk à une Australie intéressée avant AUKUS….»

reponse ; 

Révélation

Super question — très pertinente. Oui — un SSK (conventionnel) peut être tactiquement très utile et complémentaire au SNA (nucléaire), mais il n’est pas un substitut parfait : chacun a des avantages et limites selon la mission, l’environnement et la stratégie nationale. Voici une analyse concrète et opérationnelle adaptée au contexte français.

 

Résumé rapide

• SNA = meilleur pour la projection en haute mer, transit rapide, endurance illimitée, lutte ASM/ASuW de long rayon, escort, posture stratégique globale.

• SSK = excellent pour la furtivité à basse vitesse, opérations littorales, guerre de contrôle/sea denial, opérations spéciales, et comme option moins coûteuse pour multiplier les unités.

 

Avantages tactiques d’un SSK

1. Furtivité à basse vitesse

• Sur batterie / AIP un SSK moderne peut être extrêmement discret à vitesse de patrouille (moins de bruit mécanique que des diesels en marche ou certains SNA sur certains régimes).

2. Littoral & zones peu profondes

• Meilleure manœuvrabilité et capacité à exploiter le relief bathymétrique pour se cacher près des côtes et dans les hauts-fonds.

3. Coût unitaire moindre

• Permet d’avoir davantage d’unités pour la même enveloppe budgétaire → meilleure résilience par le nombre (disperser, multiplier les menaces).

4. Idéal pour la guerre de déni / défense côtière

• Très adapté pour tenir des passages (détroits, approches portuaires), interdire des zones, surveiller les approches de ZEE et protéger des bases outre-mer.

5. Opérations spéciales & ISR

• Plateformes souvent optimisées pour déployer nageurs de combat, capteurs passifs et drones sous-marins.

6. Exportabilité / industrie

• Moins sensibles politiquement qu’un SNA ; opportunités d’export (Scorpène par ex.) et maintien de savoir-faire pour l’industrie navale.

 

Limites tactiques du SSK (par rapport au SNA)

1. Endurance & rayon d’action limités

• Obligation périodique de recharger (snorkel/loiter), même avec AIP. Ralentit les transits et augmente la vulnérabilité quand en snorkel.

2. Vitesse soutenue faible

• Moins apte aux transits rapides ou à la poursuite prolongée d’un adversaire mobile en haute mer.

3. Moins de place pour capteurs/armes

• Moins de torpilles, moins de silos/espaces pour missiles lourds comparé à un SNA moderne.

4. Vulnérabilité tactique quand il faut recharger

• Snorkeling = moment de risque face aux patrouilles aériennes et aux radars.

5. Moins adapté à la présence stratégique globale

• Pour protéger lointaines ZEE ou pour opérations de puissance en océan, le SNA reste plus crédible.

 

Ce que la technologie change

• AIP moderne + batteries lithium réduisent l’écart : autonomie sous-mouillage et temps entre snorkels s’allongent.

• Améliorations acoustiques (revêtements, systèmes passifs avancés) rendent certains SSK très durs à détecter localement.

• Mais aucune techno conventionnelle n’élimine l’avantage d’un réacteur nucléaire pour l’endurance et la vitesse.

 

Considérations stratégiques pour la France

• La France a des intérêts globaux (métropoles, territoires d’outre-mer, lignes de communication) → besoin d’un cœur SNA pour projection, escorte, et missions prolongées.

• En parallèle, un volet SSK pourrait être très pertinent pour :

• renforcer la défense des façades maritimes européennes, Méditerranée, et approches métropolitaines ;

• multiplier les options de guerre anti-navire / ASW en zone côtière ;

• offrir des plateformes plus abordables pour coopérations et ventes à l’export (renforcement industriel, diplomatie).

• Historiquement la France a exporté des Scorpène et a exploré des concepts conventionnels (idem ta référence au Barracuda-SSK proposé) — choix industriel possible si volonté politique.

 

Modes d’emploi opérationnels (où privilégier SSK)

• Chokepoints & détroits : embuscades, minage, surveillance.

• Littoraux encombrés / zones archipélagiques : utilisation du relief sonore et du trafic pour se camoufler.

• Opérations spéciales : insertion/extraction de forces spéciales, surveillance discrète de côtes.

• Flotte « distribuée »/attrition : multiples SSK forcent l’adversaire à disperser ses moyens ASM.

 

Recommandation synthétique

• Mix SNA + SSK est la meilleure approche tactique pour la France :

• garder et moderniser une flotte SNA pour la présence globale, la lutte ASM en haute mer et la dissuasion opérationnelle ;

• développer/maintenir une capacité SSK (avec AIP / batteries avancées) pour la défense côtière, opérations spéciales et comme force de masse/coûts maîtrisés.

• Ce mix maximise la flexibilité, la résilience et la couverture des différentes zones d’intérêt (métropole + outre-mer).

Ballard ; puisqu’on vous dit qu’il faut mixer 

[mudrets]

il y a 16 minutes, ARMEN56 a dit :

https://static.blog4ever.com/2010/11/447417/Non---lucid--.pdf

Rapport de mon camarade de promo Serge Koenig qui avait débuté sa carrière sur un 400 t

[mudrets]

Il y a 2 heures, ARMEN56 a dit :

Obligation périodique de recharger (snorkel/loiter), même avec AIP

Surtout quand il faut ré-approvisonner les gaz nécessaires. Ex des Soum allemands qui doivent ravitailler à quai à Gibraltar pour oeuvrer en Méditerranée

[ARMEN56]

Il y a 6 heures, mudrets a dit :

Rapport de mon camarade de promo Serge Koenig qui avait débuté sa carrière sur un 400 t

Oui oui , on a déjà échangé sur ce sujet 

[Hirondelle]

Le 31/10/2025 à 17:06, mudrets a dit :

La seule expérience britannique a vite tourné au cauchemar sur un chasseur de mines

Peux tu raconter stp,  j’suis tout émoustillé maintenant ?

Ben sinon, je crois qu’un hs passionnant est en train de réveiller les vieilles torpeurs du fofo sur les derniers posts, et que je vais devoir y investir un peu de temps et 1 neurone qui me reste!

[Titus K]

Gros plan sur l'isolation sonore de la tuyauterie à 2:32

Modifié le 13 novembre par Titus K

[Personne]

Le 2^nd équipage du SNA De Grasse, le Rouge, devait être constitué dans les mois qui venaient. Administrativement c'est fait:

BOC N°79 du 17/10/25, décision N° 1189/ARM/EMM/MGM portant création de la formation administrative De Grasse équipage rouge est créée à compter du 1/10/25

[Ronfly]

Le 14/11/2025 à 00:07, Titus K a dit :

Gros plan sur l'isolation sonore de la tuyauterie à 2:32

Intéressant et on comprend la complexité de concevoir un tel système de combat aussi optimisé. Et mélangez dans un espace aussi contraint des tonnes d'explosifs, des tonnes d'uranium dans un réacteur nucléaire, des systèmes électroniques hautement complexes et 70 hommes et femmes...

Chapeau à NG, aux sous traitants et à tous ces marins enfermés dedans pendant des mois. On est fiers d'eux... Et puis il a vraiment de la gueule ce SNA.

[Titus K]

Des nouvelles du drone Diodon HP30 deployable depuis un sous-marin immergé

 

Modifié le 8 décembre par Titus K

[ARMEN56]

Embarquement immédiat à bord du sous-marin nucléaire d’attaque Duguay-Trouin ! 

De la classe « Suffren », programme « Barracuda », cette unité est le fleuron technologique des sous-marins . À son bord, les jeunes marins sont les dignes héritiers des corsaires du Roi. Autrefois, les voiles claquaient au vent et les coques en bois fendaient l’écume à la poursuite des Neslon et autres Pellew ; aujourd’hui, ce sont des lignes épurées d’acier et un réacteur discret qui projettent l’équipage dans les profondeurs, là où se joue l’invisible.

Le Duguay-Trouin, héritier d’un nom chargé d’Histoire(s), incarne la transition entre deux époques : celle des éclats de sabre et celle des algorithmes. Mais la mission reste la même : protéger, dissuader, observer, et rappeler aux Français que leur liberté n’est acquise que grâce à l’engagement de leurs forces armées…

Au milieu des systèmes complexes, il reste cette constante : des femmes et des hommes, formés à l’excellence, unis par la rigueur, l’engagement et la discrétion, parés à plonger dans les abysses pour que demeure la paix.

Voici donc un hommage, à la fois au passé qui inspire, à la technologie qui ouvre la voie, et à ces marins qui, à bord du Duguay-Trouin, prolongent une histoire que la mer n’a jamais cessé d’écrire.

https://www.linkedin.com/posts/ewan-photo_sna-suffren-brest-ugcPost-7403476796937097216-SfWO

 

Modifié le 8 décembre par ARMEN56

[jpp92ana]

https://youtu.be/5gpgyy0zZ8E?si=J7NsWFmIpMOnuOpl

[Ardachès]

… Et hop, une pierre de plus dans le cimetière des anglais (et un peu des australiens, aussi)

 

[FATac]

J'aime quand un plan se déroule sans accroc.

Révélation

 

[Titus K]

Il y a 11 heures, Titus K a dit :

Il avait aussi dit que Macron allait commander des SNA supplémentaires et 2 SNLE supplémentaires l'été dernier ...

il y a 34 minutes, mgtstrategy a dit :

C'est justement annoncé ce jour

Pourrais-tu poster tes sources stp, je ne trouve rien.

[mgtstrategy]

 

 

Le marin et mer et marine. Pas 100% officialisé mais tt comme ?

[Titus K]

il y a 6 minutes, mgtstrategy a dit :

Le marin et mer et marine. Pas 100% officialisé mais tt comme ?

C'est surtout que mr topaction reprend l'article lemarin du 7 juillet dont je parlais justement ... faut bien faire du clic.

Et pas de source meretmarine.

Modifié le 16 décembre par Titus K

[Titus K]

L'article pour ceux qui l'ont raté

Le 04/07/2025 à 22:55, Born to sail a dit :

« Plus de frégates et de sous-marins » : le ministre des Armées dessine le renforcement de la flotte

https://lemarin.ouest-france.fr/defense/plus-de-fregates-et-de-sous-marins-le-ministre-des-armees-dessine-le-renforcement-de-la-flotte-3357d42a-58d6-11f0-a250-ccec68869d1d

  Masquer le contenu

Deux SNA et des frégates, ainsi que potentiellement des SNLE en plus. La réponse directe à la menace persistante de la sous-marinade russe, au désengagement américain d’Europe. Et grâce aux atouts détenus par les SNA : puissance de feu, renseignement, le tout en discrétion.

L’art de tout dire sans encore dire les chiffres : Sébastien Lecornu a mis son casque de pédagogue, au fond du bassin Missiessy n° 2, ce 4 juillet, dans un discours teinté de gaullisme annonçant le renforcement de la flotte française.

Dans cette cathédrale de béton et de métal, interdite à la vue d’une partie des satellites espion, le ministre des armées a rappelé que les SNA sont des objets de temps long :  Le Tourville a été commandé en 2011, sa construction a commencé en 2016, et il est admis au service actif aujourd’hui . Le De Grasse suivra  en septembre 2026, le Rubis en décembre 2027 et le Casabianca en décembre 2029 . Mais il y aura donc une suite, même si le ministre a laissé au président de la République le soin de tout chiffrer et de nommer, le soir du 13 juillet, à l’hôtel de Brienne, pour son traditionnel discours stratégique.

Deux SNA et des SNLE supplémentaires

Il y aura (au moins) deux sous-marins nucléaires d’attaque supplémentaires, des frégates, et possiblement des SNLE supplémentaires, peut-être deux, pour un retour au format historique et augmenter durablement la capacité de patrouille à la mer. La conséquence directe de l’activisme de la sous-marinade russe, et du désengagement américain d’Europe  au profit du Pacifique . Les Européens doivent donc  mettre plus de frégates, de sous-marins .

Avec 20 armes à bord, un SNA, bientôt augmenté de drones et même d’ailier(s) sans équipages, capable de projeter discrètement des forces spéciales,  vient compléter l’ensemble d’outils qu’un chef d’état-major des armées peut avoir .

L’art de tout dire sans encore dire les chiffres : Sébastien Lecornu a mis son casque de pédagogue, au fond du bassin Missiessy n° 2, ce 4 juillet, dans un discours teinté de gaullisme annonçant le renforcement de la flotte française.

Dans cette cathédrale de béton et de métal, interdite à la vue d’une partie des satellites espion, le ministre des armées a rappelé que les SNA sont des objets de temps long :  Le Tourville a été commandé en 2011, sa construction a commencé en 2016, et il est admis au service actif aujourd’hui . Le De Grasse suivra  en septembre 2026, le Rubis en décembre 2027 et le Casabianca en décembre 2029 . Mais il y aura donc une suite, même si le ministre a laissé au président de la République le soin de tout chiffrer et de nommer, le soir du 13 juillet, à l’hôtel de Brienne, pour son traditionnel discours stratégique.

Deux SNA et des SNLE supplémentaires

Il y aura (au moins) deux sous-marins nucléaires d’attaque supplémentaires, des frégates, et possiblement des SNLE supplémentaires, peut-être deux, pour un retour au format historique et augmenter durablement la capacité de patrouille à la mer. La conséquence directe de l’activisme de la sous-marinade russe, et du désengagement américain d’Europe  au profit du Pacifique . Les Européens doivent donc  mettre plus de frégates, de sous-marins .

Avec 20 armes à bord, un SNA, bientôt augmenté de drones et même d’ailier(s) sans équipages, capable de projeter discrètement des forces spéciales,  vient compléter l’ensemble d’outils qu’un chef d’état-major des armées peut avoir .

Une infrastructure large

Une telle décision de renforcement n’impactera pas l’infrastructure qui avait été vue large. Le service d’infrastructure de la défense aura achevé en 2026 – donc bien avant l’arrivée de ces futurs SNA — la zone Missiessy à Toulon. Elle pourra accueillir jusqu’à cinq sous-marins sur les quais : dont deux déjà en accueil et maintenance légère côté est, et trois en accueil côté ouest. Deux bassins pour les arrêts techniques annuels sont donc désormais opérationnels. Le deuxième n’est pour l’instant qualifié que pour les Suffren, alors que le premier peut accueillir à la fois Rubis (c’est le cas actuellement) et Suffren. Le troisième bassin sera opérationnel en  fin 2029 début 2030  augure un ingénieur du SID, permettant les arrêts techniques tous les dix ans. Brest peut aussi accueillir des Suffren.

L’investissement dans un SNA est aussi réalisé à 100 % en France, a rappelé Sébastien Lecornu :  10 000 personnes, 4 millions d’heures de travail pour Naval group, 8 millions en comptant les sous-traitants . Idem pour chaque bassin Missiessy, avec un investissement de 450 millions d’euros qui profite essentiellement au BTP (Vinci, Eiffage).

 

 

[mgtstrategy]

1 hour ago, Titus K said:

L'article pour ceux qui l'ont raté

 

ahh désolé, j'ai été trop. JM Tanguy a aussi tweeté à ce sujet, ça se précise malgré tout.

[Titus K]

il y a 15 minutes, mgtstrategy a dit :

ahh désolé, j'ai été trop. JM Tanguy a aussi tweeté à ce sujet, ça se précise malgré tout.

Non justement ca ne se precise pas 

Malgré les surmarches il n'y avait pas la place dans le budget ... quand on voit les milliards qui sont deja partis dans le MGCS/eurodrone/SCAF

 

Modifié le 16 décembre par Titus K

[Phacochère]

Alexandre Jubelin - Le Collimateur

Le combat sous-marin, mode d’emploi

Le Collimateur plonge aujourd’hui dans la tactique et la stratégie du combat sous-marin depuis son apparition, avec le commandant Pelletier Doisy, auteur de Invisibles et silencieux aux éditions Pierre de Taillac.

 

[mgtstrategy]

5 hours ago, Titus K said:

Non justement ca ne se precise pas 

Malgré les surmarches il n'y avait pas la place dans le budget ... quand on voit les milliards qui sont deja partis dans le MGCS/eurodrone/SCAF

 

non non, il y a encore eu des annonces de Varin ce jour, ça se chamaille en tt cas on dirait mais ya bien des annonces à venir, je crois.