BPCs Posté(e) le 27 octobre 2012 Share Posté(e) le 27 octobre 2012 Quoiqu'il en soit en l'absence de SSGN le problème ne se pose pas ... ou du moins pas sur ce fil ;) Sur ce fil aussi : On avait à plusieurs reprises postés et envisagés des drones UUV emportés en piggy back par les barracudas ou bien latéralement avec le SNA comme mothership tel que dans le concept SMX-22 Sans parler d'armes externes etc... En fait j'aurais trouvé plus porteur un SMX-26 dronisé pouvant utiliser ses capacités d'accès aux haut-fonds pour appuyer au sol.... En fait, dans la vraie vie, j'aurais plutôt préféré un monocoque type Andrasta avec le kiosque surbaissé du SMX-26, afin de pouvoir en accoller un de chaque côté d'un SNA Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 27 octobre 2012 Share Posté(e) le 27 octobre 2012 Faire de l'appui depuis un sous-marin!!! même les USA ne font pas ca ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 27 octobre 2012 Share Posté(e) le 27 octobre 2012 Faire de l'appui depuis un sous-marin!!! même les USA ne font pas ca ... Pfff, il a la mémoire courte notre G4lly... Entre la validation du Tactom pour l'appui des FS ou les multiples projets de drones UUV pour dégommer des Time Sensitive Target... C'est pas faute d'avoir posté sur le sujet. http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,4200.msg446192.html#msg446192 Et ça , cela serait compatible avec un AASM naval couplé à des FireShadow Ou surtout tiré de l'US Navy Master plan pour les UUV : http://www.navy.mil/navydata/technology/uuvmp.pdf Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 27 octobre 2012 Auteur Share Posté(e) le 27 octobre 2012 Point de vue idéologique ! Gros calibre ou MdCn participent d'une révolution de point de vue "dramatique" au sens Anglosaxon du terme : Une capacité de frappe dans la profondeur indépendante d'un PA Dans le HS de DSI , benoît le Bihan , je crois , remarquait que ces capacités amenait les gros calibres dans le même rayon de frappe que les actuels missiles ASM utilisés en "Land Attack". Pour en revenir aux Barracuda : Dommage qu'on soit dans une capacité d'échantillonnage comme dirait Vincent Desportes Or l'échantillonnage ne marche pas : Les tentatives d'élimination de ben Laden ou de Saddam Hussein au Tactom ont chaque fois échoué Et l'effet sur un pays un peu respectable en capacité nécessiterait de consommer tout notre stock de MdCN Comme JC, je regrette qu'on n'ait rien pu faire de l'inflexible .... C'était tout l'objet de la création de ce fil lancé par moi Mister Philippe en 2006 afin de faire bouger les lignes d'abord au sujet de la classe Redoutable reconvertie en SSGN http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,4200.msg66940.html#msg66940 puis lors des débats sur les abandons FREMM AVT, réduction de la commande globale MdCN SCALP Naval et format idéal escadrille SNA et SNLE (capital ships si PA2 non lancé). Enclenchant simulations ingénieries financières, doctrine d'emplois, stratégies de présentations et conclusions. Par la suite, les concepts frappeurs/arsenal ship et modestement BRAVEHEART sont arrivés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav Posté(e) le 30 novembre 2012 Share Posté(e) le 30 novembre 2012 Barracuda SSN: DCNS opens combat system shore integration facility Over 100 people, including DCNS employees and representatives of the DGA, the French Navy and partners, attended a ceremony at the Toulon naval base on Wednesday 28 November to inaugurate the combat system shore integration facility for the Suffren, the first nuclear-powered attack submarine of the new Barracuda type. The combat system is the submarine’s central nervous system. It manages all command and control functions involving all sensors and weapons in real time. The ceremony marked the transition from the combat system’s design phase to functional integration, or the assembly of its hardware and software components on a shore integration facility (SIF). Over the next three years, the CS SIF will be used to test and check every CS function and mode of operation in preparation for its integration with the submarine proper. http://www.navyrecognition.com/index.php?option=com_content&task=view&id=771 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 12 décembre 2012 Auteur Share Posté(e) le 12 décembre 2012 Bilan de fin d'année 2012. Le programme Barracuda (classe « Suffren ») est destiné à assurer le remplacement des six sous-marins nucléaires d'attaque de type « Rubis ». Il s'agit d'un marché à tranches où la commande de chacun des six sous-marins est affermie par tranche conditionnelle. Le coût global du programme est de 9,5 Mds € en 2012. Le coût unitaire moyen de série (hors développement) est de 1,192 Mds € en 2012. Trois sous-marins ont été commandés : un premier en 2005 -tranche affermie en 2007 et 2008 ; un deuxième en 2009 ; un troisième en 2011. Les trois sous-marins devraient être commandés à raison d'un tous les deux ans. Le premier, le « Suffren », entrera en service opérationnel en décembre 2017, le deuxième, le « Dugay-Trouin », fin 2019 ; le troisième, le « Tourville » en 2021. Le rythme de livraison sera ensuite d'un sous-marin tous les deux ans. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 9 janvier 2013 Share Posté(e) le 9 janvier 2013 Une question qui me taraude sur les SNA Suffren. Je ne comprends pas très bien pourquoi DCNS maintient des produits fortement différents depuis toujours pour ses SSK, ses SNA et ses SNLE.Ne serait-il pas beaucoup moins coûteux d'avoir des produits plus similaires avec des sections énergies ou armement différentes ?De plus, je ne comprends pas trop pourquoi les Scorpéne ont 6 tubes avec 18 armes et les Suffren 4 tubes avec 20 armes alors qu'ils sont plus de 2 fois plus gros ... A part le réacteur, qu'est ce qui justifie une telle différence de taille ? Le sonar actif est-il vraiment si gros sur le SNA ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 9 janvier 2013 Share Posté(e) le 9 janvier 2013 De plus, je ne comprends pas trop pourquoi les Scorpéne ont 6 tubes avec 18 armes et les Suffren 4 tubes avec 20 armes alors qu'ils sont plus de 2 fois plus gros ... A part le réacteur, qu'est ce qui justifie une telle différence de taille ? Le sonar actif est-il vraiment si gros sur le SNA ?Le silence, le confort, la future mixité de l'équipage, la vitesse ou la maniabilité du SNA ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 9 janvier 2013 Auteur Share Posté(e) le 9 janvier 2013 Ne serait-il pas beaucoup moins coûteux d'avoir des produits plus similaires avec des sections énergies ou armement différentes ? De plus, je ne comprends pas trop pourquoi les Scorpéne ont 6 tubes avec 18 armes et les Suffren 4 tubes avec 20 armes alors qu'ils sont plus de 2 fois plus gros ... A part le réacteur, qu'est ce qui justifie une telle différence de taille ? Le sonar actif est-il vraiment si gros sur le SNA ? Si tu veux plus gros, soit meilleure circonférence/diamètre pour la même taille (~ 100 mètres mais avec plus de tonnages et 38 armes embarquées comme sur les SSN Astute, c'est encore plus onéreux donc à la fin, DCNS sort ton SNA en fonction de ce que l'EMA a demandé et exprimé comme besoin en fonction d'une certaine enveloppe budgétaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 11 janvier 2013 Share Posté(e) le 11 janvier 2013 Une question qui me taraude sur les SNA Suffren. Je ne comprends pas très bien pourquoi DCNS maintient des produits fortement différents depuis toujours pour ses SSK, ses SNA et ses SNLE. Ne serait-il pas beaucoup moins coûteux d'avoir des produits plus similaires avec des sections énergies ou armement différentes ? De plus, je ne comprends pas trop pourquoi les Scorpéne ont 6 tubes avec 18 armes et les Suffren 4 tubes avec 20 armes alors qu'ils sont plus de 2 fois plus gros ... A part le réacteur, qu'est ce qui justifie une telle différence de taille ? Le sonar actif est-il vraiment si gros sur le SNA ? Je pense que le changement de politique par rapport au niveau de compacité subit avec les SNA rubis/amethyste qui sont quand mêmes les + petits SNA au monde, et très certainement les + denses au monde en machineries et systèmes par rapport aux volumes ... A fait qu'on a assez eu de marin qui en ont bavé la dedans avec le peu de place habitable qu'ils ont hérité en conséquences Les barracudas sont sensés corriger cette injustice aux sous mariniers, ceci dit a ce que j'ai compris ça n'empêchera pas la bannette sous torpille, mais très certainement que moins de gars auront a le subir ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 11 janvier 2013 Share Posté(e) le 11 janvier 2013 Une question qui me taraude sur les SNA Suffren. Je ne comprends pas très bien pourquoi DCNS maintient des produits fortement différents depuis toujours pour ses SSK, ses SNA et ses SNLE. Ne serait-il pas beaucoup moins coûteux d'avoir des produits plus similaires avec des sections énergies ou armement différentes ? Ce seraint moins cher pour les client SNLE surement mais pas pour les autres ;) Plus sérieusement les trois architecture son tres différentes et n'ont pas vraiment les memes ambitions difficile de les faire converger. De plus, je ne comprends pas trop pourquoi les Scorpéne ont 6 tubes avec 18 armes et les Suffren 4 tubes avec 20 armes alors qu'ils sont plus de 2 fois plus gros ... A part le réacteur, qu'est ce qui justifie une telle différence de taille ? Le sonar actif est-il vraiment si gros sur le SNA ? Le nombre de tubes et d'armes ne conditionne pas vraiment la taille du navire ... on peut tres bien avoir des petits sous marin tres armés. Les facteurs dimensionnant sont plus a voir du coté de la propulsion, de l'endurance, et des équipements. Un Barracuda doit avoir le double d'endurance qu'un Scorpene, il dispose d'une capacité de 15 passagers plus leur équipement commando. coté propulsion c'est treeeeeeeees différent, un réacteur nucléaire, son blindage, ses turbo alternateur et turboréducteur, ses moteur électrique, ses moteur diesel, tous les chassis et berceau permettant un découplage maximal pour la discrétion de toute cette mécanique ... c'est autrement plus lourd et encombrant qu'un lot de batterie et un moteur électrique, plus un générateur au mazout. Coté niveau de confort et compétence a bord, c'est pas la même musique de passer 3 semaine a bord ou 70 jours, c'est pas pour rien qu'il y a le double d'équipage. En gros vouloir faire converger ces gammes se serait suicidaire ... on ne trouverait juste plus aucun client. Les un parce qu'il ne satisfont pas les condition d'export, les autres parce qu'il ne peuvent financer un gros navire, d'autre parce qu'il souhaite un petit sous-marin agile pour les eaux très resserrées etc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 11 janvier 2013 Share Posté(e) le 11 janvier 2013 Il est dit pour les SNA rubis amethystes que l'intégration d'équipement fut le + grand casse tête en termes technique pour faire rentrer au chausse pied la moindre machine la dedans pendant l'assemblage du soum' ... Très certainement l'un des SNA les + difficiles au monde a réaliser pour l'époque au vu du défi des volumes et le niveau d'emmerdement maximum a intégrer tout ça dans un soum' pas + grand qu'un grand SSK Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 9 février 2013 Share Posté(e) le 9 février 2013 Patricia Adam, députée de Brest et présidente de la commission de la Défense à l’Assemblée nationale, rappelle que les crédits manquent, à hauteur de 5 milliards pour exécuter la loi de programmation militaire en vigueur.Pour la suivante, qui couvrira la période 2014-2019, Patricia Adam, dans une interview au marin, estime qu’il faut tenir « un langage de vérité » aux industriels et mettre un terme aux lois de programmation non respectées.La filière française du naval de défense, qui structure une bonne partie de la filière navale tout court, en pâtira-t-elle ? Patricia est plutôt rassurante et estime que le futur Livre blanc de la défense et de la sécurité nationale, qui devrait être publié en mars, prendra mieux en compte les enjeux maritimes de la France que le précédentEn ce qui concerne les sous-marins Barracuda, elle considère qu’il est « techniquement impossible » d’amputer le programme.http://www.lemarin.fr/articles/detail/items/video-patricia-adam-il-est-techniquement-impossible-damputer-le-programme-barracuda.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 22 février 2013 Auteur Share Posté(e) le 22 février 2013 http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/dcns-brest-garage-sous-marins-toulonnais-12-02-2013-85465 La piste est clairement évoquée. Une étude comparative des coûts et infrastructures entre Brest et Toulon avait été commandée par le précédent gouvernement. Les six sous-marins nucléaires d'attaque (SNA) basés à Toulon, pourraient faire leurs grands carénages à Brest. Ces grosses opérations de maintenance emploient des centaines d'ouvriers et techniciens de DCNS. Patricia Adam, députée brestoise et présidente de la commission défense, veut remettre le sujet sur le tapis. En septembre dernier, elle déclarait : « La base opérationnelle et celle de l'entretien peuvent être dissociées. L'an prochain nous aurons un bon aperçu ». Effet tsunami ou effet breton ? Et ce devrait être à l'occasion du livre blanc sur la défense, attendu fin février début mars. François Cuillandre, maire de Brest semblait aussi y croire à l'automne : « Nous allons reprendre ce dossier en main », disait-il. Que s'est-il passé soudain ? D'abord, il y a eu l'effet Fukushima. Le tsunami au Japon, suivi de la catastrophe nucléaire, a engendré un nouveau calcul des risques. Et, en Méditerranée, où le danger sismique est réel, les bassins toulonnais et les chaufferies nucléaires des sous-marins seraient bien plus exposés qu'à Brest. Ensuite, il y a eu l'alternance politique, qui donne plus de poids aux élus bretons, estimant comme Patricia Adam que sur les moyens de défense, « Brest a beaucoup souffert ces dix dernières années par rapport à Toulon ». Le port méditerranéen concentre le gros des effectifs de la flotte de surface et a raflé la base opérationnelle des SNA, un temps promise aux Bretons. Pour le port de Brest, cette activité serait une aubaine. Elle permettrait à DCNS de conserver un niveau d'activité élevé, après 2018. Cette date fatidique, marquera en effet la fin de l'énorme chantier d'adaptation des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE), basés à l'Île Longue, au missile M51 : 2 milliards d'euros de contrat, jusqu'à 1 000 salariés à l'ouvrage. Elle boucherait aussi les inévitables creux de charge dans ce qui sera devenu la principale activité de routine du site brestois : les grands carénages des SNLE. Oui mais. D'abord les élus toulonnais ne vont pas se laisser faire. Ensuite, les centaines de marins, ouvriers, techniciens et leurs familles, ainsi ballottés entre deux ports risquent de résister. Une « catastrophe » pour Toulon Enfin, même à Brest, la CGT arsenal n'y est pas favorable. « La maintenance des SNA à Toulon, c'est 40 % de la charge de DCNS », estime son secrétaire Roland Guilcher. « Pour Toulon, ce serait une catastrophe. » Il refuse qu'on « déshabille un port pour en habiller un autre ». Bruno Simon, secrétaire CFDT du comité central d'entreprise, se méfie un peu de ce « serpent de mer », qui lui semble assez peu concerner la direction de DCNS. Pour lui, ce sera avant tout « une décision politique ». En terme d'échéances il y a aussi des choses à préciser. Car si cela ne visait pas les SNA actuels, mais seulement les futurs, de type Barracuda, dont le premier sera livré en 2017, son premier grand carénage n'aurait lieu qu'en... 2027 ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 22 février 2013 Share Posté(e) le 22 février 2013 Je sais qu'on se fonde sur le fait qu'il n'y a il me semble aucunes traces retrouvées de tsunamis majeurs sur la cote Ouest atlantique européenne tant en France que dans les iles britanniques ... Seul le Portugal via des traces d'un tsunami majeur (et pas un "petit" ...) dispose des preuves du potentiel redoutable de ce que l'Atlantique peut réserver comme surprises : mais l'origine de ce tsunami la dans la région de Lisbonne ne menace pas vraiment les cotes françaises tout du moins dans la version majeure du tsunami s'il avait lieu : mais au pire les vagues d'echos revenant de la cote Est US après avoir ravagé New York : il s'agit du risque assez bien connu car médiatisé dans plusieurs documentaire, d'un des volcans "plein de flotte" des Açores qui risque de glisser quasi intégralement dans l'océan a la prochaine grande secousse : En fait la péninsule Ibérique protègerait asser efficacement les cotes françaises contre ce risque la ... Et qui explique pourquoi on ne retrouve pas de traces de la même époque sur les cotes françaises de ce tsunami qui a ravagé la région de Lisbonne Ceci dit, dire qu'il n'existe pas de risques serait aller vite en besogne : on a en face de nous, pile au milieu de l'Atlantique et qui pourrait se passer a une latitude ou la propagation toucherait directement la France et ses cotes : une dorsale océanique active qui est mal connue car difficile a observer et étudier qui pourrait provoquer une éruption majeure inattendue, un effondrement majeur du grand canyon que la dorsale forme, ou mouvement sismique brutal de grande ampleur (moins probable ça les dorsales s'écartent bien moins pas "a coup" que ne le font les subductions qui sont a l'origine des 2 tsunamis majeurs qu'on a connu dans le monde ces 10 dernières années : Sumatra noël 2004 et Japon mars 2011, car les subductions sont sujettes a des mouvements verticaux de relachement brutal de tension qui soulèvent des milliers de km² de fond océanique potentiellement de plusieurs mètre en a peine 2 sec ... (Ce qui soulève alors la même masse d'eau en volume : qui forme le tsunami) Mouvement brusque de la dorsale ? Certes peu probable, mais a surveiller quand même ... Par contre qui peut parier qu'on ne risque rien avec cette dorsale en risque tsunamique lié a un effondrement d'un pan local du canyon de la dorsale, ou d'une éruption majeure très violente explosant au niveau du plancher qui pourrait selon la puissance libérée d'une explosion déclencher un tsunami majeur A surveiller aussi : Glaciers d'inlandsis sur la cote Est du Groënland qui peuvent réserver une très mauvaise surprise pour l'Europe occidentale, via un pan de plusieurs km cube qui glisserait brutalement ... On a bien vu très récemment un exemple d'un morceau de 5 km de large environ se retourner sur lui même il y a 3 mois : un velage a l'échelle gigantesque, mais qui peuvent potentiellement générer tsunami majeur selon configuration du bloc géant de glace par rapport a l'eau sur la zone de velage Dernier risque potentiel : Islande, qui peut jurer qu'on est a l'abris d'un épisode volcanique majeur en Islande qui n'est que la continuité émergée de la dorsale atlantique, qui pourrait très bien provoquer un effondrement marin lié a un épisode explosif très violent, notamment via un nouveau volcan ou nouvelle bouche éruptive de certains, d'autant que le cas islandais complexe en la matière a crée des iles volcaniques qui pourraient s'effondrer sur elles mêmes a cause d'une nouvelle bouche éruptive d'une même chambre magmatique qui s'ouvre a un mauvais endroit en zone immergée qui fragiliserait l'un des ilots volcans érigés ces derniers siècles : et le faire s'effondrer ... Provoquant un méga tsunami dans l'Atlantique de même ampleur que ce qu'on craint pour la cote Est US avec celui menaçant des Açores (mais qui ne nous menace pas il est vrai) En fait le problème est qu'on sait rien parce qu'on a pas trouvé de traces de tsunamis majeurs sur nos cotes ... Est ce que ça veut dire qu'on risque rien, j'en mettrais pas ma main a couper ... Même s'il est vrai que par rapport a la méditerrané : le risque est + bas Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 25 février 2013 Auteur Share Posté(e) le 25 février 2013 Le programme Barracuda http://www.assemblee-nationale.fr/14/budget/plf2013/a0256-tvii.asp Les sous-marins d’attaque (SNA) participent à la mission dissuasion par le renforcement de la sûreté de la force océanique stratégique et en entretenant un vivier en cohérence avec le socle des ressources humaines nécessaire aux sous-marins lanceurs d’engins (SNLE). Ils contribueront aux capacités d’intervention dans les domaines des opérations spéciales, de la projection de puissance (frappe dans la profondeur avec le missile de croisière naval, MdCN) et de la maîtrise de l’espace aéro-maritime (escorte du groupe aéronaval ou d’un groupe d’action maritime) ou de son interdiction. Ils participeront également aux missions de surveillance, de recueil de renseignement et de contrôle de zone. Les sous-marins présentent une capacité de déplacement de 4 650 tonnes en surface, une longueur de 99 m et un diamètre de coque de 8,8 m. L’équipage sera de 60 personnes avec une capacité d’emport supplémentaire de 15 commandos ou nageurs de combat. Ils mettront en œuvre le missile MdCN, la torpille lourde F21 et le missile antinavire SM39. Le programme Barracuda génère d’importantes retombées économiques et industrielles, mobilisant environ 1 500 personnes chez DCNS, 300 chez AREVA TA et autant parmi leurs sous-traitants, français en grande majorité (THALES, SAGEM, plusieurs dizaines de PME spécialisées sur tout le territoire national). Le programme couvre l’acquisition des sous-marins, du système de soutien et des moyens de formation et d’entraînement des équipages, ce qui inclut l’adaptation des infrastructures à terre à Cherbourg (port de construction) pour le chargement du cœur nucléaire et la mise à l’eau de chaque sous-marin. Le programme est placé sous la maîtrise d’ouvrage de la DGA, avec le CEA comme maître d’ouvrage délégué pour les chaufferies nucléaires. Trois sous-marins (Suffren, Duguay-Trouin, Tourville) ont été commandés, le troisième l’a été en juin 2011. Le contrat prévoit la réception du premier sous-marin (Suffren) mi-2017, celle du deuxième, le Duguay-Trouin, fin 2019 puis tous les deux ans pour les sous-marins suivants. Les essais à la mer du Suffren démarreront en 2016. Le coût du programme est de 9,6 milliards d’euros. Mi 2012, les engagements réalisés sont de 5,7 milliards d’euros courants et les paiements de 2,1 milliards d’euros courants. Le PLF pour 2013 prévoyait la commande d’un SNA. Cette commande a été décalée à 2014. Le tableau ci-après décrit le calendrier de commandes et d’entrées dans le service actif avant décalage de la commande prévu en 2013. Le calendrier doit être tenu. En 2017, le plus ancien des SNA actuels, le Rubis, aura navigué 35 ans, au lieu des 25 initialement prévus. Sauf à prolonger encore son activité, le report de commande décidé en PLF 2013 pourrait créer une difficulté capacitaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 26 février 2013 Share Posté(e) le 26 février 2013 Tout dépend de l'état du Rubis, c'est pas parce qu'il a 35 balais qu'un décalage a + 1 ou 2 ans de son retrait serait si problématique : a moins que ça tombe pile sur le cycle a 7 ans ou il faut remplacer le coeur combustible la ouais ça pourrait être pas bon du tout ... Pour le reste les USA compte bien faire naviguer 50 ans leur Ohio Class : pourquoi pas nos Rubis ? A moins que cette différence de durée de vie prévue viendrait directement du matériaux de base de construction des 2 types de soum ... ? Ou encore du rythme remplacement coeur combustible pour le reste je ne vois pas trop ... Les Ohio sont réalisé en acier spécifique comme nos soums non ? Ou sont ils éventuellement un peu comme certains soum' soviétique a forte teneur titane (qui garantirait alors une durée de vie sensiblement + grande des coques) Qu'est ce qui pourrait faire qu'un délai de retrait ne soit pas acceptable pour le Rubis et ses petits frêres un peu moins vieux ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 26 février 2013 Share Posté(e) le 26 février 2013 Les Rubis avaient été prévu pour seulement 25 ans ! Pourquoi si peu ? Je veux bien qu'a l'époque on avait plus d'argent et que l'on pensait peut être changer assez tôt mais 25 ans ce n'est pas énorme pour ce genre de bâtiment stratégique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 26 février 2013 Share Posté(e) le 26 février 2013 Les rubis sont nos premiers SNA et presque nos premiers sous-marin nucléaires. Lors de la commande du rubis, nos retex se limitaient à 4 SNLE et moins de 10 ans. Le SNLE redoutable (n°1) a été retiré du service au bout de 20 ans (après une missions avec escale à l'étranger sans missile donc de SNA plus que de SNLE) le Tonnant (n°5) au bout de 19 ans, l'Indomptable (n°4) a battu des records de longévité avec 29 ans de service et les 3 autres ont été retiré au bout de 23/24 ans. Par rapport à nos SNLE, les 25 ans des SNA (beaucoup plus petits) sont plutôt corrects. La faible durée de vie devait se justifier par un manque de compétence pour faire mieux, mais aussi par le souhait d'avoir des SNA provisoires/économiques (les plus petits du monde et les mauvaises langues diraient aussi les moins performants du monde) nous permettant de remplacer nos diesel en attendant d'avoir les moyens (financier et technologique) de faire de vrais SNA aussi performants que ceux des autres pays. A l'époque des rubis, on les considérait presque comme des Agosta avec un AIP très performant (sans l'opposition américaine, on les aurait exporté au Canada et aux Pays Bas) D'ailleurs je me demande si on n'aurait pas pu envisager de conserver (jusqu'à 30/35 ans) nos vieux SNLE et les convertir (finir) en gros SNA/SSGN pour remplacer les SNA Turquoise et Diamant qu'on avait annulé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 26 février 2013 Share Posté(e) le 26 février 2013 Les rubis sont nos premiers SNA et presque nos premiers sous-marin nucléaires. Lors de la commande du rubis, nos retex se limitaient à 4 SNLE et moins de 10 ans. Le SNLE redoutable (n°1) a été retiré du service au bout de 20 ans (après une missions avec escale à l'étranger sans missile donc de SNA plus que de SNLE) le Tonnant (n°5) au bout de 19 ans, l'Indomptable (n°4) a battu des records de longévité avec 29 ans de service et les 3 autres ont été retiré au bout de 23/24 ans. Par rapport à nos SNLE, les 25 ans des SNA (beaucoup plus petits) sont plutôt corrects. La faible durée de vie devait se justifier par un manque de compétence pour faire mieux, mais aussi par le souhait d'avoir des SNA provisoires/économiques (les plus petits du monde et les mauvaises langues diraient aussi les moins performants du monde) nous permettant de remplacer nos diesel en attendant d'avoir les moyens (financier et technologique) de faire de vrais SNA aussi performants que ceux des autres pays. A l'époque des rubis, on les considérait presque comme des Agosta avec un AIP très performant (sans l'opposition américaine, on les aurait exporté au Canada et aux Pays Bas) D'ailleurs je me demande si on n'aurait pas pu envisager de conserver (jusqu'à 30/35 ans) nos vieux SNLE et les convertir (finir) en gros SNA/SSGN pour remplacer les SNA Turquoise et Diamant qu'on avait annulé. "Les moins performants au monde" ça reste quand même a voir ... Leur petite taille, invoque forcément une masse et donc une inertie bien moindre que les gigantesques SNA US, russe ou moins grands brit' ... Ce qui doit lui apporter des avantages non négligeables en termes de manoeuvres de combat en accélération d'urgence, et capacité de virage a court rayon pour tenter de survivre aux torpilles ou se mettre en position de tir + rapidement que leur grands frêres forcément moins agiles dans le domaine Notamment dans la capacité de se retourner pour être en position de tir ... Ou ils doivent en toute logique pouvoir le faire bien + rapidement ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coriace Posté(e) le 1 mars 2013 Share Posté(e) le 1 mars 2013 "Les moins performants au monde" ça reste quand même a voir ... Leur petite taille, invoque forcément une masse et donc une inertie bien moindre que les gigantesques SNA US, russe ou moins grands brit' ... Ce qui doit lui apporter des avantages non négligeables en termes de manoeuvres de combat en accélération d'urgence, et capacité de virage a court rayon pour tenter de survivre aux torpilles ou se mettre en position de tir + rapidement que leur grands frêres forcément moins agiles dans le domaine Notamment dans la capacité de se retourner pour être en position de tir ... Ou ils doivent en toute logique pouvoir le faire bien + rapidement ? Les senseurs et la discréton semblent être plus importantes que les qualités de dogfighter dans el combat sous marin. Et petitesse d'un Soum' équivaut souvent à mauvaise discrétion (du fait de manque de plus pour les isolateurs sonores). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 2 mars 2013 Auteur Share Posté(e) le 2 mars 2013 Les rubis sont nos premiers SNA et presque nos premiers sous-marin nucléaires. Lors de la commande du rubis, nos retex se limitaient à 4 SNLE et moins de 10 ans. Le SNLE redoutable (n°1) a été retiré du service au bout de 20 ans (après une missions avec escale à l'étranger sans missile donc de SNA plus que de SNLE) le Tonnant (n°5) au bout de 19 ans, l'Indomptable (n°4) a battu des records de longévité avec 29 ans de service et les 3 autres ont été retiré au bout de 23/24 ans. Par rapport à nos SNLE, les 25 ans des SNA (beaucoup plus petits) sont plutôt corrects. La faible durée de vie devait se justifier par un manque de compétence pour faire mieux, mais aussi par le souhait d'avoir des SNA provisoires/économiques (les plus petits du monde et les mauvaises langues diraient aussi les moins performants du monde) nous permettant de remplacer nos diesel en attendant d'avoir les moyens (financier et technologique) de faire de vrais SNA aussi performants que ceux des autres pays. A l'époque des rubis, on les considérait presque comme des Agosta avec un AIP très performant (sans l'opposition américaine, on les aurait exporté au Canada et aux Pays Bas) D'ailleurs je me demande si on n'aurait pas pu envisager de conserver (jusqu'à 30/35 ans) nos vieux SNLE et les convertir (finir) en gros SNA/SSGN pour remplacer les SNA Turquoise et Diamant qu'on avait annulé. D'abord tu sembles oublier que la classe type Le Redoutable était de 6 SNLE. Mise en service SNLE Le Redoutable en 1971, SNLE Le Terrible en 1973, SNLE Le Foudroyant en 1974, SNLE L'Indomptable en 1976, SNLE Le Tonnant en 1980, SNLE L'Inflexible en 1985. Donc expérience sur 10 SNLE et 6 SNA classe Rubis (8 étaient prévus les SNA Turquoise et Diamant annulés en raison de restrictions budgétaires) pour nos 6 nouveaux Suffren. Plus les expériences SSK, DCNS saura nous sortir de beaux bateaux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 2 mars 2013 Share Posté(e) le 2 mars 2013 D'abord tu sembles oublier que la classe type Le Redoutable était de 6 SNLE. Mise en service SNLE Le Redoutable en 1971, SNLE Le Terrible en 1973, SNLE Le Foudroyant en 1974, SNLE L'Indomptable en 1976, SNLE Le Tonnant en 1980, SNLE L'Inflexible en 1985. Le Rubis (aussi connu sous le nom de SNA 72) a été mis sur cale en décembre 76. A cette époque la France n'avait mis en service que 4 SNLE. Et vu le nom de SNA 72, je soupçonne que la marine ait envisagé de commander des SNA en 1972 à l'époque ou seul Le Redoutable était en service. Au fait mon commentaire ne s’adressait pas aux Suffren mais au rubis (je sais c'est limite HS) pour répondre pourquoi la durée de vie prévue était de "seulement" 25 ans. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 2 mars 2013 Auteur Share Posté(e) le 2 mars 2013 Le Rubis (aussi connu sous le nom de SNA 72) a été mis sur cale en décembre 76. A cette époque la France n'avait mis en service que 4 SNLE. Et vu le nom de SNA 72, je soupçonne que la marine ait envisagé de commander des SNA en 1972 à l'époque ou seul Le Redoutable était en service. Au fait mon commentaire ne s’adressait pas aux Suffren mais au rubis (je sais c'est limite HS) pour répondre pourquoi la durée de vie prévue était de "seulement" 25 ans. Probablement en partie pour une histoire de cœurs nucléaires et de jeux de nucléaires, ainsi que le carburant nucléaire.Sur les Rubis le chargement du cœur nucléaire est tous les 7 ans.Pour les SNA Suffren, il est question de les faire durer 33 ans.La durée de vie du cœur est de 10 ans. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 2 mars 2013 Share Posté(e) le 2 mars 2013 Les senseurs et la discréton semblent être plus importantes que les qualités de dogfighter dans el combat sous marin. Et petitesse d'un Soum' équivaut souvent à mauvaise discrétion (du fait de manque de plus pour les isolateurs sonores). Je comprends le point de vu, mais il est assez court quand même : vu qu'il s'agit de SNA qui disposent justement de senseurs adaptés a la poursuite de nos propres SNLE-NG pour en confirmer la dilution océanique ... De la, peut être qu'on peu leur reprocher un manque de discrétion qui a leur naissance fut connue comme le loup blanc (lié au choix du design hydrodynamique du Rubis et les autres qui ont suivi en forme de cachalot : le fameux nez plat des rubis) et Puis sensé avoir été en parti corrigé avec la refonte améthyste, après les niveaux réels étant du SD absolu tenant a la dissuasion on en saura pas trop Mais quand même, son potentiel de discrétion a beau être inférieur a des soum' + grand : Ayant été conçu et modernisé plusieurs fois pour assumer et surtout assurer la dilution optimale de nos SNLE-NG (j'imagine qu'en 90-92 les refontes ont du prendre en compte l'arrivé du premier SNLE-NG l'année d'après en 93 pour en moderniser les senseurs qui nécessiteraient très certainement une sensibilité bien + grande vu qu'on estime la discrétion du SNLE-NG 1000x supérieure a celle de leurs prédécesseurs) Ce qui laisse quand même a penser qu'au niveau senseurs les rubis/améthyste même sans une discrétion formidable pour lesquels ils n'ont guère été réputé, peuvent par contre réserver de très mauvaises surprises aux SNA qui tenteraient une approche discrête de combat en se croyant "discrêt" et jouer a l'arroseur > arrosé ... Et prendre de court un attaquant qui ne s'y attend pas Les capacités de senseurs qu'on lui a donné pour assurer la dilution océanique de nos SNLE-NG, doit être utilisable au combat dans le sens que l'ennemi ferait une erreur a tabler sur la discrétion d'attaque en étant persuadé de ne pas avoir encore été repéré (tout dépend aussi du comportement tant a bord et du navire pour qu'il le croit ou pas) Mais on ne peut que supposer ! Dissuasion oblige ... Le sujet est assez vague, tout ce qu'on sait vraiment c'est que les marines alliées nous ont reproché sa faible discrétion dans les années 80 ... Après la refonte améthyste on en sait trop rien : A part qu'ils ont été quand même il y a pas si longtemps que ça suffisamment discrets pour déjouer la Navy et son groupe aéronaval sensé être au top en lutte ASM pour protéger leur CVN : car officiellement on leur a coulé un PA en exercice sans qu'ils nous repèrent ... Ce qui prouve qu'on a été suffisamment discret face a leurs los angeles qui rodaient et le reste de l'arsenal ASM déployé ... Ou alors peut être qu'ils l'avaient simplement sous estimé pour l'exo en question Le sujet est donc potentiellement controversé, vu qu'il y a des faits qui ne sont pas en faveur de la piètre réputation qu'on lui a collé (enfin leur plutot) Moi je part du principe que si il est équipé pour confirmer une dilution stratégique de nos SNLE qui garanti l'invulnérabilité de la FOST et de sa dissuasion, il est alors capable de déjouer la discrétion des soit disant SSN + discrets pour la retourner contre eux ... Ou alors c'est qu'on a un souci avec les seuils de détectabilité de nos SNLE-NG mais qu'on se voile la face sur "l'invulnérabilité par dilution" ne pouvant faire mieux et dans un reflex pavlovien Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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